Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Makoto Yamashita

Pages: [1]
1
Vous nous quittez déjà ? / Panne d'inspiration
« le: jeudi 08 mai 2014, 16:01:15 »
Voilà,

Juste pour signaler que je traverse une grosse période de vide : je n'arrive juste pas à pondre une réponse RP et à me concentrer suffisamment. C'est comme ça, ce n'est pas du tout de votre faute, mes partenaires de RP, ce n'est pas que vos réponses n'ont pas de quoi inspirer, mais c'est juste que je suis comme ça, avec une motivation et une concentration très fluctuantes, avec des phases d'hyper-motivation et des phases de creux intersidéral et nous sommes dans une période de calme désertique.

Bref, comme je n'arrive pas à m'y mettre, je me mets en pause temporairement, bien que ça me désole sincèrement.

J'ignore quand ça reprendra de mon côté. Cela peut énormément varier...

Sont concernés mes comptes plus ou moins actifs en RP (parce que les autres, on s'en fout), à savoir :
- Makoto Yamashita, donc celui-là.
- Grace (la Succube)
- Lucrecia.

Je m'excuse donc auprès de PAK (avec qui j'ai deux RP sur ces différents comptes), Johnny Storm, William Dolan et de mes partenaires de one-shot.

Voilà...

2
Le parc et son sous-bois / Dangereux rendez-vous [Johnny]
« le: samedi 26 avril 2014, 00:17:17 »
Il y a plusieurs mois, à la suite d'un terrible événement, la vie de Makoto avait changé. Agressée dans un train par un inconnu, elle avait décidé de mettre sa vie au service des victimes. Dans ce but, elle avait créé un site avec blog sur lequel elle évoquait toutes les agressions sexuelles ayant lieu en ville. Malheureusement, elles étaient nombreuses : on avait l'impression que tous les pervers et obsédés sexuels s'étaient réunis dans une même ville. Cela la dépassait... Comment une telle chose pouvait-elle seulement exister dans son pays ? Bien sûr, elle savait qu'il y avait un grave problème à ce sujet au Japon, bien des étrangers ne s'étant pas gênés pour le lui rappeler lors de son séjour en France, mais Seikusu dépassait de loin toutes les autres villes.

Chaque jour, elle recueillait des témoignages des victimes et des indices afin d'aider les enquêteurs et d'informer les citadins au sujet des menaces qui pesaient sur la gent féminine en ville. De plus, s'il le fallait, elle était également en contact avec des psychologues et d'autres professionnels en mesure d'apporter un certain soutien aux femmes qui avaient eu le malheur de tomber sur de tels individus. La tâche était colossale : en seulement quelques mois, elle avait eu bien plus d'informations qu'elle ne l'aurait imaginé... Pour couronner le tout, elle avait le sentiment de ne jamais avancer : il y avait toujours plus de victimes alors que le taux de crimes élucidés restait terriblement faible. Ces criminels, ces monstres ignobles, agissaient en toute impunité. Certains semblaient même disparaître de la circulation après avoir commis leurs méfaits.

Des témoignages rapportaient que certaines victimes avaient été sauvées par des héros de passage, tous aussi étranges les uns que les autres, mais rares étaient les chanceuses qui avaient bénéficié d'une aide inopinée. Ces femmes se comptaient sur les doigts de la main. La victime avec laquelle elle avait rendez-vous ce soir au parc de Seikusu, une certaine Masako, faisait d'ailleurs partie de la majorité malchanceuse. Cette dernière l'avait contactée par mail depuis son site et avait demandé à la voir dans un endroit discret. Par respect et par compassion pour la victime, la journaliste avait respecté ce choix. Une femme dans une telle situation avait parfois de très bonnes raisons d'éviter les lieux fréquentés ou leur domicile : de nombreuses victimes connaissaient leur agresseur. Cela pouvait en effet être un proche : un camarade, un ami... Un parent, peut-être.

Heureusement, Makoto avait certaines qualités qui expliquaient son succès auprès des victimes, en plus de leur expérience commune, et facilitaient grandement son travail (mais était-ce un travail ? N'était-ce pas plutôt une mission sacrée ?). En premier lieu, sa voix et son visage étaient toujours d'une grande douceur, ce qui rassurait les femmes et leur inspirait confiance. Elle pouvait très rapidement devenir la confidente de femmes qui ne la connaissaient pas quelques minutes auparavant. Ensuite, elle n'émettait aucun jugement et ne rejetait donc jamais - et strictement jamais - la responsabilité sur les victimes : en raison de ses convictions, elle estimait que les gens étaient entièrement libres et responsables de leur mode de vie et de leurs actes. À titre personnel, elle ne consommait pas d'alcool ni de drogues parce que ces substances embrouillent l'esprit, selon ses principes bouddhistes, mais elle n'était certainement pas celle qui allait jeter la pierre à une femme parce qu'elle avait bu ou consommé de son plein gré des substances illicites. De même, les femmes étaient libres de choisir et d'assumer leur sexualité. Enfin, personne ne pouvait nier la force de caractère, la volonté et la persévérance de la journaliste : elle s'occupait de chaque cas avec bien plus de sérieux que n'importe qui.

Elle prouvait d'ailleurs ce dernier point en venant dans un lieu isolé au plus noir de la nuit afin d'aider une femme dans le besoin. Avec un tel dévouement, si elle aurait pu être une sainte. En tailleur-jupe, sa tenue par défaut, une serviette serrée sous le bras, elle s'empressa de se rendre au point de rendez-vous : un banc situé non loin d'une petite fontaine qu'un lampadaire éclairait de sa lumière aussi pâle qu'un linceul, donnant aux lieux une atmosphère inquiétante, voire sordide. Vide... Il n'y avait strictement personne dans le coin. Makoto eut un mauvais pressentiment. Et à raison...

Cinq hommes surgirent en effet de derrière les arbres les plus proches et l'encerclèrent avant qu'elle n'ait eu le temps de réagir. Ils étaient tous vêtus de façon négligée. L'expression qu'elle lisait sur leurs visages était à la fois menaçante et lubrique, ce qui était commun d'après les témoignages (elle n'avait pu en juger par elle-même, n'ayant pas vu son agresseur). Elle déglutit et osa demander d'une voix faible :

"Où est Masako ? Qu'avez-vous fait d'elle ?

"Idiote ! Il n'y a pas de Masako... C'est un piège. Petite féministe hystérique, on va te régler ton compte... Alors, comme ça, tu n'aimes pas les hommes qui font preuve de virilité ? On va t'apprendre à y prendre goût. Avec la tenue que tu portes, tu dois en avoir envie... Keisuke, rends cette petite louve inoffensive !"

À ce moment, elle se sentit se décomposer. Un traquenard ? Elle était tombée dans une embuscade aussi stupide ?

"Non..." dit-elle faiblement, son monde toujours en train de s'écrouler autour d'elle.

Un homme derrière elle (le dénommé Keisuke) attrapa ses poignets et les maintint au niveau de sa tête. Elle se débattit avec toute l'énergie du désespoir. En vain... Que pouvait-elle faire ? Elle était seule... Elle tenta de balancer un coup de talon aiguille dans les valseuses de l'homme en face d'elle, mais un autre de ses agresseurs eut le réflexe de bloquer sa jambe et de la tenir.

"Bien joué, Hideki", dit le chef. "Tiens-la bien pendant que je m'amuse. Hyakuzo, prends son autre jambe !"

L'homme sur sa gauche s'exécuta, lui attrapant la jambe gauche et la tenant fermement pour l'empêcher de frapper. Elle était désormais totalement désemparée. Quelle imprudente... Elle aurait dû se douter qu'il pouvait y avoir des types comme ça ! Mais qu'aurait-elle dû faire ? Venir armée ou accompagnée était la meilleure façon de dissuader des victimes, souvent très méfiantes, de se confier.

Avec un sourire mauvais et victorieux, le chef entreprit alors de déboutonner les quelques boutons de sa veste, assez lentement, comme un prédateur sadique adorant jouer avec sa victime -ce qu'il était indéniablement- qui savourait chaque seconde. Il n'avait même pas besoin d'employer la violence pour obtenir ce qu'il voulait. Cela ne changeait bien sûr rien à la nature de l'agression et à sa malfaisance.

Il observa un moment le décolleté et glissa rapidement la main dans ce dernier pour pétrir un sein avant de le déboutonner lentement à son tour, dévoilant une poitrine qui semblait lui plaire, à en juger à son expression concupiscente qui rappelait un Oni.

Le cinquième homme, le seul aux mains totalement libres, ne put s'empêcher de manifester sa frustration et s'adressa au chef :

"Tetsuro ! Je fous quoi, moi ? Je veux aussi en profiter !"

Le chef, qui se nommait donc Tetsuro, répondit à ce dernier avec agacement :

"Keishi, patiente, merde ! Tu passeras juste après moi, ça te va ?"

L'homme sourit, satisfait et se tut. Tetsuro en profita pour reprendre et mit ses sales mains dégoûtantes sous la jupe serrée et attrapa sa culotte afin de la baisser, encore une fois avec lenteur, comme pour mieux la torturer et lui faire sentir toute son impuissance. La situation ne les excitait pas seulement, elle les amusait...

Désormais, elle était comme détachée, passive, résignée... Que pouvait-elle faire ? Rien. Elle tenta bien de crier, mais Keishi s'empressa de la réduire au silence en plaquant sa main sur sa bouche avec force. Elle tenta de nouveau de se débattre, mais toujours aussi vainement. Elle devait l'admettre : elle était perdue... Encore une fois, elle allait subir ce calvaire.

Ce monde était-il aussi sombre ? Elle n'osait le croire. Elle avait perdu tout espoir...

3
Le coin du chalant / Une journaliste en quête de justice
« le: mercredi 23 avril 2014, 00:25:50 »
Voici donc le sujet pour mon personnage.

Bien sûr, je vous encourage à lire ma fiche parce que je ferai dans le "réaliste" : il ne faut pas vous attendre à du surnaturel de mon côté, de même qu'elle ne tombera pas dans les bras d'un homme comme ça. Ce n'est juste pas son caractère...

Sujet du topic=> Hentai, ça risque d'être difficile, mais c'est possible. Combat, elle ne ferait pas un pli. Social reste plus probable...

Nombre de participants=> Un seul partenaire à la fois. Pas d'exception sur ce point-là.

Trame=> Le type de partenaire dépend grandement des trames, mais on peut proposer les trames suivantes :

[Hentai] On peut jouer la fameuse agression qui l'a conduite à évoluer et lui a permis de trouver un but dans la vie.

ça aurait donc lieu avant l'existence de son site particulier, puisqu'elle en est bien sûr à l'origine.

[Social] Là, je vois plusieurs possibilités selon les partenaires :
- débat politique : bien oui, pourquoi pas ? Elle adore ça !
- enquête : vous participez au site de Makoto ou lui fournissez des informations sur l'enquête... Ou alors le contraire.
- rencontre : vous pouvez avoir été victime d'une agression et lui parler : elle n'est pas psychologue, certes, mais c'est une oreille douce et compatissante.

Il y a d'autres possibilités, bien sûr...

Donc, pas de combat car, comme j'ai dit, elle n'est pas une combattante du tout.

Qualité de post=> Dix lignes en moyenne. Bien sûr, ça dépend de la taille de l'écran et je ne vais pas mesurer pour vérifier que vous faites bien dix lignes complètes à chaque fois. On va dire que c'est le minimum et que je serai un peu frustrée avec une petite réponse de trois lignes (même que je vais bouder). Il faut quand même donner de la matière pour son partenaire afin qu'il puisse rédiger sa réponse. Cela peut être difficile pour lui s'il doit se contenter de quelques lignes pour s'inspirer, à moins de faire de l'improvisation, mais bon, le RP, c'est avant tout l'interaction. Bref, ma muse sera contente et me fournira l'inspiration si vous avez la gentillesse d'écrire environ dix lignes.

4
Prélude / Yamashita Makoto, journaliste et militante [Validora !]
« le: mardi 22 avril 2014, 21:53:54 »
Nom/Prenom/Surnom : Makoto Yamashita
Âge : 30 ans (née le 9 septembre 1983)
Sexe : Féminin
Race : Humaine normale
Orientation sexuelle:  Hétérosexuelle

Description physique :
Avec ses cheveux longs noirs, ses yeux noirs et ses traits fins, Makoto ressemble à une Japonaise typique. On la décrit souvent comme plutôt jolie et faisant plus jeune que son âge. Elle est très fine et plutôt petite, dépassant à peine le mètre soixante. Cela contraste d'autant plus avec sa poitrine, plutôt bien fournie, ronde et ferme, sans être excessivement opulente ou énorme (et heureusement car elle trouverait cela disgracieux).

En dépit de ses idées, sa tenue est souvent très classique. Elle privilégie notamment le tailleur jupe parce qu'elle se sent naturellement à l'aise dans de tels vêtements et pense que cela lui donne un peu plus de crédibilité. Dans un contexte privé, elle n'hésite pas à s'habiller autrement, mais cela reste généralement assez quelconque. Elle n'est pas très originale.

En temps normal, elle porte une touche de maquillage. Elle veille toujours à ce qu'elle soit la plus légère possible. C'est là la seule « fantaisie » qu'elle s'autorise. En dehors, sa peau est vierge de tout artifice : ni tatouage, ni piercing, à l'exception bien évidemment des lobes de ses oreilles.

Myope depuis son enfance, elle porte toujours des lunettes.

Caractère :
En dépit de ses origines sociales aisées, elle ne s'est jamais vraiment sentie à sa place dans ce milieu. Une part d'elle a toujours eu le sentiment que sa famille ne méritait pas sa fortune et cela s'est amplifié après la mort de son frère. Elle a toujours eu l'impression que sa famille avait sacrifié une partie de son humanité pour parvenir au sommet de l'échelle. Animée par sa foi bouddhiste et par une forte volonté de justice, elle cherche désormais le bonheur en se détachant des biens matériels et en rendant service à autrui.

Dans la vie, elle part du principe qu'il n'y a rien de plus sacré que la liberté et méprise ceux qui la bafouent, soit en portant atteinte à celle des autres, soit en abusant de la leur pour faire le mal. Cela lui pose de graves problèmes : comment lutter contre les individus les plus ignobles sans risquer de porter atteinte à certains principes ? Si des hommes profitent de leur liberté pour violer dans une société dotée d'un appareil étatique, de lois strictes, de forces de l'ordre et de prisons, qu'en sera-t-il dans une société libre, sans État ni autorité ? Les réponses de certains philosophes et théoriciens ne l'ont pas tout à fait convaincue.

Elle est critique à l'égard de la notion de pouvoir ou d'autorité : l'idée que quelqu'un puisse s'arroger le droit de penser ce qui est le mieux pour les autres lui semble ridicule au plus haut point. De même, elle méprise toute recherche du profit qui ne peut conduire à ses yeux qu'à la frustration et à la souffrance. Elle ne possède elle-même que peu de bien en dehors du nécessaire pour son travail et ses loisirs.

Profondément pacifiste, elle rejette toute forme de violence et méprise ceux qui font appel à la force pour imposer leurs idées, y compris les siennes. Rien ne justifie la violence, en dehors de la légitime défense. Elle s'énerve au plus haut point quand on rappelle les différents actes de violence commis par des anarchistes. Pour elle, ce n'est que du terrorisme, peu importe la jolie étiquette qu'on lui colle dessus pour justifier les moyens employés, pas l'anarchisme pacifiste et d'essence bouddhiste auquel elle aspire.

Histoire :
Makoto Yamashita est née le 9 septembre 1983 dans une famille traditionnelle et conservatrice de Kyoto. Son père, Koji Yamashita était un homme d'affaires dans le secteur chimique. Quant à sa mère, nommée Amaya, celle-ci ne travaillait pas, préférant de loin consacrer son temps au foyer familial. Ses parents s'étaient rencontrés à l'université et s'étaient mariés peu après l'obtention de leurs diplômes.

La jeune femme fut précédée par un frère, Akihiko, de cinq ans son aîné. Son père plaçait tous les espoirs dans ce dernier sans comprendre qu'il était très différent de lui. Ce n'était pas vraiment un mauvais élève, mais ses notes étaient loin d'être aussi bonnes que son père l'aurait voulu. Il avait beau tout faire pour donner le meilleur de lui-même, cela ne semblait jamais suffire. Contrairement à ce que pensait son père, et sa sœur en est toujours persuadée, il était loin d'être stupide ou dépourvue de qualités, mais les atouts qu'il avait à offrir n'intéressaient pas un homme pragmatique et matérialiste. Plus d'une fois, elle avait vu son frère faire des nuits blanches afin de s'améliorer, mais sans résultat positif. Tout ce qu'il récoltait, c'était le mépris de son père...

Tout le monde n'était pas adapté pour se conformer à un moule. Son frère faisait partie de ces individus qui avaient le malheur d'être nés dans une société -ou du moins dans une famille- qui ne reconnaissait pas leur valeur. C'était un individu sensible et un artiste, qui adorait peindre et jouer du piano, mais ça ne suffisait pas. Leur père voulait un héritier, pas un doux rêveur. Tout cela poussa Akihiko vers la voie de la dépression. Accusé tour à tour d'être "incapable", "incompétent", "paresseux" ou "fainéant", sa vie était misérable. Peu à peu, il se renferma, devenant un hikikomori, avant de finalement se pendre dans sa chambre.

Makoto en voulut énormément à son père, d'autant plus qu'il reporta ensuite son attention sur elle en voyant qu'elle était bien meilleure élève que son frère. Elle décida de s'éloigner le plus rapidement possible de cette famille si odieuse. Elle en eut l'occasion grâce à ses études. Après quelques années brillantes à l'université, où elle étudia les langues, en particulier le français et l'anglais, elle décida d'effectuer un cursus à l'étranger. Ses excellents résultats lui ouvraient la porte de bien des universités prestigieuses, mais elle préféra tout simplement poursuivre ses études dans une université parisienne, en France, où elle opta pour un cursus de Langues Étrangères Appliquées.

Au cours de ses études, elle fréquenta de nombreux camarades militants dans différents syndicats étudiants et fut confrontée à des idées nouvelles. Auparavant, elle n'avait jamais ressenti le moindre intérêt pour la politique, mais elle changea d'avis après ces rencontres fort enrichissantes. Elle les écouta parler de critique sociale, de philosophie et de théories. Curieusement, cette jeune femme originaire d'une famille conservatrice s'est immédiatement sentie très proche de courants de gauche, qu'elle trouvait en accord avec sa propre foi bouddhiste et ses convictions profondes. Elle finit même par développer des thèses proches de l'anarchisme. Certes, il y avait déjà des partis de gauche au Japon. Néanmoins, ils étaient loin d'être aussi présents qu'en France.

Au cours de son séjour, elle devint une correspondante locale pour un site japonais parlant de politique après avoir déposé une candidature. Le sujet lui tenait à cœur et elle désirait le partager avec ses compatriotes. Elle se chargeait de la traduction de nombreux articles de la presse française ou anglophone quand elle n'exposait pas son propre point de vue. Elle avait enfin trouvé sa vocation : elle allait devenir journaliste. Après son retour au Japon, elle postula au sein de la rédaction d'un journal qui l'envoya à Seikusu, une ville dont elle n'avait jamais entendu parler, pour enquêter sur des faits divers. Aujourd'hui encore, elle aimerait ne l'avoir jamais connue.

Seikusu changea en effet sa vie, et de la pire façon possible. Lors d'un déplacement, elle fut victime d'une agression sexuelle dans un train. Elle se souvient encore de ses mains sur elle, sur sa poitrine, sous sa jupe... De ses doigts... De son... Non, elle refusait d'y penser. Ironiquement, c'était bien sur les nombreux cas de viols et d'agressions sexuelles qu'on lui avait demandé d'obtenir des informations, mais jamais elle n'aurait imaginé être à la place des victimes. Elle porta plainte sans conviction : elle n'avait pas vu le visage du pervers qui l'avait touchée.

Après de nombreuses semaines de réflexion et de réclusion dans son domicile, elle décida de créer un site intitulé de façon satirique le « daily rapist » afin d'y dénoncer les nombreux cas d'agressions sexuelles et de viols qui gangrènent cette ville : Seikusu était de loin la ville avec le taux le plus élevé. Elle est en contact avec des policiers et d'autres officiels qui lui servent d'informateurs et compte bien faire le nécessaire pour comprendre ce qu'il se passe en ville et informer les habitants au nom de la justice et de la vérité. Elle a recueilli de nombreux témoignages et fait le nécessaire afin d'obtenir des informations permettant d'aider la police.

Elle ignore malheureusement qu'elle est loin d'être au bout de ses surprises...

Quant à ses relations avec sa famille, elle a renoué avec son père peu après son agression, mais ne lui a pas parlé de ce qu'il lui est arrivé. Elle reste toutefois persuadée qu'il a senti quelque chose. Il reste son père et, bien qu'elle ne lui ait pas pardonné, elle ne pense pas qu'il soit complètement mauvais ou insensible. Il voulait la réussite, sans comprendre qu'il y avait d'autres voies. Il aimerait encore qu'elle soit à son image. Cela la motive encore plus à lui prouver qu'elle  peut s'accomplir autrement que par la recherche du confort et du profit.

Situation de départ : Quelques aventures, peu d'expérience. Elle n'a d'ailleurs pas eu de relations depuis des mois.

Autres : C'est une jeune femme japonaise on ne peut plus normale (aucun pouvoir, rien de surnaturel) qui possède un excellent niveau d'anglais et de français. Elle a étudié un peu l'allemand en autodidacte et possède des méthodes ainsi que des livres de grammaire et des dictionnaires, mais n'a pas dépassé le niveau d'un lycéen.

Elle vote Shakai Minshutō parce que c'est le parti avec lequel elle se sent plus d'affinités, sans partager pour autant toutes ses valeurs et toutes ses idées. Il est important de participer et de s'exprimer, même quand on désapprouve un système.

Elle vit dans un appartement modeste et possède très peu de biens personnels, le plus précieux restant son PC. Elle ne possède même pas de voiture et pense que l'on peut se compter des transports en commun dans la plupart des cas.

Elle dispose aussi d'une bibliothèque plutôt bien garnie, en particulier dans les domaines de la religion (essentiellement les religions asiatiques) et de la politique. Bien sûr, la littérature y occupe une certaine place.

Elle possède également de quelques peintures de son frère.

En dehors de la lecture, elle pratique la méditation et le yoga. Elle aime également écouter de la musique et a des goûts assez éclectiques dans ce domaine.

Son groupe sanguin est le O -.

Comment avez vous connu le forum : Doublette.
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels: Je peux me promener nue avec une pancarte publicitaire dans les conventions de mangas.

5
Le coin du chalant / Un RP avec une descendante des Kami
« le: vendredi 08 juillet 2011, 15:49:36 »
À mon tour de proposer un RP, donc. Pour moi, c'est une première dans le sens où je n'avais jamais fait un RP combat et j'ai prévu ce personnage pour en avoir la possibilité, en la concevant un peu comme une super-héroïne avec son lot de super-pouvoirs pour se défendre, mais aussi des faiblesses pour qu'elle soit vulnérables à certaines choses. Elle est loin d'être invulnérable et, selon le personnage face à elle, elle peut même être en situation de faiblesse.

Donc vous pouvez proposer des combinaisons social/hentai, social/combat/hentai, combat/hentai, mais je précise que j'ai quand même quelques principes concernant les RP de combat : pas de gore et de mort. Du moins, pas de mort de personnage-joueur, que ce soit Meiko ou celui d'en face. Sinon, c'est OK...

Idées en vrac :
- [Hentai/Social/Combat, pour tout type de personnage] Vous rencontrez Meiko lors d'une de ses patrouilles (Tueuse-style) et selon ce que vous êtes et votre attitude avec elle, ça peut finir de n'importe quelle façon.
- [Hentai/Social, pour Créature, Dieu, Avatar ou tout être affilié aux Kami] Que vous soyez un dieu, un yokai ou autre, vous rencontrez Meiko dans un contexte lié à sa tâche divine et pouvez être amené à mieux la connaître.

Sinon, à vous de proposer, voilà...

6
Prélude / Meiko, émissaire des Kami [Valibreizh]
« le: jeudi 07 juillet 2011, 18:06:06 »
Prénom : Meiko

Âge : 17 ans

Sexe : féminin

Race : humaine améliorée (descendante de Kami dont on a éveillé le potentiel divin)

Orientation sexuelle : hétérosexuelle (du moins, selon elle ; elle peut avoir des tendances bisexuelles, mais les ignore totalement)

Description physique :
Meiko est une jolie jeune fille de 17 ans d’assez grande taille, mesurant près d’1m66. De sa mère, elle a hérité ses cheveux châtains qui font sa fierté, ce pourquoi elle les garde longs et libres, ne les attachant quasiment jamais (sauf bien sûr en cas d'activité physique car elle n'a jamais accepté de les couper pour des raisons pratiques, contrairement à d'autres filles athlètes plus garçons manqués qu'elle), ainsi que sa taille. Ses yeux sont marrons. Le teint de sa peau est assez proche de celui d’un Européen ou d’un Américain, seuls (ou presque) ses yeux légèrement en amande témoignant de ses origines nippones.

L’activité sportive lui a conféré un corps fin, parfois même trop à son goût, et athlétique, bien qu’elle désirerait parfois un peu plus de muscles pour paraître moins inoffensive. Elle n’a pas non plus à pâlir de ses formes et courbes féminines, surtout de sa poitrine, qui est ronde et ferme sans être exagérément généreuse et opulente. Elle complexe quelque peu quand on la remarque et précise qu'elle est "bien proportionnée" et pas "grosse".

Elle porte souvent des tenues typiques d'une japonaise de son âge, sans la moindre excentricité ou presque.

Caractère :
À l’école comme dans la vie, Meiko a toujours été une fille assez persévérante et combative, toujours prête à s’exercer et s’entraîner pour arriver au bout de ses objectifs. Les efforts ne sont qu’un maigre sacrifice si cela permet d’arriver au bout de ses rêves. Elle est toujours prête à encourager les autres et à les soutenir durant les épreuves difficiles.
D’un naturel doux et gentil, elle est assez réservée, mais peut devenir très agressive si on critique son apparence ou ses croyances. Elle déteste tout particulièrement les remarques peu subtiles des garçons et peut devenir légèrement violente si l’un d’eux se montre trop insistant.

Assez sentimentale et émotive, elle a quelques difficultés à faire appel à la logique et à la raison, ce qui explique quelques légères difficultés en mathématiques et en sciences. Néanmoins, sa curiosité intellectuelle lui a permis d'apprendre plusieurs langues et de s'intéresser à plusieurs cultures. En situation de stress, elle agit avant de vraiment réfléchir.

Dotée d’un fort esprit de compétition, elle a tendance à bien trop prendre au sérieux ses rivalités, bien qu’elles restent plutôt saines. Elle a du mal à s’en détacher pour ne pas prendre les choses trop à cœur. Meiko désire être la meilleure et son nouveau statut d'héritière du pouvoir des Kami et de protectrice n'arrange rien.

Histoire :
Fille aînée sans histoire d’un homme d’affaires japonais et d’une mère franco-américaine exerçant en tant que psychologue, Meiko eut une vie assez aisée. Tout lui réussissait dans la vie : les notes à l'école étaient correctes, elle était une sportive accomplie et pratiquait assidûment l'athlétisme, elle avait des amies, etc. Son côté demi-gaijin, qui la rendait exotique, était un véritable atout pour la jeune fille et beaucoup étaient curieux à ce sujet, lui posant beaucoup de questions sur le monde, alors que la jeune fille n'avait en fait presque jamais connu rien d'autre que le Japon, ce qui ne pouvait que décevoir ses interlocuteurs.

Tout changea le jour de ses 16 ans, quand elle alla prier dans un temple shinto pour honorer les Kami et les remercier pour sa place dans le monde. Elle était en effet comblée par la vie et n'avait pas à se plaindre de sa place dans l'univers. Elle avait tout ce qu'elle désirait. Alors qu'elle allait quitter le temple, un Oni l'attaqua violemment. La jeune fille ne savait que faire et alla se réfugier dans le temple afin de prier, tout en espérant que les Kami allaient l'entendre. Ils firent plus que cela. Dès son berceau, la vie l'avait gâtée car, même si elle l'ignorait, dans son sang coulait l'essence des Kami, leur énergie spirituelle. Elle était la descendante directe de l'un d'eux.

Le monstre avait déchiré ses vêtements, mais il ne put aller plus loin. À sa grande surprise, et à celle de sa victime d'ailleurs, la frêle jeune fille parvint à tordre son poignet et à le repousser aisément. Elle se défendit avec une force et une vitesse surhumaines et encaissait certains de ses coups avec une certaine aisance. La jeune fille ne comprenait pas. Elle comprit encore moins quand un sabre apparut dans sa main au moment où elle fut touchée par un rayon lunaire. Néanmoins, elle saisit l'occasion et frappa, achevant le monstre.

Non loin, une femme à queue de renard se mit à rire malicieusement en frappant dans ses mains. La Kitsune et messagère d'Inari lui expliqua ce qu'elle était : par le passé, un Kami avait eu une fille avec une mortelle et celle-ci avait été chargée de protéger la terre de ses ancêtres. La piété de la jeune fille et son caractère avaient lancé un appel spirituel qui avait décidé les Kami à éveiller le potentiel latent dont elle avait hérité et à le développer pour le rendre plus puissant qu'il ne devrait l'être en raison de son sang trop dilué. Ainsi, chaque dieu lui offrit un présent.

À partir de ce moment, sa vie changea : elle avait une mission. Elle devait protéger les siens contre ses démons et les différents ennemis qui menaçaient son pays. Elle devint bien meilleure. En plus de ses capacités physiques, sa beauté se trouva légèrement améliorée, sans devenir divinement troublante. Malheureusement, sa poitrine, qui avait été jusqu'ici correcte, mais fine, se développa elle aussi, présent d'Ame ne Uzume, déesse facétieuse. Inari, divinité tout aussi joueuse, avait d'ailleurs trouvé cela très drôle. Meiko ne le trouvait pas.

Elle vit désormais sa vie avec ses nouvelles capacités et ses pouvoirs et prend son nouveau statut très au sérieux. Elle déteste par contre être comparée à un personnage de manga ou une super-héroïne de comics. Le premier qui ose lui parler de super-héros, de super-pouvoirs ou de shonen risque de passer un sale quart d'heure... Pour elle, c'est une mission sacrée et absolument pas quelque chose de cool.

Sa grande rivale à l'école est un garçon manqué aimant le sport et l'activité physique plus que tout. Bien gâtée par la nature et douée en athlétisme, elle ne supporte pas le soudain changement de Meiko, qui commence à lui faire de l'ombre maintenant qu'elle est plus forte et lotie qu'elle.

Pouvoirs et capacités :
De nombreux Kami lui ont offert un présent :

La beauté et la grâce d'Amaterasu : Amaterasu et Ame ne Uzume ont offert à Meiko le don de beauté et de grâce. En fait, la déesse du Soleil, Amaterasu, devait initialement être la seule, mais Uzume, déesse facétieuse, rappela à Amaterasu qu'elle lui devait une faveur (depuis que la déesse de la joie avait dansé afin de faire sortir Amaterasu de sa grotte alors que celle-ci boudait le monde) et apporta son grain de sel, offrant à la jeune fille « une poitrine attirant le regard », au détriment de la bénéficiaire de ce présent.

La puissance de Saruta-hiko : elle possède une forme de super-endurance et de super-force lui permettant d'encaisser des coups qui tueraient des mortels ou de soulever aisément une moto pour la lancer. Bien sûr, son invulnérabilité et sa force sont limitées. Sa force est limitée à 2 tonnes au maximum de ses capacités, mais elle ne pourrait pas lancer une telle masse, juste la soulever. De plus, en dehors du sol japonais, terre des Kami et de ses ancêtres, elle n'a tout simplement aucun pouvoir, sauf dans un royaume divin associé aux Kami.
De plus, si elle encaisse facilement les coups d'un être humain normal, elle n'encaisse ni les coups de feu, ni les coups de couteau, mais récupère plus rapidement de ce genre de blessures qu'un mortel (il faut en moyenne une journée pour ce type de blessures). Elle peut aussi régénérer un membre en plusieurs jours.

La vue d'Izanami : elle a la capacité de voir tout mort et mort-vivant. Elle peut reconnaître un vampire pour ce qu'il est vraiment car elle voit sa nature, sauf usage d'illusions magiques.

La vitesse de Raijin : étant une athlète parfaitement entraînée à la base, elle était déjà exceptionnelle, mais dotée de ses dons, elle est bien au-delà. Elle est désormais capable de courir à la vitesse maximale de 150 km/h et de faire des sauts de 5 mètres de hauteur et de 20 mètres de longueur. Elle est également une gymnaste agile et est dotée de réflexes assez vifs lui permettant d'esquiver ou de parer bien des coups.

Le silence de Tsuku-yomi : elle sait être aussi discrète et silencieuse que la nuit, et d'ailleurs, comme un camouflage, ses cheveux d'un naturel châtain peuvent devenir plus sombres, voire même noirs comme la nuit ou les plumes d'un corbeau, avec de légers reflets bleus.
De plus, elle invoquer de nulle part son katana, mais uniquement la nuit car il est en acier lunaire. De jour, elle doit aller le récupérer elle-même physiquement.

Tous ces pouvoirs peuvent s'améliorer si la jeune fille s'avère digne, tout comme elle peut en gagner de nouveaux. Par exemple, elle pourrait apprendre à voler. Pour le moment, elle doit faire ses preuves.

Communication avec les Kami : elle peut leur parler si elle accomplit le rituel adéquat.

Sinon, elle parle plusieurs langues et dispose d'une certaine culture, en plus d'un corps athlétique et d'une certaine maîtrise des techniques de combat.

Ajoutons qu'elle est aussi vulnérable à la magie : la magie modifie l'ordre du monde et elle n'est pas capable de la modifier ou même de la percevoir. Elle n'a aucune capacité en sorcellerie et il peut être aisé de la duper grâce à une illusion magique ou de la blesser grâce à des sorts.

Elle ne peut pas non plus employer ses pouvoirs contre des êtres vénérant sincèrement les Kami, même si ce sont des hommes malhonnêtes, sauf s'ils ont eux-même des capacités surhumaines (par exemple, face à un yakuza vénérant Inari, elle devra compter sur ce qu'elle sait faire en tant qu'humaine).

Expérience : l'activité physique intensive a déjà déchiré son hymen, donc elle n'est techniquement plus vierge depuis quelques années. Elle a la possibilité de récupérer la pureté de son corps en plongeant en tenue de miko dans un bassin sacré et en méditant, mais elle ne l'a jamais fait car elle ne se sent pas prête à totalement se consacrer aux Kami.

En dehors, elle a juste eu quelques expériences rapides, mais ça s'est rarement bien conclu et elle n'y a jamais pris de plaisir, au point de considérer que ça n'avait aucun intérêt.

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