Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Conrad St-Amant

Pages: [1]
1
Les terres sauvages / Un mortel de paris ** Pv: Miss Tyohl**
« le: jeudi 07 février 2013, 15:03:45 »
Là, j’lui ai prit la tête avec ma main gauche, j’ai mis mon pistolet sous son menton et BOOM! Sa cervelle a repeint le plafond! C’était génial! La balle a passé entre mon majeur et… et… Comment s’appelle, c’lui là?

Je bougeai l’annulaire de la main gauche avant d’hausser les épaules.

Enfin, s’pas important… La balle a passé directement entre mes deux doigts! C’était assez impressionnant à voir! Et le cerveau, au toucher, est un peu comme une pieuvre… Rouge, qui pue…  Enfin bref! Il est ou votre capitaine?

Le feu éclairait les visages des trois pirates qui, d’un même mouvement, avaient tourné la tête vers une jeune femme, à une cinquantaine de mètres plus à l’Est sur la plage, qui effectuait un concours d’alcool avec un autre pirate. Intéressante la petite! Quand j’avais ‘’stationné’’ L’Appronde pour la nuit à côté d’un autre vaisseau pirate, jamais je n’aurais cru que c’était une femme le capitaine du navire!

Je m’étais levé et je suis allé à la rencontre des pirates, alors que le capitaine levait les deux bras en signe de victoire; elle avait bu toute la bouteille de saké avant l’autre tarlouse. Dos à moi, elle ne put que sentir la claque sur les fesses que je lui donnai, ma propre bouteille de saké déjà entamé dans l’autre main.

‘tain, t’as un cul à faire bander un aveugle manchot!

La vanne à deux balles que j’ai envoyée n’avait pas l’air d’avoir plus à tout le monde, car un blond et un chauve, les deux mecs les plus près de leur capitaine et de moi, s’étaient levés d’un bond, avec dans leurs yeux la ferme intention de me faire payer mon impolitesse. Ils n’eurent pas le temps de sortir leurs épées, que j’avais levé mon pied droit, posé ma bouteille sur le dessus de ce dernier avant de ficher la bouche de mon pistolet sur le front du blond, et la pointe de mon épée contre la trachée du chauve.

Il n’en fût pas plus aux autres pour sortir leurs armes. Celui qui semblait être le second arma son pistolet.

T’as intérêt à poser tes armes, sinon tu vas passer les dernières minutes de ta vie à souffrir!

’’Vieux… J’suis Conrad L’Infâme! Y’en a p’tet qui ont entendu parler de moi? J’meurs pas!... Mais, je veux pas avoir du sang pirate sur les mains! J’voulais juste être gentil avec la chaudasse qui vous sert de capitaine!’’

Un poing vint s’écraser contre mon nez, me faisant perdre mon équilibre, quand même déjà précaire sur une seule jambe, me faisant tomber sur le sable froid. Au sol, je tenais mon nez à une main, le dessus de la lèvre, ainsi que le menton, ensanglanté.

’’S’pèce d’enflure! T’mas fait renverser mon Saké!‘’

2
Les contrées du Chaos / Une blonde qui vole?! **PV Kristen**
« le: mercredi 30 janvier 2013, 15:46:53 »
L’Appronde n’est pas encore tout à fait connue dans le milieu des affaires maritimes. Généralement, les navires marchands escortés de vaisseaux militaires ne sont effrayés que lorsqu’ils reconnaissent le navire, un peu comme le vaisseau de barbe noire, dont le seul nom donne envie de se pisser dessus à n’importe quel matelot travaillant sur des navires marchands. Mais cette fois, ça allait changer. Bientôt, lorsque j’aurai réussi mon coup, même les capitaines militaires marins, à la vue de mon rafiot, vont se jeter à la mer!

La majorité des récits que je fais aux alcooliques abrités dans les bars ou j’ai l’habitude de me rendre une fois l’ancre mouillée n’étaient que des contes, comme ceux qu’on utilise pour empêcher les enfants de trop s’aventurer dans le bois. Mais, cette fois, je retournerai au bar de Bobby, couvert d’or… J’amènerai même un petit souvenir de chaque bateau que j’aurai coulé!

INFÂME!! Arrêtes de rêvasser, je t’ai posé une question!! Ça fait maintenant deux semaines qu’on les suit, on ferait mieux de les attaquer, ils commencent à se préparer au pire! Tu es d’accord?

Les bras croisés, je regardais les cinq navires : Un marchand entouré de quatre vaisseaux de combats, pas des man-o-wars, mais presque. Ça va être Rock N Roll!

Ouais… Transmet les ordres : Boulets incendiaires au départ, puis les ordinaires pour les achever… Le bateau de marchandises, lui, qu’on lui détruise les voiles, on va l’aborder.

Une voix cria alors mes commandements, puis des hurlements d’encouragement  partirent de toutes parts alors que le navire prenait de la vitesse, le vent dans le dos. Je venais tout juste de reprendre les commandes. Les militaires étaient loin d’être idiots, bientôt les deux navires de derrière se retourneraient, nous frappant d’un mur de boulets. Le temps jouait en notre faveur, pour le moment. Il y avait beaucoup de vent; qui dit beaucoup de vent dit beaucoup de vagues. Or, les vagues sont d’excellents stoppeurs de boulets, il ne me suffirait que de changer constamment la vitesse du navire et de le cacher derrière les vagues, pour en ressortir sur le dessus et tirer. Mais beaucoup de vent veut aussi dire température changeante. Au loin, il y avait nombre de nuages, tous plus menaçant les uns que les autres, et en mer, le pire que de devoir naviguer en tempête est de se battre en tempête.

ALLEZ BANDE DE MAUVIETTES INCAPABLES!! JE VEUX VOIR TOUTES LES FILLES DU PONT INFÉRIEUR ARMER LES CANONS ET ATTENDRE MES ORDRES! TOUS LES AUTRES SANS EXCEPTIONS SONT ATTRIBUÉS À LA GARDE DES VOILES, QUAND JE DIS MI-MÂT, JE VEUX QUE CE SOIT FAIT DANS LA SECONDE!!

Quelques instants plus tard, je pus confirmer que j’avais raison sur la tactique des militaires. Les vaisseaux fermant le convoi firent demi-tour, venant face à nous, rapetissant la distance entre nous et eux, pour finalement fermer toute voilure et pivoter, la bouche de leurs canons nous faisant maintenant face.

Les canons grondèrent

HAHAHAHA!! LES FILLES, J’AI TROUVÉ DES MECS ENCORE PLUS INCOMPÉTENTS QUE VOUS!! ON VA LES AVOIRS, PRÉPAREZ-LEURS LA SURPRISE!

Pourquoi incompétents? Facile; Il y avait une ouverture entre les deux navires militaires. C’est normal d’avoir une telle ouverture entre deux vaisseaux, pour être bien sûr que les deux bateaux n’entrent pas en collision ensemble, ne serait-ce qu’à cause d’un changement de direction du courant. Mais la distance entre les deux était telle que L’Appronde aurait bien pu passer entre les deux et avoir encore … Quoique…

C’est ce qu’elle a fait.

Le navire, aidé par une série de vague et le vent dans le bon sens, a bondit sur l’eau, alors que toutes les voiles étaient déployés. Au moment ou nous passâmes entre les militaires, un grand FEUUUUUU!!! retentit dans le cœur et dans l’âme des marins en service ce jour là. Probablement le dernier mot qu’ils eurent entendus du peu qu’il restait de leur vie.

Et quel mot. À peine les boulets de cire S’étaient-ils écrasés contre les parois qu’ils s’étaient enflammés. Je vais faire une confidence; moi qui suis contre l’utilisation de magie, j’ai payé un magicien pour qu’il fasse des boulets incendiaires. Ils sont composés d’un feu magique, enfermé dans une petite boule de cire, la petite boule de cire est ensuite plongée dans une autre boule de cire, de la taille d’un boulet, rempli de combustible. Ensuite, on fait chauffer l’ouverture du boulet pour que la cire fonde et scelle le tout… Me demandez pas comment il  a fait pour que la flamme à l’intérieur ne fasse pas fondre le boulet, j’en ai aucune idée! Tout ce que je sais, c’est que ça marche, et qu’il faut le manipuler avec grand soin!

BOULIAH!! DEUX D’UN COUP!! J’SUIS VRAIMENT TROP FORT!

L’Appronde laissa les deux épaves en flamme sombrer tranquillement dans la mer, continuant son périple vers un navire que je reconnaissais comme étant bas sur l’eau; plus un navire transporte de choses, plus il est lourd et plus il sera ‘’bas’’… Donc peu importe qu’il y ait ou non des choses de valeur, il y en a beaucoup, donc un max de thunes sera bientôt à portée de main!

Cependant, il restait encore deux navires militaires. Un resta avec le navire marchand, tandis que l’autre fit demi-tour, venant à notre rencontre. Je tournai la tête vers mon second.

Préparez les boulets normaux,  et venez me remplacer à la barre tout de suite après.

Bien, mon Capitaine

Quelques secondes plus tard, on put sentir l’agitation qu’il y avait à l’intérieur du navire, alors que les boulets étaient armés dans les canons. Mon second vint prendre ma place.

Tirez lorsque nous serons assez près, visez le centre.

Au centre, dans ce genre de navires, se trouvait les réserves de poudre. Évidemment, jamais un canon armé de boulets ordinaires n’arriveraient à faire exploser des barils de poudre… Mais un petit canon sur pivot, si! Justement, j’en avais fait installer trois. Assisté de deux des meilleurs tireurs, je me postai derrière l’un d’eux, visant la coque encore intacte du navire, alors que L’Appronde et le matricule X72Z28J3 (les militaires on toujours donné des noms de merde à leur vaisseaux marins) amorçaient un pivotis lent, tout en s’avançant, je beuglai.

C’QUOI TU FOUS, SECOND? LES FILLES, ON FERME CES P’TAIN DE VOILES!

Aussitôt dit, aussitôt fait. Les voiles se rétractèrent comme d’un même geste, et L’Appronde perdit une grande part de sa vitesse, au profit d’un pivotement plus rapide. Et ça l’a fait. Le X72Z28J3 était désormais dans la ligne de mire de mes canons. Et Je n’ai même pas eut besoin de rien dire.

P’tain! La coque des vaisseaux militaires est beaucoup plus mince que je pensais!

Je m’attendais pas vraiment à ce que les boulets de canons réussissent à percer le bois et atteindre les réserves de poudres avec assez de force pour les faire exploser! Même pas eut à faire un tir impossible pour faire sauter le navire!

Le dernier avait déployé toutes ses voiles et avait fuit en lâche, ce qui ne nous laissait que le bateau remplit de marchandises à aborder… Beaucoup plus facile que ce que je n’aurais espéré, cette attaque! Je retournai à mon poste de commandement, alors que le second me laissait la place à la barre

BOULETS À CHAINES!! VISEZ LES MATS!!

Nous nous étions rapidement approchés du navire marchand, beaucoup plus lent que nous ne pouvions l’être… À peine quelques minutes que nous étions en mire directe avec notre proie. Les paires de boulets attachés par des chaînes volèrent en direction du navire-cible. La plupart d’entre eux vinrent simplement s’écraser sur le plancher de bois mais quelques uns réussirent à briser le bois des mats, un fendit net, les autres avaient finit par tomber, trop faibles pour soutenir leur propre poids.

Je n’étais plus qu’à quelques minutes de la richesse!

À L’ABORDAAAAAAAGE!!!!

3
"J’VOUS L’DIT LES GARS!!!!C’était un Kraken, deux fois grand comme L’Appronde!! Je l’ai vu briser le navire marchand en deux avant de l’bouffer comme on bouffe une tartine! Heureusement que c’était en pleine  tempête, il a pas vu mon vaisseau caché par les vagues, j’ai attendu d’avoir le bon angle et j’ai ordonné une rafale de boulets! JE LUI AI DÉFONCÉ LA GUEULE! Après ça, J’ai monté sur la bête avant qu’elle ne coule, pour finalement reprendre le butin qu’il y avait dans le navire! C’est mon bien le plus précieux"

" T’es qu’un menteur, Infâme. Ça existe pas les Krakens"

"Correction, Bobby le rabat-joie : Ça n’existe PLUS!!! J’ai démonté le dernier des Krakens! Je suis le Dieu des pirates!! Maintenant ferme ta gueule et sers moi un autre verre, au lieu de jouer les pectistes! Et puis si tu me crois pas, il reste encore des morceaux de bateaux qui avaient essayé de sauver le navire marchand!"

"Sceptique, Infâme, sceptique…"

Ceux qui me croyaient n’étaient que des imbéciles finis. Deux navires marchands, durant la tempête, s’étaient perdus, s’étaient percutés. Les requins étaient venus dévorer ceux qui ne s’étaient pas noyés. L’Appronde était arrivée juste à temps pour pouvoir prendre les biens dans les navires marchands avant qu’ils n’aient eut le temps de couler, le seul travail que j’eus fait fût de tirer un coup de canon pour effrayer les prédateurs sous-marins. Mais tous les pirates aiment embellir leurs histoires, et je ne fais pas exception à la règle.

La porte du bar s’ouvrit, je vis un homme entrer. Gueule de démon, corps musclé… Non, y pouvait pas avoir deux mâles dominants ici… Je descendis de la table, me pris une brioche que le barman venait tout juste de poser sur le bar, avant de venir m’accouder près du nouvel arrivant.

"Tu m’as interrompu pendant mon récit, enflure… T’es nouveau? Je t’aime déjà pas. T’as l’air d’un dur mais on sait toi et moi que t’es qu’une couille molle… Allez, offre lui un jus d’orange Bobby, qu’il reparte d’où il vient. C’est moi qui paie!"

D’un geste désintéressé, et sans même un sourire, je fourrai la brioche sur le manteau de l’inconnu, avant de retourner m’asseoir avec les autres pirates, qui avaient tous choppés la scène, pour finalement me mettre à rire avec eux, vidant un pichet de bière à même le grand récipient. J’en avais pas encore fini avec lui, surtout s’il décidait de rester; ça pourrait très bien aller plus loin que de simples paroles.

C’que je sais pas, c’est que le mec avec du sucre chaud et gommant sur le manteau, c’était le tueur en série, Puppeteer, l’un des super-soldats les plus puissants jamais conçus en laboratoire. Bref, j’étais dans la merde.

4
Le coin du chalant / Une aventure houleuse
« le: vendredi 04 janvier 2013, 21:10:53 »
Salut tout le monde!

Conrad L'INFÂME se cherche des compagnon avec qui rp!

Donc, voici quelques ébauches de trame:

1-Vous devez traverser l'une des rares mers de Terra ou la traverser en bateau prendrait moins de temps que de la contourner... Justement, y'a un navire accosté! (Social surtout, hentai sous certains prétextes)

2-Vous êtes sur un navire marchand(ou autre) , alors queL'Appronde apparait alors au loin. Comment réagirez vous? (Combat, viol si accord)

3- Un simple bon temps dans une taverne en compagnie de notre pirate "préféré" (Beuverie, Social, Peut tourner au hentai à condition que "L'Infâme" ne s'endorme pas avant)

4- Si vous avez une idée...

Spécial longue trame: Vous vous cherchez du travail dans la marine, mais celle-ci ne correspond pas vraiment à vos attentes... Ne désespérez pas, Conrad se cherche justement un équipage!

Vous pouvez répondre ici, ou me faire un petit MP!

5
Ville-Etat de Nexus / Combien ça va me rapporter, à moi?**PV Nymeria**
« le: vendredi 04 janvier 2013, 20:52:35 »
"Enfin le taf est fini! Je peux me reposer un peu!"

Ouais, bon, je dis taf, en fait s’était plutôt rencontrer des mercenaires avec assez de balloches pour pouvoir me suivre, et ce, partout ou je risquais d’aller, c’est-à-dire là ou y’a du pognon à se faire, BEAUCOUP de pognon! Donc, comme dit, ma mission était accomplie : un groupe d’une petite quinzaine de mercenaires allaient s’embarquer sur L’Appronde et s’occuper de faire avancer mon bijoux sur voiles, alors que moi, je pourrai, bien peinardement, tourner le gouvernail, une bouteille de whiskey bon marché à la main... Peut-être pourra t’on faire des raids sur quelques navires marchands qui croiseront mon regard  Bon sang ce que j’adorais la vie de piraterie!

"HISSÉ HAUT! POMPOM! LES BATEAUX! POMPOM! ON M’ATTEND! POMPOM! À’BAIE D’URCAN! POMPOM!"

Vous savez pourquoi j’adore boire et faire la fête? Parce que c’est amusant, mais aussi qu’on peut vraiment savoir à qui on a affaire au moment ou la personne en question a un ou deux verres dans le nez. C’est ainsi que je choisis les mercenaires qui auront l’honneur de naviguer à mes côtés : Ivres. Ajun, beaucoup mentent avec talent, il est donc dur de savoir quelles sont leurs intentions, alors que soûl, ils n’arrivent pas à mettre un pied devant l’autre, alors imaginez activer son cerveau pour mentir, et avoir l’air sincère!

Enfin, non, ce n’était pas vraiment pour une investigation que je chantais à tue-tête, un litre de bière dans les mains, m’amusant à piétiner les plats qu’il y avait sur la table… Mais bon, comme dit, le taf est fini et je peux me reposer! Mais un certain barman que je connaissais comme étant un rabat-joie décida de faire ce qu’il faisait de mieux, se la ramener.

"DESCEND DE LA TABLE!! Conrad t’es…"

"COMMENT TU M’AS APPELÉ ENFLURE?!'

Je n’étais plus sur la table, non. J’avais effectué un petit bon de la table jusqu’au comptoir du bar, plus haut de quelques centimètres. En un éclair, j’avais soulevé de terre l’impoli avant de lui foutre mon pistolet pirate dans la bouche.

"MON NOM C’EST L’INFÂME, PETITE MERDE! ET MAINTENANT TU VAS ME REMPLIR LA CHOPPE À RAS-BORD GRATUITEMENT POUR T’EXCUSER!!"

La barrique ne dis mot, mais obtempéra à mes demandes : Il savait que j’étais assez détaché des autres vies humaines pour être capable d’appuyer sur la détente. Au même moment où je m’asseyais sur un tabouret, une miche de pain dans la main, un vent frais embauma l’endroit, soufflant entre ma peau et mon manteau, brise qui me fit frissonner. Sans regarder, je lançai :

" Ho, l’imbécile, pourquoi tu gardes la porte ouverte si longtemps? Je pars en mer demain matin, j’ai pas envie d’être malade comme un chien par ta faute!"

À peine le tenancier me donna t’il mon verre que je le vidai d’un trait avant de le tendre encore une fois vers ce dernier, relâchant un on-ne-peut-plus gracieux rot, m’attaquant de l’autre main à un morceau de jambon qu’un idiot  a laissé traîner là.

"Tiens donc, L’Infâme part en mer… Tu pars pour longtemps j’espère?"

"De quoi tu te plains, Bobby? Je paie toujours mes consommations, et je t’apporte même des fois de la clientèle!"

"Oui, mais tu dégoûtes tellement certains de mes clients qu’ils décident de ne plus remettre les pieds ici, et ta clientèle est aussi bruyante, malodorante et violente que toi! Et en plus ils ne deviennent jamais des habitués… Alors OUI, j’ai de quoi me plaindre. ET MON NOM C’EST PAS BOBBY!"

Je l’écoutais déjà plus. Je me foutais bien de savoir son nom : pour moi, il resterait à jamais le vieux grincheux pour moi, et c’était bien ainsi. À vrai dire, c’est le seul endroit qui ressemble le plus à une taverne de pirates, et je suis quand même pas pour me procurer des mercenaires juste pour traverser la mer et m’amuser avec d’autres pirates. J’aurais même pas assez pour boire!

6
Prélude / Hé *hic* Ho *hic* Matelot...[Valimuté]
« le: jeudi 03 janvier 2013, 21:06:16 »
Prénom / Nom / Surnom: Conrad St-Amant, dit L’Infâme

Âge : 22 ans Jeune et beau mesdames, que dites vous de ça?!

Sexe : Homme ÉNOOOOORME

Race : Humain

Orientation sexuelle: T’me prend pour une tarlouse?! J’aime les gros melons bien juteux, moi!… Pour les deux ou trois qui n’avaient pas compris, c’est hétéro.

Description physique : Z’avez déjà vu un Dieu grec? Eh bah voilà!

Arrête-ça! Tout le monde va te trouver lourd!

Je dis que la vérité, moi! J’y peux rien si y’a des jaloux!

*Sigh*… Enfin bref : Dûe à sa décennie passée à travailler comme matelot, surtout dans des bateaux pirates, notre Conrad L’INFÂME! Ahem… L’infâme développa rapidement une musculature particulièrement développée, du haut de ses deux mètres et quatre centimètres. Autre conséquence de passer sa vie sur un navire, sa peau est foncée, dû au Soleil, lui frappant incessamment le corps.

Ses longs cheveux bruns sont couverts par un bandana indigo, ou un ‘’X’’ est apposée dans le front. Juste en dessous de ce dernier se trouve une paire d’yeux noisette. Grâce à ses derniers, on peut très bien voir une grande confiance de Mister St-Amant en lui-même. Encore plus bas, on remarque les deux seules choses fines sur sa personne, le reste ressemblant davantage aux manières de leur propriétaire (dures, grossières) : La bouche et le nez, ce sont les deux seuls aspects de son physique qui pourraient appartenir à quelqu’un de distingué, mais qui ne le sont pas. Il faut par ailleurs préciser qu’il porte un bouc sous le menton, beaucoup plus soigné que ne peuvent l’être ses cheveux, majoritairement au gré du vent, si ce n’était de son bandana.

Maintenant on parle de ma queue! Elle est grosse, plus que n’importe quel humain! Cinquante centimètres de long pour huit de large!

Il exagère, mais il faut avouer qu’il en possède une de bonne taille… disons une trentaine de long pour quatre de large! Et en plus il est rasé... Maintenant que j’ai parlé de ça, on peut revenir au sujet qui nous intéresse vraiment?

Fais s’que tu veux, du moment qu’on me valide!

Ses habits sont standard pour un pirate : Manteau de capitaine bourgogne tirant sur le rouge, manteau qu’il dépouillé à son capitaine lors d’une mutinerie, une paire de braies (pantalons amples) noires. Des bottes d’un brun foncé, lui remontant jusqu’à la mi-mollet, terminent la tenue vestimentaire du pirate.

Hé, ducon! T’a oublié de parler de mon navire!

J’y arrivais, Conrad L’INFÂME… Enfin bref :

L’appronde est le bateau du capitaine Infâme. Possédant trois mâts primaires, ainsi que deux voiles secondaires, L’appronde serait l’un des navires les plus rapides de Terra, si son propriétaire n’avait pas investit dans une vingtaine de cannons, en plus des quarante autres que possédait déjà son navire avant son acquisition. Le bateau, bien que simple (et les matériaux modestement choisis), est majestueux : plusieurs gravures ornent la coque, que ce soit sur les côtés, la proue ou même à l’arrière, ou se situe les quartiers du capitaine.

Sans compter la centaine d’hommes que ça prendrait de faire feu avec les soixante cannons en même temps (généralement, ça n’en prend que la moitié, rares sont les moments ou on doit tirer des deux côtés), faire avancer le navire à plein régime nécessiterait environ vingt hommes, en comptant les contre-maîtres, le second et le capitaine.

Caractère : Je suis aussi beau à l’intérieur qu’à l’extérieur!

Comme vous pouvez tous le remarquer, Con… L’infâme est quelqu’un d’assez imbu de sa personne : il s’aime sous toutes les coutures. Beaucoup disent que jamais personne ne pourra l’aimer plus que lui, mais ça, c’est vraiment un euphémisme… Personne n’est plus détestable que cet homme, il prend un malin plaisir à insulter les gens, il est grossier et peu de gens arrive à le supporter plus d’une journée sans vouloir lui casser la gueule. Ouais, quelqu’un de tout à fait charmant…

Si on peut faire la liste (courte) de ses qualités : Il est direct. S’il cherche la bagarre, vous allez le savoir, s’il cherche un peu de chaleur (disons ça poliment), vous allez le savoir. Il est travaillant. Bien qu’il n’aime pas recevoir d’ordres, il pourrait se tuer à la tâche, soit tant peu que la tâche ne l’aide à devenir le pirate le plus riche et craint de l’océan terranide. Il est motivé. Peu importe le nombre de fois qu’il se fera battre (combat, jeu, etc), il retentera sa chance aussitôt que l’opportunité se présentera. Il possède un charisme incroyable. Beaucoup de ses matelots sont morts à cause qu’ils l’ont suivis partout, dans n’importe quelle circonstance.

Quoi d’autre?

Euh… Bah c’est tout… JE VEUX PLUS T’ENTENDRE!

Oh, c’est une véritable tête brûlée. Il ne songera pas à deux fois (en fait, je doute qu’il lui songe une seule fois) avant de sauter tête première dans un combat, que ce soit naval ou terrestre. Il a perdu beaucoup de matelots et a englouti des sommes faramineuses à la réparation de L’appronde.
 

Histoire :  On s’en fout de l’histoire, c’est le passé! Ce qui m’intéresse, c’est l’avenir!

Peut-être toi, tu t’en fous, mais pas les autres! Bon, ou j’en étais?... Ah oui!

Conrad naquit dans une petite ferme en bordure d’une forêt, tout juste à la sortie de la porte Nord de Nexus. Évidemment, comme il était né dans une ferme, il était fils de fermiers, ignares et illettrés, ne sachant que traire des vaches et faire pousser des légumes. Lui-même, dès son tout jeune âge, il dû apprendre à travailler la terre, manipuler des pis, sans jamais voir rien d’autres que la petite terre de son père, acheté par son arrière-arrière-grand-père et depuis transmise de génération en génération et, un jour, cette terre lui appartiendrait, lui disait son père.

Évidemment, le petit Conrad était excité à cette idée… Imaginez, vous n’avez jamais rien connu d’autre, comment savoir qu’une vie beaucoup plus excitante peut vous attendre? Heureusement, les dieux, particulièrement Poséidon, avaient autres plans pour ce petit.

À douze ans, alors qu’il travaillait la terre pour qu’elle puisse accueillir les premières semences de l’année, signifiant ainsi la fin de leur jeune saisonnier, il vit trois  hommes, glapissant comme des bêtes, marcher sur la terre qu’il venait tout juste de labourer, le bousculer, l’un d’eux l’agrippa même les cheveux, et entrèrent dans la petite bicoque, dans laquelle son père et sa mère étaient affairés (en fait ils baisaient comme des bêtes, profitant que leur enfant soit à l’extérieur et trop occupé pour les entendre). Les pirates, qui étaient en congés et avaient envie de s’amuser, n’avaient rien demandé, ils avaient simplement tué le vieux, avant de violer et tuer la femme sous les yeux de son enfant. Ils prirent les maigres richesses de la famille : eau, nourriture, en plus de trois pièces de bronze. Tout avait atterris dans les mains d’un homme à la barbe blanche, un chapeau noir orné d’une tête de mort en son milieu, qui venait de faire apparition dans la bicoque.

Tu as peur, petit?

Aucune hésitation. Il n’avait aucune larme de terreur aux yeux, il ne tremblait même pas. Il n’avait pas eut de tristesse pour sa famille, car il ne les aimait même pas, il avait simplement hâte qu’ils meurent pour qu’il puisse hériter de la terre… Mais aujourd’hui, il voulait porter ce chapeau. Il tendit même les bras pour le prendre de la tête du vieillard. Croyant à une quelconque menace, les trois pirates, auteurs de l’extermination de la famille du héros, dégainèrent une seconde fois dans ce lieu leur épée.

Tu es insolent, petit… Tu es une tête brûlée, t’as même pas peur de mes hommes et moi, alors que nous venons de te rendre orphelin!

Ils m’avaient promis cette terre quand ils seraient morts. Tu m’as donné ce qui me revenait de droit, mais juste plus tôt, vieil homme!

D’un grand éclat de rire émana du capitaine alors qu’il retira son chapeau et l’enfonça sur la tête du petit.

C’est décidé! Je te nomme matelot de mon équipage, tu commences dès maintenant! Ton premier ordre, demain matin tu vends ta terre au Roi de Nexus, tu devrais en retirer deux ou trois pièces d’argent. Tu m’en donneras la moitié, tu garderas l’autre moitié, et comme ça, on pourra reprendre le large!

Le lendemain, au lieu de faire comme son capitaine le lui avait dit,  il était plutôt allé voir un petit seigneur qui possédait quelques terres au Nord de Nexus, et la lui échangea contre dix pièces d’argent. Le jeune Conrad savait que le seigneur voulait acheter ce terrain, car il avait déjà envoyé un émissaire offrir six pièces d’argent à son père, qui s’était empressé de refuser, disant qu’il n’était pas à vendre. Retournant au bateau, ou il avait dormi la veille, il eut offert à son nouveau patron deux pièces d’argent, se vantant à celui-ci qu’il avait roulé le roi dans la farine en lui demandant le double que ce qu’elle valait.

Le capitaine avait toujours su le mensonge, car il avait bien vu la petite bourse de tissu pleine à craquer, mais n’en avait pas fait de cas, il s’était pris de compassion pour le jeune moussaillon.

À l’aube de ses 18 ans, Conrad se fit appeler L’Infâme, après avoir mis à sac un village entier, ne laissant âme qui vive dans ce dernier. Il avait bien dû avoir un ou deux enfants qui s’étaient sauvés, mais ils ne feraient que proclamer son nom, au travers des villes côtières. Ce fût à peu près à cette époque qu’il réussi à convaincre près du trois quart de l’équipage du Frigata, le navire du pirate qui l’avait sauvé de sa vie fermière, de se rebeller contre le maître des lieux.  Inutile de dire que la mutinerie connu un triomphe retentissant (sinon, notre Conrad nourrirait les poissons), ce fût même notre pirate qui tua de ses propres mains le maître du Frigata. Il prit son épée , son pistolet et, ultimement, son manteau, trois objets qui, même aujourd’hui, ne le quittent pas. Le chapeau finit dans le fond de l’eau, fixé à la tête de son propriétaire, L’infâme préférant infiniment mieux le style de son bandana. Les loyalistes avaient aussi finis dans le fond de l’eau, les plus mal chanceux encore vivants, attaché à un de leur confrère déjà décédé.

À la suite de ses événements, L’Infâme fit un discours poignant sur la fraternité entre pirates, et qu’il n’oublierait jamais ce qu’ils avaient fait ensemble, et qu’il serait un chef beaucoup plus permissif que le dernier. Il leur promis richesse et gloire. Nous accostons en ville ce soir! Buvez, mangez et baisez autant que vous voudrez, c’est moi qui paye tout!

L’Infâme fût acclamé par tous ses hommes. Lorsqu’ils mirent le pied à terre, tous partirent dans les bars et bordels, avec la ferme intention de s’amuser. Ils n’eurent pas le temps de dépenser un sou que les soldats de la garde royale firent une descente dans chaque bâtisse qui accueillait les pirates de la Frigata. Même le navire fût saisi.

Conrad avait l’intention de garder ses hommes près de lui, mais lorsqu’ils étaient arrivés en ville, le pirate avait vu des affiches de son équipage placardé dans la région plus mondaine de la petite ville… Que faisait-il là-bas?

Je me cherchais un manoir à voler quand je suis tombé sur les affiches… Heureusement, mon nom n’apparaissait pas sur les affiches, alors j’ai été directement voir les gardes, et je leur ai donné la position de mes hommes et du navire, sans préciser que j’étais de l’équipage… Bah quoi? La valeur de mon équipage, bien que le quart d’entre eux étaient morts, s’élevait à trois mille pièces d’or!! J’avais de quoi acheter le bateau de mes rêves!... Ouais, la Frigata, je l’aimais pas trop. Jugez moi pas! Z’auriez fait quoi à ma place? 

Ahem…. Donc, avec la rançon obtenue, L’infâme s’acheta un nouveau navire, qu’il baptisa L’appronde. Il avait encore un peu de pièces d’or, alors il s’acheta des canons supplémentaires.

Depuis quatre ans, il se cherche un équipage qui ne se tuera pas dans une mission. Non, L’Infâme n’a aucun équipage, pour le moment, et est justement sur LGJ pour s’en trouver un!

Ouais! Si y’a des mecs ou des meufs qui se cherche un taf supra-payant, je suis ouvert à tout , je me cherche un équipage les amis!

Situation de départ : Plus ou moins expérimenté

Autres : Il est un excellent escrimeur
Il adore jouer aux échecs (le seul moment ou il se sert de sa cervelle)
Il possède une boucle d’oreille à droite (gauche pour ceux qui regardent l’avatar) représentant une tête de mort.

Comment avez vous connu le forum : Double compte

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Je vais en parler autour de moi!

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