Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Prudence

Pages: [1]
1
Les alentours de la ville / Si j'avais su .. [ Lyli ]
« le: mercredi 27 juillet 2011, 14:14:59 »
L'été était aveuglant. Pour la jeune femme, il n'y avait pas pire que ce soleil qui rendait ardent et irrespirable l'air de sa chambre. Depuis qu'elle vivait chez sa tante, elle était confinée au possible ... Pour sortir, elle devait presque s'enfuir. Et surtout, elle devait mentir. Cet après-midi là, elle quitta sa chambre surchauffée pour descendre dans le salon. Vêtue d'un kimono pourpre, sa tante regardait le jardin. Elle s'en occupait avec une ferveur impressionnante, et y passait des heures, été comme hiver. Cette fois, la chaleur harassante mettait à mail presque toutes les plantations. Prudence imaginait déjà sa chère tante élaborer des plans pour sauver son jardin. Elle s'approcha d'elle, sur la pointe des pieds.

- Tante Li ?

Cette dernière se retourna, et dévisagea Prudence. L'adolescente était vêtue d'une robe d'été rouge et voyante, aux fines bretelles et au tissu léger. C'était une extravagance indigne, pour elle qui trouvait même les uniformes trop vulgaires.

- Que veux-tu ?

Face à sa tante, Prudence était obligée de parler chinois. Une belle connerie, pour elle.

- Je dois aller à la bibliothèque. Je t'en avais parlé hier.


Un mensonge de plus. Ne prêtant pas attention à sa nièce, Li répondit simplement.

- Va. Ne rentre pas trop tard, ne traine pas en chemin. Un orage va arriver. Il ne sera pas long, mais violent.

Il ne fallait pas lui dire deux fois ! D'un bond, Prudence sortit de chez elle, et marcha vers la plage. Il n'y avait pas lieu de s'inquiéter. Pour Prudence, il n'y aurait pas d'orage. Le pessimisme de sa tante ne chasserait pas ce ciel bleu. Alors, vite, elle s'éloigna de chez elle, son sac d'écolière sur le dos, contenant serviette et crème solaire. La plage n'était pas loin de chez elle ; une chance et un plaisir. Elle mit trois minutes à la rejoindre, et, une fois sur le sable, elle retira prestement ses vêtements, et plongea dans l'eau, une fois après avoir posé ses affaires dans un recoin, près des rochers environnants. L'eau fraiche la raviva, et elle ferma les yeux, faisant la planche.

Cela dura peu de temps. Mais quand elle ouvrit les yeux à nouveau, elle faillit hurler. Le beau ciel bleu avait laissé place à un orage. Dans son affolement, elle chercha à toucher le fond de l'eau, mais s'enfonça dans le liquide salé. Elle chercha vivement de l'aide, agitant les bras et cherchant de l'air, mais la plage était quasi déserte. Pour elle qui avait une peur bleue des orages ...  En sentant un de ses jambes se raidir, elle poussa un cri, maintenant sa tête hors de l'eau du mieux qu'elle le pouvait. La peur raidissait ses membres ... Elle continua à s'agiter dans l'eau, espérant vainement une aide. Un éclair brisa le ciel, lui arrachant un cri de peur.

2
Le parc et son sous-bois / Loup, y es-tu ? [ Hiro ]
« le: dimanche 10 juillet 2011, 14:43:09 »



- Ce jeu n'amuse que vous !

Dans cri révolté et emplit de tout ce qu'il pouvait y avoir de rancune, Prudence brisa le silence. Et aucune réponse ne lui parvint. Elle poussa un immense soupir, et partit chercher une cachette. Il faisait sombre, le parc n'étant éclairé que par quelques réverbères qui se plaisaient à être inconstants. Elle passa d'ailleurs prés de l'un d'eux, qui clignotait de manière malsaine. Tout un scénario digne des plus grands films d'horreur vint cogner dans son esprit, l'obligeant à craindre davantage le moindre bruit qu'elle entendrait. Elle resserra sur ses épaules une cape courte. Elle portait encore son uniforme d'écolière ... Et un vent frisquet vint lui rappeler qu'elle aurait peut-être dû se changer, avant de ... jouer.

Depuis quelques jours, elle et ses "nouveaux" amis avaient le projet d'organiser une partie de cache-cache dans le parc. Ils étaient une quinzaine, et trois personnes cherchaient. Mais, dans le noir, et dans cette atmosphère, la jeune fille savait que cela pourrait vite tourner au drame ... Et si on la voyait sortir et abandonner la partie, elle serait la risée de tous. Cette idée la fit tressaillir, tandis qu'elle tentait de trouver une cachette digne de ce nom.
Elle scruta sa montre : 21h58. Elle avait encore deux minutes pour se dissimuler dans ce vaste paysage inquiétant. Une idée lui parvint rapidement, tandis qu'elle approchait de l'orée du sous-bois.

- Chic !

Un petit cri de victoire venait de s'échapper d'entre ses lèvres. Elle crut voir quelqu'un bouger, au loin, et se dissimuler derrière un muret. Au niveau de la frontière qui séparait le parc bien tenu du sous-bois, on pouvait trouver un muret de pierre, qui était partiellement détruit. Elle se posta derrière le muret, retenant sa respiration. Face à elle, une armée d'arbres inquiétants. Derrière elle, des dangers potentiels.

Il valait mieux qu'elle se tienne tranquille. Elle serra contre elle sa cape, et fixa le ciel étoilé. Demi-lune ... Le paysage était vaguement éclairé. Un réverbère clignota, la faisant sursauter. Elle fouilla des yeux les alentours, cherchant une autre cachette. Elle discerna mieux les ruines, ses yeux étant habitués à la pénombre, et glissa doucement vers les ruines du muret.

3
Le coin du chalant / Une lycéenne tout fraiche ...
« le: jeudi 23 juin 2011, 15:07:18 »

Je me présente, je me nomme Prudence. Je suis d"origine chinoise, et je viens étudier au Japon.

Je rechercherais un personnage masculin comme féminin.

Si le Rp est hentai, sachez que cela sera sa première fois.

Je ne veux pas quelque chose de mielleux, mais de la passion, incontrôlée et violente ( pas du gang-bang, SM ). Viol ou relation consentante, au choix.


Suite à cela, plusieurs Rps s'ouvre à nous (:

Une rencontre fortuite dans le lycée / les rues.

Un cambrioleur qui s'introduit dans la maison de sa tante, cette dernière étant partie pour la nuit, laissant la jeune fille seule à la maison ...

Tandis qu'elle traîne dans les rues, jouant au cache-cache en pleine nuit dans le parc, l'un de vous tombe sur elle ... Justement, vous vous ennuyiez.

Bal du lycée ... Vous croisez une jeune fille qui semble s'ennuyer. Un peu de divertissement, voyons !

... Je reste ouverte et imaginative pour d'autres Rps (;

4

Prudence aurait dû s'en douter.
Aprés un week-end où elle s'était gavée de films chinois tragiques et d'histoires surnaturelle avec sa seule amie de la ville, elle aurait dû retenir au moins une leçon ; celle que les esprits ne sont pas tous amicaux et bien pensants. Mais, sous l'adrénaline, frappée par l'émotion procurée par ces expériences, elle avait imprimée un exemplaire d'un sortilége issu d'un forum ésotérique. Conservé précieusement dans son sac en bandoulière en cuir, elle ne l'avait pas quittée, imaginant tout un stratagéme ; Lundi, elle n'irait pas en cours de mathématiques - elle trouverait une excuse - et se réfugierait dans les toilettes pour tester ce fameux sortilége. Son amie n'étant pas dans le même lycée qu'elle, elle devrait faire sans.
Tant pis. Elle se débrouillerait bien seule.

Aprés une longue heure d'anglais, elle s'éclipsa, armée d'une bouteille de parfum d'ambiance, chapardé à sa tante. " Sieste sous les figuiers " ... Cette odeur la mettait en confiance. Elle vida le flacon dans les toilettes, refermant la porte avec précaution, s'y réfugiant. Le lieu était grand ; sur un mur se trouvait un miroir, face à une armée de lavabos. On se serait cru dans une boîte de nuit... Elle passa un temps à se regarder dans le miroir, ôta son uniforme pour enfiler une longue robe noire, et commença à tout préparer ; le cercle de protection, la terre, l'eau, l'encens, les cendres.
Elle attrapa le papier imprimé, il sentait encore l'encre, et lut précieusement chaque mot. Elle s'installa à genoux, et invoqua doucement les nombreux esprits de l'aider. Cela se passa sans problémes, jusqu'à ce que l'odeur de l'encens l'étourdisse. Tremblante, elle s'écroula, brisant le cercle et répandant les cendres partout sur le sol.
Le silence régna. Elle sentait son coeur battre dans sa poitrine. " Que va t'il se passer ? " songea t'elle, apeurée.

Elle voulut se relever, et entendit une porte claquer derrière elle. Elle fit face au miroir, doucement, les yeux écarquillés, et regarda son reflet. Elle sursauta, puis se calma. " Si tu commences à craindre ton reflet, ma vieille .. " pensa t'elle.
Puis ses mains se crispérent. Derrière elle se dessinait une ombre, pareille à un lavis d'encre de chine qui avait mal tourné. Elle put presque y lire un sourire. Elle resongea aux avertissements " Dans le cercle, vous êtes en sécurité tandis que vous invoquez. Si vous le brisez sans congédier les "invités", cela vous portera préjudice ... "
Un cri aigu surgit de sa bouche, tandis que, se précipitant vers la porte, elle glissa sur l'eau renversée.

5
Le parc et son sous-bois / Pluie battante [ Lelouch ]
« le: dimanche 16 mai 2010, 00:28:45 »
S'il y avait bien une chose qu'elle ne comprenait pas sur cette fichue terre, c'était le climat. Il y a une demi-heure, elle crevait de chaud dans le parc, au point de boire énormément d'eau pour se rassasier un maximum.
Et là, c'était une pluie - certes, chaude, mais peu commode - qui était venue faire son nid au milieu des nuages, chassant une chaleur arrassante pour la changer en temps humide et tiède. Elle avait donc décidée de s'abriter sous un kiosque, ce genre d'endroits où vous pouvez vous asseoir, à l'abri, non sans frotter ses bras qui commençaient à devenir frais. Elle faisait trop confiance à la météo. C'était affreux, cette naïveté. Elle était sortie, tranquillement, avec ses cheveux gentiments coiffés et sa robe chinoise dorée et blanche, chantonnant presque entre les fleurs et les feuilles, comme dans une comédie musicale de série B.
La pluie, elle, s'était invitée dans ce tableau idyllique.

Prudence s'accouda au kiosque, et regarda les fleurs se courber sous le poids de l'eau. La pluie devenait forte, et les minutes s'écoulaient.


" Tatie va me gronder, songea t'elle. Si je rentre trempée, et si je rentre en retard. Elle me grondera de toute façon. "

Elle s'installa sur un siège, sous le kiosque, et continua de regarder le paysage qui subissait, immobile, la violence de la météo japonaise. Cela lui rappelait un peu la Chine, quand elle sortait jouer avec ses cousines, et que la pluie les attrapaient par surprise, les faisant rire, puis pleurer. Non pas qu'elle soit hydrophobe, mais elle n'appréciait que moyennement l'eau, sauf celle des rotenburo, et celle de la douche.
Elle fut consternée en remarquant que la pluie redoublait de violence. Et prit peur en pensant entendre, au lointain, un orage proche.

6
Les alentours de la ville / Arrivée au Japon [ Don ]
« le: dimanche 16 mai 2010, 00:18:18 »

"Il faut croire que se perdre devient vite une habitude"

La jeune fille, sa valise à la main, passa sa main sur son front. Le printemps, guilleret, arrivait, et les rayons de soleil de ce jour ci lui faisait un mal fou à la tête. Elle sentait son corps chauffer avec une certaine crainte que cela ne soit le début d'une insolation. Ses yeux déviérent sur le panneau d'affichage des arrivées et départs.
Il n'était pas bien tard. Et sa tante n'était pas là. A en croire son instinct, cela signifiait qu'il fallait qu'elle se débrouille seule pour trouver sa route. Elle maudit, en chinois, sa famille, et fit rouler sa valise jusqu'à la sortie de l'aéroport.
Aucun vent.
Aucune bise.
Elle détestait ce genre climats secs. De plus, sa robe traditionnelle chinois lui tenait assez chaud ( http://www.yaminuit.fr/im/articles/rcdragonrouge.gif ), et elle se sentait presque boudinée, dedans. Elle grogna, haineuse, à nouveau, et décida se siéger sur le bord du trottoir, une canette d'une boisson inconnue, qu'elle avait trouvée plus tôt dans un distributeur, à la main. Elle n'osait pas lever les yeux sur le ciel, où le soleil, violent, remplissait le rôle ingrat qu'est celui d'aveugler quiconque tente de le regarder, et fixait donc les voitures qui allaient et venaient, sur le parking.

Sa seule ambition fut donc d'attendre un taxi, ainsi, assise sur le trottoir. Elle ne comptait pas traverser le Japon pour trouver sa tante. Elle comptait donc demander au taxi de la conduire à une gare, ou un bus, où elle se débrouillerait. Elle soupira longuement, priant pour que tout se passe bien. Aprés tout, elle devait bien apprendr eà se débrouiller seule, non ? Elle inspira longuement, et guetta à nouveau l'arrivée d'un taxi, sans oser ouvrir sa canette.   

7
Le coin du chalant / Puisqu'il faut bien une première fois ...
« le: dimanche 09 mai 2010, 19:56:12 »
Eeeh oui !

Personnalité recherchée : Je voudrais bien ... une femme, ou un homme, mais pas violent. Quelqu'un qui ait du caractère, certes, mais pas une personne violente et agressive, ni SM.

Trame : Prudence arrive à l'aéroport, et s'offre une petite virée pour visiter sa nouvelle ville, et elle fait une rencontre.

Genre : Hentaï ou autre ( sachez que pour le hentai, Prud' est vierge et inexpérimentée )

J'attends avec impatience vos réponses ( sachant que, demain, je retourne à l'internat, pour ne revenir que mercredi soir - jeudi férié oblige - )  ! (:

8
Prélude / Quand on nous offre des ailes ... (Valithée)
« le: dimanche 09 mai 2010, 18:27:13 »
Prudence


Paraît-il qu’il existe sur terre des êtres qui savent voir ce que les autres ne voient pas. Qui parlent aux feuilles, qui jouent de la musique aux arbres, qui prennent le thé avec leurs vêtements … Des gens qui ont retournés la vie, pour s’en servir autrement, pour faire de la balançoire sur le destin, du toboggan le long de l’avenir.
Elle en fait partie.
Oui, Prudence en fait partie.
Et, malgré ce nom sage, elle ne correspond pas du tout à la définition que l’on donne à ce mot.

Prudence a 16 ans, et de la vie plein les yeux. Un regard pétillant, où s’affrontent bulles et éclairs, un rire amusant, qui porte à sourire, une stature de jeune fille qui grandit.
Elle est pétillante, étonnante, grinçante. Ce genre de personnes qui se glissent dans votre dos, et qui posent une araignée sur votre épaule, avant de partir en éclatant de rire. Pas dangereuse pour un sou, elle sait tout de même se défendre face à ses assaillants, et possède une répartie tranchante. As du poker, elle adore le jeu, et surtout gagner. Engagée, révoltée, elle est de celle qui sont au centre des débats, à cracher leurs opinions, convaincue qu’elles ont raison. Têtue, elle se montre aussi battante et combattante. C’est toute une jeunesse, dans ce corps plein de vivacité.
Mais cette vivacité ne s’arrête pas là : Elle représente aussi l’impatience, l’inconstance au niveau des humeurs, la violence du verbe et la fougue de l’adolescence. Etre adulte, mature ? Sans façon, elle passe son tour. Elle ne veut pas craindre, ni rejeter, ni même se plier à des ordres qui contredisent ses pulsions.

Elle possède un corps équilibré : formes douces et arrondies d’une jeune fille en pleine croissance, jambes ni courtes ni longues, pieds fins, peau douce dont elle doit s’occuper avec délicatesse, yeux fins et rieurs, buste à la poitrine ronde, ventre plat avec quelques  … Elle porte essentiellement des robes d’inspirations chinoises ou des kimonos, jamais de pantalon, venant d’une famille traditionnelle et conventionnelle, et bannit le maquillage (sa tante lui interdit d’en mettre). Elle a de fins cheveux noirs, légers, qui encadrent un visage rond et brillant, dont une mèche dissimule une partie du visage, cachant sa figure amusée et curieuse, une bouche rieuse d'où s'échappe une voix fine et marquée d'un accent indescriptible. Elle bondit, rebondit, court et nage avec aisance. Même si elle n'est pas très sportive, elle garde un physique agréable. Et elle se moque bien de ses petits poignets d'amour, de ses pieds trop petits, de ses cheveux rebelles, de sa peau sèche qu'elle combat à coups de crème ... Elle se sent bien, dans son corps accueillant.

Prudence est née quelque part à Pékin, dans une famille plutôt réactionnaire et très bourgeoise, osons même dire fortunée. Elle était la cadette de toute une famille déjà bien nombreuse, et a passé son enfance entre les murs d’écoles privées prestigieuses. Considérée comme «  une bonne élève », elle était appréciée de ses professeurs et de ses amis.
Une enfance sage, allez vous dire. Une enfance où elle réfrénait ses pulsions de folies, de fugue, d’envies jugées grotesques, enfermée dans une salle avec d’autres enfants alors que sa seule envie était de s’enfuir pour aller jouer, et plus jamais – non, plus jamais – étudier. Quand ses 12 ans arrivèrent, elle comprit rapidement que le prix de sa liberté serait son éloignement de sa famille. Elle chercha donc un lycée cher et illustre, et s’y inscrivit aussitôt. Un lycée japonais, réputé, et elle pouvait loger chez sa tante – certes, tout aussi conservatrice que sa famille, mais beaucoup moins présente, et surtout beaucoup moins protectrice envers Prudence – ce qui acheva le débat : elle pourrait y aller.
Ses bagages furent préparés en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, et elle s’exila au Japon. En ce moment, là, elle est dans l’avion la conduisant au Japon, toute excitée, et ravie de quitter sa Chine natale, qu’elle n’oubliera cependant jamais. Même si son enfance en Chine était des pires – pour elle – elle n’oubliera jamais la beauté de ce pays.
Mais pour elle, une nouvelle vie commence …

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