Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Astrid Grace

Pages: [1] 2 3 ... 5
1
Le petit jeu de Souta dégénère très rapidement. Je vois dans ses yeux l’envie et le désir, il joue pour le plaisir de jouer mais son envie réel est ailleurs. Son regard me dévore, épousant chaque courbe de mon corps avec appétit. Je rougis presque. Il m’a pourtant déjà vu nue, mais cette intensité, je ne l’avais pas encore remarqué. Mes doigts sur mon clitoris s’arrêtent pour le regarder bouger près de moi. Il se redresse, je suis obligée de lever les yeux pour pouvoir regarder son visage tant il me domine de sa taille. Ses doigts experts viennent calmement déboutonner mon haut et exposer ma poitrine. Mon léger soutien gorge ne cache pas grand chose, le bout de tissu n’est qu’une minuscule brassière en dentelle noire, plutôt faite pour le plaisir des yeux. Heureusement que Souta est la pour la regarder sinon je l’aurais mise pour rien. Sa main vient effleurer ma peau, me faisant frissonner. Je voudrais qu’il aille plus vite, qu’il arrache ma jupe, qu’il soulève mes cuisses et qu’il me prenne en un mouvement. Mais non, le jeune homme semble vouloir prendre son temps, vouloir jouer avec le feu, vouloir m’allumer.

« Je leur ai offert ma langue. » Et juste à ce moment, Souta glisse sa main jusque dans mon cou puis mon menton, avant de sortir sa langue pour lécher ma lèvre inférieur. Dans un murmure excité, je lui souffle. « Je me suis glissé sous la table de pause et je les ai sucé les uns après les autres. Contre quelques numéros de clients prometteurs. » Des mots sortent de ma bouche mais je ne suis même pas sure de les comprendre, je suis comme hypnotiser par les gestes de Souta. C’est lent, beaucoup trop lent, trop langoureux. Puis il se rassoit, son corps reste presque impassible, mais ses yeux trahissent le reste. Ses quelques mots me font sourire. Il veux que je prenne les choses en main.

Mes mains se posent de chaque coté de sa chaise, me penchant en avant vers lui. Mes lèvres sont a quelques centimètres de lui, humides et provocantes. Je ne l’embrasse pas, je respire doucement presque contre lui, laissant l’air chaud caresser sa peau. J’ai tout autant envie que lui de virer toutes nos fringues et de le laisser me prendre en levrette, nue sur le bureau. Mais apparemment, les jeux d’exhibition dans la bibliothèque n’étaient pas assez pour nous exciter et l’un comme l’autre, nous avons besoin de jouer un peu plus, juste pour faire encore monter la pression. Son jean me parait serré, trop serré pour qu’il soit confortable. Je refais la boucle de sa ceinture et déboutonne son jean. « C’est ce que je préfère. Les grosses queues qui me remplissent. » D’une main agile, je viens sortir sa bite de son boxer, la saisissant à la base. Je le masturbe lentement quelques secondes, mordillant ma lèvre inférieure avec envie. La capote a un peu roulé, probablement notre petite balade jusqu’ici. « Avec ou sans? » Mais sans vraiment attendre sa réponse, je monte à califourchon sur lui, mes genoux de chaque coté de ses hanches. Ma jupe se soulève dangereusement sur mes cuisses et expose ma culotte trempée à ses yeux, je viens décaler le tissu légèrement pour de nouveau lui montrer ma chatte luisante. Entre mon premier orgasme, le cunnilingus de Souta et l’excitation ambiante, je suis toute mouillée. Ma main dirige la queue de Souta vers ma vulve, frottant son gland couvert à mes petites lèvres pour l’humidifier. Mais je ne fais rien de plus, je ne m’empale pas, je reste là devant ses yeux à rouler des hanches sur son gland, juste pour l’allumer. Maintenant qu’on est seul, je peux prendre mon temps, le faire languir. Il a envie que je craque la première, mais je ne lui donnerais pas cette satisfaction. Moi aussi je sais jouer. Pendant que mon autre main maintient sa queue entre mes cuisses, l’autre vient retirer ma chemise puis mon soutien gorge d’une main. Ma poitrine pointe dangereusement vers lui, mes tétons excités lui demandent presque de venir les lécher tellement ils sont tendus. Ma main libre saisit mon sein, pétrissant la chair ferme avant de tirer délibérément sur sa pointe. Ce mouvement m’arrache un gémissement et mon corps se courbe légèrement vers Souta. « Vous voulez toujours me virer, Monsieur? »

2
Centre-ville de Seikusu / Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -
« le: samedi 09 avril 2022, 13:27:48 »
Ses mains coincés dans mes hanches me font mal. La fréquence de ses coups de butoirs aussi. Son acharnement sur mon corps m’amène à penser qu’il s’est abandonné dans un océan de plaisir, ne pensant qu’à sa queue qui écartèle mon cul. Des bleus apparaissent sur mes hanches. Dégoulinante de sueurs, dévastée par mon orgasme précédent, ravagée par Ryo, j’encaisse avec difficulté. Quand il s’arrête quelques secondes pour me retourner après ma plaidoirie, je ne peux m’empêcher de lâcher un soupir de soulagement. Sa queue sort de son étroit écrin mais reste bandée, prête à repartir à la charge. Ryo m’écoute pour une fois et attrape le tube de vaseline. Mon anus est exposé, ouvert comme jamais. On pourrait surement y glisser toutes sortes de jouets. Je sens les pourtours de mon sphincter me brûler, presque à vif. Il va avoir du mal à se refermer une fois la folie d’aujourd’hui terminée, je vais encore mettre des semaines à m’en remettre. Après l’avoir badigeonner, en un coup de rein, le flic ré-investit mon rectum, se plantant au fond. Je gémis sous lui, mes cuisses se refermant autour de ses hanches. Je vois qu’il regarde mon corps et qu’il apprécie le spectacle. Mes cheveux bruns collés aux trainées de foutre sur mon visage, mes seins qui ballottent à chaque passage, ma bouche obscène entrouverte. La moindre image de moi souillée semble l’aguicher.

A son tour, Genji se redresse, surement de nouveau excité à la vue des mouvements de Ryo. Ses cuisses viennent s’appuyer contre mes épaules pendant que ses mains flattent ma poitrine. Il les pétrit quelques secondes, appréciant leur fermeté puis vient créer un étui pour y mettre sa queue. Mon visage se retrouve juste en dessous de ses couilles, celles ci tapant sur mon menton quand Genji coulisse entre mes seins. Mon nez est face à son anus fermé, me laissant penser qu’il n’a jamais même jouer avec, et malgré la fatigue, je m’entête à commencer à le lécher vigoureusement. Genji lâche un cri de puceau quand ma langue vient l’humidifier. Sa main tape à plat sur la table d’auscultation. « Sale petite pute, putain. » Il lâche mes seins pour se redresser, appuyant un peu plus son anus contre ma bouche. De la salive vient s’étaler sur sa rondelle, la rendant plus souple, juste assez du moins pour que j’y glisse doucement ma langue à l’intérieur. Genji perds la tête en dessus de moi, il rejette la tête en arrière avant de saisir sa queue, redevenu dure grâce à toutes ses stimulations, pour recommencer à se branler. Ses grognements remplissent la pièce pendant que Ryo arrive à son point de non retour lui aussi.

Quelques allers retours profonds et une pression sadique sur mes hanches et l’inspecteur finit par se vider dans mon cul, lâchant de longues trainées de sperme. Sa jouissance entraine un nouveau gémissement de ma part, la langue coincée dans le cul de Genji, je sens presque mes intestins se remplir de foutre épais. Le flic titube en se retirant, je ne le vois pas mais je l’entends, la gueule en sueur, les mains tremblantes, il s’affale un peu plus loin, encore choqué par la vague de plaisir qu’il vient de prendre. Ca n’arrête pas Genji pour autant qui se branle frénétiquement en se faisant lécher le cul. Il a abandonné mes seins pour venir appuyer un peu plus sur l’arrière de ma tête, me forçant à enfoncer ma langue plus loin. Le petit Genji est en train de devenir un sacré pervers. Mes mains viennent se poser de chaque coté de ses hanches pour le maintenir en place, j’en oublie presque Ryo à coté, haletant face à son orgasme, observant surement la scène d’un air absent. Le visage de Genji se crispe de nouveau, sa main sur sa queue accélère, il fronce les sourcils et gémis quand un flot de sperme vient se rependre sur ma poitrine. Le liquide chaud et visqueux coule sur ma peau, souillant un peu plus mon corps. Ce deuxième orgasme exténue le jeune homme qui s’adosse contre le mur une nouvelle fois avant que ses jambes ne se dérobent sous lui.

Je reste quelques minutes de plus sur la table d’auscultation pour récupérer de cette folie. Tout mon corps me fait mal, chaque centimètre de ma peau a l’air d’être couvert de sueurs ou de foutre, mon cul tente de se refermer avec difficulté. Ryo a encore une fois abusé de tous ses pouvoirs sur moi et je l’ai laissé faire, profitant du plaisir qu’il me donne sans le vouloir. Je découvre avec stupeur que c’est ça qui me plait. Être contrainte, être soumise, être souillée, elle est là ma vraie volonté. Je me relève, grimaçant à chaque mouvement douloureux pour me tourner vers Ryo. Il semble aller mieux, son corps a cessé de trembler. Je n’ai besoin de faire que 2 pas pour rejoindre Ryo sur sa chaise, m’installant à califourchon sur ses genoux. « C'est bon, tu es rassasié? Maintenant que tu m'as baisé le cul, ravagé le visage et corrompu mes collègues? » Mes hanches ne peuvent pas s’empêcher de bouger sur lui, malgré la fatigue, malgré l’orgasme, malgré la douleur. Je ne peux pas renier mon attirance pour ce mec qui me maltraite à chaque fois qu’il me voit. Nos personnalités sont totalement différentes, nos caractères absolument pas complémentaires, mais nos corps, putain nos corps, qu’est ce qu’ils fonctionnent bien ensemble. Abasourdie par mes pensées obscènes, je me tiens devant lui, essayant d’être fière. Je ne suis pas vraiment fâchée contre lui, plutôt contre moi même. Je n’arrive pas à lui résister, à le repousser, à l’engueuler en lui disant qu’il a été trop fort. Non, j’ai encore envie de le revoir.

3
Centre-ville de Seikusu / Faites de beaux rêves - PV Asmodeus -
« le: mardi 05 avril 2022, 23:05:33 »
« Allez Astrid, s’il te plait! » C’est au moins la 8ème fois qu’elle me demande. Emily a prévue une soirée pyjama chez elle - oui comme au collège - sauf qu’aujourd’hui, on a des seins pour remplir nos pyjamas et on peut boire de l'alcool. Emily est une amie de longue date. Elle vient de l’aristocratie anglaise comme moi. En me voyant épanouie au Japon, elle a décidé de venir me rejoindre pour voir comment était la liberté loin de Papa et Maman. Ca lui a plu. Beaucoup plu. Ca fait maintenant 6 ans qu’elle habite à Seikusu et qu'elle occupe un poste haut placé dans l’entreprise de ses parents qui gère l’import - export de marchandise du Japon vers l’Angleterre. Plutôt pratique. Mais c’est aussi devenue une grande fêtarde. Elle connait tous les différents bars de la ville et n’hésite pas à fréquenter les clubs les moins respectables de Seikusu. Bien que ma deuxième personnalité soit assez dévergondée, je ne supporte que très peu les boites de nuits. Les gens ivres, collants et puants l’alcool pas cher, la transpiration omniprésente, la musique electro désagréable aux oreilles, très peu pour moi. J’ai toujours refusé de participer aux soirées d’Emily pour cette raison. Mais là, ce soir, alors qu’elle commence à me parler de batailles d’oreillers les fesses à l’air et de cocktails à base d’alcool aromatisées, je ne peux m’empêcher de sourire. Je finis par céder quand elle me promets de ne pas m’obliger à sortir en boite avec mon pyjama en seule tenue.

Quelques heures plus tard, je comprends que l’objectif de sortir en boite ne pourra pas, quoi qu’il arrive, être réalisable dans ces conditions. Je sirote mon 5ème mojito à la fraise, comme une adolescente qui découvre l’alcool en riant devant les conneries des amies d’Emily. Toutes sont venus en pyjama plus courts les uns que les autres, le but du jeu étant d’être le moins habillé possible apparement. Certaines ont même opté pour des accessoires tout droit sorti dans années 90, à base de chouchous colorés et de barrettes à paillettes. Je dois l’avouer, je passe une excellente soirée, cela fait des années que je n’ai pas autant ri. Après quelques shooters de saké, l’une des amies d’Emily semble avoir une illumination. Fumi est le stéréotype de la petite japonaise, brune, petite, plutôt plate, pas de hanches. Avec un uniforme d’école et une sucette, elle ferait bander tous les pervers d’Internet. Mais sa personnalité clash complètement avec son physique. C’est d’ailleurs surement elle qui gagne le concours du pyjama le plus sexy, avec sa minuscule brassière en dentelle et son tanga noir assorti. Elle se dresse debout sur une table et demande l’attention de toutes les filles présentes. « Et si… On invoquait un dieu du sexe? Ca manque de testostérone ce soir non? » Toutes se mettent à rire, moi y comprit en la regardant tracer un pentagramme en sel sur le sol et allumer des bougies d’anniversaire planté dans des cupcakes. « Oh a toi, grand démon! Viens nous rejoindre autour de cette table avec… » Et elle manque de trébucher sur une bougie allumée. « Avec toutes ces jolies femmes et leur verre beaucoup trop surdosé. » Fumi continue son discours en titubant autour de l’étoile pendant que je me relève pour aller me resservir un verre. Je ne tiens pas à l’alcool, je le sais et pourtant ce soir, je me sens pousser des ailes. « Oh vous les dieux de la luxure et des plaisirs ! Lucifer, Vénus, Aphrodite, Priapte, Zeus, Asmodeus, Eos, Lilith ou Freyja ! » Comment est ce qu’elle connait autant de noms de dieux et de démons? Je n’en ai aucune idée mais la liste a l’air très longue et sans queue ni tête. Quelqu’un murmure que Fumi est étudiante en mythologie, ricanant dans son verre. Ca doit être pour ça. Et la voilà en train de réciter une espèce d’incantation pseudo magique en dansant autour du pentagramme. Tout le monde autour de la table rit au éclat, autant ivre de l’ambiance idiote et enfantine de la soirée que de l’alcool présent dans nos verres.

A la fin de sa formule magique, les flammes de bougies se mettent à trembler, frémissant sous un vent inexistant. Emily, à mes cotés, finit par froncer les sourcils. « Fumi, arrête. Ca commence à me faire peur. » Puis les bougies s’éteignent, jetant un froid dans la soirée. Fumi éclate de rire au milieu de la pièce avant de s’avancer vers l’ordinateur pour baisser la musique. « Oh ça va, c’était une blague ! Ca n’a rien fait ! C’est un coup de vent. C’est pas comme si un démon allait débarquer ici.» Et comme dans toutes boums qui se respectent, Fumi lance une chanson de Beyoncé, faisant oublier à tout le monde ce moment dans la soirée. Même moi, je n’y ai pas vraiment porté attention et ai continué de boire et de danser toute la nuit, arborant mon plus bel ensemble de satin. La soirée avait fini par être une réussite, tout le monde se couchant à plus de 6h du matin, toutes entassées les unes sur les autres dans le salon d’Emily comme des enfants. Il ne manquait plus que de jolis rêves pour compléter nos nuits.

4
« Salut Tao. Oui ça fait longtemps. Comment ca se passe ta thèse? » Je ne peux m’empêcher de reluquer quelques secondes la midinette à coté de lui. Petite, brune, autoritaire, de jolies formes. Tao a réussi à décrocher le gros lot. Je lui adresse un sourire qu’elle ne me rends pas, s’accrochant un peu plus au bras de son copain comme pour me montrer qu’il était à elle. Tao et moi avions eu une courte histoire il y a quelques années, rien de très sentimentale, surtout du sexe, mais le jeune homme en voulait plus, il voulait une belle histoire. Je suis plutôt heureuse qu’il ait trouvé chaussure à son pied, même si sa pantoufle semble être très possessive. La jeune femme tire le bras de son homme pour l’entrainer loin de moi, je la regarde faire, leur souriant innocemment. J’ai très envie de lui faire un doigt d’honneur mais ça ne serait pas très distinguée de ma part. Souta commente la scène à mon oreille, l’argumentant d’une claque sur mes fesses. « C’est le genre de filles qui n’aime que le missionnaire. Je ne traine pas avec des gens déséquilibrés comme ça.» Je monte les escaliers de bois, balançant légèrement mon cul sous les yeux avides de Souta.

La dextérité de Souta face à la porte fermé m’indique qu’il n’en est pas à son coup d’essai. Un sourire amusé s’affiche sur mes lèvres. Il ne m’a jamais vraiment dit ce qu’il faisait, ni dans quel domaine il travaillait. J’ai du mal à l’imaginer travailler dans un bureau avec un costume, une cravate et passer sa journée devant un ordinateur allumé. Bien qu’un costume lui irait surement foutrement bien. Il a plutôt l’air d’un caïd, le genre de mec auquel il ne faut pas trop se frotter. On ne pouvait pas être un couple plus mal assorti. La petite « vierge » innocente et le grand délinquant malicieux. Même si Souta avait bien comprit que mon innocence n’était qu’un mensonge, l’image de nous deux l’un à coté de l’autre me le rappelle. Une fois rentré, le jeune homme prends tout de suite l’initiative de fermer les volets, nous cachant au reste du monde puis ramasse des feuilles autour de lui. Je fronce les sourcils, je ne comprends pas encore à quoi il joue. Sa voix grave résonne dans la pièce, son ton est autoritaire, presque en colère. Je ris doucement, regardant Souta faire son petit manège avant d’entrer dans le jeu.

« Je sais que mes chiffres sont insatisfaisants Monsieur mais je vous promets, je vais faire mieux. » La pièce est stérile, très peu personnalisé. On peut tout y imaginer à l’intérieur. De la salle de cours rempli d’étudiants ou petit bureau d’avocats. Tout est faisable. Ma main caresse doucement le bois du bureau en face de moi, baissant les yeux comme si j'avais vraiment fais une connerie. Il a l’air solide, plutôt bon marché mais solide, l’idée de pouvoir baiser dessus fleurit rapidement dans mon esprit. Je ravale un sourire pour rester dans mon rôle. Les paumes de mes mains se posent sur le bureau, me penchant en avant pour lui exposer mon décolleté. « Je veux donner de ma personne, vous savez. Je suis prête à donner beaucoup pour ce projet ! » Je prends mon plus beau regard de petite fille chaste, celui que j’utilisais petite pour supplier mon père. Mes yeux me trahissent tout de même, plutôt que de le regarder dans les yeux, je baisse légèrement le regard, regardant la bosse inconfortable de son pantalon. Son sexe n’a pas débandé depuis que je m’en suis occupée. Est ce qu’il a pensé à son petit jeu pendant tout le chemin? Je contourne le bureau pour m’approcher de lui, posant ma main sur son torse pour le repousser légèrement sur la chaise derrière lui. « Je peux être très persuasive Monsieur. » Mes fesses se posent sur le rebord du bureau, lui faisant face. Mes doigts glissent sur le tissu de ma jupe avant de faire remonter le tissu. J’écarte les cuisses, lui dévoilant mon sous vêtement trempé. Ma chatte est toujours luisante, prête à le recevoir, mais je veux l'exciter un peu plus, me pavaner devant ses yeux. J'amène mes doigts à ma bouche pour les lécher lubriquement avant de les descendre vers mon trou. Dans un geste précipité, j'introduis 3 de mes doigts dans ma chatte et utilise mon pouce pour commencer à caresser mon clitoris gonflé devant ses yeux, attendant sa réponse avec impatience.

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One Shot / Re : Retrouvailles [Astrid]
« le: dimanche 03 avril 2022, 12:21:29 »
La salive d'Hidéo coule sur mon menton pendant que ma joue rougit instantanément. Sa gifle ne m’a pas fait mal, ça n’est pas le but de sa violence, elle est juste là pour tenter de me remettre à ma place, à la place de chienne qu’il m’a attribué. Les yeux d’Hidéo sont remplis de colère, de fougue et d’envie. J’essaye d’y desceller un peu de tendresse ou de compassion mais il n’en est rien. Son visage reste crispé, tendu, comme s’il était encore en train de décider de comment il allait continuer de me punir. Mon léger contrôle de la situation n’aura pas duré. Les gros doigts sadiques d’Hidéo finissent par me remplir le cul, testant l’ouverture de mon trou. Je perds très rapidement la tête et pose mon front sur son épaule en gémissant. Mon orgasme est tout près, à portée de ses doigts. Ma respiration s’accélère, l’air chaud quittant ma bouche entrouverte avec difficulté. Je sens une chaleur violente m’envahir, mes hanches roulent sur lui pour les emmener plus loin en moi. Ses mots crus résonnent dans mes oreilles comme une caresse. Putain, même s’il décidait de me remplir de pisse, je le laisserais faire. Il échange nos positions, m’installant sur le capot, toujours les yeux rivés sur mon corps. Comme indiqué, je retire mon soutien gorge et libère ma poitrine excitée. Mes seins se dressent fièrement vers lui, ma peau pâle contrastant avec la couleur rosé de mes aréoles. Je suis complètement nue devant lui pour la première fois. Ses doigts s’infiltrent dans ma bouche, me faisant gouter à la pisse et au foutre de Toshio. Ma langue excitée s’enroule autour de ses phalanges, me délectant presque du gout sans me rendre compte de la perversité de mes gestes.

Hidéo finit par exaucer mon voeu, forçant son énorme membre contre mon cul ouvert. Il a du mal à passer, je sens son gros gland essayer d’écarter mes chairs. Je bloque ma respiration quelques secondes pour pousser mon sphincter à s’ouvrir un peu plus. Celui ci finit par céder et accueille sa queue jusqu’au fond de mon trou. Le geste m’arrache un lourd soupir d’extase pendant que son pubis vient taper contre le mien. Sans m’en rendre, mes mains posés dans son dos viennent le griffer, laissant une trace rouge sur leur passage.

« Putain… Hidéo. Elle… Elle est si grosse. » Si sa bite ne heurtait pas le fond de mon cul, on aurait pu croire que nous nous enlacions tendrement, que nous étions un joli couple qui s’est arrêté sur le bas coté pour se câliner romantiquement. Mais les lents mouvements d’Hidéo trahissent nos ébats.  « Si j’avais… » Je rouvre les yeux, perdue dans mon propre plaisir. J’ai failli lui dire. Pour combler le reste de ma phrase en suspens, je colle de nouveau mes lèvres salées contre les siennes, ma langue allant chercher la sienne avec envie. SI j’avais su… Si j’avais su qu’il en avait une grosse, si j’avais su qu’il était si pervers, si j’avais su qu’il baisait aussi bien. C’est là où ma phrase allait en venir, mais je l’ai retenue à temps. En espérant qu’Hidéo ne se rende pas compte de mon erreur, qu’il n’aies pas vraiment entendu la portée de mes mots. Si j’avais su, est ce que je l’aurais quand même trompé? Est ce que j’aurais quand même été découverte ce mardi après midi avec la bite d’un autre planté dans mon cul? Peut être. Est ce que sa bite à lui seul suffirait à me combler? En tout cas, elle semble le faire parfaitement aujourd’hui.

La sensation de sa longue queue gonflée qui s’écrase contre les pourtours dilatés de mon anus me rends folle, l’un de mes mains vient se perdre dans les cheveux d’Hidéo, serrant fort pour maintenir son visage contre le mien. Mes gémissements sont à l’unisson avec ses grognements, tous les deux la bouche entrouverte, cherchant de l’air presque désespérément. Ma deuxième main vient se glisser entre nos corps et touche du bout de mon index, mon clitoris gonflé. Cette simple caresse me fait bomber la poitrine et l’écrase contre son torse. « Mmh… Je vais venir. » De la mouille chaude et fluide finit par dégouliner de ma chatte, lubrifiant sa queue avant de former une petite flaque sur le capot. « Encore... Hidéo. Encore. » Mes caresses s’intensifient, mon doigt tourne plus vite sur mon petit bouton rose, je sens les muscles de mon anus se contracter à chaque mouvement. Dans un long gémissement rauque, je m’abandonne aux plaisir de l’orgasme, ma cyprine inondant Hidéo, ne pouvant pas retenir mon extase plus longtemps après toutes les stimulations du jeune homme. Mon corps se crispe, tremble légèrement entre ses mains avant de retomber sur lui, inerte et exténuée.

6
Le voir sortir son téléphone me fait sourire alors que j’ai déjà la bouche pleine. C’était donc ça les vidéos privées dont il parlait la dernière fois. Il aime filmer les filles avec qui il couche pour en avoir un souvenir. Dans un sens, ça ne m’étonne pas, et par ailleurs, ça m’exciterait presque un peu plus. Savoir que le soir, quand il est seul dans son lit, il peut regarder des videos de nos exploits sexuels et se branler en pensant à moi, ça me fait de l’effet. Moi qui d’habitude, préfère ne pas garder de preuve de mes ébats, je ne peux m’empêcher d’apprécier cette idée. De toute façon, si vraiment il avait voulu m’exposer, il aurait déjà très bien pu le faire. Je l’ai quand même rencontré en tant que patient dans mon hôpital. La tête coincée entre ses cuisses, je continue à le lécher lentement, essayant de faire en sorte que les bruits de succion ne résonnent pas dans toute la bibliothèque. Le jeune homme apprécie le traitement et me regarde passivement aspirer son énorme pieu en filmant la scène. Rapidement, il repousse mon menton pour faire sortir sa queue entièrement de ma bouche, montrant sa longueur et son endurance à la caméra avec fierté. Sa bite parait massive à coté de mon visage, mes yeux l’observent sur toute la longueur. Je comprends mieux pourquoi j’ai du mal à la garder entièrement dans ma bouche. Souta continue de s’amuser avec ma bouche ouverte, faisant râper sa queue sur ma langue en discutant joyeusement.

Le souvenir de sa douche blanche me revient aussi en tête. Putain, c’est vrai qu’il peut éjaculer abondamment. Il sait que je ne peux pas sortir de la bibliothèque déphaser comme ça. Les étudiants me connaissent, les profs me connaissent, si je sors avec un film blanchâtre sur le visage, ma réputation de petite fille sage prendra un sacré coup. Bien que l’idée de me prendre une belle faciale comme la dernière fois ne me dérange pas, l’exposition à toute l'université, m'embêterait beaucoup plus. Les yeux toujours rivés sur Souta, je remonte mes lunettes qui ont glissé sur le bout de mon nez pendant qu’il m’indique où trouver les capotes dans son jean. Ma main part à sa recherche rapidement et trouve le précieux comme indiqué. Des capotes extra larges et plusieurs en plus. Monsieur a prévu de s’amuser longuement. Dans un sourire, je déchire le premier emballage de la journée et attrape le petit bout de caoutchouc pour l’enrouler délicatement autour de sa grosse queue veineuse. Souta vérifie une petite seconde que tout est bien en place en jouant avec ma langue et m’indique que ses boules ont besoin de préparation elles aussi. Presque avec gourmandise, mes lèvres se posent sur la peau de ses lourdes couilles. Deux semaines sans se vider, elles doivent être bien remplies. Je laisse encore de la salive coulée dessus, les mouillant sur toute leur surface. Ma langue vient les soupeser l’une après l’autre en levant les yeux vers Souta. L’une de mes mains libres vient prendre sa tige entre mes doigts, faisant à peine le tour, et vient le masturber lentement pendant que je commence à avaler l’une de ses couilles dans ma bouche.

Mais presque soudainement, la réalité nous rattrape. De l’autre coté de la rangée de livres, on peut entendre de nouveaux étudiants arriver et parler doucement. Mon visage s’arrête net, ses testicules mouillées dans ma bouche, le nez posé contre la base de sa queue, ma main sur sa tige. Ils vont nous voir, putain. Le téléphone de Souta continue de filmer la scène, on peut entendre à quelques pas de là deux ou trois étudiants parler de leur recherche. S’ils changent de rangées, s’ils viennent jusqu’ici, ils nous trouveront en position compromettante, ils me trouveront en position compromettante. Mon coeur s’emballe, mes mains deviennent légèrement moites, je reste immobile sur Souta, comme si le fait de ne pas bouger allait y changer quelque chose. Quelques secondes passent, puis les étudiants s’éloignent en discutant. Je lâche un soupir de soulagement et commence à me relever. « On ne peut pas rester ici. Ils vont finir par nous voir. » Je saisis sa bite d’une main et entreprends de la ranger dans son caleçon, laissant la capote en place. « Au dessus, il y a des bureaux vides. Ca résonne donc il faudra être discret, mais au moins, tu pourras profiter de moi en paix. » Joueuse, j’embrasse doucement son menton en me redressant sur la pointe de mes pieds puis je me décolle de lui. J’essaye d’arranger mon visage quelques secondes, essuyant ma bouche des traces de salives et de pré-foutre, attachant mes cheveux devenu fous pendant le jeu. Je replace mes lunettes gracieusement sur mon nez avant de me tourner vers Souta qui remets son jean avec difficulté. Sa bite prends beaucoup de place, la bosse de son pantalon n’est pas discrète mais ça tiendra pour monter les étages. Ma main se tends vers lui pour attraper la sienne et je l’embarque dans le labyrinthe géant qu’est la bibliothèque, à la recherche d’un bureau vide.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -
« le: mercredi 23 mars 2022, 12:28:35 »
La réponse de Ryo ne tarde pas. Sa main glisse sur mon cou pour serrer sadiquement. L’air dans mes poumons est coupé presque instantanément, m’empêchant de respirer ou de parler pendant que sa deuxième main vient rougir la délicate peau de mes fesses comme Genji lui a demandé. Les claques font vibrer tout mon corps et je ne peux que subir et gémir sourdement. Genji profite de ma bouche entrouverte pour s’infiltrer à l’intérieur. Il est déjà très excité, sa bite bandée racle sur mon palais. Cela n’arrête pas Ryo, qui après avoir insulter Genji avec rage, recommence à me percuter comme si sa vie en dépendait. Il semble prit d’une furie diabolique, cognant dans mon trou ouvert comme un forcené. Mon anus, déjà malmené par le flic il y a quelques semaines, se souvient encore de ses coups de butoirs, il essaye de se détendre et de s’habituer mais reste encore traumatisé et douloureux.

Une fois que Ryo laisse mon cou, mes cordes vocales font trembler le gland de Genji, lâchant des gémissements de douleurs. Je ne peux pas nier qu’il me fait mal, son bassin bute contre le mien avec violence, ses lourdes couilles balancent sur ma vulve trempée. La bite de Genji ne suffit pas à me faire taire, je ne peux m’empêcher de geindre contre lui. Le flic continue de martyriser mon cul, remontant mes jambes et maintenant mes bras en arrière à sa guise pour plus de domination. J’ai mal, je prends cher, je suis exactement dans le même état qu’il y a trois semaines, mais dans le fond, je prends un plaisir monstre.. Genji qui me culbute le visage sans trajectoires précises, attise encore la chaleur dans mon bas ventre, tenant fort mes cheveux comme si je pouvais lui échapper à tout moment. Mon sphincter écartelé râpe quand Ryo passe, créant des frissons qui remontent dans mon dos. Je suis coincée entre deux mecs qui s’acharnent sur mon corps. Quand Ryo tape une nouvelle fois dans le fond de mon rectum, tirant cruellement sur mes bras pour me cambrer un peu plus, je craque. « Putain… » Mes fesses se resserrent sur lui, les muscles de mon anus se contractent autour de sa queue, je jouis. Dans cette position de soumission extrême, avec deux bites en moi sur mon lieu de travail. Ma chatte luisante dégouline sur le sol, laissant une trace de mouille mélangé à tous les autres fluides qui s’extirpent de mon cul. Quelques secondes plus tard, Genji coince mon visage entre ses cuisses et cale sa bite au fond de ma gorge pour y lâcher son sperme. Il tourne presque de l’oeil, son esprit se vide totalement. N’entendant absolument pas les paroles de Ryo, il titube quelques pas en arrière pour poser son dos contre le mur. « Je… J’en. Je n’en peux plus. » Son regard se pose sur ma bouche, son sperme coulant de mes lèvres.

Le souvenir d’une Astrid forte et convaincante est totalement partie. On va dire que j’ai essayé mais que l’appel du sexe était trop fort. Et que je suis faible aux tentations charnels. Surtout quand ça concerne un flic plutôt bien monté. Mon premier orgasme ne l’arrête pas. Même après avoir hurler sur Genji, il continue de bouger ses hanches profondément en moi. Mon sphincter est plus sensible, plus serré, je sens chacun de ses mouvements frotter contre mon rectum maltraité. Ses mains s’amusent à écarter un peu plus mes fesses pour pouvoir admirer le résultat de sa besogne, souriant en voyant mon anus dilaté au maximum. Sans Genji pour me combler la bouche, je ne peux m’empêcher de gémir, des gémissements qui mélangent douleur et plaisir. Dans un souffle, entre deux coups de queues secs, les yeux fermés par l’extase, je lui dis, suppliante. « Ryo, mets de la vaseline. Je... Je vais m’évanouir sinon. » Je ne sais pas s’il m’écoutera. « Et s’il te plait, hmm laisse me toucher. »

8
Le dos collé contre l’étagère pleine de livres, j’observe la tête de Souta disparaitre sous ma jupe. A la seconde où sa langue entre en contact avec mon clitoris, mes cuisses se resserrent autour de son visage et mes mains agrippent ses cheveux par dessus le tissu de ma jupe. Putain, le salaud. Il y a quelques minutes, il jouait encore avec ses doigts dans ma chatte, faisant tout son possible pour m'extorquer un gémissement, il s’est amusé à me remplir avec 4 de ses doigts sadiques, provoquant un frisson irrésistible et un léger soupir d’extase qui n’échappa pas à la jeune fille. Elle était partie, le feu aux joues, ayant très bien comprit ce qui se passait sous ses yeux. Et là, il se retrouve à me lécher entre deux étagères. Ok, j’avais bien compris qu’on allait jouer, qu’il n’avait pas faire tout ce chemin juste pour me rouler des pelles dans une bibliothèque. Mais un cunnilingus en plein milieu d’une bibliothèque bondée d’étudiants, il est quand même bien pervers. Sans que je puisse lui résister, mes hanches bougent sur son visage, en demandant toujours plus. Un jour, il faudra que je me calme. Je plaque ma propre main sur ma bouche pour éviter de gémir bruyamment, le son de mes soupirs restant coincé dans le fond de ma gorge. Je sens toute l’humidité de sa langue m’explorer pendant qu'il me doigte avec passion. Putain il sait y faire en plus. Un bruit obscène de succion mouillé résonne dans la pièce quand il relâche une de mes lèvres. Mes yeux s’écarquillent, manquant de jouir sous l’excitation du la situation. Entre la peur d’être découvert et l’appréhension de ses prochains mouvements, je rejète la tête en arrière et mordille ma lèvre inférieure. La chaleur de mon bas ventre m’envahit délicieusement, mes hanches roulent sur sa langue, je sens l’orgasme monter en moi. Mes jambes se mettent à trembler douloureusement, je tiens ses cheveux avec force avec ma main libre, mordant presque mon poignet pour éviter de crier. Puis l’orgasme m’emporte, inondant sa bouche de mouille chaude.

Quand il se relève, je ne suis qu’un petit bout de chair tremblant, dévastée par l’extase qu’il vient de me donner. Il semble fier, me regardant haleter en me montrant toutes ses dents, mais il ne s’arrête pas pour autant. En un mouvement, il me retourne de nouveau pour planter ses doigts entre mes fesses, pour utiliser cette mouille dont il ne savait pas quoi faire quelques secondes plus tôt. « Bordel Souta, c’est bon. » Il joue avec moi, avec ses doigts, avec mon excitation. Il va me rendre complètement folle. La respiration toujours courte, j’essaye de me concentrer à récupérer un peu de dignité. Pour le moment, Souta a réussi à s’amuser avec mon corps sans que je ne lui laisse aucune limite. Il me susurre des mots sales au creux de l’oreille, commentant sur ma sensibilité et sur le fait qu’il veuille me prendre par là.

Mais même si j’ai un mal fou à me contrôler, que l’envie de jouir juste avec ses doigts dans mon cul est palpable, je me souviens de l'endroit dans lequel nous sommes. J’attrape son poignet pour l’arrêter et le retirer puis je me retourne vers lui. Je ne résiste, néanmoins pas, à la tentation de sa langue et vient l’attraper entre mes dents pour la sucer légèrement. Je sens mon propre goût sur sa langue. Sucré, fluide, légèrement âcre. J’attrape la boucle de sa ceinture pour le coller contre moi. « On n’est pas sortable, Souta. » Sur ces mots, deux étudiants passent au bout de la rangée en chuchotant. Ils nous lancent un regard rapide puis continuent leur chemin, sans vraiment nous porter d’attention. Quelques minutes plus tôt et ils auraient vu la tête de Souta entre mes jambes ou ses doigts en train de me faire plaisir. Cette seule pensée me provoque un frisson. De peur ou d’excitation? Je ne sais pas vraiment. La perspective d’une baise en plein milieu d’étudiants en manque me plaît un peu plus que je ne l’avais imaginé. Je pousse légèrement Souta vers le fond de la rangée de livres, dos au mur. « Tu t’es déjà fais sucer dans une bibliothèque? » Les jambes toujours un peu tremblantes, c’est à mon tour de m’agenouiller devant lui. Un léger courant d’air passe sous ma jupe et caresse mon cul entrouvert par ses doigts, me faisant rouler des hanches pour éviter de gémir. Sa bite est coincée dans l’élastique de son boxer, seule la moitié est apparente. Collant mon nez à son bas ventre, je viens lécher son bout qui frémit sous mes caresses, mes mains viennent ensuite descendre le reste de son caleçon pour m’exposer sa queue en entier. J’ouvre la bouche pour le prendre à l’intérieur, commençant par avaler le 1/3 sans m’étouffer. Il s’amuse de moi pendant un petit bout de temps, à mon tour de l’exciter un peu. Sachant qu’il n’en a pas profité depuis plusieurs semaines, il risque d’être extrêmement sensible. Après quelques mouvements lents le long de sa queue, je l’extirpe dans un léger bruit de succion pour que ma main vienne prendre le relai. Pendant ce temps là, j’accumule un peu de salive dans ma bouche. Mon regard lubrique levé vers lui, le sourire aux lèvres, je finis par venir cracher sur sa queue tendue pour la lubrifier avant de retourner l’aspirer avec passion. Ma langue lape son gland pendant que mes lèvres, joueuses, avancent petit à petit sur son dard, essayant de s’enfoncer le plus loin possible dans ma gorge.

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Sa pression sur mon cou montre toute la possessivité de Souta, il ne veux pas que je m’éloigne de lui, que je m’échappe. Je sens que mes mains sur sa queue le perturbent, beaucoup plus qu’il ne l’aurait imaginé. Si un frisson d’extase apparaissait sur sa nuque, je ne serais pas surprise. Ma main monte et descends lentement le long de son épais chibre tout juste excité. Entre mes doigts, sa vigueur commence  à se faire sentir, le sang s’accumulant à chacun de mes passages. Quand ses doigts à lui s’amusent à caresser mes seins tendus, je soupire légèrement, me mordillant la lèvre pour éviter de gémir trop bruyamment. La localisation de nos ébats est audacieuse, trop audacieuse pour que je puisse m’exprimer ouvertement. Mes épaules se tortillent doucement sous la sensation et une chaleur excitante monte délicieusement dans mon bas ventre. Ses mots sur mes lèvres me font sourire. « Tu es pas trop mal non plus. Je suis pas sure de t’avoir déjà vu habillé aussi longtemps. » Il est vrai que notre dernière rencontre était relativement dénudée. « C’est un peu comme si tu avais perverti la bibliothécaire sexy non? » Puis sans attendre un mot de plus, ma langue revient rejoindre la sienne en riant.

Quelques secondes plus tard, le souffle court, ses lèvres finissent par quitter les miennes pendant que sa main lâche ma gorge pour rejoindre mes fesses. Son geste me fait fermer les yeux, profitant de son doux massage. Ca me rappelle des bons souvenirs. Mais un bruit de pas rapide nous oblige à nous interrompre en si bon chemin. Souta se sépare de moi rapidement et me place face aux étagères pleine de livres. Je ne vois pas vraiment ce qui se passe, je ne peux qu’écouter pour éviter de nous faire repérer. Je pensais que Souta allait juste attendre que la personne passe pour pouvoir recommencer son petit jeu ou qu’il allait juste me conduire un peu plus loin pour éviter les regards indiscrets. Mais non. Pire. Il veux continuer à jouer, là sous les yeux de la jeune inconnue. Quelques bouquins tombent, me faisant sursauter tout autant de l’étudiante. Je regarde Souta avec surprise, me demandant ce qu’il a en tête, puis je sens sa main se glisser sur mes fesses, cherchant ma fente déjà mouillée. Putain, on est sur un retour de l’exhibitionniste.

Je me souviens alors que tous les appels à la baise que Souta m’avait lancé pendant sa visite à l’hôpital, le drap qui tombe sur sa hanche pour exposer sa queue, ses phrases bien placées pour essayer de jouer, mais aussi de ses mains dominatrices pendant la pipe dans le hall d’entrée. Il aime ça, jouer avec le feu, s’amuser dans les endroits publics. Un léger hoquet me surprends quand Souta insère son doigt dans ma chatte trempée. Comme par réflexe, je tends les fesses en arrière pour en profiter un peu plus. La jeune femme peut uniquement voir nos visages. Elle ne peut voir que le grand sourire malicieux de Souta, très fier de son coup, sans comprendre pourquoi. Celui ci continue à lui parler, lui posant des questions hasardeuses, juste pour pouvoir continuer d’avoir un public pendant qu’il me baise avec ses doigts. Son pouce vient forcer le passage de mes fesses. Alors mes cuisses se resserrent et se tortillent pendant que ma chatte accueille un deuxième doigt. « Euuuh… Oui je crois que c’est au 3ème étage. » Réponds l’étudiante en souriant nerveusement. Elle ne comprends pas bien ce qui se passe. Le rose de mes joues devient incontrôlable, je sens tout mon visage s’empourprer. Une de mes mains vient s’agripper à l’étagère, serrant fort pour ne pas gémir. J’aurais voulu le toucher en retour, le branler pendant qu’il essaye de parler à l’inconnue d’en face, mais ma concentration est déjà focalisée sur le fait de ne pas lâcher de soupirs dans cette bibliothèque publique, je ne peux pas tout faire. Après quelques instants d’adaptation, j’essaye de retrouver mes esprits. Je desserre les cuisses, lui laissant un peu plus de place pour bouger et commence une petite rotation de hanches perverse pour m’empaler un peu plus sur ses doigts en regardant le sol pour éviter griller ma couverture d’étudiante innocente.

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Ces recoins de la bibliothèque sont les moins occupés. Les étudiants ne vont pas se cacher ici pour étudier, les faibles ampoules ne pouvant pas éclairer leur bouquins correctement. Les grandes étagères en bois et des épais livres donnent une odeur particulière à cet endroit, une odeur réconfortante pour moi. Mais je ne suis pas sure que tout le monde puisse dire pareil. Souta ne semble pas se reconnaître dans cet environnement, il me suit sans broncher, me laissant l’attirer dans un angle sombre. Le couloir est passager, quelques étudiants peuvent passer de temps en temps pour passer d’un bâtiment à un autre, mais caché dans l’ombre d’une étagère, à coté des lourds livres sur les mammifères du 15ème siècle qui ont disparu, personne -ou presque- ne pourra les voir.
 
Par contre, Souta semble attiré par l’idée de commencer à jouer dans cet endroit public, sous les yeux de tout le monde, mais caché dans un coin. Rapidement, il attrape mon menton et sa langue vient s’enrouler autour de la mienne. Il n’aura fallut que quelques minutes pour que notre excitation respective prête le dessus mais en même temps, c’était couru d’avance. La légère climatisation des lieux n’arrive pas à calmer le feu qui anime mes joues, et mon visage prends vite une couleur rosée sous l’excitation. « Je ne sais pas trop quoi choisir. Tes mains sur mes seins, tes lèvres dans mon cou, ton poids sur moi… » Puis d’un ton un peu plus bas, chuchoté. « Ou ton gout dans ma bouche. » Sur ces mots, Souta commence à jouer avec moi, allant vérifier l’humidité qui débute dans mes sous vêtements. Deux de ses doigts viennent caresser ma chatte, rentrant doucement de quelques centimètres à l’intérieur. Il s’en amuse. Mes hanches entament déjà un mouvement de balancier, essayant de les enfoncer un peu plus loin pour profiter de leur douceur, mais Souta a déjà d’autre idées en tête.

Il colle ma main à son entre jambe, me faisant sentir sa grosseur. Si je commence déjà à mouiller, lui n’est même pas encore bandé. Il faut dire que ça fait une demi heure que je fais défiler des images de la dernière fois dans ma tête, je ne peux qu’être excitée. Ma main s’aventure à définir les contours de sa queue, le massant délicatement à travers le tissu de son jean. J’avais presque oublié à quel point il était gros, même débandé. « Oui, j’ai essayé. Mais je n’ai pas trouvé de jouets assez gros pour te remplacer. » Je souris contre ses lèvres, dévoilant espièglement toutes mes dents. C’est un sacré compliment. Agilement, ma main fait sauter le premier bouton de son jean et glisse à l’intérieur. Ma peau fraiche entre en contact avec la sienne, bien au chaud dans son étui étroit. Un frisson parcoure Souta qui rejette la tête en arrière, m’exposant son cou. Ma bouche glisse dessus, y déposant quelques gentils baisers avant de mordre doucement la peau fragile de sa clavicule découverte. En relâchant ma prise, la morsure laisse une marque légèrement bleuté, un joli succion s’est formé sous mes dents. « Pas une seule fois? Tu ne t’es pas touché depuis 2 semaines? Tu dois être affamé. » La chaleur de son pantalon commence tout juste à réchauffer ma main quand mon pouce vient caresser son gland avec la pulpe de mon doigt. J’étale un léger filet de pré-foutre sur sa queue, avant de la sortir carrément de son écrin pour pouvoir le masturber tranquillement. De loin, les passants ne voient pas notre petit jeu, ils ne voient qu’un mignon petit couple qui s’enlace dans un couloir de livres désert. Mais de près, c’est une autre affaire.

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One Shot / Re : Retrouvailles [Astrid]
« le: dimanche 13 mars 2022, 13:36:57 »
La scène est sale. Hideo maintient mes cheveux d’une main pour mieux me cracher dessus, sa salive dégoulinant sur mon visage déjà souillé par son sperme et son urine, avant d’investir de nouveau mes lèvres. Il marmonne quelques mots que je n’entends pas et m’immobilise sur sa queue. Quelques secondes passent avant que je sente un liquide fluide me bruler la gorge. Putain, il me pisse dans la bouche. Le salaud a décidé de m’humilier encore plus en me forçant à boire son urine. Ses coups de bassin secs et profonds ne me laissent pas le temps de recracher et m’obligent à avaler le liquide chaud. Je fronce les sourcils et tousse sur sa queue, dégoutée par le gout resté sur ma langue.

Ravi, Hidéo me regarde m’étouffer sur sa bite, un sourire sadique sur les lèvres. Dans mon dos, je sens Toshio se rapprocher et défaire sa braguette. Hidéo force de nouveau contre ma glotte et me coupe la respiration en m’annonçant la suite des événements. Je n’ai même pas le temps de réagir que déjà, je sens la brulure de l’urine chaude humidifié mon chemisier, puis sur le bas de mon dos. L’urine de Toshio coule jusqu’a mes fesses, se mélangeant avec le sperme qui dégouline de mon anus, sous le regard lubrique d’Hidéo. J’essaye de protester d’un mouvement de tête, tentant de retirer sa queue de ma bouche pour arrêter le chauffeur, mais Hideo me maintient avec force. Il veux que l'urine me nettoie de partout, il veux me sentir trempé de pisse froide et odorante. Son gland tape contre ma glotte comme pour m’empêcher de m’échapper.

Souriant et soulagé, Toshio secoue sa queue molle au dessus de moi pour lâcher les dernières gouttes et recule de quelques pas pour admirer le résultat. Avec les forces qu’il me reste, je repousse le jeune homme qui me baise la bouche avec passion. Hors d’haleine, je m’assois sur mes talons, regardant Hideo d’en bas et entame de déboutonner ma corsage trempée, dévoilant mon soutien gorge en dentelle noire pour décoller le tissu mouillé de mon dos. Un frisson de froid me parcoure, ma chemise ouverte et trempée d’urine, je me rappelle que je suis presque nue sur un chemin de terre au bord d’une route. En m’appuyant sur le sol, je réussis tant bien que mal à me relever et attrape la queue tendue d’Hidéo d’une main, la serrant fort juste sous son gland. Mon autre main vient saisir la base de sa mâchoire pour l’approcher de moi. « Alors c’est ça que tu aimes? Souiller tes partenaires de sperme et d’urine? Tu es au moins tout aussi pervers que moi. » Et sans lui demander son autorisation, je plaque mes lèvres souillées contre les siennes, forçant l’entrée pour que nos langues se rencontrent. J’ai déjà comprit que le gout de son propre sperme ne le dérangeait pas, voir même qu'il l’excitait, alors j’en profite pour qu’il goute aussi au jet souillé d’urine qu’il a forcé dans ma bouche. Mon visage sali se colle au sien, mélangeant nos fluides respectifs. Ma main sur sa bite le dirige vers la voiture pour qu’il puisse s’assoir sur le capot sans que nos lèvres ne se quittent. Ma langue entrelace la sienne dans un bruit obscène et mouillé. Ca n’est qu’une fois que l’air commence à me manquer que je lâche ses lèvres, haletante contre lui. Un léger nuage de buée sort de ma bouche quand je sépare d’Hidéo, témoignant de la fraicheur environnante. Je n’accorde pas un regard à Toshio, seul à quelques pas de nous, sa bite molle entre les jambes. Grâce au luxueux mélange de salive et de sperme qui macule déjà son épais chibre, ma main n’a aucun mal à entamer un lent mouvement de haut en bas sur Hidéo. Mon corps se colle à lui pour chercher un peu de chaleur et mes lèvres se rapprochent de son oreille. « Hidéo, s’il te plait. Baise moi. » Les yeux vitreux, les joues maculées de mascara noir séché, le cul à l’air trempé de pisse, je le supplie presque. « J’ai besoin de jouir. Fais moi jouir. » Mon mouvement de main sur sa bite dure s’accentue, voulant le rendre assez fou pour qu’il me prenne là maintenant, sur le capot de la voiture.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rien à foutre ici. - PV Ryo -
« le: dimanche 13 mars 2022, 11:55:50 »
Ryo s’amuse à utiliser Genji comme il le souhaite. L’homme est maniable et docile, la force de caractère de Ryo suffit à le remettre à sa place. Tout mon petit discours n’a fait que rendre Ryo impatient. Les yeux rivés sur Genji, je sursaute que Ryo parle, fort, comme pour couvrir nos voix et reprendre le contrôle. Il semble intéressé par le fait d’être mater en train de baiser par un mec lambda. Rapidement, mon torse se retrouve plaqué contre la table d’auscultation, le cul en arrière. Ryo découvre mes fesses excitées et semble apprécié la vue. Est ce qu’il serait capable d’avouer que mon cul lui avait manqué? A cet instant, peut être. Je ne pourrais pas dire mieux, même si mon corps a gardé des séquelles de sa maltraitance pendant quelques semaines, je ne peux que soupirer d’excitation quand je sens son gros doigt couvert de vaseline investir mon anus. Mes hanches bougent légèrement pour venir à la rencontre de sa main mais ça ne plait pas à Ryo qui veux garder le contrôle de la situation. Sa deuxième main vient fesser la peau délicate de mon cul, laissant une belle trace rouge. Je savoure presque le moment et gémis pour lui montrer mon appréciation.

Brutalement, Ryo commence à jouer avec mon anus, l’ouvrant avec dureté pendant que Genji approche ses mains timides de mes épaules pour me maintenir sur la table. Sans le vouloir, sa bite vient se coller à mon visage dans l’action. Il a du mal à réaliser ce qui se passe. Durant des mois, il a observé de loin l’objet de ses désirs, imaginant leur relation saine et romantique et maintenant, il se retourne avec son entrejambe collé à son visage souillé des fluides d’un autre homme. Ca, il n’aurait jamais pu l’imaginer, même dans ses rêves les plus pervers. Genji s’excuse gêné par son comportement, voulant encore une fois essayer de me respecter, mais Ryo en a décidé autrement, il veux lui montrer à quel point je lui suis soumise. Rapidement et presque par contrainte, Genji se retrouve à me bifler gentiment. Ca manque de conviction, Genji semble plus soumis à Ryo que moi, mais c’est un début. Son pantalon de travail se retrouve maculer du foutre présent sur mon visage, laissant des traces blanches au niveau de l’entrejambe. A cet instant, Genji ne sait pas vraiment quoi faire de lui même, me regardant avec désir et confusion.

Toute la frustration des dernières semaines semble ressortir pour Ryo pendant qu’il force contre mon cul. Je lâche un gémissement de douleur quand mon anus se détends et qu’il s’enfonce avec rage. La bouche entrouverte, le bassin en arrière, je ne peux m’empêcher de geindre bruyamment. Je sens les pourtours de mon anus s’écarteler et essayer de s’habituer à sa présence étrangère, mes muscles se contractent légèrement avant de se détendre pour le laisser passer. Sa grosse queue bandée prends toute la place, il me remplit. La vaseline aide le mouvement à se fluidifier et l’homme réussit à se planter dans les profondeurs de mes fesses en quelques aller retours. Ryo grogne dans mon dos, appuyant avec force. Pendant que le flic s’acharne dans mon cul, besognant mon trou avec sadisme, Genji tente désespérément de me faire taire. D’abord, sa main essaye maladroitement de se poser sur ma bouche et étouffer le son de mes gémissements, mais les aller retours brutaux de Ryo l’en empêchent. Timidement, je le vois approcher deux doigts de mes lèvres et les mettre dans ma bouche, m’obligeant à les sucer. Ma langue s’enroule rapidement autour, les imprégnant de salive et les coups de rein de Ryo créent un mouvement de va et vient. « Putain… Tu... Tu es vraiment une salope. » Comme hypnotiser par la scène, Genji me regarde sucer avidement ses longs doigts fins, ne portant plus aucune attention à Ryo qui me baise. La bosse continue de grandir et prends toute la place dans son pantalon. Son autre main la vient frotter, la déplaçant légèrement sur le coté pour qu’elle puisse continuer à gonfler. Sa queue n’a pas l’air aussi impressionnante que celle de Ryo mais elle n’aura aucun mal à me remplir la bouche. Le regard vitreux et fou de désir, Genji pousse ses doigts plus loin dans ma gorge et caresse ma glotte, me faisant ouvrir la bouche en grand et tirer la langue. Haletante, je ne peux que me soumettre à ses actions, ne pouvant absolument pas réfléchir à ce moment, essayant seulement de me concentrer sur le plaisir que Ryo me procure en baisant mon cul. J’avais clairement besoin de cette baise, Ryo bute contre mon bassin, m’amenant avec lui dans ses mouvements pour aller plus profond. Je sens une vague de plaisir monter en moi à chaque mouvement et me rapproche dangereusement de l’orgasme. Presque craintif, Genji lève les yeux vers Ryo, gardant ses doigts bloqués sur la base de ma langue. « Est ce que… Est ce que tu peux lui claquer les fesses? Les rendre rouge? » Lui demande-t-il, gêné, pendant que son autre main commence à baisser son pantalon de coton pour sortir sa bite.

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Le premier texto de Souta me fait sourire, j’aurais du me douter qu’étudier n’était pas un réel motif de refus suffisant pour lui. Mais en même temps, c’est peut être le genre de distraction dont j’aurais besoin aujourd’hui. Souta et moi n’avons pas vraiment eu l’occasion de « discuter » plus sérieusement et c’est peut être ça qui m’attire chez lui, je n’ai pas vraiment besoin de réfléchir, je peux juste me laisser aller. Avec un peu de bol, une petite baise entre deux étagères m’aidera à retrouver mes esprits… Ou pas.

Une fois l’adresse envoyée, Souta mets quelques minutes à répondre, je me demande presque s’il regrette son intention de venir me voir ici. Puis je me rappelle que ses tendances exhibitionnistes, qu’il s’est laissé sucer dans un hall d’immeuble passager et donc qu’il n’a certainement pas peur d’une petite bibliothèque d’université. Riant pour moi même, je suis même sure qu’il a déjà fait pire. Il faut que je lui pose la question. L’écran de mon téléphone se rallume quelques secondes plus tard m’indiquant que Souta m’a envoyé une photo. Fronçant les sourcils, je déverrouille mon téléphone, surprise d’avoir reçu une photo de lui. L’image de son caleçon bien moulé apparait entre mes doigts et mon visage rougit à la vitesse de l’éclair. Je plaque mon écran contre moi, regardant autour de moi pour être sure que personne n’a pu voir la photo. Aucune des têtes environnantes n’a l’air d’avoir prêté attention à mes mouvements brusques, tous semblent passionnés par leur lecture. Un soupir de soulagement m’échappe. Sa passion pour les photos compromettantes me fait doucement rire - lui qui a aussi prit en photo mes fesses la dernière fois - mais pas que. Je sens que cette petite image ne m’a pas laissé indifférente et que l’idée qu’il vienne me rejoindre ici commence tout doucement à m’exciter. Des scènes de baises silencieuses et discrètes envahissent ma tête. S’il y avait encore un espoir que je puisse travailler cet après midi, il vient de partir en fumée. Je tapote rapidement sur mon écran, répondant à son texto hâtivement. « Dépêche toi d’arriver. »

Une petite demi heure s’écoule et je suis presque bouillante. Des souvenirs de nos derniers ébats se sont emparés de mon esprit depuis plusieurs minutes déjà, je me retiens d’aller le chercher dehors et de le plaquer contre un mur. Soudain, une grande tête grise apparait au loin. Les cheveux ébouriffés, une veste en cuir par dessus un pull en laine, un casque de moto à la main, l’image même du mauvais garçon. Je le regarde avancé dans l’allée principale, me cherchant du regard. Il est différent de tous les étudiants présents dans la pièce, plus détendu, moins sérieux, plus taquin, plus baisable. Quand il m’aperçoit, je lui souris discrètement puis me lève de ma chaise pour le rejoindre. Arrivée devant lui, je grimpe sur la pointe des pieds pour déposer un baiser sur sa joue tout en gardant un sourire espiègle. « Salut. » Ne cherchant même pas à discuter plus longtemps, je glisse ma main dans la sienne et l’incite à déposer son casque près de ma chaise puis je l’embarque dans les divers étages de la bibliothèque. Je connais l’endroit comme ma poche vu les nombreuses heures à explorer le lieu à la recherche de bouquins. Dans un recoin sombre, au fond d’un couloir désert rempli de livres sur la paléontologie, je l’entraine près de moi. « Est ce que tu crois que je t’ai manqué autant tu m’as manqué? » Tout près de son oreille. Je glisse sa main toujours accrochée à la mienne sur le pli de ma jupe, remontant légèrement le tissu et exposant ma cuisse nue. « Parce que moi, ton corps m’a beaucoup manqué. » Mes intentions sont clairement exposées, je n’ai plus rien a cacher. Pour contrebalancer mon comportement audacieux, mon autre main vient caresser son visage, amenant doucement son front contre le mien pendant que je dirige ses doigts plus haut sous ma jupe.

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One Shot / Re : Retrouvailles [Astrid]
« le: mercredi 02 mars 2022, 23:15:52 »
Presque brusquement, le comportement poli de Toshio change sous l’excitation. L’homme qui me tenait gentiment la main il y a quelques minutes, se retrouve maintenant à m’insulter copieusement en cognant contre mes fesses. Mes hanches, frottant sur son sexe, semblent lui faire perdre la tête. Il force contre mon cul, se perdant dans les méandres de la luxure. Dans cette position, je ne vois pas son visage, je ne peux que sentir son chibre écartelé les contours de mon anus excité. Toshio ne prête aucune attention de mon plaisir, ses coups de rein affamés claquent sur mes fesses, sa main serre ma gorge, coupant presque ma respiration et forçant mon corps à se cambrer un peu plus vers lui. Ses va et vient sont profonds et élargissent le chemin, exactement comme Hideo lui a demandé. Il me défonce, me faisant heurter le capot à chaque passage dans un bruit clinquant. Hidéo est à coté, observant la scène avec un air approbateur et sadique. Il aime me voir dans cette position de faiblesse, le cul en arrière, soumise à son chauffeur qui se branle dans mon trou béant. Je le vois descendre sa fermeture éclair et ressortir sa queue qui me donne tant envie. Il voit tout le désir de petite dépravée que j’ai pour son entrejambe plus qu’imposante. Hidéo se soulage sur le bas coté pendant que son chauffeur lui ouvre le passage en me besognant violemment.

Une chaleur irradiante monte en moi, je sens de nouveau l’orgasme pointé le bout de son nez. « Encore. Putain, encore plus fort. » Et Toshio bouge plus fort, plus instansément. Les muscles de mon anus se contractent, mes jambes se mettent à trembler, je sens tout mon corps se crisper sous les coups de butoirs. Voyant le plaisir m’emporter, Toshio en profite pour se rapprocher de mon visage et glisser sa langue entre mes lèvres. Il sent le tabac froid et l’eau de cologne bon marché, le mélange est très désagréable. Mon excitation retombe légèrement. Un peu dégoutée d’embrasser un homme deux fois plus vieux que moi, je tente de le repousser, mais sa main sur ma gorge m’en empêche. Beaucoup trop excité par la perversité de la situation, le gros sexe du chauffeur se contracte lui aussi dans mon dos et pendant qu’il me donne un coup de rein ultime, des insultes crus sortent de ses lèvres, agrippant un peu plus fort mon cou entre ses doigts. Le sperme qui me remplit me surprends presque autant de lui, le liquide chaud et visqueux comble le trou qu’il a ouvert avec force. L'orgasme que je désire tant, m'a encore une fois été refusé.

Après s’être vidé correctement, Toshio se retire, admirant presque son chef-d’oeuvre. Mon visage tombe sur le capot, trouvant un peu de réconfort dans le fraicheur de celui ci. Ma respiration essaye de retourner un rythme normal après cette baise aussi bestiale qu’inattendue. La voix d’Hidéo me ramène à la réalité. J’ouvre les yeux et suis son doigts qui désigne le sol, il prends son énorme bite en main et l’exhibe d’un mouvement lubrique devant mes yeux. Je le rejoins avec impatience, la faiblesse de mes jambes me soutenant à peine.

A genoux, sa bite devant mon visage, les genoux égratignés par les cailloux, je le regarde d’en bas, comme une bonne petite soumise. Je sens mon anus défoncé pulsé, dégoulinant de sperme sur le gravier, essayant tant bien que mal de retrouver une forme normale. Comme il me l’a demandé, je sors légèrement ma langue, venant lapper son gland. Le gout d’urine encore chaude envahit sur mes papilles, provoquant un mouvement de recul. Jusque là, la punition d’Hidéo était certes surprenante mais je me doutais que son intérêt premier serait pour mon cul qu’il a vu se faire défoncé il y’a des années, par contre lécher son urine, le nettoyer après qu’il ait pisser, ça c’est humiliant. Alors même que mon cul est béant, suintant de sperme, je ne me suis jamais senti aussi sale. Ne voulant pas m’arrêter pour autant, j’humidifie mes lèvres et reprends son nettoyage, ouvrant ma bouche pour le glisser au fond. L’urine se mélange à ma salive, laissant un arrière gout âcre dans ma gorge. Tout en le regardant, je m'enfonce sur sa grosse queue, avant de la ressortir de ma bouche et d’utiliser ma langue pour caresser son méat. Je sais le pouvoir que je peux avoir sur lui, je sais à quel point il a apprécié la fellation précédente, je sais comment il serait facile de reprendre le contrôle, mais j'attends patiemment, le laissant se convaincre que c'est lui qui dirige, qu'il a le pouvoir, juste pour voir la suite de ses idées perverses.

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Salles de cours et bibliothèque / Littérature & Orgasmes - PV Souta-
« le: mardi 01 mars 2022, 12:20:06 »
Deux semaines s’étaient écoulés depuis notre dernière rencontre. Des textos avaient été échangés, des rendez vous avaient été pris ,mais à aucun moments, nous avions réussi à nous voir. Cette rencontre aussi excitante qu’étrange avait pourtant si bien fonctionné que Souta comme moi voulions recommencer l’expérience. Nos emplois du temps étaient un peu trop complets pour pouvoir se voir, ça n’était pas l’envie qui manquait mais la fatigue prenait souvent le dessus. Et personnellement, j’avais envie d’être en forme. Une petite baise en missionnaire sur le canapé ne m’aurait absolument pas satisfaite. Souta semblait du même avis. On avait besoin d’être en forme. Des souvenirs de notre matinée ensemble me revenaient régulièrement, me donnant le sourire pendant mes cours ou m’excitant légèrement en mangeant avec mes collègues. Je n’apprécie pas forcement l’attente mais celle ci était plutôt plaisante, j’anticipais déjà les prochains orgasmes, rêvant des folies que Souta pourrait faire sur mon corps. Notre penchant pour l’exhibitionnisme était plutôt clair, même si très risqué.

Quelques temps plus tard, un jeudi après midi classique, je me retrouve à la bibliothèque de l’université de Kyoto. Ma matinée sur les ravages de l’éthylisme chronique chez les patients insuffisants rénaux n’a pas été très productif. Mon concentration ne fonctionne pas aujourd’hui, j’essaye de comprendre le sujet mais rien ne marche. Je suis installée depuis 9h sur une petite chaise de bureau en plein milieu de l’université, avec mon café froid, mais rien y fait, ça ne rentre pas. C’est un dossier à rendre d’ici quelques semaines, j’ai encore un peu de temps pour travailler dessus mais j’aurais voulu finir tôt pour être tranquille, comme la bonne petite fille modèle que je suis. Certains de mes collègues n’ont même pas commencé à mettre le nez dedans. Le carnet en face de moi est rempli de notes incompréhensibles, quand je me relis, je n’y comprends rien. J’ai passé toute la matinée à étudier pour ne rien avoir à ce stade. C’est frustrant. D’humeur presque boudeuse, je m’adosse contre le dossier de ma chaise et croise les bras sur ma poitrine, scrutant mon bout de papier. Cette après midi était censé être plus productive… Je vais rentré bredouille. Mes mains moites essayent de lisser ma jupe sur mes genoux, vieux réflexe de stress causé par le port de l’uniforme dans les écoles anglaises, je cherche à desserrer le noeud de ma cravate, que je n’ai pas, ça me fait rire et me rappelle toute mon enfance dans les grandes écoles catholiques. Mon esprit divague. Vexée par mon manque de concentration, je décide d’aller prendre un nouveau café.

Mon téléphone vibre dans la poche de ma jupe en chemin vers la machine à café. Souta. « Je suis dispo aujourd’hui. Tu fais quelque chose? » Ma frustration grandit. Le seul jour où j’aurais pu l’inviter à . Un soupir d’exaspération m’échappe au milieu de la bibliothèque silencieuse, quelques regards se retournent vers moi, désapprobateur. Je souris nerveusement et m’excuse de la main avant de me déconcentrer sur mon téléphone. « J’aurais préféré te dire oui, mais je suis coincée à la bibliothèque pour aujourd’hui. Ce weekend peut être? » A la machine a café, tout le monde m’emmerde. Ils sont 25 000 devant à discuter d’un film que je n’ai pas eu le temps de voir, ils prennent de la place et je ne peux pas accéder. Je fusille du regard tous mes voisins qui me laissent passer avec frayeur. La machine finit par me donner le liquide noir tant désiré et je retourne m’assoir devant mon livre incompréhensible.

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