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Sujets - Doris Peters

Pages: [1]
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Ville-Etat de Nexus / Enfin la liberté (Shahin)
« le: lundi 24 septembre 2012, 13:37:21 »
Je détestais cette maudite chambre. Je détestais ce maudit Prince. J’exécrais l’idée de ne rien pouvoir faire. Dès que j’essayais de m’enfuir, les colosses du Prince me ramenaient ici avec diligence.  Je n’avais aucune liberté de mouvement en dehors de cette chambre. Et si j’avais le malheur de baisser ma garde et de céder au sommeil, le bougre en profitait.

Encore une fois, alors que j’avais profité de l’ouverture de la porte pendant qu’on m’apportait à manger j’avais couru. Cette fois, j’avais descendu trois étages. Jamais je n’avais dépassé les deux premiers auparavant. J’étais dans le hall quand l’un des gardes du Prince me poussa au sol. Je roulais sous une table, frappant la main qui tentait de me retenir.

J’essayais de ramper sous les tables pour gagner la sortie, mais une paire de pieds me barra le chemin. Comme un vulgaire sac, le colosse me mit sur son épaule et me remonta. Les autres se chargeant de dédommager l’hôte. D’après ce que je voyais, c’était une sorte de restaurant-hôtel dans les bas-fonds. Enfin, restaurant… Bar avec un peu de nourriture consistante, ça serait plus juste.

Je frappais le dos du colosse de toutes mes forces. Je ne lui fis aucun mal, solide comme il l’était. Sa peau avait l’air d’être du cuir. Ulcérée, j’étais à nouveau ramenée dans ma prison. Mais j’avais au moins la satisfaction de voir les regards interloqués des gens. Certains quittèrent l’établissement avec l’air de celui qui va tout raconter à son pote. Les rumeurs se répandraient bien vite. J’espérais que ça m’attirerais au moins quelque attention. Peut-être même quelqu’un d’assez hardi pour tenter de la libérer. Les colosses, au nombre de trois, paraissaient triplés. Ils se ressemblaient comme deux, enfin trois, gouttes d’eau.

Criant ma rage, je me retrouvais à nouveau enfermée à double-tour dans la pièce. Saloperie de pièce ! Saloperie de Prince !

2
Ville-Etat de Nexus / Entrevue (Magister)
« le: lundi 24 septembre 2012, 13:36:24 »
J’avais fini par capituler face au sommeil, après plus de quarante-huit heures de veille. Je m’étais endormie près de la fenêtre, à guetter un potentiel libérateur. Et le bougre, il en avait profité.

Je me réveille en sentant une masse sur moi. Le sommeil me fuyant lentement, je m’aperçois que mes poignets sont prisonniers d’une seule des mains du Prince, au-dessus de ma tête, et qu’il s’active en moi en ahanant, en grognant. Etouffant un cri, je ruais alors sous lui pour le désarçonner. Mais peine perdu. L’homme était trop lourd pour moi. Raide comme un piquet, j’attendis qu’il ait fini en le fusillant du regard.

Quand enfin il se retira, ce fut pour libérer son fluide sur mon ventre. J’esquissais une grimace dégoûtée alors qu’il s’empressait de sauter du lit, reboutonnant son pantalon d’une seule main. Il exprima ses regrets d’être obligé d’en arriver à une telle extrémité, mais que si je me montrais consentante, ça pouvait être tellement meilleur ! Je grognais, et bondis du lit pour le frapper. Mais il esquiva agilement et sorti de la pièce en n’oubliant pas de refermer à double tour la porte.

Je rugis, frustrée, et cogne dans la porte. Aïe. Du coup, je me suis fait mal au poing. Grimaçant, je fis couler l’eau dans la baignoire qui se trouvait au fond de la chambre, et me glissais dans l’eau. Je frottais avec vigueur, me débarrassant de son parfum, de sa semence, de sa sueur. Je détestais quand il faisait ça. Jurant à nouveau, je vidais l’eau et me séchais activement.

Quelques instants plus tard, alors que je finissais de m’habiller, j’entendis toquer à la porte. Puis la voix du Prince m’informa qu’il avait fait venir quelqu’un pour m’aider à me détendre, à accepter mon destin. Sans attendre ma réponse, il déverrouilla la porte et me prévins que si je tentais de sortir, trois de ses colosses me ramèneraient illico ici. Assise près de la fenêtre, je dardais un regard mauvais sur la porte.

3
Prélude / Doris, prisonnière du harem d'un Prince. (Valithée)
« le: samedi 22 septembre 2012, 03:46:24 »
Il était une fois, au coeur d'un royaume alliant technologie et respect de la nature, naquit une jeune femme. De père lycanthrope et de mère ESPer, elle fut qualifiée de Créature.

Au fil des années, alors qu'elle grandissait, son physique s'épanouissait autant que son caractère.

L'enfançon fripé devint une ravissante jeune femme de dix-huit ans. Si ravissante que le Prince du Royaume, qui cherchait une épouse afin de compléter son harem, l'enleva et la confina au milieu de ses sept autres femmes. Sa beauté était typé caucasienne. Elle possédait une longue et souple chevelure cuivrée qui lui descendait jusqu'au creux du dos, mettant en valeur une chute de rein proprement magnifique. Son teint était frais, comme celui d'une rose, et si elle dorait facilement au soleil, elle n'attrapait jamais de coups de soleil. Ses pommettes hautes et son nez droit lui conférait un charme très aristocratique. Ses grands yeux noisette étaient si expressif qu'on parvenait à lire le moindre de ses états d'âme rien qu'en la regardant dans les yeux. Et ses lèvres... Pulpeuses à souhait, avec une jolie teinte entre le rouge cerise et la pêche.

Le reste de son corps n'était pas moins magnifique. Elle possédait une grâce innée pour chacun de ses mouvements. Sa silhouette donnait envie à quiconque la voyait de la serrer contre lui et de la protéger. Elle paraît frêle en effet. Ses hanches sont plutôt étroites pour une femme, mais sa taille est très fine alors ça ne se remarque pas trop. Et même si sa poitrine est assez conséquente, l'impression qui en résulte c'est la fragilité de son être. Comme si, en lui serrant la main, l'on pouvait lui briser les os. De plus, elle n'est pas spécialement grande. Ses jambes, bien que délicates et longues, galbées à souhait, ne la monte pas plus haut que le mètre cinquante-sept. Même la façon dont elle s'habille ne parvient pas à ôter cette impression de fragilité. Le corset affine encore sa taille et met en valeur sa poitrine, tandis que son pantalon en voiles masque ses cuisses fermes. Un foulard est souvent noué sur ses hanches, jouant un rôle de paréo, couvrant son fessier bombé et ferme ainsi que sa féminité.

Malgré son apparence fragile, donc, la belle ne l'est pas. Elle est franche en tout point. Elle ne pourrait pas mentir, de toute façon, avec un regard comme le sien. Elle est donc honnête, et loyale. Elle sait se montrer forte, ferme et proprement désagréable quand elle le veut. Et s'il y a bien une chose qu'elle ne supporte pas, c'est qu'on la prive de son indépendance, qu'on la considère comme une petite chose à protéger, sans lui laisser le loisir de choisir ou d'affirmer ses idées. Ce que fit le Prince. Ce qui explique que la jeune femme soit rétive et ne veuille absolument pas se conformer aux règles qu'il souhaite établir. Ce qui explique aussi son refus de l'épouser. Puis, comme elle est très têtue, ça va durer longtemps cette histoire-là. Si on rajoute qu'elle est terriblement rancunière... Pas de doute, le Prince peut patienter mille ans qu'il n'aura pas sa coopération. Pourtant, il n'est pas moche. Elle est attirée par lui. Mais ses méthodes expéditives et machistes l'ulcère, alors elle ne pliera pas de son plein gré.

Cette jeune dame a l'immense privilège d'avoir été choisie par un Prince, mais elle ne conçoit que dégoût pour ce dernier. Lassé alors d'attendre son consentement pour l'épouser, il fit glisser une drogue dans sa nourriture, qui la rendit aussi malléable qu'une poupée. De son plein gré (un peu forcé), elle consentit alors à l'épouser, liant sa vie à celle de cet homme imbu de sa personne. Lors de la nuit de noce, elle était toujours sous l'influence de la drogue et le Prince lui ravit donc son hymen tout en implantant en elle sa semence. Il souhait qu'elle lui donne un fils, rapidement, pour qu'elle lui soit liée à jamais. Pendant cinq semaines, il continua à la droguer, profitant de son état accomodant pour lui faire manger les plateaux-repas contenant l'annihilateur de sa volonté. Pendant cinq semaines, il la "fertilisa". Et ses efforts portèrent ses fruits puisque ses menstruations ne se présentèrent pas à temps. Il continua encore quelques temps, s'assurant qu'elle était bien enceinte, avant de faire cesser la drogue dans sa nourriture, de peur que ça nuise à l'enfant.

Elle entra dans une rage folle, lorsqu'elle reprit ses esprits. Mais comme elle n'était pas libre de ses mouvements, elle ne put rien faire contre l'inévitable. Au fil des mois qui suivirent, son ventre s'arrondit. Elle qui était frêle paraissait à présent sur le point d'exploser tant la grossesse était choquante sur sa silhouette menue. Et sa poitrine prit encore deux bonnes durant ce laps de temps. Après huit mois de calvaire, la délivrance arriva. Ce fut un travail long et douloureux, fastidieux. Deux jours durant elle hurla alors que les contractions se faisaient douloureuses. Puis, après une nuit éprouvante, son enfant quitta enfin son ventre. Elle s'évanouit, laissant le soin aux sages-femmes de baigner l'enfant et de lui trouver une nourrice.

Quand elle reprit conscience, on lui présenta son enfant. Une grimace lui tordit le visage et elle cracha aux sept autres femmes du Prince de le lui ôter de sa vue. Elle leur laissa le soin de s'occuper du gamin. Elle refusa de le voir, de lui donner un nom, de l'allaiter. Elle qui n'était, de base, pas très à l'aise avec les enfants (elle n'aime pas ça), son mépris s'accrût. Autant envers le fruit de ses entrailles qu'envers le Prince. Celui-ci, d'ailleurs, ne comprenait pas. Il aurait cru que l'instant maternel la ferait changer d'avis, mais c'était tout le contraire. Après tout, elle n'avait pas d'instinct maternel. Finalement, l'enfant fut élevé avec les autres fils et filles du Prince. Il s'agissait d'un garçon, et les autres femmes du harem le prirent bientôt en affection au contraire de la jolie rousse.

Pendant deux ans elle resta confinée dans la tour où les femmes du harem du Prince étaient. Sa faiblesse physique lui donnant un désavantage par rapport à son époux, elle était contrainte de subir ses assauts charnels. Elle avait retrouvée sa ligne fine. Elle avait entendu la sage-femme dire que, la prochaine fois qu'elle aurait un enfant, elle pourrait en mourir. Ses hanches étaient trop étroites pour ça. La jeune femme en avait conçu un intense soulagement. Dans le meilleur des cas, elle n'aurait plus à supporter le calvaire de l'accouchement. Dans le pire des cas, elle mourrait en mettant un second enfant au monde. Mais au moins, elle ne serait plus captive.

L'idée de se tuer lui était d'ailleurs déjà venue plusieurs fois en tête, mais elle était sous trop bonne garde. Elle songeait souvent à s'échapper. Après tout, le Royaume n'était pas si loin de Nexus. Elle pourrait y trouver refuge puis, de là, s'en aller pour de bon. Mais malheureusement, elle était constamment surveillée.

Un jour, le Prince décida de se rendre lui-même à Nexus, pour négocier un traité de commerce. Il souhaitait emmener trois femmes. Se disant que ça inclinerait peut-être sa rétive septième épouse à l'aimer, il déclara qu'elle ferait parti du voyage. Ce fut là l'occasion rêvée pour la jeune femme. Elle se tint tranquille jusqu'à l'auberge de luxe où ils s'arrêtèrent à Nexus. Elle resta silencieuse et morne les deux premiers jours. Puis, alors que la surveillance se relâchait, elle a fui. Elle a tout bonnement quitté l'auberge, l'air naturel, et a emprunté un dédale de rue pour semer d'éventuels poursuivant. Au final, elle se retrouva perdue. Mais libre au moins... Jusqu'à ce qu'un homme lui mette la main dessus. Le Prince avait fait couru le bruit qu'il avait une femme qui s'était perdue en ville, et elle lui fut rapportée contre une importante somme d'espèces sonnantes et trébuchantes.

Le séjour du Prince dura, et dura encore. Les deux autres femmes furent reconduites, dociles, mais pas la belle rousse. Elle était confinée dans une pièce avec une fenêtre à barreaux. Confortable pièce, d'ailleurs, avec narguilé, draperies, lit moelleux, etc... Mais elle était confinée.

c'est ainsi que débute le périple de notre héroïne sur LGJ.

.. Aurais-je oublié un truc d'important ? Ha oui. Notre héroïne âgée de 21 ans se nomme Doris Peters, elle ne pratique pas l'amour entre femmes (Les autres épouses ont essayé de l'y initier pourtant), et elle possède la capacité latente de se changer en louve ainsi qu'une insensibilité à la magie et une imagination débordante dont surgissent, parfois, quelques créatures. Vites abattues par les gardes du Prince, cela-dit.

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