Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Soeur Mary

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Soeur Mary

Pages: [1] 2 3 ... 5
1
Prélude / Re : Soeur Iseult. [Belphy Mueller]
« le: dimanche 24 septembre 2023, 21:53:35 »
Je ressens une légère ressemblance ici :p

2
Ville-Etat de Nexus / Re : Escape. -- PV
« le: samedi 10 juin 2023, 21:50:14 »
“Attachez-moi… Je vous en supplie…”

Je sentais bien de l’hésitation à répondre à ma demande de nouer mes mains entre elles, les soeurs du couvent n’auraient pas hésité bien longtemps pour le faire. Je n’aurais même pas eu besoin de demander… De toute façon je dormais attachée à mon lit pour éviter quoi que ce soit pendant ma possession. Pendant, que le démon était en moi. À me murmurer des choses… Ce soir c’était encore pire. Sa voix dans ma tête… Elle n’était pas à chuchoter, je l’entendais plus clairement que d’habitude. Elle n’arrêtait pas de me parler de cet homme… De lui sauter dessus. De découvrir ce qu’il se cachait sous ses vêtements. De tirer de toute ma force pour arracher ce bandeau sur mes cheveux pour admirer son corps d’Apollon. Je respirais fort… Mes mamelles vulgaires se soulevaient de plus en plus vite. Heureusement, qu’il retenait un de mes genoux pour que j’arrête de me trémousser sur le sol. Je perdais tous mes moyens à cause d’un homme, d’un mâle. Le démon en moi voulait en profiter . Où c’était parce que j’étais loin de mon couvent ? Que la force de Dieu n’était plus là… Que je n’étais plus sous la protection de mes soeurs.

“Pitiez.”

Un dernier soupir de supplication, alors qu’il se décide à nouer mes mains entre elles avec ce qu’il avait sur lui. C’était bien différent des chaînes que j’avais normalement, c’était moins froid, moins lourd, ma peau était moins pincée.

“Merci… Merci…”

Je le remerciais penchant la tête en avant, mes cheveux tombant de chaque côté de mon visage pour l’entourer, comme si c’était ma vie qui était en jeu. Ce qui était un peu le cas en vrai… Je ne pouvais pas me faire posséder, je n’avais pas le droit sous peine de ne jamais pouvoir m’en sortir. Que Dieu refuse que je sois son agneau. Que je tombe totalement dans les ténèbres. Il m’expliquait ensuite que je pourrais l’accompagner pour trouver de l’aide. C’était bien sympathique de sa part… Mais…

“Je ne voudrais pas être un poids pour vous…”

Une femme aveugle, qui n’était jamais sortie en dehors de son couvent. Je ne savais même pas comme j’étais arrivée ici, ni même où j’étais finalement. Je ne savais vers qui me tourner, à qui je pouvais faire confiance. D’après les soeurs, j’incarnais le péché de la luxure, tous les hommes sont enclins à me faire du mal. Pourtant, Serenos avait l’air de faire exception à la règle, donnant l’impression de m’aider. D’essayer de contenir ‘ma crise’ même si j’avais l’impression qu’il n’avait pas l’air de comprendre ce qui se passait actuellement dans ma tête. Cette voix qui n’arrêtait toujours pas de m’envoyer des pensées malsaines, encore et encore. D’appuyer sur lui… Parfois, je me sentais faiblir, tirant sur mes liens et cela venait me rappeler à l’ordre, prenant des inspirations de plus en plus longues.

“Pourquoi vouloir m’aider alors que vous ne me connaissez pas ?”

Une nouvelle grande inspiration quand je sentais ses mains se poser sur mon corps pour me soulever. Collée contre son buste, je sentais sa chaleur transpercer ma tunique trempée pour me réchauffer encore plus… De l’intérieur. Je venais croiser les jambes, pour ne pas trop les agiter. Je me mordais de plus en plus la lèvre inférieure alors qu’il se mettait en route pour nous trouver un abri car le temps nous était toujours pas favorable. Les larmes de Dieu qui coulaient sur son enfant… Qui déviait du mauvais chemin ! Ses halètements étaient de plus en plus fort, s’il ne pleuvait pas on pourrait y voir des gouttes de sueur sur son visage. Ses doigts étaient serrés entre eux, alors que ses poignets étaient toujours liés. La ceinture de chasteté que Serenos n’avait pas pu enlever recommençait à me blesser les cuisses. Je le sentais. Le fer trop serré, se remettait à me laisser des traces rouges sur ma peau blanche… Montrant bien que je ne voyais pas beaucoup le soleil dans mon couvent. Entre de nombreuses pensées malsaines que je tentais de canaliser pour ne pas sortir des atrocités à Serenos qui faisait tout son possible pour m’aider, je tentais de savoir où il pouvait bien me conduire. Ne connaissant rien au monde… C’était bien compliqué. Je ne savais même pas si le jour allait bientôt se lever ou non… Je n’avais plus aucun repère.

Le temps passait…

Doucement…

C’était une torture de mon côté.

“Silence…”

Je murmurais de temps en temps pour demander à la voix dans ma tête de se calmer.

“Mon Dieu venez-moi en aide…”

Où pour chercher de l’aide vers le grand Seigneur.

Jusqu'à ce que la pluie et la grêle arrêtent de tomber sur mon corps, Serenos me posait sur ce qui ressemblait à de la fourrure. Il m’enlevait sa veste de sur le dos, me laissant seulement dans ma tunique… J’étais trempée jusqu’au os… Tout mon corps en dessous était visible mais il me mettait une peau de bête sur le dos pour ne pas que j’attrape froid. Mes mains toujours liées remontaient au milieu de ma poitrine écartant ses lourdes mamelles pour attraper les coins de cette couverture de fortune. 

“Hmmmm… Merci…”

Juste après je venais à me mordiller la lèvre inférieure. La couverture couvrait simplement mon buste, les jambes écartées… C’était le retour de ma ceinture de chasteté…

“À autre chose…”

Plus facile à dire qu'à faire réellement, je relevais le visage en direction des bruits de pas… J’avais l’impression de sentir son odeur juste à côté de moi. Musquée, puissante après toute cette marche. Un long frisson remontait le long de ma colonne vertébrale, je venais à me tendre. À serrer mes mains l’une contre l’autre en signe de prière, alors que mes tétons tendaient ma tunique humide. Des grosses billes roses, dures, remontant vers le haut.

“À autre chose que de vouloir sentir vos mains glisser sur mon corps ? Hmmm…”

Je m’étais retenue jusqu’à présent de dire des obscénités… Mais celle-ci venait de sortir toute seule. Sans filtre. En réalité ce n’était pas vraiment très grave, mais pour une sainte qui avait été élevée sans jamais penser à ça. Au sexe. C’était trop, beaucoup trop.

“De vouloir à tout prix vous sentir enlever cette étreinte qui me sert le bassin…”

Je reprenais une grande inspiration écartant encore plus les cuisses, celle-ci marquée de la ceinture.

“Pour me…”

Je me pinçais les lèvres. Reprenant un instant mes esprits, sans vraiment contrôler mon corps car mes doigts venaient pincer mes tétons tendus à travers mon haut. Je tirais dessus, me tortillant sur place en même temps, continuant encore de me mordre les lèvres, essayant de tourner la tête vers Serenos dont j’entends seulement ses pas et les battements de son coeur.

3
Blabla / Re : Horloge parlante
« le: mercredi 21 septembre 2022, 15:38:23 »
15h38 Amen

4
Territoire de Tekhos / L'exorcisme du Père... -- PV
« le: vendredi 14 janvier 2022, 12:59:22 »
"Ma Sœur, il est l'heure de se lever, nous avons de la visite aujourd'hui…"

Je peine à émerger, les voix dans ma tête, cette nuit, étaient puissantes et j'avais eu du mal à les combattre pour trouver le sommeil. Je sens Soeur Dominique enlever les liens qui me retiennent au lit, j'ai les bras et les jambes raides comme à chacun de mes réveils. Je mets un peu de temps à me redresser, roulant mes poignets pour les déliés ainsi que mes chevilles.

"Bonjour Soeur Dominique… Qui peut bien nous rendre visite aujourd'hui alors qu'il y a le rituel de renaissance à 150 lieues d'ici ?"

Le rituel attirait beaucoup de monde, toutes les nonnes du couvent y étaient, même les plus vieilles. Il restait juste quelques Soeurs pour surveiller les lieux et moi… Je n'avais pas eu le droit d'y aller, une dévergondée de mon genre n'avait pas le droit de se montrer. Tant que le Malin n'avait pas quitté mon corps, je devais éviter de croiser des inconnus… Mon corps de coureuse de rempart était un péché que je devais cacher, au Diable mes mamelles trop imposantes, mes courbes des Enfers…

"C'est un Prêtre, nous avons parlé de votre cas à la grande instance et aujourd'hui, Père Yves va venir pour enlever le Mal en vous. Alors vous serez à son écoute quoi qu'il arrive, je ne veux pas qu'il vienne me voir ensuite, car vous ne voulez pas l'écouter."

"Bien ma Soeur…"

Plusieurs personnes avaient déjà tenté des exorcismes sur moi sans résultat, un de plus un de moins ne va pas changer grand-chose.

"Allons ma Soeur, nous devons vous préparez…"

Je me lève de mon lit, Soeur Dominique m’attrape le bras pour me servir de guide et surtout me faire avancer plus vite. J'arrive à me repérer sans la vue dans le couvent, depuis le temps, j'ai trouvé des repères pour savoir exactement où je suis. Nous descendons les marches pour arriver au rez-de-chaussée et directement se rendre dans la cuisine où je sens la bonne odeur du poêle à bois, ainsi que du lait chaud.

"On va commencer par un bon petit déjeuner… Je vais vous servir !"

"Ma Sœur, notre invité doit arriver pour quelle heure ?"

J'entends le lait couler dans mon bol, j'y dépose mes mains pour sentir celles-ci se réchauffer.

"Je ne sais pas, nous savons juste qu'il doit arriver aujourd'hui et qu'il va rester plusieurs jours au couvent s'il le faut ! J'espère que cette fois nous allons avoir…"

La cloche de l'entrée se met à résonner dans tout le bâtiment, signe qu'il y a quelqu'un au portail.

"Ce n'est pas possible, c'est déjà Père Yves, vous ressemblez à un épouvantail doublé d'un ramoneur, allez vite vous débarbouiller, je vous rejoins dans la salle d'eau avec notre invité. Le déjeuner attendra."

À contre cœur, j'enlève les mains de mon bol chaud pour me rendre à la salle d'eau qui se trouve au même étage, la vapeur des bains y est toujours étouffante quand on y rentre. Je me dirige vers un lavabo pour le remplir avec le seau à côté afin d'y plonger mes mains pour me passer de l'eau sur le visage. Sans la vue et dans la précipitation, difficile de faire vraiment attention, le trop-plein vient couler sur ma tunique blanche, laissant le tissu devenir transparent et coller à mon corps. Mais je dois faire vite Soeur Dominique va bientôt revenir avec notre invité, je dois être un minimum présentable. Je continue mon ouvrage jusqu'à que la porte des bains s'ouvre laissant sûrement le Prêtre arriver.

5
Eglise et couvent de l'Ordre / Re : Confession Chaotique [Pv: Soeur Mary]
« le: lundi 06 septembre 2021, 15:32:44 »
Presque toutes mes Sœurs étaient parties en pèlerinage depuis maintenant une semaine, c’était une sortie que j’aimais faire avant, rencontrer des nouvelles Sœurs, des Prêtres, prier notre Seigneur ensemble. J’avais même eu la chance de rencontrer la Sainte-Mère une année, elle avait porté sa main sur ma tête pour m'apporter une bénédiction ! J’avais été simple touché par la grâce de Dieu à cet instant ! Malheureusement, avec ce bandeau sur les yeux, mes agitations nocturnes je ne pouvais plus y aller… Je serais juste un poids pour le reste du groupe et je serais la honte des Sœurs, une pariât ! Alors j’étais restée au couvent, tenant compagnie à quelques autres Sœurs qui ne pouvaient plus faire la route à cause de leur âge avancé ! J’avais beaucoup de respect pour mes aînées, sachant qu’elles ne s’étaient jamais montrées désagréables avec moi comme certaines. J’aurais pu profiter de ce moment pour chercher de l’aide dans un autre village, mais je ne voulais pas les abandonner, on ne sait jamais.

Le couvent presque vide, les journées étaient très paisibles ! On se retrouvait pour prononcer nos prières, manger ensemble et sinon je passais mon temps dehors profitant de la chaleur du soleil, écoutant le bruit des oiseaux, des insectes ! Je renouais avec le contact de la terre, essayant de jardiner un peu. Je ne sais ce que j’avais planté dans ce lopin de terre, mais j’étais très heureuse d’avoir eu l’occasion de le faire. Mes ainées n’utilisaient pas de châtiment corporel sur moi, sûrement qu’elles n’avaient pas la force de le faire ! Un coup de martinet de Sœur Marianne, 101 ans était largement moins violent que Sœur Dominique dans la force de l’âge. Ça m'arrangeait, il faut le dire… La dernière punition que je m’étais prise m’avait zébré les fesses plus d’une semaine, m’interdisant de m'asseoir à cause de la douleur. Mes consœurs prenaient également le temps de me parler, sans me dénigrer, ça me faisait du bien d’avoir des conversations presque normales sans me faire insulter d’être impur, de putain, de tentation du Diable… Où recevoir des critiques sur mon corps, sur mes mamelles, sur mon fessier. C’était presque libérateur ! Les voix que j’entendais se faisaient plus discrètes en journée, facilement contrôlable, le soir, c’était toujours compliqué, mais vu que j’étais attachée à mon lit tout allait bien.

Aujourd’hui, je me tenais assise sur le banc en pierre dans la cour intérieure, chantonnant un Avé Maria pour accompagner les oiseaux qui devaient se tenir sur les branches du peuplier à côté ! À côté de moi, un verre de citronnade maison qu’on avait fait avec les citrons de notre jardin, à l’arrière du couvent, nous avons plein d’arbres fruitiers nous en vendons une partie et l’autre nous la gardons pour nos besoins. Ce petit goût sucré était vraiment agréable dans ma gorge ! Profitant comme une jeune fille normale, j’entends l’anneau de l’entrée claquer contre la porte en bois, quelqu’un était là… Nous attendions personne en ce jour !

- Ne vous dérangez pas Sœur Marianne, je vais aller voir !

Je crie pour qu’elle puisse m’entendre… Même si je doute qu’elle ait entendu quoi que ce soit même l’anneau contre la porte ! La vieillesse… C’est à ce moment que je me suis contente d’être jeune, d’avoir une bonne audition, car avec ce bandeau qui me cache la vue, je serais bien embêtée.

Le bruit de la porte frottant les cailloux de la cour parvient à mes oreilles suivies d’une voix demandant de l’aide, celle-ci usée par le temps, épuisée… Je me lève de mon banc pour commencer à avancer, je n’utilisais pas de canne ni de bâton, confiante dans ma perception des choses.

- J’arrive Monsieur !

Tendant les bras en avant, je cherche mon visiteur jusqu’au moment où je viens à l’effleurer du bout des doigts, je m’approche encore un peu pour pouvoir déposer ma main sur lui je pense vers son épaule.

- Bonjour, je suis Sœur Mary ! Qu’est-ce que je peux bien faire pour vous ? Qu’avez-vous ?

Je me présente directement à lui, avec mes vêtements, il n'était pas compliqué de comprendre que j’étais une nonne ! Une longue tunique blanche cachait mon corps, le tissu se tendait sur mes formes provocantes laissant aucune hésitation sur le fait que je ne portais pas de sous-vêtement en dessous. Des arabesques dorées se formaient sur mes manches et le bas de ma tunique, rappelant le blond de ma chevelure. Autour de mon cou, était accroché mon chapelet que j’utilisais pour les prières, mon bien le plus précieux ici.

J’approche délicatement ma deuxième main vers le visiteur pour m’assurer d’une éventuelle blessure ! Il était venu chercher de l'aide, c'était bien pour une raison. Mes fins doigts glissent sur le haut de son corps, effleurent son visage et sa chevelure. Je pouvais sentir ses vêtements troués, abîmés, ses cheveux qui semblaient poussiéreux et sa peau légèrement rugueuse, me disait que c’était peut-être un sans-abri qui venait chercher le couvert, de quoi se laver et avoir des nouveaux vêtements. J’allais attendre vérification quand même.

- Quoi qu’il arrive, vous êtes en sécurité avec nous, notre Seigneur veille sur nous dans ce lieu !

6
Territoire de Tekhos / Re : Prier le chapelet -- PV
« le: jeudi 26 août 2021, 11:45:41 »
Sur mon lit, le petit bout de femme que je suis continue de pleurnicher après cette punition, cette fuite qui c'est conclut en échec et cette honte d'avoir entraîné Harald avec moi… Je sens mes joues chauffer un peu à force de reprendre mon souffle, ma gorge se serrer quand des petits hoquets en sortent. Les chaînes qui relient mes poignets et mes chevilles ont l'air beaucoup plus lourdes que d'habitude, peut-être, à cause, de la fatigue de ma tentative de fuite… J'entends alors la porte s'ouvrir et je me mue dans le silence pensant que ma Sœur est de retour pour me demander d'arrêter de pleurer pour me concentrer sur mes prières… C'est alors que la voix de Harald vient bourdonner à mes oreilles.

- Monsieur Harald… Si ma Sœur nous entends nous allons passer un mauvais quart d'heure…

Une prérogative.

- Mais je suis si contente que vous soyez là…

Avant de lui avouer que de sentir sa présence et entendre sa voix m'était très chaleureuse.

- Je vais bien… Enfin… J'ai connu pire venant de ma Sœur, je pense qu'en votre compagnie, j'ai échappé à un bien plus difficile comme punition. Je vous suis reconnaissante Monsieur Harald.

Je l'entends se déplacer dans ma chambre, s'approcher de mon lit pour tâter les fers qui me retiennent sur place. Jambes écartées, bras de même au-dessus de ma tête, je repose ma tête sur un simple oreiller. Un simple geste de ma part provoque des tintements alors que Harald cherche des explications à cette situation, particulière.

- J'ai quitté le couvent car mes Soeurs ne peuvent plus rien faire pour moi, je dois trouver de l'aide ailleurs. Vous allez croire que cette situation est bizarre… Peut-être me prendre pour une folle-dingue, mais je peux vous assurer qu'en tant qu'agneaux de mon Seigneur j'ai fait serment de vérité.

Je parlais rarement de mon histoire puisque je ne voyais point d'étranger, c'était une sensation étrange… Je me sentais un peu mal à l'aise, si bien que je me trémousse sur mon lit, cherchant une position un peu plus confortable.

- J'ai toujours grandi ici, je me sentais bien en accord avec moi-même ! J'aidais mes Soeurs aux travaux de notre maison. Et un jour tout a changé… Vous savez, le Malin…

Pour une personne qui ne croyait pas à Dieu et à toutes les histoires autour, cela était un concept abstrait.

- Mon corps a commencé à se transformer pour devenir vulgaire… Beaucoup trop au goût de mes Soeurs qui me disaient que j'avais des mamelles de catin, que les hommes se retournaient trop sur mon passage pour une simple Nonne. Je suis une pécheresse d'avoir un corps de la sorte. Alors je n'ai plus eu le droit d'aller au village… Je devais rester ici…

Je me tortille encore sur mon lit, mes cheveux passant devant mon visage, ma tunique remontant légèrement sur mes cuisses.

- Puis j'ai commencé à entendre des voix la journée et le soir. C'est le Malin qui me parle ! Il veut que je… Je fasse des choses avec mon corps. Vulgaire. Perverse… Je n'arrive plus à me contrôler quand il me parle… Une envie interdite me dévore ! Je n'arrive plus à me contrôler… C'est pour ça qu'on à mit ce bandeau sur mes yeux pour me couper du monde et que je ne pense qu'à notre Seigneur ! Qu'il puisse entendre mes prières… Personne ne peut l'enlever, c'est comme sceller sur mon visage...

J'essaie encore de changer de place me tordant un coup à droite, puis à gauche. Mes bras et mes jambes essayant de suivre la contorsion que je leur inflige.

- Le temps passe rien ne change, je voulais aller trouver de l'aide ailleurs ! Un Prêtre d'une autre ville pour qu'il puisse me soigner de mon Mal ! Et voilà… Comment tout se termine… Je me retrouve au point de départ…

Je laisse tomber ma tête sur le côté, honteuse de cet échec misérable. Je voudrais juste retrouver ma vie d'avant, pouvoir admirer le monde ! Parler normalement avec des gens sans me soucier de cette voix, des pulsions de mon corps… Une vie normale.

Je retiens un étranglement sentant les larmes monter encore une fois… J'appuie mes talons contre les barreaux du lit pour essayer de remonter pour trouver cette position adéquate pour une conversation sérieuse… Levant au passage ma tunique encore un peu plus haut, laissant voir à la lumière des cierges cet antre entre mes cuisses… Ma fente entrouverte à cause de ma position en croix, ce bouton de Satan rose bombé, mes petites lèvres roses, ma toison ondulée de la couleur des blés comme mes cheveux, tout était totalement exposé à Monsieur Harald sans que je ne le remarque racontant seulement mes problèmes.

7
One Shot / Re : Celui qui chuchotait dans les ténèbres. -- PV
« le: jeudi 26 août 2021, 11:40:34 »
- Ma sœur répondez moi c'est vous ? J'entends cette voix dans ma tête, je n'en peux plus j'ai besoin d'aide… S'il vous plaît, restez à mes côtés pour cette nuit !

Mon souffle est court, je n'arrive pas à me remettre du Mal qui me ronge, des perles de sueur apparaissent sur mon visage rougit par l'effort.

- Ma sœur, pourquoi vous ne me parlez pas… Je sais que vous êtes là, j'ai entendu la porte s'ouvrir, vos bruits de pas dans ma chambre… Et quand vous vous êtes appuyé contre mon lit.

Toujours aucune réponse, j'entends un souffle en face de moi quand une main sur mon mollet vient de poser pour me faire sursauter.

- Vous savez qu'il ne faut pas faire ça ma…

Je me coupe brutalement, sentant cette main monter sur mes cuisses pour les malaxer. Je viens à me demander si c'est vraiment une de mes Soeur qui est en face de moi… Et si c'était ce démon qui venait me persécuter tous les soirs ? S'il avait réussi à se matérialiser pour arriver à ses fins ? Je me crispe d'un coup, serrant mes poignets entres les fers qui retiennent mes poignets. Je sens sa présence monter encore plus haut effleurer ma vertu… Ma toison blonde, ondulé couvre ma féminité.

- Qui êtes-vous ? Vous n'avez pas le droit de me toucher ainsi… J'ai bien compris que vous êtes le Malin !

La main du démon continue de monter pour arriver sur mes mamelles de pécheresse ! Les tâtent à travers ma tunique comme des fruits au marché.

- Mon Seigneur venez moi en aide face au Malin… Je sais que tout cela n'est que le fruit de mon imagination, personne n'est là ! Personne, je suis toute seule !!

Je serre les dents m’arrêtant de supplier le tout Puissant sentant un de mes tétons se faire compresser et soulever vers le haut. Une petite douleur descend dans ma mamelle quand je la sens se tendre…

- Mon Seigneur...Je ne suis pas une pécheresse, je n'ai jamais voulu avoir ces pensées perverses… Je vous en conjure, venez m'aider…

Je cherchais de l'aide contre le Malin qui jouait avec mon corps, je pensais à une simple manipulation de sa part.

8
- Une démone ? Je ne comprends pas ce que vous essayez de m'expliquer Ma Sainte-Mère… On m'a toujours dit que j'étais une pécheresse, ce que j'arrive à comprendre, mais une démone… Non, je suis possédée, c'est autre chose…

Allongée sur le côté je ne comprenais pas où la Sainte-Mère voulait en venir sur ma condition. Je ne pouvais pas être une démone, ce n'est pas possible, elle a dû se tromper dans ses paroles. Un démon ne pourrait pas vivre dans un couvent avec la force de Dieu il se serait fait châtier depuis bien longtemps, dans mon cas j'étais présente depuis ma naissance. Chantant les louanges de notre Seigneur tous les jours.

Et les autres Soeurs jamais elles ne pourraient tolérer d'avoir un démon dans la maison du Seigneur… Je restais vraiment perplexe en entendant ce que la Sainte-Mère me racontait. Alors que je sens ses orteils effleurer mon visage… Je lève les mains pour déposer son pied à l'intérieur de celle-ci pour venir y déposer des baisers plus simplement. Mes lèvres glissent sur ses orteils, sur le haut de son pied jusqu'à sa cheville pour faire des allers et retours tout en écoutant ce qu'elle avait à me dire.

Ma propre noirceur ? Je n'y comprenais rien… J'avais l'impression qu'elle me rejetait ma faute comme mes autres Soeurs. Je faisais tout mon possible pour changer, essayer de me soigner… Je voulais retrouver ma vie d'avant pouvoir m'épanouir sans cette voix et ces envies inappropriées.

Je n'ai pas le temps de lui répondre que je sens la laisse se tendre brutalement pour me faire avancer, le collier vient serrer ma peau pour me faire couiner une bonne fois.

- Ma Sainte-Mère…

Je ne voulais pas avancer, je ne voulais pas marcher comme une chienne au milieu du couvent ce n'était pas une position adéquate à ce lieu. Mais je n'avais pas le choix, elle me tirait sur le sol, je n'arrive pas à me retenir à la porte mes doigts moites ne tiennent même pas une seconde.

- Vous… J'ai mal… Arrête-je vous en conjure…

Rien ne lui faisait entendre raison, sa poigne de fer continuait à me faire ramper sous le sol alors que je lâchais des cris de détresse. Le collier se plantait dans mon cou me faisant extrêmement mal, elle ne me laissait pas le choix d'assumer cette position dégradante qu'elle me tenait. La marche à quatre pattes pour exposer mon corps à la vue de tous… Du mieux que je peux je me redresse pour essayer de suivre son pas, la tête en direction du sol je n'ose même pas imaginer ce que les Soeurs vont penser de moi.

Je suis une honte pour ce couvent, pour mon Seigneur, je sens des picotements au fond de ma gorge… J'ai envie de pleurer, de craquer.. Cela ne ferait qu'empirer les choses et je n'avais guère envie à ce moment.

9
One Shot / Re : Crossfire [Feat Soeur Mary]
« le: jeudi 26 août 2021, 11:32:46 »
Je n'osais piper mot quand cette femme appela un homme pour lui demander de préparer du thé, j'avais bien compris qu'il ne fallait pas la déranger. C'était une femme forte avec du caractère qui avait réussi à se faire respecter de beaucoup de personnes… Et de moi ! Je n'avais pas envie que la fureur de cette chose qu'elle détenait s'abatte sur moi… La requête qu'elle avait demandé arriva rapidement, j'ose lui présenter une nouvelle fois mon chapelet qu'elle me lance au visage tout en ricanant. Je panique, le cherchant, j'ai peur de le perdre sur le sol et ne plus le retrouver… Je le récupère sur mes cuisses, soulagée de le savoir près de moi… C'est ce qui compte le plus au monde pour moi ! Les nonnes n'ont pas beaucoup de biens matériels, il est interdit de s'attacher à des objets de valeur, familiale ou sentimentale sauf si c'est en rapport avec notre Seigneur. Comme ce chapelet que j'avais depuis toujours.

J'entends la mystérieuse femme aspirer quelque chose, avant de sentir une nouvelle fois cette odeur horrible, ça me pique le nez, je n'ai jamais sentie quelque chose d'aussi désagréable. Même l'odeur des vaches de Monsieur Lahore est plus agréable, c'est naturel, là, on ne dirait pas. Alors que je me retiens de grimacer pour ne pas la vexer, je l'entends me demander de réciter mon chapelet ! Elle croyait ce que je disais où elle voulait une preuve de plus sur mes dires… Dans les deux cas je n'avais pas le choix et j'allais le faire, lui prouver que je disais la vérité !

Je me racle la gorge avant de prendre une grande inspiration, je me redresse légèrement et cale mon chapelet contre mes cuisses le tenant à deux mains pour faire rouler les billes qui entourent le fil. Levant la tête vers le ciel, j'essaye d'oublier ce qu'il se passe autour de moi… Mon Seigneur me donne une chance de m'en sortir, je dois la saisir.

- Mon âme exalte le Seigneur, exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur !

Il s’est penché sur son humble servante ; désormais, tous les âges me diront bienheureuse.

Le Puissant fit pour moi des merveilles ; Saint est son nom !

Son amour s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent.

Déployant la force de son bras, il disperse les superbes.

Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles.

Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides.

Il relève Israël son serviteur, il se souvient de son amour, de la promesse faite à nos pères, en faveur d’Abraham et de sa race, à jamais.

Gloire au Seigneur, à Fils, au Saint-Esprit, pour les siècles des siècles.

Amen.


Je m'arrête net dans le silence baissant la tête pour essayer de chercher du regard la femme en fonction de son odeur qui me pique toujours le net. Je n'avais fait aucune faute, aucune hésitation bien que ma voix tremblait encore de la peur que je ressentais. Je pouvais encore réciter des prières, j'en connaissais d'autres, je pouvais y passer la journée si elle voulait encore des preuves. La gorge totalement sèche, je tousse en mettant ma main devant ma bouche, je ne dirais pas non à une tasse de thé après avoir réussi ce qu'elle m'a demandé… Réclamer n'est pas une bonne chose dans ce lieu, j'allais donc attendre et espérer l'avoir totalement convaincu.

10
Eglise et couvent de l'Ordre / Re : La Couleur tombée du ciel. -- PV
« le: jeudi 26 août 2021, 11:29:36 »
Le ton d'Abel changea rapidement quand je venais de relâcher sa virilité, comprenant rapidement que ce n'était pas suffisant, il ne s'attendait pas à ça, il en voulait plus. Je grimace de peur de recevoir une punition de sa part et pourtant je sens juste un léger contact sur mes lèvres humides, m'effleurant à peine telle une délicate fleur qu'on ne voudrait abîmer. Ça me rassure jusqu'au moment où je sens ces horribles choses visqueuses se serrer autour de mon corps…

- HAAAA !

Un crie déchirant sort de ma bouche sous la douleur que je ressens à ce moment. Alors qu'Abel reprend la parole pour m'expliquer qu'il me laissait une deuxième chance pour faire mes preuves, pour le satisfaire sous peine de devoir saisir. Il me laisse même le temps de répondre qu'il vient fourrer ma bouche avec son doigt pour tapoter ma langue et ensuite tirer sur les extrémités de mes lèvres pour me faire ouvrir grand la bouche.

Il m'indiquait son désir, tout ce qu'il voulait alors que ma bouche était grande ouverte laissant apparaître ma langue, ma salive que je n'arrivais pas à avaler dans ces conditions. Des gargouillis sortaient de ma gorge comme si j'essayais de lui répondre… Ou c'est seulement la panique qui me faisait réagir ! Un peu des deux alors que je sentais un appendice se diriger vers mon intimité… Ma pureté ! Il s'arrête… Il me mettait juste la pression, ne pas le décevoir encore une fois sous peine de la perdre… Enfin, il relâche ma petite gueule, je sens une légère douleur à la mâchoire et ça ne va pas finir…

- Je… Excusez-moi Monsieur Abel, je ne voulais pas vous décevoir autant… Je… S'il vous plaît ne punisser pas, je vais faire de mon mieux pour… Pour…

Je m'arrête un instant ne sachant pas comment aborder la chose, même s'il devait se douter de quoi je voulais parler.

- Je vous comprends très bien, Monsieur Abel…

J'avais peur de ce qu'il pouvait m'arriver si je m'occupais mal de son sexe, de la punition qu'il pouvait m'infliger. Perdre ma pureté, qu'il m'enfonce son sexe dans la bouche avec force, me torturer encore… Il y avait tellement de possibilités alors que j'étais ligotée sans pouvoir bouger le petit doigt.

- Je… Vais le faire Monsieur Abel… J'y vais…

Pour me rassurer, me donner du courage… Je sens la chaleur de son gland contre mes lèvres. Je sors ma langue pour donner quelques coups sur le bout, sentant une nouvelle fois le liquide sucré activer mes papilles. Comme une glace il a dit, rentrer son sexe entièrement dans ma bouche… Je prends une grande inspiration, ouvrant ma bouche à son maximum et j'avance cherchant son sexe pour le faire rentrer… Trop haut le bout vient taper contre mon menton, trop bas cette fois il vient claquer mon nez… Un peu trop sur le côté une substance visqueuse mieux m'acculer ma joue.

Cette fois c'est la bonne, je sens cette barre rigide prendre place dans mon antre humide, ma langue se plaquant directement contre. Son sexe prend rapidement toute la place dans ma bouche, je peux sentir chaque détail… La couronne du gland qui râpe ma langue, les veines qui ressortent sur sa peau. Ma langue commence à s'agiter autour descendant et remontant contre, l'imprégnant au maximum de ma salive pour faciliter la glissade vers ma gorge.

Je continue de le faire avancer aussi loin que je peux, poussant des gloussements sourds et humide au fur et à mesure. Loin d'être une experte en la matière, la salive déborde de ma bouche pour couler sur mon menton, alors que j'arrive au bout. Mon nez se fait chatouiller par sa pilosité, de même que mon menton qui vient heurter une peau plus molle à la base de sa barre. Son sexe est entièrement dans ma bouche, son gland à passé ma glotte pour continuer son chemin vers ma gorge… Du mieux que je peux je continue d'agiter ma langue, me reculant pour reprendre un peu d'air et diminuer la pression au niveau de ma mâchoire pour mieux revenir. Sans en être réellement consciente j'opérais des vas et viens sur son sexe tendu. Continuant de pousser des bruits moites provenant de ma salive, de mon manque d'expérience et de souffle.

11
Territoire de Tekhos / Re : Je puis tout par celui qui me fortifie. -- PV
« le: mercredi 02 juin 2021, 10:39:28 »
.

12
Territoire de Tekhos / Re : Prier le chapelet -- PV
« le: mercredi 02 juin 2021, 10:35:57 »
Reconnaissantes les bonnes Soeurs invitent l’étranger au couvent pour lui proposer le couvert et le gîte pour la nuit ! C’était rare que des hommes puissent franchir les portes de notre domaine, en entendant chuchoter des Soeurs je peux comprendre qu’il ressemble à un étranger, un voyageur, cela explique le choix de lui offrir autant. Une de mes Soeurs s’approche pour me relever du ruisseau et me faire avancer, elle me sert de guide pour ne pas que je tombe.

- En route ma Soeur, nous rentrons vers le Seigneur ! Nous allons devoir penser à votre punition quand on arrive… Heureusement, Monsieur Harald était présent pour vous aider. J’espère que vous l’avez remercié.

- Merci Monsieur Harald…

La main de ma Soeur me tapote l’épaule pour me féliciter, avant de me reprendre le bras pour avancer vers le couvent. Le groupe avance dans un silence religieux, c’est seulement quand on arrive vers la maison du Seigneur que je peux entendre des cris.

- Soeur Mary est là, elle va bien !

Au fur et à mesure qu’on se rapproche on peut entendre des murmures, les Soeurs parlent de l’homme qui nous accompagne, se posant des questions sur sa présence ici. Soeur Jocelyne calme rapidement la situation en expliquant toute l’histoire.

- … Il reste avec nous pour la fin de journée et la soirée ! Maintenant, mes Soeurs veuillez reprendre vos travaux et celle à la cuisine n’oubliez pas de rajouter un couvert !

Tout le petit monde se met en route comme des fourmis, au milieu de la place devant le couvent il ne reste plus que Soeur Jocelyne, Harald et moi.

- Je vais vous présenter votre couche, après un léger détour, Soeur Mary à besoin de se faire pardonner pour ce qu’elle a fait.

Ma Soeur prend les devants pour rentrer dans le couvent, tout était d’époque à l’intérieur aucune trace de technologie. Juste du mobilier en bois brute, usé par le temps, des chandeliers étaient accrochés au mur même les bougies n’étaient plus d’une première jeunesse. La femme d’ordre marchait d’un pas rapide, me traînant derrière elle, je connaissais tout par coeur ici, mais j’avais toujours peur de percuter quelque chose qui aurait bougé de place. On traversa un long couloir, sur les côtés se trouvaient différentes portes qui conduisaient vers les bains, la cuisine, la salle à manger, des bureaux… Et tout au fond la salle de prière ! Elle était minuscule, collé contre un mur une énorme croix représentant notre Seigneur et de l’autre côté une rangée de banc pour pouvoir s'asseoir et prier à quelques personnes.

- Installez-vous, nous n’allons pas en avoir pour longtemps… Soeur Mary à genoux vous savez ce qu’il va arriver…

Je le sais oui… Je n'en ai pas envie. Mais le choix ne m’appartient pas. Je me laisse tomber à genoux devant le Seigneur et je passe mes mains sur ma robe blanche encore humide pour la remonter au-dessus de mes fesses. Deux petites montagnes blanches, bien fermes et juste en dessous l’apparition de ma petite fente au duvet blond comme ma chevelure.

- Bien… Prie notre Seigneur pour lui demander la bénédiction.

Les mains tenant ma robe bien haute, j’entame la prière alors que Soeur Jocelyne sort un martinet qu’elle vient abattre fermement sur mes fesses. Ma voix vacille, monte dans les aigus ne m’arrêtant pas car je sais que cela sera encore pire si je le fais. Les coups de fouet s'enchaînent rapidement, mon postérieur se voit zébré de traces rouge vives. La scène va durer plusieurs minutes le temps que je finisse ma prière et le dernier coup tomba bien plus sec que les autres.

- Bien mon agneau. Relève-toi, nous allons continuer ta punition et montrer la chambre à ton sauveur.

Je me dresse avec du mal, mes jambes tremblent alors que même le tissu de ma robe me fait mal quand je le relâche. Je boite à chaque pas que je fais, Soeur Jocelyne invite Harald à nous rejoindre pour poursuivre. Sans ajouter un mot sur ce qu’il venait de se passer, il n'y avait rien de plus naturel pour elle. J’avais fait une bêtise, je méritais une punition qui n’allait pas se finir. Car avant d’arriver à la chambre du voyageur, on s’arrêta dans la mienne. Elle demanda à l’homme de rester dehors, mais dans l'entrebâillement de la porte, il pouvait voir que ma Soeur m’obligea à me coucher dans le lit et me passa des chaînes pour ne pas que je bouge. Éviter une nouvelle fuite.

- Je viendrais te chercher pour le souper, réfléchit à ce que t’as fait aujourd’hui Mary !

Sur ses mots elle partit me laissant seule dans la pièce, directement je me mis à pleurnicher dans mon lit. En croix jambes et bras écartés pour éviter tout problème. En dehors Soeur Jocelyne allait emmener Harald jusqu’à sa chambre qui se tient juste à côté de la mienne au deuxième étage du couvent, elle allait également lui donner l’heure du souper et lui laisser le champ libre jusqu’à là ! Lui interdisant de venir me déranger et quand elle sera partie, le silence prendra place ne laissant que filtrer mes pleurs et mes prières.

13
One Shot / Re : Crossfire [Feat Soeur Mary]
« le: mercredi 02 juin 2021, 10:32:14 »
Je m’arrête la tête contre le sol, espérant que cette mystérieuse femme allait me croire j’étais de bonne foi, je ne disais que la vérité… Si seulement je pouvais voir où je me trouvais, qui était les hommes qui me parlait dans une langue étrangère avant. Qu’est-ce qui était attaché autour de ma taille pour que les gens puissent avoir si peur. Il y a des moments où je voudrais arracher ce bandeau pour retrouver la vue.

- Le premier couvent à 400 kilomètres… Non ce n’est pas possible Madame, je ne pourrais pas marcher autant sans la vue… Je n’oserais jamais vous mentir. Je ne travaille que pour le Seigneur ! Je… AH !

Ce bruit métallique dans mon dos me fait sursauter et crier de terreur, je ne sais pas c’est quoi, je n’arrive pas à identifier. Je peux ressentir que ce n’est pas du tout de bon augure.

- Je ne sais pas de qui vous parlez Madame… Je ne joue pas au kami… Kamikake ! Je ne comprends rien à tous les termes que vous utilisez, je n’ai jamais rien entendu de pareil. J’ai toujours vécu dans mon couvent au début quand j’avais encore la vue je m’occupais du jardin j’étais une très bonne soignante et je cultivais des légumes que j’allais vendre au marché… AH !

Elle s’amusait à faire rouler l’objet en métal dans mon dos et à l'enclencher ensuite pour faire retentir un bruit sourd qui me faisait sursauter à chaque fois.

- Je fuyais mon couvent, je voulais trouver de l’aide ! Les nonnes disent que je suis impure, malade, mais personne n’arrive à me soigner… Je voulais me rendre dans une autre église pour trouver un prêtre capable de m’aider. Je ne voulais pas arriver ici, vous faire peur avec cette ceinture. Je ne sais même pas ce que c’était…

Un nouveau sursaut, toujours sur le sol je fais revenir mes mains vers ma poitrine, serrant les mains autour de mon chapelet. Si mon Seigneur est avec moi, il va me protéger quoi qu’il arrive. Je ne suis pas impure, j’ai toujours prié tous les jours et tout fait pour me faire pardonner de ce corps.

- S’il vous plaît , Madame, il faut me croire… Regardez sur mon chapelet, il y a mon prénom et le nom de mon couvent c’est tout ce que j’ai sur moi ! À la visite de contrôle du matin, j’ai sauté par la fenêtre pour fuir, je n’ai rien eu le temps de prendre avec moi… J’ai juste couru à travers notre jardin aussi loin que je pouvais…

Et à un moment le trou noir… Il me semble que j’étais tombée et cette sensation d’être aspirée. Je ne peux pas raconter ce genre de chose… Déjà qu’elle a du mal à me croire alors là elle me prendrait pour une folle. Un nouveau clac me fait tomber sur le côté en boule, comme une enfant, je tends mon bras pour lui présenter mon chapelet la seule preuve que j’avais avec moi. Je l’avais depuis ma naissance, les boules qui entouraient la ficelle étaient bien usées à force de les faire rouler entre mes doigts. Ce n’était pas un objet, fait il y a quelques jours pour me trouver une excuse. La croix avait été taillée directement dans le bois, les nonnes avaient collé le corps du Seigneur dessus en fer forgé, sur les côtés, on pouvait voir quelques dorures peintes à la main car les lignes n’étaient pas régulières. Et derrière comme je l’avais dis mon prénom et le nom de mon couvent.

- Regardez…

J’étais sur le point de pleurer, ce bruit me brisait petit à petit, ma voix devenait plus faible et je m'étranglais quand je respirais.

14
.

15
Eglise et couvent de l'Ordre / Re : La Couleur tombée du ciel. -- PV
« le: lundi 22 mars 2021, 21:27:49 »
Je sentais son souffle chaud si proche de mes lèvres, à quelques centimètres de moi, je n’osais plus bouger, les lèvres en coeur je peinais à respirer comme il faut. Avant de sentir sa langue les caresser, un nouveau gémissement glisse jusqu’à son oreille. Je suis en train de devenir folle ce n’est pas possible. En plus de ça je n’arrive pas à arrêter de trémousser mon pied sur cette chose, voulant savoir ce que c’était. Je montais contre cette tige dure, elle était longue, arrivant au-dessus la forme n’était plus la même, pareille quand j’étais en bas c’était plus mou. Le tissu se retire pour découvrir une nouvelle sensation, une texture différente.

Son pénis ? Je ne savais pas à quoi un sexe d'homme ressemblait, on pourrait me dire n'importe quoi que je pourrais le croire… A cet instant, je ne savais pas quoi faire, retirer mon pied car je n'avais pas le droit de toucher à ce genre de chose ou continuer d'explorer l'inconnu, de sentir les veines entre mes doigts de pied. La limite entre la verge et le gland si chaud gonflé de sang au bout légèrement humide. Un liquide gluant tout aussi chaud que le reste de cette longue tige. Et plus bas ? Je descends je sens une grosseur… Mon Seigneur qu'est ce que je suis en train de faire, pour je ne peux m'arrêter de glisser contre ce pénis.

"A l'aide… Mon Seigneur…"

Je me fais trimbaler comme une poupée, les liens me retournent je ne peux pas lutter. Obligé de mettre à quatre pattes, mes mamelles claquant dans le vide, mes fesses moelleuses tendues vers l'arrière.

Devant mon nez je sens une odeur inconnue, qui me fait tourner la tête, je bascule en avant mes lèvres pulpeuses se posent sur le gland que j'ai caressé avec mes pieds, le même liquide chaud se colle à moi cette fois. J'ouvre la bouche légèrement.

"Je… Je ne veux pas décevoir mon Seigneur… Pourtant, je suis pas sur… Qu'il est l'envie de me voir… Ainsi…"

Je suis prise de tous les bords, les longues choses visqueuses agresse mes fesses déposant comme de la salive dans mon sillon, alors que d'autres viennent tirer sur les tétons. Mon coeur tambourine dans ma poitrine de plus en plus fort, je vais lâcher prise. Je n'y arrive pas mon Seigneur, comment résister à toute cette pression.

"Je… Je ne veux pas de l'éternité… Promettez juste que je garderai ma pureté… Je ne peux me présenter devant mon Seigneur sans.. Pitié Abel et je ferais n'importe quoi pour vous…"

Montrant ma bonne foi, j'ouvre enfin ma bouche en plus grand pour faire rentrer son gland chaud à l'intérieur. Mes lèvres se serrent sur le morceau de chair, alors que je ne sais pas quoi faire avec ma langue. Est ce que je dois la bouger, la laisser là ? Le plus important était que je venais de lui montrer que j'étais capable de prendre sa virilité en bouche. Juste quelques secondes et je me recule, ce goût dans la bouche reste, descend dans ma gorge quand j'avale ma salive. Ça a un goût particulier, attractif, légèrement sucré comme le miel. Mais innocente comme je l'étais et novice en la matière, pour moi j'avais fait ce qu'il m'avait demandé. Allez plus loin, pourrait me faire du mal, me forcerait à ouvrir ma bouche en plus grand et à baver. Ce n'était pas possible de faire plus, ce pénis était trop gros pour l'étroitesse de mon antre humide.

"Je ne peux pas aller plus loin… J'ai… J'ai fais ce que vous m'avez demandé… Tenez votre promesse pour notre Seigneur…"

Un couinement plus fort que les autres sort de ma bouche, je trémousse mon postérieur plus vite. Mes hanches roulent, mon dos se creuse. Je perds la tête.

Pages: [1] 2 3 ... 5