Les contrées du Chaos / Dame du lac devient un objet de plaisir. [Ishtar Naviento]
« le: lundi 01 octobre 2012, 16:59:34 »La forme attendis pendant près d'une heure avant de se faire tomber dans le vide, usant furtivement une magie du vent, pour éviter de se briser les jambes à l'atterrissage, puis se mit maîtriser un garde qui allait crier. Un simple chiffon aspergé de chloroforme était plus efficace qu'une magie de sommeil, comme quoi la science sur Terre avait plus d'avantage que d'inconvénient. Entrer dans le village ne fut pas difficile ne soit, même si sa présence suffisait à poser des question, mais se cacher davantage aurait été une insulte même à son esprit chevaleresque. C'est alors qu'un garde se mit à saisir la capuche, dévoilant le visage d'une magnifique blonde aux yeux rouges.
- Présentez-vous et dîtes ce que vous faites ici.
Charis se mit à regarder avec fierté le soldat.
- N'est-il pas coutumes de se présenter soi-même avant de demander telle choses à une étrangère ? Je passerais volontiers ce manque de respect en répondant à votre question fort simple. Charis du Lac, une historienne qui souhaite en apprendre un peu plus sur cette civilisation si atypique qui c'est érigé en si peu de temps comme l'une des plus puissante en terme de politique. Mais cela doit être du charabia à votre oreille.
- Vous avez un laissez-passer ?
Une seconde se mit à passer, pour Charis cela semblait durer une éternité, puis elle se mit à fouiller dans une petite sacoche en lin, dissimulant aux yeux du garde son armure et surtout son arme. C'est alors qu'elle sortie un laissez-passer en règle, vous me direz comment elle l'a obtenue ? La magie des illusions peut servir aussi à faire croire à l'existence d'objet dont on ne détient pas, comme un laissez-passer qui ne doit circuler qu'à de très peu exemplaire. Le garde ne posa pas plus de question et laissa la blonde continuer sa route. La créature put voir que cette cité était vraiment une sorte de dictature centralisée dans un Enfer, ce qui eut comme effet d'énerver davantage la chevalière. Elle se mit à regarder les divers boutiques de ventes, on trouvait bon nombre d'articles, dont de pâles imitation d'armes venant de la Terre, comme un lance-roquette à palsma ou encore un colt tirant des balles causant divers maladie, en somme ce n'était que des armes de mort que seul des fous manipuleraient. En jetant un rapide coup d'oeil sur le côté, elle vit bien que les gardes se rassemblaient. Dans leurs yeux on pouvait y discerner une flamme malsaine, Charis savait que la situation avait changée, il n'était plus l'heure de se cacher.
D'un geste ample, elle défit la cape, dévoilant sa tenue de chevalier. Tout en avançant vers les gardes, elle se mit à sortir l'arme de son fourreau, la lame sonnant comme du crystal une fois sortie de son entrave.
- Vous qui désirez m'affronter, sachez qu'il faudra venir pour croiser le fer.
Folie ? Non, car la créature avait prévu de se battre sur un autre terrain que celui-ci où la population pouvait être victime. Elle pouvait engendrer un conlit, mais pas dans le cas où les dégâts collatéraux étaient des êtres innocents. Sans annonce la de la chevalière se mit à émettre une lumière aveuglante, paralysant les soldats qui essayaient de voir où était Charis. Quand la vue leurs revint la blonde avait prit une grande longueur d'avance.
On pouvait voir de fluctuations magiques apparaitre sur ses jambière. La magie de vent opéra et offrit à Charis une vitesse pouvant rivaliser celle des vampire, devant de temps à autres sauter pour éviter une collision. Les gardes furent surprit de voir un adversaire aussi polyvalent et usant de la magie comme l'on respire, pas un seul mot n'avait été prononcé, pas une seul geste. Charis n'avait pas été la disciple de Merlin, le surpassant même, pour rien.
Avec sa vitesse il fut aisé de se trouver devant le temple, la magie de vent s'annulant pour que derrière les garde surveillant la porte apparaisse la créature.
- Je souhaiterais passer, me laisserez-vous cette action ou devrais-je lutter dans un combat inutile contre vous ?
Les armes sortir et Charis agis avec vivacité, tapant avec le plat de sa lame et sa garde pour rendre inapte au combat les quelques gardes. La créature voulut ouvrir la porte, mais quelque chose semblait empêcher son ouverture de l'autre côté. N'aimant pas se faire passer pour une brute, mais elle n'avait plus tellement de choix, elle devait occire le chef rapidement avant de d'avoir toute la troupe sur le dos et souiller ses mains de sang qu'elle aurait put éviter de verser.
- Excalibur
Une énergie dorée se mit à se déposer sur la lame et elle se mit dans une posture pour trancher de haut en bas la porte. Faisant le geste une vague d'énergie impressionnante se mit à déferler sur la porte, brisant ses dernière en mille morceaux. Il ne s'agissait qu'une pâle imitation, bien diminuée, du pouvoir de l'épée légendaire, mais elle avait de quoi être impressionnante. N'attendant pas de voir à travers le brouillard de poussière, elle se mit à dire d'une voix forte et claire.
- Que ceux qui veulent m'empêcher de tuer votre chef et sont prêt à donner leurs vies s'approche, que les autres restent en retrait, je ne souhaite pas faire de mort inutile.
Cette phrase pouvait sonner comme un aveux de faiblesse, mais pour le cas de Charis il s'agissait de sa grandeur d'âme qui ne pouvait pardonner de tuer des personne innocentes voulants vivre, refusant les combats mortels.
Le brouillard se dissipa et elle fit face à ...