Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Wasaburo Tsukasa

Pages: [1]
1
Le coin du chalant / Un rp ?
« le: dimanche 02 décembre 2012, 01:17:14 »
Malgré l'envie et l'inspiration ( qui ne me font pourtant pas vraiment défaut ), j'ai beaucoup de mal à trouver la motivation de rp ces derniers temps ( désolée... ), je me permet donc de depoussierer un peu ce perso, dans l'espoir qu'un jeu différent parvienne à donner l'élan dont ma motivation aurait besoin °°

Trêve de bavardage, Wasaburo est ici en quête d'un rp !

Sujet du topic
Hentai ? Certainement. Et bien qu'il puisse jouer la comédie, il n'a rien d'un tendre romantique.
Combat ? Possible. Il n'est peut-être qu'humain, mais sait se défendre. Ou attaquer.
Social ? En quelque sorte. Pour qu'il soit sincère, il faudrait briser la glace qui entoure son coeur. Ce que n'est pas impossible... mais presque.

Nombre de participants
Une seule personne, de préférence une femme. Ou un homme à l'allure androgyne *-*

Trame
Tant de choses sont possible, que ce soit au lycée, ou quelque part à Seikusu. Il y a fort à parier qu'il ne devienne chasseur, et fasse de vous sa proie. Ou que la situation s'inverse...
Je proposerai volontier une ou plusieurs trame, selon votre personnage, et/ou écouterais la votre bien sûr :3

Qualité de post
Prout.
( Je ne cherche pas forcement de la grande littérature, juste un rp sympa, sans prise de tête :) )


Au plaisir.

2
Les alentours de la ville / Piège-à-loup pour brebis esseulée... (Shylee)
« le: mercredi 02 novembre 2011, 19:07:48 »
Il était presque onze heure, et l'on voyait au loin un homme marcher dans les rues, seul et visiblement occupé. Tsukasa, Wasaburo. Une feuille de papier griffonnée entre les mains, il vérifiait une dernière fois l'ensemble des informations qu'il avait pu récolter à propos de cette femme. Shylee Tsumo... Aussi belle que farouche, elle ne s'était pas laissée attendrir par ses tentatives de séduction, et l'avait, gentiment, éconduit. Un râteau comme il s'en distribuait tant d'autre chaque secondes à travers le monde. Sabu avait sagement courbé l'échine, approuvant qu'il serait déplacé qu'une histoire se crée entre collègue de travail, surtout au lycée, et il avait laissé à la professeur la tranquillité qu'elle demandait. Temporairement. Il n'était pas du genre à baisser les bras aussi vite, et comptais bien s'amuser comme il l'entendait. Avec ou sans son consentement. Ces évènements remontaient à quelques semaines déjà, et il avait pris soin de ne pas se faire remarquer jusque là, se contentant simplement de salutations polies à son égards. Il ne voulait pas attirer son attention sur lui plus que nécessaire, surtout pas avec ce qui se tramait dans son dos...

Les pas vifs de Sabu le menèrent à un pub, de réputation assez médiocre, et bien loin de son lieu de travail. L'avantage, c'était qu'il ne risquait pas de croiser qui que ce soit qui le connaissent, ici, et c'était tout ce qui comptait à ses yeux pour le moment. D'un coup d'oeil furtif, il dévisagea l'ensemble des personnes présentes, et repéra au milieu de la foule celui qu'il cherchait, celui à qui il avait donné rendez-vous. Un gars fiable, ayant peu de considération pour la loi ou ce qui s'y réfère. Un voyou, comme certains auraient dit, et c'était sans doute vrai, mais le plus important était qu'ils entretenaient d'assez bonne relation, en particulier dans le monde du combats de rue. Ce n'était pas de la sympathie, jusqu'à maintenant personne n'avait pu se vanter d'attirer la sympathie de Sabu. C'était simplement du business, parfois à la limite de l’illégalité, parfois bien au delà, un peu comme ce qu'ils complotaient actuellement...

- Elle s'appelle Shylee Tsumo, c'est une prof du lycée. C'est ni une camée, ni une alcoolo, et elle a pas l'air d'avoir de petit copain non plus. Enfin bref, t'as toutes les infos qu'il faut ici : l'adresse de son appart', les lieux où elle aime aller, et une p'tite description physique. Mais d'toute façon avec ses cheveux bleus, tu peux pas la louper, hein ?

Ses premiers mots, sec et direct, après s’être assis près de l'homme en question. Nul besoin de paroles stériles et superflues, autant aller à l'essentiel, et les deux hommes le savaient. Dans le même temps, Sabu lui tendit la feuille où était inscrit le nécessaire, et posa ensuite sur la table une enveloppe qu'il tira de sa veste, enveloppe où se trouvait une somme d'argent non négligeable. Cela lui faisait un peu mal au coeur, de devoir payer pour ça, pour une simple femme. Mais, Shylee en valait la peine... Il ajouta alors, fixant d'un regard inflexible son interlocuteur.

- Un tiers maintenant, le reste plus tard, comme convenu. Tu sais ce qu'il te reste à faire... J'compte sur toi, me déçoit pas.

L'homme acquiesça d'un léger signe de tête, le regard posé sur l'épaisse enveloppe qu'il convoitait. Il s'en empara d'un geste vif, comme un vautour fondant sur une proie isolée, et vérifia d'un oeil expert son contenu, avant de la glisser dans la poche pectorale de sa veste, avec le précieux papier contenant les informations donnée par le rouquin. Tout était en ordre, maintenant, il suffisait simplement d'attendre. Attendre que le piège se mettent en place, imprévisible, discret, et redoutable. Attendre le moment propice, que la petite brebis s'écarte du troupeau, et qu'elle tombe sans crier gare entre les griffes du grand méchant loup...

L'ambiance du bar était étouffante, et Sabu supportait mal les effluves d'alcools, de cigarettes, et de transpiration, qui agressaient inlassablement son odorat. Aussi, il se leva dans le plus grand silence (si l'on excepte les rugissements et autres braillements des assoiffés au comptoir) et sortit aussi vite qu'il était entré. Ils savaient très bien ce qu'ils devaient faire, et disposaient de toutes les cartes en mains pour réussir, les mots étaient donc devenus inutiles. Sabu rentra chez lui, à pieds. Il ne craignait pas d’être agressé, au contraire même, si ça lui permettait de se défouler un peu il se jetterait dans la mêlée avec allégresse. Un sourire en coin étira ses lèvres, satisfait de savoir que demain soir, la prof de maths aura une belle surprise en rentrant du travail... Ho oui, ils allaient follement s'amuser.

# # #

Le lendemain, dix-huit heure, la nuit commençait déjà à étendre son voile sur les rues de Seikusu. Assis à son bureau de surveillant, dans une chemise bleu ciel assortie à ses yeux, Sabu attendait avec une certaine impatience la sonnerie qui annonçait la fin des derniers cours de la journée. Les dernières minutes avant la fin de son service, mais aussi de celle de Shylee. La douce et délicieuse Shylee, la paisible professeur de mathématiques, qui paraissait si petite et si fragile à coté de lui... Les yeux rivés sur la pendule fixée au mur, le regard concentré sur le battement régulier des aiguilles, ses doigts tapotaient nerveusement sur le rebord du bureau. Tic, tac, tic, tac...

3
Prélude / [✾] Sabu' ! [✾] [Valiplanté!]
« le: samedi 29 octobre 2011, 20:48:39 »
Identité
Wasaburo Tsukasa, Sabu pour les intimes, Monsieur Tsukasa lors d'une relation plus formelle.

Age
Vingt-et-un ans tout rond !

Sexe
Sabu est un homme. Mais, ce n'est pas une surprise ... n'est-ce pas ?

Race
E.S.P.er de naissance, mais il se considère comme un humain "un peu spécial".

Orientation sexuelle
Notre homme est un bisexuel averti. ;)

Physique
Wasaburo est un jeune adulte, à l'allure fine et élancée. Du haut de son mètre quatre-vingt, il est assez grand pour un japonais, surplombant d'une bonne tête la plupart des gens qu'il croise au détour d'une rue. En plus de ça, sa chevelure mi-longue luit d'un éclat flamboyant, d'un rouge légèrement rosée, c'est la première chose que l'on voit de lui même à cent mètres au loin. Composée de pointe fixée au gel, elle est soigneusement coiffée en bataille, pour justement lui donner un air de mal-coiffé. Paradoxal, mais le résultat reste séduisant, surtout lorsqu'elle masque ses yeux, lui donnant un air mystérieux.

Ces deux iris d'un bleu azur, aussi pur et innocents qu'une âme d'enfant, vous troublent et vous déshabillent du regard, vous envoutent et vous fascinent, ou vous dominent et vous effrayent... De très beaux yeux, qu'il sait utiliser à son avantage quand il le faut... En dehors de ses yeux, son visage reste très souvent plongé dans une indifférence décourageante, même si ses lèvres fines s'illuminent parfois d'un léger sourire en coin, à peine expressif. Dans l'ensemble, son visage est plutôt fin, à l'image de sa carrure.

Mais détrompez vous, fine ne veut pas dire fluette ! Sa musculature, puissante, aux reliefs manifestes, est finement dessinée, agrémentant son buste d'une jolie silhouette en V. Il parvient sans peine à mouvoir ses quatre-vingt kilos de muscle avec une grâce agréable à l'oeil et une agilité fulgurante. Et c'est ce qui fait sa force lors d'un combat. Ses réflexes sont terriblement affutés, son jeu de jambe lui permet de se déplacer aux endroits stratégique suffisamment vite pour en profiter, et asséner des frappes mémorables sur ses adversaires, utilisant toute les parties du corps à sa disposition. Ses coudes, ses poings, ses genoux, son front, ses talons, sont autant d'armes potentielles pour lui, destinées à neutraliser mais aussi à faire souffrir.

Pour se battre, Sabu se met généralement torse nu, ou bien en maillot de corps blanc, moulant et confortable, associé à un pantalon ample en tissu noir satiné. Enfin ... quand il en a la possibilité, étant donné que les ennuis ne préviennent pas avant de tomber sur leur proie. Sinon, il arbore généralement des tenues plus classique, privilégiant les chemises élégante et les jeans assortis. Même si son défaut de vision reste faible, il porte assez fréquemment des lunettes. Apparemment, ça lui va plutôt bien...

Quant à sa virilité ... C'est une bien belle plante, aux nervures prononcées, mais néanmoins douce au toucher. Une tige haute de vingt-cinq centimètres, délicatement courbée, et d'une stature majestueuse, suffisamment pour qu'il soit parfois difficile d'en faire le tour avec ses doigts.
Si vous n'y croyez pas, vous pouvez toujours tentez de la cueillir par vous même...

Caractère
Pour les personnes qui côtoie Sabu sans le connaitre vraiment, autrement dit la quasi totalité, c'est un jeune adulte au tempérament solide. Imperturbable, il sait garder son sang-froid en toute circonstance. Face à la pire des menaces ou à la plus surprenante des découvertes, il conservera son air impassible, et ce léger sourire en coin qui ne le quitte jamais. Il est si distant avec les gens qu'on dit de lui qu'il n'a aucun sentiment, mais il n'en reste pas moins que Sabu accorde assez d'importance à ses valeurs morale pour qu'on le considère comme quelqu'un de "bien", d’honnête. Le genre de personne sur qui l'on peut compter, et il n'est pas rare qu'il tende une main secourable vers ceux qui en ont besoin. Il n'a cependant pas la carrure d'un preux chevalier servant, de part sa fâcheuse tendance à paraitre froid et distant. Et aussi parce que c'est quelqu'un d'assez sévère, autoritaire, qui affirme ses opinions, ne supporte ni qu'on tente de le soumettre, ni qu'on le contredise à tort.

Dans l'ensemble, Sabu est quelqu'un de très mystérieux, qui établit peu de contact avec les gens. Inutile d’espérer une relation qui dure plus longtemps que l'instant de la rencontre, donc... Quoique, rien n'est impossible, après tout, non ? Car même s'il aime être solitaire la majeure du temps, il arrive qu'une personne lui donne envie de parler, ou simplement que la discussion s’éternise assez pour qu'un lien commence à se tisser. Et c'est là que l'on se rend compte que la réalité est légèrement différente de ce que l'on peut penser aux premiers abords...

Là où les autres croyaient en son sang-froid irréprochable, il s’avère en fait avoir des difficultés à garder son calme dans certaines situations, et avoir tendance à être très impulsif, voir colérique. Cela entraine alors des réactions assez démesurées, un peu brutale, ou même parfois violente. En outre, on remarquera aussi qu'il se permet souvent d’être très laxiste, lorsque cela concerne sa soi-disante morale, au point de se complaire dans le vice le plus total...
Mais cela reste une part de lui meme que peu de gens ont vu. Si vous voulez en savoir un peu plus, venez vous y frotter ♫

Histoire
Je m'appelle Tsukasa Wasaburo, surveillant au lycée public de Seikusu ! Installez-vous confortablement, et ouvrez grand vos oreilles. Je vais vous conter une histoire ... Mon histoire ...

Tout a commencé il y a vingt-et-un ans, dans une résidence assez luxueuse à la périphérie de Seikusu. J'ai eu la chance d'être né dans une famille aisée, aux mœurs plus occidentales que traditionnelles. Mes parents m'adoraient, j'étais leur petit bout d'chou, qu'ils n’hésitaient pas à gâter pour combler le fait que je sois fils unique ... Pouvoir avoir tout ce qu'on veut, sans besoin de partager, c'était le rêve de tout les gosses, et c'était aussi les grandes lignes de mon enfance. Est-ce que ça m'a réussi ? Vous en savez assez sur moi pour en juger, non ? Enfin bref ... Mes parents m'ont placé dans un établissement privé, afin de m'offrir les meilleurs chances pour mon avenir, un établissement qui faisait tout à la fois office de collège et de lycée. Huit ans. J'ai passé huit ans de ma vie assis sur les même bancs d'école, à regarder le temps passer, à gâcher un dixième de ma vie pour un diplôme qui ne me servira de toute façon à rien. Mais bon, c'est notre société qui est comme ça, et on a pas trop le choix.

Enfin, ça n'a pas non plus été totalement perdu, étant donné que c'est à cette période que j'ai découvert ma passion, ainsi que l'un des pouvoirs qui me rendent si unique. C'était l'année de mes treize ans, au collège, pendant la récréation. Je ne me souviens plus du contexte exact, mais je sais que j'avais été assez virulent verbalement avec un camarade de classe, et que ses potes avaient jugé bon d'échauffer les esprits, comme ils savaient si bien le faire. Attirés par les bruits, d'autres enfant nous avaient rejoint, formant une espèce de cercle autour de nous, beuglant des encouragements. Ils voulaient que l'on réagisse comme des hommes, que l'on règle ça avec virilité. Que l'on se batte. À l'étroit dans mon petit corps frêle, face à un garçon qui ne ferait qu'une bouchée de moi ... Non, je n'avais aucune envie de me battre, je voulais échapper au stress du combat, à cette peur qui m’étreignait, fuir tout simplement ... Mais les élèves hystériques ne m'en laissaient pas l'occasion, je sentais la multitude de main autour de moi me pousser inlassablement vers mon adversaire, pendant que leur ronde se resserrait autour de nous. Mon destin semblait scellé ...

Je voyais le poing de mon opposant se brandir vers moi, impressionnant. Au fond de moi, je pensais de toute mes forces "Non, ne les écoute pas, t'es pas obligé, ne fais pas ça !" Je m'imaginais déjà avec un douloureux œil au beurre noire, une pommette fracassée, ou une lèvre ensanglantée, mais les choses se déroulèrent ... différemment. Pendant quelques instants, je le voyais rester immobile, hésitant, à me regarder d'un air perplexe. Avait-on entendu mes prières ? C'était l'occasion rêvée pour prendre le dessus ! J'en profitai pour foncer sur lui avec fureur et le neutraliser par un puissant coup de genoux en direction de ses parties génitales. Pas très classe comme réaction, je sais, mais j'avais peur, et n'avais pas vraiment d'autre option. Manger ou être manger, le choix était vite fait ... C'était la première manifestation de mon pouvoir, qui n'avait pas manqué d'en bluffer plus d'un, moi en tête ! Un don que je gardais précieusement pour moi, c'était mon petit secret à moi, bien que je n'en comprenais pas grand chose à l'époque. Je me sentais un peu comme un nouveau super-héros... Ah, ce que ça peut être niais, un gosse.

C'était aussi mon premier combat, et loin d’être le dernier. Depuis ce jour, je m'entraine avec ardeur et une volonté de fer, autant sur des sacs de frappe que sur des tatamis ou des machines de musculations. L'ivresse du combat, qui m'effrayait à ce moment là, avait fini par devenir aussi addictif une drogue. Je prenais plaisir à exercer mon corps, et encore plus à le mettre à l'épreuve au cours des nombreux combats de rue auxquels je me suis mêlé. Je ne fais pas ça pour briller au cours de tournoi, devenir une superstar, ou frimer en cognant des passant sans défense (quoique ça m'est déjà arrivé), je combat surtout pour moi. Je trouve ça jouissif, tout simplement, il n'y a pas d'autres mots pour décrire cette sensation.

C'est au cours de ma dernière année de lycée que j'ai commencé à, disons, à dévier du droit chemin que mon âme d'enfant s’évertuait à suivre depuis quelques temps déjà. Le pouvoir corrompt les mœurs et l'esprit, et j'en ai fait les frais ... mais si c'était à refaire, je le referais sans hésiter. Je trouve la vie tellement plus savoureuse, maintenant ... C'était au début de ladite année, j'avais dix-sept ans, à ce moment là. Je me souviens que j'avais une course à faire, dans un magasin spécialisé en bricolage, à l'autre bout de Seikusu. Comme à son habitude, le métro était bondé, et je m'étais retrouvé debout, entre un homme à
*ahem* à forte corpulence, un autre qui devait penser que les douches ne se prenaient qu'une fois par mois, et une lycéenne qui avait sans doute le même age que moi. Une fille très jolie, aux courbes harmonieuses, qui attiraient inexorablement les regards et étaient loin de me laisser indifférent ... Doucement, je m'approchais derriere elle, la bousculant légèrement à chaque secousse du wagon, mes mains effleurant ses cuisses mises à nues par la jupe courte de son uniforme. Peu à peu, elles se faisaient plus entreprenantes, plus caressantes, mes doigts glissaient avec une aisance croissante sur la douceur de sa peau. Je la sentais frémir, hésiter, à se demander si ce n'était que le fruit du hasard, ou de celui d'un vieux pervers. Ni l'un ni l'autre ... Elles continuèrent leurs route, alternant entre montée et descente, ponctuée par de vifs mouvements indépendant de ma volonté (maudites secousses !), approchant délicatement de son trésor de féminité. Je la voyais rougir, se languir, tiraillée par un dilemme, entre moral et volupté ... Ses mains se posèrent sur les miennes, elle me chuchota timidement d’arrêter, mais je n'avais pas l'intention de cesser maintenant, ça non ... Presque inconsciemment, l'une de mes mains vint à la rencontre de son menton, que je tournais avec une extrême douceur en ma direction. Plongeant mes yeux azur dans les siens, la laissant plonger son regard dans le mien, mon don d'E.S.P.er lui intimais de ne pas écouter sa morale, que ce n'était pas une fatalité, et qu'il y avait des choses plus amusantes a faire que de suivre les règles de la société ... Je vis avec satisfaction que son regard était devenu plus tendre, que ses mains avaient cesser de me freiner, qu'au contraire ils m'encourageaient à en faire d'avantage, à aller plus loin encore ... Les désirs de la belle furent exaucés, aussi bien dans le métro que chez elle, sous ses draps ...

Au cours de cette meme année, je commençais à prendre conscience d'à quelle point l'enseignement était une perte de temps pour moi. Je ne parle pas pour les autres, de ceux qui aiment ça ou qui en aurait besoins pour vivre convenablement leur vie. Mais comme ce n'était pas mon cas ... je me suis décidé à arrêter complétement l'école. Le seul problème, c'était mes parents, un problème qui fut bien vite réglé. Je m'étais arrangé pour leur faire croire que j'avais été pris dans une université de Kyoto, et ils ne découvrirent le pot aux roses que trop tard, alors que les inscriptions étaient déjà clôturées partout ailleurs. Inutile de vous dire qu'ils ont été terriblement choqué, et déçu, par mon attitude, déjà qu'ils n’appréciaient que moyennement que je me batte ... J'en ai eu un peu marre que, du haut de mes 17 ans, ils persistaient à me prendre pour leur petit bout d'chou, du coup j'ai fugué. Définitivement. Je suis parti vivre ma propre vie, après leur avoir piqué un peu d'argent, de quoi me lancer avant de trouver un boulot, et un abri où dormir. L'abri, je l'ai eu bien vite, un appartement en centre ville à un prix raisonnable, mais le boulot, il n'y en avait pas des masses. J'ai passé deux ans de ma vie à laver les carreaux de voiture, à ramoner des cheminées, à livrer des pizzas, et parfois quand j'en avais l'occasion, à parier sur des combats de rue dans lesquels je participais. Des jobs temporaires et sans intérêt (hormis les paris, mais c'était assez peu fréquent), et finalement j'ai réussi à obtenir un boulot à plein temps, dans le corps pédagogique du lycée. Ironique, non ? C'était une activité dans laquelle il était rare de s'ennuyer, c'était raisonnablement bien payé, et c'était un emploi stable, je n'avais vraiment pas à m'en plaindre.

La suite ... l'avenir nous le dira ♫

Situation de départ
Il a déjà eu quelques expériences, avec des hommes ou des femmes, de temps en temps les deux à la fois.

Autres
  ▶  Sabu est un combattant aguerri, forgé par d'impitoyables combats de rue, ainsi que d'intensifs entraînements en salle de sport. Cependant, ne cherchez aucun code de l'honneur, ou autre connerie similaires, dans ses combats, il n'en a tout simplement pas. Il se bat pour lui, pour son plaisir personnel, et il adore ça.

  ▶  En tant qu'E.S.P.er, il dispose d'un pouvoir ... assez troublant : il permet en effet de semer le doute dans l'esprit des gens. Mais pour cela, il a besoin d'avoir un contact corporel avec sa victime, ou bien de la regarder dans les yeux. Ça n'a l'air de rien, dit comme ça, mais un tel pouvoir peut se révéler puissamment utile... Il peut ainsi faire hésiter une personne qui s'apprêtait à faire quelque chose, pour peut-être même lui faire faire l'opposé ! Ou encore faire douter une personne sur ce qu'elle ressent, ce qu'elle veut vraiment... L'utilisation de son pouvoir est limité à environ deux ou trois par jour, et surtout pas successivement s'il ne veut pas tomber dans les pommes à un moment inopportun. De plus, ça lui donne parfois tendance à saigner du nez.

  ▶  Enfin, concernant Terra, il n'a malheureusement aucune connaissance de ce lieu, ou des diverses créatures qui la peuplent. Ce qu'il sait, il le tient des mythes et légendes qu'il a lu ou entendu, et Dieu sait à quelle point ils peuvent se révéler être inexactes...

  ▶  Petit rappel : Il travaille en tant que surveillant au lycée de Seikusu, un peu partout : en salle de permanence au réfectoire, dans les couloirs, à l'accueil, et il lui arrive parfois d'être de garde à l'internat, aussi.

Comment avez vous connu le forum ?
Google. He is legen -wait for it- dary ! Legendary !
( Non, ce n'est pas un message subliminal. )


Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ?
Pas vraiment, non. Mais je peux toujours tenter de taguer "LGJ, n°1 des forums rpg hentai !" sur les murs du métro.
Ça ferait une bonne pub, non ? :)

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