Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Pipa

Pages: [1]
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Tekhos Metropolis / C'est dans la boite ! [THT]
« le: mercredi 02 mars 2016, 17:56:26 »
Il y a quelques temps de ça, mon maitre était indisponible pendant plusieurs jours. Il lui était impossible de rentrer et je ne pouvais l’accompagner dans ses démarches. Du coup, j’en ai profité pour sortir et profiter de ce que je sais très bien faire : Le sexe.

J’étais une habituée de certains endroits, surtout à Nexus et à Ashnard. Mais cette fois-ci, je n’avais opté pour ni l’une ni l’autre des deux grandes villes, mais une autre où je vais très peu. Je parle bien évidemment de Tekhos, qui regorge d’endroit pour s’amuser et faire la fête sans se prendre la tête. J’avais quelque peu tournée autour des hommes le reste de mes jours de repos, et voulant varier un peu, j’ai eu l’idée de venir dans cette métropole avec plein de femmes partout et aux mœurs légères. En résumé, un endroit parfait pour moi ! Même si je dois avouer que toute cette technologie me fait assez peur.

La journée s’était écoulée plutôt rapidement et les rues se vidèrent pas mal avec le temps. La nuit arrivait et je n’avais fait l’amour que trois fois depuis la matinée, plus une longue séance de masturbation car j’étais trop en manque. Même si cette fois, il n’y avait personne pour me regarder faire, contrairement à quand je suis chez nous. Ayant envie de faire des rencontres, je me suis dit qu’aller dans un endroit très fréquenté serait une bonne idée. Je me suis donc rendue dans un endroit où j’allais régulièrement quand je voulais me faire sauter. Une boite de nuit nommée "Blue Temptation".

L’endroit était à peu près aussi facile d’accès, de par sa position géographique que part les conditions d’entrée, et brassait énormément d’argent par tout ce qui était proposé à l’intérieur. Par rapport à où on arrivait, le bar se situait directement à gauche et faisait tout le pan de mur, arborant des publicités pour leur alcool. Vers la droite se trouvait des coins un peu plus tranquilles, avec des tables et des chaises, dont une qui était squattée par une bande de copines ayant un peu trop bue et se faisant filmer entre elles. A l’étage au-dessus se trouvait la DJ, clairement visible avec sa tenue, qui faisait son travail avec un air très sérieux sur le visage. Même si personnellement, la musique ne m’intéressait pas. Tout au fond à droite se trouvait la scène, là où se déroulait un spectacle haut en couleur, avec toute la gigantesque piste devant elle. Par-ci par-là se trouvait des barres de pole dance, où les clients pouvaient déposer de l’argent de façon appréciable. Il y avait celles portant juste un string court à ficelle et ses pastie en bas, et celles avec des tenues comme la mienne, mais plus découpée à l’étage. Pour les personnes préférant danser et boire en haut ! Les serveuses quant à elle portaient une tenue violette relativement sexy.

J’étais à peine rentrée que je me trouvais déjà sur la piste, en train de danser de façon sexy, comme si je faisais du lap dance sur les gens autour de moi. Je cherchais délibérément le contact pour pouvoir faire une rencontre sérieuse. Vous savez, du genre où l’on danse, puis on parle, puis on couche pour reparler ensuite. Le sexe mélangé au social, c’est parfait !

2
Prélude / Ancienne esclave qui a la belle vie. (Validay)
« le: mercredi 08 juillet 2015, 14:15:37 »
Nom/Prénom/Surnom : Pipa... je crois que j'étais quelqu'un d'autre, avant, mais aujourd'hui, je suis tout-simplement Pipa.

Âge : Je ne suis plus très loin de la vingtaine à ce qu’il parait… Mes souvenirs remontent à mes quatorze ans

Sexe : Femme… Difficile de croire à autre chose en me voyant.

Race : Terranide-oiseau de type harpie.

Orientation sexuelle : Ce n’est pas comme si j’avais eu le choix dans ma vie… Mais je reste touche-à-tout

Description physique : Je suis une jeune femme ayant la moitié d’un corps d’oiseau. Je ne suis pas grande, mais pas petite également… Je suis donc dans la norme. Avant, j’étais dans l’âge adolescent, mais maintenant je suis plus proche d’être une adulte confirmée. Je possède de longs cheveux couleur miel souvent en désordre, mais j’y fais très attention. On m’a dit qu’ils étaient beaux, donc je les entretiens du mieux que je le peux… Alors que ça n’aurait pas été le cas avant. J’ai une poitrine assez forte ainsi qu’un fessier bien fourni et les aiment les regarder en général. Cela me donne une silhouette à la fois élancée et sexy. Mon visage qui était peu expressif a gagné en joie de vivre et en beauté… A ce qu’on me dit. J’ai également des yeux dorés magnifique.

Etant à moitié oiseau, je n’en possède pas que les plumes… Mes mains ainsi que mes pieds en font également les frais. Je possède des sortes d’écailles osseuses qui deviennent de plus en plus visible au fur et à mesure que l’on approche des pattes. Mes griffes sont limées de façon à ce que je ne fasse de mal à personne… J’aime beaucoup m’en occuper. Mes plumes sont de différentes couleurs. Celles qui se trouvent sur mes bras et qui partent en ailes sont de couleur rose bonbon et possèdent le même coté doux, tandis que celles qui surplombent ma queue sont davantage bleutée.

Je m’habille uniquement avec des body moulant… C’est pour mieux provoquer le désir chez les personnes qui m’entourent. Ils peuvent être plus ou moins ouverts, des fois ne cachant presque rien ou au contraire dissimulant tout. J’ai pris l’habitude d’en porter et je ne peux plus m’ne passer maintenant. Il m’arrive de porter des bas en tenue synthétique ou en tissu… Tout dépend mon envie du moment. Je possède également une barrette… Mais c’est la seule chose m’appartenant pour laquelle je me battrait a risque et péril. C’est un cadeau très cher à mes yeux même s’il ne vaut rien en pièces d’or.

Caractère : Je suis une fille qui fait très renfermée… Il faut dire que je marche très souvent la tête baissée suite à une vieille habitude. J’ai également tendance à garder les mains jointe derrière mon dos ou pendantes le long de mon torse. J’ai beaucoup perdu de cette timidité pourtant, mais je ne suis pas du genre à perdre mes habitudes. Je suis également peureuse… Un gros bruit peu facilement me faire sursauter ou l’apparition d’une créature inconnue. Je suis également peu bavarde, sachant que je n’ai pas souvent mon mot à dire et que mon vocabulaire est peu étoffé. Je ne suis pas très cultivée également car je ne connais que certaines bases et beaucoup de choses se rapportant au sexe. Néanmoins, ma culture augmente progressivement car je suis très observatrice… Autant du regard que de l’ouïe.  Tant mon regard que mes oreilles sont affutées.

Depuis que je suis avec mon maître actuel, certaines choses ont changée. Ma mine souvent triste ou timide d’autrefois est désormais bien plus expressive…. Jusqu’à devenir insolente à certains moments. Je ne chercherais jamais la bagarre, mais plutôt à provoquer moi-même le désir chez vous. Il m’arrive maintenant d’aller moi-même chercher des relations sexuelles… Alors qu’avant j’aurais été davantage passive de ce côté-là. J’ai également appris à réellement aimer ça et je me suis découverte une passion sur la frustration grâce à mon maitre.  Outre le sexe, j’aime également sourire et rire de certains petits plaisirs de la vie que je n’aurais jamais pu accéder autrefois. J’ai notamment un certain attrait pour l’art visuel et sonore telle que la peinture ou les chansons.  J’aime beaucoup la danse car je reste une danseuse… Même si avant c’était uniquement pour stimuler la libido des autres. Je danse gracieusement comme un oiseau libre au gré du vent… Car je suis un demi-oiseau qui ne sait pas voler.

Histoire : Je ne pourrais pas tout raconter car ma mémoire ne va pas très loin… J’étais avec un douloureux mal au crâne et couverte de chaîne comme n’importe quelle esclave vendue sur les étals de Nexus… Impuissante et ignorante, j’ai été recueillie par un homme qui n’avait que pour seul but de faire de moi un esclave sexuelle parfaite. Et il avait plutôt bien réussi. J’avais passé une année entière à apprendre les rudiments de base de la vie tout en débutant ce qui allait être mon métier… A considérer qu’être esclave est un métier. La seconde année se passa dans un harem pour perfectionner mes talents de prostituée et ce jusqu’à ce que je sois vendue pour la toute première fois. Je suis ensuite passée de maîtres en maitresses pour faire ce que j’avais à faire, quitte à être violentée. Jusqu’à ce que je le rencontre…

Cet homme m’avait acheté comme n’importe qui d’autre. A l’époque, je n’aurais jamais fait attention à son visage qui était bien plus doux que n’importe qui d’autre que j’ai connu… Pour ce n’était qu’un maître à servir jusqu’à ce que je sois revendue ou morte. J’ai été très surprise de voir qu’en réalité je m’étais profondément trompée à son sujet. Il ne m’a jamais frappée ni même jamais pénétrée avec son sexe. Par fois il me masturbait ou faisait des jeux pervers avec moi mais rien d’autre. Grâce à lui, j’ai eu une bien meilleure éducation et eut droit à mes premiers biens. J’avais ma propre pièce, mon propre lit et quelques petits bibelot ici et là. Il prenait soin de moi d’une façon qui m’était encore inconnue et j’en avais peur. Puis cette peur à laisser place à d’autres sentiments plus agréables… Jusqu’à en développer une certaine forme d’amour.

Depuis, je suis habituée à vivre avec lui et sa compagne. Il s’occupe de moi comme si j’étais de leur famille et j’essaie de leur rendre bien. Je ne suis plus vraiment comme avant et je ne veux pas perdre cette nouvelle vie… Je ne veux pas…

Situation de départ : J’ai été dressée pour savoir à peu près tout faire.

Autres : Je possède des ailes, mais je suis parfaitement incapable de voler avec… Même si par le passé j’avais abandonné l’idée de voler, depuis que je suis dans ma situation actuelle j’aimerais apprendre.

Ps : Je ne suis pas le joueur d’origine de Pipa qui a abandonné LGJ, mais quelqu’un ayant eu l’accord de son nouveau propriétaire pour faire une mise à jour du personnage et la jouer à sa place.

3
Terreaufair / Pas touche ! (Theorem)
« le: jeudi 24 avril 2014, 11:26:32 »
La liberté... Quelque chose que beaucoup ne connaissent pas ou très peu. Depuis quelques temps déjà, une demoiselle avait appris la signification de ce mot plus qu'elle ne l'aurait imaginé. A la fois recueillie et élevée par son seul maître, Theorem, elle avait beaucoup évolué dans sa personnalité et sa façon de vivre, bien que certains traits de personnalités restaient trop bien ancré en elle pour les faire bouger.
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Le réveil fut particulièrement difficile cette matinée là. Pipa dut surveiller son maître pendant plus de temps qu'elle ne l'aurait espéré et, à force de bouger partout, avait les muscles un peu tendus une fois à froid. De plus, les pratiques sexuelles de la veille n'étaient pas non plus de tout repos pour exciter ce petit gars plutôt étrange en apparence, mais parfaitement commun pour la demoiselle.

Après avoir traîné sans bouger pendant plusieurs minutes histoire de grappiller encore un peu de temps, Pipa décida de finalement se lever. Elle se frotta les yeux mollement, puis s'étira un grand coup avant de se donner un petit coup de fouet pour passer debout. Dehors il semblait faire toujours aussi chaud et humide, ce qui était parfait pour ce qui avait été prévu de faire. De son coté, le bonhomme flemmardais encore un peu. Elle avait donc le temps de se préparer un minimum avant de commencer sa journée pour de bon. Ni une ni deux, elle commença par user de ses griffes pour se peigner et virer les nœuds qui l'encerclait. La suite était plus cornélienne, le choix de sa tenue. Bon d'accord en réalité, elle n'avait pas beaucoup de choix vu le peu de variété qu'il y avait, mais bien choisir était quelque chose de crucial. Finalement, elle décida de prendre sa classique tenue noire une pièce ouverte un peu partout. Comme un maillot une pièce, mais en bien plus moulant et ouvert quoi.

Une fois prête, elle se tourna vers celui qui l'avait acheté et décida d'attendre qu'il réagisse... Le processus risquait d'être à la fois long et hasardeux et, bien qu'attendre était quelque chose qu’elle savait faire avec brio, ça ne lui plaisait pas tant que ça de devoir rester à rien faire après tout ce qu'il s'était passé il y a quelques heures. La harpie se leva et entreprit de ranger proprement ses affaires, plaçant là où il faut ce qu'il fallait laver plus tard dans la journée. Sauf que déjà bouger par la température extérieure lui donnais chaud, plus que d'habitude du moins. La température devait cette fois être supérieure aux moyennes saisonnières pour faire cet effet là. La sueur gagnait donc la blonde qui commençait à avoir la tenue plutôt moulante et ressentait une certaine excitation à sentir la tenue se tendre. Au final elle se tourna vers Theorem :


- Petit maître, c'est l'heure de vous lever

En se réveillant, il aurait une vue imprenable entre les jambes de la miss, avec un effet moulant en prime.

4
Vous nous quittez déjà ? / Mes absences et changements de rythme.
« le: mercredi 24 juillet 2013, 17:34:00 »
Bonjour, les membres ^^

Ce sujet sera là pour que j'annonce mes absences pour Rexia, La Meute de Kraks et Pipa, mes trois comptes. Pour le moment, je n'ai pas d'absence à déclarer, cependant j'annonce à tout-le-monde que dès demain, je vais changer les rythmes de mes rp's.

D'abord, je m'excuse pour ceux que je fais attendre actuellement, j'ai été vraiment très occupé dans la vraie vie, ces derniers jours, à-cause de différentes chose, je n'ai eu que peu de temps à accorder aux forums. Sachant cela et vu le nombre de sujet auxquels il me faut maintenant répondre, j'ai décidé de m'imposer un nouveau rythme : avant, je répondais à chaque sujet auquel je devais répondre, et je postais tout en même-temps le soir, afin de pouvoir me poser sans être obligé de rerépondre au même sujet auquel j'avais répondu avant d'en commencer un autre. De cette façon, cependant, je fais parfois attendre du monde... je suis très gourmande en rp's et j'avoues que j'ai du mal à m'arrêter de commencer de nouveaux sujets. J'ai donc décidé qu'à partir de maintenant, je ne ferais quotidiennement les réponses que d'un seul forum (deux si il y en a un où je n'ai pas beaucoup à jouer et que j'ai de l'inspiration). Rassurez-vous, mon rythme ne sera pas beaucoup relenti, je ne joues que sur trois forum différents ^^

Donc il est possible, selon le nombre de réponse que j'aurais à-faire, que je ne réponde à mes sujets sur ce forum qu'un soir sur deux ou trois... mais il est aussi possible que je réponde plusieurs soirs d'affilé si je n'ai pas beaucoup pas de réponse à faire sur mes autres forums qui sont bien moins actifs que celui-ci. Il est aussi possible que ça prenne plus de temps, selon ce que j'ai à faire dans la vraie vie, mais rassurez-vous, je me forcerais à poster au moins une fois ou deux par semaine, le dimanche si je n'ai pas pu avant. Je fais ce changement de rythme pour stresser un peu moins au niveau des jeux.

Voilà. J'espère que les personnes avec qui je joues verront ce message, autrement je les préviendrais par mp en cas de souci. Bonne soirée =)

EDIT : Ah, et je tiens également à signaler à ceux avec qui je joues via mp qu'ils ne s'inquiètent pas : je continuerais à jouer quotidiennement ainsi, mais je ne viendrais que pour les mp's, par pour les sujets.

5
Ville-Etat de Nexus / Le destin silencieux de l'oiseau [PV Silence]
« le: dimanche 07 juillet 2013, 14:59:19 »
Il faisait nuit, sur la partie de Terra où se trouvait la ville-état de Nexus, et dans la forêt qui entourait la ville, le silence nocturne n'était rompu que par le chant nuptiale des chauve-souris et par le cri du hibou en chasse. Le ciel était entièrement dégagé, et les étoiles et la pleine-lune faisaient baigner le monde de leur lueur argentée. Mais dans la zone où débute notre histoire, au sein-même de la forêt entourant la ville, dans les profondeurs de celle-ci, les arbres avaient une ramure si épaisse que les rayons de lune ne pouvaient pas les traverser. Dans cette partie de la forêt, les habitants nocturnes étaient généralement plongés dans un noir total... je dis bien généralement, car en cette nuit, une lueur dans le noir se faisait voir. C'était un feu de camp, se trouvant au milieu de tentes dressés, et près duquel dormait paisiblement une petite et fine forme qui respirait doucement. Il y avait très peu d'habitants de Nexus qui s'enfonçaient aussi loin dans les profondeurs de la forêt, à cause et terranides sauvages essayant d'échapper à l'esclavage, et des bêtes. Mais certains jeunes trop sûrs d'eux et des militaires en entrainement s'y risquaient, parfois.

Dans ce cas-là, c'était la seconde proposition qui était la bonne : un noble de la ville, chef-militaire accompli et prince de sa zone, était partis en Week End d'entraînement intensif avec sa petite armée personnelle, composée d'une centaine d'homme... pas grand-chose, mais suffisant pour donner la donne lorsqu'un noble supérieur à lui faisait appel à ses services. Ils étaient partis sur la direction de leur chef pour un Week End de survie dans la forêt, avec au programme randonnée, varappe, nage, entraînement au tir et à l’escrime et pas de nourriture et d'eau, il leur fallait trouver tout ce dont ils avaient besoins eux-même. Cependant, même sur Terra, il était parfois permis d'emporter un petit plaisir avec soit... le prince ne se séparait jamais, depuis qu'il l'avait acheté, de son esclave préférée, Pipa, la terranide-oiseau aux formes généreuses sans pour autant être ridiculement grosses. C'était elle qui restait près du feu, endormie à-même le sol. Un collier maintenu avec un cadenas était passé autour de son cou, et la relié à un poteau en bois planté au sol par une chaîne... c'était à se demander pourquoi le prince avait pris cette précaution, puisque Pipa n'était pas du genre à essayer de s'échapper.

La jeune fille n'avait pas droit à plus de considération qu'un animal, c'était pour ça qu'elle dormait dehors, à même la terre, le corps nu. Elle avait quand-même eut droit à une fine couverture qui la cachait et la protégeait du froid. L'esclave restait toujours au campement, lorsque les hommes partaient pour leurs entraînement, car il ne faudrait pas non-plus que sa présence les déconcentre... cependant, le soir, lorsqu'ils rentraient, elle était là pour détendre leurs muscles mis à rude épreuve. La pauvre petite créature était épuisée, après avoir passée la soirée à masser chacun de ces soldats par ordre d'importance, et avoir dansée pour eux jusqu'à ce que ce soit l'heure d'aller se coucher. Et pour cela, dormir sur la sol ne la dérangeait pas, du moment qu'on la laissait se reposer un peu... mais pourtant, cela ne l'empêcha pas se réveiller en sursaut lorsqu'elle entendit un bruit de branche qui se craque tout près d'elle.

Pipa cligna des yeux et regarda la pénombre autour d'elle... elle ne voyait que des tentes grises et n'entendait plus que les ronflements des hommes. Cependant, maintenant, elle sentait la peur monter en elle : ils l'avaient laissée ici, seule, à la merci des bêtes sauvages. Et si l'une d'elle venait ici pour la manger ? Réussirait-elle à crier assez fort pour réveiller les hommes, pour qu'ils viennent la sauver avant qu'il ne soit trop tard ? La terranide-oiseau se recroquevilla sous sa couverture, toute tremblante. Elle rampa alors un peu pour se rapprocher du feu... non-pas qu'elle avait froid, mais elle savait que les animaux avaient peur du feu, elle espérait être plus en sécurité ainsi. La tête posée sur les feuilles mortes, elle eut du mal à retrouver le sommeil... jusqu'à ce que des cris lui fasse comprendre que ce n'était pas une bête qui l'avait réveillée...

6
Les bas fonds / Dressée pour souffrir... [PV Liam]
« le: vendredi 05 juillet 2013, 18:16:08 »
Cela faisait maintenant plusieurs mois que Pipa s'était réveillée, un matin, dans une salle sombre, ignorant complètement où elle était, ce qu'elle était, et qui elle était... plusieurs mois qu'elle était entre les mains de deux frères dresseurs d'esclaves qui avaient utilisés tout leurs talents pour la soumettre. Et durant ces plusieurs mois, elle avait été dressée à faire... toute sortes de choses. Elle avait non-seulement été dressée à les faire, mais aussi éduquée pour qu'elle croit qu'elle n'existait que dans le but de faire ce genre de choses. Il n'était pas bien difficile, lorsqu'on effaçait la mémoire d'une personne pour qu'elle se retrouve comme au premier jour de son existence, de lui faire gober ce que l'on voulait. Chaque jour, la petite terranide-oiseau devait subir de nouvelles sévices, de nouvelles choses lui étaient inculqués, afin que d'ici quelques années, elle soit capable de se plier à toutes les exigences de tous les genres de clients... et chaque matin, elle se réveillait en se demandant ce qu'elle allait être contrainte de subir de nouveau...

Aujourd'hui était, justement, le début d'un dressage bien particulier... Pipa eut du mal, au début, à comprendre qu'elle était bien réveillée, car elle avait beau avoir ouvert les yeux, elle n'y voyait absolument rien, et elle ne ressentait pas le touché de la paillasse sur laquelle elle s'était endormie, la veille. Il lui fallut de longues minutes pour comprendre qu'elle était bel et bien réveillée, et que visiblement, elle ne se trouvait plus dans sa cellule... le temps que les drogues qu'on lui avait données ne laissent son esprit s'éclaircir, à vrai-dire. Elle sentit alors qu'elle était debout, maintenue avec les bras en-l'air, ses poignais attachés dans de froides menottes qui la suspendaient au plafond. Elle pouvait à-peine se tenir sur le sol sur la pointe des pieds, et quelque-chose lui couvrait les yeux, la plongeant complètement dans le noir. En essayant de bouger, elle entendit un cliquetis... c'était des chaînes qui la maintenaient au plafond. Elle essaya de parler, mais aucun son ne sortit de sa bouche... au lieu de ça, elle faillit s'étouffer en avalant sa salive. Elle était bâillonnée par une boule en cuir attachée autour de sa tête.

Couinant de terreur, Pipa tourna la tête de droite à gauche, bien que cela ne servait à rien. Un vent frai lui caressa la peau et la fit frissonner... elle se rendit alors compte qu'elle était entièrement nue, et le rouge lui monta aux joues... qu'est-ce que les vendeurs avaient encore inventés ? Elle essaya de cacher son intimité en croisant les genoux devant... mais, ne tenant alors plus que par les poignais, les chaines aux bords non-protégés lui firent mal, manquant de lui entailler la peau... elle dut donc se remettre sur la pointe des serres, s'offrant ainsi entièrement à ce qui l'attendait. Elle ne pouvait plus que patienter, le coeur battant, ignorant où elle était et ce qu'on allait lui faire... à l'extérieur de la pièce où elle se trouvait, elle entendit des voies. Elles étaient trop faibles pour qu'elle puisse comprendre que c'était l'un de ses maîtres qui parlait, et qui disait à un homme qu'elle ne connaissait pas :


-Je vous remercies de vous être dérangé, Monsieur Eckart. J'ai grandement entendu parlé de vos exploits, et je souhaitais faire appel à vos services. Voyez-vous, derrière cette porte se trouve Pipa, l'une de nos esclaves les plus prometteuses... mon frère à entièrement effacé sa mémoire et nous avons passé ces derniers mois à l'éduquer pour qu'elle devienne la parfaite esclave. Dans un sens, c'est un exploit, elle est devenu très docile... mais vous connaissez le genre humain, nous aimons toujours aller plus loin, et nous souhaiterions qu'elle puisse résister à toutes les sévices corporelles qu'un client pourrait souhaiter lui faire subir. Si vous pouviez lui faire subir... disons... quelques petites séances, afin qu'elle devienne résistante à la douleur, qu'elle ne se plaigne jamais. Bien-sûr, vous serez généreusement rémunéré pour vos services, et vous aurez libre accès à son corps, et à tout objet pouvant être utile pour l'une de vos séances. La seule restriction est que nous voudrions que vous ne l’abimiez pas, ou alors, faites en sorte que les traces puissent disparaître naturellement ou par magie. Voyez-vous, nous tenons vraiment à garder sa peau parfaite... c'est une magnifique créature et nous tenons à la garder intacte pour le jour de la vente.

7
Le marcher noir de Gotham City était ouvert, aujourd'hui... c'était un endroit où tous les filous de la ville pouvaient se retrouver dans le but de faire des affaires, que ce soit en vendant ou en achetant quelque-chose. Cet endroit était tranquille... enfin, tranquille, tout est relatif. Chaque fois qu'il était ouvert, il était bondé de mondes, des personnes de tous genres faisant partie de la pègre de Gotham, qui se bousculaient entre les échoppes des vendeurs qui proposaient de tout, de la drogue jusqu'aux armes blanches et à-feu en tout-genre, de la vente d'organes volés aux résidents d’hôtels jusqu'aux esclaves humains ou capturés dans l'univers de Terra. Disons plutôt que la soit-disant tranquillité dont on parlait sur le marcher noir était le fait qu'on pouvait y faire ses emplettes sans prendre le risque de se faire déranger par les forces de l'ordre. Le marcher noir était très bien caché, seul les plus grands filous et leurs sous-fifres connaissaient son existence et son emplacement. Bien-sûr, cela n'avait pas été fait sans que les organisateurs graissent quelques pattes, mais il était dit que même Batman ne connaissait pas cet endroit... si bien que les gents en profitaient, chaque fois qu'il était ouvert.

Sur le fond du marcher se tenait l'un de ceux qui attirait le plus de monde : allongé le long d'un grand mur, de nombreuses cages avaient étés installés, des cages où se tenaient des hommes musculeux, de fines femmes aux formes généreuses et même des enfants se serraient les uns contre les autres par groupe de deux ou trois dans de petites cages. Cette zone regroupaient les esclaves, dressés et vendus par deux frères assez connus dans la région. On pouvait y trouver des humains ou des terranides de toutes espèces, et tous étaient dressés pour bien des choses... travaux manuels, voir intellectuels, ou lorsqu'il s'agissait de retirer certaines tensions à leurs propriétaire. Installé devant un rideau qui cachait l'une des cages... signe que l'esclave qui se trouvait derrière était réservé à quelqu'un, qu'il le sache ou non... l'un des vendeurs observait la foule, attendant une personne en particulier. Et enfin, il le vit arriver...

Un monocle devant l’œil et une cigarette à la bouche qui dépassait de sous son long nez en forme de bec, l'homme était si petit qu'il ne l'aurait même pas vu, si il  n'avait pas été aussi grassouillet, et si il n'avait pas été flanqué de deux gorilles qui veillaient à sa sécurité. Lorsqu'il passa près de lui, le vendeur d'esclave se permit de se lever et de s'interposer sur son chemin...


-Mon cher Pingouin, commença-t-il à annoncer d'un ton jovial peut-être un peu trop forcé. C'est toujours un plaisir de vous...

L'un des musclés hommes-de-main du Pingouin le poussa violemment alors qu'il s'apprêtait à poser une main sur son épaule. Les deux hommes se mirent devant leur chef pour le protéger. Le vendeur, se rendant compte de son erreur, tendis les mains devant-lui pour calmer le jeu et continua :

-OK, OK, veuillez m'excuser, Monsieur Cobblepot, j'ai été un peu trop direct. Je voulais seulement accaparer une petite minute de votre temps si précieux. Il se trouve que j'ai mis un article de côté exprès pour vous... j'ai ouïe dire que vous appréciez les oiseaux. Alors s'il-vous-plais, accordez-moi seulement une minute...

Le vendeur se dépêcha de courir vers le rideau et de tirer dessus pour le faire tomber. Dans la cage qui apparue devant-eux, une femme se tenait recroquevillée sur elle-même, assise sur un peu de paille. Son corps à la peau blanche et brillante était couvert par de fins vêtements aux teintes orientales verts et roses qui cachaient à-peine la pointe de ses seins et son intimité. La fille ressemblait surtout à une très jeune humaine, mais elle possédait des attribues d'oiseau : deux ailes aux plumes roses partaient de chaque extrémités de ses coudes, ses mains comme ses pieds étaient remplacés par des serres aux teintes dorées, et une queue duveteuse blanche dépassait de sous ses longs cheveux blonds. Elle leva légèrement son regard de rapace, où il manquait cependant une certaine lueur, afin d'observer les nouveaux venus, mais garda la tête baissée en signe de soumission.

-Je t'en pris, mon oiseau des îles, dit le vendeur, salue nos invités.

La terranide oiseau obéit, se mettant à-quatre pattes et inclinant la tête bien bas, au point que son nez touchait la paille, en disant d'une petite voie aiguée :

-Bonjour, messeigneurs.

Et elle resta dans cette position tendis que son propriétaire se tournait vers le Pingouin en lui annonçant :

-Monsieur Cobblepot, je vous présente Pipa. C'est une terranide-oiseau capturée il y a trois ans... nous lui avons effacée la mémoire et l'avons dressée durant tout ce temps. Elle obéira absolument à tout les ordres de la personne qui l’achètera, et vous pouvez lui faire subir tout ce que vous désirez, elle ne se plaindra jamais. C'est une excellente danseuse et une masseuse hors-pair... et elle est aussi douée dans toutes sortes d'autres domaines, si vous voyez ce que je veux dire. Puisque c'est vous, je suis prêt à vous faire un prix... vous avez bien-sûr le droit d'aller tâter la marchandise avant de vous décider...

8
Les contrées du Chaos / Dance, petit oiseau ! [PV Shadow]
« le: mercredi 12 juin 2013, 21:35:27 »
Il était environ midi dans les contrées du Chaos, lorsqu'un groupe de cavalier, menée à-l'avant par un seigneur de haute-stature dans une armure dorée, et avec à ses côtés un porte-bannière au-dessus duquel flottait un aigle blanc perché sur la garde d'une épée, le tout sur un fond rouge, traversa un territoire de forêt très dense où, malgré la densité de la végétation, ils étaient parfaitement visibles à cause de leurs armures qui brillaient sous la rayons de soleil qui arrivaient à les atteindre... ils ne le savaient pas encore, mais ils ne faisaient pas que traverser des bois humides, pleins de moustiques et qui puaient la moisissure et la déjection animal, et qui mettait leurs nerfs à fleur de pot : ils traversaient également le territoire de chasse d'un groupe de guerrière qu'ils n'allaient, malheureusement pour eux, pas tarder à croiser.

Malgré l'agacement palpable qui pouvait se lire sur le visage des hommes, que la chaleur n'arrangeait rien, en-plus, la vingtaine de guerriers qui suivaient leur seigneur étaient silencieux et en ordre... ils avaient été particulièrement bien entraînés, et Amaran, le seigneur de la maison de Preskor de la ville-capitale de Terra, se devait d'arriver avec une escorte irréprochable... après-tout, il était invité à la célébration du dix-huitième anniversaire du prince du pays du nord, un pays allié au sien, et qui plus est un ami d'enfance. Il se devait d'être irréprochable... le roi du nord était un homme très susceptible, le moindre faux-pas pouvait mener au conflit, puis à la guerre, avec lui, tout-le-monde le savait. Mis-à-part le seigneur, son porte-drapeau et sa cavalerie, la troupe comptait un dernier membre pour le moins surprenant se trouvant au-fond de la file, tirée par trois mules... on allait pas non-plus gaspiller de beaux chevaux pour elle.

Il s'agissait d'une étrange terranide, mi-femme, mi-oiseau, avec de belles plumes roses qu'elle faisait voleter autour d'elle. Le seigneur Amaran avait fait son acquisition au marcher trois semaines plus tôt, afin qu'elle aille embellir son harem d'esclaves personnel... mais en y réfléchissant bien, il s'était dit qu'une terranide aussi belle et aussi rare mettrait le prince et le père dans de bonnes dispositions. Ainsi, enfermée dans une grande cage, Pipa voyageait depuis trois jours avec ces hommes, dormant sur le sol dur de sa cage en bois. Alors bien-sûr, elle était un cadeau, interdiction de la toucher ou de l'abimer... mais les hommes avaient reçus l'autorisation de la faire danser pour eux, ceux à-quoi ils ne se privaient pas. Cela faisait une heure que l'esclave se déhanchait dans sa cage, tournoyant sur elle-même en prenant des postures aguicheuse sous ses fins vêtement qui cachaient à-peine ses seins et son intimité. La chaleur l'avait mise en sueur, et si elle cherchait à s'arrêter pour se reposer, elle se recevait un coup de la hampe d'une lance dans les fesses pour lui donner un peu d'entrain...

Mais même une esclave aussi bien dressée, docile et obéissante que Pipa ne pouvait tout supporter, non-plus... il faisait vraiment trop chaud ! Elle finit par s’écrouler sur le côté, son visage couvert de ses mains... un seau d'eau tiède lui fut alors jeté dessus, mais ce coup-ci, ce n'était pas pour la forcer à se relever, mais pour la rafraichir... les soldats savaient qu'ils ne devaient pas l'abimer, et ils comprenaient que si ils allaient trop loin, elle ne s'en sortirait pas indemne. Et donc, après cette longue danse, ils la laissèrent se reposer. Recroquevillée sur elle-même, les genoux contre le nombril, Pipa ouvrit un œil entre ses mèches blondes... elle remarqua que l'un des six hommes qui entouraient sa cage avait un sourire en coin en l'observant... l'humidité avait rendu ses habits presque transparents. Oh, mais si il voulait se rincer l’œil, elle s'en fichait bien. Pipa croisa les serres qui avaient prises la place ses mains et posa la tête dessus, s'endormant doucement en boule, au rythme calme des sabots des chevaux... ce doux bruit ne dura pas bien longtemps...

Les chevaux hennirent et les hommes hurlèrent des mots à propos d'attaque et de formation... elle se redressa vivement, à genoux, le temps de voir l'homme qui l'avait observée un instant plus-tôt tomber de sa monture, une flèche dans l’œil. Une pluie de ces traits mortels tombaient sur la troupe... par chance pour elle, elle était protégée, les flèches se plantaient sur le toit de sa cage sans la blesser... cependant, elle ferma quand-même les yeux et se couvrit la tête en hurlant de terreur...

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Dortoirs et douches / "Bonsoir, monseigneur..." [Dortoir d'Arthur Wolf]
« le: mardi 04 juin 2013, 20:22:59 »
Un portail dimensionnel, venu tout-droit du monde de Terra, s'ouvrit dans la chambre du jeune Arthur Wolf, au lycée de Seikusu, alors qu'on était en-plein milieu de l'après-midi, et que quasiment tout-le-monde était en cour. Et pour ceux qui n'y étaient pas, ils étaient soit en retenu, soit en soutien, soit à vaquer à leurs occupations dans la cour ou dans la ville. A travers ce portail passa un homme vêtu d'une robe de cérémonie noire couverte d'étranges symboles dorés, une capuche cachant son visage, et qui tirait par une laisse, attachée à un collier autour de son cou, une jeune terranide-harpie, au visage fin, au regard bleu éteint, aux longs cheveux blonds, aux ailes couvertes de plumes roses et à la queue blanche. La fille suivait l'homme en gardant le visage baissé, visiblement entièrement soumise à la personne qui la retenait. Elle n'était habillée que d'un unique vêtement à une pièce, qui courrait le long de ses jambes, couvrait son entre-jambe, caché la pointe de ses seins mais laissé son ventre à-nu. Tendis qu'elle avançait, elle gardait les mains jointes au-niveau de son nombril et les jambes serrées... visiblement, elle était très timide.

Ses yeux bougeaient continuellement, bien que son visage restait immobile et impassible, tendis qu'elle observait la pièce dans laquelle le prêtre sous les ordres de son maître les avait fais venir... c'était une chambre simple qui ne semblait faite que d'une pièce, avec un bureau, un lit, et toutes sortes d'objets dont avait besoin un étudiant, que ce soit pour son travail ou pour son plaisir personnel. La première chose qu'elle se dit, c'était que cet endroit était drôlement petit...


-Va t'installer sur le lit ! Ordonna l'homme d'un ton brusque en lâchant la laisse, tirant l'esclave de sa rêverie.

Elle obéit et alla s'agenouiller sur le matelas, les jambes légèrement écartés et les mains posées en-avant pour ne pas tomber. Mh... la première-chose qu'elle se dit, c'était que ce lit était plutôt confortable... rien à voir avec la paillasse en forme de nid d'oiseau qui avait été installé dans sa cellule, dans le but de faire un minimum de mise-en-scène lorsqu'on venait la "visiter". Elle observa le prêtre... l'avait-il mené ici dans le but de jouer avec elle ? Pourtant, l'homme ne sembla pas le moins du monde intéressé... il retira alors un papier de sa manche et le posa sur le lit, près d'elle. Pipa baissa les yeux et lut... c'était une lettre qui disait :


"Cher monsieur Wolf,
Suite au grand service que vous avez pu nous fournir à moi et à ma maison durant votre séjour chez nous, et dans le but de vous en remercier, je vous fais parvenir Pipa, l'une de mes plus dociles esclaves. Elle obéira à chacun de vos ordres durant le temps où elle sera à votre service, vous pouvez vous servir d'elle comme bon vous semble... même pour réaliser certains fantasmes. Elle est capable de tout recevoir et ne se plaindra jamais. Je vous demande juste, durant son séjour, de bien la nourrir. Elle ne mange que de la viande crue.
Je vous la prête pour une semaine, puis l'un de mes serviteurs viendra la rechercher. En espérant que vous vous amuserez bien avec elle, je vous pris de recevoir, monsieur Wolf, mes salutations les plus distingués.
Lord Rodriguez, seigneur de la maison de l'étoile blanche de Terra."

Ah, c'était donc cela... Pipa avait été prêtée à un homme. Elle ne savait pas ce qu'il avait fait, mais il fallait que son maître l'apprécie vraiment pour la lui prêter ainsi, gratuitement. La jeune esclave releva la tête vers l'homme qui l'avait emmené ici... sans lui accorder un regard, il repassa par le passage et celui-ci disparu. Pipa soupira... elle allait devoir passer la semaine avec un homme qu'elle ne connaissait pas. Elle espérait que ce ne serait pas quelqu'un de violent. Tournant les yeux vers la porte de la pièce, elle attendit, calme et silencieuse, l'arrivée de son maître temporaire... il allait surement être surpris de la trouver ici.

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Le coin du chalant / "Que puis-je pour vous, monseigneur ?"
« le: dimanche 02 juin 2013, 13:30:07 »
Sujet du topic => Hentai ou social, selon ce que vous voulez. Si vous voulez du hentai, sachez que je suis ouverte à tout... cela peut-être un sujet calme et gentil, comme un sujet violent, voir même du scato, c'est selon vos désirs. Sachez simplement que Pipa sera toujours soumise et recevra tout sans se plaindre ni se défendre.

Nombre de participants=> 2 à 4 par sujet.

Trame=> Pipa étant une esclave, avant qu'elle ne vous appartienne, vous devrez soit l'acheter, soit la voler. Il est cependant possible de commencer un sujet sans faire de sujet d'aquisition, en expliquant simplement au début comme elle est entré en votre possession. Pour les trames socials, vous pouvez aussi tout-simplement la rencontrer et discuter avec elle. Les possibilités étant vériés et n'ayant pas beaucoup d'inspiration pour imaginer des trames, je suis ouverte à toute proposition que vous pourrez me faire.

Qualité de post=> Peu-importe, je m'adapterais à la personne que j'aurais en-face de moi.

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Le petit matin se levait à-peine sur la ville-état de Nexus, au fin-fond des grandes ruelles sombres fréquentées par les loubards et parfois quelques personnes importantes, mais malhonnêtes, tel que les politiciens véreux... mais déjà, ces rues étaient bondés de monde. Pour ce genre de rassemblement, il valait mieux commencer très tôt, et finir tout-aussi tôt... toutes ces personnes seraient partis à midi, si tout ce passait bien. Vous me direz-donc, qu'est-ce qu'il y avait de si intéressant dans les bas-fonds de la ville pour qu'une telle foule, comptant en plus quelques personnes riches, importantes et influentes parmi-eux, se soit rassemblaient ? C'était bien simple : le marcher noir avait ouvert ses portes, et contrairement au marcher normal, dans un marcher noir, on était certain de trouver absolument tout ce qu'on voulait, et à des prix cassés.

Ici et là, on pouvait donc trouver des stands qui présentaient aux acheteurs potentiels des produits rares, dangereux, voir carrément interdit sur Terra. Des fruits exotiques aux drogues les plus puissantes, en passant par les armes surpuissantes ou biologiques et par les poisons les plus foudroyant, il était possible pour tous, consommateurs, assassins, personnes cherchant les plaisir interdits et inavouables, de se procurer tout ce qu'ils souhaités, ici... et temps que la police ne venait pas fourrer son nez dans le coin... ils y étaient généralement encouragés par de généreux pots-de-vin...  les gents y étaient tranquilles pour faire leurs emplettes. Personne ne demandait votre identité, et si on la connaissait, on se taisait, car nous-même n'avions pas vraiment à être fier de notre présence ici.

De tous les stands présents, celui qui attirait le plus de monde, cependant, était celui qui se trouvait tout-au-fond... il était tenu par deux frères, Marcus et Flint, qui avaient une très bonne réputation dans la région, car leur marchandise était toujours de très bonne qualité... ces deux hommes capturaient, dressaient, et vendaient des esclaves. Ils avaient des techniques de dressages bien particulières, certains disaient qu'ils utilisaient la magie ou l'alchimie pour effacer la mémoire de leur marchandise... c'était une rumeur vraie, cependant ce n'était que des esclaves. Tous les acheteurs se fichaient de comment le dressage que ces êtres inférieurs recevaient se passait, du moment qu'à l'achat, ils se montraient soumis et obéissants.

Sur une tribune en bois montée à la va-vite, et devant une foule de spectateurs visiblement surexcités, se pressaient donc les uns après les autres toutes sortes d'êtres enchaînés par les chevilles et les poignées, et en petite tenu. Certains étaient vendus pour le travail et la maintenance... d'autres pour le plaisir. On y trouvait des femmes, des hommes, et toutes sortes de terranides et autres créatures différentes. Chaque nouvelle esclave partait tiré par une laisse par son nouveau maître... et bientôt, ce fut au tour d'une créature mi-femme, mi-oiseau d'être présentée. Les plumes roses de ses ailes, sa queue blanche et sa longue chevelure blonde dansant autour d'elle à chacun de ses pas, elle monta sur la tribune lorsque les vendeurs l'appelèrent et se plaça face à la foule... elle était impressionnée par autant de monde.

Pipa se tenait droite, mais avait la tête baissée et le regard vide, dans une posture parfaitement soumise, ne relevant les yeux que lorsqu'on s'adressait à elle. Sa tenu cachait son entre-jambe, ses cuisses et la pointe de ses seins... mais le reste de son corps était à-nu, au milieu de cette ruelle froide. Elle avait les serres qui remplaçaient ses mains croisées au niveau de son nombril, et celles de ses pieds serrées l'une contre l'autre, en signe de timidité. Comme pour les autres, elle avait des chaînes autour des poignées et des chevilles, et un collier au cou où pendait une laisse... tout-cela était inutile, Pipa n'était pas le genre d'esclave à essayer de s'échapper... mais les vendeurs savaient qu'une preuve de soumission supplémentaire plaisait toujours aux clients.

Flint attrapa l'aile droite de Pipa et la déplia devant les spectateurs... celle-ci réprima une grimace, car elle avait horreur qu'on force le déplie de ses ailes... et commença à annoncer :


-Notre prochain article se nomme Pipa, le petit oiseau des îles, une magnifique terranide-harpie. Comme vous pouvez le voir, elle possède un corps parfait, sans cicatrice ni marque. Regardez-moi la beauté et la douceur de ses plumes... parfaites pour exercer toutes sortes de "massages", ou même pour faire la poussière si vous voulez l'utiliser comme domestique. Nous lui avons effacé sa mémoire avant de commencer à la dompter, elle ne connait que la servitude... elle sera une esclave très docile, très obéissante, et surtout particulièrement discrète et silencieuse. Vous pourrez absolument lui faire subir tout ce que vous voulez, elle se laissera faire, ne se plaindra pas, et vous en remerciera, même. Les enchères commencent à 2000 pièces d'or, mes amis... alors à vous de jouer, maintenant ! Bien-sûr, après l'achat, vous avez trois jours pour venir rendre l'article si vous n'êtes pas satisfait...

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Dictature d'Ashnard / Achat d'un bel oiseau [PV Nova]
« le: samedi 01 juin 2013, 18:54:44 »
Ce jour-là, sur la place du marcher d'Ashnard, les nobles et autres habitants ayant un peu de monais en poche... tout-du-moins assez pour acheter ce genre paticulier de marchandise... de la ville étaient amassaient en une foule particulièrement bavarde et bruyante devant un immense chapiteau fait d'un tissus rayé rouge et jaune... non, ce n'était pas un cirque, mais un duo de vendeurs d'esclaves particulièrement appréciés qui venaient de faire escale dans la cité. Tout ceux qui avaient des esclaves chez eux, que ce soit pour faire différents travaux ou se charger de satisfaire les pulsions de leur maître, attendaient chaque année la visite des frères Flint et Marcus, car ils avaient des techniques de dressage qu'on ne trouvait nul-part ailleurs, et leur marchandise était toujours particulièrement obéissante. Selon les rumeurs, ils se servaient d'alchimie et de magie pour apprendre aux esclaves comment il fallait se tenir, et comment obéir... la plupart d'entre-eux étaient pris dès la naissance, et ceux capturés étaient conditionnés, leur mémoire était manipulée, pour qu'ils deviennent le parfait petits chienchiens à leur maîmaître. Ces esclaves étaient de qualité, et pour certaines dames, en posséder un était même devenu un phénomène de mode. Enfin, lorsque les cloches de la ville sonnèrent neuf heures, les pans du chapiteau s'écartèrent, et la foule pénétra à l'intérieur.

Il était vrai que l'étalage des deux frères était impressionnant... des dizaines de cages avec chacune en elle un esclave, des hommes, des femmes, et toutes sortes de créatures venant des différents mondes, étaient alignées aux bords de grands chemins aménagés spécialement pour les visiteurs, afin qu'ils puissent marcher et regarder la marchandise sans se gêner. Un autre point fort des deux frères, c'était leur goût prononcé pour la mise en scène... chaque esclave avait une cage différente, selon ses compétences ou sa physionomie, qui mettait ses attribues en-avant... on pouvait donc, par exemple, voir des Terranide enfermés dans des cages dont la forme était en correspondance avec leurs attribues animales. Les canins avaient des cages ressemblant à des niches, les félins à des paniers. Devant chaque cage, une pancarte était planté, avec marquée dessus le nom de son occupant ainsi que ses particularités. Les deux frères Marcus et Flint étaient là, marchant dans la foule, répondant à des questions, offrant des conseils ou prenant les achats.

Vers le milieu du chapiteau se trouvait une cage particulière : elle n'était faite que de barreaux qui se rassemblait en pointe en son sommet, à la manière d'une cloche. A seulement quelques centimètres de hauteur par-raport au sol, une barre en bois traversait la cage. A regarder de plus près, la cage ressemblait à celle d'un oiseau... ce qui allait parfaitement à son occupante, qui semblait être le croisement entre une jeune-fille et un rapace, avec son doux visage aux longs cheveux blonds, ses yeux de saphir vifs mais vides d'expression, ainsi que ses ailes aux plumes roses qui partaient de ses coudes, sa queue blanche qui restait immobile en-lair et ses serres jaunes qui remplaçaient ses mains et ses pieds. La femelle-terranide se tenait recroquevillée, les coudes le long des hanche, perchée sur la barre... ainsi, elle ressemblait à un oiseau posé sur une branche. Elle était habillée par une sorte de combinaison noire en une seule-pièce, faite de bas qui recouvraient ses jambes en laissant ses serres nues, qui passait sur son corps en cachant la pointe de ses seins, mais laissant son ventre à-nu, et qui se fermait autour de son cou. Un anneau y été aménagé comme pour y attacher une laisse. Une chaîne, accrochée au sol de sa cage, lui entourait la cheville... chose inutile, soit dit-en passant, car elle ne pouvait pas s'échapper. Mais les vendeurs avaient pensés qu'elle attirerait plus de monde avec un petit signe de soumission supplémentaire.

Mis à part un petit frémissement de plumes de temps-en-temps, la jeune fille ne bougeait que ses yeux qui suivaient les pieds des gents qui passaient devant sa cage. Autrement, elle restait complètement immobile, la tête baissée, dans une position soumise et craintive. Devant sa cage si particulière, l’écriteau devant lequel les acheteurs potentiels s'arrêtaient disait :


PIPA
Esclave Terranide-Oiseau - Harpie.
Mémoire effacée avant le début du dressage, ne connait que la servitude.
Obéissante et silencieuse, très douée pour toute sorte d'acte sexuel, peut supporter tout et n'importe-quoi.
Pour plus d'information, veuillez vous adresser à un vendeur.
Possibilité d'essayer l'article avant achat.

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Prélude / A-plumes, ma belle ! [Validée]
« le: jeudi 30 mai 2013, 16:07:22 »
Nom/Prénom/Surnom : Pipa... je crois que j'étais quelqu'un d'autre, avant, mais aujourd'hui, je suis tout-simplement Pipa.

Âge : Il parait que j'ai dix-sept ans... pourtant, mes souvenirs ne dépassent pas les trois dernières années.

Sexe : Chienne ? C'est comme-ça qu'on m'a appelait toute ma vie... ah non, oui, c'est vrai : je suis une femme.

Race : Terranide-oiseau de type harpie.

Orientation sexuelle : Qu'est-ce qu'une orientation sexuelle ? Je connais le mot "sexuelle", mais pas orientation. Préférence ? Je ne sais pas... on m'a appris à satisfaire les désirs du maître, de la maîtresse, des clients... de tout ceux qui viendront me donner des ordres et réclamer mon talent. On peut dire qu'on peut me faire toucher à tout, j'obéirais.

Description physique : Je suis la fusion parfaite entre une maginfique jeune-femme au physique d'adolescente et un oiseau... de ce fait, mon corps à pris les traits d'un être mince et particulièrement agile. Mes courbes gracieuses semblent être faites pour les déplacement rapide et silencieux... bien que dans ce cas-ci, elles me servent surtout à danser de la manière la plus délicate et la plus séduisante possible, dont le but est d'exiter la libido du plus coincé des clients. Mon corps mince et élancé me donne l'apparence d'un être fragile, d'une adolescente que le moindre souffle de vent pourrait briser en mille morceau... et cela est mi en-avant par un visage enfantin qui garde presque toujours une expression timide et soumise. Mon petit nez et ma bouche finement taillé sur ma peau blanche et lice sont surmontés par deux yeux bleus brillants comme comme deux saphirs, ayant cependant perdus toute lueur d'espoir ou de sauvagerie au fil de mon dressage parmi les autres esclaves. Mes iris sont perçants comme ceux d'un rapace, me permettant de remarquer chaque détail dans le paysage qui m'entoure, ou sur les gents. Une longue crinière de cheveux couleur de miel entour ma tête et me descendent en cascade jusqu'au bas du dos, où ils rejoignent une queue duveteuse faite de plumes blanches telles celles des cygnes. Mes bras, mes jambes, mon mains et mes pieds ont été remplacés par une peau dure couleur dorée et par quatre serres. Les griffes au bout de celle-ci ont été limés et arrondis, de façon assez fines afin de ne pas altérer la beauté sauvage qui est la mienne. Sa ne se voit que si on y fait attention, mais cela les rend ainsi moins tranchantes et moins dangereuses. Partant de chacun de mes coudes, tel des élongations de mes bras, sortent deux ailes aux plumes roses bonbons, aussi douce que le poil d'un petit chaton. Lorsque je marche, elles se déplacentautour de moi à la manière de deux rubans, en suivant l'allure de mes bras. De façon générale, en réalité, chacun de mes déplacement ressemble à une danse. Lorsque je suis sur mes pieds, je marche généralement sur la pointe des serres,  autant par reflex naturel que parce que ceux qui m'ont dressés disaient que ça me rendait plus élégante. Mon allure générale et mes couleurs douces me donnent un côté exotique faisant penser aux oiseaux des terres tropicales... un détail que les maîtres apprécient généralement, chez-moi.

Caractère : La première chose que l'on se dit, en me voyant, c'est "tien, ce que cette fille à l'air timide", car j'ai toujours l'habitude de garder la tête baissée, les mains jointes et de rester silencieuse... c'est surtout la posture soumise que j'adopte généralement, ayant appris très vite que regarder les "gents libres" droit dans les yeux était malpoli... mais effectivement, je suis d'un naturel très timide et craintif. Je crains même les personnes que je connais, et je préfère généralement rester dans mon coin, éviter les altercations temps que personne ne fait appel à mes services. Calme et silencieuse, beaucoup de personnes pensent que je suis muette... en réalité, je ne parlerais jamais par moi-même, car je n'ai jamais rien à dire... je me contente de répondre quand on me parle, d'être sage, et d'obéir. Je garde toujours mes pensées pour-moi, ce n'est pas de ma bouche que vous entendrez des répliques, des plaintes, des sarcasmes... rien de plus que quelques gémissement et des paroles qu'un esclave se doit de prononcer de temps-en-temps à son maître. Pourtant, j'ai l'esprit vif, je remarque beaucoup de détails que je ne devrais pas voir et j’apprends souvent des secrets que je ne devrais pas connaître grâce à mon ouïe fine et à mes yeux perçants... mais je n'en parle jamais, je me contente d'en discuter avec ma propre tête. Naïve, je crois généralement toujours tout ce qu'on me dit, car je décrouvre toujours un le monde... il existe encore beaucoups de mots que je ne comprend pas. D'un caractère enfantin, je me suis créé toute sorte d'amie imaginaire avec qui je parle par pensée... ils sont toujours là, me soutiennent, me rassurent, je discute avec eux par la pensée, personne ne sais qu'ils sont là, personne ne peut les voir ni les entendre, et ils sont surement la seule chose que personne ne pourra me retirer... oui, vous pouvez appeler ça du "dédoublement de personnalité", si vous le souhaitez. Esclave docile, je suis en mesure de supporter toutes paroles, tout traitement... j'ai eu l'occasion de m'entraîner durant les trois années de ma captivité parmi les dresseurs d’esclaves à tout recevoir, en me sentant même contente de le recevoir... ou au moins en ayant l'air d'être contente. Je ferais toujours tout ce que vous me demanderez, sans me plaindre, sans supplier... je pleurnicherais peut-être un peu si vous êtes violent, mais vous n'entendrez pas plus de réplique que ça de ma bouche.

Histoire : Je me sentais vraiment étrange, ce jour-là... engourdit, j'avais mal à la tête, ainsi que partout sur le reste du corps... mais surtout à la tête. C'était comme si mon crane était devenu trop petit pour mon cerveau, que celui-ci se faisait presser comme une orange. J'ignorais où j'étais, et ce que je faisais là... d'ailleurs, j'ignorais ce que j'étais, et quel était mon nom. J'ouvris lentement les yeux... une lumière blanche me fit mal, donc je les refermais rapidement. Il fallut que j'attende un court instant que les larmes humidifient mes yeux, avant que je puisse totalement les ouvrir, et que je puisse regarder autour de moi. Cette puissante lumière qui m'avait aveuglé n'était autre que la flamme d'une bougie posée près de moi... lorsque j'avais ouvert les yeux, cette lueur m'avait pourtant paru si puissante. Perdue et encore à moitié endormie, je tentais de me redresser... un bruit de chaînes se fit entendre et je sentis que quelque-chose me retenait. Mon cou, mes mains et mes jambes étaient entourés par d'épais rubans de cuir, et une chaîne passé à travers un anneau passait à chacune d'entre-elle et me raccroché au sol. Mes pieds étaient attachés entre-eux et mes mains étaient liés dans mon dos... je fus seulement capable de me mettre à-genoux.

Étrange... je savais ce qu'étaient des chaînes, une bougie, une flamme... pourtant je n'arrivais pas à me rappeler de ce que j'étais, ni de mon nom. Je regardais longuement autour de moi. J'étais enfermé dans une salle sombre sans fenêtre... je remarqua alors les ailes couvertes de plumes roses de chaque côté de mon corps. Etais-je une sorte d'oiseau ? Il y eut un bruit de serrure qui me fit sursauter, et je me tourna vers une porte en-train de s'ouvrir. Un homme corpulent, couvert avec un tablier taché, s'approcha de moi avec une lanterne. Il s'agenouilla devant-moi et me saisit le menton, me forçant à tourner la tête de droite à gauche, m'observant sous tout les angles. J’ouvris la bouche pour protester, mais seul un sifflement aigu sortit de ma gorge en sortit... je ne savais plus parler... mais avais-je déjà su le faire, à un moment ou à un autre ?

L'homme se mit alors à me sourire avec ses chicots fatigués... je ne savais pas qui il était, mais il me faisait déjà peur... et me demanda :

-Est-ce que tu comprends ce que je dis ?

Je le regarda avec de grands yeux surpris... oui, je comprenais ce qu'il me disait, mais je ne savais pas comment le lui signaler. Il me donna la solution :

-Bouge la tête de haut-en-bas quand tu veux dire "oui".

Ce que je fis. L'homme parut satisfait et continua... son haleine sentait l'oignon et me faisait monter les larmes aux yeux..

-Parfait. Connais-tu ton nom ? Sais-tu qui tu es ? D'où tu viens ?

Ce coup-ci, je ne fit pas de signe de la tête... car non, tout-cela, je ne le savais pas, et je ne savais pas comment dire "non". La satisfaction de l'homme sembla monter à son comble. Il me lâcha, se redressa et resta devant-moi, me regardant de haut.

-Parfait ! S'exclama-t-il : le petit breuvage de Marcus à eu l'effet espéré. Dorénavant, sache, mon petit oiseau des îles, que ton nom sera Pipa.

L'homme trifouilla quelque-chose sur son pantalon et en fit sortir une longue chose flasque et malodorante. Dégoûté, je voulus m'en éloigner en sautillant sur mes genoux... mais il m'attrapa par les cheveux et me força à plaquer mon visage dessus.

-Ceci est un sexe d'homme, continua-t-il, et ce sera une chose qui aura beaucoup d'importance durant le reste de ta vie. Ton but doit être de satisfaire l'homme à-qui le sexe appartient. Ton dressage commence maintenant, et avec moi... maintenant, ouvre grand la bouche. Ce que je vais te faire faire s'appel une "pipe".

Et c'est ainsi que je commença mon apprentissage en-temps qu'esclave sexuel. J'appris très vite les noms des deux marchands d'esclave à qui j'appartenais... ils se nommaient Flint et Marcus, deux frères qui travaillaient ensemble en parfaite collaboration. Flint s’occupait de dénicher et de ramener des esclaves... et Marcus, doué en alchimie, s'occupait de les préparer au dressage et à la vente. Il avait créé tout sorte de potion pour les aider dans leur tâche, dont celle qu'il m'avait fait prendre avant que je ne me réveille dans cette vie : un breuvage qui avait effacé chacun des souvenirs de ma vie, ne me laissant qu'assez de mémoire pour savoir comment respirer et donner un nom sur les choses que je voyait. Cette potion m'avais tout-simplement fait perdre mon identité. Les deux frères avaient une très bonne réputation, grâce à leur technique. J'ignore qui j'étais avant qu'ils ne me capturent... mais cette personne est aujourd'hui morte, remplacée par moi, l'oiseau des îles soumis aux humains.

La première année de ma vie de servitude consista à me réenseigner les bases des choses de la vie... en outre, réapprendre à parler plus ou moins convenablement, se contentant cependant de ne m'enseigner que les mots les plus banals que quelqu'un dans ma situation a à prononcer. Je dus également réapprendre à marcher, à me nourrir, et à faire d'autres choses dont j'aurais besoin. Les maîtres se montrèrent patient... enfin, c'est ce qu'il me sembla, bien qu'ils me frappais souvent car ils trouvaient que je n'apprenais pas certaines choses assez vite... cependant, ils ne m'ont jamais vraiment abimés, ni tué... couverte de cicatrice ou morte, je perdrais beaucoup de valeur. Et, sur eux, je dus apprendre les rudiments de mon futur "métier". Ils n'eurent pas vraiment de mal à me briser et à m'apprivoiser... j'avais à l'époque autant d'esprit qu'un nouveau né, et lorsqu'on prend un animal très tôt, on peut lui enseigner tout ce qu'on veut. J'appris donc que faire plaisir et faire du bien aux autres, c'était bien, me taire et ne parler que lorsqu'on s'adressait à moi, c'était bien... répliquer, me rebeller, pleurer, ou rendre les coups, c'était mal. On ne mort pas la main qui nous donne à manger, ni le sexe dont on doit s'occuper... on ne mord pas, tout-simplement. Ils m'apprirent à me montrer reconnaissante lorsque je recevais une récompense, quel qu'elle soit, et à m'excuser pour ma faute, que je la comprenne ou non, lorsque j'étais puni. Ils s'occupèrent de moi jusqu'à ce que je n'ai pas plus d'esprit qu'un chien bien dompté.

Les deux dernières années furent consacrées à parfaire mon art... les esclavagistes me louèrent à un harem... dans quel but ? Que j'apprenne. Durant deux années, je fus offerte quotidiennement à toutes sortes de personnes, de créatures, qui venaient ici afin de prendre un peu de bon temps. Et je vécu toutes les sortes de fantasmes et de sévices sexuels possibles et imaginables. J'ai appris qu'il était de mon devoir, et dans mon intérêt, de tout accepté. Trois jours plus tôt d'aujourd'hui, alors que j'attendais sur mon perchoir mon prochain client, je dus étonnée de voir revenir les hommes qui m'avaient dressés...

-Nous venons te chercher, mon oiseau des îles, dit Flint avec un grand sourire. Tu es prête, et le grand-jour approche pour toi : il est temps que tu nous rapportes le fruit de notre labeur, et que tu devienne l'objet de fantasme d'un maître ou d'une maîtresse. Tu es contente ?

Je ne savais pas si j'étais contente ou pas... mais j'avais peur, ça, c'était certain. Cependant, ils m'avaient appris à toujours dire "oui", alors je hocha la tête de bas-ne-haut.

-Parfait ! Maintenant, descend de là, et toi, Marcus, va chercher sa cage...

Situation de départ : Esclave sexuelle expérimenté, qui n'attend plus qu'un maître ou une maîtresse à servir.

Autres : Mes ailes duveteuses devraient normalement me permettre de voler, mais je ne sais pas le faire... les marchands d'esclaves m'ont appris à faire des fellations, à recevoir une pénétration, à jouir où et quand il faut... mais il ne m'ont pas appris à voler, et même, lorsqu'ils voyaient que je le tentais instinctivement, ils me battaient, prétextant que je tentais de m'évader... il ont ainsi étouffé mon désir et mon besoin de voler. Cependant, je sais me servir de mes ailes, aux plumes douces, de façons bien différentes et plus utiles... en tout-cas aux maîtres : je les remue à la manière de rubans lorsque je danse, ou encore elles rendent la masturbation plus agréable...

Comment avez vous connu le forum : Ceci est mon troisième, et sans-doute dernier compte.

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