Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Lucie Moreau

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Ville-Etat de Nexus / Une pin-up en détresse...[Ulric Ulfbjorn]
« le: jeudi 03 décembre 2020, 01:28:39 »
- Brrr...J'ai bien fait de prendre mon poncho...

L'air s'était drôlement rafraîchi. Le ciel était désormais aussi sombre que les ténèbres, enfin...Autant que pouvait l'être celui d'une ville. Lucie soupira longuement, le nez levé vers cette obscurité aux allures de sprays de peinture orangée. La jeune femme en était désolée de voir ceci, se disant qu'aujourd'hui, si l'on voulait observer les astres, on devait s'échapper en campagne, dans la tranquillité. La Française posa ses mains sur le haut de son poncho, frottant au niveau de ses épaules pour se réchauffer un peu plus.

Les rues n'étaient guère très animées, la soirée bien avancée. Le rendez-vous était fixé depuis longtemps car l'homme qu'elle devait rencontrer était quelqu'un de très occupé. Tout était calculé à l'avance, chose que la demoiselle n'avait pas l'habitude, étant quelqu'un de plus...spontané. Mais Monsieur travaillait aux ressources humaines d'une grande boîte, alors son temps censé être libre était pris également par son travail. Mais la rondouillette et cet éphèbe avaient longuement discuté avant de se décider et de se donner rendez-vous pour se voir en chair et en os. Il lui était fort sympathique, gentil et doux, très serviable également. Lucie lui notait un manque de piment dans sa personnalité mais, il est vrai que les Japonais sont plutôt calmes en soi, et puis, il est vrai qu'on ne peut connaître tout de quelqu'un en quelques semaines et à travers un écran. Alors la jeune femme lui avait laissé une chance de montrer un peu plus qui il était.

Tout ne s'était pas passé comme ils l'avaient prévus. Lucie, aussi bien à l'aise dans des baskets que dans des bottes, avait pris soin de se préparer à ce rendez-vous galant. Elle avait revêtu une magnifique robe verte qui mettait en valeur ses formes charnues, de beaux talons sombres, et avait agrémenté sa chevelure de feu d'une fleur en tulle noir. Pour faire face à la fraîcheur de l'automne et de la soirée, elle avait recouvert ses épaules d'un poncho douillet, laissant ses bras simplement cachés par de longs gants noirs satinés. Un peu de mascara sur ses cils, un rouge tendre sur ses lèvres fines. C'était le sourire aux lèvres, rayonnante comme jamais, qu'elle s'apprêtait à voir un homme qui lui plaisait.

Le lieu de rencard était magique : un restaurant comme on pouvait en voir dans les films de romance à l'américaine, ceux à l'ambiance tamisée, avec en son de fond, un bon vieux jazz jouant de saxophone et de piano. Lucie avait été bien accueillie, amenée à sa table avec une superbe vue sur la ville de Seikusu. Autour d'elle, quelques couples étaient déjà en train de se tenir la main en patientant après leurs repas. Cela mettait du baume au cœur à la jeune rouquine, qui les observa en attendant son partenaire de soirée...Qui n'arriva finalement jamais. Un simple texto fit sonner son téléphone. Le sourire de Lucie s'évapora en le lisant : il l'avait oubliée et ne pouvait de toute façon pas venir, encore pris pas son travail. Tant pis... s'était-elle dit.

C'était un peu peinée qu'elle sortit du restaurant, sans y avoir bu ni même mangé quelque chose. C'était une soirée de gâchée. Mais au fond, ce n'était pas grave. La rondouillette allait prendre du temps sous un bon plaid chaud, peut-être une petite bière et se commander une pizza sur le chemin pour rentrer chez elle. Faire le chemin à pieds pour rentrer chez elle n'était pas une très bonne idée, ses pieds la faisant souffrir.

- Aux grands remèdes, les grands moyens...

Ni une, ni deux, la jeune femme retira ses chaussures noires, les gardant en mains. Un frisson, tout aussi bon que désagréable, lui parcourut l'échine. Le sol était glacé, elle ne pouvait guère le nier, mais le froid faisait du bien à ses pauvres pieds chauffés de douleur. Reprenant un sourire éclatant sur le visage, amusée par sa propre situation, elle reprit le chemin pour retourner chez elle. Le rythme et l'allure dansante, Lucie chantonna doucement pour accompagner sa marche, ses yeux noisette vagabondant ici et là.

Alors qu'elle errait dans les petites ruelles pour rejoindre rapidement sa maison et, surtout, ses animaux, songeant à les câliner et leur donner plein d'amour encore, quelque chose la tira soudainement vers un coin de mur mal éclairé. Un homme lui avait attrapé le poignet et la coinça contre le mur avec force. Brusquement, il se colla à elle...Il sentait l'alcool et il avait l'air...Un air malsain sur le visage. Lucie se débattit comme elle le pouvait mais rien n'y faisait sur le moment. Il avait bien trop de force, lacérant la peau de la rousse de ses doigts gras.

- T'es foutrement excitante, ma salope...

D'un geste qu'il voulait probablement délicat, le bougre fit descendre une des mains de la grassouillette contre son entrejambe qui avait visiblement bien grossi. Il se mit à la frotter avec insistance, Lucie de plus en plus dégoûtée. Prenant son courage à deux mains, énervée, la vaillante rondouillette releva son genou qui vint s'écraser sur le sexe gonflé, ayant décalé sa main sur le côté avant le coup. Tout en même temps, ses poignets une fois relâchés, elle repoussa l'homme avant de partir en courant. C'est pieds nus qu'elle défila à toute vitesse dans les ruelles mal éclairées. Elle hurla de tout son saoul pour attirer l'attention de quelqu'un, alors qu'elle entendait les pas lourds de son agresseur la poursuivre.

C'est dans la précipitation que tout bascula. Dans sa course, Lucie trébucha, se tordant la cheville et plongeant en avant, prête à embrasser le sol. Mais quelque chose d'inattendu arriva. S'il faisait nuit quand elle fut attaquée, désormais le ciel brillait à son zénith. Sa chute continua tout de même, se ramassant lourdement sur le sol, tout en écorchant ses genoux sur des pavés. Des perles de sang se formèrent sur ses genoux éraflés. Étourdie, elle s'ébroua un peu, se maintenant la tête d'une main. De son autre main, la libre, la rouquine se redressa légèrement, assise encore par terre. Lorsqu'elle ouvrit de nouveau ses yeux noisette sur le monde qui l'entourait, trois hommes l'entouraient.

- Bah alors, p'tite dame, on est perdue?

- Bizarrement vêtue...Mais fout'ment bonne, la gueuse...

Des porcs...C'est tout ce qui vint à l'esprit de Lucie en les voyant autour d'elle. Elle les examina rapidement, leurs habits ressemblant plus à des haillons ou des vieilles culottes de la Révolution Française dans un piteux état. Le troisième homme resta muet, mais un sourire pervers se dessina sur ses lèvres gercées. Ce même sourire s'étendit sur le visage de ses compères. Deux mastodontes et un peu gringalet...L'horreur passa dans le pauvre regard de la Française. Elle avait réussi à se défaire de son agresseur, et là voilà avec un autre problème...Bien qu'elle ne sache pas où elle avait atterri, ce qui la préoccupait désormais était de se dépêtre de ce merdier...Alors qu'elle chercha à se mettre debout, un des lourdauds attrapa son poignet et vint la coller contre son corps qui empestait la sueur et l'alcool. Lucie usa de force comme elle le pouvait pour se défaire de l'étreinte forcée. Les sourcils froncés et les traits tirés déformaient son si joli et radieux visage. C'est avec une voix grondante et ferme qu'elle s'adressa au trio.

- Lâchez-moi, et tout de suite !

- Ça risque pas, la grasse...

- Sa peau est si douce...J'imagine même pas sa chatte ou son cul...

La jeune femme n'avait pas vraiment vu la chose venir. Elle qui pensait que les hommes se la disputeraient, tout en profitant de cette occasion pour se détacher de ces trois-là, c'était raté pour le coup. Le premier pourceau agrippa l'autre poignet de Lucie pour la maintenir prisonnière, celle-ci cherchant à jouer de jeu de jambes pour s'échapper. Les deux autres hommes en profitèrent pour tripoter la chair douce et moelleuse de la jeune femme à la crinière de feu, dessinant ses formes de par leurs doigts répugnants.

- Arrêtez ! Tout de suite ! Je...À L'AIIIIDE ! AIDEZ-MOIIII !

C'est de tout son saoul qu'elle se mit à hurler à qui pourrait l'entendre...Mais aussi qui voudrait l'aider. Sinon, elle allait y passer, c'est certain...

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Le coin du chalant / On se déshabille...
« le: lundi 27 mai 2013, 16:58:13 »
Le rp se trouve ici.

Lucie, dans un restaurant, fait un spectacle à la pin-up. Séance d'effeuillage donc. Ce rp est libre à celui qui veut y participer, mais envoyez-moi un MP sur ce compte ou celui d'Anéa s'il-vous-plaît, histoire d'en parler un peu plus.

Vous faites forcément partie des clients du Eastwood's Saloon, mais il peut se passer de multiples choses:
- Vous avez flashé sur Lucie, et vous en voulez plus. Pour du hentaï, je ne demanderais qu'un homme, sowy.
- Vous venez demander des conseils à la fin du spectacle, à Miss Moreau, car vous voulez apprendre à faire la même chose.
- Ou vous pouvez très bien venir et repartir comme un simple client du restaurant, appréciant ou pas le show de la rouquine !

Au grand maximum, je prendrais 4 personnes. Et si c'est moins, pas de souci !
Qualité de rp : Pas trop de fautes et pas cinq lignes quoi. Donnez un post avec lequel on peut répondre. Et pour le temps de rép, je ne demande rien. Seulement me prévenir si vous partez ou que vous avez un souci quelconque.

Enjoy !

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Citer
Pour ce lundi 27 mai, venez nombreux au Eastwood’s Saloon ! Le restaurant vous offre une soirée exceptionnelle avec de multiples surprises à partir de 19h30 ! Allez-y, n’ayez pas peur ! Vous en aurez des étoiles plein les yeux ! Un vrai spectacle à l’américaine vous attend !


Il était vrai que la publicité faite pour l’évènement de ce soir envoyait clairement. Des flyers avaient été distribués partout, de grandes affiches avaient été installées sur certains panneaux publicitaires de la ville, à des endroits bien précis pour bien cibler la clientèle. Enfin, d’autres affiches de taille bien plus modeste avaient été placardées sur les vitrines de boutiques et magasins en tout genre. Tout avait été fait pour faire du bruit, pour ramener le plus de monde à cette soirée. Et notre rondouillette allait passer sa soirée au Eastwood’s Saloon.

Arrivée là-bas à 18h, seule, Lucie se fit installée sur une petite table où elle commanda un burger au bleu français, accompagné de frites et d’une sauce mayonnaise. Boisson ? Le vrai coca américain dans sa bouteille en verre, s’il-vous-plaît ! Servie à table et remerciant la serveuse bien en patins à roulettes, la française regardait tout autour d’elle, le restaurant un peu vide à cette heure de la fin de soirée. Deux cents couverts dans ce petit restaurant qui faisait penser à ces petits coins de paradis sur les anciennes autoroutes américaines. La décoration est vraiment pas mal, même si assez flashy. Cela faisait plus café, que saloon. Carrelage damier noir et blanc, banquettes bleues matelassées, les murs roses avec une mosaïque de tableaux en tout genre, enfermant des affiches de films des fifties ou sixties, ou bien de vieux vinyles accrochés avec leur pochette d’époque. Pour l’ambiance, on pouvait entendre du bon vieux Elvis, les Jackson Five, du Ray Charles, encore du Little Richard. Tout pour faire sautiller doucement la rouquine sur sa chaise, devant son assiette, chantant doucement entre deux frites et morceaux de burger.

Enfin, la belle ronde ne devait pas trop traîner. Et oui, messieurs, dames, ce soir, Lucie fera partie du spectacle que le restaurant offre exceptionnellement. Surprise, surprise ! S’adressant à un employé du restaurant, il l’emmena dans un coin du café qui avait été prévu à l’effet. Une estrade avait été mise en place, avec de longs rideaux, ne laissant qu’une grande moitié du bâtiment pour les clients venus se restaurer.


- Merci bien.

Un petit espace près de l’estrade avait été préparé pour la venue de Lucie, coupé de la salle par de gros rideaux lourds et bien épais, taillés dans un velours bordeaux et brillant. La française espérait bien faire le show ce soir et que la publicité avait fait son effet, qu’il y aurait du monde ce soir. Plus la soirée avançait, plus la rondouillette avait le trac derrière les rideaux. La jeune femme entendait le brouhaha des gens installés à leur table, attendant avec une certaine impatience ce que leur réservait le Eastwood’s Saloon pour ce soir. C’était l’heure. Un employé s’était vu improvisé animateur pour aujourd’hui et vint présenter la demoiselle qui commençait à être impatiente et à avoir peur aussi. Le public japonais est un peu spécial, et si cela se trouve, le physique de Lucie les dégoûtera, fuyant le restaurant en même temps. Raaah…Plus le temps de réfléchir à quoique ce soit. L’animateur finit son petit discours et la musique se lance…


Et là, la française sort de derrière les rideaux en bas de l’estrade. Des petits rires se firent entendre dans la salle, mais Lucie ne le prit pas mal. Oh non, puisqu’il y avait de quoi. La belle portait de magnifiques talons rouges, surmontés de longs bas noirs, tenus par un porte-jarretelle. Ses bras étaient habillés de longs gants noirs en satin. Ses courts cheveux roux étaient davantage plus bouclés pour offrir une magnifique coiffure à la jeune femme qui l’agrémenta d’une fleur noire. On ne pouvait pas voir clairement ce qu’elle portait, un ensemble de sous-vêtements rouge et noir, avec un corset dans les mêmes tons, mais le tout était recouvert par une « robe » bien originale, faite en ballons de baudruche noirs. Un peu dans ce genre là. Sensuellement, elle monte les marches pour monter sur l’estrade où une chaise avait été mise au centre de la petite scène. Une longue plume à la main, et la demoiselle, durant certaines poses, éclatait quelques ballons, par-ci, par là. Un clin d’œil vers ce monsieur, un baiser volant pour ce jeune là-bas. Lucie s’éclatait vraiment sur cette scène à jouer la pin-up, maquillée comme une pin-up, habillée comme une de ces dames d’autrefois. Alors qu’elle éclatait les derniers ballons, elle retira le bout de ficelle qui l’entourait pour tenir cette fameuse et drôle de robe, maintenant éclatée. Elle prit place sur la chaise, croisant légèrement les jambes pour en montrer le parfait galbe. Bien qu’un peu dodues, de vraies jambes de déesse…Attention, le spectacle est loin d'être fini...

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Les alentours de la ville / Cherche aide à domicile [pv Darthestar]
« le: samedi 25 août 2012, 22:37:37 »
Le solstice de juin était passé. Nous étions enfin en été et Lucie attendait cela avec impatience. Le mois de juin n’est pas un des plus joyeux mois de l’année au Japon. Une goutte, deux gouttes, et la pluie tombe et tombe, sans arrêt. D’un côté, cela désorientait la rondouillette. En PACA, juin est déjà bien chaud, et même sec ! Enfin, juillet allait bientôt pointer son nez sur l’archipel nippone et amener le beau temps également. Et qui dit chaleur et soleil, dit vacances ! TU PARLES OUI ! Ce n’était en aucun cas le temps des congés payés pour la rouquine. Elle devait encore travailler à la crèche de Seikusu, qui s’était improvisée nouveau centre aéré pour la saison. Ce qui signifiait deux fois plus de travail pour la pauvre Lucie. Et encore ! Il fallait aussi s’occuper de la maison, du potager et des animaux en rentrant du boulot. Même pour la jeune femme travailleuse, tout ceci était impossible à réaliser. Durant une semaine, elle avait tout de même essayé d’allier tout ceci : partir tôt à la crèche, faire les courses le midi au centre commercial, les ramener à la maison en même temps que donner à manger et boire aux bêtes, retourner à la crèche l’après-midi, rentrer tard, faire le potager au crépuscule bouffée par des moustiques, redonner à manger/boire aux animaux, douche, manger et dodo. Et rebelote durant 5 jours d’affilée, mais arrivée le week-end, elle était sur les genoux, épuisée comme jamais. Elle pouvait avoir toute la bonne volonté du monde, elle n’arriverait pas à faire tout cela toute seule…

C’est durant le week-end, essoufflée de sa semaine de dingue, que Lucie prit une décision. Une idée avait émergée de sa petite tête. Et si, justement, elle demandait de l’aide, tout en offrant la sienne. Je m’explique. Pourquoi ne pas proposer gîte et couvert à quelqu’un qui en a besoin, peut-être même un petit salaire qui sait, en échange de s’occuper de ce qu’il y a à faire chez elle, pendant que Lucie était à la crèche ? C’était la merveilleuse idée qu’eût la jeune femme. Ni une ni deux, elle attrapa quelques feuilles de papier blanc et commença à écrire cette annonce, qu’elle ferait diffuser sur le journal local. Une feuille, du gros brouillon, elle passa une bonne demi-heure à rédiger correctement ce petit message qui, elle en était certaine, allait lui ramener une bonne âme pour l’aider durant l’été.

Satisfaite enfin, elle attrapa son sac et y déposa son papier dedans. Direction le centre de Seikusu, au siège de journal ! Agrippant son vélo, elle fila doucement, profitant de la fine pluie qui tombait, rafraîchissant son corps de la chaleur ambiante et malsaine. Il ne lui fallut pas longtemps avant d’arriver au journal, légèrement trempée. À l’accueil, elle demanda à ce qu’on écrive dès maintenant sa petite annonce. Ainsi fait, comme victorieuse d’un combat qu’elle aurait pu mener, elle s’en retourna chez elle, le sourire aux lèvres. Quelqu’un répondrait à l’annonce, c’est sûr !


Citer
Pour la période de juillet-août, jeune femme recherche aide à domicile pour les tâches suivantes : aide à l’entretien d’une maison, d’un potager, et aide pour animaux. Offre gîte et couvert durant toute cette période, et possibilité de récompense si bon travail accompli.

Adresse du domicile :
Akabata, avant les sous-bois de Seikusu.

Pour plus d’informations, vous pouvez appeler au 06.56.44.30.11.

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Les alentours de la ville / Wanted ! Chien perdu ! [pv Dydy]
« le: lundi 30 janvier 2012, 12:42:24 »
Lucie commençait à se ronger les sangs de plus en plus. Voilà plusieurs jours que son chien Starky, un chien de type molosse, n’était plus dans la grange avec les autres animaux. La rouquine ne savait absolument pas où il aurait pu aller. D’ailleurs, elle n’était apparemment pas la seule inquiète. La femelle, Lola, retournait et ratatournait dans la grange. Lucie avait fermé le bâtiment, ayant peur qu’une autre de ses bêtes ne s’échappe.

La rondouillette française avait pris la décision de faire quelques affiches avec les grandes caractéristiques de Starky, photo à l’appui, à quel moment il avait disparu, les coordonnées de Lucie, et un petit plus : une récompense pour la personne qui le retrouverait. Elle avait pris quelques précautions, déposant ses affiches dans les petites boutiques comme des restaurants, des bars-tabacs, des auberges, des écoles aussi. Elle en déposa également à la crèche où elle travaillait, ainsi que dans le grand centre commercial de Seikusu.



Lucie avait fouillé tous les recoins où elle pensait trouver son chien : le parc, les sous-bois, et aussi les chenils. Peut-être que la fourrière l’avait attrapé. Maintenant, la rouquine n’avait plus qu’à attendre. Attendez un peu ! Et s’ils l’avaient trouvé et piqué ? Ou pire encore. Starky était un molosse, un bouvier bernois exactement. Or, au Japon, les grands chiens du genre de Starky sont considérés comme dangereux. Déjà rien qu’un dalmatien est considéré comme un tueur, alors un bouvier bernois…Mon dieu ! L’esprit de la française commençait à imaginer les pires choses ! Lucie savait que les asiatiques étaient friands de viande de chat...Mais aussi de chien ! Elle commença à attraper des sueurs froides, son visage devenant pâle à l’idée que son chien est pu finir dans une assiette et dans un estomac…Elle en tomberait presque dans les pommes, près de son téléphone, attendant le moindre appel. On ne touchait pas à ses animaux. C’étaient ses bébés…

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Le quartier de la Toussaint / French Touch [pv Ulrique]
« le: lundi 16 janvier 2012, 18:34:10 »
- Décidemment, les Japonaises sont toutes des anorexiques…

C’était la conclusion qu’avait eu Lucie, notre rondouillette française, en regardant les vêtements dans un simple magasin de mode, de fringues, dans le centre commercial. Un simple magasin parmi tant d’autres dans cette immense galerie marchande, et pourtant, Lucie n’avait rien trouvé à sa taille. Elle soupira longuement, fermant ses yeux noisette. Déjà en France, elle avait bien du mal à s’habiller dans les grandes enseignes. Enfin, du moins, s’habiller sans que ça fasse « mamie » et que cela la vieillisse. Après, elle ne se souciait guère d’être à la pointe de la mode. Elle voulait juste ne pas se trimballer nue, c’est tout. Un autre long soupir s’échappa d’entre ses lèvres. Elle ne pouvait en vouloir aux filles nipponnes après tout. Être de petite taille, fine et svelte était dans leurs caractéristiques physiques, comme Lucie avait les siennes de caucasienne.

Elle sortit d’un ultime magasin de fringues, lassée de ne rien trouver à sa taille. Cela ne faisait pas longtemps qu’elle s’était installée près de Seikusu, ou plutôt aux abords. Elle ne connaissait encore personne dans cette ville, bien loin de sa Provence natale. Alors il n’y avait personne pour la guider dans cette ville inconnue encore pour elle. Mais ce n’était pas grave. Un peu d’aventure dans la vie de tous les jours, ça ne fait de mal à personne.

Habillée d’un simple jean, des bottes noires, un fin pull vert laissant découvert ses épaules, elle arpentait les allées carrelées de la galerie, à l’abri du froid de l’hiver. Elle savait parfaitement où elle allait, un peu dans le fond du centre d’ailleurs. Il y avait là un magasin spécialisé dans les vêtements grandes tailles, et surtout sur mesure. Elle y trouverait peut-être enfin quelque chose à sa taille. Car c’est vrai, chez elle, enfin dans son nouveau chez elle près des sous-bois, elle n’avait pas pu ramener beaucoup d’habits de France, de son ancien appartement ou de la maison familiale. C’est pourquoi elle devait faire avec jusqu’à en trouver ici à Seikusu, en fonction des saisons aussi.

Arrivée devant la fameuse boutique, elle entra doucement, saluant les personnes déjà présentes dans le magasin. Elle ne vint pas directement voir le spécialiste pour se faire faire un habit sur mesure. Elle préférait faire le tour de la boutique, remuait et passait les mains dans les vêtements déjà présents sur les étagères. Et malchanceuse qu’elle est, encore une fois, les choses qui lui plaisaient été soit trop chères, soit pas à sa taille. Un nouveau soupir s’envola de ses lèvres, las de faire les boutiques.


- Non mais quelle poisse…Ce n’est pas possible…

Elle s’exprima dans sa langue maternelle, ne voulant pas se faire entendre et comprendre des personnes présentes dans la boutique…

7
C’était un dimanche et on pourrait croire qu’un simple mortel s’amusait à faire la grasse matinée en cette belle journée d’automne. Mais Lucie venait de se lever, quand les premières lueurs du jour avaient pointé leur nez, illuminant la crinière de feu de la jeune femme encore à moitié endormie. Dans sa petite nuisette en satin blanc, elle prit attention à ne pas bousculer les deux chats qui dormaient sur son lit en se levant. Quelques étirements et voilà Lucie qui déambule, chantonnant le long de sa course vers la cuisine. Petit déjeuner en vue : une tartine grillé avec un peu de beurre, du chocolat chaud et une cuillère de miel. Rien de mieux selon elle pour démarrer une journée. Car oui, aujourd’hui, malgré que ce soit un jour de repos pour tout le monde, allait être une journée chargée pour la jeune rondouillette.

Une fois son petit déjeuner fini, elle se redirigea vers sa chambre, retirant doucement sa nuisette, la déposant sous son oreiller. Elle était ainsi nue à la vue de tout le monde, ou plutôt de personne. Sa maisonnette était assez retirée de la ville de Seikusu, proche des bois même. Dans son armoire, elle prit petite culotte, soutien-gorge, tee-shirt et salopette. Rien de bien glamour outre les sous-vêtements. Mais elle n’avait pas à l’être car aujourd’hui, elle s’occuperait de son jardin, sa maison et ses bêtes. Se retroussant les manches, elle s’asseye sur le bord de son lit, enfilant une paire de chaussettes et sa paire de bottes en caoutchouc. Ainsi vêtue, prête à l’action, elle se dirigea dehors, pour aller dans la grange.

La grange n’était pas de grande taille, mais assez pour y abriter la petite ménagerie de Lucie. Une vache, un cheval, un âne, des poules, un coq, deux chiens et quatre chats peuplaient cette adorable maison à la structure basique. S’armant de sa fourche, Lucie Moreau ramena quelques bottes de fois pour les herbivores, des graines pour les poules et des croquettes pour les carnivores. Tout le monde était logé à la même enseigne et s’entendait avec tout le monde. Ceci fait, elle déposa la fourche et prit sa binette et son couteau, pour se diriger dehors, dans son potager. Il ne restait pas grand-chose des légumes d’été, à peine quelques poivrons et tomates. Le reste restait à stade de plantule comme les poireaux, choux et betteraves. Seules les courges sortaient pour arborer leur couleur orangée.

Enfin midi. Lucie ramassa quelques légumes, rangea ses outils et se dirigea vers sa petite maison. Retirant ses bottes à l’entrée, elle nettoya les légumes fraîchement cueillis pour les cuisiner. Un bon petit repas, avec un petit son du vent dans les feuilles de dehors. Rien de tel pour mettre du baume au cœur de la jeune rondouillette.

L’après-midi pointait son nez et il était tant pour Lucie de nettoyer l’intérieur de sa maison. Aspirateur, balai espagnol, chiffon pour les poussières, chiffon pour les fenêtres. Il commençait déjà à faire noir dehors quand la demoiselle avait fini de récurer, d’astiquer de fond en comble son chez-soi. Elle prit place sur une des chaises de son salon, soupirant d’aise longuement, bien fatiguée par sa journée. Hop hop hop ! Direction la salle de bains désormais, une bonne douche attendait la jeune rousse. L’eau chaude, l’odeur du shampoing, la douceur du gel douche. Trop fatiguée et l’heure déjà bien avancée, elle ne prit pas de dîner, se dirigeant toute nue, une serviette dans les cheveux, dans sa chambre, récupérant sa nuisette et l’enfilant. Elle s’enfourna dans son lit, s’enroulant dans sa couette bien fraîche. Ses yeux se faisaient lourds et tous ses membres également. Elle avait bien travailler et pouvait maintenant dormir en paix, accompagnés des ronronnements des chats dormant sur son lit.


8
Le coin du chalant / Un rayon de soleil...
« le: dimanche 09 octobre 2011, 19:56:24 »
Il faut bien se lancer dans l'écriture maintenant.

Je ne suis pas regardante sur la longueur d'un post. Du moment qu'il tient la route, ça me suffira (:
Pour le type de partenaire, je tiens à repréciser que Lucie est hétérosexuelle en amour. Pour le plaisir, pourquoi pas essayer entre jeunes femmes ou même, à plusieurs !
Lucie vit proche des bois de Seikusu, et n'a donc pas connaissance de l'existance d'êtres non-humains et de Terra.

Je vous laisse donc ma fiche pour vous faire une idée sur Lucie, et surtout laissez votre imagination voyager pour une demande de rp avec moi.

Si je trouve des idées de trames, je viendrais en ajouter par la suite (:

Merci !

9
Prélude / ☼ Lumière de vie ☼ (Valithée)
« le: vendredi 07 octobre 2011, 00:18:17 »
Nom : Lucie Moreau
Surnom : Lulu, Luz et j’en passe
Âge : 28 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine


Histoire :

C’était un dimanche d’hiver, mais il ne faisait pas forcément un froid glacial. Neige et pluie se mélangeaient, tourmentées par le vent, pour accueillir une merveilleuse petite fille : vous l’aurez deviné, Lucie. Un beau bébé que disaient ses grands-parents ! La famille de Lucie était d’origine française, habitant dans la région PACA. C’est là-bas que Lucie grandit, aimée de toute sa famille, entourée d’animaux, nature…Mais pas d’ami. Non car elle était différente. Depuis toute petite, elle est ronde. Surpoids, obésité ? Peu importe. Elle était différente de par sa carrure. Ses parents la faisaient suivre par un pédiatre spécialisé dans les problèmes de poids, pensant trop nourrir leur petite rousse. Ce n’est que plus tard, à l’âge de ses sept ans, que les parents de la jeune enfant et les docteurs ont découvert ce que cachait en réalité le poids de Lucie : une dysfonctionnement de la thyroïde. Déjà à son âge ? Tout est possible. Oui, c’était bien un mauvais fonctionnement de sa glande thyroïdienne, cette hypothyroïdie qui lui provoquait ce surpoids. Je vous épargne les autres symptômes de la maladie, je n’ai pas envie que cela se transforme en pitié de votre part.

Rejetée depuis l’enfance par les jeunes de l’école et regardée de travers par le reste du monde, ils se trompaient bien quand ils pensaient que c’était du à la malbouffe ou autre. Il ne faut jamais se fier aux apparences, mh ? Néanmoins, Lucie a appris à vivre avec sa faiblesse et en a fait une force. Enfin faiblesse, c’est ce que les autres qualifiaient pour son poids. Enfin bref, elle a appris à voir la vie du bon côté, à être optimiste, à se ficher de l’avis des autres qui ne comptent pas pour elle.

École, lycée, université, Lucie a accumulé les années scolaires. Avec un diplôme d’enseignante, elle a travaillé quelques années en France, dans une école maternelle. Les petits, c’est ce qu’elle préfère. Et son envie de voyage l’a amené au Japon, plus précisément à Seikusu. Elle n’habite pas la ville même, elle a horreur des villes surplombées de monde. Elle possède une petite maisonnette aux alentours des bois de la ville, avec un grand jardin. Elle possède une vraie ménagerie dans une petite grange : chien, chats, chèvres, vaches, cheval, et j’en passe. Elle vit simplement comme ça, au jour le jour.

Elle travaille désormais à la crèche de Seikusu, laissant son poste d’institutrice de côté. Elle voudrait même refaire une formation pour pratiquer autre chose, mais elle reste indécise.

La vie de Lucie n’a rien de bien compliquée, elle se terminera bientôt, sa maladie étant la cause. Une fin tragique l’attend, me direz-vous ? C’est ce que sa maladie lui réserve, mais qui sait ce que l’avenir peut réserver après tout…


Description physique :

D’origine caucasienne, elle est un peu plus grande que la moyenne nationale française : 1m70. À vous de voir si c’est grand ou petit pour vous, après tout, cela ne lui fait rien. Son poids ? Bien sûr qu’elle vous le dira : 78 kilos. Vous trouvez ça beaucoup ? Elle s’en moque aussi. Elle ne cherche pas à vous plaire personnellement, elle reste juste ce qu’elle est. C’est une femme bien en forme. Ne pensez pas qu’avec un poids pareil, elle soit mince comme ces mannequins anorexiques du monde de la mode. Les rondeurs sont de mises ! Et partout ! Ah, et c’est loin d’être un gros tas de graisse, comme certains penseront : elle reste une femme musclée ! Et oui...Son ventre est un peu plus volumineux que la « normale », mais qu’importe, il reste moelleux. Son derrière est bien rond et musclée également. Sa poitrine ? Comptez un 100 D.

Son visage n’a rien de fin, il est plutôt ovale et possède un léger double-menton, qu’elle porte fièrement. Son visage arbore des yeux noisette, en amande, très expressifs (comme le reste de son visage), un petit nez dodu, et des lèvres fines donnant naissance à un magnifique sourire. Malgré ses origines, elle possède une chevelure rousse, courte et ondulée.


Caractère :

Que dire de Lucie ? Et bien, malgré tout ce qui lui est tombé dessus et ce que lui réserve le destin, c’est une jeune femme en fleur, qui respire la joie de vivre, souriant et riant très facilement. Elle cherche toujours à voir les points positifs d’une situation, et ce, quoiqu’il arrive. Elle est généreuse et remplie de bonnes intentions, très facile à vivre.

C’est une fille simple et naturelle. Elle n’est en aucun cas complexée par son corps. Elle avoue même être gourmande, grande joueuse, grand enfant. C’est une romantique qui s’extasie devant un champs de blé parsemé de coquelicots ou devant un geste de gentleman.

On pourrait croire que cette jeune fille est une paresseuse…Elle l’est, mais juste quelques fois. Ca arrive à tout le monde de l’être, non ? Elle reste néanmoins une femme courageuse, qui n’aura pas peur de répondre à des gens qui lui voudrait du mal, et c’est une bosseuse.


Orientation et expérience sexuelle :

En amour, elle reste purement hétéro. Au plaisir, elle pense être bi. Je dis bien « elle croit » car elle n’a eu qu’une expérience masculine durant sa vie.


Google is my friend, et pas de moyen de faire connaître ce forum, sorry.



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