Sujets

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Vous nous quittez déjà ? / Absence

« le: mardi 10 septembre 2013, 16:58:00 »

Salut,

Mon pc a eut un petit problème technique et ne démarre plus. Je vais surement mettre quelque temps à régler ça et je ne suis pas sûr de pouvoir retrouver mes fichiers. Donc pour l'instant n'attendez plus de réponses de ma part, je reviens au plus vite.

Edit : Bon, après m'être fait chier à créer une image iso de win7 pour lancer la réparation je me suis aperçu que c'était tout simplement mon deuxième disque dur qui faisait son caca nerveux et bloquait le premier ... Je hais les ordinateurs, ces merdes me rendront dingue ... Bref, je suis déjà de retour avec le sentiment d'avoir tout démonté pour m’apercevoir que l'appareil était tout simplement pas branché.

Grblgbrlgbrlbgrgniark !!!

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Les bas fonds / Déjà vu [Ahri]

« le: samedi 07 septembre 2013, 22:17:41 »

Après mon combat le médecin est descendu m'examiner. Il m'a rassuré, je n'avais rien de cassé et ça tenait du miracle vu le méchant coup que je m'étais mangé. Mon corps avait tout de même méchamment morflé et il me fallait un repos total, pas juste rester couché, vraiment dormir et longtemps, sans bouger. Il m'a injecté une sorte de drogue, un truc pour m'endormir et soulager la douleur, puis il est parti en verrouillant la grille de ma cellule pour que d'autres gladiateurs ne profitent pas de ma vulnérabilité. Sage attention de sa part, car un paquet de gens souhaitaient me voir crever ici. Dans un demi-sommeil dont je ne savais pas vraiment s'il était rêvé ou vécut, j'ai aperçu une femme derrière la grille.

"Je ne te voyais pas gagner, mon chou. Pourtant tu as bien réussi ton combat. J'espère qu'on se reverra... bientôt."

Le produit faisant déjà effet je n'ai pas pu répondre, mon corps était engourdit, mon esprit s'embrumait de plus en plus, ma vision se troublait. J'ai juste eu le temps de sentir ce sentiment agréable, je me sentais léger, troublé et le visage de cette femme s'est gravé dans ma tête. Même si je ne savais pas si elle existait réellement ou non. Je me suis mis à rêver. J'ai rêvé de la façon dont j'allai m'évader, je pouvais voir le début de mon plan échouer, me faire courser par les gardes pour finalement être acculé dans une ruelle et tué. Puis mon rêve s'est rembobiné dans ma tête, comme un film, à une intersection j'ai pris à droite au lieu d'aller à gauche comme la fois précédente. Et là, au détour d'une rue j'ai de nouveau vu la femme, elle m'ouvrait sa porte. Je suis rentré avec elle et les gardes ne m'ont pas trouvé, puis j'ai refais ce rêve, encore et encore, jusqu'à ce que chaque détail soit imprimé dans mon esprit.

Je me suis réveillé que trois jours plus tard, le médecin avait eut raison, je me sentais en forme et la douleur avait disparu. Je me suis levé et j'ai appelé un garde pour qu'il m'ouvre, j'allai m'échapper de suite. Plus tôt je serais dehors mieux ce sera.

"Non Garn. Ton propriétaire m'a dit de ne pas te laisser sortir jusqu'à ton prochain match. Il a dit qu'il serait très important pour ta carrière et qu'il avait misé beaucoup d'argent dessus. Il veut que tu te repose et que tu reste ici vu les enjeux."

J'avais vu juste, ce petit fils de pute cherchait à me faire tuer en public en affrontant un adversaire beaucoup plus fort que moi. Mais je n'étais pas comme ces minables qui se faisaient tuer au bout de trois jours sans réagir, j'avais déjà survécut jusque là et je n'allai pas me laisser tuer aussi facilement. J'ai attrapé le garde à la gorge et je l'ai soulevé du sol :

"Ouvre immédiatement ou je te tue. Ton boulot de merde ne vaut pas la peine que tu te sacrifie pour lui."

Le garde s’exécuta, pensant réellement que j'allai l'épargner. L'épargner, c'était prendre le risque de le laisser aller prévenir tout ses petits copains, un risque que je ne pouvais pas me permettre. Mais les gardes avaient toujours été corrects avec moi, donc ils auront droit à une mort rapide et sans douleurs. Sitôt la porte ouverte je lui ai brisé la nuque d'un geste sec, il est mort sur le coup, pas de douleur, pas de cri. J'ai pris ma hache et j'ai couru en direction de la porte qui donnait sur l'extérieur. Le garde de la porte m'a vu courir vers lui, c'était inhabituel donc au départ il ne savait pas comment réagir. Mais lorsque j'ai bondit sur lui hache en avant il s'est mis à gueuler.

"ON M'ATTAQUE !!! AU S..."

J'ai entendu des bruits de bottes derrière moi, l'arène était un vrai gruyère, si quelqu'un gueulait à un bout tout le monde dans le bâtiment l'entendait. Le temps qu'ils trouvent l'endroit exact d'où le cri venait et ils seraient ici, transmettrai à la garde de Nexus et même avec ma force ils seront alors trop nombreux pour moi. Chaque seconde que je perdais à chercher la bonne clé sur le trousseau me rapprochait un peu plus de la mort. Puis la grille s'est finalement ouverte, au même moment j'entendais un garde gueuler "Garn s'échappe !". Mais trop tard, à partir de maintenant ce sera la liberté ou la mort, plus de retour en arrière possible. Les rues étaient exactement comme dans mon rêve, je n'ai fais que refaire le chemin que j'avais déjà vu. Au bout du chemin j'aurai mes réponses : La femme dont j'ai rêvé était elle réelle ou pas ? Et quel était ce sentiment agréable que j'avais vaguement ressenti ?

Je suis arrivé à la maison en question, j'entendais les bruits de bottes se rapprocher, j'étais probablement encerclé et ils m'acculeraient bientôt. La femme n'était pas là, elle ne m'attendait pas dehors comme dans mon rêve mais la maison était identique. J'ai appuyé sur la clenche et comme la porte n'était pas verrouillée je suis entré. J'ai refermé derrière moi et j'ai entendu les gardes courir dans la rue à ma recherche, puis s'éloigner, persuadés que j'étais parti plus loin. J'ai commencé à explorer la maison, silencieusement. Bien que je m'attendais à tomber sur cette femme je ne savait rien d'elle. Et puis les rêves jouent parfois de sales tours, je ne pouvais pas m'y fier.

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Les bas fonds / Les bons comptes font les bons amis [Vincente Valentyne]

« le: lundi 02 septembre 2013, 21:43:28 »

Voir le ciel, les nuages, apprécier la caresse de la brise sur son pelage et tout cela sans avoir à supporter les jérémiades des blessés et des petites fiottes qui venaient de débarquer. "Pourquoi suis-je ici ? Qu'ai je fais de mal mon Dieu ? Je n'aurai jamais dû faire ci, faire ça.". Ces minables avaient toujours une bonne raison de se plaindre, même quand ils remportaient leurs combats. "Oh non, j'ai tué un autre homme. Suis-je devenu un monstre ?" ou "J'ai failli crever, je crois que je me suis fait dessus en plus." et bla bla bla ... L'extérieur avait cela de bien qu'on entendait moins de fillettes chouiner. Mais le gros problème de l'extérieur c'est que la bouffe était payante, les maisons aussi et que tuer des gens n'était pas vraiment toléré par les crétins en armure. D'ailleurs avant de sortir on me prenait toujours ma hache en me disant que je pourrai faire des conneries si je la gardai. Comme si j'avais besoin d'une arme pour tuer un type et comme si je ne savais pas que buter un mec à l'extérieur m'apporterait plein de problèmes. Bref, l'entrainement était fini pour aujourd'hui, pas de combat de prévu et pas de groupies pour me sucer la bite, le modèle type de la journée chiante à mourir. Et dans ces moments là il n'y avait qu'une seule chose à faire lorsqu'on le pouvait : Sortir dehors ! J'ai empoigné ma hache et je me suis dirigé vers la sortie. Mais pourquoi prendre ma hache alors que je savais très bien que je n'avais pas le droit de sortir avec ? Simple ! Vous allez vite comprendre.

"Garn tu sais très bien que vous n'êtes pas autorisés à porter des armes dehors ! Combien de fois je devrai te le dire ? Aller donne moi ça !"

M'a expliqué le garde, excédé par mon insistance à vouloir sortir ma foutue hache d'ici. Avec un énorme sourire intérieur je me suis nonchalamment délesté de ma hache, la laissant tomber dans les bras du pauvre homme qui peina à la poser contre le mur. Ce petit plaisir que je m’offrais à chaque fois n'avait pas de prix, c'était mon petit trésor de la journée.

"N'oublie pas que tu dois revenir pour demain matin, vous avez entrainement. Tu m'as bien compris Garn ? Oh Garn tu m'entends ? Garn ? DEMAIN MATIN OK ? Quel abruti ..."

Je faisais semblant de ne pas l'entendre ou de ne pas comprendre, faire chier les gardes en jouant l'idiot du village était un de mes passes-temps favoris. Et vu que je n'avais pas spécialement une tronche de premier de la classe, ça passait tout seul. La lourde grille qui nous séparait de l'extérieur s'ouvrit et j'ai disparu de leur champ de vision au coin de la rue. Je me suis baladé un moment, regardant avec envie l'intérieur des bars et des clubs d’hôtesses. N'ayant aucune possession matérielle hormis mes habits et ma hache je ne pouvais pas payer pour ces services. Je ne pouvais que regarder avec envie ce que possédaient les humains, sans avoir le droit d'y gouter. La liberté m'importait peu, mais pouvoir dépenser de l'argent dans ces lieux ou même mieux, pouvoir acheter de belles esclaves humaines, ce serait quand même le pied. Si un jour je reprends ma liberté, ce sera certainement pour ça. Tout cela était trop tentant, il faudrait que je trouve un jour un moyen d'obtenir beaucoup d'argent pour essayer tout ça. En tout cas il serait naïf de penser qu'un être libre m'offrirait de bon cœur tout ce que je désirai, il ne fallait pas rêver.

"Un assassin ! Attrapez le ! Laissez passez la garde !"

Brusquement, de nombreuses personnes se mirent à hurler à tout va. Apparemment quelqu'un venait de se faire tuer et le meurtrier était en train de s'enfuir. Je me suis mis à rire en me disant que si je pouvais l'attraper je pourrais le livrer à la garde pour recevoir une récompense. Non mieux, je pourrai le menacer de le livrer et lui demander de payer à ma place tout ce que je voudrai. Si seulement ça pouvait arriver ... Et à ma plus grande surprise, une ombre furtive traversa la rue dans laquelle je marchai pour s’engouffrer dans une ruelle. Au début je n'y ai pas cru, c'était trop beau, puis j'ai arrêté de réfléchir et j'ai tout simplement foncé. Si jamais c'était vraiment l'assassin j'avais une chance de transformer mon rêve en réalité, au moins le temps d'une soirée. Courant bien plus vite qu'un humain je l'ai facilement rattrapé et au coin d'une ruelle je l'ai brutalement poussé de façon à ce qu'il percute le mur et se retrouve au sol.

"Alors l'assassin ? On ne veut pas se faire attraper ? J'ai un petit arrangement à te proposer. Tu as dû recevoir pas mal d'argent à force de tuer des gens, donc ça te dirait de me payer deux ou trois choses pour que j'oublie que je t'ai vu ? Je déteste autant les gardes que toi et seul ton argent m’intéresse, donc ne me force pas à leur rendre service s'il te plait."

L'assassin en question me paraissait bien petit, je ne l'avais toujours pas vu de face et je ne savais pas comment il allait réagir. Allait-il essayer de me tuer ? Allait-il s'enfuir à nouveau ? Allait-il coopérer sagement pour ne pas alarmer les gardes ?  Je n'en savais strictement rien, donc je me tenais prêts à tout les cas de figure en attendant sa réponse.

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Le coin du chalant / Glace à la vanille !!!

« le: lundi 02 septembre 2013, 01:53:42 »

!!!

Bon maintenant que j'ai attiré votre attention veuillez lire la suite :


1/ Bastons épiques :

- Inconscient, forcé ou brave, peu importe ! Vous vous retrouvez dans l'arène face à Garn et il est bien déterminé à vous faire passer un sale quart d'heure ! Si vous arrivez à esquiver sa hache plusieurs fois, que vous survivez à ses coups de coude et de pied, que vous parvenez à ne pas vous faire mordre, vous aurez éventuellement une faible probabilité d’espérer pouvoir vous en sortir à peu près indemne. Dans le cas contraire vous êtes mort. 


2/ YOLOOOO !!! :

- http://www.youtube.com/watch?v=keLkBrwn1OQ (Parce que j'ai envie)


3/ Quéquette toute dure :

- Spectatrice occasionnelle ou habituée c'est votre jour de chance ! Votre gladiateur préférée, moyennant un paiement sur lequel Garn ne touchera STRICTEMENT RIEN (Ah tu la sens bien la culpabilité là hein ?), est à vous ce soir ! Ou plutôt vous allez payer pour être à lui en fait ... Petite veinarde va !

- Simple fan hystérique fauchée vous vous infiltrez dans les coulisses de l'arène par une porte restée ouverte. Telle une groupie en pleine crise d'autographite aiguë vous allez traquer votre gladiateur favori. Sauf que vous avez oublié plusieurs petits détails : Premièrement, les portes ouvertes ne le reste pas longtemps ici, vous êtes coincée. Deuxièmement, y'a pas que Garn là dedans et les autres gladiateurs voudront aussi avoir leur part de votre délicieux gâteau (ceci est une image pour parler de votre cu*). Et enfin, sachez qu'il n'y a pas de troisièmement.


4/ Et que y'a pas de quatrièmement non plus.


5/ Fêtes et anniversaires :

- Vous souhaitez faire peur à vos amis ? Vous voulez embaucher un monstre pour leur coller la frousse de leur vie ? Ne cherchez plus ! Le Garndiator 2000 est fait pour vous. Entièrement customisé avec du faux sang, des habits qu'il en a pas et un gros hachoir bien aiguisé. Louez le dès maintenant ! Nous déclinons toute responsabilité en cas d'agression sexuelle.


6/ Évolution du personnage :

- Garn va être amené à commettre l'irréparable, tuer ou blesser gravement une cliente ou un de ses propriétaires. Sentant que sa paisible vie de briseur de crânes est terminée, il va s'enfuir et échapper de justesse à un séjour à la prison Eternum. Il est libre ! Mais il va devoir se démerder tout seul maintenant et comme il n'a jamais été livré à lui-même ailleurs que dans l'arène il est mal barré. Surtout que la moitié des gardes de Nexus lui courent après.

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Mes RP :

- What we do in life echoes in eternity. [Echo / Yue]
- Les bons comptes font les bons amis [Vincente Valentyne]
- Un gladiateur et une délicieuse créature. [Ahri]
- Déjà vu [Ahri]

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Prélude / Garndiator : L'esclave qui baisa l'Empire [Valimuté]

« le: dimanche 01 septembre 2013, 21:02:51 »

Prénom : Garn

Âge : 26 ans

Sexe : Mâle

Race : Terranide loup

Orientation sexuelle : Hétéro à 100%

Description physique : Haut de 2 mètres 18, l'homme loup est largement plus grand que la majorité des humains, largement plus lourd et fort qu'eux aussi. Sa force physique n'est pas sa seule arme, il dispose aussi d'une mâchoire puissante et de griffes aussi solides que tranchantes. Sa peau est recouverte d'un pelage blanc et sa morphologie est très proche de celle du loup-garou. Malgré sa taille et son poids il est vif et a un style de combat particulièrement agressif et rapide. D'épais muscles protègent son corps et lui donnent une carrure massive, intimidante. Lors d'un combat il a été blessé au niveau de l’œil droit, il n'en a gardé aucune séquelle hormis une cicatrice d'une quinzaine de centimètre.

Maintenant passons au plus important, la quéquette, qui aura droit à son propre paragraphe. Celle de Garn mesure 22 centimètres de long pour 4 de large. Comme tout sexe de canidé celui du terranide enfle progressivement à l'intérieur du vagin de sa partenaire, jusqu'à ce qu'il ne soit plus possible de le retirer. En gros une fois qu'il a commencé il est obligé de finir et contrairement aux humains il commence à éjaculer en continu dès le début du coït. Les plus gros chiens sont capables de produire 6 fois plus de sperme qu'un homme qui en produit 4 millilitres, Garn en produit 60 fois plus, soit 0,24 litre. Bon appétit.

Caractère : Une brute, c'est le meilleur qualificatif qu'on pourrait lui attribuer. Il ne se pose aucune question, ne réfléchit pas et se contente de faire ce qu'il a à faire. Contrairement aux apparences il est plutôt intelligent, mais agir comme un bourrin est plus facile et plus gratifiant à son goût. Il ne parle pas beaucoup, pas parce qu'il n'aime pas parler mais parce qu'il n'a rien à dire et que parler pour ne rien dire ça l'énerve. En fait, tout ce qui est inutile l'énerve, les efforts inutiles, les paroles inutiles, les actes inutiles, il déteste tout ça. Il est particulièrement têtu, lorsqu'il a décidé de quelque chose il ne revient pas en arrière. Sarcastique, il aime choquer les âmes biens pensantes et taquiner la noblesse locale. C'est peut être l'une des raisons de son succès auprès des femmes de la haute société, il n'hésite pas à les brusquer et à les déstabiliser, ça les change de leur morne quotidien.

Histoire : Garn n'a aucun souvenir de ses parents, il sait qu'il a vécut quelques mois à l'extérieur de Nexus mais son plus lointain souvenir remonte à son dressage par les humains. Enfermé dans le noir, affamé, battu, il a toujours été maltraité par ses maîtres et dresseurs. Plusieurs fois il a faillit mourir à cause des mauvais traitements, tout cela dans le seul but de le rendre violent et le faire combattre dans une arène des bas fonds. On pourrait le définir comme une sorte d'esclave gladiateur, loué après les combats par de riches femmes désireuses de se faire saillir par la bête. Très tôt le jeune homme loup a compris comment profiter du système. Dans ce milieu, tout marche à la notoriété, gagnez vos combats, attirez les bonnes clientes, soyez aimé des spectatrices et vous vivrez une vie de plaisirs dans un luxe indécent. Et si vous n'en êtes pas capable vous pourrirez dans les cachots de l'arène, cruel mais simple.

En dehors des luxueuses demeures de ses maîtresses d'un soir, sa vie n'est pas passionnante. Il passe son temps à s’entraîner, manger, dormir, jouer aux cartes avec les autres gladiateurs. Lorsqu'un combat commence il entre en scène, explose le crâne de son adversaire et fait son petit spectacle en prenant son temps pour achever le type d'en face. Après le combat il va rejoindre sa propriétaire de la soirée, il la baise sauvagement, c'est comme ça qu'elles l'aiment le plus, puis il retourne dans les coulisses de l'arène. C'est sa routine, éclater des crânes et sauter des bourgeoises, il trouve que c'est pas si mal que ça et n'envisage pas vraiment de s'en aller ailleurs. Surtout qu'il n'a pas de rival sérieux à l'horizon et que tout lui réussi enfin. Sa notoriété croissante lui assure une certaine immunité et une liberté de mouvement que peu d'esclaves ont. S'il en a envie il peut aller se balader en ville, voire au delà, tant qu'il arrive à l'heure aux entrainements et aux combats. De toute façon ses propriétaires comptent sur son caractère pour le manipuler, tant qu'il a des femmes et de la baston il restera. Ils ont raison et Garn en est conscient, c'est plutôt un bon système.

Du moins jusqu'au jour où Garn se sera lassé de son rôle de toutou sauvage de ces dames. Par nature il est dominant, ce rôle d'esclave n'est qu'un titre sans signification à ses yeux. Oh les humains ont bien essayé de le briser, d'en faire un petit chien docile, craintif, juste assez violent pour se battre avec ses semblables et trop peureux pour se battre contre ses maîtres. Malheureusement pour eux il n'en est rien, Garn a une grosse paire de couilles et la leur enverra en pleine tronche quand le moment sera venu ! GRAOUH !

[Et là vous vous demandez surement où est la partie où Garn baise l'Empire ? En fait c'est juste parce que j'ai rien trouvé d'autre qui ressemble à ça pour le titre.  ]

Armement : Les grosses armes font les gros bourrins ! Et ça tombe bien car l'arme préférée de notre terranide est une baguette magique ! Mais seulement pour le gouter. Lorsqu'il est dans l'arène, Garn lui préfère une hache à deux mains totalement badass pour se la péter devant les copains. Notez qu'elle mesure 2 mètre 20 de long et qu'elle a donc à peu près la même taille que son propriétaire. Il lui arrive d'enduire la lame de sa hache avec une huile spéciale contenant de la poudre d'obsidienne aux propriétés anti-magiques. Cette huile lui permet d'affronter des ESPer et magiciens sans avoir à se soucier de leurs petits tours de magie.






Situation de départ : Expérimenté

Comment avez vous connu le forum : En cherchant sur Google.

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Non