Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Pandora

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Sujets - Pandora

Pages: [1]
1
Ville-Etat de Nexus / Si la musique va... [PV]
« le: lundi 25 octobre 2010, 21:44:37 »
"Va, gagne au moins 400 pièces d'or, ou tu souffriras comme tu n'as jamais souffert ! Tes derniers résultats, que ce soient tes "exploits" sexuelles ou les rentrées d'argent, tu deviens inutile ! Alors tiens le toi pour dit !"

La nomination de ses exploits sexuelles la fit rougir de honte. La pauvre neko, avait été violée la veille, et les deux participants s'étaient fait plaisir en la frappant jusqu'au sang pendant que sa bouche et son "antre de tout les plaisirs" étaient pris en même temps. Son dos, d'ailleurs en portait encore les marques, ainsi que sa robe blanche, qui, mise trop tôt, était parcourue de traits rouges dont la provenance était on ne peut plus claire.

Bref. Même si les dernières affirmation du Maître n'étaient que des inventions pures et simples, elle savait que la première promesse, elle, allait sûrement se réaliser, surtout que ramener une telle somme était presque impossible ! Ses doigts parfaits, sur son ancien violon pouvaient certes faire des miracles, créer des choses qui n'existaient pas, tant que la musique était présente, mais rapporter un tel monceau de pièces d'or... Elle pensait déjà à la punition qu'elle allait recevoir...

Secouant sa tête pour reprendre ses esprits, elle leva ses poignets, côtes à côtes espacés de quelques centimètres, pour que son cher Maître puisse lui passer une chaine autour de ses poignets. Celle ci, plutôt longue lui permettait de jouer tranquillement de son violon sans s'arracher à moitié les bras à chaque geste. Une deuxième, mise entre ses chevilles, cependant, n'était pas assez longue pour lui permettre de faire de longues enjambées.

Son collier en metal, soudé, au cou, les chaines en place, et la boite contenant son violon et son archer en main, son propriétaire ouvrit la porte menant sur la grande rue, et la poussa de force dehors. Brusquement entrainée par cette soudaine poussée, la jeune Pandora voulut se rattraper en faisant un pas, mais la courte chaine la ramena rapidement à la réalité, et la neko tomba à même le sol, protégeant son violon de ses mains. Se relevant péniblement, elle se dirigea vers son endroit habituel.

Arrivée à destination sans trop de heurts et de mains baladeuses, encore rouge de confusion quand certains passants s'étaient montrés presque trop avenant, dépassant des limites que son Maître lui avait imposé, -elle s'était d'ailleurs gentiment excusée de ne pouvoir faire plus, d'une voix où le dégout d'elle même transparaissait avant de continuer sa route- elle sortit son violon et commença à jouer. Tout de suite détendu, dans cet univers qu'elle connaissait bien.

Ses doigts volaient sur le manche de son violon tandis que l'archet sautait rapidement d'une corde à l'autre, les caressant doucement. Le niveau qu'elle atteignait à ce moment était grandiose. La peur donne des ailes disait le peuple, mais là, la peur de la punition lui donnait un véritable autre niveau. Cette performance allait sûrement lui apporter de l'argent. Si c'était assez, tant mieux, sinon tant pis. Finalement, malgré le gros nœud qu'elle avait dans son ventre, tant qu'elle pouvait jouer de son Amour, tout allait bien... ou presque.

2
Les bas fonds / Nouvelle rencontre. [PV]
« le: mardi 31 août 2010, 20:10:58 »
J'étais libre. Libre, ce mot résonnait dans ma tête à chaque pas que je faisais. Mais pourtant la tristesse me transperçait à chaque mouvement. Ma Tania, ma belle vampire, mon bourreau et mon amante, celle qui m'avait redonner le gout de vivre... Elle n'était plus là, pendant plusieurs jours, j'avais attendu son retour, avant de partir moi même de cette maison que je nettoyais avec tant d'ardeur chaque jour.

Mon violon sous un bras, retenu par une main, l'archer dans l'autre, je me baladais dans les rues, ou plutôt j'errais, désespérée. Tous ces bruits, ces sons. C'était dans les même circonstances que j'avais rencontrée dame Tania, sauf que cette fois, ce n'était plus la joie d'être libre qui m'occupait, mais la tristesse d'un être perdu. Comme avant, l'envie de jouer de mon amour, le seul qui me trahirait jamais, me pris. Ses courbures me faisaient frémir, il m'appelait, ses cordes ne demandaient qu'à être frappées de mes doigts, frottées de l'archer... Comme je ne comptais pas redevenir esclave, en me faisant attraper, je ne voulu pas jouer devant ces badauds, et continua à chercher un coin tranquille.

Rapidement, je vis une petite ruelle, la même qu'avant. Elle s'enfonçait entre les maisons et personne ne la prenait. Je m'enfonçais alors au plus profond de la rue, et m'arrêtai. Le silence, terne et triste, était partout. Et dans mon état, ce que ma musique pendrait, ce ne serait que l'image de ma tristesse, toujours présente.

Dans un ample geste gracieux, je me mis en position, violon sous le menton, doigts sur le manche, près à virevolter, et l'archer près à effleurer les cordes qui ne demandaient que ça... Le contraste entre ma position gracieuse, et ma robe blanche courte qui ne cachait rien de mes jambes ni de mon cou était frappante. On voyait quelques cicatrices, et vu que j'appuyais ma joue contre le violon, amoureusement, je dévoilais mon cou au regard de tous. Ce serait une joie pour un vampire pensais-je tristement, me rappelant cette journée qui avait changée ma vie.

Et je commençai. Au début, ce n'était qu'une petite plainte, qui emplissait pourtant tout l'espace. Et peu à peu, cette plainte se fendit en une multitude de larme. Les notes dégringolaient les lignes, essayant parfois de remonter, de rebondir entre elles. Mais rien n'y faisait, tout finissait par finir un jour. La ruelle, malgré la nuit sans nuage, semblait trempée. L'écho de la symphonie que le violon, seul, produisait était lugubre, promesse d'une mort lente, si elle vous prenait dans sa toile.Le tristesse m'était trop insupportable. Je voulais mourir, mais avant, je voulais me venger.

3
Ville-Etat de Nexus / Petites courses en ville
« le: dimanche 22 août 2010, 20:45:58 »
Ma maîtresse souriait... Mais pourquoi ? Etait-ce simplement au fait qu'elle trouvait incroyable que sa "caverne" puisse être si propre un jour, ou était-ce plutôt à cause de mes paroles... N'osant pas lui poser la question, de peur de ... de la froisser, je lissais ma queue, doucement, et l'époussetant. Car avoir fait le ménage et d'autres choses dans cette caverne poussiéreuse l'avait fait trainée dans une montagne de poussière, de toile d'araignées, et d'autres choses indescriptibles... Cette tâche fut presque plus compliquée par rapport au ménage fait avant. Les poils, non lavés depuis quelques temps, devenaient collant...

Mais dame Tania n'y pensa pas et prit une énorme poignée d'or. Celle-ci, assez immense pour l'achat que j'imaginais au départ, me prouvait, ou plutôt me faisait douter, que ma déesse n'avait pas vraiment le sens de l'argent... Ce qui était bête, c'était que moi non plus. La seule fois où je pouvais voir de l'argent avant, était dans les mains des acheteurs qui venait s'approprier des esclaves. Sinon, je me tenais loin des marchés et autres foyers de population. J'avais arrêté un nombre de fois impressionnant, vendu autant de fois, moins une, et je ne comptais pas recommencer cette expérience douloureuse.

Ne me laissant pas parler, et m'extasier à haute voix devant cette somme, donc, Dame Tania me glissa un petit baiser avec ses lèvres au gout indéfinissable, et me prit par la main m'entrainant dans cet endroit tant redouté : la rue.

M'agrippant à sa main avec force, je ne voulais surtout pas la perdre, que je sois bousculée ou que je trébuchais, un peu fatiguée à cause du ménage fait plutôt, je me reprenais le plus vite possible et la suivait. La grande dame me dépassait bien d'une tête, et on voyait la fierté avec laquelle elle marchait dans cette rue. Je l'admirais vraiment et j'étais très fier de mon statut à présent : j'étais l'esclave et le jouet de cette femme, dame Tania.

Arrivant devant un magasin de vêtements, plutôt luxueux, nous nous arrêtâmes, pour y rentrer. L'intérieur me surprit vraiment. Ce magasin était tout simplement immense. Les lignées de vêtements semblaient s'étendre à l'infini, et le nombre de lignées était aussi impressionnant. Sur le coté droit, je pouvais voir un escalier partant vers le haut, et juste derrière, le même mais partant vers le bas. Apparemment, ce que je voyais n'était qu'une petite partie de ce grand magasin.

Un peu perdue, ne sachant ni où aller ni que choisir, je préférai laisser le soin de choisir mes vêtements à dame Tania. Je lui collais véritablement au basques, pensant que si je la perdais de vue ici, je ne la reverrai jamais. Cela ressemblait à de la peur, la peur de l'immensité, des foules, mais surtout la peur de la perdre.

4
Les bas fonds / De retour à l'état sauvage (PV)
« le: lundi 04 janvier 2010, 21:18:55 »
Chaînes, fouets, instruments de tortures... Durant une année entière, Pandora n'avait eu droit qu'à ces objets pour compagnons, et ses seuls amis étaient devenue la douleur et l'envie de fuite.

Son esprit n'avait finalement pas tenue et son état d'humanité avait peu à peu diminué jusqu'à ne laisser qu'une bête, qui ne savait qu'une chose, qu'il fallait fuir. C'est ce qu'elle fit d'ailleurs après une soirée bien arrosée d'un des clients de son maître. La rue, puis la place, elle fuyait à quatre pattes cet endroit qui lui avait fait tant de mal. Le sang coulait de ses blessures encore fraiches, et le peuple s'écartait sur son passage, peut être croyait-il qu'elle était folle, et bien c'était le cas. Elle ne savait même plus jusqu'à son nom ni comment parler. Les yeux rouges, elle voyait les gens devant elle comme des formes bizarres, qui lui voulaient assurément du mal.

C'est ainsi qu'elle se retrouva dans les bas fond. Cela faisait bientôt plusieurs jours qu'elle y trainait. Les quelques individus qui s'étaient présentés sur son chemin avait été attaqué par une folle disait-on. Leur mort n'avait été causée non pas par les multiples morsures qui marquaient le corps, mais par un trou qu'ils avaient sur la tempe. Pandora leur avait enfoncé un doigt dans cet endroit fragile. Normalement impossible, elle, elle y arrivait. Ses doigts étaient très musclés à force de la pratique de son violon qui était maintenant réduit en cendre, ou en miette, seul dieu le savait. Et elle s'en servait pour tuer.

D'étranges rumeurs à son compte se propageaient dans les bas fonds et des affiches la recherchant morte ou vive (vive de préférences) étaient affichées. Certains grands de cette ville avaient l'air de lui en vouloir ...



[Désolée pour ce début pourrie, mais je n'ai jamais été douée dedans...]

5
Vous nous quittez déjà ? / Absence
« le: jeudi 17 décembre 2009, 20:40:01 »
Bonsoir,
Je serai absente un moment. Je vais jouer au piano dans un hôtel pour noel, et je n'ai plus internet chez moi (un miracle si j'arrive à venir)
Pour tous mes rps qui sont en cours, je suis désolée.


Pandora

6
Les bas fonds / Simple rencontre ? (pv Raven Miller)
« le: mercredi 25 novembre 2009, 17:47:14 »
Courir…
Plus vite, il me rattrape…
La distance entre nous diminue. J’emprunte une rue au hasard…
Vite, plus vite !
La faible lueur des lampadaire éclaire les parois étroites de la ruelle.
Un croisement, prendre à droite, vite.
Des bruits de course derrière moi, l’obscurité qui m’entoure, une infinité de rues, aucune sortie. Je regarde les murs, on dirait des crânes qui me regardent. Les cranes qui composent les parois font croitre mon angoisse, les ténèbres étouffantes m’encerclent de plus en plus, la lumière faiblit. Elle n’en à plus pour très longtemps…
Il me rattrape, arrête de penser et cours, ne cède pas à la panique, cours, cours !
Un autre croisement, à droite, sans réfléchir je l’emprunte. J’accélère. Plus vite !
Mes efforts semblent vains, je continue à l’entendre, toujours plus près, les bruits de sa course, ses grognements.
Comment j’ai fait pour arriver ici ? M’en souviens pas… ‘comme si j’étais en train de courir dehors depuis toujours, poursuivi par une créature sans nom, peur collant à la peau…
Merde, plus de lumière ! Je jette de toutes mes forces la lampe derrière moi dans l’espoir de… de quoi ? De le retarder ?
L’obscurité m’assaillit de toutes parts, je suis déchirée entre la peur de ce qui me poursuit et la peur de courir dans ces ténèbres.
Ne pas y penser, ne pas y penser, cours, plus vite, si tu ralentis, tu es morte, autant courir.
Il se rapproche, je l’entends de plus en plus distinctement, ses cris aigus, ses grognements sourds, son odeur insupportable, son haleine sur ma nuque… Plus vite ! Je ne peux pas, je trébuche et tombe, j’ai à peine le temps de me retourner que je le sens se jeter sur moi. Je veux hurler mais aucun son ne sort de ma bouche, il a été dévoré par l’obscurité, je tente de me débattre, mais il m’empêche de bouger. Un dernier effort et un coup dans l'entrejambe le fait se plier en deux. Je réussis à m'échapper. Un maison devant moi. Si elle est fermée, je suis finie. C'est ma seule chance.


Tandis qu'en une seconde je m'étais rappelé tout cela, je me jetais contre la porte qui s'ouvrit avec fracas. Je me cachais derrière une colonne, retenant ma respiration. Je guettais le moindre bruit, le moindre pas, et toute tremblante, je finis par m'endormir sur le sol.

7
Ville-Etat de Nexus / Vente d'esclave
« le: vendredi 13 novembre 2009, 20:35:51 »
C'est l'après midi, le soleil est encore haut dans le ciel, et commence à décliner. Les nobles font leur derniers achats de la journée, puis se baladent tranquillement en flemmardant.
Pour moi ce fut une journée comme les autres, rester debout des heures durant, même quand le soleil tapait fort.

Certaines personnes s'étaient montrées intéressées mais après avoir  regarder mon regard, qui restait dans le vide, malgré la possibilité qui s'offrait à moi, elles partirent toutes en dévisageant le marchand d'un œil bizarre, elles devaient se demander pourquoi ce marchand gardait une esclave comme ça.
Le marchand vit enfin une personne intéressée par une autre de ses esclaves et se changea de place pour aller discutailler avec le couple qui s'avançait à l'autre bout du stand.
Mourant de faim, ne pouvant retenir ses passions, et voyant son violon près d'elle. Je profitai du fait que le marchand soit parti pour le prendre et entamer un joli morceau que je connaissais très bien, de  Tchaikovsky un concerto pour violon, l'Allegro moderato. Certains passants s'arrêtèrent pour écouter cette musique, et d'autres se demandaient pourquoi je jouais du violon, moi une esclave...

Entendant cette musique, le marchand revint en courant près de moi avec une canne et me frappa avec, évitant le violon, objet trop cher pour être abimé et réparé ensuite ; d'ailleurs il ne touchait jamais les objets avec sa canne, seulement les esclaves, puisque ceux-ci peuvent guérir de leur blessures avec le temps.
Frappée à l'épaule, je m'écroulais par terre en me tenant l'épaule gauche (celle dont je ne prenais pas appui avec le violon). Je mis le violon de coté et restais à terre, supportant les coups que le marchand me donnait, déchainé.


"C'est la troisième fois aujourd'hui ! Je t'avais prévenue !"

Il me mit dans une cage et ferma la porte à clé.

8
Prélude / Pandora
« le: jeudi 12 novembre 2009, 22:56:16 »
Nom/Prenom/Surnom : Pandora

Age : inconnu, il semblerait qu'elle ait plus de 17 ans.

Sexe : Femelle

Race : Terranide

Orientation sexuelle: Bisexuelle, mais ne le sait pas encore


Description physique : Pandora a les yeux bleus ainsi que ses oreilles et ses cheveux. Ces derniers descendent bas le long du dos, libres de toutes attaches. En parlant d'attache, elle porte un collier au cou, d'apparence coquet, il est en fait le symbole de son état d'esclave. Ses vêtements sont noirs, elle porte une petite robe descendant au dessus des genoux, vers la mi-cuisse. Elle est pieds nus, et porte de longues mitaines noires. Elle porte des traces de coups sur son dos, ainsi que quelques cicatrices.
Personne ne l'a encore touchée sexuellement, mais elle sait faire toutes les tâches ingrates.
Le plus impressionnant chez elle, c'est la façon dont elle parle et joue de la musique. Depuis sa naissance, on l'a obligée (au départ) à jouer du violon, depuis les muscles de ses doigts se sont développés, et elle les maîtrise parfaitement, ainsi que tout ce qu'elle fait avec ses mains.
Sa queue de chat, d'un bleu nuit, finit au bout par un noir profond. Quand elle marche, sa queue se balance élégamment. Ses jambes frêles retiennent un corps maigre, à cause du peu de nourriture qu'on lui donne à manger chaque semaine. Pour sa taille d'un mètre soixante, elle pèse environ 45 kilos.

Caractère : Elle est soumise à tout ce qu'on lui dit de faire, bien qu'une volonté puisse faire surface quand on la brusque. Au premier abord, elle parait amorphe, mais si on l'a connait mieux, on voit qu'elle est très habile de ses doigts

Histoire : Pandora ne connait plus ses parents, si elle en avait, et a été recueillie par un marchand d'esclave. Ses derniers souvenirs remontent de là. Depuis les malheurs se sont enchainés. Tentatives de viols (ratés), une fois 3 humains ont failli réussir, mais elle réussi à s'enfuir.
Plus tard, elle tomba sur d'autres humains, mais ceux là ne voulaient pas la violer, il l'abordèrent, l'amenèrent dans un coin, et se défoulairent sur elle. Coup de poings, de pied, de ceintures elle ne les comptait plus, tout cela juste parce qu'elle n'était pas humaine...
Quand elle revint, couverte de son sang, chez le marchand d'esclave, celui ci l'accusa d'être partie et d'avoir voulu s'enfuir. Pour la punir, il l'enferma pendant une semaine, dans une cage, où elle ne pouvait se mettre qu'en position recroquevillée. Quand elle sortie, elle avait changée, de vivante, elle était devenu amorphe, néanmoins, elle continuait le violon. Mais du fait de son attitude, personne ne voulait l'acheter et elle resta de nombreuses années, à subir les sévices de ce marchand. Puis elle apprit à vraiment manipuler ses doigts, leur faire faire ce qu'elle voulait.
A ce moment le marchand lui "enseigna" de force comment faire toutes les taches ingrates pour les humains. Elle s'y attela et fut particulièrement bonne dans cette science. Elle regagna une lueur dans son regard à partir de ce moment là.

Situation de départ : Vierge, comme dit plus haut


Autres : Ses doigts incroyablement long, fins (squelettiques) font une forte impression

Comment avez vous connu le forum: secret ^^

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?Si oui lesquels: Non malheureusement ...

Pages: [1]