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Messages - Akita Celebrindal

Pages: [1] 2 3 ... 10
1
Akita masse lentement les lèvres intimes de sa porteuse, prenant son temps pour apprécier ce corps inconnu. Elle trouve son bouton d’amour et se met à la caresser à son tour, puis l’aspirer avec douceur et délice. La chaleur du corps de l’être de chair permet à l’être végétal de mieux faire circuler les nutriments au sein de la matière qui la compose. Une vrille se glisse alors au cœur des chairs intimes, elle progresse lentement, doucement, appuyant pour avancer et atteindre l’entrée de son utérus. La vrille se met alors à remuer, elle avance, recule, enfle, rétrécie et se met même à vibrer. La femme-plante tente de prendre autant de force que possible en puisant dans le liquide intime de sa porte. Elle en a besoin si elle veut communiquer avec elle. Le sous-vêtement végétal conscient se met à décapuchonner le clitoris de la femme-renard et l’aspire en le massant doucement. La poitrine est délicieusement par de multiples mini-vrilles. Leurs sommets sont, eux aussi, aspirés à leur tour.

Plus Akita reprend des forces et plus sa vrille, glissée entre les jambes, enfle et prend la forme de ce qui l’entoure, augmentant sa surface de contact. Désormais avec suffisamment d’énergie, elle peut communiquer. Elle émerge, sous la forme d’une version réduite d’elle-même entièrement nue, au milieu du soutien-gorge et se dresse lentement, fixée à son support. Elle parvient à approcher ses lèvres de celles de sa porteuse et l’embrasse en aspirant ainsi une grande quantité du gaz carbonique qu’elle exhale. au milieu de ses cuisses.


"-Akita." Finit-elle par prononcer.

Ses lèvres se joignent de nouveau à celles de son hôte.

"-Je m’appelle Akita et j’ai besoin de toi, de ton corps, pour verdir à nouveau."

Les vrilles massent plus intensément. Une vrille vient appuyer sur l’orifice étoilé entre les fesses et une autre vient titiller l’urètre. Le vêtement végétal masse également la base des queues duveteuses.  Plus par nécessité que par curiosité ou plaisir, la plante consciente essaie de donner le plus de plaisir possible à son hôte, afin de reprendre des forces en puisant dans son corps.

2
Les terres sauvages / Re : De l’animal et du végétal. [PV Kana]
« le: vendredi 05 avril 2024, 18:50:35 »
Si Akita n’est jamais embarrassée lorsqu’il s’agit de toucher quelqu’un. Elle trouve surprenant qu’autrui fasse de même sur elle. Les êtres de chair ne sont pas comme les êtres végétaux et donc, elle ne comprend pas qu’ils puissent agir de la même façon qu’elle. Rarement l’être végétal est caressé et elle trouve la sensation plaisante, où que se porte le contact sur son épiderme vert. Elle trouve aussi la question surprenant.

-Une préférence ? Akita est Akita. Elle est ce qu’elle veut. Et elle est ce qu’elle est. Elle ne change pas. Les êtres de chairs changent, Akita ne change pas.

Mésinterprétant, les paroles et les gestes de Kana. La femme-plante se rapproche de la féline créature, leurs poitrines s’effleurent légèrement. Ses mains végétales se saisissent de ses poignets délicatement. Elle pose une des mains félines sur son membre végétale et l’autre sur son intimité. Cette dernière change de forme, se dotant de trois vrilles. L’un d’elle vient effleurer l’intimité de Kana de haut en bas, une autre effleure l’orifice étoilé entre ses fesses et la dernière joue avec la base de la queue féline. Son membre prend diverses formes sous la main désormais posée dessus.

-Kana est douce. Kana est intéressé par le pénis d’Akita ? Akita veut bien lui donner du plaisir, si elle est intéressée.

Mais la femme-plante hésite un instant. Elle réfléchit sur la nature de son être. Elle ne voulait pas faire de mal à Kana et préfère la prévenir sur ce qu'elle peut faire. Du moins, elle essaie d'expliquer à sa façon.

-Mais Akita produit du liquide qui donne du plaisir, beaucoup de plaisir. Elle a des fruits qui font tout plein de choses sur les gens, des fleurs qui font tout plein de chose sur les gens. Aussi du sang, très poison pour les êtres de chair. Alors Kana ne doit pas mordre Akita, attention.

3
Akita s’était égarée. Du moins, elle l’aurait été si elle avait été un être de chair. Un être végétal ne se perde, il explore de nouveaux lieux, erre de place en place pour trouver un lieu où elle pourrait trouver des ressources pour assurer sa subsistance et pour Akita, cela impliquait aussi un lieu où elle pouvait se sentir en sécurité, sans aucun danger imminent pour elle. Et quoi de mieux qu’un jardin comme lieu de refuge et de nourriture ? Mais ce jardin est étrange, la femme-plante ne sent pas la présence de produits chimiques, même en infime quantité. Pourtant, les jardins qu’elle a traversé en ont toujours, même en très faible quantité. Très sensible à son environnement, dont elle dépend entièrement, aucune particule étrangère ou nocive ne peut lui échapper, mais dans ce lieu, pas la moindre trace. Ce qui la rassure pour sa survie, l’inquiète pour sa sécurité.

Car une telle pureté dans un jardin, le rend très suspect pour la femme végétale. Néanmoins, elle ne saurait trouvé meilleur endroit et ne peut s’en aller. Sa nature végétale lui impose de trouver des nutriments rapidement. Sa taille avait considérablement réduit et elle aurait pu être piétiné par n’importe quel créature plus haute qu’un brin d’herbe. A cette taille, les vibrations du sol lui sont perceptibles et elles sont nombreuses, bien que très lointaines à son échelle. Mais ces vibrations l’inquiètent, car cela signifie qu’elle n’est pas seule et que quelqu’un viendra dans ce jardin, inévitablement. Le minuscule être végétal parcourt le jardin, inquiet d’être découvert, de croiser un être qui pourrait la surprendre et lui faire du mal, sans qu’il puisse se défendre. Au moins le jardin lui offre de la lumière et de l’oxygène. Mais Akita a besoin d’eau et de minéraux présent dans le sol. Le temps passe sans trouver de lieu idéal, elle commence à désespérer. Mais finalement, le miracle survient sous la forme d’un petit espace, très dissimulé. Le buisson offrira la cachette recherchée et l’arbre offrira un couvert bienvenu pour un soleil trop fort et son évaporation humidifiera tout être végétal assez doué pour en profiter, la rosée complétera les ressources en eau. La femme-plante change de forme et devient une simplement plante dans un jardin, sous la forme d’une petite tige. Ses racines s’enfonce dans la terre aussi profondément qu’elle le peut, se faisant une petite place au milieu d’autres plantes plus massives et déjà bien implantées. Il lui faut peu de temps pour récupérer un minimum de force. Une fleur vient lentement s’ouvrir au sommet de la tige, augmentant l’apportant en rosée et en évaporation. Mais cela sera aussi un système de défense efficace pour tout être vivant un peu trop curieux et qui s’approchera suffisamment d’elle. Une journée et une nuit passe, sans incident. Les racines ont absorbés beaucoup de nutriment et d’eau, permettant aux racines de plonger plus profondément dans la terre, lui permettant d’accéder à beaucoup plus d’eau et de nutriments. La quasi-totalité de son être est désormais enfoui sous la terre, sous forme d’un système racinaire parfait, lui permettant de de maximiser ses apports.

Mais les minces cils blancs, présents sur la tige, ressentent un changement d’air, un mouvement. Et Akita ressent des vibrations dans le sol qui s’éloignent, puis se rapprochent. Sur ses gardes et telle une araignée sur sa toile, elle localise précisément la position de l’être qui vient d’arriver dans le jardin. La femme végétale ressent, avec appréhension, que l’être, qu’elle a détecté, se rapproche dangereusement d’elle. Très près, bien trop près, mais le pire est que la cachette est découverte. Ne connaissant pas les intentions de la personne qui la découverte, l’être végétal réagit instantanément, dès que la menace supposée est à portée. La fleur fait jaillir du pollen, un pollen fortement concentré en substance somnifère. L’effet est rapide et l’être de chair s’endort en peu de temps. Mais, sa cachette découverte, Akita ne peut rester en ce lieu, malgré tout ce qu’il lui apporte et cet être de chair peut lui apporter certains nutriments.

La plante s’étend alors. Tel un voile vert, elle recouvre complètement les vêtements de la nouvelle venue. Dans d’autres circonstances, Akita aurait honoré son corps de toutes les manières possibles, rien que pour la remercier de ce merveilleux endroit. Mais elle n’a pas assez de force encore pour faire cela et elle préfère qu’elle soit éveillée pour prendre pleinement conscience de son remerciement. Les fibres naturelles des vêtements sont absorbées facilement par la femme-plante, qui ne s’arrête pas là. Puisque que c’est au tour des sous-vêtements d’être assimilés. Un apport supplémentaire de matière qui lui permet de faire littéralement corps avec l’être de chair. Akia note que celui-ci possède de multiples queues très touffues, elle peut en sentir les bases. Amusée, elle les masse un peu. Désormais, Akita est tout ce que porte l’étrange jeune femme. Une vrille se glisse lentement dans son vagin et s’allonge pour atteindre l’entrée de son utérus, elle fait de lents mouvements de va et vient, pour absorber le plus de fluides vaginales possibles, avant de lentement se retirer pour disparaître. L’orifice étoilé est examiné sans être perforé. l’urètre et le bourgeon de plaisir sont aussi examinés minutieusement. La poitrine est massée, ses sommets sont aspirés. En fait tout le corps, avec lequel Akita est en contact, est méticuleusement palpé. Sa curiosité satisfait, la femme-plante retire sa prise. Néanmoins, elle ignore quels effets auront sa présence sur un corps étranger. Elle n’avait jamais fait cela avant. La femme-plante est bien trop faible pour produire ses substances dans les quantités habituelles. Mais avec un contact aussi étroit et malgré les quantité infime qu’elle produit, la femme-plante n’a que peu de contrôle sur leur production et encore moins sur leurs effets.

4
L’entité incarnant la vie même pose une main sur les fesses offertes de cet être étrange. Ce dernier s’offre à elle, se soumet à elle, sans chercher à combattre, sans chercher à se dresser face à elle. Elle qui avait du combattre pour survivre, qui avait du se dresser pour punir, qui avait du se cacher pour vivre. Rares sont les êtres qui se sont offert à elle, en sachant qui elle était vraiment. Une seconde main vient se poser sur l’arrière-train offert. Les mains glissent lentement sur l’épiderme inconnu, la créature divine prend son temps. Les globes fessiers sont écartés exposant  l’orifice étoilé à la chaleur moite du lieu, puis ils sont relâchés. Une main se glisse entre les cuisses caresser l’intimité débordant de nectar de plaisir. Les doigts en caresse chaque contour, chaque repli est examiné méticuleusement. Malgré les suppliques de l’étrangère, Akita prend son temps, comme si elle voulait punir cette dernière d’avoir menacer l’existence d’une nouvelle vie. Les doigts parcourent la vulve, de sa base proche de l’anus à son sommet sur le clitoris. Ils écartent les lèvres pour exposer l’entrée l’inondation du vagin.

Les deux mains migrent alors vers le haut du corps de la nouvelle venue. Elles empoignent les menus seins et se met à la masser avec peu de douceur. Le centre des mains s’ouvrent et les orifices viennent aspirer les sommets de la poitrine. Deux phallus verts poussent et se dressent lentement, venant appuyer entre les fesses et les cuisses de la vampire, cuisses qui sont écartées avec autorité. Les deux membres verts sont d’une épaisseur et d’une longueur bien supérieurs à celles que pourraient avoir n’importe quel bipède sur Terra ou sur Terre. Les membres pénétrèrent les orifices intimes de la vampire lentement, mais fermement. Dilatant l’anus et le vagin de son amante comme rarement ils ont du l’être, ils progressent, s’adaptent aux chairs intimes qu’ils touchent. Le vagin est traversé, même l’utérus est pénétré.

Alors que les phallus ne peuvent plus avancer, la déesse se dote de nouveaux bras. Une main se saisit fermement du bassin de la vampire et l’autre claque furieusement les fesses immaculées. Akita donne, soudainement, un coup de rein lent mais violent écrasant le petit postérieur blanc de son amante si dévouée. Les deux mains sur les seins de la vampire assurent celle-ci que ses parois intimes ressentent la totalité deux membres qui la pénètrent. Les coups de reins s’accélèrent et leur puissance augmente sensiblement. Les râles, les couinements et les halètements trahissent le plaisir intense ressenti par la divinité. Sa forte poitrine vient appuyer contre le dos de son amante. Après de longs ébat où la vampire n’est qu’une poupée de chiffon dans l’étreinte imposé par sa divine amante, cette dernière jouit et sa semence jaillit au creux de ce corps étrange et nouveau. Le liquide chaud, épais, blanc et à l’étrange odeur sucrée se répand à l’intérieur de la croupe vampirique et déborde même à l’extérieur, glissant sur l’épiderme fessier. La semence présente dans le vagin et l’utérus est telle qu’elle fait enfler le ventre de la vampire, lui donnant l’apparence d’une femme enceinte de jumeaux, voir de triplés. Akita maintient son étreinte, afin de répandre sa semence jusqu’à la dernière goutte.

Puis, elle relâche lentement son étreinte et se retire doucement, et à regret, de ce corps nouveau. Elle présente alors les long et épais phallus souillés au visage de la femme vampire, afin qu’elle se régale de leurs fluides mêlés, une récompense de leurs intenses ébats. Des vrilles viennent écarter les jambes, les fesses et le sexe vampiriques, faisant s’écouler l’épais liquide blanc. Des vrilles viennent caresser le clitoris et une autre, très fine, s’amuse s’immiscer lentement dans l’urètre. D’autres vrilles, bien plus massives, pénètrent le sexe et les fesses de la femme vampire. Cinq dans son vagin et quatre dans ses fesses. Elles commencent à remuer rapidement dans des bruits de sucions pervers.

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One Shot / Re : S.O.S. Mariage Indésiré -Akita Celebrindal-
« le: mercredi 13 mars 2024, 18:42:42 »
Cela faisait bien longtemps qu’Akita ne s’était approché du village. Pourquoi prendre un tel risque . Même si les êtres de chair de ce village ressemblaient moins aux êtres qui avaient causés tant de destruction et de douleur, une survivante, comme elle, ne peut prendre le moindre risque. Une survivante, la dernière représente de tout un peuple. Comment un être de chair pourrait supporter d’être le seul et unique représentant de son espèce, après avoir assisté à la destruction de toute celle-ci, à la destruction de celui qui l’avait créé, à sa souffrance d’être un simple sujet d’étude soumis à d’horribles expériences ? Heureusement ou malheureusement, son être n’est pas de chair et son esprit non plus. La femme-plante ne ressent pas la souffrance de la même façon, même elle ressent la solitude. C’est, peut-être, cette solitude qu’il l’avait conduite à s’approcher de ce petit être de chair.

Ce petit être et le peuple de son village se nomment elfes. Ils sont physiquement différents de ses êtres de chairs, qui se nomment "humains". Différent de ceux qui l’avaient tant fait souffrir et si petite, elle ne représentait pas une menace. Bien qu’elle pouvait ébruiter son existence, la dame-plante lui avait fait promettre de ne pas divulguer sa présence à qui que ce soit d’autre. Elles passèrent alors des jours, puis des mois, des années peut-être. Pour un être végétal, le temps qui passe n’est que l’alternance de jours et de nuits et l’alternance des saisons. La seule différence notable est que l’être qu’elle a connu n’est plus si petit, mais prend de la hauteur et des formes. Leurs discussions évoluent et passent de sujets triviaux à des sujets plus sérieux. Évidemment Akita répond aux questions du mieux qu’elle peut et autant qu’elle peut, ne comprenant pas toujours ces étranges interrogations, voir répond de manière évasive, étrange ou complètement en dehors du sujet, sans trouver cela ridicule.

Mais il arrive un moment où l’attirance de l’elfe adulte n’est plus que le fruit de sa curiosité, mais celui d’un désir charnel. Désir que la femme végétale ne tarde pas à assouvir. Son corps végétal explore le corps de chair de mille manières, d’abord de l’extérieur, puis de l’intérieur. Néanmoins, elle refuse de prendre la virginité, consciente de la douleur que cela pourrait lui infliger. Devant ce refus, la jeune elfe lui a juré que ce sera à elle de franchir son hymen et nul autre être. Ne comprenant guère les sentiments qui peuvent animer les êtres de chair, son amante végétal ne lui avait rien répondu.

Ce jour, elle n’avait pas vu. Pourquoi cette absence ? Elle qui s’était toujours débrouillé pour être là, ne serait-ce qu’un court instant. L’inquiétude pris la verte femme sans qu’elle puisse donné un nom à ce sentiment qui l’envahit. Le village elfe semble être en fête, mais cela n’a ni sens ni importance pour un être végétal. Et elle s’avance, rampant au milieu des buissons et des herbes. Elle connaît la maison où se trouve la jeune elfe, du moins sa localisation. Une porte largement ouverte lui offre un accès facile à l’intérieur de la masure. Tout à leur fête, les elfes ne remarquent pas cette étrange vrille qui se faufile. Mais une fois entré où aller ? Lieu lui est inconnu et aucune indice ne lui ai donné. Mais une voix la fait se cacher et une personne, visiblement très contente, s’avance et sort alors de la maison en refermant la porte derrière elle. Le bruit du verrou indique que personne d’autre ne risque de rentrer avant un moment, du moins sans surprendre l’intruse végétale. Akita prend la direction inverse de cette femme elfe qu’elle a croisé.

Suivant la trace invisible que cette femme a laissé sur son chemin, la vrille mouvant n’a aucun mal à remonter la piste. En reprenant sa forme de femme-plante, elle franchit une porte et entre dans une pièce. Croyant qu’elle voulait sauter par la fenêtre par peur, Akita agit vite. Elle se transforme en vrille et entoure la belle elfe. Et reprenant sa forme humanoïde derrière elle, de multiples mains vertes se posent sur les courbes de Caliawen, ainsi que sur les parties les plus intimes de son corps, lui ôtant le peu de tissu qui la couvre. Les mains soutiennent la poitrine, autant qu’elle la masse et s’amusent avec ses sommets. Elles caressent l’entrejambe, les cuisses, l’entre-fesse et les fesses. Elles massent les épaules pour détendre la jeune elfe. Elles tournent légèrement sa tête pour qu’Akita l’embrasse doucement et longuement sur les lèvres. Elle rompt le baiser pour lui parler. Son étreinte se desserre, les mains restent à leurs place, mais n’exerce aucune pression qui pourrait entraver les mouvements.


"-Akita était inquiète, alors elle est venue. Elle sent que Caliawen est contrariée. Akita peut l’aider."

6
Un vide, c’est la plus simple des explications pour expliquer cette étrange sensation.
Personne mieux que la déesse de la vie peut avoir cette sensation. Et pourtant, elle-même, se demande ce qui peut bien créer une telle sensation. Quelle qu’en soit la source, cette dernière se déplace. Même loin dans son domaine, qui à la fois ici et ailleurs, maintenant, autrefois et plus tard, elle peut sentir cette béance mouvante au sein du monde mortel. Mais comment satisfaire sa curiosité, comment atteindre cet être du monde mortel vide de toute vie, sans l’effrayer ou la faire commettre l’irréparable ?

Au début, la déesse, qui incarne la vie, ne peut que ressentir sa présence, par l’intermédiaire d’autres corps. Mais toujours furtivement, trop furtivement. Mais une occasion se présente, un être proche de  l’un de ses temples. Cet être, étant né et ayant grand près de ce temple, a été baigné par l’énergie de la déesse. Ainsi proche, elle peut ressentir bien plus intensément ce qu’elle ressent et si proche de cet étrange vide qu’elle peut l’observer à loisir, sans que sa présence soit ressentie.

Mais ce vide est étrange, ancien, dévoré par des ambitions et des faims que la déesse ne peut comprendre et qu’elle n’aurait pas pu comprendre, même avant d’accès à un autre plan d’existence. Malgré son incompréhension, elle continue d’observer, sans agir, imperturbable. Malgré tous les évènement dont elle est la témoin. Après tout, la vie est faite ainsi. Libérée de sa servitude, l’esclave subit l’influence de la déesse. Cette influence lui fait surmonter sa méfiance envers son ancienne maîtresse et lui permet indiquer son lieu d’origine. Désormais, il y a un lien entre la créature divine et cette étrange créature sans vie. Et ce lien sera pareil au fil d’un pêcheur. Avec patience, le temps fera son œuvre et la déesse pourra bientôt satisfaire sa curiosité.

Elle la sent désormais, cette béance se place  au sein même de la mangrove, au sein de ces eaux marécageuses grouillantes de vie. Tous les être vivants de ce lieu sont liés au temple de la déesse, comme s’ils étaient liés à elle, comme des extensions de sa propre nature divine. Elle peut voir, entendre, sentir, toucher par l’intermédiaire des millions, des milliards d’êtres qui peuplent ce lieu. La visiteuse est laissée à la merci des surprises et des surprises que recèlent le lieu. Aucune protection divine ne lui est accordé, mais ce n’est pas le cas des créatures qui croisent sa route. Sa main est donc retenu les quelques fois où elle risque de prendre une vie.

Le chemin de l’étrange visiteuse croise, inévitablement, le village. Là, elle est laissé à sa nature, visiblement habitué à dominer autrui et obtenir tout ce qu’elle désire. Mais la déesse n’est pas un être de moral, d’équité ou de justice. Elle laisse donc la visiteuse assouvir ses différents soifs de désir charnel et de sang. Mais, cette étrange va au-delà de ce que la divine créature peut tolérer, elle menace une vie à naître, ce qui ne peut-être accepté sur ces terres. L’essence divine prend possession du chaman du village, après avoir empli son esprit de vision. Sa conscience est épargné, mais il est complètement sous l’influence de la déesse. Ses mots sont ceux d’un mortel, mais la volonté est divine. Le chaman intervient habité par la volonté de sa déesse et d’une partie de son pouvoir, rendant ses ordres impossible à transiger, même pour un être dépourvu de vie. La visiteuse est punie d’une envie, qui ne sera pas assouvie, comme sentir un nectar que l’on ne pourra pas boire.

Chassée du village, la visiteuse n’échappe plus à l’emprise de la déesse, toujours courroucée. Désormais, elle ne la laisse plus faire un écarte sur le chemin qui la mène au temple. Tel un pêcheur agacé par un poisson qui lui a donné tant de mal, elle tire furieusement sur le lien, qu’elle a tissé. Néanmoins, elle partage avec sa visiteuse, la vision de la naissance de l’enfant, sans conséquence néfaste pour le nourrisson ou la mère. La déesse s’est assurée qu’aucun mal ne leur soit fait, malgré le comportement de son invitée.

Arrivée à destination, au cœur même du sanctuaire, au plus profond du marécages, la déesse laisse son invitée contempler les lieux, alors qu’elle quitte son domaine pour apparaître face à la nouvelle venue. Une immense fleur, à l’apparence pareille à celle d’un lotus, fleurit, s’accroît, puis s’ouvre, dévoilant la déesse sous une forme humanoïde, celle d’une femme aux formes opulentes mais harmonieuses. La peau et les longs cheveux de la déesse sont d’un vert aux multiples teintes. Elle est entièrement nue et chacun de ses pas est assuré. A chaque fois que la plante de ses pieds touche le sol, des fleurs et de herbes jaillissent. Le temple entier est baigné par un sentiment de calme, d’apaisement et de sécurité. Arrivée devant la nouvelle venue, elle dresse une main devant le visage de celle-ci, sans dire un mot. Le visage de la déesse affiche la contrariété, mais sans animosité.

Des vrilles se dressent lentement du sol autour de la nouvelle venue et déshabille celle-ci. Puis, elles la soulève du sol et lui écarte les jambes en les pliant, offrant ses orifices intimes à la vue de la déesse. D’autres vrilles viennent écarter ses lèvres intimes. D’autres encore s’élèvent, surmonter d’une fleur qui s’ouvre, elle redescendent et pose la fleur éclot sur les seins de la visiteuse. Les fleur, dotées d’une ouverture en leurs cœurs, aspirent lentement les mamelons et les massent grâce à des mini-vrilles dont elles sont pourvues. Une autre vrille similaire vient aspirer le bouton d’amour de l’invitée de la déesse. Cette dernière pose une main derrière la tête de sa captive, tandis que son autre main se pose entre les cuisses de cette dernière. Un doigt se glisse alors dans l’antre humide et chaude, s’allonge et parcoure l’intimité sur toute sa profondeur. Remuant en tous sens, il n’épargne pas la moindre parcelle sensible de cette intimité inconnue. La déesse se penche légèrement sur son invitée et lui mure à l’oreille.


"-Un être dépourvue de vie qui recherche la vie. Quelle étrange rencontre."

Une vrille vient alors se glisser entre les fesses de la vampire et progresse lentement en enflant. Il remue à l’unisson des autres vrilles. Forte de ses  connaissance sur les être vivants et les moyens de les mener à l’extase, la déesse poursuit ses attentions, avant que sa captive atteigne le paroxysme de son plaisir. Puis elle relâche lentement son étreinte, la laissant lentement se remettre sur le sol du temple. La créature divine regarde sans mot dire son invitée, avec un regard sévère, mais une attitude calme, la dominant par la taille, les formes, la position et la nature même de leurs êtres.

7
Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: lundi 02 octobre 2023, 18:08:14 »
Sonata Arctica - World in my Eyes (Reprise d'une chanson de Depeche Mode)

8
Les terres sauvages / Re : De l’animal et du végétal.
« le: lundi 02 octobre 2023, 18:01:52 »
La femme-plante ne relève pas le lapsus de la femme-chat. Tout simplement, parce qu’elle ne comprend et ne le juge pas utile. Plutôt que de serrer la main qui lui est tendue, tend les siennes. Elle touche la chevelure de l’étrange créature, fascinée par cette étrange couleur bleue qu’elle arbore. Elle lui masse ses oreilles, descend sur le cou. Les mains esquivent l’étrange collier. Elles viennent masser les épaules et le dos. Les bras sont examinés, les aisselles observées. Les seins sont lentement pétris entre les mains végétales et les leur sommets entre les doigts. L’exploration se poursuit en passant sur le ventre et en chatouillant le nombril. Le voyage des mains continue, elles examinent diligemment les jambes et les écarte. Une examine l’entrejambe, elle caresse la vulve, le clitoris. L’autre main caresse les fesses, l’entre-fesse, titille l’œillet brun. Le contact avec la fourrure, un contact qu’Akita ne connaît pas, plus qu’elle ne connaît le mot "fourrure", avait attiré la femme-plante au-delà de tout respect pour l’intégrité physique de la féline créature ou de tout respect des, sans que cela n’émeuve la végétale créature. Sa curiosité satisfaite, elle relâche son étreinte sur le pauvre être qui la saluait.

"-Akita n’a jamais vu cette couleur, ni d’être comme Kana.

Malgré son attitude, la tactile créature ne semble pas montrer de gêne ou de peur. Ses yeux ne reflètent que la curiosité et l’interrogation. Une de ses mains continue de caresser distraitement l’épaule de Kara, appréciant le contact avec son étrange fourrure.

"-Akita est une plante. Mâle, femelle, mâle et femelle, plusieurs fois mâle, plusieurs femelle, plusieurs fois mâle et femelle, tout ce qu’elle veut."

9
Les terres sauvages / Re : La nature a tant à offrir. [PV Iriya Owl]
« le: dimanche 24 septembre 2023, 00:13:48 »
Akita a rarement eu l’occasion de ressentir son corps être traité d’aussi belle manière. Cet étrange être félin a une expérience très développée et un réel talent pour l’étreinte. Dans le but de récompenser les attentions de sa féline amante, deux paires de bras supplémentaires poussent sur la femme-plante. Les lèvres vertes se retirent lentement de celles intimes dont elle se délecter et propulse un souffle d’air entre les fesses. Le souffle vient heurter l’œillet. Puis les lèvres se font voyageuses et viennent embrasser les globes fessier rebondies. Elles n’épargnent aucune parcelle d’épiderme se rapprochant de l’œillet sans jamais le toucher. Puis un doigt fin vient titiller l’orifice strié, il en fait très lentement le tour, puis vient appuyer dessus. Il finit par le perforer et commence de doux mouvements de va et vient, remuant de temps à autre.

Tandis que ses lèvres reviennent prendre leur place sur le sexe félin, une de ses mains vient se saisir délicatement de la base de la queue féline et vient la masser. Ses lèvres, ayant retrouver leur position originel, viennent aspirer les pétales de la fleur intime, après qu’une langue mutine les aient caressées. Et tandis que les lèvres délaissent la vulve, des doigts fins et délicats viennent prendre le relais des caresses. Les lèvres viennent aspirer le bourgeon dressé avec gourmandise. La langue, restée en retrait, revient à la charge et après un passage, aussi bref qu’intense, sur toute la longueur de la fleur. Elle plonge au cœur de celle-ci. Chacun de ses mouvements la fait grandir, la plongeant de plus en plus profondément dans sa grotte de plaisir pour atteindre l’entrée de son nid d’amour. Deux mains viennent se saisir délicatement de la poitrine de la féline créature et viennent masser les seins. Au creux de leurs paumes, des orifices ressemblant à des bouches se créent et viennent aspirer les sommets des douces collines. Tout ces mouvements sont fait très lentement, malgré le plaisir qu’elle ressent et celui qu’elle veut offrir

Comme derniers cadeaux, ses jambes s’écartent dévoilant son intimité féminine brillante et luisante. Son membre viril offre un soupçon de sa semence végétale.

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Les terres sauvages / De l’animal et du végétal. [PV Kana]
« le: dimanche 24 septembre 2023, 00:10:23 »
Au fin fond de la forêt, parmi les buissons et les fourrées, navigue un être végétal en quête de discrétion. Sa forme n’a pourtant rien de discret, un amas étrange de vrilles végétales, de racines, de fleurs et de feuilles qui se meut sans bruit. Glissant lentement sur le tapis végétal, malgré sa masse et sa forme grotesque, elle ne fait pas plus de bruit que le bruissement des feuilles soulever par le vent. Sa progression est lente, mais certaine. Mais néanmoins difficile à suivre, l’amas se scindant à chaque arbre ou rocher massif, puis se regroupant une fois l’obstacle passé. Soudain l’amas végétal s’arrête et se rassemble, un bruissement de l’air lui a fait sentir l’approche d’un autre être vivant doué de conscience. L’amas reprendre peu à peu sa forme d’origine et Akita prend sa forme hermaphrodite, une poitrine largement supérieure à la moyenne humain et un membre viril lui aussi supérieur en volume au standard humain.

La femme-plante observe au loin, se qu’elle a sentit grâce aux cils minuscules et très sensibles de son "épiderme" végétal. Un être humanoïde, mais à l’apparence très féline semble chercher quelque chose dans la nature qui l’entoure. Akita n’a jamais vu un être avec une couleur bleu aussi intense et se déplaçant avec une nudité aussi peu gênante pour elle. Curieuse, elle ne cache guère sa présence à l’être qu’elle observe.

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: samedi 23 septembre 2023, 21:21:16 »
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Blabla / Re : [Question] Pourquoi faites-vous du rp hentai ?
« le: jeudi 21 septembre 2023, 17:59:05 »
Un sujet intéressant que voilà. ::)

Cela doit faire entre 10 et 20 ans que je fais du rp, plus proche de 20 d’ailleurs. J’ai du faire à peu près tous les thèmes et la plupart des genres de forum rp. J’ai même créer un forum rp à une époque. Je suis arrivé sur LGJ un peu par hasard, après un long moment de traversé du désert, par manque d’envie de rp et de forum qui pouvait m’intéresser. LGJ m’a attiré par sa liberté totale. J’y reste pour ça et pour sa communauté de gens sympathiques et charmants, chacune et chacun à leur façon. X)

Même si mon personnage d’Akita est un jouet sexuel ambulant, il faut le reconnaître. Et que me rps tournent quasi-exclusivement autour de la gaudriole. Ce n’est pas le seul intérêt qui me pousse à faire ce type de rp. C’est pour découvrir d’autres personnages et leur caractère, comment ils vont interagir avec un personnage aussi étrange que peut l’être un végétal. Mais aussi pour ne pas perdre l’envie d’écrire. J’ai des projets littéraires très sérieux, mais je manque souvent de motivation pour les faire, alors que j’ai une imagination prolifique et capricieuse. Avoir une idée et ne pas pouvoir l’écrire est une torture que tout le monde connaît ici, je pense. Mais cela me permet aussi de décrire des scènes de sexe que j’ai plus de mal à décrire dans mes projets, car j’ai tendance à ressentir ce que peuvent ressentir les personnages que je décris. Et décrire une scène de sexe, tout en se mettant à la place de celui qui la fait, est très compliqué pour ma concentration. XD Je peux le faire pour les rp, car ce n’est pas un projet sérieux, mais une forme d’occupation mentale, pour ne pas perdre la main, comme on dit.

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Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: mardi 25 avril 2023, 18:20:04 »
U2 *o* (Mon groupe préféré.)

L - Drâa

Une amie artiste et ma chanson préférée d'elle. :D

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: dimanche 16 avril 2023, 11:31:07 »
SEX ! Euh six.  ::)

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Blabla / Re : Qu'écoutez-vous en ce moment ?
« le: lundi 10 avril 2023, 21:56:57 »
Whitney Houston - I Wanna Dance With Somebody

Parce que Whitney, tout simplement.  :D

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