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Sujets - Sleiko

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Les alentours de la ville / Aperture Science ? [Alevtina]
« le: lundi 23 avril 2012, 23:50:22 »
Le Temps est une constante invariable, disaient-ils. Il a été prouvé qu'une multitude de points de départ pouvaient émaner d'un seul moment. Par exemple, prenons l'exemple du petit déjeuner. Si vous ne saviez pas que vous alliez vous étouffer avec votre tartine et en mourir, vous la mangeriez et mourriez. Mais supposons que vous le savez. Il se crée alors deux situations : celle où vous mangez la tartine et mourrez, et celle où vous ne mangez pas la tartine et n'en mourrez pas. On peut aussi trouver des cas intermédiaires, comme manger la tartine, et s'arrêter une bouchée avant que l'on s'étouffe, et ainsi continuer une infinité de fois ce scénario, jusqu'à revenir au scénario initial.

Quel est le rapport entre cette tartine et l'histoire de Sleiko Eld, lycéen et futur cobaye ? Il s'agit des points de divergence. Si Sleiko avait su ce qui se cachait derrière la lettre glissée dans le livre qu'il lisait, jamais il ne l'aurait ouverte, et jamais il n’aurait fait la "connaissance" d'Aza, la chercheuse dans le labo où il avait été emmené de force. Cependant, il a ouvert le livre, il a trouvé la lettre, et il l'a lue. Et ceci est aussi l'histoire de cette chercheuse, Aza, pour qui Sleiko n'était qu'un sujet de recherche de plus. Ou encore, pour Sleiko, la femme qui lui a tendu un guet-apens.

Encore faut-il replacer tout ceci dans le bon contexte. Bibliothèque municipale de Seikusu, silence de mort. Sleiko feuilletait des livres tranquillement, rassasiant sa soif de connaissances parmi divers sujets. Reposant un livre pour en prendre un autre, il vit de loin un homme en imper noir, borsalino et lunettes de soleil opaques. Le stéréotype même du type louche. Sleiko frissonna. Il commença à trembler lorsque l'homme en imper se rapprocha de lui, lentement. D'ailleurs, il fit tomber le livre tant il tremblait. Ce fut l'homme en imper qui ramassa le livre et qui le tendit à l'homme aux cheveux violets, avec un petit sourire. Sleiko se détendit. L'habit ne fait pas le moine, disait-on...

Du moins pensait-il quand il vit un papier dépasser d'une des pages. Il prit le papier en main, regarda le recto, le verso. Une enveloppe, sans nom. Aucun destinataire, pas d'expéditeur. La curiosité étant le propre de l'homme, et à plus forte raison le propre de Sleiko, il ne put s'empêcher d'ouvrir l'enveloppe et de lire ce qui était écrit sur un semblant de papier.

"Nous avons ce que tu recherches.
Viens dehors, nous sommes là.
                                         Aza."

Aza ? Qui était-ce ? A l'époque, il n'avait remarqué qu'une chose dans cette lettre, le manque total de style et le stéréotype total qui en émanait. Peut-être était-ce fait exprès ? Il n'y avait de toute manière qu'une seule façon d'être fixés. Sleiko s'approcha du bureau du bibliothécaire, fit les emprunts qu'il était venu faire et sortit, le cœur battant. Il n'entendait que sa respiration sifflante et ses pas. En dehors de sa propre existence, il n'entendait rien. Il descendit lentement les marches, et atterrit sur le palier de la bibliothèque, en face d'une femme aux longs cheveux noirs. Elle faisait un peu poupée sur les bords, d'ailleurs. Fallait-il mentionner sa taille ? Non, il était mal placé pour en parler. Avec ses talons, elle était plus grande que lui. Il se décida à ouvrir la discussion.


-Êtes-vous... Aza ?


Il ne put ni voir ni entendre la réponse. La seule chose qu'il vit fut une main se plaquer sur son nez et sa bouche, avec un mouchoir dans la main. Il tenta de se débattre, les yeux écarquillés, sans succès. Non seulement il n'avait aucune force, mais petit à petit, il se sentait de plus en plus faible. Il comprit bien vite. Chloroforme. Un piège. Pourquoi ? Il ne savait pas. Il ne voulait pas savoir. Il n'était pas en état de savoir, ni de réfléchir. Dormir...

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Chuchotements. Bruit de fond de la cour, pleine de monde. C'est la pause, il est aux alentours de midi. C'est à la bibliothèque que se trouve Sleiko Eld, encore en train de se documenter. Non pas sur le Temps, car il a déjà feuilleté tous les écrits à ce sujet. Essais, thèses, documents, tout et n'importe quoi. Non, en ce moment il se documente sur les armes. C'est un vieil écrit qu'il consulte ici. Des mythes et des légendes parlant des armes. Ce livre parle des plus connues, telles que Excalibur. Il fit cependant une grande découverte le matin même. Ce livre parlait d'une dague, une dague merveilleuse dont la description faisait rêver. Une dague au manche noir incurvé, et à la lame argentée. Tout ceci n'est rien comparé à la montre à gousset qui y est attaché, une montre argentée dont les aiguilles de rubis tournent à l'envers. Le plus important pour Sleiko est sa propriété, selon la légende.

"On dit que cette dague aurait le pouvoir de contrôler le Temps. Le ralentir, l'accélérer, ou même encore l'arrêter pour un court instant."

Sleiko savait que faire de cette dague. Les rouages de ses yeux ne seraient pas inutiles après tout. Mais il arrêta de rêver bien vite... Cette dague n'était que légende, après tout. C'est ce qu'il pensait, jusqu'à voir une photo dépasser de la couverture. Il la prit et regarda. La photo était l'incarnation même de la présence de la dague. Cependant, Sleiko reconnaissait trop bien l'endroit à l'arrière plan de la photo. Ces murs blancs et bleus commençant à moisir, ces traces de fumée et ces trous caractéristiques des balles à forte pénétration... L'hôpital désaffecté de Seikusu, l'hôpital Shibui. Repaire de la plupart des bosozokus et des dealers. Il était très peu probable d'y rentrer et d'en ressortir sans deux membres en moins. Il lui fallait trouver quelqu'un pour y entrer à sa place.

Pas de temps à perdre. Réfléchis, Sleiko, réfléchis...


Une personne lui revint en tête. Takuo, le grand vantard de la classe, qui affirmait haut et fort que Make Akuma, un brillant élève selon les dires, était en fait un membre d'une famille yakuza. Bah, ce n'était pas les affaires de Sleiko. Si ce Make Akuma était vraiment un yakuza, il serait celui qui l'aiderait dans sa recherche. Il sortit en courant de la bibliothèque, la photo à la main. Il entendit à peine le commentaire du bibliothécaire :


-Un peu de calme dans la bibliothèque, s'il vous plaît.


Il y avait encore le temps pour pouvoir manger. Donc, la première direction pour aller chercher était naturellement le réfectoire. Descendant les escaliers quatre à quatre, il manqua de bousculer une petit groupe de filles qui le regardèrent bizarrement. Le vent avait dû bouger une de ses mèches violettes, découvrant un oeil. Il jeta un coup d'oeil à la photo, et eut un peu de remords pour celui qui l'avait déposé ici. Puis ses remords se dissipèrent. Si il avait pu prendre cette photo, il faisait partie de la bande présente à Shibui. Et il se souvenait aussi d'une phrase d'une chanson : "It's okay to remove, copy and paste." Il allait donc se fier à ce commentaire.

-Akuma-san !


Il avait repéré l'homme au loin, et avait encore accéléré. Il eut du mal à s'arrêter à temps, et le salua rapidement. Cet homme n'était pas un élève plus gradé, et pourtant il le dépassait d'une bonne tête. Comment allait réagir Make Akuma à la vue de la photo et à la requête de Sleiko... Présentant la photo, Sleiko prononça une phrase qui scellerait son destin.


-Make Akuma, yakuza, j'ai besoin de vous pour récupérer cet objet.


Le mot "yakuza" était particulièrement prononcé. Même si ce n’était qu'une rumeur, l'homme allait réagir si il faisait vraiment partie d'un clan de yakuzas. Ainsi raisonnait Sleiko. Toujours direct, ne jamais tourner autour du pot. Il avala difficilement sa salive, la goutte de sueur perlant à sa tempe, attendant la réponse du prétendu yakuza.

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Le coin du chalant / Même au beau milieu du temps qui passe...
« le: samedi 21 avril 2012, 13:22:01 »
Ici, c'est le topic pour notre cher Sleiko. Envie de rp avec le toucheur de culs imbu de lui-même ? Qu'il en soit ainsi. Il vous suffit de savoir quoi faire de lui. Proposez, je ne refuse qu'une chose, le yaoi.

Trames prédéfinies : [3]

-Sleiko cherche à comprendre le temps. Vous avez quelque chose qui pourrait l'intéresser ?

-Mais qui est cet homme étrange assis à une terrasse de café, en plein soleil, avec un bonnet bleu et une longue veste bleue, et qui compte jusqu'à 60 et qui recommence à 0 juste après ?

-Vous avez vu les yeux de Sleiko ? Vous n'auriez pas dû. Il va tenter de vous le faire oublier. Le dominer, se moquer de lui ou encore tenter de le raisonner, la balle est dans votre camp.

4
Prélude / Les rouages du temps, je les sens. [ValiNOMDEZEUSdée !]
« le: vendredi 20 avril 2012, 20:35:33 »
Nom : Eld

Prénom : Sleiko

Surnom : Il aime se faire appeler le "Gardien du Temps". Il n'est rien de plus qu'un E.S.P.er...

Âge : 19.

Sexe : Gr... Masculin.

Race : E.S.P.er

Orientation sexuelle: Profondément homophobe au niveau des hommes. Quand c'est des femmes, ça ne lui dérange pas de regarder et/ou de s'y inviter.

Description physique : Sleiko est un homme. Ca, on en est sûrs et certains, il s'agit bel et bien d'un homme, malgré sa tête de profond androgyne. Que dire sur un homme dont on voit très peu le visage ? Premièrement, ses longs cheveux violets couvrent ses yeux de manière admirable. Et ses yeux ? Gardons ce détail pour la fin. Le visage en lui-même est extrêmement fin. Revenons-en donc à ses yeux... Le jour où vous verrez les yeux de Sleiko, vous y verrez des yeux semblant être en perpétuelle rotation. Ses deux grands yeux bruns sont en fait des rouages cuivrés tournant sans arrêt. Les rouages du Temps. En dehors de son visage, son corps est relativement maigre et peu musclé. On pourrait dire que ses vêtements pèsent plus lourd que lui pour se moquer.

En parlant de ses vêtements, on peut noter la présence d'un manteau long bleu bardé de sangles un peu partout, d'un sarouel d'un bleu un peu plus clair, et enfin d'une paire de bottes bleu nuit. La veste a certes une capuche, mais il ne l'utilise pas. Il préfère une sorte de bonnet bleu un peu lâche. De temps en temps, vous le verrez avec des gants bleu nuit.

Caractère : Vous le comprendrez avec l'habillement, Sleiko aime le bleu. Ses cheveux violets sont en fait une teinture bleue ayant lamentablement raté, et il porterait des lentilles bleues si il pouvait mettre des lentilles. Cependant, ses yeux sont sans arrêt en rotation rendent la chose impossible. Sur cet aspect, vous pourriez le comparer à Michou, mais il a énormément de culture et vous collerait une claque qui ne vous ferait pas mal. Oui, il est cultivé. Son intelligence et sa soif de connaissances l'ont poussé à lire les ouvrages les plus complexes des plus grandes bibliothèques. Cette même intelligence et culture l'a rendu, par ailleurs, totalement mégalomane. D'un narcissisme absolu, d'une estime de soi poussée au ridicule, Sleiko raisonne de cette manière : "Je dirigerai le monde tôt ou tard". Cette même mégalomanie a fait naître chez lui un tic dérangeant : si une fille a un postérieur à son goût, il ne repartira pas sans lui avoir mis une grande claque sur le derrière.

Histoire : Sleiko est un homme banal, avec une histoire banale, sauf sa race. Mais puisque je dois quand même la raconter, allons-y. Sleiko est né. C'est un fait, il est né. Il est né, Ô Surprise pour un E.S.P.er, à l'hôpital de Seikusu, département maternité. Sans doute aurait-il été pris pour mort si ses yeux ne clignaient pas de temps en temps. Pas un seul beuglement de bébé à la naissance, non. Un regard paisible jeté sur l'assemblée qui était venue voir l'accouchement. Un regard dérangeant, même. Le nouveau-né qui observe les gens observer. Ceci pourrait donner une mise en abyme fort cocasse. Il grandit entouré de ses parents, comme tout enfant chouchouté par ses parents, avec le bonus que lui n'était pas un gamin braillard. Il était très calme, voire même taciturne. Cette période était en quelque sorte l'âge d'or de Sleiko. C'était la période où, en fait, Sleiko ne parlait pas parce qu'une partie de son pouvoir d'E.S.P.er venait de se déclencher : les rouages dans ses yeux s'étaient activés, il voyait le temps passer. Ce que nous autres humains percevons inconsciemment, le temps qui passe, lui le voyait très clairement. Il avait donc, pendant cette période de grand calme, la tête qui lui tournait beaucoup trop pour pouvoir parler sans vomir. D'un autre côté, il a pu remarquer quelque chose : les rouages du temps tournent moins lentement le jour que la nuit. Le temps "passe" plus vite à minuit qu'à midi, comme nous le percevons inconsciemment. Il en est venu à constater qu'une minute à midi contenait 69 secondes, et une minute à minuit en contenait 52. Toutes ces grandes découvertes lui firent perdre cet aspect de tête qui tourne, et la tête tout court. Il se mit à se documenter sur tout et n'importe quoi, en particulier des écrits théoriques sur le temps. Cette soif de connaissances fit monter en lui une pensée profondément narcissique : "Avec toute cette connaissance, je peux dominer le monde". Dommage pour lui, il ne sait même pas ce qu'est un E.S.P.er, ni Terra, ni rien. Cependant, il se mit en tête de devenir le plus grand toucheur de culs du monde. Ainsi commencerait son ascension vers le pouvoir ultime.

Situation de départ : Puceaupuceaupuceaupuceaupuceaupuceaupuceaupuceaupuceau !

Autres :
-Il peut voir littéralement le temps passer : comme en transparence, il voit les rouages constitués par le Temps tourner. Il évite, à cause de ce don, d'aller dans les manèges à sensations fortes.
-Son pouvoir d'E.S.P.er n'est pas totalement éveillé. S'il s'agissait seulement de voir des rouages tourner...

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