Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Ryo

Pages: [1] 2 3 ... 12
1
Nao avait un peu glissé sur son siège. Les cuisses écartées, il avait tout loisir de regarder Laëlia engloutir sa queue sans modération. C'est qu'elle encaissait la chienne! Et quand elle pouvait faire mine de ralentir, il lui rappelait d'une lourde pression sur la tête qu'il comptait bien user de cette gorge comme bon lui semblait. Les gargouillis visqueux qu'elle émettait plus ou moins discrètement ajoutaient à l'euphorie du garçon, l'emballant encore plus et l'incitant à se montrer encore plus vulgaire.

Après quelques allers et retours bien baveux, il se retira du gosier de la fille comme un serpent sortant de son trou en raclant les bords. Il ramena avec lui des monceaux de salive qui lui garnirent le fond du slip. Saisissant son sexe collant par la base, il le frotta contre le beau visage de Laëlia avant de lui tapoter sur les joues, y délaissant une couche luisante et odorante. Il lui adressa un clin d’œil complice en espérant qu'elle apprécie le traitement et s'arrangea pour qu'elle se redresse un peu aussi. Se glisser entre la tablette et son gros bide devait être une épreuve mais elle y parvint. Ses gros nibards vinrent tout naturellement envelopper le chibre de l'étidiant, le noyant aussitôt dans un cocon doux et chaud. Des nibards pareils ne couraient pas les rues. Ils étaient aussi lourds que ronds et fermes et étaient idéalement bien foutus pour une branlette espagnole.

Nao tenta de donner un coup de reins mais l’exiguïté de l'endroit l'en empêcha. Il grogna.

"Branle moi avec tes gros seins Laëlia."

Lui-même les pressait de part et d'autre, comprimant sa queue qui disparaissait entièrement entre ces mamelles énormes. Seul le gland jaillissait par intermittence, petite tâche claire isolée contre cette peau sombre.

"Oh bordel, comme c'est trop bon!"

C'était peu dire. Il avait entre les cuisses LA bombe sexuelle du bahut qui s'acharnait à le faire gicler entre ses seins... Le regard de Laëlia promettait bien plus d'ailleurs et la question de savoir comment allait tourner la suite se posait. Leur petit jeu atteignait déjà les limites de l'acceptable ... si on pouvait qualifier d'acceptable le fait de se faire tailler une pipe pendant un cours en amphithéâtre...

Il se pencha sur elle, écrasant la grosse poitrine avec son bide, et murmura:

"Je ..."

Il fut interrompu par une violente secousse et se répandit encore une fois en grosses quantités. Le sillon du creux de la poitrine de Laëlia se remplit de sperme jusqu'à déborder. Des rigoles de foutre dévalèrent les courbes rondes de ces seins parfaits pour goutter ensuite sur les cuisses de la filles. Une giclée puissante était même venue s'écraser sous le menton de Laëlia. La fille jouait à la perfection le rôle de réceptacle à semence.

"Woooaah ... je l'ai pas vu venir!"

Évidemment, Nao ne s'excusa pas, anticipant ses prochaines envies.

"J'ai très envie de t'enculer mais ça craint ici non?"

2
Une pipe mémorable? Rien qu'une blowjob comme ils disent en anglais? Ah non non non, surement pas. Ces trucs tout propres, c'est ce que Nao regardait quand il s’était lancé dans le visionnage de porno en ligne. Là, aujourd'hui, il était expert en deepthroat et facefuck, et l'historique de sa navigation sur le net tournait en ce sens. Lui, ce qu'il kiffait, c'était les filles à genoux entrain de se faire troncher la gueule, du mascara coulant plein les joues et bavant et salivant pendant qu'une grosse bite leur déformait la gorge. Là, on pouvait commencer à parler! L'esprit complètement oblitéré par ce qu'il matait tout les soirs, Nao avait perdu le sens de la réalité malgré la proposition alléchante de Laëlia.

L'étudiante n'avait pas perdu de temps pour se glisser sous la tablette pour faire connaissance avec l'engin du garçon.Un coup de langue et un bisou plus tard, Nao manquait exploser une nouvelle fois mais il parvint à rester digne. Il fallait saisir cette chance qui s'offrait à lui car peut être que ce serait la seule et unique fois où il pourrait profiter de cette opportunité. Laëlia devait être d'humeur très chienne pour faire ce qu'elle faisait et peut être que cela ne durerait pas. Alors autant qu'il se lâche, dans le doute, pour ne rien avoir à regretter après!

"A...attends! Pas ... comme ça!"

Il se tortilla sur sa chaise pour bien baisser son falsar sur ses chevilles et glissa sur l'assise du siège pour être plus à l'aise. La langue de Laëlia faisait des merveilles mais Nao voulait plus, et tout de suite. Pour sa première fois, il comptait bien défoncer cette jolie gueule d'amour. Le garçon prit la tête de la fille à deux mains et sans prévenir, pesa dessus de toute ses forces. Son gros gland buta contre la luette mais il ajusta l'angle d'entrée et pressa plus encore, comme un salopard bien vicieux. Il s'engouffra de tout son long dans la gorge de Laëlia et même s'il râpait sur les bords, la sensation fut extraordinaire.

"Putain de bouche de salope!"

C'était sorti tout seul et un peu fort aussi il se figea et observa les alentours, sans que rien ne l'alerte heureusement. Il bloquait la tête de la fille et donna deux coups de reins pour terminer de l'empaler. Les délicieuses lèvres vinrent se verrouiller à la base de la queue et c'est seulement là qu'il s'autorisa à jouir. Il cracha à nouveau d'épaisses giclées bien dégueus directement dans l’œsophage de Laëlia qu'il se refusait à libérer. Oh, elle pouvait gigoter mais rien à branler! Cette bouche à bite là, c'était la huitième merveille du monde! Il s'y vida donc profondément, et excité comme il l'était, il ne perdit pas un centimètre de vigueur. Dans ce gosier, il occupait tout l'espace. Qu'elle se démerde pour respirer, dans les films, les actrices y arrivaient. Et puis il se mit à la faire pomper, bien hard, bien baveux. Il la libéra d'une main pour venir tâter la gorge remplie de sa grosse queue qui y ramonait dur. Il se sentait bouger en elle et s'emballait un peu en la baisant ainsi.

"Ouais putain, suce plus fort! Fous moi tes mains dans le dos!"

Un vrai pro ... il aurait eu la place, il aurait croiser ses jambes derrière sa nuque pour la coincer mais entre la tablette et son gros bide, ça ne passait pas.



XxXxXxXxXxX


Avachi sur son siège, Takeshi ne ratait pas une miette du spectacle écœurant qui se passait un peu plus loin sur sa droite. Lui aussi avait depuis un moment des vues sur Laëlia, et que ce soit ce débile grassouillet de Nao qui se le fasse le foutait dans un état de rage difficile à contrôler. Le garçon était un costaud et dirigeait un groupe de durs qui semaient la zizanie sur le campus. S'il était là, dans cet amphi moisi à se faire chier, c'est parce qu'il fallait qu'il relève sa moyenne sous peine de se faire virer. Alors disons qu'il faisait l'effort d'assister aux cours de Masato. Habillé de noir et presque couché sur son siège, les deux baiseurs ne l'avaient pas vu mais lui en revanche, les filmait avec son portable en lumière basse. Il était certain qu'il pourrait en tirer quelque chose ...

3
Ça ? Et bien ça, c'est le fantasme de trop qui dérape et qui finit en eau de boudin. Face au regard inquisiteur de Laëlia, Nao manque se liquéfier, le pauvre garçon se voyant déjà convoqué dans le bureau du proviseur en présence de ses parents. Difficile de trouver une excuse à son geste … Tout va très vite et le petit bonhomme d'habitude hargneux en perd ses moyens face à celle qui le fait kiffer comme un fou. La situation est simple : il vient d'éjaculer sur une fille qui ne le connaît pas, sans son consentement, et dans un lieu public. Au Japon, pour un truc pareil, on risque la peine de mort ou à minima l'ablation des testicules, ce dont Nao n'a sûrement pas envie.

Le garçon est rouge et commence immédiatement à avoir très chaud. C'est comme s'il sautait à pieds joints dans le cratère d'un volcan … Il déglutit et s'apprête à sortir l'excuse la plus pathétique de sa vie quand la fille lui coupe l'herbe sous le pied. Elle parle à voix basse, heureusement , et il fait oujours aussi sombre donc personne ne devine le manège qui se déroule. Cependant, Nao peut avoir une vision parfaite sur deux gros nibards prêts à jaillir du bustier pour lui sauter au visage. La salope, pardon … Laëlia, qu'il découvre subitement sous un nouvel angle, réagit complètement à l'opposé de ce qu'il aurait pu attendre. Nooooooooooonnnnnn ! Elle bouffe son foutre et l'allume ! Immédiatement, l'érection tombante de Nao retrouve une vigueur d'enfer et sa queue darde vers cet aimant à bites. D'un coup, les craintes et la frayeur de Nao se dissipent, vaporisées dans un champ de possibilité infini avec cette bombe sexuelle. Le caractère naturel du garçon revient au galop et une fois sûr qu'il ne risque ni périr ni d'être renvoyé, il reprend confiance en lui.

Nao recommence à se branler, mais juste avec l'objectif de rester raide. Le garçon n'a pas le physique d'un beau gosse, comme ces abrutis de basketteurs de l'équipe du bahut, loin de là, mais en revanche il possède une grosse paire de baloches et un mandrin de yéti. Enfin ... c'est comme ça qu'il le définit théâtralement, personne n'ayant jamais vu un vrai yéti.  En tout cas, l'épaisseur et la longueur restent appréciables pour celles qui auraient envie d'y goûter.

C'est peut être un changement de cap qui s'annonce à cet instant, l'opportunité de crever l'abcès d'une existence basée sur le visionnage de vidéos pornos et de rêves de fion torrides. Aussi, il répond en espérant avoir l'air assez sûr de lui.

"Ben, comme j'arrive pas à accéder à ton Onlyfans (un site pour les cochonnes qui aiment s'exposer), j'ai décidé de passer par la case réalité. Je ne savais pas pour le visage, mais si ça avait été le cas, bien entendu, je me serai déplacé pour te faire plaisir. Ça t'a plu en attendant ?"

Ce faisant, il se pencha vers elle et osa tirer un peu le bustier vers les hanches de la fille pour libérer ses gros seins. Ce fut comme un déballage de courses sur la tablette de Nao.

"Putain …"

Il les soupesa en fixant Laëlia dans les yeux. Sa main droite, encore toute poisseuse de son précédent petit plaisir solitaire imprégnait la peau sombre de la fille des résidus de sa semence.

"Bon sang! Ils sont parfaits !!"

Ronds, lourds, invasifs, ces nibards promettaient des chevauchées espagnoles exceptionnelles ! Nao en titilla les tétons avant de les faire rouler entre ses doigts. Cette magnifique salope était d'une beauté redoutable et lui, le petit gros qui faisait marrer tout le bahut, la pelotait comme un gros pervers.

"Tu veux passer sous la table ?"

4
Le cours de Sensei  Masato était inintéressant au possible. Les règles relatives à la physique appliquée restait un domaine pour lequel Nao n'éprouvait aucun intérêt. Pourtant, le garçon était loin d'être bête. Il excellait en mathématiques modernes, brillait en japonais et avait des résultats remarquables en technologie. Geek confirmé, le codage et la programmation n'avaient pas de secrets pour lui. Son ordinateur portable était son meilleur ami et dès qu'il avait un moment de libre, il l'allumait pour s'adonner à ses passions numériques.

Bien évidemment, cela avait un coût humain et cette sédentarisation voulue pesait sur son anatomie. Nao était gros, disons le, il ne faisait aucun effort pour entretenir une condition physique et en plus, il mangeait comme un ogre. Sodas, burgers, fast foods en tout genre alimentaient son quotidien et il s'assumait complètement.

Les quolibets et moqueries de ses camarades au campus ne le touchaient pas, il s'en foutait éperdument. Et puis, son caractère jouait aussi pour lui puisqu'il était particulièrement hargneux et agressif quand on venait le chercher. Certains guignols en avaient fait les frais à leurs dépens et depuis, Nao trainait la réputation du petit gros qu'il ne fallait pas faire chier. Il ne recherchait pas particulièrement le contact des autres et préférait s'isoler dans sa bulle. Cette solitude lui convenait et quant aux besoins naturels pour un garçon de son âge, il les comblait en s'abreuvant de contenus pornographiques sur le net. Oh ça, il était expert en la matière et aucune pratique e lui était virtuellement inconnue. Il passait des heures  à s'imaginer acteur X et tronchant toutes les beautés de son bahut.

D'ailleurs à ce sujet, un point sensible le titillait. ELLE! Précisément l'étudiante que tous les mecs mataient comme des cochons et que personne n'osait aborder tant elle était belle! Elle était une vraie princesse d'une contrée éloignée, en tout cas c'est l'image qu'elle rendait. Laëlia était son nom. Des histoires étaient murmurées à son sujet mais les garçons avaient tellement peurs de se faire rembarrer qu'ils hésitaient à venir lui parler. Pourtant elle était aimable et agréable même s'il se dégageait d'elle une aura bien particulière, magnétique. Pour Nao, cela affectait directement son mental puisqu'il s'arrachait la queue la nuit en se masturbant en pensant à tout ce qu'il voudrait lui faire.  Il était amoureux? Peut être ... En tout cas, physiquement, il la trouvait divine.

Ils n'étaient pas dans la même classe mais suivaient ensemble le cours de M. Masato, deux fois par semaine. La séance se déroulait dans le grand amphithéâtre qui était loin d'être bondé. Il y faisait assez sombre et Nao était arrivé le premier. Il s'était installé un peu en hauteur, espérant pouvoir dormir sans être dérangé. Il attendait juste de voir arriver Laëlia pour admirer son beau profil et sa poitrine qu'il adorerait peloter, entre autres.

Et elle entra. Superbe! Et pourtant, elle était aussi naturelle que possible, décontractée, sereine, et par le plus grand des hasards, elle vint s'asseoir dans la rangée juste devant lui, légèrement en contrebas. Pourquoi là alors qu'il n'y avait personne autour? Merci le destin. En tout cas, son odeur délicieuse envahit les narines du garçon et l'imagination de ce dernier se mit à galoper. Elle avait les épaules et le haut du dos nus et Nao avait une vue plongeante sur la beauté fatale. Évidemment, il mit moins d'une minute à bander à encore une minute plus tard, il essayait de réfréner une envie furieuse de se branler.

Le cours commença et la démonstration de M.Masato se faisait sur grand écran, la salle restait encore plus sombre. Allez ... pourquoi pas ...

Nao défit lentement sa braguette et sortit son sexe raide.  Discrètement il commença à se masturber ... Les seins de Laëlia, le cul de Laëlia, la bouche de Laêlia ... que de fantasmes! La première giclée, énorme, le surprit lui-même. Deux autres suivirent avant qu'il n'ait le temps de comprimer son sexe et de le remballer vite fait. Merde! C'était aller trop vite, trop intensément. C'était crade mais heureusement, les tablettes de l'amphithéâtre étaient fixées sur le dossier du siège de devant et ...

Nao se pencha pour tenter de voir l'ampleur des dégâts et se figea, pétrifié d'horreur. Non, il n'y avait rien d'autre sous les tablettes qu'un vide et quelques courtes dizaines de centimètres plus loin, le dos de Laëlia, devenu pour la circonstance un magnifique réceptacle à foutre. Les trois grosses giclées de Nao s'étaient écrasées entre les jolies épaules et dévalaient en grosses coulées épaisses.

En un instant, Nao vit toute sa vie défiler pour se terminer abruptement dans les méandres de la honte. Laëlia allait se lever, se retourner et lui donner une baffe comme jamais il n'en avait pris...

5
Un orgasme féminin aussi violent et humide, ça peut être très intimidant. A la première contraction de Nea et au geyser qui suit, les gars restent bouche bée.

Shin : "Putain, j'ai jamais vu ça ! Je croyais que ça existait que d ans les films !"

Il essuie une coulure de cyprine qui goutte de sa joue et ne pense même pas à la goûter. Le spectacle est parlant. La fille se tord sous une jouissance intense provoquant encore un orgasme d'Akihiro qui l'inonde comme s'il avait des réserves inépuisables. Le chef du gang se crispe, enfonce ses doigts dans les hanches de la fille et manque hurler de bonheur. Ensuite il s'effondre sur elle, l'écrasant de son poids tandis que dessous, Tomoya vit le même délire. Les hommes n'en peuvent plus, ils sont épuisés. Ils ont tout donné, et bien plus encore, leurs cuisses leurs font mal, et leurs queues ont tellement limé qu'elles en sont toutes irritées et sensibles.

Tant bien que mal, les deux derniers purgeurs se retirent de la danseuse, la laissant mariner dans son jus et le leur. Leur coin de salon pue le sperme et la transpiration. Les fauteuils sont tâchés et le sol glissant. Les six lascars s'affalent sur leurs coussins, nus comme des vers, et boivent pour se désaltérer. Avec ce qu'ils ont lâché, ils frôlent la déshydratation.

Jin : "Boss, on pouvait pas rêver mieux pour fêter notre victoire, merci putain !"

Akihiro : "Vous le méritez bien les gars. Et puis cette pute, c'est un coup de bol. Tiens d'ailleurs … Hé Nea, tu voudrais pas bosser pour nous par hasard ? Y'a un gang complet qui pourrait te passer dessus, je suis sûr que tu dirais pas non."

Les autres approuvent. Là, ce soir, ils ne sont que six, mais il y en a plusieurs dizaines de plus qui aimeraient s'éclater aussi. Peut être qu'organiser une partie de fion au repaire du gang serait envisageable. Nea a bien prouvé qu'elle est une véritable nymphomane mais la petite, derrière eux, qui se fait éclater le cul par un paquet de clients envieux pourrait aussi participer …

Et puis c'est le gong de la fin. Il est tard et le club va fermé. Nea s'est faite déboîter pendant des heures et elle risque de roter du sperme pour un moment, entre autres. Un par un, les gars prennent un selfie avec elle. De la bombe sexuelle , la photo renvoie un visage marqué, souillé, couvert de foutre. Ses cheveux sont agglutinés en grosses mèches collantes et ses cils accueillent des gros paquets de foutre. Certains poussent le vice en lui enfoncer un doigt dans le cul en l'embrassant. Ils lui promettent de revenir, ce qui est certain et après s'être rhabillés, quittent l'établissement en laissant derrière eux un sacré bordel.

Putain de nuit !


6
Centre-ville de Seikusu / Re : 6on1 - La grille gagnante [PV. la cochonne du club]
« le: vendredi 22 septembre 2023, 09:03:54 »
Akihiro: "Gentleman? Hey les mecs, y'en a un parmi vos qui est un gentleman?"

La question provoque un rire de l'ensemble des gars qui évidemment répondent tous par la négative. Les politesses et les trucs mignons, ce n'est pas pour eux. ils ont encore le sang chaud et les couilles gonflées et même si l'un d'eux risque de claquer par overdose de stimulants sexuels, ils ne font pas baisser le rythme pour autant. Pour montrer l'exemple, Tomoya vient se caler sur le bord du "stage". Il s'y assoit, la queue bien raide juste à côté du visage de la fille et la saisit par les cheveux pour guider sa bouche sur son mandrin. Le salopard pèse de tout son poids sur la tête de la danseuse et plonge au fond de sa gorge.

Tomoya: "RRhhaaa bordel! C'est comme foutre sa queue dans une pastèque chaude. Elle est sans fond celle-là!"

La comparaison reste discutable mais en un sens l'homme à raison. il pilonne la gorge de la fille sans aucune considération et où qu'il tape, il trouve la possibilité d'aller encore plus loin. Il exerce des pressions sur les muqueuses et bien foutu comme il l'est, il arrive à s'engager dans l'œsophage de la belle. Là, il nique de travers pour chercher les limites de Nea, sans les trouver. Aussi, à la limite d'être frustré, Tomoya vient croiser ses jambes derrière la nuque de la fille et lui verrouille la tête entre ses cuisses.

Tomoya: "Faut croire qu'elle a pas assez morfler les mecs ..."

C'est bien le cas mais ils ne le savent pas. Daisuke prend l'initiative de revenir la prendre par derrière. A sa première poussée dans le cul de la fille, un geyser de foutre sous pression lui gicle sur le ventre, éjecté du fion rempli par l'entrée de sa queue.

Daisuke: "Baaahhh ... dégueu!"

Mais il s'en fout et la défonce à nouveau, pilonnant dans le lac de foutre que ses potes et lui y ont laissé. Il met peu de temps à refaire le niveau et se retire. C'est un nouveau cycle qui s'engage et comme aucun d'entre eux n'est encore une fois, pas un gentleman, ils se déchainent dans le cul de la danseuse encore et toujours. Le temps s'écoule et Tomoya se délecte toujours de la bouche de la salope mais quand il en a marre de tenter en vain de la soumettre, il se retire et lui gicle à la gueule. Cela ne fait qu'ajouter une énième couche de foutre sur la peau de la fille. Si le sperme avait des propriétés régénérantes, autant dire que Nea ressortirait de cette séance dans une forme exceptionnelle! Ce sera d'ailleurs peut être le cas.

Le temps d'une micro pause, de nouvelles boissons sont commandées. La serveuse se fait tâter les fesses au passage mais l'objectif général reste bien la nénette dégoulinante aux cheveux collés qui regarde les hommes d'un air gourmand. Son regard pèse lourd sur la virilité des hommes et Ken ne tolère plus qu'elle leur résiste. A même le sol, il l'allonge sur le dos et vient lui empaler la chatte. Il rue en elle et la plie entre ses bras, la sautant en la contraignant à des contorsions impossibles. Là encore, certains clients s'offusquent mais attirant les regards de mépris du reste du gang, ils s'écrasent. Ken roule, entrainant Nea sur lui. Jin plonge dans l'ouverture et vient aussi investir la chatte jusque là préservée. A deux, ils lui administrent une double pénétration vaginale magistrale!  Jin enveloppe le joli corps de ses bras laissant juste les gros nibards compressés entre ses avants bras. Ken en profite pour leur filer des taloches. Les deux hommes baisent la fille jusqu'au bout et se purgent dans sa chatte. Au tour des autres maintenant! C'était le dernier orifice à prendre et il subit le même traitement que son alter ego anal.

7
Ils en veulent pour leur argent. Le boss a lâché un paquet de pognon alors ils comptent bien rentabiliser. C’est toute leur énergie qu’ils libèrent sur la fille après cette journée qui a vu leur victoire sur leurs concurrents. Elle est solide et encaisse incroyablement bien. Bien qu’ils aient giclé, les deux mecs qui se branlaient entre ses nibards et qui se sont relevés restent prêts à fondre à nouveau sur elle. Mais la fille n’a pas perdu de temps et masturbe déjà les deux queues les plus proches. Entre ses cuisses, Ken a terminé de lui ouvrir le cul et s’est retiré en laissant l’orifice ouvert et complètement explosé. En effet, on pourrait y mettre à peu près tout après ce fist d’anthologie.

Chacun son tour maintenant. Tomoya s’allonge à côté d’elle et la fait grimper sur lui. Les grosses loches de la fille ballotent devant son nez et il y enfouit son visage même si ses potes s’y sont abondement déversés. Du sperme dégouline sur ce corps magnifique, suivant les courbes et les creux, formant de petites retenues visqueuses. Tomoya passe sa main entre leurs corps et attrape sa queue qu’il guide où il veut. La chatte lustrée de la danseuse, il en veut pas. Là il a besoin d’assouvir un besoin primaire et sale donc il tâtonne pour finalement presser son gland boosté contre l’anus mou et débordant de Nea. Il s’y enfonce comme dans du beurre sans ressentir l’habituelle contraction quand on s’essaye à la sodomie. Là où il aurait dû forcer pour s’insérer, il a l’impression de pénétrer un large tunnel trop grand pour lui. Heureusement, Daisuke le rejoint aussitôt après s’être bien calé sur ses jambes derrière la fille et lui aussi passe directement par la porte de derrière. Les double anal, ça ne court pas les rues, surtout quand elles sont aussi faciles, aussi les deux hommes s’acharnent immédiatement comme des Bêtes et molestent le corps graciles entre leurs muscles saillants. Tomoya maltraite les seins de Nea, les claque, les secoue et les pince tandis que Daisuke est fermement ancré aux hanches de la danseuse. Il donne des coups de reins surpuissants destinés à la détruire et pèse de tout son poids sur le dos de la fille.

Shin : "Hey les mecs, j’ai l’impression qu’à deux, c’est limite pour boucher le trou. Avance Daisuke, je passe aussi."

L’homme passe derrière celui qui bourrine sur le dessus et fléchi les jambes pour pousser en avant tandis que Daisuke fait l’effort de s’affaler plus en avant. Sa queue écartèle et étire l’anneau distendu de l’anus tandis qu’il bouge et Shin en profite, difficilement au début, pour pénétrer l’anus de la danseuse, entre ses potes. La position n’est pas très stable mais ils arrivent finalement à se caler et commencent une longue série frénétique d’à-coups brutaux et profonds, chaotiques où chacun tente de faire gueuler la fille plus que l’autre. C’est extrême et Nea disparait sous cet amas masculin qui la submerge. Ils ne lui font aucuns cadeaux et la gratifient de noms vulgaires et d’adjectifs sexuellement déviants. Elle se fait déboiter le cul sans merci et à aucun moment on ne lui offre la possibilité de souffler un peu. L’objectif est bien d’en faire une serpillère sexuelle mais apparemment, ce n’est pas près d’arriver.

Akihiro : "Putain ! Mais elle sourit les mecs ! Vous êtes mous ou quoi."

C’est le meilleur moyen de remotiver ses troupes. Piqués au vif, les trois gars se déchainent au point que certains clients pensent à appeler un responsable du club ou la sécurité. Si Nea cherche à se redresser, on lui bloque les bras dans le dos. Elle rigole à un moment, Ken, celui qui l’a fisté comme un pervers et qui a dégrafé son jean, vient fourrer sa queue au fond de sa gorge et lui baise la gueule frénétiquement. Il la teste, lui serre le cou, presse sa trachée, la contraint à des pratiques hard et démentes. Et il lui gicle dans la gorge, se retire, laisse la place à Jin qui prend le relais et la déboite. Lui aussi se vide partiellement dans le gosier offert mais se termine sur le joli visage défait. Une magnifique faciale digne de Rocco, elle en prend plein la gueule et n’a pas le temps de déguster que le chef du gang vient profiter aussi de ses talents de suceuse hors-pair.

Derrière, c’est la curée. La triple sodo passe bien mais la destruction est bien là. La peau pâle de Nea porte la marque des doigts qui s’y sont ancrés. Quarante minutes à se faire ramoner le cul et enfin, les mecs jouissent, quasiment à l’unisson, inondant les entrailles de la fille de foutre épais, trop, bien trop. Ils s’affalent épuisés et transpirants, roulent sur le côté, cherchant à récupérer après ce rodéo monstrueux.

Akihiro : "J’y crois pas. Elle bouge encore."

Il la saisit par le poignet et vient l’appuyer sur le rebord surélevé de la piste de pole dance. Il lui donne une claque sur les fesses en regardant son anus déborder et rejeter les fluides masculins.

Akihiro : "Tu permets ?"

Lui aussi n’est pas encore passé par là alors il plonge dans le rectum de Nea et l’encule comme un forcené. Il n’y prend presque pas de plaisir à batifoler dans le foutre de ses potes mais s’amuser avec une fille pareille, c’est pas tous les jours. Il gicle, la remplit, se purge, et tous, à nouveau, un à un se succèdent pour l’enculer, boostés par le viagra et leurs sales instincts.

8
Forcement, quand ce qu'on voit d'habitude sur des sites pornos se déroule à la vue de tous dans un club, ça attire les spectateurs. Les clients qui s'étaient éloignés des trublions bruyants se rapprochent à nouveau, curieux et passionnément obsédés par ce qui se déroule. Une fois n'est pas coutume (quoique ...), une des filles se prend une dérouillée magistrale. Ce sera le thème de la soirée sans passer par des fioritures ou des trucs inutiles: du fion, du fion, du fion! Tandis que le chef du gang s'acharne à baiser cette grosse poitrine, les gars se succèdent l'un après l'autre dans la gorge de la fille. Qu'importe le nom, ronde, corrida, polka ... Les hommes lui baise la gueule salement. A peine dans sa bouche, ils ruent comme des lapins en lui soutenant la tête. Ce sont des coups de reins secs, profonds et brutaux, l'espace d'une quinzaine de secondes avant qu'il ne s'arrachent pour laisser passer un autre. Et ainsi de suite, et ainsi de suite ... Chacun y passe trois, quatre fois, déployant la même énergie, la même envie de se servir sans limite de ce jouet sexuel exceptionnel. Pour eux, c'est une successions de passages intenses, pour elle, c'est long, beaucoup plus long. Une demi-heure passe à déguster salement, à avaler, déglutir, baver, recracher ... Et les mecs ne giclent toujours pas ... Le résultat donne une poupée souillée. Son visage est maculé de rimmel coulant et de mascara étalé dans des couches de salive épaisse et d'autres fluides.

C'est Shin qui vient clore cette première partie. Alors que sa queue fouraille au fond de la gorge de la danseuse, il se laisse tomber, l'entrainant avec lui. Akihiro suit aussi le mouvement. Heureusement qu'elle est souple car tordue ainsi, ce ne doit pas être facile de s'en remettre. Elle est sur le dos, les jambes repliées sous elle. Akihiro continue de lui niquer les seins et Shin est toujours dans sa bouche. Il donne un dernier coup de rein monumental avant de se retirer et de s'agenouiller plus confortablement.

Shin: "Toi, t'es une putain de cochonne. On va voir si t'as des limites."

L'homme glisse sa queue entre les seins de la fille en rejoignant son chef dans ce sillon lustré, mais dans l'autre sens. Et par là, il présente son cul aux lèvres de la fille. Tomoya se marre.

Tomoya: "Ah! C'est l'heure du récurage ..."

Et Ken qui n'en peut plus passe derrière Akihiro pour écarter les jambes de la fille. Le club est prévoyant et met à disposition des clients ce qu'il faut pour apprécier toutes les pratiques. L'homme s'est tartiné une main de vaseline et ne perd pas de temps pour enfoncer deux doigts dans le rectum de Nea. Car c'est son prénom, une des filles l'a appelée comme ça plus tôt. Deux doigts? Tu déconnes! Trop simple! Elle a dû en voir passer des trucs bien plus énormes dans son cul comme ... une bouteille de champagne? Qui sait ... En tout cas, il entre là-dedans comme dans du beurre et très vite, de deux il passe à quatre puis ajoute le pouce. L'anneau serré du sphincter est docile et même s'il serre le contour de l'intrusion, le potentiel est supérieur. Après quelques va-et-vient , c'est sa main qu'il enfourne dans ce rectum brulant. il referme ses doigts sur un poing massif et s'adonne à son petit plaisir pervers. il lui fiste le cul en maintenant ses jambes relevées. une rotation du poignet lui permet de préparer la suite et c'est loin qu'il plonge, arrivant à l'exploit inimaginable de coller la moitié de son avant-bras dans le fondement interminable de la pute.

Ken: "Oh bordel! c'est pas croyable."

Daisuke: "Hé! Va pas nous l'amocher! On doit y passer aussi!"

Ken: "Après! Là, je m'éclate!"

Tout comme Akihiro et Shin qui se partagent les gros nibards ballotant de la fille. c'est presque un combat de coq. Les gros seins compressent les deux queux qui liment ensemble. Là, c'est quasi impossible de se retenir. Les deux hommes crachent leur semence en même temps, ils en foutent partout, inondent le creux de la poitrine de la danseuse. C'est Shin qui est le plus productif, excité par l'action de la fille sur son cul. Ils se relèvent en grimaçant, les cuisses un peu tétanisées. De leur queues gouttent encore des résidus de foutre qui s'écrasent sur le corps et le visage de la fille.

Akihiro: "Pas mal pour un début hein ma mignonne?"

Ken derrière, est concentré sur le démontage méthodique du fion écartelé. Il ne s'occupe que de lui mais il y a d'autres gars à satisfaire. Le chef du gang s'adresse à la nénette.

Akihiro: "Pour le prochain round, c'est toi qui choisi les mecs et ce que tu veux faire."

9
C'est le gros lot! Le groupe est tombé sur l'allumeuse de service, la chienne en chaleur, la marmite en feu.  D'habitude, les filles minaudent un peu, allument moyennement et exigent beaucoup. Là, la danseuse atteint des sommets de perfection en termes de provocation et de professionnalisme. Elle veut de la bite? Elle va en avoir! Il n'en fallait pas autant pour allumer les gars et tous ne pensent maintenant plus qu'à une chose. Et aucun ne se dit qu'il y a quand même un truc louche dans ce club. De prime abord il présente bien, très bien même, mais au Japon, ces établissements là restent assez discrets quant à leurs activités. Il serait inopportun qu'en cas de descente policière, on découvre une orgie dans la salle principale dès la porte d'entrée poussée ... Ici, personne ne se cachait et les accouplements allaient bon train. Ces considérations là étaient à des années lumières des pensées actuelles des membres du gang et aux vues de l'engin qui les chauffait, ils s'en seraient foutus.

La danseuse fit le bon choix selon Akihiro puisque c'est devant lui qu'elle choisit de s'agenouiller. Le chef émit un rire victorieux. L'ouverture du gangbang lui revenait. Bon, ce ne serait l'histoire que de quelques coups de reins mais il avait la primeur de ce plaisir et s'en réjouissait. Et puis, son statut de dirigeant était par là réaffirmé. Une vraie perle cette nénette! Il faudrait peut être faire apel à ses services à l'extérieur du club, ce serait à essayer. Beaucoup de situations compliquées se dénouent quand une jolie fille vient proposer de tailler de pipes pour faciliter un accord ...

Mais les plans de développement du gang passeraient après, il était temps de s'amuser. Dans le même mouvement, Akihiro se redressa pour se lever. Il saisit la tête de la fille à deux mains et pressa son sexe contre ses lèvres. Il n'y avait pas lieu de résister et l'homme fort avait d'ailleurs opté pour un angle excellent puisque sa queue s'enfonça dans la bouche disponible. Ses doigts s'encrèrent dans la chevelure de jais, il força plus encore, donna un coup de reins sec pour écraser la luette et dilater le goulet de la gorge et termina avec le minois de la fille écrasé contre son bas ventre.

Akihiro: "Ah bordel, c'est le pied!"

Il fit un pas en avant et déséquilibra la danseuse en l'arquant en derrière. Elle était ainsi bien entre ses jambes, la poitrine saillant sous les fesses de l'heureux élu. Immédiatement, Akihiro ne fut pas tendre. Il était là pour niquer et il s'adonna à un facefuck dégueulasse et sans pitié. La gorge de la fille était un trou sans fond et il bourrinait dedans comme un forcené. Il imposait un rythme dense et se délectait des déglutitions visqueuses et sonores qu'elle produisait. La queue épaisse plongeait loin en écartant à chaque passage les chairs du cou gracile. Effectivement, d'avoir une suceuse de compétition comme celle-ci, c'était bien le pied.

Mais Akihiro n'était pas seul et il n'oubliait pas ses responsabilités, c'est à dire penser au bien-être des autres ... Il arracha la tête brune d'entre ses cuisses et l'offrit à Tomoya. Lui, c'était le pervers retors qui aimait les trucs pas nets. Alors que la fille était toujours agenouillée et courbée entre les jambes de son chef, l'homme lui bascula la tête en arrière pour lui baiser la gueule comme un salopard. Lui aussi l'emmancha tout du long et il s'éclatait à regarder sa grosse queue aller et venir en déformant le gosier de la suceuse. Tomoya était un vicelard et il s'arrancha pour fléchir et se redresser sur ses jambes à chaque coups de reins pour la prendre de travers, pousser contre les muqueuses sensibles et provoquer des résistances qu'il détruisait ensuite.

Ken: "Bordel qu'elle encaisse! t'es un vrai crado Tomoya."

Tomoya: "Parle pour toi! Toi, t'adores fister tes putes dans l'cul, tu crois qu'c'est mieux?"

Et Tomoya de reprendre son facefuck en intensifiant le rythme. La pute bavait comme une folle et des rigoles de salives coulaient sur son visage. Top l'image! Akihiro lui s'était reconverti de la meilleure des manières. Sans bouger, il avait juste fléchi les jambes pour loger sa queue entre les seins de la fille et il la niquait ainsi, trop heureux d'avoir cette grosse paire pour s'éclater ainsi.

Akihiro: "Presse moi ses putains de nibards! T'as pas besoin de tes mains, la bite de Tomoya te retient."

10
Ken : "Ca ouais, un cul comme le tien me fait bander pendant des heures."

Les autres ricanèrent. Quand il fallait faire jouer la virilité, les mecs n’avaient pas de limites, quitte à se vanter et sortir un ramassis de conneries.
Ce fut ensuite au tour de Daisuke d’apprécier la fermeté du corps de la fille. L’homme laissa ses mains se balader sans vergogne le long de courbes époustouflantes et ajusta le fessier de la danseuse entre ses cuisses pour qu’elle sente son sexe rigide se loger entre ses fesses. Elle sentait bon et les hommes s’excitaient rien qu’en la regardant. Elle était gracieuse … non … féline … et maitrisait son show sur le bout des doigts. Une chance qu’elle ait été disponible car rater un engin pareil relevait de l’irresponsabilité.

Daisuke la prit par les hanches et la tira contre lui. Il lui lécha le dos entre les omoplates, provoquant les protestations de ses compagnons avant qu’ils ne rient.

Daisuke : "Alors tu veux commencer par moi ? A sec, ça te dit ? J’ai une queue qui va te faire rêver."

Akihiro : "Sois pas pressé, elle a pas fini son tour et c’est pas gratuit non plus. Sois correct Daisuke."

C’était de l’esbrouffe. Aucun d’entre eux ne seraient corrects ce soir. Mais il était vrai qu’elle ne s’était pas encore présentée à tous. Le chef du gang qui venait de prendre la parole et qui était le prochain se pencha pour prendre la fille par le poignet et la tira sur ses cuisses. Il plongea son visage entre ses gros seins et remua la tête comme s’il cherchait son bonheur dans le creux profond, ce qui était un peu le cas d’ailleurs. Ses mains fortes vinrent prendre ces seins de rêve pour les balloter contre ses joues et les autres rirent encore. Akihiro s’en extrait presque à regret et s’appuya au dossier de son fauteuil en la regardant. Il fouilla dans l’une de ses poches et en sorti un rouleau de billets assez épais qu’il logea entre les seins de la fille.

Akihiro : "Pour tes services avec nous cette nuit. Faudra pas être trop regardante sur la douceur et les papouilles, on aime pas ça. On m’appelle Akihiro ou Hiro. Je suis le boss de cette bande de tarés donc faudra que tu sois bien attentive à ce que j’ai entre les jambes ne soit pas trop seul."

Là encore les autres protestèrent, arguant l’égoïsme insupportable de leur boss. Il répondit qu’on pouvait rentrer à deux dans le même trou et qu’il pouvait partager sans problème. Et comme il était bien évidemment généreux, il permit à la fille de continuer son tour. Quand elle arriva au dernier, il avait déjà le froc sur les chevilles et se branlait en la regardant.

Tomoya: "Ca te plait ? Tu sais ce dont j’ai envie là ? D’une putain de gorge profonde à faire pâlir d’envie une actrice porno."

Jin : "Hey attend ! Pourquoi toi en premier ?"

Les autres approuvèrent.

Akihiro : "Je pense que c’est à elle de choisir non ? On va voir qui elle préfère. Allez bande de pervers ! Sortez-moi vos queues !"

Tous s’exécutèrent et exposèrent l’objet de leur fierté. Ils se masturbaient en la regardant, attendant le verdict, les yeux luisants de luxure et de vice. C’était là une sale bande scélérats, des bad boys, sans foi ni loi, qui venaient pour prendre sans se soucier du plaisir de l’autre. La dernière nénette qu’ils avaient baisé en groupe était peut-être encore à l’hôpital. Celle-ci était prometteuse et la suite allait révéler qu’il n’y avait pas que les hommes qui faisaient preuve de perversité. Une fille qui passait par là lâcha un commentaire qui fit se retourner Jin : joli cul, gueule d’ange, regard de chienne.

Jin : "Va pas trop loin petite. Faudra la remplacer quand elle pourra plus."

11
Ce soir-là, il y avait une raison bien particulière pour qu'Akihiro se réjouisse. Son gang venait de remporter l'acquisition d'une nouvelle portion de territoire après une lutte contre des concurrents féroces qui avait duré presque deux ans. A Seikusu, c'était les yakuzas qui géraient les dessous de la grande cité. Des milliards de yens étaient générés par des opérations en tout genre ayant pour seules points communs leur illégalité. Les gros bonnets brassaient les grosses affaires et les gangs de rue se partageaient les miettes restantes.

Le gang d'Akihiro contrôlait les rues de presque tout un quartier. Il n'en manquait plus qu'une seule pour qu'il est le monopole sur les petits trafics, un peu de prostitution, beaucoup d'arnaques et pas mal d'extorsions. Les sommes récupérées n'étaient pas mirobolantes mais suffisaient à assurer un certain "prestige" pour le gang qui exhibait grosses voitures et une apparence qui cachait la réalité.

Car oui, en réalité, le groupe de pourris que dirigeait Akihiro était une bande de loosers, des petites frappes intimidantes quand ils se montraient à plusieurs mais qui détalaient dès qu'ils rencontraient de grosses difficultés, comme par exemple les vrais yakuzas ...

Néanmoins, le gang venait d'acquérir la dernière rue qui lui manquait à la force des poings. Il avait dû se confronter à son voisin, d'ampleur et effectifs à peu près équivalents, et la scène finale s'était jouée de nuit, en pleine rue et les connards d'en face avait pris une sacrée branlée. Cette rue était importante car elle était un peu plus intéressante, commercialement, que les autres. Là, il y avait moyen de faire rentrer beaucoup plus d'argent qu'ailleurs. C'était une bonne victoire.

Aussi, pour fêter l'évènement, Akihiro avait emmené ces cinq lieutenants dans un club qui avait une sérieuse réputation ... justement dans cette même rue. Le boss du gang savait qu'il ne fallait pas y toucher, de nombreux hommes puissants y venaient et n'accepteraient pas qu'un gang mineur mette la main dessus. Mais comme à présent, l'établissement était sur leur territoire, il fallait bien s'y montrer.

Les six gaillards en passèrent la porte pour débouler dans un monde feutré. Ils dénotaient un peu par leur look, leur attitude badass et leurs gros muscles mais après tout, tant qu'il y avait de l'argent à dépenser ... Les mecs étaient chargés comme des mules. Ils avaient picolé avant de venir et quand Akihiro leur avait dit où ils iraient, ils s'étaient shooté au viagra. Ouais, ils allaient payer alors il fallait tenir sur la distance.

Les filles? Des bombes sexuelles ... toutes! Un client se faisait branler derrière une tenture, un autre tentait de cacher une fille agenouillée devant lui, d'autres encore avaient les mains plus que baladeuses. Beaucoup de ces nénettes étaient ultra canons mais ... trop mignonnes, trop polies. Ce qu'il fallait aux gars, c'était une salope qui s'assumerait sans fioritures ni chichis. Akihiro parcourut la salle des yeux et désigna le bar. Ils allèrent s'y accouder et commandèrent tous le même whisky. Les clients les plus proches s'éloignèrent prudemment, intimidés par les mauvais regards.

Et ce fut Ken qui LA vit.

Ken: "Hey! Mate moi celle-là qui danse là-bas au bout!"

En effet, à l'autre bout de la piste, il y avait une rotonde avec une barre de pole dance. Celle qui y était accrochée avait tout ce qu'il fallait: une gueule de chienne, des gros nibards, un beau cul ...

Akihiro renifla.

Akihiro: "On en prend qu'une? On la déboite?"

Ils approuvèrent tous et se dirigèrent vers la danseuse. Ils s'assirent dans les fauteuils répartis en cercle autour d'elle, excités.

Daisuke: "Salut beauté, t'es en forme ce soir j'espère."

Il bandait déjà comme un âne.

Jin: "T'as du bol, six mecs pour toi toute seule."

Ken: "Tu penses que tu vas pouvoir assurer?"

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One Shot / Re : Tout pouvoir est violence. [Pv]
« le: mercredi 12 juillet 2023, 15:58:16 »
L'agonie de Saark avait été particulièrement immonde. La petite créature avait piaillé puis beuglé quand Amenas lui avait arraché les burnes. Quelle que soit la race, quand un mâle perdait ses couilles dans ces conditions, il était peu probable qu'il y survive. Et la douleur avait été si intense que le viol suivant par éprouvette avait à peine été perçu par l'insignifiant gobelin. De toute manière, il n'aurait pas fait de vieux os, étant le plus faible de sa lignée. A un moment ou à un autre, il se serait fait bouffer ou aurait succombé sous les coups de Lord Garod. Son regard s'était éteint alors que la folle furieuse le surplombait, aussi sale que lui, dégoulinante de foutre, tenant entre ses doigts serré son service trois pièces. Au moins pensa le gobelin, il avait pu la baiser et d'une certaine manière, cela le réconforta un très court instant. Et puis ce fut la fin.  Personne ne le pleurerait, d'ailleurs les gobelins étaient tellement cons que personne ne remarquerait son absence avant un moment.

Dans le manoir, hermétique au monde extérieur et que le propriétaire troll se gardait bien de faire visiter, les douze gobelins restants (le père et ses onze fils) avaient repris une activité normale. C'est à dire lustrer les rambardes de l'escalier magistral du grand hall, terminer de découper les dernières victimes de leur maitre et de les préparer en salaisons, s'assurer que tout soit impeccable et éviter d'agacer Lord Garod et s'éviter ainsi des supplices douloureux.

Le père de ces petits monstres était au service de Garod depuis bien longtemps. C'était une créature mauvaise et malfaisante. il avait gravi les échelons en rusant et en mettant ses homologues dans des situations où ils avaient laissé leur vie. Aujourd'hui, il était majordome et veillait à ce que tous les souhaits de son maitre soient exaucés. Et là, il était jaloux et d'humeur exécrable. Lui aussi aurait voulu pouvoir violer l'esclave blonde mais il n'avait pas pu. Elle sentait bon, sa peau était douce et fraiche, et ses orifices paraissaient prometteurs. Seulement, il avait eu à faire et seuls ses fils s'étaient repus de luxure. En conséquence, ce petit être nommé Arnok était frustré et mécontent. Il venait d'houspiller gratuitement son aîné et lui avait taclé l'arrière train d'un grand coup de pied en le maudissant pour sa médiocrité. Le majordome voulait niquer et seule la peur de son maitre le retenait de faire une grosse bêtise. Et puis, l'esclave allait être mère porteuse et donnerait naissance à un demi-dragon. En terme de fortune, même ce débile de gobelins comprenait que l'investissement avait coûté une fortune en semence de dragon et serait immensément rentable. Aussi, il fallait absolument préserver la fille maintenant qu'elle était inséminée.

Mais les gobelins étaient faibles et le désir d'Arnok tellement fort qu'il se plia en deux alors qu'il passait l'angle d'un long couloir. Il avait besoin de se vider les couilles. C'est lui qui avait attaché la fille au pilori et il l'avait touché un peu. Il n'allait pas oublier la douceur de ce contact. Maintenant, peut être qu'il pourrait tout simplement utiliser sa bouche ... l'idée fit un bout de chemin dans le cerveau restreint de la petite créature et elle se décida à l'appliquer sans plus attendre, tant que le maitre était occupé dans son salon. Lord Garod était un grand dormeur et il prenait toujours le temps de se reposer après avoir abusé d'une femelle, surtout les humaines qu'il appréciait particulièrement.

Le gobelin accéléra donc le pas pour rejoindre le laboratoire du troll. C'était là un grand évènement qui se profilait, l'aboutissement de dizaines d'expériences ratées. La fille blonde serait une bonne porteuse, il en était sûr. Sa vivacité et son énergie jouait en sa faveur. Sur le chemin, il croisa deux autres de ses rejetons et comme il s'estimait être un modèle pour eux, il eut la générosité de les inviter à le suivre. Une fois qu'il se serait vidé dans le gosier de la fille, ses fils pourraient faire de même. Arrivé devant la porte du laboratoire, il frétillait déjà d'impatience!





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Prélude / Re : Chi-chi. [Belphy Mueller]
« le: dimanche 09 juillet 2023, 20:58:11 »
Moi, j'adore les nouilles, les bastons et les héroïnes aux gros B.....
Pour cette Chi-chi, je suis prêt à être gentil  :P

Re-bienvenue :)

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Centre-ville de Seikusu / Re : Vice de procédure [PV]
« le: vendredi 07 juillet 2023, 12:22:20 »
Ryo n’avait qu’une envie : écraser son gros poing sur le visage de la femme qui lui faisait face et qui braillait sa colère ; et puis aussi de claquer son débile de fils boutonneux qui n’en menait pas large.

Cette semaine, Ryo était l’inspecteur en charge de recueillir les plaintes au commissariat du quartier de la Toussaint. Il haïssait ce poste, préférant de loin gérer ses petites affaires personnelles et les enquêtes qui l’arrangeait. D’habitude, d’une manière ou d’une autre, il arrivait à refiler le pot de pue à un autre flic mais cette fois-ci, pas d’bol, il n’avait pas réussi.

L’inspecteur occupait une petite pièce sans fenêtre au rez-de-chaussée du bâtiment qui servait à accueillir le public. Ce matin, il venait à peine de finir de griller sa première clope que la mère et son merdeux avaient été introduit par le policier chargé du contrôle des entrées.

"Une plainte pour vous inspecteur !"

La femme les avait fusillés du regard, lui et son mégot fumant, avant de s’asseoir, bien droite, de l’autre côté du bureau. Le gosse, tout penaud, s’était lui aussi assis à l’injonction de sa mère.

"Monsieur l’inspecteur ! Je viens déposer plainte pour une … ignominie !"

C’est comme ça que tu parles de la gueule de ton fils ?

Ryo sortit un formulaire, étouffa un rot, et s’apprêta à écrire. Les papiers, ça brûlait sans laisser de traces alors que le numérique permettait toujours de retrouver ce qu’on voulait. Bien entendu, le soir- même, la liasse de plaintes finirait en cendres …

"J’vous écoute." Pas besoin d’être poli.

"Mon … Mon fils qui a 15 ans, mon petit Daisuke a fait l’acquisition de photos d’une … d’une jeune fille qui vend ses charmes en ligne."

" Ouais ? Et alors ?"

"Il est mineur !!"

"Et donc ? Comment il a payé ?"

La mère se tourna vers le gosse.

"Euh ... avec l’appli MoneyPocket monsieur."

Ah ! L’application qui foutait la merde en ce moment. Des cas comme cela il y en avait des milliers dans le pays. Il s’agissait d’une appli utilisée par les parents et les jeunes pour éviter que les gosses aient accès à une banque en ligne ou une carte bleue mais puissent acheter des petites choses comme le feraient n’importe quel mioche. Le compte était approvisionné par les parents et les enfants pouvaient commandés ce qu’ils voulaient. Bien sûr, tout ce qui était relatif au porno et au charme, tout comme un tas d’autres sites étaient bloqués par l’application mais pour les sites indépendants, il y avait un problème.

"Je connais … Madame, une notification vous a demandé de valider le paiement non ?"

La femme devint rouge tomate et lui décocha un regard de haine féroce.

"Je fais confiance à mon Daisuke ! Cette fille l’a ensorcelé ! Regardez cette horreur ! En plus avec MoneyPocket, elle aurait dû voir que c’était un mineur !" Ouais, ça c’était pas faux.

Elle brandit des photos qui étaient très loin de représenter une horreur. Ouais, le gosse avait de quoi craquer : le corps de la famille était superbe et le flic aurait bien aimé voir son visage.

"Ok je résume. Votre gosse navigue sur des sites de fion et vous validez ses achats. Qu’est-ce que vous voulez que j’y fasse ? Ce serait pas à vous de verrouiller un peu à la maison non ?"

Daisuke transpirait abondamment …

"Son père n’est pas encore au courant et quand il le sera, il voudra des résultats !"

"Ah ouais, rien que ça ? Et il est où papa en ce moment ?"

"Au palais de justice, il s’agit du procureur Tamaka."

Ah ! Merde ! La poisse ! Tamaka et Ryo ne pouvaient pas se blairer. Le proc rêvait de faire tomber le flic pour corruption aggravée mais il n’avait pas de preuves assez solides pour ça. Pour Ryo, mieux valait éviter de contrarier encore plus ce connard qui était d’ailleurs aussi laid que son rejeton.
"Ah … fallait commencer par ça … Je ne vais pas laisser la famille d’un représentant de la Loi dans la tourmente. Daisuke … toi et moi, on va parler un peu. Madame, veuillez sortir."



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Le gamin avait été loquace et très coopératif. Il crevait de peur. Ryo avait récupérer tout ce dont il avait besoin et une semaine après, le bureau du cyberservice lui donnait une adresse physique, une adresse IP et tout l’état civil d’Alice Makaï. Il faut dire que prononcer le nom du procureur Tamaka faisait grandement accélérer les choses.

Ryo avait procéder à des repérages. La fille vivait avec son frère à Seikusu, coup de chance ! Le flic connaissait son quartier et avait très vite identifié la routine des jumeaux. Oh … il ne s’investissait nullement dans l’enquête, il n’œuvrait que pour lui et il avait une petite idée en tête pour tirer parti de la situation et se débarrasser de Tamaka définitivement.

Ce soir-là, le frère venait de quitter l’immeuble pour aller bosser. Ryo termina sa clope puis sortit de sa Mustang garée non loin. Il portait son éternle cuir râpé et un jean délavé. Sous son aisselle reposait un énorme .44 magnum capable de stopper un train à pleine vitesse ! Il grimpa les escaliers jusqu’au palier et concerné et sonna à la bonne porte. Puis encore une fois. Celle-ci s’ouvrit sur un adorable minois. Nul doute qu’il s’agissait bien de cette fameuse Sakura. Putain qu’elle était bien foutue !

"Inspecteur Nagata, police de Seikusu, district de La Toussaint."

Il exhiba son insigne et poussa de lui-même la porte sans difficulté. Il était immense, large, massif, bestial, loin de l’image cool du flic à l’aise des séries télévisées.

"Alice Makaï? On va parler un peu."

Il se tenait dans l’entrée de l’appartement, face à ce magnifique bijou de féminité.

"Tu fais l’objet d’une enquête pour mœurs sur mineur …"

Ça restait vague mais les mots étaient suffisamment forts pour la faire cogiter.

"On va s’asseoir et je vais t’auditionner."

Il ouvrit devant elle un dossier cartonné dont elle put mesurer la véracité quand elle lut les informations complètes la concernant.

"C’est bien toi n’est-ce pas ? Donc je propose de t’écouter et on discutera des suites à donner puisque le procureur n’est pas encore au courant de ton dossier."

Il avisa une table avec des chaises et s’y installa.

"Commence par le début. Quand est-ce que ça a commencé ? Le témoignage que nous avons est solide."


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Prélude / Re : Un problème de vidange ? [Valitronçonnée]
« le: samedi 01 juillet 2023, 11:45:06 »
Ouais enfin, si Ambre me reçoit avec cette salopette, y'a moyen que ce soit moi qui ait à vidanger ....  ;D

Bienvenue  ;D

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