Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Aly Karelina

Pages: [1]
1
« Merci ! Toi… Tu pues. »

Aly s’était laissée dépassée par sa propre honnêteté : tranchante et spontanée. Elle tenta dans sa courte hésitation de retenir ses mots, d’y donner une forme moins incisive en vain. Le résultat la fit seulement éclater de rire. Avec Vaz, les faux-semblants ne possédaient pas leur place ; ils étaient eux-même, autant que leur personnalité pouvait s’exprimer au travers de leur formation répressive.

Ils finirent de s’installer sur le canapé, la couette pour les couvrir. Les deux assiettes dans la main, la russe attendait que le programme soit choisi pour lui donner sa part. Les effluves enivrantes envahissaient ses narines, son ventre criait famine.

« Enfin ! »

En même temps que son partenaire, elle exprima sa joie de découvrir le menu de la télévision. Leur quotidien prenait une tournure paisible : Ils s’installaient dans l’appartement comme un couple normal. Ils s’extasiaient ensemble des petites victoires. Après des mois de caval et d’angoisse, cette scène faisait l’effet d’une véritable bouffée d’air frais à Aly qui se sentait bien capable de s’habituer à cette nouvelle vie. Mais il lui était impossible de s’y projeter dans le futur… Les renseignements russes pourraient toujours leur tomber sur le bout du nez, à n’importe quel moment.

« Ah… réfléchit-elle pendant que Vaz récupérait son assiette. »

Difficile de choisir sans connaître les séries et films du moment. Aly avait perdu le fil depuis l’initiation de sa formation et les programmes populaires lui paraissaient tout à fait inconnus. Pourtant, elle appréciait les séries à intrigue alors d’une main, la blonde prit son téléphone pour chercher les nouveautés populaires et donna un nom tout à fait au hasard sans savoir s’il correspondait à sa recherche. Ils commencèrent : Sweet Tooth.

« Tant que c’est divertissant ! »

La série débuta. Il lui fallait un peu de temps pour comprendre et se plonger dans l’univers. En même temps, elle dévorait son assiette. C’était vraiment étrange de manger un plat préparé maison après autant de temps… Mais ça faisait un bien fou.
Aly finit bien vite son repas et se laissa prendre dans la série jusqu’à la mort du père de l’hybride. Elle cacha son visage derrière un coussin, n’assumant pas pleurer devant la triste scène. Peut-être, avec l'émotion, se mêlait le soulagement d'être enfin posé. L'ensemble la faisait craquer.

« Je veux pas en voir plus ! »

2
« La prochaine fois, je viens avec toi ! Tu penses que les eaux ont des goûts différents ? »

Sa bonne humeur était revenue ; Aly se lançait d’un nouvel élan plus joyeux. Une chose lui paraissait certaine : Elle ne regrettait ni sa rencontre avec Vaz, ni leur fuite. Être à ses côtés était de loin la meilleure décision prise. Ils auraient pu mieux s’organiser pour atténuer l’angoisse et les risques. Désormais, leur nouvelle vie débutait. Tant qu’il demeurait à ses côtés, la blonde réussirait à avancer et franchir les obstacles de la vie.

Puis, après, se posait cette question en apparence stupide. Pour la russe, de l’eau c’est de l’eau. Du riz, du riz… Nul besoin d’avoir vingt-six variétés de ses aliments basiques, une seule suffisait ! Les grains connaissaient tout de même diverses utilités qui échappaient à Aly. Pour cette même raison, Vaz était coltiné aux fourneaux. La seule chose qu'on n'avait jamais réussi à lui faire apprendre, c’était bien la cuisine.

Cependant, elle pouvait être une commis utile.

« D’accord ! Préviens-moi quand c’est prêt. »

Avant d’enfin accomplir sa mission, Vaz l’embrassait, au coin de ses lèvres. Une tendresse qui suffisait à faire chavirer le cœur de la belle. Un sourire fleurissait sur ses lèvres ; un second y succédait. La blonde ne laissa pas reprendre sa tâche. Elle attrapa son poignet pour déposer ses bras sur ses épaules et lui voler à son tour un baiser. Fugace et doux, empreint d’une affection réservée au russe.

« Bonne idée ! Je vais faire le lit, au passage. »

Elle le lâcha pour se faufiler jusqu'à la chambre. Les valises se vidèrent vite tant, ils n’avaient peu d'affaires. Peut-être devraient-ils penser à agrandir leur garde-robe ?
Aly put s’occuper du lit. Par chance, ils avaient un vrai lit et non pas un futon posé au sol. Elle pouvait bien croire que certains étaient confortables mais pas assez pour elle !

Et surtout, l’ancienne espionne termina pour profiter d’une rapide douche avant le repas. Elle sortit vêtue de son pyjama de fortune : un simple t-shirt, accompagné d’un léger short. Une serviette blanche était déposée sur ses mèches humides.

« Tout fonctionne ? s’enquit-elle, à son retour dans le salon. »

3
Centre-ville de Seikusu / Re : Travailler n'est pas tromper - ft Aly Karelina
« le: samedi 18 février 2023, 22:07:37 »
« N’hésitez pas à m’appeler pour. » Aly cherche à instaurer une relation dépassant le cadre professionnel strict. Et être appelé pour le masser n'est pas le travail d’une assistante mais admet une grande complicité entre eux. Cette tâche est de lui déplaire mais elle y met un terme pour amener une autre idée sur la table. Or, à sa proposition plus obscène, Ethan met un refus pour des raisons auxquelles la jeune russe peut aisément remédier.

Prête à agir, elle est un peu surprise quand son patron fait le premier pas. Attrapée par le poignet, la blonde est amenée sur ses genoux ; ses lèvres sont assaillies. Sans montrer d’opposition, elles s’entrouvrent permettant à sa langue de rejoindre sa comparse. Dans son baiser, elle se montre aussi fougueuse que son supérieur et audacieuse. Ses mains se sont délicatement posées sur son torse et ses doigts jouent avec les boutons de sa chemise.

Elle se crispe et gémit contre ses lèvres quand, à pleines mains, il s’empare de ses fesses. Le stade des fugaces caresses est dépassé.

Cette position lui permet d’atteindre son but initial. Sa jupe s’est relevée ; ses chaudes cuisses enferment son entrejambe. Sa féminité est plaquée contre elle. Ce simple contact ne devrait pas le laisser indifférent mais la belle russe ne s’y arrête pas. Son bassin ondule contre le sien dans une caresse sensuelle. Elle n’utilise ses doigts pour aider sa virilité à s’éveiller ; elle les préserve pour ce fameux massage.

Leurs lèvres se séparent, le souffle court. Or, Aly vient s’en emparer à nouveau, ne lui laissant ni le temps de parler ni celui de protester. Elle capture sa main libre pour emmener  ses doigts dans son chemisier. Ses phalanges longent sa peau douce pour se loger au creux de soutien-gorge blanc contre son sein et sa pointe rosée.
Un soupir s’étouffe contre ses lèvres ; sa langue danse avec la sienne, jusqu’à ce que leur souffle se perde à nouveau…

4
Prélude / Re : Tayler, l'host préféré de ces dames
« le: vendredi 17 février 2023, 19:03:15 »
Bienvenue parmi nous !

5
Centre-ville de Seikusu / Re : Travailler n'est pas tromper - ft Aly Karelina
« le: jeudi 02 février 2023, 17:52:39 »
Les cuisses entrouvertes, Ethan saisit l’invitation dans une fugace caresse. Sa main ne crée que frustration tant elle aurait apprécié sentir ses doigts longer sa douce peau. Le massage offre d’autres perspectives ; la tension présente risque de grimper d’un cran supplémentaire. D’un pas gracieux, la blonde se positionne derrière son patron. Ses mains se déposent sur ses épaules tendues.

 « Je m’occupe de vous… » Le massage, aussi anodin qu’il peut paraître, crée  un contact sensuel entre Ethan et son assistante. Il amène une nouvelle proximité et intimité dans un rapport éléctrique où derrière chaque mot se cache bien plus qu’une innocente proposition. Ses doigts descendent et montent le long de son dos pour s’échapper ensuite sur son torse.

Elle se penche au-dessus de lui, sa poitrine s’écrase contre ses omoplates. Sa bouche se dépose au creux de son oreille :  « Vous êtes très tendu, Monsieur Grimm. » Dans une volonté séductrice, la russe use avec brio de ses atouts pour séduire son patron. Son regard ne le quitte une seconde alors ses caresses se font plus sensuelles. « J’ai une solution pour vous détendre. Un autre massage, plus indécent. »

La limite est franchie par cette proposition dès plus audacieuse.
Alyona l’a toujours senti réceptif à ses avances ; s’il lui impose un refus, elle doute fort qu’il se sente outré par cette offre obscène. Dans l’attente d’une réponse, la belle assistante se redresse et ses doigts retrouvent ses musclés noués. Elle fait preuve d’une grande habileté pour détendre son supérieur. 

L’ancienne espionne n’est pressée d’obtenir une réaction. Son travail accompli, elle a le temps de choyer Ethan jusqu’à le faire céder ou observer sa journée se terminer. Entretenir cette tension sexuelle est tout aussi délectable que d'oser imaginer la consumer. Peut-être même pourraient-ils mettre un peu de piments dans leur longue journée ?

6
Dans la fuite, l’adrénaline prenait le pas sur toute forme de raison. La conséquence de ses actes était voilée derrière sa volonté impérieuse de survivre. Jusqu’au Japon, l’épuisement s’accumulait ; son cœur s’alourdissait. Les cernes s'imposaient sous son regard ravissant.

Le cœur battant, elle passait la porte de leur nouvelle habitation. La décoration, les meubles, elle avait l’impression d’être jetée dans un monde inconnu. Loin de tout ce qu’elle connaissait et avait connu. A l’exception de Vaz, il était son phare dans la nuit obscure.

Quand l’obligation de remplir le frigo s’imposa, Aly l’encouragea à sortir, restant à la maison sous prétexte que les valises devaient être défaites. Pour le peu qui s’y trouvait, la tâche devrait être remplie bien vite.
Or, la fatigue s’abattait sur ses muscles ; sans allumer la lumière, la russe se laissa tomber sur le canapé. Son regard posé sur l’écran noir, une sieste lui permettrait de retrouver ses forces et son aplomb.

Elle réalisait à peine : ses amis quittés, ses grands-parents abandonnés. Depuis l’initiation de sa formation, sa vie avait basculé. La rencontre de Vaz avait changé son destin, la plongeant dans une tempête qui trouvait aujourd’hui son repos. Tant de décisions, tant de changements. Pour la première bien longtemps, Aly faisait face à ses décisions et à ses regrets. Elle se demandait ce que leur futur leur réserverait, comment l’affronter.

A deux, tout serait plus simple.
Elle ne devait oublier qu’ensemble, ils étaient capables de surmonter l’impossible.

Plongée dans ce raz-de-marée de pensées, Aly ne porta attention à son retour. Dans le couloir était toujours posé à la même place les valises, elle était parfaitement immobile. Pieds sur le canapé, genoux ramenés contre sa poitrine.
Elle ne comprit son retour que lorsqu’il l’étreignit. Ses jambes se détendaient le long du canapé et sa tête se posa contre son torse. Un sourire fleurit sur ses lèvres.

« Je n’en doute pas. » Ses paupières se fermaient ; elle profita du calme et de sa raison devenue silencieuse. « Qu’as-tu pris pour ce soir ? » Aly avait perdu la notion du temps pendant le déferlement de ses interrogations. Elle ne se rendit compte de la lenteur de Vaz à faire deux courses et ne s’intéressait donc qu’au contenu ramené.

Quelques secondes supplémentaires s’écoulèrent. Rassurée et plus paisible, Aly se releva, brisant la douce étreinte. « Il faut que je vide les valises. » Tâche qu’elle n’avait toujours pas accompli mais qui ne lui prendrait pas plus de quelques brèves minutes.  « Tu as besoin d’aide pour préparer le repas ? »

7
Centre-ville de Seikusu / Re : Travailler n'est pas tromper - ft Aly Karelina
« le: mercredi 01 février 2023, 16:20:09 »
Dans un coin de son esprit, Alyona note les précieux conseils donnés sur les clients. Cette fois-ci, elle a eu de la chance avec les Shepard, plutôt assurés dans leur achat. Or, rien ne lui promet que cela se passera bien les prochaines fois. Peut-être feront-ils tourner la russe en bourrique grâce à leur légendaire indécision.

De même, pour Monsieur Andrews, leurs premiers contacts se limitent par mail et téléphone, ce qui ne lui a pas permis de déceler ses failles et défauts. Mais avec ces informations supplémentaires, l’assistante évitera tout incident.

Le refus ne la perturbe outre mesure ; pour s’assurer la sympathie de son patron, il faut savoir respecter les limites établies. Aucun regard indiscret ne s’échappe sur les documents d’Ethan. Ceux signés ont été déposés dans un coin où ils ne gêneront pas. Elle les récupérerait lors de son départ du bureau.

Un sursaut la traverse au contact fugace offert. Mais sa main n’en cherche plus, vite comblée par la tasse de café. Une pointe de déception peut se lire dans les pupilles céruléennes de l’ancienne espionne. Ses jambes se sont légèrement écartées, au cas où il cherche à réitérer une caresse plus audacieuse.

« Je tâcherais donc de rendre vos obligations plus intéressantes. »

Les affaires privées d’Ethan ne l’intéressent guère. Légal ou non, Alyona n’a jamais cherché à porter une curiosité déplacée sur le business de son patron. Ses tâches lui suffisent ; le chèque à la fin du mois la ravit. Pourquoi devrait-elle mettre en danger un travail qui la paye si bien ?
De plus, obtenir la sympathie de l’homme lui permet de s’assurer de sa protection, si jamais, il connait sa véritable identité. Tant que sa sécurité n'est pas remise en cause, rien ne la pousse à commettre un impair.

« Que diriez-vous d’un massage ? »

De  nombreuses manières de le divertir lui sont venues à l’esprit. Certaines l’obligeraient à prendre une pause alors que d’autres ne le gênaient pas dans sa besogne, en prenant son pied… Or, Aly ne peut se permettre de mettre des propositions aussi obscènes sur la table, tout de suite ; elle se rabat sur la moins tendancieuse.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Travailler n'est pas tromper - ft Aly Karelina
« le: dimanche 29 janvier 2023, 16:55:19 »
Après un départ précipité de la Russie, leurs économies ont fondu comme neige au soleil. L’une des priorités que se fait Aly, une fois installée, est de trouver un travail afin d’éviter d’être un poids pour Vaz. Mais obtenir un emploi au Japon, quand on est parfait étranger fraîchement arrivé, n'est clairement pas une tâche aisée. Ses recherches tournent très vite en rond. Jusqu’à cette opportunité

Elle se déroule assez vite : un premier entretien téléphonique, un second présentiel. L’ancienne espionne possède de nombreuses qualités : que ce soit sa patience, son contact facile ou sa maîtrise presque parfaite de plusieurs langues étrangères. Elle ne se laisse guère intimider par les clients les plus récalcitrants. Son ancien emploi lui donne un certain avantage dans les missions.

Mais des doutes demeurent : Un homme tel qu’Ethan Grimm doit posséder de nombreux contacts, peut-être a-t-il conscience de son passé sulfureux ? De plus, son travail pourrait l’amener à rencontrer des personnalités indésirables, c’est un risque qui pose le doute et un délai de réflexion. Mais assurée, Alyona finit par les balayer d’un revers de la main. Rien n’est insurmontable pour un si bon salaire.

*
* *

Trois semaines se sont écoulées et Alyona a eu du travail. Perfectionniste dans ses tâches, elle a d’abord mémorisé l’inventaire puis les principaux clients dont elle aurait la charge. Elle s’est si bien appliquée que peu d’occasions lui ont été accordées de croiser son supérieur et de véritablement discuter avec lui, au-delà de comptes rendus réguliers sur son travail.

Ce jour-là, elle a rencontré un couple fortuné pour la première fois. Accueilli en grande pompe avec leurs mets préférés, dans une pièce où toucherait leur corde sensible, l’entretien s’est éternisé jusqu’au début d’après-midi.  Ravis, les millionnaires n’ont quitté le manoir les mains vides. Son dernier rendez-vous de la journée. Une fois, le salon remis en ordre, Alyona en profite pour partir à la rencontre de son supérieur.

Chargé de quelques documents à lui faire signer, avoir du temps lui permettrait de faire plus ample connaissance avec son séduisant patron. Elle se présente à son bureau, toque et entre quand l’autorisation lui est donnée. L'assistante en a profité aussi pour lui apporter un café demandé.

Elle se faufile derrière sa chaise d’un pas gracieux et dépose la tasse sur le bureau, loin des documents sensibles. Penchée derrière lui, sa poitrine se presse contre le dos de son patron, l’ancienne espionne dépose les  papiers à signer. « Très bien, Monsieur Grimm.  Tout à fait, j’ai eu l’occasion de rencontrer les Shepard, tout à l’heure ainsi que Monsieur Andrews. » Les premiers étant le couple de millionnaire et le second un parrain de la pègre new-yorkaise.

Loin d’être amical, Alyona avait réussi à le caresser dans le sens du poil et établir de bons rapports avec le client. « J’ai besoin de votre  signature ici et là. souffle-t-elle au creux de son oreille. » Séduire est moyen d’assurer ses arrières,  un mécanisme de défense. Son patron est de surcroît séduisant ; une tension est naturellement née entre eux. Elle ne se gêne pas à l’entretenir par une proximité surprenante.

« Puis-je vous aider avec votre paperasse ? » La jolie blonde propose son aide avant de s’éloigner de l’homme pour s’installer face à lui, appuyée contre le bureau. Il a une vue sur ses courbes sinueuses, parfaitement mise en valeur dans une jupe crayon noire et un chemisier immaculé.



9
Prélude / Re : Alyona Karelina. [Keiralidée]
« le: vendredi 06 janvier 2023, 04:40:04 »
Merci !

Bonne année à vous aussi !

10
Le coin du chalant / En cavale.
« le: vendredi 06 janvier 2023, 04:39:37 »
Bonjour, bonsoir !

Alyona est une ex-agente recherchée par le FSB pour trahison et désertion. Elle a trouvé refuge au Japon sous le nom de Jane Doe où elle essaye désormais de vivre une vie "normale" avec son complice.
Mais son passée n'est jamais bien loin.

Chantage • Vous avez réussi à découvrir la véritable identité d'Alyona et décidez de la faire chanter. Elle ne désire inquiéter son complice et obéit afin de les protéger dans leur fuite.

Vieille connaissance • Vous faites parti de son passé. Une connaissance, un ami ou un proche qu'elle ne pensait jamais revoir. Vous êtes simplement en vacance au Japon et n'êtes pas au courant qu'elle est recherchée mais vous vous inquiétez tout de même pour elle : elle a disparu si vite de vos vies.

Travail • Pour se fondre dans la masse et subvenir à vos besoins, il faut trouver un travail. Mais quelle tâche pénible que de faire le tour des commerces, éplucher les sites d'annonces pour se confronter à une xénophobie ouverte. Puis, vous décidez de lui sa chance !

Les trames sont aussi bien modifiables qu'adaptables, vous pouvez venir avec votre propre idée ! L'érotisme est possible, quelque soit l'idée.

Au plaisir de vous lire.

11
Prélude / Re : Alyona Karelina.
« le: jeudi 29 décembre 2022, 22:06:08 »
Vaz, heureusement que Google trad existe. ::)

Ryo, attention à ne pas te faire avoir...

Merci à tous !




12
Prélude / Alyona Karelina. [Keiralidée]
« le: mercredi 28 décembre 2022, 05:21:29 »
Dossier#45984
Alyona Vasilievna Karelina
recherchée pour Trahison et Désertion.


► Alyona Vasilievna Karelina, née à Moscou le 27 décembre 1996. Actuellement, âgée de 26 ans. Documents officiels détruits.
► Agente spéciale secrète du FSB, recherchée pour trahison et désertion.
► Se fait actuellement appelée : Jane Doe.
► Femme, humaine, russe.
► Recrutée par Vazki Batitch Chonaev, formée [le nom a été rayé], sous les ordres de [le nom a été rayé].

Apparence Générale : Femme ; 1m72 ; 61kg.
D’apparence inoffensive, l’agent a été entraîné à user ses charmes : la plus grande prudence est de mise lorsque la cible est approchée. Elle possède un corps élancé et athlétique, une taille marquée et une peau soignée. Aucune cicatrice n’a été constatée.
Visage et cheveux : Visage triangulaire, blonde, aux yeux bleus, nez discret, lèvres fines.
La cible possède des cheveux blonds, raides et mi-longs. Ses yeux sont bleus, tirant vers le gris. Leur couleur claire l’oblige à souvent porter des lunettes de soleil.
De plus, son art du déguisement et du camouflage ont été perfectionnés. Lors de précédentes missions, elle a usé de teinture brune et rousse ainsi que de lentilles marrons. Parfois, des prothèses ont été utilisées pour modifier la forme de son visage. Mais ces procédés sont trop lourds et coûteux pour être utiles dans sa cavale.
Photos jointes aux dossiers.
Signes distinctifs : Tâche de naissance au niveau du bassin, à droite.
En raison des talents de la cible, cette tâche est le meilleur moyen de s’assurer de son identité ; irrégulière et discrète, elle s’étale et prend la forme d’un croissant de lune irrégulier.
Garde-robe : Basique.
Il a été relevé qu’en dehors des missions, Alyona optait pour des vêtements simplistes et confortables, dans des teintes claires : une mode bon marché, agrémentée de chapeaux et lunettes afin de masquer son visage. En mission, la cible se conformait à dress-code imposé : chic, sexy et adapté à sa morphologie. Il peut probable qu’elle l’utilise, de peur d’attirer l’attention.

►  Alyona Vasilievna Karelina est née de l’union de [le nom a été rayé] et [le nom a été rayé]. Son géniteur était un médecin reconnu, ayant fait ses études à Moscou. Un mariage arrangé a été conclu entre les deux parties, donnant naissance à l’agent Alyona. Cependant, la rencontre avec un étranger a précipité le départ de sa génitrice vers les Etats-Unis. Son grand-père maternel, Boris Sergueïevitch Chetov a pris à sa charge l’éducation de son unique descendante, après le rejet de son géniteur.
► Boris Sergueïevitch Chetov est un ancien militiaire qui s’est illustré, à plusieurs reprises, pour la gloire de son pays. Patriote confirmé, il est de confession protestante et attache une importance particulière aux traditions.
► Lors des premières approches, une grande complicité a été remarquée entre Alyona et son grand-père, qui constituait un modèle et un objectif à atteindre. Depuis son enfance, elle aurait été fascinée par cet homme et élevée dans le plus strict respect des valeurs russes.
► Sa grand-mère, Vera Viktorovna Chetov, n’a joué le rôle d’une nourrice, effacée derrière son mari.
► Son éducation a été prodiguée dans une prestigieuse école de Moscou. Alyona était un bon élève, parmi la tête du classement. Une seule faiblesse a été relevée : l’Anglais. La jeune prodige a rejeté son apprentissage, montrant de véritables difficultés à l’apprendre. Un refus a été soulevé lors de sa formation et bien qu’elle ait acquis un niveau convenable, elle se limite à des usages très limités de la langue. Elle parle couramment anglais.
► Depuis sa tendre enfance, le sujet de sa génitrice est tabou. Certains de ses camarades se sont attirés les foudres en l’évoquant. De plus, lors des entretiens, l’évocation de cette femme la faisait aisément sortir de son calme habituel. Une colère froide, maîtrisée et un mépris à peine dissimulé. Un sentiment similaire a été constaté à l’égard de l’Amérique. Sa xénophobie a été en partie corrigée lors de sa formation.
D’autres données ont été ajoutées, comme les personnes fréquentées dans son enfance, ses premières amitiés et premiers émois sous forme d’une longue liste de noms, certains rayés.
► Fin de l’enseignement. Alyona désirait rejoindre l’armée comme son grand-père mais cela lui fut refusé par ce dernier, en raison de son sexe. Il l’orienta vers des études littéraires, afin de parfaire sa culture et obtenir un mariage satisfaisant. Un premier point de rupture se marqua, sans détériorer pour autant son admiration.
► La cible se voyait à cette époque comme une femme indépendante et forte, avec pour unique ambition de servir son pays. Elle s’était toutefois détournée de la tradition religieuse. Lors de sa formation, il ne subsistait que des reliquats de sa croyance et une culture pieuse. Alyona avait vécu une jeunesse torturée entre les traditions familiales et un désir d’indépendance.
► Malgré son apparence d’enfant modèle, elle explora l’effervescence des rues de Moscou, où elle rencontra notre agent, notre seconde cible. Nous pûmes observer une faculté aisée à mentir, un certain aise dans sa capacité à détourner la vérité bien que sa loyauté envers son grand-père songeait apporter quelques remords.
► La convaincre et la former ne furent des tâches complexes. Elle montrait de nombreuses prédispositions à sa future vie d’espionne et éprouver un véritable besoin de se rendre utile.
Les numéros des pages ne concordent plus. Ses premières missions, sa relation étayée avec Vazki Batitch Chonaev ont disparu. Une seule note a été ajouté :
► Son départ soudain semble avoir été motivé par sa relation avec l’agent Vazki. Une proximité avait été relevée lors du recrutement. Or, nous étions loin de nous douter qu’un semblant de relation avait perduré entre les agents. Alyona n’avait de doute qu'à la fin de sa formation et ses premières missions ont été achevées avec succès. Son endoctrinement a été mis à mal par Vazki. Nous possédons qu’une certitude à l’heure actuelle : Leur désertion, calculée ensemble.
Plus bas, une dernière phrase manuscrite a été ajoutée.
Les grands-parents d’Alyona ont été interrogés mais tout contact avec eux avait été déjà coupé à l’initiation de sa formation.
Cependant, au vu de nos dernières informations, ils auraient été aperçu au Japon.

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