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Les contrées du Chaos / Jeu Sim-data pour Youkaï [dieu des jeux vidéos, pour son malheur]
« le: vendredi 03 juin 2011, 22:39:24 »
Je buvais un verre de sang, c'est sympa le matin de se faire une petite cure de globule rouge, en sachant que le repas de ce midi serait un terranide-tigre assaisonné aux fines herbes, le tout mijoté dans une sauce au pomme, le pauvre avait commit la grosse erreur de vouloir chiper de la nourriture dans ma ville et comme tous on peur donner son prochain à ma personne est une chose vitale pour survivre.
Je disais donc, que je buvais tranquillement mon verre quand un misérable cafard de mon domaine se permit d'entrer, par chance voir son corps trembler, ses yeux dilatés par la peur de ne plus sortir de ce manoir, sentir toute la peur imbiber tout le corps de ce petit être qui n'étiat pour moi qu'une source de nourriture et rien d'autre, eut comme effet de lui pardonner, pour l'instant, son manque de politesse en ne frappant pas à la porte, je sais que mes sujets son faibles, mais ce n'est pas parce que je détiens toute leurs ressources, l'eau de mon domaine, qu'ils doivent se permettre des écarts de ce genre.
J'étaie sur mon trône, mes jambes pendant sur un des accoudoir, je n'aime pas m'assoir comme le font ses idiots de seigneurs. C’était plus confortable pour mes fesses, bon je ne vais m'appesantir plus sur ma personne et donc continuons mon histoire.
- C'est pour quoi, cloporte.
- Mon fils et moi nous avons trouvé ceci dans un puits que vous avez si judicieusement condamné, nous ne savons pas ce que c'est, aussi nous vous l'apportons pour que vous puissiez l'examiner.
- Apporte.
Ma main gauche se tendis pour recevoir ce drôle d'artefact, je le regarde et me redresse, ce cafard étant agenouillé devant moi, comme pour le chasser, je tend ma jambe qui vint le frapper au nez, le faisant tomber en arrière, se tenant son pif qui pissait le sang, sans la moindre pitié, je pose mon pied sur son dos, le talon aiguille s'enfonçant dans son dos, dire que forcer un peu suffirait à lui briser la colonne vertébrale et lui paralyser les deux jambes, mais cela ne serait pas marrant.
- Cette camelote ne vaut rien, je peux passer l'éponge pour cette fois à une seule condition, que tu remplisses ta fille avec ce que tu as entre tes jambe, sache que je saurais si tu l'as fait ou pas et que dans le dernier cas je me chargerais personnellement de cette dernière pour faire le boulot que je te demande. Ne suis-je pas généreuse de lui laissez une chance d'avoir la vie sauve et toi aussi par la même occasion.
Le pauvre homme devint pâle, enfin non il était trop blanc depuis sa venu ici pour l'être davantage, même un fantôme se demanderais s'il n'est pas mort depuis un moment.
- Il sera fait selon vos désir.
Il quitta enfin la pièce, je me mis à chercher comment marchais ce truc, puis d'un coup une lumière fit son apparition et le son arriva suivit d'images qui se suivaient, c'est quoi ce titre incompréhensible, bah tant pis, je verrais bien ce que c'est.
[trois heures plus tard]
- Mais revient ici salope !!!
Trois heures que je voulais choper la première fille de ce jeux, j'avais comprit que l'on pouvait la baiser et la violer, mais à chaque fois cette conne se barre en courant et l'écran m'affiche "game over" l'obligeant à recommencer.
Je disais donc, que je buvais tranquillement mon verre quand un misérable cafard de mon domaine se permit d'entrer, par chance voir son corps trembler, ses yeux dilatés par la peur de ne plus sortir de ce manoir, sentir toute la peur imbiber tout le corps de ce petit être qui n'étiat pour moi qu'une source de nourriture et rien d'autre, eut comme effet de lui pardonner, pour l'instant, son manque de politesse en ne frappant pas à la porte, je sais que mes sujets son faibles, mais ce n'est pas parce que je détiens toute leurs ressources, l'eau de mon domaine, qu'ils doivent se permettre des écarts de ce genre.
J'étaie sur mon trône, mes jambes pendant sur un des accoudoir, je n'aime pas m'assoir comme le font ses idiots de seigneurs. C’était plus confortable pour mes fesses, bon je ne vais m'appesantir plus sur ma personne et donc continuons mon histoire.
- C'est pour quoi, cloporte.
- Mon fils et moi nous avons trouvé ceci dans un puits que vous avez si judicieusement condamné, nous ne savons pas ce que c'est, aussi nous vous l'apportons pour que vous puissiez l'examiner.
- Apporte.
Ma main gauche se tendis pour recevoir ce drôle d'artefact, je le regarde et me redresse, ce cafard étant agenouillé devant moi, comme pour le chasser, je tend ma jambe qui vint le frapper au nez, le faisant tomber en arrière, se tenant son pif qui pissait le sang, sans la moindre pitié, je pose mon pied sur son dos, le talon aiguille s'enfonçant dans son dos, dire que forcer un peu suffirait à lui briser la colonne vertébrale et lui paralyser les deux jambes, mais cela ne serait pas marrant.
- Cette camelote ne vaut rien, je peux passer l'éponge pour cette fois à une seule condition, que tu remplisses ta fille avec ce que tu as entre tes jambe, sache que je saurais si tu l'as fait ou pas et que dans le dernier cas je me chargerais personnellement de cette dernière pour faire le boulot que je te demande. Ne suis-je pas généreuse de lui laissez une chance d'avoir la vie sauve et toi aussi par la même occasion.
Le pauvre homme devint pâle, enfin non il était trop blanc depuis sa venu ici pour l'être davantage, même un fantôme se demanderais s'il n'est pas mort depuis un moment.
- Il sera fait selon vos désir.
Il quitta enfin la pièce, je me mis à chercher comment marchais ce truc, puis d'un coup une lumière fit son apparition et le son arriva suivit d'images qui se suivaient, c'est quoi ce titre incompréhensible, bah tant pis, je verrais bien ce que c'est.
[trois heures plus tard]
- Mais revient ici salope !!!
Trois heures que je voulais choper la première fille de ce jeux, j'avais comprit que l'on pouvait la baiser et la violer, mais à chaque fois cette conne se barre en courant et l'écran m'affiche "game over" l'obligeant à recommencer.