Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Venceslas Gordian

Pages: [1] 2 3
1
-   Oula oula les mecs doucement ! La jeune femelle va tourner de l’œil haha !

Les Mâles ricanent en chœur alors que la jeune lapine avait du mal à tenir le rythme. Je pose une main sur le taureau qui recule bien gentiment tandis que les deux autres continuaient mais à un rythme plus lent. Blacky continue de glisser en elle, mais plus langoureusement, à un rythme lent, tout en continuant de s’agripper à ses seins. Le chien lui, donne de petits coups pas trop rudes dans le cul serrée de la jeune fille.
Allongée sur le dos, le taureau vient donner quelques petites claques gentilles histoire de la ramener à elle. Tout en lui préparant un verre de jus de carotte frais, avec une paille. La jeune demoiselle avait la tête reposée sur le bas ventre du taureau, sa grosse bite dure lui frottant le côté du visage jusqu’au cou. Il se montrait bien plus doux, lui caressant l’autre joue gentiment.

-   Tiens femelle, bois ça tu verras. Tu va vite te requinquer. C’est qu’il y a du monde ici qui à envie de toi.

Blacky, avec le même air sur la face, rétorque :

-   Et puis ce serait bête que tu ne sache pas qui sera l’père de tes gosses haha !

Le taureau caresse gentiment la moitié de visage de la lapine avec sa bite et lui dit doucement :

-   Il veut dire qu’il t’adore. Tu es une baiseuse hors pair. Et puis tu sais …

Il chuchote comme pour dire un secret, tandis que les deux autres continuaient de la baiser à rythme très lent.

-   Les baiseuses comme toi ici ne payent rien. C’est gratos pour toi bébé.

La tête relevée, elle a sous les yeux tous les males qui forment un cercle autour d’elle. Ils ont tous la bite à la main. Moi je suis en face, derrière Blacky et j’adresse à la lapine un grand sourire d’encouragement. Puis un élan immense, une vieille connaissance, vint se coller à moi et m’embrasse. Il vient me glisse une main sur la bite et ça m’électrise à nouveau et je lui roule une pelle tout en commençant à branler sa grosse bite qui durcie.

2
Ville-Etat de Nexus / Re : Une soirée et une nuit {-Venceslas-}
« le: jeudi 18 mai 2023, 15:02:02 »
Je ne la quitte pas des yeux alors qu’elle s’éloigne. Je ne me gêne pas pour la reluquer. Elle est vraiment sexy et ça me donne envie. Je ne pouvais pas rêver mieux qu’une taverne déserte, je sens que je vais bien m’amuser ce soir moi.

-   Vous allez y arriver toute seule ? Si vous avez besoin de compagnie, je suis le mâle qu’il vous faut.

Cela fait longtemps que je n’avais rien fait en cuisine. Voilà qui serait intéressant je pense avec cette jeune elfe.

-   Initialement je n’avais pas très faim, mais vous voir a attisé mon désir. J’ai toute confiance en vous pour me contenter.

Je sais déjà comment ça va se passer, ou du moins je le devine. Cette femme pourrait bien m’accompagner à ma petite soirée je pense. Ce serait bien en tout cas, elle ferait sensation. Ou alors je pourrais me la garder pour moi, ici. J’aimerais bien entendre son gémissement. Je regarde autour de moi, la salle est toujours aussi vide. Je me lève donc, histoire de me dégourdir les jambes et je marche un peu dans la pièce. Je regarde la décoration.

-   C’est sympa ici. Vous vivez dans le coin ?

Je parlais suffisamment fort pour qu’elle puisse m’entendre depuis les cuisines.

-   Vous êtes propriétaire ? A moins que ça ne soit votre époux qui le soit ?

Question au combien peu subtile, mais c’est le but après tout. Je me rapproche des cuisines, sans y entrer. Je reste dans l’encadrure de la porte, un air espiègle sur le visage.

-   Et est-ce qu’il y a de quoi … s’amuser dans le coin ? Une jeune dame aussi belle que vous doit avoir beaucoup de succès j’imagine. Vous ne devez pas manquer de soupirants.

Je tenais mes mains à la ceinture, mon torse nu laissait voir mes muscles sous mon pelage de tigre.

-   Ne vous inquiétez pas, quoique vous me servirez, je serai prêt à tout consommer. Lécher jusqu’au moindre centimètres de ce qui vient de vous.

3
Les alentours de la ville / Re : Une rencontre impromptue (PV Yzmir)
« le: lundi 24 avril 2023, 11:39:36 »
Je le contemple sans rien dire pendant un moment, l’écoutant parler et l’observant lui. Il est décidément très beau. Il avait une jolie robe et ses beaux cheveux coiffé le rendait bien plus mignonne. Quand il dévoila ses oreilles, je lui souris gentiment en les regardant, ne montrant pas une once de surprise.
Je le vois se concentrer pour déployer sa magie. Il est doué bien que peut efficace en l’état. Je lui jette un regard approbateur.

-   C’est bien, très bien. Mais on peut améliorer ça.

Je m’approche de l’elfe et je viens me placer derrière lui, collé à son dos.

-   Tu permets ?

Puis je viens glisser mes bras autour de lui, pour le ceinturer par derrière comme si je lui faisais un câlin. Mes mains viennent se poser sur son bas ventre un moment, je me concentre pour y sentir la magie. Elle était forte mais un peu bousculée par des émotions et des sentiments qui faisaient blocages, tels que la peur ou le regret. Je déverse alors un peu de ma chaleur pour le détendre. Puis je lui prends ses mains délicates.

-   Regarde, avec des mains, places les ici et concentre-toi. Pense à quelque chose de plus agréable, ou à un désir charnel ça peut fonctionner. Quelque chose qui réchauffe ton cœur.

Je glisse mes doigts entre les siens et je viens placer ses mains aux endroits voulus. Puis j’agis avec ma magie et la sienne, tout doucement pour qu’il puisse le sentir. L’énergie fuse alors plus forte et la plante se redresse complètement, ses couleurs deviennent plus vives et semble être emplie d’une nouvelle vitalité.

Puis je lâche ses mains pour revenir poser les miennes sur son ventre.

-   Et voilà, tu en pense quoi ? Si tu veux je peux t’enseigner.

Puis, je lui fais un clin d’œil, en rajoutant.

-   Tu viens de Terra ? Je ne suis pas humain non plus, c’est pour ça que je sais quel est ton sexe de naissance. Mais si tu préfère que je parle de toi au féminin je le peux. Je te montre qui je suis mais surtout n’ai pas peur.

Sans lâcher la jolie elfe, je reprends ma forme divine, celle d’un homme-tigre semblable en tout point à un terranide, mais bien plus grand et puissant d’aspect. Mes vêtements grandissent avec moi et s’adaptent.

-   Voilà, tu en pense quoi ? Attends si tu permets je vais me mettre un peu plus à l’aise, les chaussures et les chemises humaines ce n’est pas confortable sous cette forme.

Je me recule légèrement, lâchant la demoiselle.  Je retire ma chemise et mes chaussures, pour me retrouver torse nu et pieds nus.

-   Ah on est mieux comme ça.

Je jette un regard complice à mon interlocutrice, puis je rajoute :

-   Tu pense me prendre comme ton professeur ? On a plein de chose à partager tous les deux. Tu as besoin de mon expertise, pour la magie mais pas que. Tous les deux on pourrait aller en forêt, je pourrais t’emmener dans des lieux chargés de magie. Tout ce que je demande en échange, c’est un peu de ta compagnie.

Les derniers mots, je les prononces avec tendresse, caressant délicatement la mâchoire fine et délicate de la belle en face de moi.

4
Blacky prenait un plaisir certains à téter les seins de Zola, il lui léchait les tétons et les titillaient avec malice. Puis il se mit à lécher le ventre et le bas-ventre pour venir se concentrer sur le clitoris de la lapine avec une certaine dextérité. Le chien lui continuait de lécher le fion du lapin noir, qui bandait comme un âne en réaction.
Moi de mon côté, j’embrassais fermement la lapine, une soupe de langue féroce entre deux respirations, pendant que je me mis à alterner rythme lent et rythme rapide. Ma bite et mes grosses couilles pleines claquaient avec un boucan sonore contre le cul trempé de cyprine de Zola.  Mes respirations étaient des grognements et mes yeux de félins avaient leurs pupilles considérablement dilatés, comme quand un chat s’amuse avec quelque chose …. Ou est sur le point de tuer sa proie après un long temps de jeu.

Je fais glisser mes mains sur les cuisses, qui porte Zola en partie grâce à ma queue, et je caresse doucement son entre cuisse largement écartée. Je viens mordre, sans aller jusqu’au sang, les épaules de la femelle pendant que je tente de garder le foutre dans mes couilles. Mes gémissements rudes et rauque se font de plus en plus fort. Puis finalement, j’en viens à te saisir la nuque très fermement, puissamment, comme si j’allais te tuer.
Mais à la place, c’est ma bite qui donne le coup de grâce, en libérant des quantités plus que remarquable de foutre qui t’innonde. Blacky, qui te lèche la chatte, s’en prend sur le museau, mais ne cesse pas de lécher, au contraire. Tous les mâles dans l’assistance applaudissent et rugissent, c’est leur moment !

-   Aaah regarde là ! Elle aime se faire féconder hein ? On va te faire du bien aussi, grosse pute.

C’était le chien qui avait parlé, il s’était relevé du cul de Blacky, qui léchait tour à tour ma bite et la chatte de Zola. Puis il se relève et viens rouler une pelle à la lapine. Il la regarde avec son air de gros dégueulasse : 

-   Maintenant ma puce c’est mon tour … prépare toi à devenir maman.

Moi je lâche la lapine qui retombe sur ses pattes un instant.

-   Messieurs ! Elle est à vous !

-   OUAAAAAIIIIS !

Elle n’a pas trop le temps de chercher son équilibre que le chien se saisit d’elle et de Blacky pour les poser tous les deux sur le comptoir. Le chien était sous la femelle, sur le compoir (et elle sur lui) et planta sa bite direct dans l'anus de Zola. Blacky lui, glissa sa langue tout contre la chatte de la femelle, avant devenir rentrer son longue bite à l'intérieur, saisissant au passage les gros nichons. De l’autre côté du comptoir, le tenancier lui s’approche de la tête de Zola :

-   Alors petite salope, tu veux de la bite ? J’ai un cocktail pour toi …

Il lui montre sa grosse bite et ses couilles énormes de taureau.

-   Ouvre grand la bouche !

Puis il enfonce son gros chibre dans la gueule de la lapine.

Le Barman 18+
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5
Prélude / Re : Em, the trap with a mouth
« le: lundi 24 avril 2023, 01:51:26 »
Waouh j'adore !
Bienvenue !! :-*

6
Ville-Etat de Nexus / Re : Une soirée et une nuit {-Venceslas-}
« le: vendredi 21 avril 2023, 14:40:14 »
Il était tard et la soirée n’allait pas tarder à commencer mais … et bien … je n’avais personne pour m’accompagner. C’était fâcheux. J’ai passé toute la mâtiné avec un splendide étalon et je n’ai même pas pensé à lui demander de m’accompagner. J’ai un peu honte de devoir m’y rendre seul alors que je suis à l’origine du truc tout de même. Si j’ai dit qu’il fallait venir accompagner, je me dois de montrer l’exemple.
Je pense à tout cela alors que je marche en direction de la ville. Quand je vois sur le côté, une auberge. De taille respectable, elle semblait bien entretenue. Quelques clients entraient, sans doute venus pour manger. Et justement je n’ai rien avalé moi. Ni une ni deux, je me dirige vers le bâtiment. Je traverse l’allée et j’ouvre la porte. Je suis obligé de me baisser un peu pour pouvoir entrer.
Visiblement le lieu venait de commencer sa soirée. Il n’y avait pas grand monde d’assis, peut être y avait-il plus de monde à l’étage ? Je ne sais pas, je me tourne vers la splendide jeune femme qui m’accueille. Une elfe ?  Visiblement elle n’avait pas froid, elle n’était revêtue que de petits vêtements. Je ne cache pas mon intérêt charnel pour mon interlocutrice.
Moi pour ma part, j’étais venu sous ma forme véritable de Tigre, très semblable à un Terranide. J’étais torse nu, je portais un pantalon brodé mais pas de bottes. La magie me permettait de marcher pied nu sans craindre de la saleté. Faisant jouer mes muscles, je me permets de saisir la main de la jeune dame et de lui faire un baise-main.

-   Bien le bonsoir, ma Dame.

Puis en me relevant, je lui adresse un sourire tout en lui demandant :

-   Si cela est possible, c’est de votre compagnie dont j’aurais besoin.

Ensuite, je lui relâche la main et je reprends une position plus convenable.

-   Autrement, je vais me contenter de … commander à manger et à boire. Mais pas très loin de vous, que je puisse vous observer. Je suis seul, aussi n’hésitez pas à rester me tenir compagnie. Je prendrais le plat du jour et peut être un peu de vous, pour le dessert.

J’ai bien conscience d’être un peu lourd, mais j’ai confiance en mon charme naturel. Et puis j’ai faim à tous les niveaux, comme toujours. Gracieux, je pose malgré tout la main sur les reins de la jeune femme puis autour de sa taille et je vais pour la suivre.

-   Cela ne vous dérange pas, j’espère, si ?  Ne vous inquiétez pas, je n’en ai pas l’air, aussi légèrement habillé que je suis, mais j’ai de quoi payer.

7
Je continue d’y aller aussi fort que je le peux. Je contracte mes muscles tout en la tenant très fermement, portant à bout de bras cette jeune femelle. Je la secoue et tous les mâles peuvent admirer ces merveilleux nibards qui gigotent dans tous les sens. La demoiselle couine à n’en plus finir, totalement soumise et sous notre emprise à tous. Le chien qui léchait la fente activement défoncée par ma bite était aux anges. Il se mit à poil lui-même, se dessapant totalement pour dévoiler un corps musculeux. C’était un mâle d’âge mur, habitué à engrosser sans doute toutes les chiennes en chaleur des environs. Il remonte sa tête au niveau des nibards de Zola et commence à lécher les tétons.
D’un autre côté c’est un lapin, tout athlétique et complètement à poil, qui commence à s’approcher. Son pelage est complètement noir, athlétique, il doit être du même âge que Zola. Il vient s’approcher des pieds de la lapine et commence à lécher.

Illustration Lapin 18+
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-   Haaa ! Putain quel chatte …

Je continue sur ce rythme pendant un bon moment. La petite lapine se faisant ramoner la chatte, titiller les tétons et les pieds par trois mâles en rut. Le chien, de sa voix rauque, fini par relever la tête et roule une pelle bien baveuse à la lapine, engouffrant sa grosse langue canine dans sa bouche. 

-   Blacky, viens lui lécher les nibards, ça te rappellera ta mère, héhéhé !

Sous les ricanements de l’assistance, le lapin noir qui léchait les pieds de Zola se relève pour s’approcher, le chien lui laissant la place tout en lui claquant sévèrement le cul au passage. Le petit lapin s'était fait ramoné le fion tous du long de la soirée et boitait un peu. Mais il ne semblait pas fatigué le moins du monde. Il jette un regard considérablement pervers à la lapine, comme la promesse d'un long moment.

-   Avec plaisir …

Puis le lapinou en rut commence lui aussi à têter et lécher les seins, pendant que le chien branle Blacky et lui lèche l’anus. Moi, grognant de plaisir contenu, je grogne à l’oreille de Zola :

-   Mhmm tu est tellement appétissante …

Tout en la besognant, je lui glisse des bisous dans la nuque et je viens lui mordre, doucement les oreilles. Mes mains sont fermes sur ses cuisses, je m'y agrippe aussi fort que je le peux pour pouvoir la tenir sur ma bite, qui supporte la majeure partie du poids. Mes couilles pendent bien et je sent par moment que Blacky s'amuse à me les lécher. Sale petit pervers ! J'adore ça !
Ma sève grimpe vite mais je tiens le coup. Je continue de défoncer le cul de la lapin, concentré et grimaçant quelque peu. Je ne ralentit pas le moins du monde et j'essaye même d'accélérer. Je veux qu'elle jouisse encore et encore !

-   Ces mâles attendent que je finisse en toi. Tu veux que j… haaa … que je crache mon foutre ? Tu veux goûter leurs bites ?


Illustration Chien 18+
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Je repositionne mes mains au niveau des hanches et j’agrippe le cul de la lapine très fermement. Je me place mieux et j’écarte un peu plus les jambes de Zola pour avoir plus de place. Ma voix se fait plus rude, plus sèche, prédatrice. C’est ma proie et je vais la remplir jusqu’au cou.

-   Fini les gentillesses, j’y vais franchement à partir de maintenant !

Sur ses mots, j’enclenche un mouvement violent et rapide. Mon chibre glisse et coulisse à l’intérieur de cette femelle en chaleur comme dans du beurre. Je force autant que je peux pour maintenir dans cette chatte serrée un rythme rapide. Je la défonce totalement. Je n’écoute rien de ce qui se passe autour, je m’en fou. Je ne pense qu’à cette petite pute qui veut ma bite.
Obéissant à mes pulsions, je saisis ses poignets que je plaque violement contre la table pendant que je la ramone. Je saisis sa nuque entre ses mâchoires et je la plaque contre la table pour qu’elle ne puisse plus bouger pendant que je la baise. Je ne baisse pas le rythme et il ne fait que s’accélérer et devenir de plus en plus rapide et puissant. Au final la table commence à grincer et menace de céder mais je m’en fous.

Moi je continue de me faire plaisir et je déverse tout mon désir. Je peux sentir le plaisir de la femelle qui ne cesse de monter.

Finalement, la table ne résiste pas et craque mais Zola ne tombe pas. Je la tiens par la nuque et les poignets. Sans cesser de la baiser, je commence à la porter par les jambes et on commence à baiser debout, alors qu’elle-même ne touche pas le sol. Sa poitrine offerte à la vue de tous. Beaucoup de mâles commencent à tourner le regard vers nous et commencent à faire des gestes ou des remarques obscènes à son égard.

-   Ouaah tu as vu la lapine ? Sacrée vide couilles !  On se la fait juste après !

Moi j’ai la tête tout contre la tienne, alors que je te porte debout par les jambes, grands écartés et que je continue de te pénétrer. Je te chuchote à l’oreille d’une voix rauque et puissante. Une voix qui t’aurait fait prendre tes jambes à ton cou tout à l’heure tant elle transpire la prédation.

-   Regarde tous ces mâles. Ils te plaisent ? Ils vont TOUS se vider en toi.

Un Terranide chien s’approche de nous, la bite dure, et s’empare de ton pied pour lécher. Il continue ensuite avec ta cheville et remonte la jambe jusqu’à ta chatte que je pilote, et vient te lécher moi et ma bite.

9
Je regarde ce cul offert d’un air triomphant, j’ai ce que je voulais ! Je prend le temps pendant un moment de recommencer à lécher cette chatte en glissant mon museau félin contre la fente. Elle mouillait comme pas possible, elle était prête pour se faire prendre. Je me redresse alors et je pose mes deux mains sur son dos, pendant que je fais glisser ma bite le long de sa fente. Je fais un mouvement de reins pour qu’elle glisse sur la fente encore et encore.
Mes mains viennent masser tes reins pendant que je m’amuse à ça, je te masse les épaules et la nuque. Je viens lécher ta colonne vertébrale jusqu’à la nuque puis je claque violement ta fesse.

-   J’aime les femelles dans ton genre. Très chaude et la chatte mouillée au moindre contact. Et aujourd’hui tu est MA femelle.

Puis je rentre d’un seul coup. Toute ma bite glisse et rentre à l’intérieur de l’humidité palpitante de la lapine. Je reclaque une nouvelle fois son cul bien rond, que je saisi après coup. Les reins bien verrouillés, je commence un lent va et vient. Je glisse à l’intérieur et je prend mon temps. Lentement, doucement. Je m’y enfonce jusqu’au fond, je rempli tous l’espace … elle est vraiment très serrée ! C’est le pied.

-   Alors ma puce ? Tu aimes ma bite ?

Je continu à la baiser pendant que je me penche sur elle. Ma tête se frotte sur son dos et je lui chuchotte à l’oreille :

-   Tu aimes être ma femelle ? Tu veux que je sois plus directif ? Plus rude ? Tu as envie que je fasse de toi ma salope ?

Je me frotte à elle pendant que ma bite glisse lentement et sans ralentir en elle. Mon gland épais pousse ses parois. Mes mains viennent glisser sur son dos jusqu’à prendre ses seins plaqués sur la table.

-   Tu veux savoir ce que ça fait d’être la femelle d’un tigre ?

Je viens titiller les seins de Zola puis je viens lécher les oreilles de la lapine. L’espace d’un instant j’accélère le rythme, puis je le ralenti à nouveau.
Tout autour de nous les gens sont presque tous en train de baiser. C’est devenu une vraie orgie. Il y a même un jet de foutre épais qui viens gicler sur notre table, non loin de la bouche de Zola.

-   Mhmmm décidément j’adore les lapines moi …

10
Un véritable plaisir ! Voir cette petite lapine en train de goûter ma bite me rend tout chose, c’est si mignon et excitant à la fois. Je soupire d’aise, les jambes écartés, les bras ballants un moment. Je me laisse aller à mon ronronnement tandis que je me fais téter le bout.

-   Mhmmm que c’est bon.

Je redresse ma tête pour la regarder, lui sourire. Elle semble apprécier. Forcément ma bite est délicieuse. Je pose la main sur la tête de la jeune lapine, lui caressant les cheveux et les oreilles pendant qu’elle fait de son mieux.

-   Ah oui voilà, c’est bien. Continue comme ça ma puce, tu te débrouille bien. Tu es faite pour sucer des bites on dirait.

Ellle engloutit mon engin comme elle peut, difficilement mais elle y arrive plutôt bien. Moi je prends mon aise, je pose le pied sur la table tandis que je la laisse me lécher la hampe.

-   C’est bien, comme ça. Pense à branler un peu ma bite de temps en temps. Embrasse-la, les couilles aussi, embrasse-les, lèche-les. Tu sens comme elles sont pleines ? Elles ne se vident jamais, tu as de la chance.

Elle allait pouvoir goûter mon lait, si j’ose dire.

-   Elle est bonne cette grosse carotte hein ? Les lapines sont folles de bites, tu va voir quand je vais te la mettre, tu va couiner de plaisir. Aaaaah oui c’est bien continue.

Elle léchait mes couilles, voilà un plaisir ! Mhmm c’est tellement bon que les griffes de mes pieds sortent puis se rétractent, un peu comme quand on caresse un chat et qu’il étant ses orteils pour les rétracter ensuite. La petite lapine ne craint rien et moi je suis dans un autre monde pendant un instant.
Juste à côté de nous, la biche se faisait défoncer la chatte par le bouc qui avait déjà joui plusieurs fois d’affilés. Un peu plus loin, Marguerite la serveuse se faisait plaquer sur une table par le barman, un taureau massif aux couilles pendantes. Le barman empala la jeune vache, sa fille, qui beugla de plaisir juste avant qu’un rhinocéros énorme ne vienne y glisser sa bite. 

-   Mhmm oui c’est ça, respire bien, sent les phéromones que je dégage pendant que tu suce. Voilà c’est bon.

Je continue de caresser sa tête, avant de lui demander.

-   Tu aimes ça ? Tu veux continuer ? Je peux aussi te pilonner, si tu veux. 

11
Je regarde la petite lapine dans les yeux alors qu’elle retire ses vêtements. Je ne suis pas le seul, d’autres mâles n’en manquent pas une miette. Certains sortent leurs engins et commencent à se branler la regardant. Je m’approche alors d’elle et de ses seins et je viens y glisser ma tête, en profitant pour lécher les tétons. Je remonte ensuite vers ses épaules et son cou pour la couvrir de baiser pendant que mes mains courent le long de ses courbes. Puis je viens l’embrasser pendant un long moment. Je prends mon temps, langoureusement. De temps à autre je me frotte à elle en ronronnant, ma tête contre la sienne, comme le ferait un chat.

-   Tu es magnifique Zola, tu es une femelle vraiment bandante.

Je viens la prendre au niveau des cuisses et je la soulève sans effort pour la faire s’assoir sur la table. Tout le monde nous regarde alors que tu te retrouve assise le cul sur la table et les jambes écartés. Moi au milieu. Je reprends une série de baisers avant de redescendre désormais vers ton cou, des seins. Puis ton ventre, tout autour de ton nombril. Enfin le bas-ventre et ta fente humide.

-   Je vais commencer les préliminaires. Miam, tu as l’air délicieuse mon cœur.

Puis, avec ma longue et large langue, je commence à m’attaquer à ton fruit défendu. Doucement, délicatement. Avec dextérité je m’applique à faire courir ma langue, à titiller, à stimuler. Ma salive, celle d’un dieu, fait l’effet d’un aphrodisiaque sur ces parties intimes, et je sais y faire. Doucement puis plus vite, changeant de rythme, je m’appliquer à procurer du plaisir comme jamais cette lapine n’en a reçu de sa vie.
Puis, je remonte, nettoyant le pelage de mon visage d’un rapide et discret coup de magie, je reviens t’embrasser.

-   Est-ce que ça te plait pour l’instant ? Tu veux en voir plus ?

Je retire mon haut rapidement puis je me rapproche d’elle. Tout en l’embrassant je déboutonne mon pantalon. Je le laisse tomber à terre, retirant au passage mes bottes et libérant mes pieds félins. Mon pelage épais de tigre laisse clairement voir mes muscles ciselés, fins et athlétiques.
Je ne porte rien dessus, ma bite se dresse, dure et épaisse. Pendant un moment, je me colle à elle, mon pelage contre sa peau, mes muscles contre ses courbes et ma bite contre sa fente. Je l’embrasse un moment, puis je me contente de faire un doux mouvement de va et viens sans chercher à rentrer, juste en glissant ma bite le long de son petit plaisir. Puis je m’écarte, je m’assoie sur une chaise, les jambes écartés en montrant mon engin comme en offrande. Il palpite presque de désir.

-   Tiens regarde, elle te plait ? Tu peux toucher si tu veux. Viens le goûter, tu n’attends que ça ma puce, tu va voir.

12

Je garde une main sur son bas ventre, tandis que je reviens embrasser son cou avant de le lécher un tout petit peu avec quelques cous de ma large langue.

-   Les règles c’est simple. Nous aurons tous deux un gobelet et cinq dés. A chaque manche on va jeter les dés et parier sur le nombre total additionné des différents dés. Bien sûr on ne montre pas nos dés, on les cache jusqu’à la fin du tour. Le gagnant gagne un dé, le perdant en perd un mais il perdra aussi un vêtement qu’il ne pourra pas regagner bien sûr.

Vu que nous sommes tous les deux assez peu vêtu, nous allons vite nous retrouver nu.

-   Ensuite le gagnant, ou la gagnante, pourra faire tout ce qu’il ou elle veut de l’adversaire. Moi j’ai déjà une petite idée.

Tout en disant cela, ma main glisse du bas ventre vers l’intérieur de la cuisse, glissant sur la délicate fente cachée par le tissu. Puis je me colle à elle, comme pour lui dire un secret, et je lui dis en chuchotant :

-   Te prendre ici, devant tous le monde et te faire gémir de plaisir.

Non loin de là, un Terranide Lynx, fort athlétique et bien monté, était en train de jouer à ce même jeu avec une brebis moutonneuse très sexy. Le Lynx était en train de gagner quand finalement il remporta définitivement la partie. Il hurle de satisfaction tandis que son adversaire elle, se lève pour se placer les jambes écartées, le buste appuyé contre la table et le cul relevé. Difficile de se dire qui, de la brebis ou du Lynx est le plus heureux de la situation.
Très rapidement après ça, le Lynx se déshabille totalement puis, après avoir claqué la fesse de la brebis, il dit :

-   Tu va y avoir droit ma jolie !

-   Oh oui oui ! Vas-y et surtout ne te retient pas ! Donne tout je suis en chaleur !

Tous le monde dans la salle commence à s’échauffer, tandis que le lynx et la brebis entame une baise endiablée. Moi de mon côté je continuais à caresser la fente de Zola à travers le tissu. Je me rapproche d’elle pour l’embrasser, réellement cette fois, longuement et langoureusement. Puis je la regarde et je lui dit :

-   Mais si tu veux le faire directement, alors n’hésite pas. Dis-le-moi clairement, avec des mots crus. Tu veux qu’on baise comme des brutes, alors dis le moi, que tu veux te faire tringler comme une lapine salope en chaleur alors dis-moi le et laisse-toi porté par tes pulsions.

Je recommence à l’embrasser tout en lui prenant sa main pour la placer sur mon entrejambe. J’avais une trique fabuleuse qui déformait mon pantalon.

-   Moi en tout cas j’en ai très envie, donc soit on prend le temps de jouer tous les deux, soit on passe directement à l’action.

Puis je recommence à lui embrasser le coup, le lécher. Je commence même à émettre un puissant ronronnement de tigre, celui que j’émet quand je suis excité et que … j’ai envie.

13
-   Si c’est normal ? Oui bien sûr que ça l’est. Nous avons tous nos pulsions, ce n’est pas bien de ses refouler.

Je viens glisser ma main sur ses cheveux, pour replacer une mèche rebelle, puis je fais glisser ma main sur sa joue. Je peux sentir d’ici son excitation. A côté de nous, la biche faisait preuve d’un rare talent pour sucer. Le Bouc était posé sur sa chaise, il buvait sa bière et plaisantait en soupirant avec son ami en face. Sans doute des frères d’ailleurs. La jeune biche gémissait doucement tandis que le second bouc lui commençait aussi à se déboutonner le pantalon. Il bandait dur et il vint se placer de sorte à pouvoir s’insérer dans sa partenaire, déjà sous la table.

-   Moi par exemple j’aime faire ça, je le fais souvent. C’est très plaisant, mais uniquement si la personne en face est d’accord. Comme la jeune biche là.

Je pouvais voir le malaise de Zola, mêlé d'excitation. Je vins glisser ma main sous son menton tandis que de l’autre main j’en profite pour me coller à elle, la garder tout contre moi. Je lève son visage vers le miens et je dépose un autre baiser, doux et rapide, sur ses lèvres aux goûts de carottes.

-   S'ils te rendent mal à l’aise, ne t’occupe pas d’eux. Ici personne ne cherche à te manger tu sais. Tous les males qui te regarde cherchent la même chose que ces boucs-là. Prendre du plaisir avec toi et que toi tu en prennes avec eux.

Nous ne cessions pas de manger nos tartes bien sûr. Moi par gourmandise, elle part nervosité. Elle était tout excitée, je pouvais le sentir.

-   Il y a pas mal de mâles en chaleur ici ce soir. Il y en a qui te plaise ? C’est qui ton genre ? Là-bas il y a un cheval. Tu l’as vu ? Il a un engin énorme.

Effectivement, le terranide équin était en train de se faire tripoter par une chienne très gourmande.

-   De ce côté-là il y a un rat, ils ont de grosses testicules et elles ne semblent jamais se vider totalement.

Puis je pointe du doigt un loup, beau et viril, torse nu, il plaisantait avec un renard à l’air sournois qui était en train de lui faire une pipe.

-   Là-bas tu as deux braves gars. Ils sont gays à la base mais ils aiment bien s’amuser avec des filles parfois. Ils pourraient le faire avec toi, si tu le voulais.

Je lui adresse un clin d’œil complice, caressant sa nuque d’une main et sa cuisse de l’autre.

-   Tu sens les phéromones dans la salle ? Elles se chargent de désir depuis que nous sommes entrées. Je crois que tu as du succès tu sais. Tu peux demander à n’importe quel mâle ici, chacun d’entre nous ici. Nous serions tous content de pouvoir te faire du bien, ma toute belle.

Je glisse ma main sur son bas ventre avant de l’embrasser dans le cou.

-   Il te suffit de faire un choix sur celui que tu veux sentir en toi. Mais si tu es hésitante on peut faire un jeu aussi. Tu aimes les jeux ? Un jeu de dé. On ne mise pas d’argent, comme c’est le cas d’ordinaire, mais des parties de nos vêtements. Est-ce que ça te dirait de jouer ?

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Alors que les gémissements allaient bon train, nous entrons dans la grande salle de l’auberge. Ici il y a de tous, des lapins, des cerfs, des boucs, des rongeurs, des chats, des chiens, des bovins, des simiens. Toute une sorte de terranides qui caquette, couine, geins, hulule en toute sorte de dialectes. Les odeurs sont fortes, mais pas comme avec les humains. Ceux-ci sont sales, contrairement aux Terrannides.

En caressant Zola entre ses oreilles, je la guide vers une table libre où nous assoir. Il me faut pousser plusieurs personnes. Certains me reconnaissent, des amants et amantes bien sûr, qui toutes et tous me demandent si je veux bien monter avec eux, me faisant comprendre qu’ils avaient bien envie que je leur défonce le cul une nouvelle fois. Mais non, je suis occupé, désolé.
Quand la serveuse vient nous voir, je lui adresse un grand sourire charmeur.

-   Ah bonjour Marguerite !

Marguerite était une femme-vache. Sa poitrine était proprement surprenante.

-   Je vais prendre une tarte … heu … au … heu … zut je ne sais pas. Bon aller aux pommes ! Avec une choppe d’hydromel s’il te plait.

-   Ok ! Et pour ta petite copine ? Elle prendra quoi ?

Ne notant pas le détail dans la phrase, je me tourne vers Zola.

-   Tu aimes quoi toi ? Les tourtes à la carotte tu aimes ça ? Il faut absolument que tu goûte ça si c’est le cas. 

Notant la commande de notre petit duo, elle s’éloigne alors. Moi je me retourne vers ma future conquête.

-   Alors, dis-moi Zola, comme ça va ? Tu as passé une bonne journée ? Que fais-tu de beau dans la vie ?

J’étais tout près d’elle, un bras sur le dossier de sa chaise, tout contre son épaule. Nous étions très proche. Je jetais des regards noirs aux males qui s’approchaient d’elles, histoires qu’ils me la laissent. Mais avec elle j’étais tout sourire.
 Finalement, Marguerite revint avec notre commande et la plaça sur la table. Moi je paye alors l’adition directement, puis je me tourne vers la lapine.

-   Alors, goûte ! Dis-moi ce que tu en pense.

J’attends le verdict, puis je réponds :

-   Alors c’est bon hein ? J’adore ces pâtisseries.

Je la regarde manger un court moment. Elle est mignonne mais elle s’en met un peu partout.

-   Ah tu en as un peu là.

Je me rapproche et avec le bout de ma langue, je viens lui lécher un coin de la joue avant de déposer un rapide baiser.

-   Voilà. Je t’avais dit que si tu avais des questions, tu pourrais me les poser.

A côté de nous, sans trop prévenir, une biche, du même âge que Zola, se faisait draguer par deux boucs musculeux. Finalement ils eurent gain de cause car elle se mit à glisser sous la table et commença à sucer sans aucune discrétion l’un des deux, tandis que le premier vint glisser ses doigts dans sa fente.

-   Oh ne fait pas attention, c’est normal ici. On se laisse aller, tu peux le faire toi aussi si tu veux … te laisser aller je veux dire ! Haha ! 

15
Doucement, je m’éloigne et je me redresse tout en lui souriant.

-   Ne te promet de ne pas de manger, ni même te grignoter. Cependant te faire des bisous c’est possible, mais seulement si tu le veux bien.

Puis, je commence à me transformer. Je grandis en taille et en muscle. Mes pieds changent tout comme mon visage. C’est une transformation qui n’a rien de dégoutante, et les terranides sont habitués à ce spectacle. Je reste délibérément lent pour ne pas faire peur à Zola. La petite lapine me regarde de ses yeux inquiets. Moi de mon côté, j’ai mes bras qui se durcissent, mes cuisses qui s’épaississent, mon chibre qui grossi également. Mes vêtements, poussés par ma magie, grandissent et s’adaptent à ma morphologie. Finalement, j’ai enfin ma véritable forme naturelle, celle du Dieu-Tigre sexuel.
Je baisse la tête pour regarder Zola. Elle est petite, mais si mignonne. Je m’accroupi, pose un genou à terre. Puis j’écarte légèrement les bras.

-   Tu viens ? Viens me renifler. N’hésite pas je ne te ferais pas de mal, je te l’ai promis.

J’avais l’apparence d’un prédateur, ma musculature se dessinait sous ma chemise. Mon poil soyeux exhalait une odeur chargée de phéromones de mâle et de fauve, bien que ça soit une odeur propre.
D’un geste de la main, je fais apparaître une fleur qui semble me pousser dans la main. Elle est toute blanche et sent bon. Je la tends à Zola pour qu’elle s’en saisisse.

-   Tu es une lapine que je veux protéger, pas manger. Tu sais, mon plat préféré c’est la tarte aux pommes … ou aux fraises. Je n’ai jamais su me décider. Toi … tu n’est pas une fraise n’est-ce pas ? Alors tu ne crains rien.

Je la laisse me palper, renifler, osculter autant qu’elle le souhaite, si c’est le cas, avant de me redresser et de tendre la main.

-   Tu me prends la main ? Comme tout à l’heure ? Cela ne te dérange pas de me voir comme ça ?

Une fois la petite lapine calmée, nous reprenons le chemin à notre rythme. Je remarque aussi ses coups d’oeils aux amants ici et là qui forniquent.

-   Ils te plaisent ? Tu aimerais les voir de plus près ? On peut tu sais, mais ils risquent de penser que tu souhaites participer. On devrait attendre un peu avant, non ? Allons manger une part de tarte ! J’ai bien envie d’une tarte aux Pommes … ou alors aux fraises ? Aaah je ne sais pas.

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