Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Tengoku Megumi

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Les bains publics, c’est l’endroit rêvé pour s’exhiber légalement sans risquer une amande si un policier me voyait. C’était certes un peu « facile » mais pour une première fois, c’était ce qu’il me fallait. C’était une sorte de test pour savoir si je pouvais le faire. Il n’y aurait certainement pas grand monde, enfin je le supposais. Surtout que c’était les vacances, donc beaucoup de personne devrait être partis de la cité. Quand on est comme moi, et qu’on voudrait s’exhiber, c’est très difficile car les policiers peuvent veiller au grain.

J’avais choisi des bains publics à l’autre bout de la ville par rapport à ma maison, pour éviter que des rumeurs ne se propagent me concernant. J’aimais me balader nue chez moi, mais cela ne m’excitait plus du tout, non il fallait que je m’exhibe devant des gens, hommes ou femmes… c’était pour cela que j’allais dans les bains. Comme souvent, mon père étant absent de la maison, je m’habillais d’une culotte simple et d’un soutien tout aussi simple. Je mis par-dessus une petite robe noir et simple. Je pris aussi mon sac.

Je pris le métro pour aller aux bains, heureusement que j’avais ma carte d’étudiante qui me permettait d’aller ou je voulais dans la ville de Seikusu. Pour l’occasion, j’avais mis des sous-vêtements simples. Durant le trajet, je me mis un peu à l’écart mais il n’y avait pas trop de monde. Je descendis à mon arrêt, les bains publics étaient à une centaine de mètres de la station de métro.

Je marchais doucement jusqu’à ceux-ci. Sur le panneau était indiqué :

TABLEAU DES PRIX

Adulte (16 ans et plus)
500 yens
Enfant (7 ans à 15 ans)
300 yens
Nourrisson (6 ans et moins)
150 yens
________

Serviette de main : 100 yens
Serviette de tête : 200 yens
Serviette de bain : 300 yens
Set de serviette complet : 500 yens

- les bains en plein air sont mixtes
(vous êtes prié de ne pas regarder
avec insistance les membres du sexe
opposé quand vous vous baignez)

A quelques semaines près, j’aurais payé deux cents yens de moins… enfin, ce n’était pas vraiment grave. Je ne savais pas qu’il y avait des bains mixtes, cela m’arrangeait. Je payais les huit cents yens pour l’entrée adulte et la serviette de bain. Le préposé m’indiqua les bains pour femmes, mais je suivis les indications pour les bains en plein air. Dans le vestiaire, je me déshabillais sans aucune gêne, retirant ma robe, mon soutien-gorge, mes chaussures, mes socquettes et enfin ma petite culotte, révélant mon corps aux personnes présentes.

2
J’avais mis trois invitations dans trois casiers des élèves, je les avais choisis au hasard, espérant tomber sur de beaux mecs mais comme sur les casiers il n’y avait que le nom de famille et l’initiale, je ne pouvais pas savoir. J’avais vraiment envie de perdre ma virginité, et ce d’une manière particulière, en m’exhibant dans un strip-poker… c’était une manière très originale pour perdre sa virginité. J’attendais avec impatience la fin des cours et surtout vingt heures.  Le mot indiquait cette petite phrase :

Je vous convie à un poker particulier ce soir.
Si vous voulez vous amuser avec moi, venez ce soir dans la salle de cours 2-A à 20 h.
Venez avec 16 vêtements différents (chaque chaussure et chaussette séparé vaut un vêtement).

J’avais été sur internet pour chercher les règles du poker, donc il me fallait une mallette de jetons de poker. J’étais donc allée au centre commercial dans le magasin de jeux de société. J’achetais la mallette puis je rentrais chez moi pour me changer, je sortis une paire de socquettes, une petite culotte simple, un soutien-gorge, un t-shirt, une jupe, une chemise, une veste, un nœud papillon, des gants… ça ne me faisait que dix vêtements avec mes chaussures… treize si on compte chaque chaussure, socquettes et gants…

J’ouvris mon armoire et pris un pull que je mis, avec mon manteau, ça ferait quinze… je réfléchis un instant… puis je souris, je retirais mes socquettes et mis deux bas à la place, changeant aussi de culotte et de soutien-gorge pour des sous-vêtements plus affriolants. Je rajoutais un porte-jarretelle… oui, je pouvais être sexy quand je le voulais… mais non, c’était ceux de la copine actuelle de mon père… elle ne vivait pas à la maison, mais elle les avait laissés là, un jour ou elle était venue un weekend pour me rencontrer… ça n’avait pas vraiment marché avec elle, et elle n’était jamais revenue à la maison. Loin de moi de reprocher quoique ce soit à mon père à ce sujet, il faisait sa vie comme il l’entendait… par contre, les sous-vêtements étaient les miens, je les avais acheté pour aller avec le porte-jarretelle.

Bref, ça me faisait seize vêtements… les débuts seraient surement chaud… pas grave, ça risquait de finir assez rapidement. Un sourire apparut sur mon visage tout en rougissant un peu. Je n’avais pas trop d’expérience dans les choses de l’amour, mais j’avais assez étudié… je voulais passer à la pratique maintenant. J’ouvris la mallette et défis les jetons de leur plastique de protection. Puis je les remis dans la mallette. Je fis de même avec le jeu de carte. J’avais décidé de garder les règles standards du Poker Texas Hold’em,  avec une mise de départ de seize milles jetons.

Je notais les règles sur le tableau. La variante était le No limite Poker, pas de limite de mise. Les blinds de départ étaient de cent pour la small blind et deux cents pour la big blind. A chaque fois qu’on perdait mille jetons, un vêtement devait être retiré. Chaque vêtement perdu ne pouvant pas être récupérer, cela pour donner un petit piment au jeu. La partie ne se terminerait que lorsque tout le monde sera nu. Chaque joueur pouvait miser, éventuellement, des petites gâteries qui devront être effectués avant le nouveau tour de jeu…

Je m’habillais en mettant tous les vêtements que j’avais choisis. Je n’avais pas l’air trop surchargée en vêtements, vu qu’on était en hiver. J’aurais eu un peu l’air déplacée habillée comme cela en été. Je fermais ma maison. Je n’avais pas faim, enfin si, mais pas de la même faim. Je marchais assez rapidement dans le froid de la nuit, me rapprochant du lycée Mishima. Une fois là-bas, j’entrais discrètement dans celui-ci et m’introduisis dans la salle de cours 2-A, elle était encore vide. Je fermais les volets de manière à ce que la lumière ne trahisse pas ma présence.

Une fois cela fait, j’allumais la lumière puis installais trois tables côtes à côtes de manière à avoir une surface suffisamment grande pour jouer en toute sérénité. Je me demandais qui allait venir… j’installais les jetons de manières à ce que chacun des participants en ait seize mille. Je souris car j’entendais des bruits de pas. Je m’installais à la table, tout en mélangeant le jeu de carte.

3
La récréation… c’était l’un des moments où il n’y que peu de monde dans les couloirs ou les salles de cours, du moins dans certaines parties du lycée. Mais cela ajouterait du piment pour faire de l’exhibitionnisme surtout qu’à tout moment on pouvait me voir. C’était cela qui me plaisait, le danger de se faire prendre à se balader nue. C’était comme une décharge d’adrénaline ou quelque chose dans le genre. J’attendais la sonnerie pour aller me changer et m’exhiber dans les couloirs vides. Le cours, bien que très intéressant, était d’une longueur inhabituelle.

Discrètement, je soupirais en baillant, prenant des notes. Le cours continuait dans la quasi-indifférence des élèves. C’était bien la première fois que cela arrivait dans les cours. Enfin, la sonnerie de la récréation retentit. J’étais assez commune, et j’avais que très peu d’ami, que ce soit des garçons ou des filles. J’attendis que les élèves sortent de la classe pour m’éclipser discrètement, montant sur le toit avant de me déshabiller totalement, ne gardant que mes chaussures et mes socquettes.

Une fois nue, je descendis un étage, regardant qu’il n’y ait personnes. Je traversais lentement le couloir, jetant des coups d’œil derrière moi et dans les classes pour voir s’il y avait du monde… personnes. Mais alors que j’étais à mi-chemin du couloir, j’entendis du bruit venant du bout du couloir, il était trop tard pour faire demi-tour. Paniquée, j’ouvris rapidement une porte d’une classe et y entrais, m’accroupissant pour qu’on ne me voie pas. Il était temps, des murmures de professeurs se faisaient entendre. Puis ils s’éloignèrent.

Je soupirais de soulagement, je me relevais doucement quand j’entendis une chaise qui bougeait dans la salle, je me retournais pour voir un garçon se lever. Je rougis violemment en le voyant.

4
Ma journée type quand j’allais au lycée Mishima : levée 7h, douche, petit-déjeuner, laver les dents, métro, cours, récréation, cours, métro, déjeuner, métro, cours, récréation, cours, métro, devoir, dîner, dodo… voilà ma journée type depuis que j’étais au lycée. Mais j’avais envie de changer les choses et quoi de mieux que de sécher le cours de sport pour faire de l’exhibitionnisme dans les couloirs du dernier étage des salles de cours ? Rien… ce sera la première fois que je sécherais le cours, mais la professeure de sport ne m’en voudrait pas.

Ce jour-là, les cours s’étaient échelonnés comme d’habitude pendant la matinée puis j’avais été mangé chez moi, puis j’avais pris une douche avant de revenir à l’école. Et non, je n’étais pas nue, je m’étais rhabillée, même si j’avais omis de remettre des sous-vêtements. Ce fut avec un grand sourire que je retournais en cours. J’étais au premier rang dans la classe. La professeure qui nous faisait cours ne pouvait pas ne pas voir que je ne portais pas de culotte. Mais apparemment, elle ne fit aucun commentaire, ni pendant le cours, ni à la récréation. Ensuite vint le cours de sport. Je fis semblant de refaire mes lacets et dit aux autres de continuer, que j’arrivais tout de suite.

Je restais en arrière, non loin de la classe puis à la sonnerie, je montais sur le toit, me déshabillant totalement. Je restais ainsi pendant un moment, laissant l’air parcourir mon corps. Puis je mis mes vêtements dans mon sac de sport et descendit dans les couloirs du dernier étage, les classes étaient vide puisque les élèves étaient en cours de sport. Je pensais être tranquille pour toute l’heure…

5
Le centre commercial de Seikusu était l’endroit rêvé pour faire de l’exhibitionnisme, mais encore faut-il en avoir le courage. Aujourd’hui, c’était mon cas, j’avais rassemblée tout mon courage pour aller dans le centre. Je portais qu’une simple robe de couleur rouge d’une seule pièce avec des souliers assortis, évidemment, j’étais nue dessus. J’avais aussi un sac pour mettre mes vêtements. Pour ma première fois au centre, je n’avais pas choisie une heure de grande affluence, personne ne m’aurait vraiment remarquée. Mais sur les coups de vingt heures, une demi-heure avant la fermeture, j’avais plus de chance qu’on me remarque.

En effet, une exhibitionniste qu’on remarque ne pas, ce n’est pas une vrai exhibitionniste. Et moi, je voulais qu’on me remarque, c’était ce qui m’excitait le plus. J’entrais dans un magasin de vêtement, choisis une robe puis j’allais dans une cabine d’essayage. Une fois à l’intérieure, je retirais ma robe que je mis dans mon sac. Rien que de savoir que j’allais m’exhibée, j’avais déjà mes tétons qui pointait légèrement. Je me regardais dans la glace, puis je me tournais vers le rideau. Je pris une grande inspiration et tirais les rideaux. Je m’avançais dans le magasin, redéposait la robe et sortit dans la galerie sous le regard ahuri de la vendeuse et les regards intéressés de certains des clients masculins.

Clients qui furent remis à leur place par leurs compagnes. J’aimais sentir les regards sur moi, sans pour autant qu’on m’interpelle, je savais bien qu’à un moment ou à un autre, quelqu’un viendrait me dire de me rhabiller. Mais tant que ce n’était pas le cas, je continuais à marcher, chaque regard sur mon corps, mes seins ou mon intimité. Ce qui m’excitait et me plaisait, c’était ces regards. Oui, plus ils ou elles me regardaient, plus mes tétons se dressaient et plus je mouillais. C’était arrivée au point ou la cyprine coulait sur mes chaussettes.

6
Le parc et son sous-bois / Une envie irrépressible (Erotica)
« le: jeudi 31 janvier 2013, 16:05:51 »
Je venais de rentrer chez moi, j’avais été toute la journée stressée à cause des examens blancs. J’avais drôlement envie de me changer les idées et de m’exhiber dans le parc, évidemment, je n’irais que lorsqu’il fera nuit. Je me déshabillais dès mon arrivée chez moi, puis je pris une bonne douche. J’y restais dessous pendant un long moment, laissant couler l’eau sur mon corps. Je brûlais de désir, c’était bien la première fois que ça m’arrivait. Même quand j’ai perdu ma virginité, je n’étais pas dans le même état. Je ne savais pas ce qui m’arrivait…

C’était comme si je brûlais de l’intérieur, et plus précisément au niveau de mon intimité. Mais ça remontait mon ventre jusqu’à ma poitrine ce qui laissait toute tremblante. J’avais les tétons qui étaient bien dressé sur ma menue poitrine. Ils me faisaient tellement mal, que je ne pus m’empêcher de prendre l’un de mes seins pour lécher le téton tandis que ma main allait caresser ma perle d’amour.

Je me masturbais ainsi pendant un long moment, mais cela ne me satisfaisait pas. Il me fallait autre chose, un ou une partenaire, je voulais faire l’amour. Une femme ou un homme, je m’en foutais complétement, du moment où je prenais du plaisir. Je sortis de sous la douche et me séchait, passant dans le salon, après avoir allumée la lumière, je vis que le soir était tombé. Je mangeais un morceau rapidement puis je mis une robe bleue assez courte.

Je sortis de chez moi avec un petit sac et je me dirigeais vers le parc, le temps était au beau fixe, la lune, à demi pleine, éclairait le parc, celui-ci n’était pas encore fermé pour la nuit, mais ne devrait plus tarder à l’être. J’attendis la fermeture du parc puis je m’installais sur un banc. J’enlevais ma robe et la déposait sous celui-ci avec mon sac, malgré la fermeture du parc, il y avait encore du monde. Sous le regard des visiteurs du parc, je me mis à me masturber doucement.

7
Vous nous quittez déjà ? / Absence non prévue ^^"
« le: jeudi 31 janvier 2013, 12:50:21 »
Coucou ^^

Désolée de l'absence non prévue, mais j'ai eut un problème avec ma box ^^"

Je suis de retour avec Cassidy Green, Lynn Minmey et les Bio-Rangers Girls ^^

Je poste mes reps et les débuts des RPs dans l'après-midi ^^

Encore désolée de ne pas avoir pu prévenir ^^"

8
Le coin du chalant / ♥ Journal intime d'une Exhibitionniste ♥
« le: jeudi 24 janvier 2013, 14:16:49 »
MAJ 28/28/13 : Remise à zéro des RP. Navrée pour les anciens partenaires de Megumi, mais du coup je ne reprend pas les RP.

Trames par ordre chronologique :


Trame n°1 - Premiers pas vers l'exhibition

Megumi se lance dans l’exhibitionnisme, elle entre dans les douches publiques et se « trompe » de bains arrivant dans les bains des hommes. Vous y êtes, comment réagissez-vous ? (homme, social, ecchi et peut-être hentai, pas de rapport sexuel par contre, à part peut-être une fellation, c’est la première fois qu’elle s’exhibe ^^)


Trame n°2 - Après l'effort, le réconfort !

Après une séance d'EPS très physique, Megumi s'apprête à vivre sa première fois...

[PV : Chikako]


Trame n°3 - Se dévoiler, c'est palp(it)ant !

Lors du bal de fin d'année au lycée, Megumi décide de s'exhiber. C'est sans compter que dans la foule, certains ont les mains baladeuses...

(homme/femme, peut importe, ce sera principalement du groping game donc ecchi. Peut éventuellement finir en hentai).


Trame n°4 - Une envie irrépressible

Megumi se ballade la nuit, et s’installe sur un banc du parc après s’être déshabillée. Elle commence à se caresser à la vue de tous. Elle est clairement la pour faire l’amour (homme/femme/créature, hentai)

[PV : Erotica]


Trame n°??

A vous de voir. Je suis disposée à pas mal de chose ^^ même éventuellement à un viol ^^

9
Nom/Prénom/Surnom : Tengoku Megumi

Âge : 16 ans

Sexe : féminin

Race : humaine

Orientation sexuelle: indéterminée, n’a jamais eu de relation sexuelle

Description physique :
Quand je me regarde dans une glace, je vois une jeune fille de seize ans aux traits très délicats, relativement grande, un mètre soixante-sept, pour un poids de quarante-neuf kilos. Généralement devant la glace, je suis nue, donc je vais me décrire telle que je me vois. Je vais commencer par l’ensemble de mon corps, il est élancé avec une poitrine plutôt menue en forme de poire, même si je l’aime bien. Mes aréoles sont toutes petites et mes tétons pointent généralement vers le haut. Mes jambes sont fines et mes fesses assez peu rebondi. Mon intimité est belle et bien propre et mes poils pubiens d’un joli rose sont peu fournis. J’ai des bras plutôt fins et des épaules bien callée. Passons maintenant à maintenant à mon visage, il est plutôt rond et fin, avec un menton légèrement pointu. Mes lèvres sont assez fines et très petites, tout comme mon nez tout petit. Mes yeux, c’est la partie que j’aime le moins sur mon visage, ils sont grands et ont la couleur du rubis et sont surmonté d’un très fins sourcil. Tout mon visage est encadré par une chevelure du même rose que mes sourcils qui me tombe sur les omoplates. J’ai un chouchou élastique attachée à une mèche de cheveux et qui descend généralement sur mon sein gauche. Dans l’ensemble, les gens me trouvent plutôt mignonne et délicate.

Passons maintenant à la tenue vestimentaire, la plupart du temps, je porte l’uniforme du lycée Mishima, car oui, je vais dans ce lycée à la réputation sulfureuse. Quand je ne suis pas au lycée, je porte généralement une robe courte avec aucun sous-vêtement, vous allez comprendre pourquoi.

Caractère :
D’abord, je vais me présenter, je m’appelle Megumi Tengoku, je suis une élève de Mishima, mais contrairement à ce qui se passe au lycée, je n’ai pas encore eu de rapport sexuel. Eh oui, je suis vierge, bien sûr que ce n’est pas une tare. Je ne suis ni une élève modèle, ni une élève délinquante, non, je suis une élève ordinaire dans un lycée qui ne l’est pas. Les autres élèves peuvent croire que je suis une sainte nitouche, ou bien que je ne sois pas intéressée par le sexe… et bien c’est faux, je suis, on va dire, une élève normale, donc oui, le sexe m’intéresse. Mais ce qui me plait le plus, c’est de m’exhiber… et oui, je suis une fille exhibitionniste ! Du moins, j’aimerais l’être. Pour l’instant, ce ne sont que des fantasme, mais j’aimerais bien marcher nue dans la rue ou bien relever ma robe, vu que je ne porte pas de sous-vêtements. Mais je manque encore de courage pour le faire. Et non, je ne suis pas du tout timide.

Histoire :
Comme je vous l’ai dit plus haut, je m’appelle Megumi Tengoku (mon prénom signifie grâce et mon nom de famille, cieux), je suis née au début du printemps, un vingt-sept mars, il y a seize ans à Seikusu. Je suis née dans une famille ordinaire, avec un père salary-man et une mère au foyer. Mes parents me désiraient et je suis arrivée par un beau matin ensoleillé après sept heures d’accouchement. Mes parents m’ont aimée dès ma première seconde de vie. J’ai été élevée dans la dignité et la simplicité, ma mère me procurant tout ce qu’un bébé avait besoin, de l’amour. Je grandis dans un cadre de vie standard de la société japonaise.

J’ai eu un ami d’enfance, Kohijiro Midomita, qui habitait la maison d’en face de chez moi. Nous avons partagé beaucoup de chose tous les deux, nous soutenant mutuellement lors de nos petits chagrins d’enfants. Nous passions beaucoup de temps l’un chez l’autre, dans les piscines de chaque maison. Nos parents respectifs semblaient assez contents de notre amitié, mais maintenant, je sais qu’ils auraient voulu qu’on se marie plus tard. Mais je m’avance un peu là. Je devais voir sept ans quand ma mère donna naissance à ma petite sœur, Suta, ce qui signifie étoile et qui me ressemblait beaucoup. J’adorais ma petite sœur, mais deux ans après sa naissance, il se produisit un terrible drame, j’étais à l’école, maman était à la maison. La maitresse vint me voir et m’emmena voir mon père. Celui-ci était en larme et m’annonça que Suta n’était plus en vie. Je pleurais toutes les larmes de mon corps à cette annonce.

Sans la présence de Kohijiro, je crois que je n’aurais pas supportée la mort de ma petite sœur. D’ailleurs, mes parents divorcèrent quelques mois plus tard, mon père quittant ma mère. Je fus confiée à la garde de mon père. Pendant deux ans, je vécu un weekend sur deux chez ma mère, puis un jour, je n’eus plus de nouvelle de ma mère. Mon père m’expliqua que m’a mère ne voulait plus me voir, que ma présence lui rappelait constamment le vide de ma sœur. Ça me fit mal, mais je comprenais très bien pourquoi.

Vers treize ans, je me mis à changer, à devenir une jeune fille et plus une petite fille. Je voyais bien que Kohijiro s’éloignait de moi et moi de lui, je n’avais jamais été amoureuse de lui, mais c’était mon meilleur ami. Plusieurs fois, il m’avait sorti de mauvais pas sans me poser de questions. Puis, un jour où je devais avoir quatorze ans, ses parents déménagèrent à Tokyo et il partit avec eux. Nous communiquons encore aujourd’hui par internet et par mails. J’ai commencée à avoir des envie de m’exhiber vers mes quinze ans. Mon père n’étant pas souvent à la maison à cause de son travail, il partait des semaines entières avant de revenir, alors je me baladais nue dans la maison, et me postais à la fenêtre ou les voisins pouvaient me voir. Cela  m’excitait.

Mon père fut surpris de savoir que je voulais aller au lycée Mishima, mais ne fit rien pour m’en dissuader, me donnant surtout des conseils. Mon père avait été à Mishima, ce qu’il me dit et connaissait parfaitement les rumeurs qui courraient sur ce lycée. Ma première année se passa très bien, sans inconvénient visible. J’habitais toujours chez mon père et comme le lycée n’était qu’à quatre stations de métro, je rentrais chaque jour à la maison. Le weekend, quand je sortais seule ou pas, je ne mettais pas de sous-vêtements. Voilà, je vais commencer ma deuxième année au lycée et j’ai décidée de passer le pas, je vais exhiber mon corps à ceux qui voudront le voir.

Situation de départ : vierge évidemment

Autres : rien, je suis une fille normale ou presque

Comment avez vous connu le forum : Doublette

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: et non ^^

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