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Sujets - Snow Burton

Pages: [1]
1
Le quartier de la Toussaint / Derrière le masque (Sentinel Prime)
« le: dimanche 08 juillet 2012, 14:37:21 »
Je jette un bref regard à la pendule. C'est bientôt l'heure de filer au charbon. Surtout qu'aujourd'hui n'est pas une journée comme les autres. En effet, par manque de temps, il m'a fallu passer une petite annonce dans les journaux locaux, afin de trouver assistance pour le bureau. Avec l'organisation, je suis toujours par monts et par vaux et j'en viens cruellement à en pâtir sur mon travail. Aussi, quoi de mieux qu'un assistant pour me seconder ? Non pas que je cherche un larbin, je ne pourrai pas me permettre de le traîner dans mes pattes constamment, mais tout du moins quelqu'un qui pourrait se charger des articles qui nous permettraient de manger, le temps que je ramène les affaires plus juteuses et bien plus lucratives.
Lorsque j'ai passé mon annonce, je me suis bien gardée de noter en paraphe "Snow Burton", la pègre me vouant presque un culte compte tenu de mes papiers élogieux à leur sujet et je me serai mal vue faire passer des entretiens avec tous ces malfrats qui ne rêvent que de me rencontrer. J'ai donc opté pour un prénom d'emprunt on ne peut plus commun et l'une des candidature a particulièrement retenue mon attention. Un homme, qui semble débuter dans le métier et qui cherche à quitter son magazine miteux, dans lequel il ne trouve vraisemblablement pas beaucoup d'intérêt. Je lui ai donc adressé une lettre en bonne et due forme, où je lui fixe un rendez-vous pour aujourd'hui, neuf heures.

Devant mon miroir, je repose ma brosse à dent dans le verre prévu à ce effet et nue comme un ver, je me dirige vers la chambre pour me vêtir de quelques vêtements. Un rapide coup d'oeil par la fenêtre me fait prendre conscience du temps radieux qu'il fait et j'en suis ravie. Pour une fois qu'il ne tombe pas des hallebardes sur cette fichue ville.
J'enfile alors un shorty rouge sang que j'affectionne tout particulièrement, en soie précieuse que j'ai fais venir d'Angleterre. Je me penche légèrement dans l'armoire pour me saisir d'un corset faisant l'ensemble, le nouant délicatement dans mon dos avant d'apprécier mon reflet dans le miroir. Cet ensemble sublime ma taille fine et j'esquisse un sourire en constatant le renflement de ma poitrine, on ne peut plus délicieuse enserrée dans cette soie doucereuse. Le décolleté est dés lors presque outrageux, mais il fait ma fierté.
Satisfaite, je déloge d'un cintre une robe noire en flanelle que j'affectionne tout particulièrement et que je passe rapidement. Elle arbore un décolleté plongeant où l'on peut voir apparaitre au sommet, la ligne rouge qui démarque le commencement de mon corset. Elle cintre ma taille on ne peut plus parfaitement et moule mes formes à la perfection, s'arrêtant à mi-cuisse. Je glisse aux pieds une paire d'escarpins vernis Louboutin, le noir rappelant ma robe et le rouge de la semelle, la naissance de mes sous-vêtements qui se laissent apparaitre. Je suis, on ne peut plus parfaite ! Vous en doutiez ? Pas moi.

Je m'empresse donc de glisser une tartine entre mes lèvres et file au dehors, ma mallette de cuir entre les doigts, dévalant les escaliers de mon immeuble. Par le temps qu'il fait, je décide d'un commun accord avec moi-même de prendre le temps de flâner dans les rues, appréciant le soleil caressant mon visage. La journée commence parfaitement n'est-ce pas ? Et bien non. C'est toujours dans ces moments où l'on s'y attend le moins, que quelque chose vous tombe dessus. Et pour moi, ça vient directement du ciel. L'atmosphère se charge subitement et de gros nuages menaçants s'amoncellent au dessus de ma tête. La première goutte me tombe sur le bout du nez et je laisse échapper un sifflement en accentuant mon allure. Des trombes d'eau se mettent alors à tomber drue et malgré le fait que je tente à courir aussi rapidement que mes escarpins me le permettent, tirant par instant sur ma robe qui tente à remonter sous l'eau qui la gorge à présent, j'arrive au bureau de mon journal complètement trempée des pieds à la tête.
En passant le seuil, je ne manque pas d'insulter copieusement les foutus Dieux qui ne m'ont accordé aucun répit et peste sur moi-même de ne pas avoir eu la présence d'esprit de me munir d'un parapluie. Le temps dans cette ville est bien capricieux, j'aurai du me douter qu'il piquerait une petite colère à peine aurai-je mis les pieds dehors.

Je rendre donc dans mon bureau, rejette ma mallette sur le fauteuil de cuir et regarde distraitement la pendule. Dans quelques minutes, il sera là. Je n'ai décemment pas le temps de me changer et peut-être même pas de me sécher. Mes cheveux dégringolant en cascade sur mes épaules ont perdus de leur belle coiffure et je dégrafe la barrette qui tentait de les maintenir en place avant de secouer la tête pour leur offrir un semblant de forme. Il est très rare que je lâche ma chevelure sur mon lieu de travail, mais je suis bien contrainte de le faire au risque de paraitre pour une débraillée. Les fines gouttelettes de pluie dégoulinent dans mon décolleté et je me penche pour me saisir rapidement d'une serviette pour m'éponger quelques peu, les fesses posées sur le bord de mon bureau. Je baisse le regard pour constater de l'eau qui continuer de s'infiltrer tout le long de mon corps et c'est lorsque j'entends un grincement que je lève à peine le regard, constatant d'une paire de chaussures sur le pas de la porte.
Ah... Il est là. C'est bien ma vaine. Ma position ne ressemble en rien à celle que devrait arborer votre futur employeur.

2
Les alentours de la ville / Plan foireux (PV Sentinel Prime) {Terminé}
« le: vendredi 22 juin 2012, 00:59:55 »
Une nuit noire. Sans lune. Comme on en voit certaines nuits du mois où les bas fonds de la ville se voient plongés dans l'obscurité la plus totale. C'est par ces nuits là que trainent au dehors, toute la racaille et les résidus qui alimentent cette ville et c'est pas ces nuits là que nous autres, membres du Voile de la Nuit, partons en chasse de nouvelles proies. Par nouvelles proies, j'entends bien sur de nouveaux adeptes des plaisirs occultes, les esprits les plus mal tournés qui saurons ravir nos rangs de leurs présences et ainsi, nous rendre toujours plus dangereux.
Vael m'a toujours interdit d'aller moi-même à l'encontre de ces énergumène mais lorsque je me suis trouvée ce soir dans les locaux de notre QG et que j'ai eu vent d'un certain groupe qui souhaitait se joindre à nous, je n'ai eu d'autre envie que d'aller moi-même à leur rencontre. Certes, je ne sais que peu de choses sur eux, sinon qu'ils sont dangereux et tout le bla bla. Mais je m'ennuie fortement et lorsque la lune se fait absente dans le ciel étoilé, je suis prise de furieuses envies de me défouler. Quoi de mieux pour cela, que de partir en quête. Aussi, prenant connaissance de leur repère, je me rends dans les hangar du port, seule, avec la certitude dans la tête, que si Vael venait à apprendre cela, je me ferai sérieusement réprimander. Mais j'ai passé l'âge de me faire gronder. Il me connait à présent suffisamment pour savoir que je suis loin de suivre scrupuleusement les ordres et préfère agir à ma guise. Me voilà donc devant la lourde porte, que je pousse sans un grincement strident, ne tardant pas à voir le groupe d'individus dissimulé dans l'ombre, tandis que ma silhouette se dessine sur le sol .

Je fais quelques pas dans la pénombre et ils cessent tous de converser, tournant leur attention sur moi alors que j'avance d'une démarche assurée et que je ne m'arrête que lorsque je me trouve à leur portée. Ils sont quatre, n'inspirent pas franchement confiance et je peux même distinguer dans les mains de chacun d'eux, quelques armes blanches.
Je ne semble pas pour autant intimidée et commence par m'exprimer.

- Je suis Snow Burton. Bras droit de l'organisation à laquelle vous souhaitez appartenir. Lequel d'entre vous est votre chef ?

Je peux voir leurs dents jaunâtres scintiller à la lueur du plafonnier recouvert de poussière et l'un d'entre eux se distingue des autres, repoussant ses congénères du bras avant de me faire face, restant tout de même à une certaine distance de sécurité.

- Toi ? Le bras droit du Voile ? Laisse-moi rire minette ! Tu ressembles plus à une putain de flic !

A cette remarque, je sens la colère affluer et je serre les dents pour ne pas les réduire tous en cendres d'un simple claquement de doigts. Je croise alors les bras sur ma poitrine et tente à prendre une pose plus assurée, le regard subitement noir

- Dis donc vermine, je ne te permets pas de m'insulter. Après tout, peut-être que vous n'êtes finalement pas au niveau pour nous rejoindre. Il faut tout de même disposer d'une certaine classe.

Et alors que je hausse un sourcil, je leur tourne le dos, prête à partir, visiblement déçue qu'il ne s'agisse que de pauvres imbéciles peu pourvu niveau intellectuel. Je fais donc quelques pas dans la direction de la porte, restant tout de même sur la défensive et l'un d'eux apparaît subitement devant moi, tout sourire aux lèvres, tandis que j'entends que ses petits copains se rapprochent dans mon dos.
Je tente un pas de côté, sans succès et me retourne rapidement pour voir apparaître les autres. Finalement, ils sont cinq. Un de plus, un de moins me direz-vous... Je sens déjà que mes paumes chauffent sous la colère qui m'assaille et alors que je tends la main vers eux, celui à qui je tourne le dos, s'empresse de me saisir les bras, pour les croiser dans mon dos, me faisant grimacer sous la douleur. Le chef de la bande se rapproche alors de quelques pas, un sourire goguenard aux lèvres et approche son visage du mien.

- Voyons, tu ne peux pas nous quitter déjà. Laisse-nous donc te montrer la dextérité dont nous savons faire preuve avec nos couteaux. - et il devient soudainement bien moins tamisé dans son langage - ou on peut t'baiser sinon. Ca pourrait être encore plus sympa !

Et l'autre dans mon dos renforce sa prise tandis que le rustre devant moi, approche dangereusement sa lame proche de mon épaule, faisant glisser la manche de ma veste, dévoilant mon épaule. Je ne quitte pas son regard des yeux et je peux y voir tellement de détermination que j'en viens à me dire "Merde, là faut que je trouve un truc"
Et mes mains rougeoient d'une couleur nouvelle alors que je sens que je ne pourrai bientôt plus contenir toute cette énergie qui ne demande qu'à sortir.

3
Ce soir, c'est le grand soir. Le grand soir pour quoi ? Nous accueillons au sein de notre organisation, un nouveau membre. J'aime tout particulièrement à m'occuper de l'intégration de certains, ma soif de pouvoir prenant souvent le dessus, mais bien souvent, je n'ai pas eu à la faire, les candidats étant parfait pour le poste.
Vael m'a "gentiment" déposé un bout de papier sur la table, avec pour seule inscription "  Gabriel Valmy". Je n'ai pas plus d'informations sur son identité, à savoir son métier ou quelques caractéristiques physiques pour le reconnaître plus facilement lorsqu'il entrerait dans la pièce. Après tout, à cette heure-ci, je doute que beaucoup de personnes ne tentent à se faufiler dans ces locaux.
En effet, j'ai choisis pour l'heure, de le recevoir dans la salle de réunion d'un grand restaurant, que j'ai réservé pour la soirée entière. Nous ne serons donc pas dérangé et le lieu est suffisant agréable pour que nous puissions y converser tout en se restaurant ou en buvant quelques verres.
Je fixe le bout de papier longuement, appréciant l'écriture de Vael et je m'approche du bar à notre disposition afin de pouvoir déposer deux verres sur la table basse, auxquels je rajoute quelques bouteilles de différents alcool, ne connaissant aucunement les préférences de mon invité. Je regarde la pendule, il ne devrait plus tarder à présent et je m'approche de la fenêtre donnant sur la grande rue.
Elle fourmille de monde à cette heure pourtant tardive de la nuit et je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire en sachant que tous les badauds qui trainent leur lourde carcasse, ne se doutent pas une seule seconde de ce qui peut se tramer aux détours des ruelles qu'ils fréquentent aussi souvent.
Notre organisation commence à recéler de quelques personnages fort intéressants, qui auront un impact tout particulier sur le déroulement de leur tranquille petite vie. Même si la police tentera forcément un jour de démanteler notre réseau, nous serons bientôt bien trop nombreux pour qu'elle puisse faire tranquillement son travail.
Ces flics alors, qu'est-ce qu'ils peuvent être stupides à ne jamais voir ce qui se trame sous leur gros nez empâté. Et lorsque ça leur tombe dessus, ils font mine de ne pas comprendre pourquoi. Quelques souvenirs de mes différentes confrontations avec eux me reviennent en mémoire et je serre les dents de frustration de ne pas avoir pu les corriger comme il se devait lorsque je les avais sous la main.
Mais un jour, je réparerai cet oubli et lorsque j'en tiendrai un entre mes doigts, il ne m'échappera pas aussi facilement.

Ce sont les bruits de quelques pas qui me sortent de mes pensées et quelqu'un frappe à la porte. J'informe l'inconnu d'entrer et c'est un homme grand et robuste, aux cheveux blonds qui fait son entrée.

- Gabriel Valmy je suppose ? Entrez et fermez la porte derrière vous. Venez donc vous asseoir.

Je lui désigne le fauteuil proche du canapé sur lequel je prends place et approche nos deux verres du bord de la table alors qu'une nouvelle personne entre dans la pièce. Un serveur me demande si, maintenant que mon invité est là, nous désirons quelque chose d'autre. Je le congédie aimablement en constatant que derrière le bar, plusieurs victuailles sont déjà à notre disposition et lui somme de ne plus jamais, en aucun cas, venir nous déranger. Il acquiesce et referme la porte derrière lui.
Assise dans mon canapé, je me munis d'un calepin et d'un stylo et je pose le regard sur Gabriel, sans sourire aucun, je m'éclaircis la gorge.

- Bien. Alors comme ça vous désirez rejoindre le voile de la nuit, hum ? Quelles sont vos compétences, votre métier, qui feraient que vous auriez l'étoffe pour cela ?

Et je patiente qu'il formule sa réponse, mon regard se baladant sur sa petite personne, constatant qu'il n'a rien du flegme des hommes d'affaire et encore moins de leur allure.

4
Ce soir est une de ces soirées toutes particulières, durant lesquelles je n'ai à écrire aucun article et durant lesquelles je m'ennuie prodigieusement. Je tourne sans cesse entre les quatre murs de mon appartement, au demeurant spacieux, mais rien ne me procure un réel intérêt. Je continue d'errer comme un lion en cage. J'enrage de subir pareilles situations !
Ce que j'aime particulièrement, prouver à ce monde bien trop sage, que d'étranges créatures hantent les ruelles sombres et qu'un monde insolite les accueille en son sein. Pour avoir déjà eu à me retrouver face à certaines d'entre elles, je suis bien placée pour juger de la véracité de mes dires. Mais je veux taper là où ça fait mal. Effrayer la populasse en leur énumérant les frasques de ces différentes créatures et leur noirs desseins quant à la survie de notre espèce. Bien que je ne me sente pas particulièrement concernée, me sentant plus proche de ces créatures que de l'espèce humaine. C'est juste créer un vent de panique qui me procure du plaisir, pas la dénonciation.
Et je tourne encore et encore, quand soudain me vient une idée. Je me précipite vers ma bibliothèque et balaye les vieilles couvertures de mes grimoires du bout de mon index. Ah ! Le voilà ! "Incantation diverses ou comment s'attirer les pires ennuis" Mouais enfin... la fin de ce titre est de moi. J'ai toujours eu une certaine appréhension à invoquer un démon ou une quelconque entité, la chose étant mal orchestrée, pouvant provoquer bien des choses. Et pas que des bonnes. Ce qu'il me faut, c'est de l'inspiration et quoi de mieux que de faire apparaitre sous mes yeux, un de ces démons de légendes qui pourraient me conter quelques unes de ses nombreuses victoires - histoire que je flatte un peu son égo - et par la même occasion, obtenir de lui peut-être quelques capacités supplémentaires.

Je m'attelle donc à la tâche. Je dispose ça et là les bougies nécessaires comme le précise scrupuleusement le bouquin et je dessine à la craie, le cercle de protection afin que je ne vois pas à vivre quotidiennement avec un quelconque monstre biscornu entre mes murs.
Je suis donc fin prête. Assise en tailleur au milieu du cercle, j'ai pris soin d'apprendre l'incantation par coeur afin de ne point perdre ma concentration légendaire.  Ma respiration se régularise alors que je ferme les yeux et prends une profonde inspiration.
- Demon olim clamávi. Coram me ego praecipio vobis. Et afferte mihi munera necessaria fortitudo. Demon olim clamávi.
Je répète cette douce litanie en boucle, jusqu'à ce que je sente un souffle chaud envahir la pièce. Un grondement sourd bourdonne jusqu'à mes oreilles et je reste concentrée autant que cela soit nécessaire, afin de ne pas faillir à ma tâche. Bien que mes yeux demeurent fermés, je peux sentir la luminosité de la pièce s'affaisser au fur et à mesure, jusqu'à ce que l'obscurité soit telle que je vois contrainte d'ouvrir les yeux afin de constater de ma réussite. Ou pas...
Seules deux bougies subsistent face à moi et il règne à présent un froid hivernal dans la pièce. Tout en conservant ma position, je plisse légèrement le regard afin de distinguer la forme se mouvant sous mes yeux. Puis, je reste tétanisée. Je laisse mon regard se poser sur le livre ouvert prés du cercle et je laisse un juron s'échapper d'entre mes lèvres.
Par Merlin, c'est qui celui-là ? Il ne ressemble absolument pas à la description fournie dans le vieux grimoire. Me serais-je trompé quelque part ?

- Et merde... qu'est-ce que j'ai fais....

5
Prélude / Qui s'y frotte, s'y pique... ( Validhéra ! )
« le: vendredi 08 juin 2012, 17:37:01 »
Nom/Prenom/Surnom : Snow Burton

Âge : 23 Ans

Sexe : Féminin

Race : Sorcière

Orientation sexuelle: Hétérosexuelle

Description physique : Snow est de ces jeunes femmes à la beauté étourdissante qui font tourner les têtes. Vous savez, le genre de nanas qui énervent.
D'origine, Snow est blonde, comme tous les membres de sa famille. De longs cheveux fins d'un blond des blés, à la douceur incomparable, encadrant un visage longiligne, vierge d'imperfection et à la peau parfaitement hâlée. On lui qualifierait presque une allure séraphique si on ne lui affublait pas déjà le surnom de "beauté froide". Mais depuis divers évènements, reniant les membres de sa famille, la belle a décidé de laisser derrière elle sa blondeur angélique, pour arborer fièrement une teinte bien plus sombre, en accord avec son tempérament actuel. Aussi, vous ne manquerez pas de la voir se pavaner de sa longue chevelure désordonnée, tout comme l'instant d'après, elle décidera de les assagir en les coiffant soigneusement.
La noirceur de ses yeux, légèrement en amande, n'a d'égal que la noirceur de son âme. Quand on plonge notre regard dans le sien, un long frisson nous parcoure l'échine. Bien qu'âgée de seulement 23 ans, elle imprègne une sagesse et un vécu significatif dans chacune de ses expressions faciales.
Elle n'est pas bien grande, mais suffisamment pour arborer les formes parfaites d'une vraie femme. Le teint légèrement hâlé, on apprécie de voir se soulever sous ses maigres vêtements, une poitrine, non pas opulente mais aux proportions parfaites pour son corps mince et athlétique. Un léger ventre plat accueille une pierre précieuse en son nombril, qu'elle ne porte depuis peu, qu'en de rares occasions, nous poussant sans conteste à laisser courir notre regard sur ses hanches graciles, débutant une paire de jambes à couper le souffle. Celles-ci, rehaussées par de jolies fesses rebondies n'en finissent pas de ravir le regard au plus offrant.
Elle ne porte que peu de bijoux, son arrogance lui laissant croire que sa beauté naturelle suffit amplement à faire d'elle un modèle de perfection.

Caractère : Snow n'est vraiment pas facile à vivre et elle ne fait rien pour arranger les choses. Si vous cherchez une amie, une confidente, une petite bout-en-train avec qui se payer de bonnes tranches de rigolades, passez votre chemin.
Capricieuse et colérique, on pourrait dire qu'elle est légèrement soupe au lait et ne supporte pas ou peu, d'être contredite ou même ne serait-ce qu'on lui coupe la parole, ce qu'elle marque comme étant une preuve irréfutable d'irrespect.
La solitude dans laquelle elle se complait ne fait pas d'elle un personnage vers lequel on a plaisir à aller, mais lorsqu'elle désire obtenir quelque chose, elle sait alors se montrer agréable et câline jusqu'à arriver à ses fins. Manipulatrice hors pair, elle saura jouer parfaitement avec les mots pour atteindre chacun de ses objectifs. Étrangement, si l'on hésite à s'approcher d'elle pour les rumeurs qui courent à son sujet, elle attire la curiosité des gens -hommes comme femmes- qui finissent toujours par tenter de s'en approcher, au risque de se brûler les ailes.
Snow privilégie toujours les mauvaises fréquentations, qu'elle juge plus divertissantes, mais il lui plait, quand elle aspire à plus de calme, à s'orienter vers des personnes qui se trouvent être son total opposé.
Elle s'ennuie vite et cherche toujours à pimenter sa vie par quelques nouveautés. Même si elle n'aime pas qu'on se permette de lui donner des ordres, dans certaines circonstances elle se plie volontiers à quelques petites réprimandes, jouant d'une moue timide qui trompe facilement son vis à vis sur ses réelles motivations. Mais attention, rares sont les personnes à bénéficier d'un tel privilège. Seuls les plus forts et les plus audacieux, auront alors la chance de pouvoir faire d'elle l'espace d'un instant, une douce petite poupée et toujours, cela au prix de nombreux efforts, voir même d'un peu de poigne Car ne considérez jamais ce que vous acquérez avec Snow comme acquis. Elle saura vous le faire comprendre par de douloureuses méthodes.
Malgré sa popularité certaine, Snow n'aime pas attirer l'attention sur ses divers agissements. Ne prêtant que peu d'intérêt aux rumeurs qui circulent à son sujet, elle tente à agir le plus souvent dans l'ombre afin de ne pas alimenter les langues de vipères, qu'elle aura tôt fait par la suite, de faire payer leur impudence.
Elle n'a pas la langue dans sa poche et ne rate pas une seule occasion de mettre les gens en boite. Son plus grand vice ? Appuyer là où ça fait mal, jusqu'à pousser les gens à bout. Peut-être est-elle un peu masochiste, en tout cas une chose est sure la perversité, la mesquinerie et la manipulation sont de mise.
Snow n'apprécie pas de rester sur un échec. Ce qu'elle veut, elle l'obtient. Et ce, peut importe les conséquences. Néanmoins, elle est une femme intègre, pleine de valeurs. Et bien oui, elle n'a pas que des défauts. C'est une femme honnête, ne mâchant pas ses mots certes, mais en qui on peut avoir confiance... pour peut que l'on n'ait pu l'obtenir.

Histoire : A l'âge de 6 ans, Snow assiste à la mise à mort d'un "esclave" de la propre main de son père. Alors que celui-ci pense avoir créée un traumatisme chez sa jeune fille, il se rend vite compte que dans ses yeux, ce n'est pas de la peur qu'il voit, mais de l'admiration.
Rapidement, la jeune Snow se révèle être une parfaite manipulatrice, usant de sa facilité à feindre l'innocence sans vergogne pour obtenir tout ce qu'elle désire. Même si elle suscite une certaine admiration chez ses parents, ceux-ci craignent rapidement pour leur état et inculque à Snow l'art et la manière de maîtriser ses impulsions, afin d'en user à bon escient. Nous entendons par là bien sur, quand cela est nécessaire et non pas à tout bout de champs.

Lorsqu'elle eu 11 ans, Snow se rendit compte que d'étranges choses se produisaient en sa présence. Issue de parents tout à fait normaux, elle se réveilla un beau matin avec la faculté de pouvoir user des forces de la nature.
Bientôt, elle pu se rendre compte que les animaux pouvaient répondre à son appel, que l'orage pouvait tonner si elle le désirait et bien plus encore, elle pouvait manipuler les énergies à toutes fins utiles. Toutes fins utiles ? Je m'explique. Une fleur dans les bois pouvaient prendre l'apparence soudaine d'un poignard affuté, son bol de chocolat pouvait alors se transformer en café amer et tout ce qu'elle décidait de voir changer, elle n'avait qu'à le prononcer pour que les choses agissent. Bien étranges choses que voilà...
Bientôt, elle ne pu plus garder tout cela pour elle et s'empressa de prouver à qui voulait bien le voir, tout ce dont elle était capable. Bien entendu, la plupart prirent peur et ses parents commencèrent à se détacher d'elle. Elle trouve réconfort auprès de son grand frère, qui s'avéra posséder les mêmes prédispositions et il devint dés lors, son précepteur.
Malheureusement, précepteur n'est censé qu'apprendre les choses qu'on lui a ordonné n'est-ce pas ? Mais bien vite, le jeune homme ressenti des choses bien plus forte pour sa jeune soeur et à l'âge de 15 ans, il en fit son amante.
D'un naturel dominant, il cherchait constamment à faire d'elle la soumise qu'elle n'était pas et Snow ne pu en supporter d'avantage. Elle quitta le manoir familial quelques mois plus tard, non sans avoir inculquer à son frère les derniers sévices.

Dans cette nouvelle vie qui s'offrait à elle, Snlow fut rapidement reconnue pour ses frasques et ses nombreuses aventures avec des hommes tous plus dangereux les uns que les autres.
Lorsqu'elle arrivait à faire d'eux de gentils petits agneaux, elle filait comme le vent, en quête de nouveaux frissons.
Aujourd'hui, la demoiselle est journaliste et quoi de mieux que cela, lorsque l'on désire nuire à tous ses semblables ? Véritable langue de vipère, méfiez-vous lorsqu'elle se trouve à vos côtés.

Situation de départ : Expérimentée

Autres :

Comment avez vous connu le forum : Google est mon ami.

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Malheureusement, aucun, sinon le bouche à oreille.

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