Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sujets - Ishtar

Pages: [1]
1
Les alentours de la ville / Petite voleuse, prends-garde à toi ... ( Hiro )
« le: dimanche 16 octobre 2011, 21:50:51 »



Ce soir, Ishtar était en forme. Elle avait dormie comme un loir toute la journée, nichée entre les draps du lit qu'elle occupait dans l'ancienne maison de geisha où elle vivait. Un lieu pour le moins insolite, qui était presque devenu une maison close non-déclarée ... On amenait à Ishtar et à ses autres colocatrices et colocataires des jeunes hommes et femme à dépuceler, des voyageurs égarés, des personnes qui avaient besoin de se détendre et d'être massée ... Bref, tout un panel de choses agréables étaient possible quand on passait le pas de la porte de la demeure qu'on avait renommé " Maison verte ", à cause de la façade rongée par quelques plantes grimpantes, et à cause de la réputation de prostituées qu'on offrait au locataires du bâtiment. Mais ici comme ailleurs, rien n'était gratuit ... Les gens avaient beau payer, il arrivait que les personnes de cette maison verte se servent dans leur porte-monnaie. Bref, cette fois, la jeune femme n'avait rien fait. Ni massage, ni autres caresses. Elle avait dormie pendant 16 heures, sans interruption, avant d'ouvrir les yeux vers 22h, avec une seule idée en tête : Jouer à la voleuse.

La jeune femme chipa un kimono pourpre et doré à sa voisine, l'enfila, coiffa sa chevelure avec une fausse néglicence, se maquilla légérement, enfila trois bracelets dorés sur le poignet droit et sortie dans la rue. La soirée était fraiche, aussi se dépécha t'elle de trouver un lieu où elle pourrait s'amuser comme elle l'aimait. Elle se glissa dans un vernissage, embarqua une montre, un collier, trois porte-feuilles. Ensuite, elle n'eut aucun mal à entrer dans une boîte de nuit, à draguer celui qui s'occupait des vestiaires et à se servir dans les manteaux accrochés une fois qu'elle parvint à le mettre en confiance. Ishtar était loin d'être épuisée, et malgré le magot qu'elle portait, elle avait encore envie de voler quelques choses ... L'adrénaline qui courrait dans ses veines l'électrisait, elle ne se contenait plus. La jeune femme rentra chez elle pour y cacher ses trouvailles, avant de continuer son petit jeu ...

Aussi parvint t'elle à s'immiscer dans une soirée remplie de gens guindés. Le bonheur ... Etait-ce un vernissage, une exposition, un concert ? Elle l'ignorait, et s'en foutait. Sa seule envie : dérober ... Ce qu'elle fit à nouveau avec plaisir. Un bracelet et un billet ici, un porte-feuille et un collier là. Elle s'amusait, et alors que sonnait 23h, elle envisagea de rentrer pour compter son butin ... Mais ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'on l'avait repérée, et que tout n'allait pas se passer comme prévu ...

2
Ville-Etat de Nexus / Un arrangement ... à l'amiable ?
« le: mercredi 06 juillet 2011, 14:26:32 »
Ces derniers temps, Ishtar se devait de faire attention à qui elle croisait, à qui elle parlait, avec qui elle s’amusait … Les beaux-jours où, insouciante, elle vivait de l’argent de quelques personnes étaient passés. A présent, elle devait rendre des comptes. Ainsi, elle se retrouvait cloitrée chez elle, dans cette vieille maison de geisha, à guetter qui passait, à prier afin qu’on épargne le semblant de vie qu’il lui restait. Un verre de saké entre les doigts, elle passa sa tête par la fenêtre de sa chambre. Depuis peu, on l’avait installée au rez-de-chaussée, en attendant que la tuyauterie de sa chambre soit comme neuve. Cela multipliait par cent les chances qu’elle avait de se faire prendre … elle poussa un immense soupir, et se permit de passer sa main par la fenêtre ouverte, savourant le courant frais qui passait dans cet air surchargé d’une chaleur maligne.

Une main agrippa son poignet, lui arrachant un cri. Le verre se brisa à ses pieds, tandis qu’elle hurlait comme une folle.

- Ferme-la, Ishtar.

Reconnaissant la voix, elle s’executa.

- Hans ?

- Ferme-la. Rends-moi mon argent.

- Mais …


- Immédiatement !

Sa voix tambourinait l’esprit de la jeune femme. Elle craignait qu’il ne lui brise le poignet gauche. Enfin, elle était droitière, elle s’en foutait un peu. La prise sur sa main se défit, et elle regarda l’homme. Il avait un Beretta dans la main. Elle s’efforça de sourire.

- Hans, s’il te plaît, on peut s’arranger … dit-elle doucement. Tu me connais …

- Je veux de l’argent, Ishtar.

Elle soupira, et il enclencha son flingue.

- Je ne peux pas, Hans.

- Oh, mais tu pourras … Je suis installé pour une semaine dans les landes ma belle. J’attends ta visite, et surtout l’argent que tu me ramèneras.

Elle s’apprêta à lui répondre, quand il lui plaqua l’arme sur la tempe. Elle poussa un cri sourd, aigu.

- Tu sais qu’il ne faut pas trop se frotter aux Yakuzas, hein ?

- Aucun rapport, il ne veulent pas de toi
, grinça-t-elle.

- Disons que l’argent que tu me donneras leur reviendra … et que si tu ne le ramènes pas, c’est toi qui sera vendue comme esclave, d’ici quelques jours.

Elle voulut répliquer, mais ne put. Il partit alors, rangeant son arme, la laissant chamboulée dans sa chambre qui puait le saké. Elle reprit sa respiration un moment, étouffée par l’air aride qui remplissait sa chambre. Elle se colla une gifle, se traita de folle, puis reprit ses esprits. Il fallait qu’elle trouve une créature quelconque. Si elle ramenait à Hans la moindre chose qui puisse avoir de la valeur, elle serait sauvée. Une terranide, par exemple … Ou … Putain, j’en ai aucune idée. Elle s’extirpa de sa demeure qui sentait la braise, et se posa face à la maison, adossée contre le mur, scrutant la rue.

A force de jouer avec le feu, elle aurait dû se douter qu’elle s’y brulerait les mains.

D'ici peu, elle partirait en chasse.

3
Les alentours de la ville / C'est enfantin ... ( Pv )
« le: jeudi 23 juin 2011, 21:57:54 »



La nuit, langoureuse, tombait sur les rues chics de Seikusu. Les yeux baladeurs, Ishtar se tenait sur un muret, jambes ballantes dans le vide, à 2 mètres du sol. Son regard vif et profond se cala sur une chose, aprés quelques minutes d'investigation. L'Opéra. Ce soir se jouait une première grandiose, avec tout ce qu'on imaginait de mieux : les meilleures cantatrices, les meilleurs chanteurs, le meilleur orchestre. Toute la haute société nippone se trouvait là, vêtue de robes et costumes somptueux. Les yeux de la jeune femme brillaient d'avance. Elle se lécha les lèvres, gourmande d'or, de bijoux, d'argent ... Ici, elle trouverait de quoi subsister pendant plusieurs mois. Elle se jeta de son muret, atterrissant sans encombres sur le sol.

Et vêtue d'un kimono argenté et noir, les cheveux retenus avec grâce par des piques argentés - volés, évidemment - , le visage fin et délicat, elle se fondit dans la foule. Et attrapa trois paires de boucles d'oreilles, 4 portefeuilles, 2 colliers et une dizaine de bracelets. Elle rangea cela dans une sacoche qu'elle cachait sous la ceinture de son kimono, contre sa peau, en totale sécurité. Mais elle ne comptait pas s'arrêter là ... Elle chaparda une entrée, la présenta au guichet et s'introduisit dans l'Opéra.
Pour ensuite se dissimuler dans les toilettes.

- C'est enfantin ... se murmura t'elle.

Elle attendit, terrée dans les-dites toilettes, que le spectacle commença. Puis, 10 minutes après le début, elle se glissa entre les murs de l'Opéra. Elle connaissait la localisation de loges. Par cœur. Guidée par son instinct et son expérience de voleuse, elle entra dans une des loges. La chanteuse principale ... Elle croisa du regard une photographie de la Callas, et un collier de diamants. Un cadeau d'un admirateur ... Elle gloussa, éprise. L'idée lui plaisait énormément ... Elle se posa face au miroir, enfilant le collier, se regardant un instant. Elle aurait pû être belle, en cantatrice. Mais elle n'était qu'une caricature de fille des rues ...

Un soupir s'échappa d'entre ses lèvres, tandis qu'elle continuait à se regarder dans le miroir, s'imaginait déjà être une autre ...

4
Les landes dévastées / Je suis sauvée ! ( Pv )
« le: jeudi 23 juin 2011, 00:06:12 »

Ishtar aurait très bien put être raisonnable. Ou au moins prudente. Mais la jeune femme, avide de tout ce qui pouvait apporter des sous-sous, se lançait dans des escapades incontrôlées et ... foireuses. En cet instant même, elle regrettait sa nature opportuniste et sa naïveté quant aux moyens de se faire de l'argent facile. Habituellement, elle n'était pourtant pas naïve. Sûre d'elle, elle ne se faisait plus aucune illusion vis-à-vis de la réalité. Il était difficile de l'avoir ... Sauf quand elle avait les crocs. Et qu'elle ne roulait plus sur l'or.


Elle s'était laissée embarquer dans un plan sans queue ni tête, dans le seul but de toucher de l'argent en échange de menus services, et peu catholiques. Dans ces moments-là, pas de morale, seul comptait le but, la finalité. Et, comme elle ( aurait dû ) s'en douter, elle était tombée sur des arnaqueurs. On s'amuse, on la drogue, on la jette quelque part en espérant qu'une créature l'avale. Perdu. Elle était vivante, hargneuse ...
Mais en pleine nuit, et au beau milieu des landes. Et effrayée, morte de froid qui plus est. Elle n'avait sur le dos qu'une kimono pourpre et noir, et ses cheveux étaient coiffés avec peu d'habilité. Une mèche rebelle venait, de temps à autre, balayer son visage. Un visage pâle, toujours séduisant, avec cet air hautain mais presque allumeur quand elle venait à pencher la tête et sourire.

Sauf que là, les bras croisés sur la poitrine, elle ne faisait que errer.

- Je me hais, grogna t'elle.

Elle scruta le ciel un moment, continuant à marcher. Rien n'apparaissait. Bon, eh bien Dieu n'existe pas, c'est déjà ça de fait ... Elle restait convaincue qu'une entité immensément bonne et vertueuse viendrait la sauver. Utopie.

Et son regard croisa le paysage. Une demeure. Elle se frotta les yeux. Non, elle hallucinait, évidemment, c'était impossible ... Un sourire naquit sur ses lèvres, tandis qu'elle trépignait de joie, accélérant le pas. Quelqu'un serait là, pour l'aider, la sauver, lui offrir de quoi manger et dormir ... Une naïveté touchante s'empara d'elle, tandis qu'elle avançait petit à petit vers la demeure ... Un manoir.

Elle y dormirait bien, c'était certain. Elle y volerait bien, aussi ... Y'a pas de petits profits. Elle se frotta les mains, remettant en place son kimono qui glissait sur ses épaules, dévoilant sa peau pâle et délicate, et se précipita vers l'entrée. Grilles ouvertes, porte fermée.

En tremblant, elle toqua avec son poing, une vague d'espoir s'emparant d'elle.

5
Le coin du chalant / Tutu-tum (8)
« le: dimanche 12 juin 2011, 11:24:13 »

* Furète dans le coin, puis se pose sur une table, regardant autour d'elle *

Les règles sont simples : Je veux jouer.

* Allume la musique : http://www.youtube.com/watch?v=Be_pWWlf0xA *


Je n'ai pas vraiment d'idées de départ, je peux proposer des trames dites-"bateaux" :

1 : Vous croisez la jeune femme / elle vous croise ... ( Mouais )

2 : Vous cherchez quelqu'un qui peut vous fournir tout ce qui est illégal et inaccessible. Mais attention, il faudra payer ...

3 : Pendant une soirée, vous croisez cette petite voleuse qui fait les poches aux autres ... Quelle sera votre réaction ?

4 : Au centre-commercial, vous la voyez embarquer une quantité de choses sans payer ... Et alors ?

5 : ... Autre ? ( On peut faire dans la légalité, aussi. )


A vous de jouer (;

6
Le quartier de la Toussaint / ... Convenable ? Haha. ( PV )
« le: samedi 11 juin 2011, 19:52:19 »
Ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=4ohkCQp4xL0&feature=youtu.be

Même pas fatiguée.

Plantée sur ses deux pieds, sur le toit d’une charmante demeure - la sienne - Ishtar contemplait le vide, jouant à la funambulisme. Une tuile glissa, elle éclata de rire. Elle se sentait immortelle. Depuis combien de temps n’était-elle pas sortie ? Sa grippe l’avait clouée au lit pendant deux semaines, au moins … Elle avait délirée, rêvant de multiples prairies roses et de ciel orange. Un délice. Même pas besoin de LSD, une grippe suffit. Le seul hic était que ses colocataires lui avaient interdit de quitter l’immense demeure dans laquelle elle vivait. Une ancienne maison de geisha. Sa chambre était au grenier, avec une trappe accédant au toit.

Même pas fatiguée.

Seule une vague de délire la poussait maintenant à sautiller. Elle sauta sur un toit, un autre, atterrissant en plein sur la place du marché.

… Et même pas peur.

Vêtue de son habituel kimono pourpre, elle passa entre les gens, leur souriant. Elle attrapa une pomme, une poire, une poignée de cerises, sans se faire attraper. Peut-être parce qu’elle le faisait sans se cacher. Elle revendiquait presque son statut de voleuse. En attendant, elle avait une course à faire. Elle croisa un homme, lui glissa un billet - … volé. - et il lui tendit un sachet magique qu’elle mit dans sa poche rapidement. Tout était affaire de magouilles, de sournoiseries. Le soleil, haut dans le ciel, tapait un peu sur son crâne. Elle chipa une ombrelle noire et pourpre, et déambula encore un moment.
Il lui fallait trouver de quoi faire du profit. Elle se faisait un nom, maintenant … On pouvait la trouver facilement. Le milieu de la contrebande, elle connaissait. Elle se roula une cigarette avec-pas-que-du-tabac-mais-chut-c’est-un-secret, et l’alluma délicatement avec un briquet emprunté.

Et continua sa route, le long des ruelles, diminuant le fait de croiser une patrouille. Joint et promenade ensoleillée … le bonheur. Il ne manquait plus que le saké.

- La la ...


Elle chantonna, encore, la marseillaise - une de ses colocataire lui avait appris - et continua à vagabonder.

7
Les alentours de la ville / Voleuse ! ( Oni )
« le: dimanche 06 juin 2010, 18:58:03 »



De toit en toit.
Sans aucun retenue, Ishtar sautait de toit en toit, vive et agile, comme un éclair. Personne ne la voyait, personne ne la percevait réellement, si intrépide et discréte.
Ihstar avait faim. Très faim. Et malheureusement, elle n’avait pas l’ombre d’un sou. Ni ici, ni là. Elle était sans argent, abandonnée dans la jungle de la ville, affamée.
Elle n'allait pas se laisser faire !

«  Bon, on reviens aux anciennes valeurs » songea-t-elle, assise sur un toit.


Là-bas, un grand marché se produisait. Elle distinguait fruits et légumes, parsemés sur ses étalages colorés, et sentait son ventre se serrer et se tordre sous les coups de la faim. Elle ne tiendrait plus longtemps. Elle descendit de son toit, et aussitôt se faufila dans la foule, parmi les vendeurs et acheteurs. Musique, odeurs, couleurs … tout se retrouvait ici.
Elle vit aussitôt un petit étalage, où la marchande était retournée. Vivement, elle plongea sa main dans un tas de pommes, de cerises, de poires et de figues, et les mit dans son sac.  Personne n’avait vu … parfait. Elle eut un petit rire satisfait, et disparut dans une petite ruelle, rapide, le cœur battant. Elle n’avait pas perdu la main !

8
Le coin du chalant / Eclipse Totale
« le: samedi 08 mai 2010, 16:54:16 »
Un titre pas terrible, au nom d'un film que je viens d'entrevoir.
( Rimbaud, je t'aime ! )

Un titre pour enclencher ... Ceci :


Sujet : Hentai.

Sexe : Oh, Homme, de préférence.

Idées de trames :

Ishtar, comme à son habitude, joue à la voleuse pendant le marché. Mais cette fois, elle se fait attraper ...

Ishtar essaye de voler des esclaves aux marchands pour se les attribuer, et tout ne se passe pas comme prévu ...

'fin bref, elle est casse-cou, maligne et forte tête, mais sa curiosité la perdra trés facilement ...

Qui est tenté ?

9
Les alentours de la ville / Nous avons un probléme !
« le: dimanche 17 janvier 2010, 16:11:35 »
- Mais, Vivi ...

La femme jeta un regard noir à Ishtar, assise à l'autre bout de la longue table, face à elle. Depuis maintenant une demi-heure, Ishtar ne cessait d'être en désaccord avec la jeune femme, qui faisait des pieds et des mains pour convaincre Ishtar. Mais la jeune fille ne voulait rien entendre : elle voulait voir Bastet. Elle repoussa son assiette, boudeuse et légérement provocante, tandis que Vivi assenait un coup de poing magistral sur la table, faisant trembler chaque chose posée dessus. Ishtar recula, craintive, voyant que celle qu'elle considérait comme sa mère était en colère.


- Ishtar, je ne veux plus te voir ici ! tonna t'elle. Monte dans ta chambre, et restes-y jusqu'à nouvel ordre !

Son visage était tellement froncé qu'Ishtar n'insista pas. Mais elle garda cependant, au fond d'elle, une sensation d'injustice. C'était injuste qu'elle ne puisse pas voir Bastet, son chat, sous prétexte qu'il devait se reposer. Il avait eu un accident, et s'était cassé deux pattes : depuis, il était immobilisé dans sa pièce, sa chambre bien à lui, un endroit tout aménagé pour son confort. Ishtar se leva, jetant sa serviette sur la table, et sortit en claquant la porte. Elle ne comptait pas monter dans sa chambre, non, elle avait une toute autre idée en tête. Vivi, en cet instant, l'énervait au point qu'elle voulait tout faire pour la mettre en rogne. Elle grimpa dans sa chambre, fouilla dans son armoire pour en extirper un costume.

Celui de la célèbre Esmeralda. Elle eut un sourire heureux, et enfila cette robe [ http://images2.fanpop.com/images/photos/4300000/Dancing-Esmeralda-esmeralda-4390184-800-1136.jpg ]. Puis, sans réfléchir, elle ouvrit sa fenêtre et se jeta par dessus bord. Elle atterrit sur le muret de son jardin, et sauta de l'autre côté, dans la rue. Ah, Vivi ne voulait pas qu'elle aille dans les rues qu'elle nommait interdite à cause des fréquentations étranges ? Et bien elle irait, na ! Vite, elle courut vers ces endroits maudits. Vivi ne voulait pas qu'elle y aille, elle le savait, mais pour quelle raison , déjà ? Elle ne s'en souvenait plus. Elle se dirigea donc vers ses rues, d'un pas doux et calme, et se stoppa vivement en se souvenant.

Elle n'avait pas le droit d'y aller car c'était le terrain de prédilection des marchands d'esclaves. Elle eut un tressautement. C'était ici que Vivi s'était fait attraper par un homme étrange, et qu'elle s'en était sortie de justesse, se teignant les cheveux et changeant tout pour ne plus se faire attraper. La jeune fille jeta un oeil vers les rues, autour d'elle, et fit demi-tour, s'éloignant de cet endroit.

10
Le coin du chalant / Snif ?
« le: dimanche 17 janvier 2010, 14:13:31 »
Je n'ai qu'un seul Rp en route, c'est désolant. Et trés peu satisfaisant.

Idées de Rp :

- Abuser de la naïveté d'Ishtar ou de sa curiosité.
- Faire ami-ami avec la petite intrépide

Type de personne recherchée :

- Quelqu'un de fort, un peu brutal - mais pas sadique - pour la première idée.
- Un garçon ou une fille plus âgé(e) qu'elle ou de son âge pour le second


Voilà, si vous avez d'autres idées, n'hésitez pas !

11
Personne ne la croyait jamais  ! Elle avait beau crier qu'elle ne l'avait pas voulue, que ce n'était pas sa faute, la belle indigène n'avait pas eu le choix : elle devait subir une sanction qui lui vaudrait cher, surtout auprès de sa mère adoptive. Ils avaient fermés les yeux sur le fait qu'elle prenne l'habitude de grimper sur les toits ou au sommet des arbres. Ils avait acceptés même qu'elle prenne son chat avec elle quand elle n'avait pas cours mais qu'elle restait au lycée pour se prélasser sur l'herbe grasse, et on cautionnait qu'elle se balade pieds nus dans l'établissement. Mais là, c'était trop ! Elle avait eu le malheur d'oser vider des épices dans les plats préparés aux élèves, sous prétexte qu'ils étaient fades, ce qui avait déclenché une crise affreuse de brûlures de gorge et d'étouffements. Elle n'échapperait pas à la punition, et cette fois, sans son chat.

Ainsi, traînant les pieds, abandonnant Bastet à la maison, sur son lit, la jeune fille allait, désespérée, vers une salle de retenue. Elle tenait à la main son sac en bandoulière qui ne contenait qu'un livre de Boris Vian, un bloc note et une trousse, et chacun de ses pas agitait ses nombreux colliers et bracelets. Son visage habituellement souriant affiché une mine désorientée. Elle ne savait pas qu'elle excuse elle servirait à sa mère, quand elle rentrerait enfin. En tout cas, pour le moment, elle était bonne pour - elle regarda son carnet et grimaça - trois heures de retenue. Elle se recoiffa vivement avant d'entrer, un bon vieux réflexe. Et poussa la porte.

Elle entra discrètement, osant doucement, et remarqua qu'il n'y avait personne.


- Puisque c'est ainsi ...

Elle s'installa sur une table, au fond, prés de la fenêtre et du radiateur. Malgré les températures froides, elle gardait des tenues légères : une sorte de sari bariolé était aujourd'hui posé sur sa peau, et ne lui tenait guère chaud. Elle écarta légérement les rideaux, regardant au dehors la neige douce qui tombait, et frissonna en s'imaginant marcher pieds nus dans la neige.

12
Ville-Etat de Nexus / Visite imprévue. ( Pv )
« le: vendredi 20 novembre 2009, 20:15:49 »
La matinée s'élevait doucement. Le ciel était encore brumeux, et le soleil s'élevait timidement dans un ciel doux. Une journée comme tant d'autres, pas très originale, se préparait doucement. Les rayons perçaient à travers les rideaux tendres de la chambre de la demoiselle, qui dormait encore paisiblement. Les bruits de la ville et son agitation naissaient au cœur de Nexus, et Bastet restait à admirer le spectacle par la fenêtre fermée. Il descendit doucement du rebord de fenêtre, et se posa sur le corps de la jeune fille endormie, qui ouvrit les yeux avec lenteur. Elle se les frotta doucement, regardant autour d'elle. Elle avait fait un beau rêve, et comme d'habitude, aurait appréciée ne pas être réveillée, ou, à la limite, se réveillée dans son rêve et y rester. Mais non. C'était impossible. Au loin, elle reconnut les bruits de marchés, et un sourire naquit sur son visage. Elle se leva rapidement, pressant son museau contre la fenêtre. Le marché ! Sa mère - qu'elle nommait Vivi - allait sûrement y traîner ! Toujours en robe de nuit, elle dévala les marches quatres à quatres, se présentant devant Vivi qui assenait un lot d'insultes à une jeune esclave qui avait charcutée sa robe. Puis la belle femme aperçut sa fille, et se calma.

- Déjà levée ? Tu t'es pourtant couchée tard, hier !
- Le marché ! Le marché !

Vivi fit la moue.

- Je ne comptais pas y aller, Ishtar ...
- Mais le dernier esclave nettoyeur est mort ! On a plus personnes pour nettoyer les vitres ! Il nous en faut un nouveau !
- Ishtar ...
- Alleeez !

Un sourire naquit sur les lèvres de Vivi, qui secoua sa chevelure blonde. Elle était si adorable, quand elle s'y mettait, cette gamine ...

- Soit ! Va te préparer, nous grignoterons en chemin.

Rapide, intrépide, l'adolescente remonta pour se vêtir et se faire belle. Le marché ... Elle adorait. Aller d'étalages en étalages, taquiner les esclaves enfermés ... Elle eut un sourire ravi, et sautilla sur place, excitée comme une puce. La journée serait bonne, elle le sentait. Elle enfila une toge blanche et brodée, une parure joyeuse et se présenta en bas rapidement, devant une Vivi étonnée par la rapidité de sa fille. Vivi enfila une tenue de sortie, un chapeau cachant la moitiée de son visage, et un manteau tendre en velours.

Elles partirent donc au marché. Comme à son habitude, Vivi laissait Ishtar gambader, lui laissant une liberté croissante. Ainsi, Ishtar partit de son côté, suivit par Bastet, dans le but d'aller taquiner deux ou trois esclaves pitoyables. Elle trouva vite son bonheur, il ne fallut pas beaucoup de temps avant qu'elle n'aperçoive une jolie petite boutique. Elle entra doucement, laissant derrière elle les bruits du marché joyeux. Cette boutique l'intriguait ... Que pouvait-on bien y trouver ?

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Prélude / Une fille cachée
« le: dimanche 15 novembre 2009, 14:45:02 »
Ishtar

Nom : Elle ne le retient jamais, il est bien trop long.

Prénom : Ishtar. C'est le nom d'une entité égyptienne à la fois guerriére et guérisseuse.

Surnom : Ishi.

Age : Une bonne quinzaine d'années.

Sexe : Jeune fille, ou femme, c'est vous qui voyez.

Race : Es.P.E.R

Orientation sexuelle: Tout et n'importe quoi 

Description physique : Ishtar est une jeune fille de quinze années, pas très grande mais assez futée. Elle a une peau légèrement basanée, et des cheveux noirs qui lui tombent autour du cou, effleurant ses épaules. Elle porte sans cesse des tenues légères, qui rappelle l‘Orient ou l‘Egypte, et reste pieds nus, afin de conserver une liberté de mouvement et une agilité assez grande. Comme je l’ai dit, elle n’est pas très grande, disons un mètre et soixante centimètres. Elle a un regard perçant et brillant, comme deux diamants, qui donne l’impression qu’elle lit en vous. Elle ne jure que par Bastet ( son chat qui ne la quitte jamais ). Elle ne ressemble pas beaucoup à sa mère, ce qui la tracasse assez, et ne cesse d’imaginer quelle tête pourrait avoir son père. Elle reste une adolescente comme les autres …Malgré qu'elle se prenne pour une princesse égyptienne, et qu'elle porte toute une ribambelle de bijoux qui rapelle cette époque. Elle est toujours collée à Bastet, son chat qu'elle ne quitte jamais, une boule de poils blanche qui la suit et qui veille sur elle.

Caractère : Un caractére impulsif résume assez bien cette affaire, si j'ose dire. Nettement fusée, ingénieuse, la jeune Ishtar aime à se déguiser et jouer des tours. Ainsi, elle vole des pommes sans se faire prendre, ou grimpe sur les balcon avec une aisance sans limite pour rejoindre ses amours ou amis. Elle posséde une agilité à toute épreuve, et aussi un merveilleux caractére de jeune fille qui ne se laisse pas faire. Elle est maligne, et sait relativement bien mentir. D'un autre côté, convaincue qu'elle est la réincarnation d'une puissance déesse égyptienne , elle se permet bien des paroles et des actes qu'elle juge acceptables. Selon elle, toujours. Elle dénigre les Terranides férocement, et s'amuse à aller taquiner les esclaves sur les marchés, aussi bien d'une manière "gentille" que d'une manière qui l'est ... beaucoup moins ! En résume, voilà une jeune femme impulsive, caractérielle le plus souvent. Mais elle n'est pas violente, elle préfére adopter des mots durs que des poings. Cependant ... Elle sait se battre. Méfiez-vous. Vos sales pattes, elle vous les tord jusqu'à vous entendre hurler. Même si elle n'écoute que de l'Opera.

Histoire : Ishtar est née un midi, sous le soleil. Une petite basanée, cheveux noirs, sortant du ventre d'une dame blonde à la peau blanche et fragile. Dés le début, elle a cru à l'adoption, il a fallu quelques photos de l'accouchement pour que ses doutes dégagent. Elle fut donc élevée dans une riche demeure, face à la plage et à la mer, dans une maison infestée de domestiques-esclaves Terranide, qui meurt un peu trop souvent, et un peu trop vite. Sa mère n'est pas une douce avec ces êtres, il faut le dire. Elle les dénigre, elle les déteste ... Toute une éducation qui fit qu'Ishtar devint ainsi, à ne point aimer les Terranides. Si bien que, de temps à autre, elles partant à deux acheter ce que sa mère nomme des bricoles ( les esclaves ) chez quelques marchands, notamment l'entreprise dirigée par Don. Celle où la petite vient fureter pour manigancer quelques coups afin de taquiner les esclaves , se récoltant par la suite quelques coups sur les doigts. Elle sait que sa mère apprécie ce marchand, mais Ishtar ne se souvient pas lui avoir parlé un jour, sinon pour échanger deux-trois mots à propos d'une quelconque livraison. C'est généralement un de ses hommes de mains qui s'occupe de "tenir la boutique". En bref, elle a toujours ce statut. Elle continue à traîner dans ces coins là, elle et Bastet, évidemment.

Situation de départ : Elle s'en moque, je vous l'assure. Rien jusque là.

Autres : Elle posséde une agilité fracassante, si je vous le dis c'est que c'est vrai. Au point qu'on peut le classer dans les particularités.
Autre : Elle ne le sais pas - pour le moment, et lui non plus ne le sait peut-être pas d'ailleurs - mais ce charmant enfant est la seule fille de Don qui n'est pas finie en esclave par la suite. Eeeh oui, Don, tu te doutais bien qu'un jour quelque jouerait ce rôle, non ?

Je peux vous faire connaitre grâce à la parlotte, chers amis ...

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