Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Oneiros

Pages: [1]
1
/ Titre issu de Shakespeare, La tempête. /

“Mmph”.

Le réveil, avec son petit soleil qui écrase déjà bien la gueule, n’était pas son point fort. Les vannes les plus récurrentes à son propos portaient sur sa relation avec le sommeil ; dieu de celui-ci, il passait pourtant une maigre poignée d’heures à dormir, et, quand il se réveillait, il n’avait rien d’une fleur fraîche qui s’éveille dans la rosée du matin. Au fil du temps, il lui semblait même que, peu à peu, le vin faisait partie de son aura naturelle. Il attendait le jour où il en serait dégoûté - mais l’éternité lui laissait le temps de s’en lasser mille fois, puis d’y revenir au moins autant de fois. Il avait eu une période de creux, quand sa mère, bien trop friande à son goût des excursions sur Terre, lui avait fait découvrir la bière ; mais celle-ci lui tapait trop sur le foie. Les caves de Dionysos avaient fini par l’aspirer à nouveau ; la volonté n’était pas sans plus grande qualité.

Oneiros étira son bras sur le lit, vérifiant qu’il était bel et bien vide. Il soupira de plaisir en constatant que c’était le cas, avant de capturer son visage dans ses mains. Tant pis pour l’heure - la notion de temporalité s’effritait vite au contact de l’immortalité - et tant pis pour tout le reste, ses obligations, la visite de courtoisie à Hypnos, les récits éclairants de ses amis sur deux trois black-outs de la veille. Il se redressa en s’étirant, calculant avec précaution la distance qui le séparait de son bain. Une dizaine de mètres. Bon. Courage. Une vague de fatigue s’empressa d’engourdir ses muscles, et il retomba dans son lit. C’était une de ces belles journées où il n’avait envie de voir personne, excepté lui-même et … Et elle.

Elle, c’était cette fille dont il ne connaissait pas le nom mais qui, chaque fois qu’il rejoignait le monde des rêves pour flâner, le surprenait. Il avait beau user, encore et encore, de ses pouvoirs pour bâtir chaque petit fragment de ses songes - dans lesquels il s’engouffrait de plus en plus régulièrement, au grand damn de sa mère qui le traitait de petit con, pour la simple et bonne raison qu’il évinçait la réalité trop facilement et fréquemment à son goût - elle était toujours là, et elle faisait toujours ce qu’elle voulait de cet environnement onirique qu’il devait pourtant avoir la faculté de maîtriser. Pourtant, à sa connaissance, il n’existait aucune déesse des songes qui pourrait être sa rivale ou simple compagne de jeu. Il n’y avait que lui. Hypnos, plus haut, oeuvrait à des entreprises qui lui échappait un peu ; et, s’il avait eu des doutes, pensant que cet ancêtre divin se grimait en petite blonde, ce dernier l’avait vite calmé : non, non, Hypnos ne traînait pas dans ses songes, il avait bien mieux à faire.
Il ne se formalisait pas de la présence de cette fille, au contraire. D’autant disaient qu’il était encore trop jeune, trop attiré par les femmes pour oser lui rentrer dedans ; lui trouvait simplement cette compagnie spectrale agréable. Jusque là, ils n’échangeaient que des regards, se croisaient, réciproquement surpris, l’un comme l’autre, de voir un autre être vivant dans les parages. Il lui arrivait de la voir sans qu’elle le sache, et il commençait à se dire que le contraire devait être au moins aussi vrai. Et quand il ne la voyait pas, il profitait de cette solitude tout en se sentant légèrement déçu.

Oneiros sortit de son lit dans un petit grognement, les muscles rompus. Il se traîna, avec assez peu de grâce et beaucoup d’épuisement, vers son bain ; situé près de son lit, il consistait en une vasque immense creusée dans le sol. Que l’eau soit froide, il s’en foutait un peu ; il n’avait qu’à fermer les yeux, rejoindre le sommeil, pour qu’elle se réchauffe. Et c’est exactement ce qu’il fit. Il profita de quelques minutes de détente, avant d’atteindre un nouveau palier dans le sommeil ; un endroit dans lequel il pouvait passer des heures. D’humeur bucolique, il dessina un temple grec en ruine, des plantes, partout, ruisselant sur la pierre comme des petits cours d’eaux, un ciel paisible, aucun oiseau (leur piaillement était insupportable pour ses pauvres petites oreilles divines). Il ajouta, ici et là, des bosquets et des arbres, une cascade dont les remous et les sursauts charmaient particulièrement ses tympans, et quelques autres fragments en ruine ; ici des colonnes, là des atriums envahis par les mauvaises herbes. D’un souffle, il donna au ciel la teinte d’un crépuscule lent et vaporeux, avant d’ajouter, sur sa peau, un kimono trop large taillé dans le tissu d’une toge.

C’était tellement cliché qu’il adorait ça. Le dieu qui se repose dans la nature, avec une certaine langueur et une autorité foutrement divine, un brin insolente. On a beau être immortel, on n’a vingt qu’une fois ; il l’avait réalisé après avoir été élevé par sa mère : elle avait beau avoir la beauté d’une femme bien avancée dans la vingtaine, sa tête était ruinée par les années, les années, et encore les années. Son nihilisme passait pour incorrect venant d'une divinité, mais il persistait à y voir une forme de sagesse qu’il finirait par atteindre, un jour ; alors, ils se saouleraient ensemble, sur Terre, blasés tous deux de tout ce que le(s) réel(s) pouvai(en)t apporter. Seulement, pour le moment, son insouciance lui collait au corps, et il en profitait autant que possible, conscient que cela finirait bien un jour.

"Viendras-tu, dis-moi."

Il se parlait à lui-même, avançant entre les ruines, faisant pousser des montagnes à l'horizon, changeant leurs teintes d'un battement de cils, transformant l'eau en vin, en rhum, puis à nouveau en vin, et faisant glisser le ciel du bleu nuit tendre au rouge un brin sanguin. Les nuages se posaient dans le ciel, immobiles, avant de bondir, de se déchirer dans les airs. Le souffle frais et léger du vent, il le fit enfler, exploser ; le bruit de l'orage fit craquer un ciel parfait à trois reprises, avant de s'éloigner, pour n'être plus qu'en fond sonore. Il dessina une statue, haute, imposante, qu'il émietta du regard ; elle devint un tas de sable, qui s'envola en spirales dans les airs, puis en tornade, avant de disparaître tout simplement. Ce simple plaisir de maîtriser son environnement le rendait tout simplement heureux.

C'était un de ces plaisirs égoïstes qu'il lui fallait.

2
Vous nous quittez déjà ? / Une incartade.
« le: vendredi 28 décembre 2012, 12:37:49 »
Je pars au Pays de Galles.

Voilà, c'est dit, de but en blanc. Je reviendrais, ne vous inquiétez pas. Enfin, je veux dire Oneiros, Kina Mara, Héra, Neena, Sappho (pour ne citer que mes personnages actifs du moment) reviendront.

Mais, en attendant, je pars au Pays de Galles. Je ne rentrerais que dimanche prochain, pour ensuite repartir sur Lille pour mes examens. Vous comme moi savez ce que cela veut dire ; Lille équivaut à "aucune connexion". Ajoutons que le week-end du 12 et du 13 je serais sur Paris, donc pas de moi sur LGJ.

Bref, je vais revenir, mais ce sera sûrement peu régulier, et sur des coups de chances ( "Aah, Dimitri, je peux te piquer deux secondes ton ordi et ta connexion, surtout ?" )



3
Les terres sauvages / ... Des arbres ? [Ukiyoe]
« le: mercredi 26 décembre 2012, 19:07:52 »



Période de Noël. Bon, ça il l'avait compris. Les humains adoraient planter des arbres dans leur salon, le décorer, s'offrir des présents et s'empiffrer pendant des heures. Plus j'les connais, moins je les comprends. Des tailles fines ornaient chaque magazines, mais eux mangeaient, mangeaient, mangeaient ... 'fin, ils ont bien raison. Grâce à quelques sorts d'hypnoses assez simples – qui matérialisaient de l'argent -, Oneiros s'était offert des spécialités « d'en bas ». Le foie gras, le confit d'oignon, la confiture de figue, il avait plutôt aimé. Mais les grandes villes aux lumières gerbantes et vite agaçantes, il commençait à saturer. Refermant son kimono, il arpenta une dernière fois la grande rue commerciale, souriant à quelques filles. Décidément, les humaines … Elles avaient un charme délicieux. Leur innocence, cette pureté, il ne pouvait que l'apprécier grandement. Oneiros, comme beaucoup de dieux, ne ressentait pas le froid. Enfin, si, une légère bise lui donnait quelques frissons, mais cela ne le gênait aucunement. Mais pour descendre sur Terre, il avait abandonné son kimono habituel : pantalon noir, chemise blanche entrouverte, veste d'encre, chaussure de la même teinte. Il faisait très humain, si ce n'est qu'il n'avait aucun manteau. Sa mère avait conservé ce que son père appelait des « frusques » , qu'il lui avait piqué sans qu'elle s'en rende compte. Le jeune dieu des songes avait du mal à se dire que sa mère portait parfois ce genre de tenues. Toujours est-il qu'il quitta la ville. Après la Terre, Terra! C'était sa petite sortie de Noël. En Olympe, peu de gens considéraient cette fête comme une occasion de faire une méga fiesta. Sauf la petite prêtresse de Dionysos, le dieu lui même, Kyô et quelques prêtresses en mal d'ambroisie et d'amour. Parfait.

En un claquement de doigt, il se retrouva sur le plan de Terra. Mais pas où il l'aurait pensé. C'est quoi ce bordel? Autour de lui ne s'élevaient aucune maisons, aucun auberge, juste des … arbres. Oui, des arbres. Oneiros secoua la tête. Il aurait donné beaucoup pour savoir où il se trouvait. Cette téléportation toute neuve, il la contrôlait encore mal. La fois passée, il s'était retrouvé dans la chambre d'une Tekhane endormie … Mais il gardait un bon souvenir de cette erreur. Alors que là, franchement … Des arbres ? Il sortit un paquet de cigarette de sa poche, s'en allumant une avec précaution. Quitte à être là, autant en profiter pleinement. Il fit quelques pas à droite, à gauche, cherchant un chemin éventuel, et marcha pendant une petite trotte.

- … Mh.

Oneiros expira bruyamment, s'appuyant contre un arbre. Il sentait quelque chose. Il sentait qu'il y avait quelque chose, pas loin. L'air ambiant était différent. Le jeune homme écrasa sa cigarette sous sa semelle, prenant soin d'enfermer le mégot avec les autres cigarettes – pas question pour lui de la jeter dans la nature – et passa sa main dans ses cheveux.

- Charmant.

Il reprit sa route, les mains dans les poches, son regard s'hasardant ici et là. Il sentait bien qu'il allait tomber sur quelque chose.


4
Le coin du chalant / ... Extase.
« le: jeudi 08 décembre 2011, 02:28:57 »
Lançons Oneiros dans le monde ... Enfin, surtout en Olympe. Pour le moment, il ne peut se rendre seul sur Terre, ne connaissant aucunement cet endroit. 'fin, s'il doit se rendre sur Terre, j'inventerais un prétexte, ne vous inquiétez pas ...


Quelques précisions, avant de jouer :

o/ Oneiros est le fils d'Héra et d'Arès, mais pas officiellement. Pour les autres dieux, l'identité du père de ce jeune dieu est Zeus.

o/ Je dis jeune dieu, car il a 20 ans.

o/ Il est le dieu des songes, des rêves, des cauchemars. Si bien qu'au fur et à mesure de sa vie, il parviendra de moins en moins à faire preuve de stabilité, passant du Rêve au Cauchemar en un clin d'oeil.

o/ ... Et puis voilà.



Trame(s)

Olympe
.


Congrés, réunion, autres joyeusetés ... Oneiros s'ennuie à mourir. Allons, vous avez bien quelque chose à proposer à ce jeune dieu ... ?

Oneiros vient tout juste d'être institué dieu. Une immense fiesta est organisée chez Dionysos pour marquer le coup, et vous êtes de la partie.

Oneiros doit vous hypnotiser et vous mener dans un monde inventé de toutes pièces ... Le hic ? Il maîtrise assez mal ses pouvoirs tout neufs.

Suite à un entrainement, Oneiros rentre en Olympe couvert de bleus, de griffures et de traces de coups ... En le voyant ainsi, vous vous inquiétez.

[Réservé déités] - Vous avez entendu parler du fils d'Héra pour une raison ou pour une autre, et décidez de le rencontrer.

Ce sale mioche vous a joué un vilain tour ? ... Que la vengeance commence ... Ici, tous les coups sont permis !

[Réservé prêtres/prêtresses] - Vous envisagez, par la suite, de rentrer au service du dieu des Songes, et profitez d'un banquet pour le séduire.

[Réservé déités] - Entre dieux, il est de coutume de se lancer des défis ... Quel sera le vôtre ?


Terre
.

Première escapade sur Terre : Le jeune homme y découvre les joies de la vie que son père nomme "tristement humaine" ... Sauf qu'Oneiros compte bien s'éclater.

Fils adoptif de Zeus, il possède un de ses plus grands défauts : un amour incontesté pour les humaines. Laquelle de vous croisera sa route ?
(Une variante avec un homme est également possible. )



C'est pas grandiose, mais je peux créer d'autres trames, diverses et variées !

5
Prélude / Nothing can kill us. (Enfin, surtout lui) [Valiplanté!]
« le: mercredi 07 décembre 2011, 19:46:07 »
Oneiros



Oneiros est un jeune dieu, fils d'Héra & d'Arès.

Il vient de fêter ses 17 années*. A ce jour, c'est le dieu le plus jeune d'Olympe.

Sexuellement, quelques prêtresses & quelques prêtres à droite et à gauche … Tout lui va. Tant qu'il prend son pied.



Caractére

Malgré son caractère turbulent, il s'efforce de respecter ses parents. Il revendique d'ailleurs – quand ça l'arrange … - d'être issu de ce couple. On le voit comme un sale gosse issu d'un adultère, mais cette idée l'amuse plus qu'elle ne le gêne.

Il a la tâche de veiller sur le sommeil des gens, et d'y insuffler des rêves & des cauchemars de sa création. On s'imaginait partout en Olympe qu'un dieu chargé de cela se devait d'être calme, mais … Ce ne fut pas le cas. Mais alors pas du tout. Demander au fils d'un dieu de la guerre de se montrer patient et posé, c'est une grosse blague. Ainsi, le jeune Oneiros à le sang chaud, bouillant, qu'il peine à refréner. Il est habité par une force et une envie de vivre incontrôlable … Son précepteur, Morphée, a bien du mal à le calmer et à le faire travailler. Mais, pour le moment, n'ayant pas atteint la vingtaine, il est contraint de travailler avec celui qu'il nomme « le vieux con » … Une fois qu'il aura acquis ses vingts années, il pourra enfin voler de ses propres ailes … tranchantes.
Le vieux con, je tiens à préciser que c'est le surnom qu'il donne à Morphée, et non pas à Zeus. Contrairement à beaucoup de déités, Oneiros respecte le Roi d'Olympe autant que la Reine. Quand Oneiros commet des frasques et de multiples bêtises, il le fait dans le dos de Zeus. Allez savoir pourquoi, il estime qu'il doit s'agenouiller, encore, devant celui qu'il nomme son Roi avec humilité, jusqu'à ce qu'il atteigne la vingtaine. Après … On verra bien. Mais ça risque d'être drôle. Une autre personne qu'il respecte, sans pour autant s'agenouiller devant elle : Raven, celle qui fut sa nourrice. Il l'apprécie beaucoup, et est prêt à beaucoup pour l'aider.

Les autres dieux, il adore les emmerder.

Car c'est un emmerdeur, oui. Il faut le préciser. Et moqueur, aussi.

Il a le sang si brûlant qu'il s'emporte facilement, et devient alors cinglant et glaçant.

N'oublions pas de souligner son côté caractériel et lunatique. Sur ce point là, il tient de sa mère. D'ailleurs, pour le côté égocentrique aussi, je pense … Le sang chaud, n'avoir peur de rien et aimer les belles formes, il le tient de son père. Et il en est fier.

Papa lui a appris à manier les armes, et tout ce qui attrait au combat, tandis que Maman s'est chargé de lui enseigner les arts de la manipulation, de l'empoisonnement et de l'élaboration de stratégies diplomatiques. Ou comment se jouer des gens. 

Contrairement à sa mère, il déteste les humains. Enfin, il les considère comme des jouets … Oui, il est jeune et orgueilleux, et, entre ses mains et au cœur des songes qu'il crée, les humains deviennent des marionnettes. Ses marionnettes. S'il s'investit dans sa fonction de dieu des songes, c'est bien pour cela ... Oh, il pourrait faire le bien autour de lui, bien sûr, mais il préfére s'amuser. Cette notion de « jeu », on la retrouve bien souvent chez Oneiros. Pour un défi, un jeu, il est prêt à tout foutre en l'air. Même le respect qu'il porte aux souverains du royaume des dieux, et à son père.
Contrairement à son père, il n'apprécie pas tant que ça la compagnie des prêtresses. Pour le moment, il n'en posséde pas, mais il sait qu'il en aura par la suite et cela ne l'enchante guère ... Donc il embête les prêtresses des autres, comme sa maman.

(Je vous jure, il est chiant.)



Physique


Physiquement, il est tout sauf rassurant. Concernant son regard glacé, surtout ... Des yeux brillants, dont la lueur semble pleine de promesses dangereuses. Ses cheveux, châtains & jamais coiffés, lui conférent un air incontrôlable et sauvage, comme une bête que l'on pensait enfermée et qui ressurgit mystérieusement, avec la simple envie de mettre un beau foutoir autour d'elle ... Vous saisissez ? C'est cela qu'on pense en le voyant. On ne pense d'ailleurs qu'à cela. Même quand il s'efforce de jouer le rôle du dieu sage et prévoyant, il laisse entendre qu'il est tout, sauf sage et prévoyant.

Oneiros posséde une musculature assez bien dessinée, dûe à tous les entrainement qu'il a subit et qu'il subit encore ... On trouvera souvent, sur son visage et le reste de son corps, des marques, signes qu'il s'est encore battu. Oui, encore. Ou qu'il s'est fourré dans des histoires impossibles et inimaginables ... Il est plutôt grand, disons 1m78, ce qui en impose, tout de même.

Quand on le voit parler ou se tenir, on devine qu'il a confiance en lui, et qu'il se pense apte à tout vivre. C'est l'ardeur de la jeunesse, après tout ... Une jeunesse pleine de vie, qu'il n'écrase que pour travailler patiemment auprès du vieux con, Morphée. Son visage est très expressif, et refléte avec exactitude ses ressentiments, qu'il ne peut jamais dissimuler. Il y travaille pourtant ... Mais il n'est pas un excellent acteur. Et n'a pas la patience, d'ailleurs, de monter un plan élaboré pour parvenir à ses fins, sauf quand il s'agit de son travail auprès de Morphée. Il est plutôt impulsif.

Concernant ses tenues, cela reste assez classique ... Bien souvent, il porte des kimonos (volés ou tissés par des prêtresses qu'il exploite en échange de ... Bref.) Vêtu élégamment, on le voit parfois vêtu d'une toge, presque torse nu. Enfin, ça, c'est sa tenue "d'étude", une sorte d'uniforme imposé par Morphée. Il ressemble alors à une sorte de savant antique ... La comparaison est asse amusante. Hors des moments où il étudie, il porte des kimonos élégants, qu'il saccage bien vite. Il est incapable de garder quoi que ce soit en état, même son propre corps qu'il doit sans cesse soigner ... Ce qui, encore une fois, refléte sa nature impétueuse.



Histoire



Né en Olympe, Oneiros vécut sans encombre jusqu'à ses 17 ans.

Fin. ( Non, je rigole. )

Né en Olympe, donc, Oneiros vécut sans encombres jusqu'à ses 17 ans. Si ce n'est quelques histoires, ici et là ... Mais laissez-moi tout vous raconter.

Il naquit un beau matin, et fut accueillit par une foule de crétins déités hystériques. Un nouveau dieu était à présent en Olympe ... Beaucoup pensérent qu'il s'agissait là d'un enfant issu de Zeus & d'Héra, sans se douter que le père n'était autre que le dieu de la Guerre. Bref, tout le monde le respecta dés l'instant où il ouvrit les paupières. Ce qui aide beaucoup, il faut le dire. Être le môme d'Héra, déjà, ça impose le respect. Mais alors, en plus, d'Arès ... Je vous jure que devant lui, on s'inclina vite.
Cependant, ce petit être fut vite mis sous la tutelle d'une nourrice, chargée de veiller sur lui avec ferveur, sous peine de mort. Oui, Héra est très protectrice envers ses enfants ...  Bref. Cette nourrice fut Raven Miller, ce qui est un choix assez ironique quand on connaît son histoire. Elle fut chargée de prendre soin de ce cher trésor, de l'éduquer et de le surveiller. Ainsi, les valeurs qu'on inculqua à Oneiros furent issues de multiples horizons.


Dés sa naissance, il fut établi qu'il serait élu Dieu des Songes, et que son enseignement serait délivré par Morphée. A ses 12 ans, il commença à travailler avec celui qu'il viendrait à haïr, parce que convoitant sa place, quelques années plus tard ... Ce qui ne fut pas chose facile. Surtout si on additionne les heures passées à apprendre son rôle avec celles qu'il passa avec Papa pour apprendre à se battre, et celles qu'il passa avec Maman pour se débrouiller en tant que dieu. Ses deux parents lui apprirent comment etre un dieu à la fois craint et respecté au sein d'Olympe, tandis que Morphée faisait de lui un disciple parfait. Enfin, parfait ... Evidemment, ce fut loin d'être le cas. On recense en grimaçant les myriades d'expérimentations que cet enragé mis en place : que ce soit une hypnose sur une prêtresse rendue folle, sur une autre qui se suicida ... Il fit donc parler de lui alors qu'il n'atteignait même pas ses 16 ans. Tout ça pour dire : Oui, on se mit à le craindre bien vite. Sa capacité à faire naitre des songes et à enraciner des idées dans le cerveau des gens était plutôt effrayante.

Plus tard, vers ses 15 ans, il prit goût au combat, et à la torture. Oui, maintenant qu'il maitrisait la torture psychologique via les rêves qu'il répandait dans les esprits, il ne lui restait plus qu'à apprendre tout ce qui touchait aux armes et aux coups. Et là, on remercie Papa ... l reçut, sans doute, le meilleur enseignement en cette matière. Ce qui fit du jeune écervelé un combat habile et rapide. Le côté machiavélique vint plus tard, quand sa mère lui expliqua en long et en large à être diplomate avec les autres déités. Vous pouvez juger ça chiant, mais regardez un peu ce qu'Héra traite de "diplomatie" : coups bas, empoisonnements, réparties cinglantes et esprit acéré. Tout cela, il parvint à l'acquérir au fi du temps ... Digne fils de ses parents, il est aujourd'hui, à 17 ans, un dieu que l'on connaît et que l'on reconnaît facilement.

Mais, outre tous ces enseignements, Oneiros apprit bien d'autres choses ... Que ce soit vagabonder en Olympe, trainer en Enfer, il chercha presque à suivre les pas de celui qu'Héra nommait " le petit emmerdeur " : Kyô, dieu des lapins. Oneiros ne le voyait pas comme un emmerdeur, plutôt comme un exemple à suivre ... Et qu'il suit, d'ailleurs. Ce qui déplaît fortement à Héra, d'ailleurs.
Sa mère insista pour qu'il lise des ouvrages & qu'il écoute des musiques issus de la Terre , au grand damn des autres déités. Cela le rendit encore plus imaginatif et tordu, croyez-moi ...
Parmi ce qu'il découvrit, il y eut Elis, une jeune prêtresse qui, une fois qu'Héra découvrit les liens qu'Oneiros entretenait avec elle, fut éjectée d'Olympe. Elis était une prêtresse d'Appolon, au sourire merveilleux et au rire cristallin, âgée de 24 ans. Elle émerveilla le jeune dieu, qui n'avait alors que 16 ans, et il tomba sous son charme. Leur idylle dura trois mois, avant qu'Héra ne les surprenne. Il mit un mois à l'oublier.

Depuis, il dragouille quelques prêtresses, fricotent avec des prêtres, comme un adolescent indécis et affamé par l'envie. Car c'est ce qu'il est, au final ... Un adolescent. Vous allez pleurer.


Pouvoirs

Etant dieu des songes, il posséde tout un panel de pouvoirs qu'il maitrise à peine :

o/ Hypnose, qui méne vers un univers qu'il crée de toutes pièces.

o/ Capacité à infiltrer le sommeil des gens pour s'y introduire, ou y introduire ce qu'il souhaite, d'ailleurs.

o/ Faire entrer une idée dans l'esprit de quelqu'un.

o/ Force physique & capacité à bien se battre.

o/ Créations d'hallucinations ( son pouvoir préférée, d'ailleurs. )


( Il n'est jamais encore descendu sur Terre ; mais seul son pouvoir d'hypnose et sa force physique demeureront quand il s'y rendra. )



Doub-doub-doublette.





* 17 ans, ça passe si vite en Olympe ... *soupir*

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