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Territoire de Tekhos / Rencontre du troisième Spouic [Nora]

« le: vendredi 20 juillet 2012, 00:38:52 »

Moi qui avais beaucoup voyagé auparavant, jamais je n'avais soupçonné l'existence d'Edoras. En même temps, j'ai jamais aimé me balader aux alentours de Tekhos. C'était drôlement sympa, le système tekhan avec un style rétro-japonais. Les gens avaient tous l'air gentils et aimables, on nous avait parlé d'une guerre civile qui avait étouffé dans l’œuf quelques années auparavant, mais la cité ne semblait pas souffrir de quelque séquelle. En fait, Larme se plaisait bien ici, elle avait même mis une tenue qu'elle avait achetée dans une boutique locale, et s'était promenée en ville toute la journée. On avait mangé dans un restaurant à ramen, sans que personne ne me jette de regard curieux. La dame qui tenait l'établissement avait l'air de me trouver mignon.~Spouic!

Le truc, c'est qu'on était pas venus en touristes. Des nomades terranides cherchaient à se sédentariser, mais leurs habitations de fortunes avaient été détruites par des chasseurs d'esclaves. Après avoir pourfendu les assaillants, la belle s'était sentie obligée de les aider, et s'était rendue compte qu'ils auraient besoin d'argent pour fonder leur petite communauté. Et l'idéal, c'était de voler aux riches pour donner aux pauvres.~Spouic!
Edoras était la ville la plus proche, et qui dit famille royale dit bijoux royaux qui valent un max. Et on s'était renseignés: la princesse venait à peine d'atteindre sa majorité, et ça faisait cinq ans que ses parents avaient été tués lors d'une rébellion masculine. Déjà, j'aime pas les mômes, et si une petite noble avait vécu au pouvoir sans tuteurs, elle ne se débarrasserait pas facilement de ses richesses, encore moins d'un héritage. C'est tout du moins ce que j'avais supposé.~Spouic!

Et donc, le soir tombé, Larme avait repris ses vêtements de travail, et j'étais redevenu un gentil piercing tout sage. Entre un petit saphir accroché au nombril et une bestiole bleue qui fait du bruit quand elle avance, niveau discrétion, y a pas photo. Déjà, on était plus discrets: on favorisait les ombres, et on avançait sur les toits à pas feutrés, plutôt que de déambuler dans la rue. Autant se promener avec un manteau noir où il est écrit "je suis louche" en jaune fluo dans le dos.~Spouic!
Le palais était en vue. Un bel édifice, qui avait dû coûter bien cher. Je fis d'ailleurs la remarque à Larme, comme quoi ils n'étaient sûrement pas à deux-trois bijoux près. Elle se faufilait dans les ténèbres de la nuit, et progressait furtivement vers la demeure des Kaguya.~Spouic!

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Les contrées du Chaos / Un village très pittoresque [Mistress Youkaï]

« le: vendredi 03 juin 2011, 20:29:05 »

Le vent soufflait drôlement fort, ce jour-là. Larme avait mis sa bonne vieille tenue de travail, mais l'air frais la faisait frissonner de temps à autres. On était perché en haut d'une grande colline, et plus loin en contrebas, on voyait notre destination.
En fait c'était assez couillon cette histoire, elle est moi on était à Nexus, dans un petit bistrot, et on discutait de tout et de rien autour d'une tablée et d'un pichet de vin. C'est là qu'une folle d'environ 45 ans s'est pointée et s'est mise à déblatérer des inepties sur sa cousine, Larme et moi on comprenait pas trop, sur le coup, on se lançait même quelques regards d'incompréhension. Elle avait l'air de suivre un peu plus que moi de toute façon, moi j'en avais vite eu marre, de l'écouter baragouiner. C'est là qu'elle s'est présentée comme Hermine Languedame, ce qui ne nous disait pas grand chose, et qu'elle a dit ceci:~Spouic!

"J'ai entendu dire que vous étiez femme à tout faire, mademoiselle Lame, et j'ai besoin de vous. April est partie livrer ces herbes là-bas il y a une semaine, et je n'ai pas eu de nouvelles depuis!"

Voilà, April qu'elle s'appelait, sa cousine. Elle regardait Larme d'un air grave, comme si elle attendait une réaction. Même moi, je m'étais rendu compte que les cheveux de la Honest s'étaient assombris au moment où elle avait écorché son nom. Et pourtant, j'étais très occupé à finir sa côtelette!~Spouic!

"On m'a rapporté nombre de rumeurs assez macabres sur ce patelin, et je suis très inquiète au sujet de ma chère cousine. Je souhaiterais que vous alliez voir sur les lieux, si tout va bien. Le travail parait simplet, mais avec mon inquiétude et les possibles risques... Vous serez généreusement récompensée!"

Un silence s'abattait, seulement dérangé par mes bruits de mâchonnement. J'avais beau m'habituer à cette forme, je trouvais ça énervant de devoir manger de la viande sans mes crocs. L'atmosphère était pesante pour la dame, elle semblait assez troublée et impatiente pendant que Larme réfléchissait. Moi, je savais déjà qu'elle accepterait, la cliente n'avait pas l'air bien méchante, le contrat était non-violent, et pour finir, elle commençait à manquer de gouache au repère, un petit travail facile et bien payé serait le bienvenu. Elle répondait quand même d'un ton mauvais:~Spouic!

"Je prendrai le job sous contrat écrit et signé de nos deux noms. Et je m'appelle Larme, pas Lame, cessez de déformer mon nom."

Ensuite? Il y a eu les formalités habituelles, on a demandé du papier et un stylo au tenancier, on s'est mis d'accord sur les clauses du contrat et sur le prix, on a signé devant le tavernier, et on lui a demandé de conserver le contrat, rendez-vous même heure même endroit dans quatre jours.
Et donc, on atteignait le hameau en question, il était pas bien grand, quelques maisons délabrées, et un manoir imposant en haut d'une colline, pour les nobles qui aiment se la jouer. Il n'y avait pas grand monde dans la rue, il n'y avait même pas grand monde tout court. Même pas un gosse pour brailler au loin, il n'y avait que des gens tout pâle qui se déplaçaient très lentement, on se serait cru dans un film de zombie des années 90...
On a voulut commencer en douceur, il y avait un marchand de légumes, avec son étal, devant sa petite épicerie. La chevelure d'un gris clair battant faiblement sous le vent que les habitations atténuaient, et avec sa cape de cuir qui lui donnait du style, Larme alla questionner le gars.~Spouic!

"Excusez-moi, je cherche une dénommée April, vous ne l'auriez pas vue? On m'a dit qu'elle était passée dans le coin il y a peu, je suis à sa recherche."

Le type haussa les épaules avec une mine déconfite. Il me faisait peur moi, avec son teint pâle et ses yeux tout cernés, il avait même presque la bave aux lèvres! J'ai même pas pu m'empêcher de réagir:~Spouic!

"Oh la la, on dirait un zombie!~Spouic!"

Le type sursauta, et courut s'enfermer dans son commerce en hurlant comme s'il avait la mort aux trousses. Je veux bien qu'un piercing qui parle, ce soit surprenant, mais on était sur Terra! Et puis bon, de la à flipper comme ça... On entendait même des bruits à l'intérieur, comme s'il cherchait à se barricader.~Spouic!

"Mais il a un grain lui?~Spouic!"

Ma vieille amie lâcha un rire discret, et rabattit sa cape par-dessus son épaule pour se couvrir. Nous continuâmes à arpenter la grande rue pour chercher des infos.~Spouic!

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Prélude / L'être humain est-il humain... s'il n'est pas honnête? - { Validée }

« le: jeudi 28 avril 2011, 03:45:40 »

Nom/Prénom/Surnom :
 Larme est mon prénom. Je n'ai pas de nom, je n'ai pas de famille. Par déformation professionnelle, les gens de mon milieu se sont mis à m'appeler Lame. Mais je n'aime pas ce nom. On m'attribue aussi le surnom de "femme-fourreau", mais c'est valable pour mes semblables également.

Age :
 Une belle vingtaine.

Sexe :
 Je suis une femme!

Race :
 Je suis le premier spécimen de Honest au monde. Une créature, en somme. Enfin, je ne sais pas, suis-je toujours humaine?

Métier :
 Femme à tout faire:Voleuse, mercenaire, elle va de simple livreuse à tueuse à gage, en passant par chasseuse, détective privée, et pourquoi pas escort-girl ?

Orientation sexuelle:
 Je ne me suis pas vraiment posé la question, en fait...

Description physique :
 Bien, commençons par ce qui fait d'un Honest un Honest:Mes cheveux. Ils changent selon mes intentions, blancs lorsqu’elles sont bonnes, ils deviennent gris dans la neutralité, et noirs quand je vous veux du mal. Mais les particularités physiques ne s'arrêtent pas là malheureusement, mes yeux sont hétérochromes, mon œil gauche est gris foncé, alors que l'autre vire au bleu ciel. Et vous voyez cette petite croix sur ma pommette droite ? Cette marque d'un violet vif, ce n'est pas de l'encre ou de la peinture, ça fait partie des attributions des gens comme moi, ce ne sont que les pigments de ma peau. On nous reconnaît assez vite, en général.
J'ai été créée pour me battre, et rien d'autre. Ma poitrine n'est pas opulente, je ne me maquille pas, mais mon corps reste robuste et gracieux à la fois. Je mesure un mètre soixante-quinze, je pèse... Pour ça, tu peux toujours courir !
Quand j'ai du boulot, je porte une petite veste de cuir noire à manches longues, avec des gantelets et une cape de cuir qui est attachée à l'épaule droite et à l'avant bras droit de ma veste. Mon gantelet droit a été modifié par un artisan de Terra, les doigts sont pointus, et le bout se propulse au bout de chaînes qui se rétractent sur commande. Ça me sert de lance-grappin, et accessoirement d'arme. Des bottes, dont une monte jusqu'à mi-cuisse, et l'autre n'est que lanières à partir de mi-tibia, et un sous-vêtement à base de sangles de cuir. Pourquoi toujours du cuir ? Parce que ça sert, pour toutes mes jobs. Et je n'ai pas de pantalon non, j'ai besoin d'être toujours rapide, pas la peine de m'alourdir. Et en plus, le cuir et les vêtements de sport, ça fait souvent fritch-froutch quand on marche.
Le reste du temps, tenue décontractée de rigueur, souvent jean taille basse ou jupe plissée et courte, avec débardeur, surmonté soit d'un sweat-shirt à capuche, soit d'un veston de cuir à manches longues.
Je n'ai pas de tatouages, ni de bij... Ah si, j'ai un piercing au nombril, un saphir en forme de goutte d'eau. En réalité, c'est Spouic, mon... Enfin ma... mon compagnon de route, si je puis dire.

Caractère :
Ce qu'il faut savoir, c'est que je n'attends plus rien du genre humain. Ce sont des menteurs, des avares belliqueux, et ils sont sans espoir. Cependant, j'admets qu'il y a toujours des exceptions, même s'il n'y en aura jamais assez pour que ce monde change. Je n'ai jamais été très sociable par le passé, mais j'espère bien que ça va changer. J'aime la peinture et les bonbons au caramel, je base mon style de dessin sur Luis Royo, et je souhaite désespérément peindre la pureté sur un visage. Je veux dire, l'honnêteté et l'innocence, si cela existe encore. Je n'ai pas beaucoup d'amis (actuellement, je n'ai que Spouic au monde!), mais je pense que je pourrais m'attacher vite. Ne me prenez pas pour une personne antipathique, j'aime rire quand même, et j'aime partager mes passions (mais pas mes bonbons). Comme je l'ai dit plus haut, j'ai été créée pour me battre. Mais je n'aime pas la raison pour laquelle les hommes se battent, c'est pourquoi avant d'accepter un contrat, je me fie au caractère et aux intentions des personnes qui y sont liées, employeur, complices, et même cible s'il y en a une. Pas question d'user de mon pouvoir pour servir une cause que je ne juge pas noble, je n'ai pas erré pendant sept ans pour rien.

Histoire :
Je suis née dans une cuve. Je n'ai pas de parents, j'ai été créée « par synthèse » selon le Professeur. Je parle du Professeur Songe, le plus brillant généticien que la Terre n'ait jamais porté. Les autres Honest et moi, on fait partie du programme Human Weapon : L'armée américaine à financé les expériences du prof sur le moyen de donner la vie, un peu comme Franken Stein, sauf que la demande était que les créations devaient être capable d'entrer en symbiose avec une arme, pour pouvoir transmuter leurs propres membres en RPG-7, ce genre de choses. Songe était assez doué en génétique pour créer ces mutations. C'est ainsi qu'il créa les Honest.
Je suis sa toute première création, HW n°1 qu'il m'appelait. Les autres et moi, il nous a élevés en batteries comme de la volaille, il nous filait du matos, et des instructions via des haut-parleurs, pendant qu'il nous observait à travers des miroirs sans teint, épiant nos moindres faits et gestes. On était surveillés constamment, même aux chiottes. On était juste le fruit impersonnel de son expérience, aucune animosité, rien. Il nous filait des activités artistiques aussi, pour voir si notre cerveau n'avait aucun soucis, et si notre créativité était normale. C'est comme ça que j'ai découvert la peinture, et j'y ai pris goût. C'est certainement la seule chose pour laquelle je suis redevable à ce type. Même ma naissance, elle lui plaisait plus qu'à moi.
Le soucis, c'est qu'à dix ans, il a commencé à nous élever pour les fins militaires, meurtres, espionnage, contre-espionnage. C'est là qu'il s'est rendu compte qu'il n'y avait pas qu'au niveau du physique qu'il avait merdé. Notre absorption des armes n'avait pas vraiment l'effet désiré. Il nous a quand même baladés en missions, sans quoi les finances de son projet seraient jetées par les fenêtres. L'armée et lui étaient satisfaits du résultat, et les autres Honest aussi, mais pas moi.
J'avais en effet seize ans à ce moment-là, et vous savez ce que c'est, le changement, l'envie de s'opposer... J'ai donc brisé le miroir avec quelques balles, l’avantage étant que nous, Honest, ne sommes jamais désarmés, et je l'ai chopé par le col pour lui déballer tout ce que j'avais sur le cœur : Ces conflits, ces guerres dont on était mêlés, étaient causées par les seuls égoïsmes et désirs de types qui envoyaient des gens crever bêtement pour eux, au nom d'idées plus ridicules les unes que les autres. Pas question que j'y prenne part, alors je me suis tirée. J'aurais pu le tuer, pour qu'il arrête ses conneries, mais je ne l'ai pas fait. J'avais le flingue sur sa tempe, à ce gars-là, mais j'ai pas tiré. Parce qu'il avait peur, parce qu'il ne comprenait pas, il ne savait pas ce qu'on endurait, il ne pensait même pas qu'on y avait réfléchi. Je me suis juste barrée de son labo souterrain top secret machin chose, et une grande partie de mes « frères » m'a suivie. Pas tous je crois, enfin je ne sais pas, dès qu'on est sortis, on s'est tous dispersés. Moi, j'ai traversé quelques villes, quelques plaines, dans ma super tenue blanche de cobaye, et tout d'un coup, en dérapant d'un à-pic, je me suis retrouvée la gueule dans le sable.
Quand je me suis réveillée, la nui était tombée. C'est Spouic qui m'a réveillée en fait, il passait par là, et il m'a vue inconsciente. Il n'a jamais soif, ce truc... Je ne sais pas comment ça c'est produit, mais j'étais en plein milieu d'un désert. Mon nouveau compagnon m'a conduite jusqu'à un petit village construit autour d'une oasis, et là, j'ai pu me désaltérer. J'y ai appris, de Spouic et des autochtones, que je me trouvais sur Terra, et selon Spouic, c'était une autre dimension. Ça ressemblait pas mal à la Terre, mis à part les habitants.
C'est là qu'on a commencé à voyager, que j'ai pris le nom de Larme, et que je suis devenue femme à tout faire. Moi, j'allais surtout dans la ville d'Ashnard, jouer les justicières nocturnes en guettant les crimes impunis, perchée sur les toits de la cité. J'ai même trouvé un endroit où crécher, une petite grotte au bas d'une falaise, dont le chemin qui y mène est dissimulé entre les rochers. C'est en bord de mer, à marée haute, l'entrée est a demi-submergée, et à marée basse, je ne peux entrer sans mon lance-grappin. A l'intérieur, il y a un promontoire qui est juste au-dessus du niveau de la mer, et c'est là où je vis. J'y ai installé quelques toiles que j'ai peintes, et du mobilier. Mais mon histoire n'a pas fini de vous surprendre, figurez vous qu'en explorant ma planque, j'ai traversé le mur au bout d'un renfoncement, et c'est là que je me suis retrouvée... Derrière le gymnase du lycée de Seikusu ! Spouic m'a expliqué que c'était sûrement la façon dont je me suis retrouvée en plein désert, le jour de notre rencontre. Il avait entendu parler de failles qui permettent de passer d'une dimension à l'autre. J'ai gardé celle-ci en mémoire, vous vous rendez compte, j'ai un moyen pour retourner dans mon monde d'origine à partir de chez moi !


Situation de départ :
Elle est aussi vierge que Spouic est bleu !

Autres :
- Outre nos particularités physiques, nous les Honest possédons un organisme singulier : toute arme qui passe au fond de notre palais se décompose en cellules qui se font absorber par nos propres cellules, rendant les armes avalées invocables et révocables à l'infini, et les munitions infinies aussi. Elles apparaissent dans un nuage de fumée violacée, c'est amusant. Je possède donc une épée longue à base dentelée (visible sur l'avatar), un lance, un Glock 17L Jericho, de calibre 9mm, et enfin, un ninjatô, pour les missions d'assassinat. Et tout ça, c'est en moi. Vous comprenez pourquoi on dit que je suis une "femme fourreau" ?

- Moi, c'est Spouic, Larme m'a appelé comme ça parce que c'est le bruit que je fais, à chaque bond. En fait mon vrai nom, c'est Trépas, mais j'ai rien dit... Pour elle, et pour tout le monde d'ailleurs, je suis une petite créature molle en forme de goutte d'eau, qui parle et qui lui arrive à mi-tibia, et qui a le pouvoir de se changer en objet de volume inférieur ou équivalent à ma forme de "goutte". Bon, le truc c'est qu'en fait, je suis un dragon des eaux, l'un des plus puissants qu'on n'ait jamais vu, et sous ma véritable forme, je peux voler, manipuler l'eau et la glace, me métamorphoser, et même voyager entre les mondes. Mais avouez que si je disais ça à Larme, elle perdrait confiance en moi d'un coup, surtout qu'on l'a déjà engagée avec d'autres mercenaire pour aller buter du dragon, et que bon, j'étais pas forcément très sympa avant de la connaître. Enfin bref, je suis le meilleur ami de Larme, et sous ma forme de piercing, je lui file un coup de pouce quand elle bosse. C'est moi qui vous narrerai ses aventures, pendant ses RP!~Spouic !

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