Tekhos Metropolis / Tekhoïsation [pv Miranda Forge]
« le: samedi 05 novembre 2016, 15:10:53 »- Je ne comprend pas pourquoi on doit livrer cette fille à la GWC.
- Ce sont les ordres tu sais bien. Ce sont eux les têtes qui inventent l'équipement qu'on utilise sur le terrain. S'ils veulent cette gamine, alors on doit leur donner.
- Mais pourquoi ils en ont besoin? À part les cornes elle semble normale.
Les deux femmes faisaient mention d'Angurva qui avait été capturer la veille alors qu'elle trainait au alentour de la ville. La fille sabre était enfermée dans le container-cercueil, enchainée et attendant ce de voir le traitement que ces femmes lui réservaient.
- J'ai fait partie de l'équipe qui a capturer cette petite et bon sang elle en a dans le bide, je peut te le dire. On était une quinzaine tu vois? Préparées et en plus on avait le soutien de trois robot blindés. Bah elle a balancer des ondes d'énergie partout et les blindés ont bien morflé. Enfin rien d'irréparable cela dit mais ils vont passer du temps en réparation.
- Il y a eu des morts?
- Non. Mais à force de balancer ses attaques sur l'équipe de capture, bah elle en a blessées certaines. Des os brisés à force d'être envoyer dans les airs. Moi j'étais à l’arrière pour m'occuper de la logistique comme d'hab donc ça va j'ai rien eu. C'est dans ses moments là que je me dit que j'ai bien choisie mon affectation.
- Et on est que toutes les deux pour surveillé un monstre pareil?
La femme commençait à pâlir en regardant en direction du container où ce trouvait le sujet capturée.
- Ne t'en fait pas. On lui a mit des menottes en Obsidienne, ça neutralise la magie, un cadeau venu de Nexus je crois bien. Parce que ce serait une créature magique, tu vois? Comme les licornes mais en plus mignon. Il parait que les filles dans les labo aiment bien ce genre de bestiole, paraitrait même qu'il y aurait un dragon dans un labo de recherche en ville. Non mais t'imagine un dragon à Tekhos? C'est sans doute des conneries mais imagine un peu le truc.
- Je vois ouais... J'y connais rien en magie moi.
- Moi non plus, je sais juste que ça peut nous péter à la tronche si on fait pas gaffe. Je suppose que les grosses têtes veulent étudier la petite pour ses capacités magiques. M'enfin c'est tout de même plus agréable à transporter qu'un Formiens, surtout que là elle semble calme.
- Tiens en parlant de Formiens je t'ai pas dit la dernière? Il parait que Vanessa a réus.....
À partir de là, les blabla des deux soldates n'intéressait plus la fille sabre qui écoutait leur élucubration depuis le début. Elle ne savait pas ce que le destin lui réservait et ces deux femmes non plus on dirait. Enfermée dans sa boite, la demoiselle réfléchissait à la suite des événements et cherchait à comprendre pourquoi elle avait été agressée par ses femmes. Elle ne faisait que vagabonder la veille quand un groupe de soldates lui tombèrent dessus près d'une grande ville faite de tour brillante à l'horizon, comme si elles étaient faite de miroir. Angurva dût ce battre contre cette attaque soudaine, envoyant ses ondes d'énergie sur ses assaillants, surtout sur les trois robots qu'elle confondit avec des géants en armure. Les tirs laser qui avait pour but de la neutraliser semblait inefficace, sa capacité à absorber l'énergie environnante lui permettait de compenser rapidement les dégâts subit. Pas habituée à la technologie, elle finit par s’écrouler après un âpre combat quand une des soldates utilisa un fusil envoyant des impulsions électriques qu'elle était incapable d'absorber. Paralyser et inconsciente, on lui mit rapidement les menottes d'obsidiennes pour éviter toute mauvaise surprise. C'est après qu'elle se retrouva dans cette boite en direction d'un lieu inconnu.
Quelques heures on passées et la fille-sabre ce trouvait à présent dans un lieu totalement inconnu et probablement secret. Dans une salle au mur blindée et sans tain donnant la possibilité au chercheuse d'observer le cobaye sans que l'inverse soit réciproque. Angurva avait déjà essayée de détruire les murs à l'aide de ses attaques mais au vue des pauvres résultats, elle finit par abandonner et s'assoir par terre dans un coin de la pièce. De l'autre côté des vitres, deux femmes en blouse blanche observait la demoiselle en regardant de tant à autre leurs notes.
- Donc voila le dossier: Cette créature ce fait appeler Angurva, le ruisseau de l'angoisse ou l'épée banshee, par les peuples moins cultivé. Ce serait une épée enchantée ayant prit conscience et forme humaine il y a deux milliers d'années d'après les dire.
- Et qu'en ai t'il de ses capacités?
- Elle serait capable de manipuler l'énergie vitale et magique à sa guise, en l'absorbant et en la relâchant via des attaques fulgurantes. Cette capacité là pourrait être un atout si on arrive à l'appliquer sur nos unités blindées, elles n'auraient pas besoin de ce recharger.
- Ça c'est à la cheffe du projet de décider de ce qu'on en fera. Quoi d'autre?
- Elle peut reprendre sa forme de katana à tout moment, et octroie à son manieur une force et une vitesse accrue, sans oublier son aura protectrice.
- Les anciens ont vraiment fabriquer une créature étonnante... Est ce qu'elle a passé le teste psychologique?
- Oui en arrivant. Elle semble docile, même si je suppose qu'elle n'aime pas la situation dans laquelle elle est, mais elle ne semble n'avoir aucune émotion plutôt des sortes de.. mime. Elle semble mimer les humains pour essayer de comprendre leur comportement.
- Une arme qui cherche à devenir humaine? Je trouve ça effrayant.
- Mise à part ça, la psychologue n'a rien relever de spécial mais avec une créature ne possédant que des brides d'émotion c'est sans doute normal. Elle propose de faire d'autre séance pour....
- Pas la peine. Essayons de profiter de sa docilité pour mener à bien nos expériences. On attend la cheffe et les autres puis on lance les premiers test sur ses capacités.
C'est dans ce laboratoire à l'allure froid que la lame vivante était retenue contre sa volonté. Les scientifiques de Tekhos lui préparaient un paquets de test mais elle ne s'en doutait pas, Angurva ne comprenais tout simplement pas ce qu'elle faisait ici et elle restait dans son coin à attendre.