Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Charis

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Sur le flanc d'un volcan, en activité, se mouvait une forme, drapée d'une longue cape de tissu de la couleur du sable. Cette forme avait fait tout le tour du géant de feu, préservant le plus possible sa détection en usant d'une magie d'interférence, empêchant ceux et celles pratiquant la magie de détection de repérer sa présence. La chaleur faisait transpirer l'intrus, qui se mit d'un coup à poser genoux à terre, observant les gardes, mais aussi les civils. Sur cette terre leur chef était connu et presque adulé, hors l'intrus comptait faire tomber ce masque adorateur, car derrière se cachait un chef qui esclavagiste les êtres, un être des plus abjecte qui méritait cent fois la mort.

La forme attendis pendant près d'une heure avant de se faire tomber dans le vide, usant furtivement une magie du vent, pour éviter de se briser les jambes à l'atterrissage, puis se mit maîtriser un garde qui allait crier. Un simple chiffon aspergé de chloroforme était plus efficace qu'une magie de sommeil, comme quoi la science sur Terre avait plus d'avantage que d'inconvénient. Entrer dans le village ne fut pas difficile ne soit, même si sa présence suffisait à poser des question, mais se cacher davantage aurait été une insulte même à son esprit chevaleresque. C'est alors qu'un garde se mit à saisir la capuche, dévoilant le visage d'une magnifique blonde aux yeux rouges.

- Présentez-vous et dîtes ce que vous faites ici.

Charis se mit à regarder avec fierté le soldat.

- N'est-il pas coutumes de se présenter soi-même avant de demander telle choses à une étrangère ? Je passerais volontiers ce manque de respect en répondant à votre question fort simple. Charis du Lac, une historienne qui souhaite en apprendre un peu plus sur cette civilisation si atypique qui c'est érigé en si peu de temps comme l'une des plus puissante en terme de politique. Mais cela doit être du charabia à votre oreille.

- Vous avez un laissez-passer ?

Une seconde se mit à passer, pour Charis cela semblait durer une éternité, puis elle se mit à fouiller dans une petite sacoche en lin, dissimulant aux yeux du garde son armure et surtout son arme. C'est alors qu'elle sortie un laissez-passer en règle, vous me direz comment elle l'a obtenue ? La magie des illusions peut servir aussi à faire croire à l'existence d'objet dont on ne détient pas, comme un laissez-passer qui ne doit circuler qu'à de très peu exemplaire. Le garde ne posa pas plus de question et laissa la blonde continuer sa route. La créature put voir que cette cité était vraiment une sorte de dictature centralisée dans un Enfer, ce qui eut comme effet d'énerver davantage la chevalière. Elle se mit à regarder les divers boutiques de ventes, on trouvait bon nombre d'articles, dont de pâles imitation d'armes venant de la Terre, comme un lance-roquette à palsma ou encore un colt tirant des balles causant divers maladie, en somme ce n'était que des armes de mort que seul des fous manipuleraient. En jetant un rapide coup d'oeil sur le côté, elle vit bien que les gardes se rassemblaient. Dans leurs yeux on pouvait y discerner une flamme malsaine, Charis savait que la situation avait changée, il n'était plus l'heure de se cacher.

D'un geste ample, elle défit la cape, dévoilant sa tenue de chevalier. Tout en avançant vers les gardes, elle se mit à sortir l'arme de son fourreau, la lame sonnant comme du crystal une fois sortie de son entrave.

- Vous qui désirez m'affronter, sachez qu'il faudra venir pour croiser le fer.

Folie ? Non, car la créature avait prévu de se battre sur un autre terrain que celui-ci où la population pouvait être victime. Elle pouvait engendrer un conlit, mais pas dans le cas où les dégâts collatéraux étaient des êtres innocents. Sans annonce la de la chevalière se mit à émettre une lumière aveuglante, paralysant les soldats qui essayaient de voir où était Charis. Quand la vue leurs revint la blonde avait prit une grande longueur d'avance.

On pouvait voir de fluctuations magiques apparaitre sur ses jambière. La magie de vent opéra et offrit à Charis une vitesse pouvant rivaliser celle des vampire, devant de temps à autres sauter pour éviter une collision. Les gardes furent surprit de voir un adversaire aussi polyvalent et usant de la magie comme l'on respire, pas un seul mot n'avait été prononcé, pas une seul geste. Charis n'avait pas été la disciple de Merlin, le surpassant même, pour rien.

Avec sa vitesse il fut aisé de se trouver devant le temple, la magie de vent s'annulant pour que derrière les garde surveillant la porte apparaisse la créature.

- Je souhaiterais passer, me laisserez-vous cette action ou devrais-je lutter dans un combat inutile contre vous ?

Les armes sortir et Charis agis avec vivacité, tapant avec le plat de sa lame et sa garde pour rendre inapte au combat les quelques gardes. La créature voulut ouvrir la porte, mais quelque chose semblait empêcher son ouverture de l'autre côté. N'aimant pas se faire passer pour une brute, mais elle n'avait plus tellement de choix, elle devait occire le chef rapidement avant de d'avoir toute la troupe sur le dos et souiller ses mains de sang qu'elle aurait put éviter de verser.

- Excalibur

Une énergie dorée se mit à se déposer sur la lame et elle se mit dans une posture pour trancher de haut en bas la porte. Faisant le geste une vague d'énergie impressionnante se mit à déferler sur la porte, brisant ses dernière en mille morceaux. Il ne s'agissait qu'une pâle imitation, bien diminuée, du pouvoir de l'épée légendaire, mais elle avait de quoi être impressionnante. N'attendant pas de voir à travers le brouillard de poussière, elle se mit à dire d'une voix forte et claire.

- Que ceux qui veulent m'empêcher de tuer votre chef et sont prêt à donner leurs vies s'approche, que les autres restent en retrait, je ne souhaite pas faire de mort inutile.

Cette phrase pouvait sonner comme un aveux de faiblesse, mais pour le cas de Charis il s'agissait de sa grandeur d'âme qui ne pouvait pardonner de tuer des personne innocentes voulants vivre, refusant les combats mortels.

Le brouillard se dissipa et elle fit face  à ...

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Le coin du chalant / Noble rencontre. (Pause)
« le: dimanche 30 septembre 2012, 20:01:04 »
Suite à un rp charnière, je prendrais des rps une fois celui-ci fini.

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Prélude / La Dame du Lac est présente. [Valitablerondidée !]
« le: dimanche 30 septembre 2012, 17:03:27 »
*Apparait sur le sujet en s'inclinant aux nobles personne voulant écouter les dires de la jolie demoiselle.*


Mon nom est Charis, fille du Roi Suprême de la cité d'Avalon, surnommée Fée Viviane, la Dame du Lac, tutrice de Lancelot du lac, gardienne d'Excalibur et, en ses terres de Terra, libératrice du peuple des oppresseurs vivant en toute impunité, sans subir le châtiment qui leur est dû.

J'ai vécu des décennies et pourtant aux yeux du monde ce n'est qu'une bien faible existence, étant plus importante que la vie éphémère de bien des créatures naissant en ce bas monde.

En apparence je peux vous paraitre humaine et pourtant cette apparence est trompeuse, non pas pour vous trahir, car comment châtier les impunis sans pouvoir les approcher et qu'ils ne fuient de peur. Mon apparence originale se rapproche de beaucoup aux sylphides et pourtant s'en éloigne pour beaucoup de point. Je ne suis qu'un esprit après tout.

J'ai toujours vécu en étant une créature féminine, préférant garder l'apparence maternelle et rassurante.

Je ne suis pas une créature qui est affectée par la notion de sexe masculin ou féminin, seul l'âme habitant cette enveloppe m'intéresse, de plus je me suis jurée de rester vierge pour des notions dépassant celles définit par les humains.


Je possède un esprit forgé dans les flammes du courage et de la justice la plus respectueuse, pardonnant difficilement aux être se disant être béni par une divinité et tuant en son nom. Aucune divinité censée ne demanderais la mort d'âme innocente, n'ayant comme tord que celui de l'existence même. Une âme en détresse mérite d'être secourue, tout comme une personne ne devrais au grand jamais posséder la liberté d'autrui et pire, posséder sa vie elle-même. C'est pour cela que je suis contre l'esclavagisme, qui pousse les personnes à bafouer la fierté et la noblesse d'âme des êtres asservis. Je ne suis pas contre le fait qu'une personne puisse donner sa liberté par amour, mais il s'agit là de la simple exception recevable. J'ai longtemps étudier le principe de la chevalerie et adhère à certaine idée, comme se laisser guider par son coeur et non par l'argent que l'appât du gain. 

D'une nature calme et aimante, il serait malvenue de votre part de vouloir me pousser dans mes retranchement en terme de tolérance, car vous n'en sortirez pas intacte, certes je suis douce, mais l'affront à une certaine limite. Il n'est pas rare de défier la personne qui a souillé de ses mots impropres et mal jaugés la fierté que je porte. Cependant je ne suis pas une meurtrière, évitant autant que possible les effusions de sang, mais face à une personne corrompus par la soif de domination et aveuglé par son amour propre je n'hésiterais pas une seule seconde à lui rendre la raison, même si cela veut sous-entendre que je dois lui soustraire la vie et porter tout le long de mon existence mon acte.

Je ne suis pas une personne froide, il est très aisé de discuter avec moi, apportant mon avis sur tout, tant que la connaissance est la base de mon argumentation et que les deux parties puissent discutailler sans se cacher derrière des mots savants ou sortir les poignards.

Ma faiblesse est sans doute celle de toute les femmes douées d'une grande douceur, en effet il m'est plus que pénible de lever la main sur un enfant, mais si punition il doit avoir alors tant pis pour le remord dès l'instant d'après.


*Retire sa cape et son armure, arborant une robe en tissu.*

N'allez pas croire que vous pourrez en voir plus. Je ne montre mon corps à personne et si d'aventure des yeux venaient à se poser sur mon corps et ne pas y être séduit, l'intrus viendrait à être puni comme il se doit et sachez que beaucoup en ont perdu la vie.

Je suis assez grande comme vous l'aurez remarquez, je suis d'une taille pouvant contempler à taille égale les hommes moyens. Ma chevelure dorée m'a bien attiré des ennui, pensant que j'étaie une créature que je en suis pas. Le même constat pour les yeux écarlate, disant sans cette que je suis une créature de la nuit, alors que ce n'est nullement le cas. 

Ma peau est fraiche et tendre, quoi de plus normal quand on sait que je suis une créature réputée être belle, même si les légendes colportés à mon égard son bien exagéré, je ne suis pas aussi belle que l'on puisse le dire. Comme je suis sous une forme féminine il n'est pas extraordinaire de voir une poitrine se dessiner sur mon corps, assez grande pour rassurer les enfants en pleurs, mais pas trop pour éviter les regards plus qu'écœurants des personnes corrompus par la luxure.

Je suis agile et adroite, des muscles se dessinant avec une finesse imperceptible sous ma peau. Ne croyez pas que ma force est digne d'une pucelle n'ayant jamais eut à combattre pour défendre sa vie, car une baffe aura tôt fait de vous montrer ma force qui rivalise avec les chevaliers de ma carrure.

*Se racle la gorge*

Parlons de mon accoutrement, sur Terra je porte mon armure, mieux est préparé celui qui se prépare à la guerre. Je porte des épaulettes, des gants, un plastron protégeant ma poitrine et des jambières en acier d'une grande blancheur, dessous ceci se voit une jupe en lin à manche longue et col roulé d'un bleu marin ainsi que des collants de lin bleu marine. Ainsi cela m'offre une protection et une mobilité nécessaire en cas de conflit contre une horde.

Sur Terre je porte uniquement la jupe et les collants, accompagné d'une paire de botte en cuir bleu marine pour tenir ma cheville et pouvoir me mouvoir facilement.

*Jette un papier aux lecteurs.*

Vous y verrez ici mon histoire.

Je suis née sur une terre lointaine, hors de porté des humains et dont seul certains élus ont eu l'immense honneur de pouvoir fouler la terre noble, magique et éternelle d'Avalon, l'île où les plus plus nobles de coeurs se rejoignent pour reposer leurs âmes tourmentés lors de leurs existences terrestre.

Ma naissance fut tenue secrète, étant la fille du seigneur de cette île paradisiaque, mon père croyait que ma naissance allait créer des remous dans cette petite société. Aussi je ne put prétendre au titre de princesse et cela m'est bien utile, m'évitant toute les nombreuses réunions où la famille seigneuriale doit être présente. De quoi vite mettre à cran ma soif de curiosité et de voyage, oui petite j'aimais me balader dans les jardins voire au contact des héros et héroïnes qui avaient élu domicile sur l'île légendaire.

Mais une fois l'adolescence en route j'ai fuit cet île, jugeant que ce monde trop beau était trop petit pour moi et je partis vagabonder dans le monde des humains.

Là je fis connaissance d'un enchanteur, il s'appelait Merlin et avait été tout de suite séduit par mon apparence, voulant connaitre un maximum de ce monde je lui fis présent de ma confiance en échange de son savoir. J'appris la magie et très vite cette magie m'appris en retour que Merlin me désirais, ne voulant pas paraitre mauvaise ou lui faire un quelconque mal, je me mis à esquiver ses avances avec subtilité, le pauvre humain me faisait de la peine à tenter de séduire une chimère qui voulait vivre libre. Un jour il fut mesquin au point de me faire boire une drogue imprégnée de magie, bien mal m'en fut de l'avoir bu en pensant pouvoir y résister. C'est là que je découvrit que l'enchanteur n'était pas plus noble qu'un quelconque bandit de chemin.

Son audace de vouloir s'approprier mon corps fut châtié en le rendant aveugle. Ne pouvant le pardonner je fis la sourde d'oreille pendant près de quarante ans et finit par lever mon maléfice, le faisant jurer de ne plus se montrer aussi audacieux sans mon accord.


Ce fus quelque années plus tard que je découvris une mère avec son enfant, attirée par une pulsion excessive, je pris l'enfant et l'éduque comme s'il était le mien. Même si l remord d'avoir volé cet enfant me ronge encore ce que cette expérience m'a apporter est un prix de consolation. Je pris la décision de le nomme Lancelot du lac.

Le temps passa encore et encore, Arthur vit sa fin approcher et fut amener à Avalon. Malgré la demande insistante de mes parents je pris le choix de continuer à vivre dans le monde des humains et pris le temps de les comprendre.

La création de Terra ne passa pas inaperçue, c'est comme si on avait fait une énorme explosion avec une pancarte géante où serait marqué "Le grabuge c'est ici". La curiosité me fit passer un portail et ce que je découvrit me fendis le coeur, l'esclavagisme, une dictature, une religions corrompus, voilà ce que je voyais.

Cela vint à faire bruler mes sentiments chevaleresques et je pris la décision de mener une lutte contre le Mal présent. Mais je n'oubliais pas la Terre, un monde où il était plaisant de vivre, surtout sous le trait d'une lycéenne étrangère.

Je possède des connaissances en magie, mais ne l'use qu'à titre défensif ou pour punir le malandrin qui le mérite.
Mon épée est capable de trancher l'illusion qui sème le trouble dans l'esprit conscient.
La magie qui souhaite corrompre mon esprit devra d'abord percer un mur spirituel avant de pouvoir me toucher

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