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Gymnase en plein air et piscine / Une belle prise dans la réserve [Kaito Nakajima]

« le: mercredi 20 avril 2022, 20:19:26 »

C'est en essayant de courir continuellement après un ballon à rattraper, durant une partie de volleyball en plein cours de sport, que je reçois régulièrement insultes, moqueries ou encore bousculades venant de la part de certains, notamment ceux avec lesquels je faisais actuellement équipe. Ce genre de comportement agressif, je les reçois encore plus souvent et même encore plus violemment, depuis ce qui est arrivé à mon petit frère Tetyhs, il y a tout juste deux semaines. Avant cela, j'arrivais à plus ou moins à gérer et à tempérer la situation. Au début, on se moquait surtout de nous, à cause de notre mère qui avait prit l'habitude de se prostituer à son magasin, parce qu'elle n'arrivait pas à parfaitement arrondir ses fins de mois. On pensait surtout que son geste était honnête. Alors évidemment, des élèves se sont amusés à venir la voir et l'ont filmée en train de leur faire toutes ces putains de choses, dont on pensait qu'elle n'avait juste pas le choix. Et les images et les vidéos obscènes sur elle, se sont très rapidement propagés dans tout le lycée. Ca a immédiatement nuit à notre réputation. On se moquait souvent de nous. On essayait déjà de s'en prendre physiquement à moi. Mais ça a encore été pire, quand j'ai vu ma mère se permettre d'afficher tout ça, sur une page d'un site pornographique en vogue, qu'elle avait osée appeler son blog personnel, en usant du même nom que celui de sa boutique. J'avais déjà trouvé ça très limite de faire ça de sa part, mais elle disait que cela lui permettait de gagner encore d'avantage de clients, parce qu'elle en avait vraiment besoin. Comme nous étions assez stupides pour la croire, nous avions laissés faire, malgré les constantes moqueries que nous subissions de plus en plus ici.

Et puis les choses ont vraiment prit un tournant dramatique, avec ce sale petit connard de la classe de Tetyhs! J'en ai tellement du dégout rien qu'à y repenser, que je ne préfère même pas détailler, tellement c'est à vomir. Mais c'est surtout là que maman a vraiment complètement déconné, avec nous. C'est là qu'on a compris qu'elle ne pensait juste qu'à son plaisir égoiste et purement malsain, quitte à volontairement nous salir avec elle! Ce qu'elle nous a fait a été impardonnable, venant de la part d'une mère. Alors depuis ça, les autres ne se sont plus contentés de seulement nous insulter. Pendant que mon petit frère a commencé à se faire de plus en plus violemment persécuter, on m'a déjà violée par six fois, en même pas deux semaines entières. Et c'est sans compter avec les attouchements de merdes, que je reçois presque constamment... Des enfoirés qui viennent de ma classe ou dans d'autres, qui m'ont filmée en tain de devoir subir ces sévices répugnants! Mais j'avais beau essayer de me débattre, ça ne faisait que les exciter encore plus! Et pendant qu'on essaye de nous forcer à regarder toutes ces horreurs en plus, maman ne trouve rien de mieux à faire qu'à les laisser envoyer leurs merdes, sur son blog! Comment une mère qui se prétend en être une, ose t-elle laisser toutes ces images et ces vidéos dégueulasse sur nous, circuler sans rien faire? Elle n'arrête pas dire qu'elle culpabilise, mais elle ne fait que montrer et rechercher un avilissement à la fois malsain et parfaitement consentit, vis à vis du premier pervers dégénéré venu! Je...

- Hé! Putain de boulet! Essaie d'apprendre à rattraper les balles en plus de bites, au lieu de dormir! Tu vas nous faire perde le match à cause de toi, pétasse!

- Mais quelle conne! En même temps, c'est pas pour rien que c'est la fille à sa mère! Telle mère la pute, telle fille de pute!

- Hahahaha! C'est ça! A part écarter les cuisses à tous les mecs du lycée, elles savent rien faire d'autres dans leurs vies, ces putains de sacs à foutre!

- Beurk! Je dis surtout que ce genre de déchet, ne devrait juste même pas exister du tout!

- Setyhs le boulet! Setyhs la grosse pute! Setyhs la grosse suceuse! Setyhs la soeur à son frère, qui a vu sa mère se faire baiser devant lui tout attaché!

- Arrêtez! Laissez-moi tranquille avec tout ça! Vous ne savez rien du tout et...

- Ta gueule et joue, putain de pute à chienne ou je te fais bouffer tes dents!

- Aaaaah!

Après les humiliantes moqueries, je reçois une violente claque dans la tête que je ne vois pas venir, de la part de l'une de ces sales connes qui a l'habitude de m'agresser. Pendant que tout le monde rit comme des demeurés, le prof nous dit de tout simplement reprendre la partie, sans même chercher à me défendre. Au contraire, puisque j'ai même déjà remarqué que cet enfoiré m'a déjà plusieurs fois regardé lui aussi, exactement comme l'un ces sales pervers de merdes! Je les déteste tous!

- Ok c'est bon! On continue le jeu tout le monde! Laissez tranquille mademoiselle Setyhs, qui doit surement avoir ses habituels petits problèmes de filles, au placard!

C'est avec presque les larmes aux yeux, qu'on reprend. Une dizaine de minutes après, notre équipe perd la partie et c'est évidemment à cause de moi, qui n'a pas su jouer. A cause de la pute incompétente, qui écarte les cuisses comme une chienne dépravée toute la journée. A cause de celle, qui aime faire exactement comme sa mère. Celle qui aime tailler des pipes à son petit frère, quand maman aime le voir attaché pour se faire sauter par un autre, en même temps... Je suis comme d'habitude, la seule coupable et responsable de tout!... Voilà en gros, ce que j'ai encore le droit de prendre dans la tronche, avant que tout le monde ne commence à se barrer, en direction des vestiaires. Et c'est en tremblant de stress et d'énervement, que j'entends le professeur me désigner avec Kaito, un autre élève, pour ranger le matériel et l'apporter dans la réserve.

- Kaito et la petite starlette, je vous laisse ranger le matériel avant de partir, merci!

Je ne comprenais en rien la philosophie de ce lycée de merde. Je ne comprenais tout simplement pas comment c'était possible de trouver de si odieux professeurs comme lui, pour ignorer ce qui se passe, au point de se liguer lui aussi contre moi!... Comment pouvaient-ils tous être lâches à ce point là?... Mais peu importe. Du moment que je pouvais souffler et ne plus entendre la moindre moquerie venant de la part de ces abrutis, au moins jusqu'après le repas... Je m'exécute donc aux ordres de ce pervers narcissique, sans regarder une seule fois mon autre camarade. C'est avec des gestes à la fois énervés et maladroits, que je mets en plusieurs fois en vrac, le matériel dans la réserve du gymnase. A l'intérieur, je reprends une dernière fois mon souffle, avant de préférer faire exprès de trainer un peu, histoire ne pas encore à devoir croiser les autres, en revenant au vestiaire. Je sors alors mon téléphone, en faisant celle qui recherche quelque chose, sans savoir que j'étais vraiment très loin d'être toute seule ici.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Transformez-la en marchandise pour moi! [PV]

« le: lundi 18 avril 2022, 20:33:15 »

C'est comme un simple sac à foutre, que je laisse ensuite ce taré se finir en moi, sans rien faire. J'avais compris que je ne pouvais plus lutter. Même ma mère s'était entièrement couchée et mise de son côté. Alors pendant que je ressens encore la brûlure de son sale machin sur le bas du ventre, il s'en donne à coeur joie en me redonnant des violents coups de bassins. Je ressens alors encore la queue dégueulasse de ce mioche, qui presse mes parois qui ne peuvent évidemment pas lui résister. Son bassin claque contre le mien, comme si il prenait sa nouvelle pute que je suis. Bien que j'essaie contrairement à ma mère, de garder encore un peu de dignité au moins en apparence, il m'est difficile de ne pas pousser par moment des petits gémissements, à cause de mon clitoris qui s'est tant fait malmené. Et c'est au bout de seulement quelques instants, que la salope, elle même la fille d'une pute qui préfère couiner comme une chienne dépravée à voir sa fille souffrir et se faire violer devant ses propres yeux, que l'enfoiré éjacule encore une fois à l'intérieur de moi. Toujours sans rien faire, je ressens avec une totale impuissance, le sperme de ce petit con se propager à l'intérieur de ma chatte de fille de joie. La pauvre catin que je suis laisse faire avec résilience, celui qui est en train de la baiser profondément à sec. Le foutre chaud et répugnant de cet espèce de morveux, englue complètement toute ma vulve, pendant que je la sens se presser de plus en plus fort. Mon ventre gonfle, face à une quantité étonnante qu'il expulse à l'intérieur de moi, comme une poupée sexuelle qu'on utilise à chaine. Il s'amuse ensuite à bien continuer de laisser sa bite tout au fond de moi comme le sale porc qu'il est, pour être certain que j'en reçoive un maximum au fond de la chatte. Quand il a finit de jouir pour la seconde fois, l'espèce de connard rit de mon malheur, en même temps qu'il se sent fier d'avoir accomplit cet acte de viol...

Cependant, je me retrouve à avoir encore vraiment peur, lorsque je ressens ses griffes qui me caressent ensuite la peau et qui me faisaient légèrement mal. Un geste de domination triomphale et humiliant de plus qu'il fait sur moi, pendant qu'il interpelle le déchet qui se tient par terre juste à côté de moi, qui est censé s'appeler une mère. Et c'est quand il me pelote. Que je ressens un peu de son sperme ressortir à la fois lentement et désagréablement entre mes cuisses noyées de sa semence dégueulasse, que mon estomac se noue un instant, lorsque j'entends ce qu'il lui dit ensuite. Moi qui croyait qu'il se serait arrêté là et qu'il nous aurait laissés toutes les deux choir en plan en riant. Satisfait de m'avoir détruite et faite de ma mère la pire des odieuses salopes complaisantes, lui ordonne de faire quelque chose qui dépasse tout ce qu'il y a de plus insoutenable!

- Arrête! T'es complètement malade! Tu ne te rends pas compte de ce que tu fais ou quoi?...

Désespérée, mais n'osant pas me rebeller d'avantage pour le moment par peur de nouvelles représailles, cet espèce de malade mental a demandé à ma mère, de venir selon ses "choix" à elle, participer pour de bon avec lui, à mon viol! C'est avec les tripes qui ont envies de se retourner. Complètement choquée par l'impensable, que je me mets à sangloter. J'essayais de ne rien dire, parce que je n'étais pas en état de pouvoir le faire, mais j'espérais encore au fond de moi, qu'il y avait encore quelque part une once de conscience et surtout d'humanité à refuser de faire une chose pareille, derrière la profonde lâcheté de maman. Le maboule en profite pour m'attraper le visage et me forcer à le regarder droit dans les yeux, alors que je suis dgéoutée et terrorisée, par ses actes insensés.

- Mmmmpf!

Je grimace, lorsqu'il me mord mes lèvres à presque les faire saigner, juste après les avoir léchées. Mes oreilles tremblent ensuite, lorsque je l'entends repartir dans un délire et je continue de sangloter de terreur, quand il appel maman à venir. Mais conne avait beau le supplier comme une... conne, elle trouvait encore le moyen de gémir... C'est avec la tête prête à exploser comme un ballon, les veines qui tambourinent en plein dans le crâne, que j'entends maman qui se relève et qui commence à se déshabiller... Puis elle se rapproche, alors que ce malade continuait d'avoir son emprise sur nous deux, chacune à sa façon. J'ai le souffle qui se coupe et je suis maintenant gagnée par la panique, lorsque je la vois arriver à poil, tout près de moi. Les larmes qui coulent sur les joues, encore incapable d'accepter la réalité, elle vient mettre sa chatte juste au-dessus de moi.

- Mmmmmpf!!! Mmmmmpf! Mmmmmmh!!!

Et au moment où j'allais me reprendre pour essayer dans un acte désespéré de lui faire prendre conscience de ses actes aussi indignes et inconscients que ceux de cet abrutit qui part complètement en vrille, elle s'assoit en plein sur ma figure, avec son putain d'entrejambe écarté. Elle écrase sa chatte horriblement poisseuse qu'elle s'amuse à frotter en plein sur ma tronche, qui se mouille très vite de sa cyprine. J'essaie alors de bouger pour la repousser, pendant qu'elle m'étouffe à moitié, avec l'odeur de sa nouille qu'elle me force à respirer en même temps!. C'est bouleversée par ce qu'elle est en train de me faire subir, à moi sa propre fille qu'elle se disait pourtant aimer, que je l'entends couiner. Alors que j'essaie désespérément de me débattre et de lui répondre maladroitement, à cause du dégout et de la violence avec laquelle elle frotte son putain de trou à bites contre moi, elle amplifie encore plus ses mouvements!

- Arrrf... Arrête... Non! Mmmpf!... Aaaaaah! Aaaaaaah!...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Une rencontre légèrement oppressante [Nath]

« le: dimanche 17 avril 2022, 20:23:54 »

J'ignorais si j'avais frôlé la mort. Ni même si j'étais revenue à la vie, avec à la grâce d'un dieu ou avec l'aide d'un quelconque miracle, mais j'étais surtout incapable de pouvoir bouger un seul muscle. J'avais l'impression que je respirais mes toutes premières bouffées d'air frais, alors qu'il faisait maintenant nuit. J'avais peur, mais c'était surtout la tristesse qui l'emportait sur le reste. La fille était accroupie juste au-dessus de moi et elle me souriait. Son expression avait quelque chose de sombre. Tout chez elle me mettait mal à l'aise, mais j'avais l'inexplicable impression, qu'elle ne me ferait finalement pas de mal...

C'est dans la confusion, que cette femme ou peut-être cet être venu d'ailleurs, me frotte doucement les yeux, pour essuyer mes larmes. La texture de ses doigts, avaient effectivement quelque chose de bien vivant chez elle. Ce n'était donc pas la mort en personne, qui m'accueillait... Elle avait aussi arrêté de chanter. C'est alors qu'elle pose ensuite la main sur mon front, un geste de plus qui ne rassure pas vraiment, mais qui me donne une sensation d'apaisement bienvenue. Puis elle prend ensuite vraiment la parole, pour la toute première fois. Elle parle de la chute. Mais surtout, elle m'appelle par mon prénom...

- Qu'est-ce que tu me veux?...

C'est avec beaucoup de difficultés, que je lui demande presque dans un murmure qui ressemble à un souffle de mourant prêt à rendre l'âme, ce qu'elle me veux. Mais tout ce que j'obtiens comme réponse de sa part, est un petit rire, juste avant que ne revienne court instant de silence. Pendant que la froideur de l'endroit où je suis maintenant, commence à s'emparer doucement de moi, elle mentionne maintenant mon frère, en me donnant son propre prénom à lui aussi... Cette fille était définitivement bizarre et inquiétante. Comment savait-elle tout ça sur moi?... Seulement je n'avais ni l'envie, ni la force de vouloir en apprendre d'avantage sur tout ça. Je voulais juste m'en aller d'ici. Prendre ma mère et mon frère dans mes bras. Oublier ce mauvais rêve...

Et puis, pour des raisons que je ne comprendrais sans doute jamais, la fille qui s'était mise à me caresser soigneusement les cheveux, comme si j'étais une personne précieuse pour elle, se lève tout en continuant de me faire son étrange sourire. Sans me prévenir, elle me redresse depuis ma position allongée, avec une incroyable facilité. Pendant que je suis debout, avec l'impression d'être encore lourde et courbaturée, je la vois s'évaporer devant mes moi, alors qu'elle vient tout juste de prononcer ses derniers mots encore incompréhensibles, mais dont je me serais finalement passé d'entendre.

Et lorsque la fille bizarre au caractère surtout instable, a complètement disparut de ma vue tel un fantôme, je retombe au sol par terre. Je me laisse encore aller à pleurer, sans comprendre quel était le sens de tout ça. Mais peu importe, car je suis finalement bien vivante et je vais maintenant pouvoir faire comme je l'ai dis. Je vais prendre ceux que j'aime dans mes bras et je recommencerais normalement les choses, dès le lendemain matin.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Transformez-la en marchandise pour moi! [PV]

« le: mardi 11 janvier 2022, 20:23:42 »

Dégueulasse! Ce porc était vraiment remplit de merde, jusqu'à la bouche! Déjà que j'étais horrifiée par les attitudes de maman, l'autre connard se fait plaisir, en me torturant mentalement encore un peu plus! L'entendre sans cesse se foutre de moi et de voir maintenant ma mère finir à ses pieds pour le supplier et en plus gémir comme une... comme une catin, m'avait mise hors de moi! Mais c'était une opportunité, que je croyais pourtant bonne à saisir... Une opportunité qui a surtout complètement raté, car elle n'a pas du tout fonctionné... Et sans exagérer, le coup de bâton est même immédiat!

- Aaaaaaaaaaaaaah!... Aaaaaaaaaaaaah!...

Le connard cale alors sa bite aussi loin qu'il le peut dans ma chatte, avant de m'électrocuter de l'intérieur! Si je ne comprenais pas exactement comment ce merdeux arrivait à faire ça, je ressentais surtout très bien la saloperie de décharge électrique, qui était en train de s'en prendre à toute mon intimité! Elle était déjà chaude et humide, maintenant elle était carrément brûlante! La douleur est d'ailleurs immédiate! Alors mes iris se rétrécissent encore une fois. Comme si j'allais mourir, je criais à répétition. Mais à ma grande surprise, la torture physique que je suis en train de subir, se transforme très vite en jouissance!... Il était tout simplement impossible de résister à un truc pareil! Ce connard n'est vraiment pas juste un simple humain, avec un côté animal qu'il cache! C'est vraiment le monstre ou le démon lui-même!

- Aaaaaaah oui!... Ooooooh ouiiii! Ooooh Ouuuuiiiiiii!...

Je jouis comme jamais je n'ai jouis avant! Ma chatte se contracte toute seule, autour de sa putain de bite! Je n'avais besoin de faire aucun effort, pour l'avaler jusqu'au fond! Contre ma volonté, elle ne semblait plus qu'épouser rien d'autre, que sa saloperie de queue atroce! C'était en même temps si bon, que mon clitoris à la sensibilité disproportionnée, me le rendait parfaitement! Et mon utérus était tout autant malmené! La pression était démesurée! Mais face à ça, je ne pouvais que rendre les armes et jouir! Je croyais que j'aurais pu tenir, mais que pouvais-je espérer faire, contre ça? Ce mec était vraiment prêt à tout, pour obtenir ce qu'il voulait! Et ma mère qui rampait à ses pieds, ne faisait que renforcer sa détermination à me violer et à m'humilier!...

- Putain... Putain de merde...

Lorsque le calvaire physique est enfin finit, je me sens complètement essoufflée. Mais la torture n'était pas encore terminée! Alors que je croyais qu'il parlait de ça, quand il avait ouvert sa sale gueule d'abruti pour me parler de me marquer, il m'ordonne de ne pas bouger... Comme si je devais prendre ça pour une blague, parce que j'ai toujours une jambe tenue en l'air et que je suis légèrement dans les vapes, je l'entends parler d'un cadeau, que connaitrait ma lâche de mère, qui reste plantée au sol en couinant... Quelques instants après, un autre moment de panique s'empare de moi, lorsque je le vois sortir une espèce de bague, qu'il tient dans une main. Il la pose ensuite juste au-dessus de mon entre-jambe, avec un étrange papier sous la bague qui est un... sceau?...

- Qu'est-ce que tu vas encore me faire?... Arrête...

J'ai tout juste le temps de parler, qu'une autre décharge brulante et désagréable, se propage! Je crie encore une fois, mais à la différence que ce n'est plus qu'exclusivement de la douleur! C'était si intense, que j'avais l'impression d'être marquée au fer rouge! Ce mec est vraiment un malade!...

- Aaaaaaaaaaaaaaah!...

Passé une éternité, qui n'est rien de plus que quelques trop douloureuses secondes, la brûlure s'estompe assez vite. Les larmes au bord des yeux, je remarque un étrange symbole, que ce connard m'a appliqué! Quant à la suite, je n'ai pas besoin de la demander, puisqu'il se pavoise lui-même tout seul comme un ahuri, en me parlant d'un sceau d'esclave!... Mais putain, je ne suis l'esclave sexuelle de personne!... Pendant qu'une légère sensation de brûlure me regagne, ce petit enfoiré parle du risque que je pourrais encourir, si jamais j'essayais de me rebeller encore contre lui... Alors c'était ça, qu'il avait préparé?... Mais si c'était la vérité, alors la partie était vraiment terminée pour moi...

- Maman?...

Comme si je suis persuadée que je ne pourrais pas tomber encore plus bas dans cette scène d'horreur, je vois maman qui se tortille et qui gémit, alors qu'elle nous regarde! Mais l'expression de son visage change encore! Elle devient ensuite comme heureuse... Puis elle remercie l'autre enflure, en l'appelant "maitre"? Et en jouissant?

- Mon dieu!...

Pendant que je n'en crois pas mes yeux et mes oreilles, elle s'extasie ensuite devant lui, en le fixant d'un regard comme fou, rempli de soumission et d'un désir complètement surréaliste, que j'avais beaucoup de mal à comprendre. Elle jappe ensuite comme même une prostituée ne ferait jamais de sa vie entière, tout en le remerciant d'être un déchet... Et puis elle aboie plusieurs fois!... Cette fois, c'était franchement de l'horreur mêlé avec un infini dégout et un mépris profond, que j'éprouvais en la regardant se soumettre dans un tel état. C'était juste complètement malsain, de voir ça! Elle donnait tellement envie qu'on la méprise, que je ne ressentais même pas de la pitié pour elle. J'étais tout simplement choquée, par ce que je voyais... Aussi je n'avais même pas remarqué qu'il avait profité en même temps de son extase, pour me retourner vers lui et m'embrasser. J'ai alors un moment d'absence, pendant que ce si "grand maitre tellement merveilleux" me demande de le resserrer, pour l'aider à éjaculer encore une fois au fond de moi, dans mon pauvre sexe malmené. Et tout ça, pour en faire sa victoire totale... Mais j'étais soudainement si anéantie, avec par-dessus une envie de vomir jusqu'à ce qu'il ne me reste plus rien d'autre, que la peau sur les os, que je suis incapable de faire quoique ce soit de plus. Cependant, j'avais encore certaines réactions naturelles, à cause de ce que j'avais subis. Mon vagin convulsait toujours et semblait encore arriver à se resserrer de lui-même, autour de sa bite... Même mon corps ne lui avait pas résisté...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Transformez-la en marchandise pour moi! [PV]

« le: mercredi 29 décembre 2021, 19:30:10 »

Très choquée par les attitudes de ma mère, qui me confirmait qu'elle collaborait surtout avec lui, je l'entends comme gémir mollement, quand il la repousse enfin de mon vagin détrempé, par son sale foutre dégueulasse! Comme je suis moi-même maintenant paralysée complètement par la peur, je laisse cet idiot me tourner sur le côté et se saisir de ma jambe, comme une chose fatiguée... Avec l'épuisement et le visage légèrement brûlant, à cause de toutes ces émotions et des saloperies que je dois endurer de tous les côtés, je remarque ma mère qui reste stupidement le dos tourné... Puis au moment où elle bouge, je me noie dans le désespoir jusqu'à l'os, lorsque je la vois repartir pour remettre à sa place, le téléphone de cet abrutit...

- Va te faire foutre...

Pendant que tout mon corps tremble, je réponds à l'autre connard, qui s'apprête encore à recommencer de me violer. Même si j'avais peur et que je ne serais sans doute pas capable d'aller contre son gré, j'étais bien décidée à ne pas le laisser me briser aussi mentalement! Ca avait beau être un détraqué et un pervers, il ne pense de toute façon qu'avec sa bite. Donc il sera fier de m'avoir bien violé, mais il n'aura pas mon mental à ses pieds, contrairement à ma lâche de mère! J'ai donc tout juste le temps de lui envoyer un regard noir et de serrer les dents, qu'il plante encore sa bite dans ma chatte!

- Aaah!...

Malheureusement, mon corps ne tient pas tout à fait le même discours que moi et je ne peux que ressentir une vibration de plaisir dont je me passerais des plus volontiers, lorsqu'il se retrouve encore en moi. Ce petit malade ne perd même pas une seconde, pour bien remuer et me reprendre encore pour sa pute sexuelle! Même lorsque sa bite va et vient désagréablement en moi, je le sens s'acharner et de foutre bien de moi! Mais je continue inévitablement d'éprouver de plus en plus un malaise profondément désagréable, quand je dois continuer de faire face à l'inacceptable passivité de ma mère! Elle restait maintenant là, à nous regarder...

- C'est... C'est vraiment écoeurant!...

Et pendant que cet idiot me prenait comme un animal, je pouvais en plus désagréablement ressentir tout ce qu'il avait lâché en moi! Et il ne m'avait pas loupé, pour un connard de son gabarit! Seulement ça a beau être une petite merde, j'ai laissé déjà les choses aller beaucoup trop loin, que pour à présent espérer arriver à utiliser mes pouvoirs d'illusions, contre lui. Aussi efficaces étaient-ils, il semblerait que la plupart d'entre-nous, éprouvaient souvent des difficultés ou tout simplement des incapacités à les utiliser, lorsqu'ils étaient gagnés par des émotions trop fortes et surtout négatives... Mais la peur reprend le dessus sur moi, lorsque au moment où il s'amuse à m'attraper les seins, comme on palpe une vulgaire marchandise, quand il me dit qu'il veut me faire une...

- ... Une marque sexuelle? Mais arrête! Arrête!...

Choquée par les propos de ce tordu, qui semble vraiment inarrêtable sur tous les points, mes oreilles se dressent et mes pupilles rétrécissent, lorsque je devine au-delà d'une terrible maque d'humiliation, la souffrance qui pourrait aller avec! Et vu son genre, je doutais qu'il se contente d'une simple petite morsure, qui me resterait au pire sur le corps pendant seulement quelque jours...

- Stop! Maman... S'il-te-plait... Je t'en supplie! Je suis ta fille maman! On... On a tellement attendu si longtemps ce jour, pour pouvoir se retrouver!... Maman...

Je réponds à sa propre supplication par la mienne, avec le coeur meurtrit, lorsque je la vois elle-même se décomposer sous mes yeux, quand il lui demande en plus son avis. Je voyais bien qu'elle était elle aussi, au bord de pleurer... Mais bien que je n'étais pas bien moi non plus, elle me paraissait enfin prendre pour la première fois, conscience du problème. C'est donc encore avec des yeux pour l'implorer d'agir enfin, comme elle est censé normalement devoir faire comme n'importe quelle mère qui verrait sa propre fille se faire violer, que je la supplie d'agir! Mais lorsqu'elle s'avance vers nous, qu'elle semble enfin prête à faire quelque chose pour moi, face à cette ordure, qu'elle s'arrête et qu'elle se met à l'implorer... J'étais entre les griffes de ce détraqué, qui était en train de me violer. Qui était en train de refourrer sa bite puante, dans mon sexe... En train de me tenir, comme sa petite chienne dans une position humiliante et filmée par son téléphone... Qu'elle ne trouve rien de mieux à faire, que de le supplier à genoux?... En gémissant?...

- Ca... Ca suffit!!!

Gagnée soudainement par une colère qui me dépasse, je profite instinctivement de ce regain d'énergie qui me manquait, pour tenter quelque chose contre cet abrutit. Prête à pouvoir enfin réagir et en ne comptant visiblement que sur moi-même, je pivote mon bassin qui est toujours tenu entre ses sales pattes, pour lui préparer un sort d'illusion qu'il ne serait pas prêt d'oublier...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Une rencontre légèrement oppressante [Nath]

« le: dimanche 12 décembre 2021, 18:06:11 »

- Est-ce que je suis morte?...

J'ai les yeux ouverts... Il fait noir... J'ai si froid...

Allongée sur le sol qui ne ressemble en rien à celui d'un trottoir, je reste là à attendre. Il faisait totalement noir. Il y avait un silence, comme jamais je n'en avais perçus... Je n'ai alors aucun effort à devoir faire, pour me relever avec une légèreté surréaliste...

- Merde...

Je commence doucement à haleter, avant de fondre en larmes... Je crois que c'était suffisamment clair, pour comprendre ce qui m'était vraiment arrivée, malgré l'absence de lumière autour de moi... J'ai basculé en arrière et puis je suis tombée dans le vide... Mon corps se retrouve maintenant sur la pierre froide et tout autour, il devait maintenant y avoir des gens en train de crier... Je suis morte et je n'ai pu... Je n'ai pu dire aux miens, comme je les aimais!...

- Noooon!...

Je sanglote à chaudes larmes. Pendant que je me penche en avant, je ressens les gouttes qui me semblaient horriblement froides, glisser du coin de mes yeux... Aller sur mes pommettes, puis mes joues et finir sur mon menton. C'est finit. J'aurais quitté ce monde, d'une bien drôle de manière... Et lorsque ma mère et mon frère l'apprendront, ils penseront comme tout le monde que je n'avais rien trouvé de mieux à faire, que de mettre fin à mes jours, en me jetant de ce maudit toit! Quant à faire le lien avec cette horrible fille qui s'est permise de m'enlever aux miens, je n'y croyais pas... Je quitte ce monde sans comprendre qui elle était... Ni qu'est-ce qu'elle me voulait vraiment...

- Pourquoi ça doit se terminer comme ça? Qu'est-ce que j'ai fais pour mériter ça?...

Pendant que je me sens piégée dans un désespoir, aussi vide que cet espèce de gouffre sombre dans lequel je suis plongée, je continue de pleurer. Je suis ici toute seule et j'ignore pendant combien de temps je vais rester-là... Mais le cauchemar éveillé que je suis en train de vivre, s'aggrave de façon inattendue, lorsque j'entends encore ce maudit chant!..

- Non! Ca suffit! Arrête! Arrête de chanter, sale conne!...

Prise encore par la panique, je me bouche les oreilles! Mais ça ne servait à rien, car son horrible chant passait à travers!...

- Arrête! Tais-toi! Tais-tooooi!

C'est en me crispant, que je cours droit devant moi à l'aveugle. Je lui criais sans cesses d'arrêter son putain de chant! Mais il ne faisait que me pénétrer encore plus, dans le crâne! Comme si on me vissait lentement la tête! Puis il se met à y avoir en même temps, comme un brouillard coloré qui apparait progressivement, à la hauteur de ses sons. Il y avait du blanc et du rouge... Il y en avait rapidement de plus en plus et à chaque fois que j'en traversais un, le chant avait l'air de gagner encore en amplitude!

Bien que je criais presque continuellement et que j'avais l'impression que mes os allaient se broyer, il m'arrivait de temps en temps d'entendre quelque chose d'étrange. Derrière ce chant lourd et épuisant à entendre en boucle, il me semblait comme arriver à saisir des sons plus clairs. Les quelques mots que j'arrivais à entendre dans ma fuite désespérée, semblaient parler de l'événement qui m'avait plongée jusqu'ici. Et en plus, cette malade était en train de se moquer de moi...

Mais alors que le brouillard se faisait de plus en plus dense et coloré autour de moi. Que les ténèbres silencieuses, semblaient se remplacer par une folie à la fois éclairée et assourdissante, j'ai encore une sensation de glisser. Je tombe soudainement comme dans un trou, que je n'avais pas vu sous mes pieds! Puis tout redevient noir, juste au moment où j'entends le mot "Nath"! Mais le plongeon que je faisais maintenant à l'aveugle dans le gouffre, semblait être beaucoup plus long, que celui que j'avais fait depuis le toit de ce maudit magasin, qui avait signé ma pauvre mort! Je ne faisais encore plus que crier avec terreur, pendant que je suis happée toujours plus loin dans ces profondeurs terriblement angoissantes, alors que ce même mot se répétait plusieurs fois de suite!

C'est alors que je finis par ouvrir les yeux et par prendre une bouffée d'air frais dans les poumons, comme jamais je ne l'avais fait de toute ma vie! La première chose que je voyais en rouvrant les paupières, comme si je revivais par miracle, était le visage de cette fille cauchemardesque, qui me regardait! Il semblait faire nuit et je me sentais soudainement très lourde... Entre toutes ces sensations confuses, je n'avais plus que mes yeux pour continuer de pleurer. La chaleur de mes larmes se propage très vite sur ma peau, alors que j'étais incapable de bouger...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Transformez-la en marchandise pour moi! [PV]

« le: lundi 06 décembre 2021, 19:31:23 »

Je me décompose progressivement, lorsque je vois ma mère qui semble lui obéir! Ce sale petit connard lui avait ordonné de filmer et tout ce qu'elle trouvait de mieux à faire, c'était d'accepter de faire ça? Comment une mère pouvait tolérer de participer un acte pareil? Même la plus lâche d'entre elles au monde préférerait mourir, plutôt que de faire ça à sa propre fille!

- Maman?... Putain mais il me viole! Il me viole!...

Et pendant que j'essaie de la faire percuter, ça amuse encore plus ce petit taré, qui se met à rire! Déjà que j'étais très choquée par ce qui se passait, mes espoirs s'envolent complètement, lorsque je fais face à ça! Ma mère était en train de filmer mon viol et plus ça allait, plus il s'en donnait à coeur joie! Je n'ai alors plus que le droit de me taire et de souffrir en silence. C'était la première fois de ma vie, que je me sentais aussi seule! Et face à l'inacceptable et à la lâcheté monstrueuse de ma mère, je commence à sangloter en silence, lorsqu'il m'humilie encore un peu plus, en me balançant une claque sur les fesses! J'étais traitée comme une pute et ça semblait ne pas déranger ma mère? Mais bon sang, je ne suis peut-être pas la fille la plus courageuse au monde non plus, mais jamais je ne pourrais accepter de faire un truc inhumain pareil, si on inversait les rôles!

Pendant que mes plaintes restaient de plus en plus étouffées, qu'elles se confondaient parmi les sanglots que je ne parvenais pas à délivrer, je ressens encore désagréablement le bout de ma queue, dans le derrière! Formidable!... C'était tout simplement formidable... Et pour fêter ça et faire encore plus gonfler la petite tête sans cervelle de ce merdeux, il jouit! Il jouit bien dans ma chatte, après m'avoir bien cogné comme la dernière des salope! Seulement, après m'avoir bien pilonné la chatte et subis de désagréables incessants coups de reins, j'ai une étrange sensation... Mon sexe se comprime très vite... C'était comme si il me le remplissait abondamment! Et alors que j'étais impuissante et que ma folle de mère collaborait délibérément avec lui, je ressentais bien son putain de foutre dégueulasse, qui me remplissait jusqu'au fond!

- Nooon! Nooon!...

Lorsque ce putain de gamin, qui doit avoir le même âge que mon frère Tetyhs, a finit de me traiter comme sa poupée sexuelle, je ne suis pas encore au bout de mes surprises! Cette espèce d'enflure, demande alors à ma mère qui n'a fait rien d'autre pour moi que filmer, de me complimenter! Et évidemment, je suis encore une fois bien bête, pour croire qu'elle n'allait pas en plus s'abaisser à faire ça...

- Putain...

Sans faire de commentaires, j'entends ses mots qui me font mal et qui me transpercent le coeur, comme la lame d'une épée! Voilà qu'elle vient d'accepter en plus de faire ça!... Mais jusqu'où est-elle inconsciente? Jusqu'où serait-elle donc prête à aller, pour sauver sa peau ou vendre son âme? Ca ne peut pas être elle, ma mère! Ce n'est pas cette femme! Ce n'est pas possible!...

Pendant que j'ai une pression dans le sexe, le petit connard qui doit se sentir tellement fier de ses actes ignobles, se retire de moi! Enfin! Je suis libérée de la bite de cette enflure, qui m'a violée! Quelle consolation! Et puis comme les désastres s'enchainent aussi vite, que passent les rames des métros de cette foutu ville, je ne suis presque plus étonnée, lorsque je l'entends encore lui demander de faire un truc dégueulasse de plus... C'est la tête posée sur le matelas, les jambes écartées et le bassin continuellement en l'air, que je ressens ma mère qui commence à me lécher les cuisses, après qu'il l'ait ramené vers moi! Sa langue ma passe désagréablement dessus, avant de terminer dans mon vagin! Je râle de dégout, avant qu'elle ne recommence encore une fois, comme un bon toutou. C'était l'humiliation de ma vie!

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Centre-ville de Seikusu / Re : Transformez-la en marchandise pour moi! [PV]

« le: mardi 30 novembre 2021, 19:12:11 »

Pendant que je cris, ce taré s'amuse. Il ne faisait que m'humilier un peu plus, en me prenant de force comme un malade! Je ressentais avec dégout, sa bite qui allait et qui venait avec violence en moi! Et ce qui était peut-être encore plus horrible, c'est qu'il me violait délibérément dans la chambre de ma mère! Dans celle qui lui sert à recevoir ses propres clients, pour rajouter son "petit service supplémentaire", comme elle appelle ça. Et en plus, dans sa propre boutique!

- Maman? A l'aide! Au secours!

Appeler ma mère à la rescousse qui ne venait toujours pas, me rendait encore plus confuse. Et supplier ce conard d'arrêter, ne servait à rien! Bien au contraire, puisqu'il m'envoie en plus une claque, qui me fait bien mal et qui résonne bien dans la pièce! J'étais vraiment son putain d'objet sexuel! Sa catin! Et la situation m'hérisse encore un peu plus, quand il s'amuse à délibérément enfoncer ma propre queue de kitsune, dans le derrière! Il était complètement taré! Seulement je commençais à avoir peur de tout ça... Peur de lui et du silence de ma mère...

Pendant que je gémis sous la violence forcée qu'il exerce sur moi, je ressens le sexe de ce petit con qui me cogne très fortement le mien! Et alors qu'il était en train de chauffer, que cela me plaise ou non, il commençait à s'humidifier à l'intérieur... Merde!... Et en plus de me faire mal, ce malade parle encore de ma mère, en disant quelque chose qui me donnait envie de gerber mon dernier repas!

- Maman... Maman...

Convaincue que cet abrutit était en tain de dire n'importe quoi pour me faire taire, je restais encore dans l'espoir que ma mère qui était plutôt assez craintive de nature, avait au moins déjà appelé quelqu'un... En fait je croyais encore sans failles en elle et en ses actes protecteurs, jusqu'à ce que je finisse par entendre la porte s'ouvrir... Enfin!

- Arrête! Tu me fais mal! Arrête!...

Alors que j'ai les larmes aux yeux, je crois reconnaitre la voix timide de ma mère. Et mon sang fait d'abord un tour entier, lorsque je la vois passer à côté de moi, en m'ignorant mes appels à l'aide...

- Maman?... A l'aide! Mais aide-moi! Maman qu'est-ce tu fais?...

J'avais tellement peur, que mes cris ressemblaient maintenant à des sortes de plaintes étouffées. Et pourtant je ne suis pas encore au bout de mes surprises, quand je la vois prendre dans ses mains, le téléphone de merde qui est en train de nous filmer, moi et ce connard. Et mon sang se glace pour de bon, lorsque je la vois diriger l'appareil vers moi et ce taré!... Non!... Je rêve?...

Comme si je n'arrivais pas à comprendre ce qu'elle faisait, un trou énorme passe dans ma tête... Comme si je n'étais plus qu'un corps physique, martelé par un gamin qui me viole contre mon gré, avec sa queue dégueulasse...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Une rencontre légèrement oppressante [Nath]

« le: dimanche 28 novembre 2021, 17:19:33 »

Alors que je suis maintenant là à attendre sans bouger, je ressens une très forte oppression! J'étais en train de guetter la porte du toit, sans oser faire le moindre mouvement. Ma queue et mes oreilles, étaient dures. J'avais l'impression d'être écrasée, par quelque chose de très lourd! Et c'est alors que mon sang fait un tour de plus sur lui-même, quand j'entends encore ce chant lugubre. On aurait dit un chant mortuaire! Est-ce que j'étais tombée sur une psychopathe, qui avait l'habitude de jouer avec ses victimes, avant de les enlever et de leur faire des choses horribles?

- Mon Dieu, c'est pas vrai...

Le visage crispé, je me rabats légèrement sur moi-même, alors que cet insupportable chant devenait de plus en plus fort! Elle était en train de venir par ici! Et je suis crispée d'horreur, lorsque j'entends subitement claquer la porte du toit! Elle avait deviné où j'étais! Et maintenant, elle était là!... Elle était juste devant moi, à seulement quelques dizaines de mètres!

- Non!... Non!... Non!...

L'angoisse s'empare de moi! Je suis tellement prise par les tripes, que je suis à deux doigts de me faire dessus! Elle était bien là et elle était en train d'observer, en silence! La seule consolation qu'il y avait encore pour moi, c'était qu'elle ne semblait pas me voir. Mais son attitude à être autant aux aguets, me disait qu'elle devait me sentir! Elle commence alors par faire un premier tour, en passant d'abord par les premiers angles où je m'étais rendue, pour tenter de probablement repérer les issues potentielles, qui n'existaient pas vraiment. Puis lorsqu'elle cesse de regarder en bas, elle se remet à chanter encore une fois! Elle vient alors ensuite vers moi! Elle savait que j'étais là!...

Positionnée dans l'un des angles du toit, je commence machinalement par reculer de quelques pas, jusqu'à me retrouver collée à la bordure. Lorsque je me retourne, je suis prise d'un vertige en voyant le trottoir et la route, juste en bas. Même si je n'étais pas à une hauteur très élevée, je risquais potentiellement de me tuer, si jamais je tombais!...

Et de la peur, je ressens des larmes qui commencent à monter! J'étais terrorisée et je savais que si je bougeais encore, qu'elle arriverait à deviner ma présence!... Et c'est alors qu'elle arrête encore de chanter, quand elle n'est plus qu'à seulement une dizaine de mètres de moi! Mon coeur s'emballe et j'ai l'impression de me décomposer de l'intérieur, lorsqu'elle regarde précisément dans ma direction! Elle était redevenue silencieuse, mais elle ne regardait absolument plus du tout ailleurs que là où j'étais, positionnée en l'état d'invisibilité! Et c'est alors que l'inévitable drame se produit et je tombe du toit, lorsque je vois sa main qui se tend vers moi...

- Nooooooooon!...

C'est dans la terreur la plus noire, que je cris lorsque je bascule dans le vide! Avec horreur je vois la bordure, qui commence à s'éloigner de moi très rapidement!...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Transformez-la en marchandise pour moi! [PV]

« le: samedi 20 novembre 2021, 16:32:53 »

Si les miracles existent vraiment, il faut croire que quelqu'un a peut-être réussi à m'entendre! Cet espèce de foutu gamin pervers et malade, qui n'en faisait qu'à sa tête jusqu'à maintenant, semble enfin comprendre quelque chose! Et pourtant, c'était vraiment mal barré... Ayant peut-être percuté dans sa pauvre petite tête, la gravité de ce qui pourrait se produire, il joint réellement ses gestes à la paroles, en retirant sa queue de mon vagin... Pas plus rassurée pour ça, j'acceptais quand même de continuer de jouer le jeu, en lui montrant mes attributs. Gagner un peu de temps et essayer de lui faire lâcher prise, pour que je puisse reprendre assez le contrôle de moi-même et lui envoyer un sort d'illusion des sens, qu'il ne sera pas prêt d'oublier!

- Je... Non en effet, je ne suis pas vraiment d'ici... Et dire que je suis en plus dans une période un peu compliquée, ce n'est pas vraiment de chances, je sais...

Mais alors que j'essaie de baratiner pour commencer à l'endormir, croyant avoir réussis à le faire lâcher prise, je vois passer le visage de ce petit con, juste à côté du mien! Il avait un sourire de sadique! Et j'en ai encore la boule au ventre, quand il se met à rire! C'est pas vrai!... Je me suis faite entuber comme une idiote et en plus, j'y avais vraiment cru pendant une seconde!

- Non... Arrête non! Mais j'ai fais ce que tu voulais!...

Je blanchis presque comme la couleur du matelas, quand je vois ses éternelles griffes acérées, qui s'enfoncent à quelques centimètres de mes yeux! Sa main attrape alors ma queue de kitsune, pour me faire relever de force le bassin... Puis il se redresse pour me faire désagréablement mal, en m'attrapant par l'une de mes oreilles animales! Quelque chose me foudroie très brièvement... Est-ce que c'était de l'électricité?

- Non... Non... Non... Non... Noooon...

Qu'importe ce que j'avais ressentit, parce que c'était surtout cette sensation horriblement suffocante d'impuissance, que j'avais face à lui! Et j'en avais maintenant si peur, que je ne savais plus rien faire d'autre, que de lui répéter que je ne voulais tout simplement pas! Et ça ne servait évidemment à rien, puisque je ne retrouve rien d'autre que son horrible bite! Et dès qu'il me la mise, ce n'est que pour continuer de se moquer encore une fois, en allant et en venant brutalement en moi, comme si je n'étais rien d'autre que sa chose... Et pendant que son bassin claque contre mes fesses, il attrape le bout de ma queue et il joue avec, en utilisant la pointe de celle-ci pour me toucher directement l'anus...

- Arrête! Non s'il te plait!... Tu ne peux pas faire ça! Mais pourquoi?... Pourquoi?...

J'en éprouvais une sensation d'impuissance et d'incompréhension, terriblement malaisante. Je n'arrivais toujours pas à comprendre comment on en était arrivés là, ma mère et moi... Comment en seulement quelques instants, je me retrouve à me faire chevaucher comme une idiote, sur le lit de ma propre mère, avec ce connard qui prend son pied et qui ose se permettre de se moquer comme ça de nous?

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Centre-ville de Seikusu / Re : Transformez-la en marchandise pour moi! [PV]

« le: mardi 09 novembre 2021, 18:32:18 »

Mais comment je peux me retrouver ici, avec cet espèce de gamin dangereux et détraqué, qui essaie de me violer? Et ses griffes? C'étaient des armes qu'il avait sur lui ou quoi? Et... Et comment savait-il pour nous?... Mais est-ce qu'il faisait ça pour essayer de me démoraliser, en voulant me faire croire que ma mère m'aurait abandonné à lui? A cet espèce de tordu?... En attendant, je dois bien reconnaitre que je suis dans une sale posture!

- Arrête ça tout de suite!... Tu... T'es pas mon mec et je suis encore moins ton esclave! Tu...

Alors que je me suis mise à crier pour que maman vienne, je me fige en l'entendant crier plus fort que moi. Il semble insister à tout prix, à ce que je lui montre mes véritables attributs. Et si je refusais de lui obéir, il marquerait ma peau! A ses menaces, se rajoutent encore les désagréables caresses qu'il me fait, avec ses espèces de griffes acérées sur ma taille... Quand il arrête de s'en prendre à mon entre-jambe de manière très humiliante, en utilisant la statuette qui était destinée à maman, il la jette au sol...

- Ecoute... Ecoute-moi s'il te plait!... Je ne sais pas ce que ma mère ou moi t'avons fait, mais je te promets qu'on est prêtes à s'excuser et à tout te rembourser! S'il te plait! Ne nous fais pas de mal!

Comme je commençais à être vraiment effrayée par les attitudes de ce gamin, j'essayais donc de l'amadouer. Mais en supposant que nous aurions pu vraiment lui faire quelque chose, ses manières ne justifiaient pas pour moi de tels actes déplacés! Là il n'y avait aucun respect!... Et c'est alors qu'il rit comme un psychopathe, qui se sent fort d'avoir le dessus sur plus faible que lui, avant qu'il ne m'attrape par la nuque! Ses intentions étaient évidentes et il voulait sans doute me punir à travers un acte malheureux qu'aurait pu commettre ma mère, pour quelque chose dont j'ignorais complètement... Et après qu'il ait encore remué un peu, je ressens une pression dans la cage thoracique, quand je sens sa bite qu'il a sortit de son pantalon, commencer à glisser sur mes fesses! C'est en panique, prête à subir un viol, que sa putain de queue glisse encore, pour chercher ce qui semble probablement être le plus intéressant pour lui!

- Arrête! Pas dans le vagin! Je... Je suis en période d'ovulation! Je suis en période d'ovulation putain!

Mais ça ne semblait pas l'atteindre et c'était même pire, quand je ressentais son gland!... Et quelques instants après, j'étouffe de stupeur, quand sa bite s'enfonce presque en une fois, à l'intérieur de mon sexe!! Il était maintenant en moi! Quelle horreur! Et avec ça il se permet de gémir, tout en me disant une chose dégueulasse sur maman et qui me glace surtout complètement le sang!

- Arrête! Je t'en supplie!

Mais j'ai beau essayer de le convaincre ou de crier, il était prêt à me souiller et à m'humilier! Mais surtout, il semblait désespérément s'acharner à vouloir me dire des choses insoutenables, sur le comportement de ma propre mère! Comment ce connard osait-il se permettre de se moquer de nous autant? Mais je refusais de le croire! Dans le pire des cas, peut-être avait-il réussi à l'intimider, comme maman était plutôt du genre facilement craintive... Mais jamais elle n'oserait me laisser dans une situation pareille, avec ce taré! Non! Elle devait donc sûrement être en train d'appeler la police ou peut-être même mon frère... En attendant, ne sachant pas trop quoi faire, je préférais éviter de continuer de contredire ce malade. Et puisqu'il voulait tant voir mes attributs, alors je n'opposais plus de résistances futiles pour si peu...

- Voilà.... Tiens... Voilà ce que je suis vraiment...

C'est avec la boule a ventre, que je fais cesser mon pouvoir d'illusion, pour lui révéler mes oreilles et ma queue de kitsune. Si ça pouvait faire plaisir à ce maboule, le temps que ma mère fasse venir qui de droit. En attendant, je ressentais déjà une pression particulièrement désagréable, tout à l'intérieur de bas-ventre. Pourvu que quelqu'un intervienne, avant que ce petit con inconscient qui ne pense qu'avec sa bite, n'arrive à ses fins... Si ça devait arriver, ce serait non seulement une des pires humiliations possibles que je pourrais endurer, mais en plus, je risquais une potentielle grossesse non désirée! Et il était hors de question que je tombe enceinte de... de celui-là!...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Transformez-la en marchandise pour moi! [PV]

« le: vendredi 05 novembre 2021, 19:45:30 »

Je suis prise par une étrange impression, lorsque je vois ce garçon qui me regarde... Et celle-ci se renforce encore, quand ma mère ne semble pas réagir, alors que je lui tendais mon cadeau... J'allais lui demander si tout allait bien pour elle, quand le gamin qui se trouve à côté d'elle, me sourit... Pendant qu'il s'avance vers moi, il me dit des choses étranges et qui font un peu peur à entendre, quand on ne connait pas du tout la personne... Je regarde maman avec questionnement, alors qu'il me pose la main dans le dos. Et tout en ayant encore le paquet dans les mains, le drôle de gamin m'entraine avec lui...

- Que... Qu'est-ce que tu fais?... Maman, qu'est-ce qui se passe?...

Tout va tellement vite pour moi, que je me retrouve entrainée dans la pièce d'à côté. Et c'était dans l'incompréhension la plus totale, que je voyais ce garçon vraiment trop bizarre, refermer la porte derrière nous. J'étais sur le point de lui demander à quel jeu il cherchait à jouer, avant qu'il ne vienne me pousser très fortement, en direction du lit où ma mère se donnait à ses clients...

- Hé... Mais... Mais ça ne va pas?...

Je perds le paquet des mains, tandis qu'il tombe avec moi sur le lit! Le gamin arrive et me saute ensuite dessus! Je suis alors à plat ventre sur le lit, avec cet espèce de fou assis sur moi! Bien que j'étais habituellement calme, je commençais à m'énerver. Je trouvais la situation de très mauvais gout.

- Mais t'es malade ou quoi? Lâche-moi!...

Alors que je me demande bien ce qu'il se passe, le gamin qui doit avoir l'âge de mon petit frère, me retire la veste avec brutalité. Piqué entre la colère et l'inquiétude, ce malade s'appuie sur mes épaules et me demande une chose à laquelle je n'étais pas du tout préparée! Comment il arrivait à savoir que ni moi, ni ma famille n'étaient pas humains, alors que je prenais toujours grand soin de masquer nos attributs, grâce à mes illusions?... Et j'ai presque l'impression que mon coeur s'arrête de battre dans ma poitrine, quand il me dit qu'il allait me baiser?... Et que ma mère allait nous laisser seuls ici?...

- Pardon?... Mais t'es qui toi?... T'es complètement malade! Sérieux va te faire soigner! D'où-est-ce que tu sors? Maman?... Maman qu'est-ce qui se passe? C'est qui ce cinglé?...

J'ai à peine le temps de commencer de l'appeler, que je ressens des choses acérées qui se plantent dans ma peau! On aurait dit que c'était des griffes! J'ouvre les yeux et la bouche tout en grand, alors que je les ressens m'effleurer! Une panique, avec l'inquiétude de ne pas voir maman arriver, m'envahissait alors soudainement! Et lorsqu'il s'arrête de me toucher la peau, je l'entends déchirer l'emballage du cadeau pour maman... Tout mon sang semble se geler alors dans mon corps, quand il fait un inquiétant commentaire, en me traitant à la fin de salope!...

- Que... Que... Que... Mais qu'est-ce que tu fais?...

La panique qui s'empare de moi, m'empêche autant de réfléchir, que de bouger! C'est dans l'effroi, le noir complet dans ma tête, qu'il se déplace sur moi et me soulève la robe... Quelque chose glisse entre mes cuisses et déchire mes collants, jusqu'à arriver à mon entre-jambe! Ce qu'il utilise alors et que je crois deviner, se retrouve à me toucher le vagin encore couvert par ma culotte! Put... Je suis tombé sur un pervers et un malade! Et la situation a l'air d'être encore plus grave que je ne l'imaginais, quand non seulement je n'entends toujours pas maman arriver, mais qu'en plus il s'amuse à utiliser des propos particulièrement déplacés. Ce gamin voulait vraiment me violer! Et en plus, il me menaçait en parlant de ma mère! Je ne vais quand même pas finir par croire que... qu'elle...

- Maman?... Maman?... C'est qui ce dingue?... Maman?... Mamaaaaaaaaaaaaan!...

Je cris sous l'impulsion de la panique, tout essayant de me dégager! Mais cet espèce de dangereux psychopathe était assis sur moi!... Je n'arrivais pas à me libérer et dans un tel état, je ne pouvais pas faire appel à mes illusions, pour me débarrasser de lui! Mais le pire, c'était que je n'entendais plus ma mère! Pourquoi elle ne venait pas?...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Transformez-la en marchandise pour moi! [PV]

« le: mardi 02 novembre 2021, 19:23:09 »

Voilà encore une magnifique journée que je m'apprête à finir de passer, en compagnie de deux bonnes copines, que j'ai réussis à me faire dans le campus. Même si le début n'avait pas été facile avec tout ce chamboulement, je suis doucement parvenu à m'intégrer ici. Cette planète, bien que défigurée par un peu trop de structures à mon gout, semblait cacher d'immenses ressources. Elle semblait magnifique et déjà plus d'une fois, j'étais partit visiter un peu les environs. La ville elle-même était quand même sympathique aussi. Il y avait des choses intéressantes à voir. Des distractions et toujours de quoi rire et s'amuser. Seul la vitesse du temps, restait encore pour moi un chamboulement. Une journée se passe tellement vite ici, comparé à chez moi. Bien sûr je ne vais pas mentir, en disant qu'on a commencé à me chercher parfois des problèmes. Et malheureusement, les actes de ma mère avaient des fois certaines conséquences, sur moi et mon frère. Mais elle n'était évidemment pas responsable. Comment pourrions-nous lui en vouloir d'essayer d'arrondir ses fins de mois comme elle le fait, après tous les appels qu'elle nous avait si souvent de fois envoyée, à travers les songes? Quand nous étions encore si loin d'elle? Mais alors que nous terminons de faire quelques courses, le téléphone sonne. C'était justement elle.

- Pardon les filles, j'ai un appel de ma mère... Oui?... Que je vienne tout de suite à ta boutique? Oui bien sûr mais... ça va?... D'accord laisse-moi une demi-heure. Bisous à tout de suite.

Comme je m'y étais un peu préparée, il s'agissait de ma mère qui nous demandait de temps en temps à mon frère et à moi, si nous pouvions lui donner un coup de main à sa boutique. Surtout lorsqu'elle partait faire une livraison en vélo, dans un endroit éloigné de la ville, son seul moyen de transport actuel, la pauvre. Seulement je la trouvais drôlement pressée...

- Je vous laisse les filles, ma mère a besoin de moi à son magasin. Tiens, passez-y la prochaine fois si vous voulez. Je pense que ça en vaudra la peine.

Je leur fais la bise et un tendre signe de la main, avant de m'en aller avec mon petit sac de course. En plus ça tombait bien, j'avais acheté un petit quelque chose, qui lui plairait sûrement. Ce n'était pas grand chose, mais c'était une bonne façon de la remercier pour aujourd'hui avec nous et d'être tout simplement une bonne mère!

Arrivée dans la station de métro où se mélangent un courant d'air chaud et froid, qui heureusement m'en préserve grâce à une petite veste noire, sous laquelle je porte un débardeur et une robe mi-longue avec des collants. Je commence ainsi à m'engager dans les allées souterraines éclairées, avec mes jolies petites chaussures de villes discrètes, qui claquent quelque peu sur le parterre, jusqu'à ce que j'arrive à la station correspondante. Pendant que j'essaie de continuer de m'habituer à ce téléphone et aux applications pratiques qu'il propose, le trajet se déroule rapidement et je me retrouve assez vite à la station correspondante. A la sortie, je marche tranquillement, jusqu'à emprunter une série de rues et arriver dans le fameux quartier, où travaille ma si gentille mère. Lorsque je me retrouve sur le seuil de la porte que je franchis directement, je lui manifeste mon arrivée, tout en plongeant presque immédiatement mon regard, dans le fond du sac. Je me saisis du petit paquet dans lequel est emballé une petite statuette en forme de renard, d'une trentaine de centimètres, posé sur ses deux pattes. Elle allait sûrement l'adorer!

- ... Tiens, c'est pour toi!

Lorsque je lui tends le paquet dans sa direction, avec mon plus beau sourire, alors qu'elle se trouve derrière son habituel comptoir, je remarque la présence d'un garçon, qui se tenait non loin d'elle...

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Centre-ville de Seikusu / Re : Une rencontre légèrement oppressante [Nath]

« le: lundi 01 novembre 2021, 20:38:45 »

Un frisson glacial me parcourt le dos, lorsque je reconnais la fille du café qui entre dans le magasin, au moment où une autre personne perd ses affaires. Suis-je en train de rêver? Suis-je en train de faire un cauchemar éveillé? Mon cerveau me jouerait-il de tours à cause de mes pouvoirs, quand je la vois non seulement entrer et être pratiquement ignorée des personnes, qui passent à côté d'elle?...

- Oh non!...

Il me faut plusieurs secondes pour réagir, quand je la vois regarder lentement dans les allées. C'est alors qu'elle se met à entonner un étrange chant qui ne présage rien de bon, au moment où elle choisit de se diriger vers moi. Prise par de plus en plus de questions, j'avance à pas de loup et je me courbe entre les allées de vêtements, jusqu'à arriver face à un escalator. Visible comme un néon lumineux pour quelqu'un qui me chercherait comme elle, je me transforme presque en glace, lorsque je la devine tourner la tête dans ma direction, alors que je monte à l'étage. Arrivé dans une autre partie du magasin en plusieurs enjambées, j'aperçois très vite une issue de secours, qui se situe dans l'un des recoins du magasin. Je me mets à courir vers elle, bousculant par mégarde une personne sur mon passage.

- Vous ne pouvez pas faire attention?...

- Pardon! Je suis désolée!...

Arrivée presque comme une flèche vers l'issue de secours, j'ouvre la porte qui claque alors ensuite lourdement derrière-moi. Après un rapide coup d'oeil à l'intérieur, j'avais alors le choix entre monter vers le toit ou tenter de redescendre et de retourner en bas, dans la rue. Mais mes instincts en alerte, me disaient que cette fille devait être une très bonne pisteuse. Sa manière de se sentir à l'aise et de procéder sans m'avoir perdu de vue, me disait que ce n'était pas le première fois qu'elle devait agir ainsi. Etait-ce une de ces fameuses tueuses en série, dont on entend régulièrement parler avec effroi un peu partout? Une créature perverse, qui se déguise parmi les gens de cette planète, avec des intentions hostiles? Ou peut-être... une espionne qui a quitté ma planète d'origine et qui a réussit à retrouver ma piste et qui tente de nous éliminer, ma famille et moi? Tout en imaginant tout ce qu'elle serait capable de me faire dans tous les types de scénarios, si jamais elle arrivait à me mettre la main dessus, je prends la solution de monter vers les toits. Si elle m'avait vu m'engouffrer, il y aurait peut-être plus de chances qu'elle penserait que je tente de redescendre. Je choisis donc de faire l'inverse de ce qui serait le plus logique à faire, pour espérer arriver à mieux brouiller les pistes et réussir à m'enfuir. Arrivée tout en haut, j'éprouve un haut le coeur lorsque la porte qui doit mener aux toits, ne s'ouvre pas. Elle était verrouillée!

- Et merde... Merde!...

Je fais rapidement un volteface, prête à redescendre et à m'engager vers l'unique autre sortie éventuellement encore possible d'atteindre, avant qu'il ne soit trop tard pour moi, quand je remarque une grille d'aération qui se trouve juste à côté de la porte close. Avec l'angoisse qui monte encore d'un cran de plus, je me mets à donner plusieurs coups de pieds dessus. Chaque coup faisait fortement résonner toute la cage d'escalier...

- Enfin!...

Après plusieurs tentatives désespérées, la chance me sourit de nouveau et la grille cède. Bien qu'elle était beaucoup trop petite pour n'importe qui, j'avais la possibilité de rétrécir et même de me transformer en renard. Une transformation que j'utilisais rarement. Mais la taille étant suffisante pour laisser passer un enfant ou un nain, je n'ai qu'à tout simplement rétrécir et ne mesurer plus qu'un seul mètre de hauteur, pour passer par la plaque ouverte. C'est alors que lorsque je m'y engouffre à l'intérieur, que j'entends avec horreur la porte d'en bas, celle que j'ai emprunté en arrivant ici, s'ouvrir!...

- Mais dans quel pétrin je me suis mise?

Arrivée sur les toits, je reprends ma taille normale, tout en cherchant désespérément une autre issue en urgence. Et les seules que je voyais de mon point de vue, en faisant rapidement le tour du grand rectangle, sont de soit sauter dans une sorte d'étang qui se trouvait dans le jardin privé d'une maison, soit grimper et descendre à la gouttière d'un vieil immeuble, qui colle pratiquement à celui du grand magasin. Mais comme aucune des deux solutions n'avaient l'air aisées à tenter et paraissaient tout simplement dangereuses, je choisis de me rendre invisible et d'attendre. Avec encore un peu de chances, la fille ne me verrait pas, si jamais elle arrivait à monter par ici. Et en plus, la porte était toujours fermée...

- Allez... Encore un dernier effort...

Je passe alors en invisibilité totale. Pour être exacte, je ne devenais pas vraiment invisible, mais je donnais une illusion de dissimulation, qui se renvoyait magiquement dans la psyché de toutes personnes, qui se retrouveraient à une certaine distance de moi. C'était comme ça que j'étais capable de masquer les attributs caractéristiques des miens, avec la queue et les oreilles...

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Centre-ville de Seikusu / Une rencontre légèrement oppressante [Nath]

« le: jeudi 28 octobre 2021, 23:02:51 »

Assise seule à la terrasse d'un café et perdue dans mes pensées, à me demander ce que nous allions exactement faire de notre avenir ici, maintenant que nous étions réunis tous les trois, je cogite un peu sur certains problèmes face auxquels nous faisons actuellement face... avant de ressentir comme une étrange impression. Tout en buvant cette curieuse mixture appelé un café. Alors que l'amertume s'enfonce au-delà de ma gorge, j'ai de plus en plus de mal à réfléchir. Quelque chose dans l'environnement qui se trouve autour de moi, commence à désagréablement me déranger... Tout en observant discrètement pour essayer de comprendre le pourquoi du comment, mon regard croise celui d'une autre fille, attablée tout aussi seule que moi, à la même terrasse de ce café. Le regard intense qu'elle jette sur moi, me fait immédiatement tourner la tête ailleurs, alors que je la sentais insister lourdement sur moi... Préférant mettre fin à ce malaise très embarrassant, je termine rapidement mon café et je règle la note, avant de me lever et de partir, sans demander mon reste...

Aux premiers pas que je fais, je remarque au dernier moment avec surprise, l'envol d'un groupe d'oiseaux sur mon passage. Et comme j'avais des gros soucis avec le sens de l'orientation, un comble quand je suis censé utiliser des pouvoirs d'illusions, je dois me référer à un plan de la ville qui s'affiche sur l'écran de mon téléphone, pour pouvoir rentrer au campus. Mais c'est lorsque j'arrive à un croisement, que je me retourne d'instinct et que je vois au loin une forme rouge. Et celle-ci appartenait à la même personne, que celle qui m'avait jeté des regards particulièrement lourds, au café de tout à l'heure...

En même temps que mes yeux s'écarquillent, ma voix se coupe d'elle-même en un souffle. Un son inaudible, qui traduit une peur plus que palpable. Je change alors immédiatement de direction, espérant encore arriver à croire m'être trompé. Malheureusement, de nouveaux coups d'oeils dans mon dos, suffisent à confirmer mes craintes. Plus de doutes possibles, cette fille me suivait!

- Bon sang! Mais qu'est-ce qui lui prend, à cette fille?...

Tout en replaçant une longue mèche de cheveux qui s'agite sauvagement sur ma figure, à cause d'un violent courant d'air, j'accélère le pas et je me retrouve encore dans une autre rue. Et alors que je sens mon coeur commencer à palpiter dans ma poitrine et que je regarde de plus en plus régulièrement derrière-moi, je fais face à un grand magasin de vêtements. J'entre à l'intérieur sans hésiter et je me perds volontairement dans les allées. Je me faisais toute petite en espérant que cette fille très inquiétante, ne m'ait pas vu entrer ici et continue sa route. Et alors que la porte du magasin s'ouvre, une cliente qui semblait être fortement chargée, bouscule celle ou celui qui entre à son tour. Deux de ses sacs se renversent par terre et elle commence à s'énerver sur celui où celle qui lui a rentré dedans...