Voir les derniers messages
1
Dictature d'Ashnard / Une Terranide sauvage à adopter, avec difficulté [Yuka/Yuko Karistal]
« le: samedi 25 mai 2013, 22:27:36 »
Quelle insupportable douleur j'ai à la tête, c'est comme-ci on m'avait donné un grand coup sur la tête. Alors que j'ouvre lentement les yeux, encore un peu étourdie, j'aperçois de manière assez peu distincte plusieurs personnes qui me regardent en attendant quelque chose. Je ne sais pas du tout pourquoi ils m'attendent ni pourquoi je suis là, mais ce que je peux dire, c'est que je ne peux que très légèrement bouger, mes membres semblent endormis. Je parviens à ouvrir presque entièrement les yeux et je remarque que des barreaux métalliques me barrent une partie de la vue. Je regarde autour de moi et je ne vois que ça, des barreaux métalliques, je peux donc en déduire que je suis enfermée dans une cage. Mais bordel, qu'est-ce que je fous là ? Comment j'ai pu être assommée et enfermée ici ? C'est cet homme qui me regarde, qui m'a fait ça ? En tout cas, je ne compte pas rester ici, il est hors de question que je reste ici à attendre qu'on me vende aux enchères comme un vulgaire bétail.
Je tente, dans un premier temps de secouer la cage avec le peu de force que j'ai. Mes membres semblent toujours bloqués mais...D'après ce que je peux sentir en moi, quelqu'un m'a droguée pour endormir mon corps et ainsi me rendre aussi docile qu'une esclave nymphomane. C'est rare qu'une drogue fasse effet sur moi, d'habitude, mon sang rejette ce genre de substance illicite, mais là, ce produit semble être très efficace, la seule solution est donc la parole.
Hé, toi là, l'humain qui me dévisage depuis tout à l'heure, fais-moi sortir de là !!
-Désolée, ma mignonne, mais je vais devoir refuser.
-Non mais tu te prends pour qui, toi, j'suis pas ta mignonne, tu veux que je te bouffe ?
-Essayes toujours, ma mignonne.
Alors que je parviens à bouger mes bras pour toucher les barreaux à nouveau, je me prends une très violente décharge électrique qui ne fait que m'affaiblir davantage, en plus de me faire crier de douleur. une fois mes mains retirées de là, je m'affale sur le sol, bien trop faible pour tenter quoi que ce soit et, en me regardant attentivement, je remarque que je ne suis vêtue que de mes sous vêtements. Dans cette tenue, il est normal que cet homme me dévisage, il me voit à demi-nue et peut fantasmer sur ma très grosses poitrine ou sur mes cuisses, qui sait, quoi qu'il en soit, je n'aime pas du tout cet homme et sa façon de me regarder, en plus, sans le vouloir, j'ai prit une pose vraiment très aguicheuse, c'est gênant.
-C'est ça, reste bien docile, pendant que je me charge de prendre soin de ta peau.
Tout ce que je peux voir, c'est que l'homme commence à se masturber en me regardant après avoir sorti son gros sexe de son pantalon. Il se masturbe comme un sale porc et moi je suis obligée de le regarder, c'est dégueulasse. Alors qu'il continue de se branler, il gicle de la chaude semence sur moi, ce sperme dégoulinant un peu partout sur mon corps, ce qui me procure une étrange sensation, une sorte de frisson qui varie entre le dégout et l'envie, une frontière entre les deux. Néanmoins, la grimace que je fais ressemble bien plus à du dégout qu'à de l'envie, ça, c'est clair.
Je tente, dans un premier temps de secouer la cage avec le peu de force que j'ai. Mes membres semblent toujours bloqués mais...D'après ce que je peux sentir en moi, quelqu'un m'a droguée pour endormir mon corps et ainsi me rendre aussi docile qu'une esclave nymphomane. C'est rare qu'une drogue fasse effet sur moi, d'habitude, mon sang rejette ce genre de substance illicite, mais là, ce produit semble être très efficace, la seule solution est donc la parole.
Hé, toi là, l'humain qui me dévisage depuis tout à l'heure, fais-moi sortir de là !!
-Désolée, ma mignonne, mais je vais devoir refuser.
-Non mais tu te prends pour qui, toi, j'suis pas ta mignonne, tu veux que je te bouffe ?
-Essayes toujours, ma mignonne.
Alors que je parviens à bouger mes bras pour toucher les barreaux à nouveau, je me prends une très violente décharge électrique qui ne fait que m'affaiblir davantage, en plus de me faire crier de douleur. une fois mes mains retirées de là, je m'affale sur le sol, bien trop faible pour tenter quoi que ce soit et, en me regardant attentivement, je remarque que je ne suis vêtue que de mes sous vêtements. Dans cette tenue, il est normal que cet homme me dévisage, il me voit à demi-nue et peut fantasmer sur ma très grosses poitrine ou sur mes cuisses, qui sait, quoi qu'il en soit, je n'aime pas du tout cet homme et sa façon de me regarder, en plus, sans le vouloir, j'ai prit une pose vraiment très aguicheuse, c'est gênant.
-C'est ça, reste bien docile, pendant que je me charge de prendre soin de ta peau.
Tout ce que je peux voir, c'est que l'homme commence à se masturber en me regardant après avoir sorti son gros sexe de son pantalon. Il se masturbe comme un sale porc et moi je suis obligée de le regarder, c'est dégueulasse. Alors qu'il continue de se branler, il gicle de la chaude semence sur moi, ce sperme dégoulinant un peu partout sur mon corps, ce qui me procure une étrange sensation, une sorte de frisson qui varie entre le dégout et l'envie, une frontière entre les deux. Néanmoins, la grimace que je fais ressemble bien plus à du dégout qu'à de l'envie, ça, c'est clair.