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Messages - Georgiana Devonshire

Pages: [1]
1
Eglise et couvent de l'Ordre / Re : Au nom du père [PV Don]
« le: samedi 18 avril 2009, 11:54:03 »
Georgiana détestait les ordres, d'ailleurs ici, elle ne les avait jamais suivi et avait toujours assumé les conséquences : nombreuses punitions ridicules comme être privée de dessert où laver les chambres de ses petites camarades. Elle s'en foutait pas mal au fond, désobéir était pour elle synonyme de sa liberté inconditionnée de petite adolescente. La semence laiteuse et pâteuse barbouillait d'ailleurs sa bouche, couvrait ses lèvres et venait couler sur la belle peau de son visage pour s'échouer au sol, vers ses genoux. Les hauts le coeur ne lui laissèrent aucun répit.


« Qu’est ce que tu attend maintenant ?Masse moi donc. Si tu ne le fais pas tu risque d’avoir un gage. Et tu n’aimerais pas ça. »



Elle posa ses grandes prunelles bien rondes et d'une jolie couleur imprégnée de larmes sur le sexe imposant de son père.  Elle ferma alors les yeux, mais l'image restait, la sensation de CA dans sa bouche. C'était dur, chaud et tendu et ca pouvait s'enfoncer loin. A cette idée, Georgie se rétracta, et secoua la tête violemment faisant bouger ses boucles acajou et chassant le surplus de sperme autour de sa bouche. Résignée, de genou, elle tomba à quatre patte et ouvrit les yeux, haletante pour faire glisser sa main sur la verge.

Quelle horrible, et pourtant étrange sensation. Ses petits doigts faisaient à peine le tour du pénis dressé, ou bien très difficilement alors que maladroitement, elle glissait sa main dessus en grimaçant. Elle détournait même le regard pour admirer le sol préférable à cette vue alors qu'elle s'acharna à masturber son agresseur dans des airs de "En veux-tu, en voilà mais laisse-moi!" Sa main allait sur toute la longueur, et revenait, parfois le bout de ses doigts frôlaient ses bourses et elle frissonnait, augmentant un peu la pression.

Parfois, elle poussait des petits gémissements de désespoir, n'arrivant pas à croire qu'elle obéissait si facilement à ce type de requête. Ce fut alors qu'elle arrêta tout, brusquement. Les mots de Don résonnaient en elle, et cette idée même de l'aider à déshonorer ce que fut sa mère en continuant avec elle la révolta. Elle tomba sur son joli derrière et s'éloigna en rampant loin de lui, le regard farouche.

"C'est la dernière chose que tu me feras faire, sale chien!"


Et oui, elle s'était exclamée un truc peu original mais comment pouvait-elle savoir que presque toutes les victimes de cet homme disaient des choses semblables. Toujours à terre, elle ne se rendait même pas compte de sa position langoureuse, ses joues rougies par la honte et la chaleur, le bas de son visage recouvert de sperme et surtout les toutes petites traces de mouilles qu'elle avait semé quand elle avait rampé sur quatre mètres. Car son corps avait bien réagi à cela. Il dorait même, et le prouvait la faisant mouiller plus qu'il ne fallait. Elle était excitée et ne sachant pas d'où lui venait toute cette frustration elle préférait la canaliser dans une sorte de colère ridicule.

2
L'auberge du Coucher de Lune / Re : Meme extenue ca continue [pv]
« le: jeudi 25 décembre 2008, 18:33:47 »
La pauvre fille crut mourir d'indignation quand il lui reprocha parlait trop, mais elle ne faisait que se défendre! Néanmoins, assez terrorisée par cet homme qui n'avait vraiment pas l'air humain, elle se contenta d'arquer ses sourcils d'inquiétude. Comment allait-il la faire...et avant même d'achever sa penser, une tentacule s'enroula autour de son crâne, se logeant entre ses deux lèvres. Dégoûtée, elle tenta de se débattre, mais seuls ses yeux purent quelque chose en foudroyant son agresseur.

Elle se contorsionna quand la tentacule la souleva, et se cambra croyant lui échapper ainsi mais le résultat fut pire vu que l'une d'entre elle était venue se perdre avec envie contre le tissu qui recouvrait son intimité. -Pas là, pensa-t-elle avec effroi. Elle rougit subitement, et maudit cet être. -Ni là! s'indigna-t-elle mentalement alors qu'il la tripotait sans scrupules, goûtant au toucher de son fessier, et de sa petite poitrine rebondie. Georgie voulut profiter de la tentacule qui s'était retirée pour faire quelque chose mais il l'embrassa. Sans doute qu'il embrassait bien mais elle n'avait aucune expérience et trouva cela davantage répugnant. Elle gémit sous les assauts de la tentacule entre ses cuisses.

Il était si vulgaire. La baiser ? Elle ne savait même pas ce que ca voulait dire, mais en tout cas, il venait de la menacer de mort!


"Commence par me libérer, sale fou!"

Et ni d'un, ni de deux, elle lui cracha au visage, lui envoyant autant de salive qu'elle put. Ce ne fut malheureusement pas grand chose.

3
Eglise et couvent de l'Ordre / Re : Au nom du père [PV Don]
« le: jeudi 25 décembre 2008, 18:26:12 »
Georgiana n'était pas vraiment heureuse ainsi. Elle grimaça atrocement lorsqu'il la tira par les cheveux en prononçant des paroles qui l'horrifièrent. La  pauvre petite blêmit, tout en essayant de cacher ses seins, et en faisant abstraction de la douleur qui naissait dans son cuir chevelu. L'Eglise lui avait pris beaucoup d'enseignement, certes. La pudeur en était le principal, et il était difficile pour elle de se faire reformater dessus à la suite. Se montrer nue devant un homme était un grand péché, et les yeux tremblant, prêts à déverser des tonnes de larmes, elle comprit qu'elle serait punie pour cela. Honorer ses parents. Elle avait péché devant son père en se laissant dénuder.

C'était atroce, et déjà, elle était secouée par quelques petites sanglots, bras toujours croisé sur sa poitrine, elle atterrit à genou devant l'entrejambe de Don. Effrayée, et honteuse, elle détourna son regard. Elle n'était absolument pas capable de répondre. Ses yeux s'écarquillèrent au fur et à mesure qu'il baissait sa braguette et quand cet objet typiquement masculin apparut devant elle, elle lâcha un cri et pria fort en fermant brutalement les yeux.

Georgie était totalement perdue, elle sentait qu'elle s'enfonçait chaque minute un peu plus dans ce péché vicieux. Et pourtant, elle n'arrivait pas à se culpabiliser. Il l'avait forcé, nest-ce pas ?  Elle ne s'était pas déshabillée d'elle-même! Ah sûrement pas! Alors, il préférait l'accuser d'être méprisante envers son père, alors que lui était irrspectueux envers sa propre chair et son propre sang. Ses larmes brillantes sillonaient cruellement ses joues blêmes de terreur. Elle aurait aimé hurler quand il lui attrapa le nez pour bloquer un peu sa respiration : le temps de forcer sa petite bouche à s'ouvrir et d'y faire pénétrer son sexe qui étouffa son cri. Elle avait gardé les yeux ouverts durant la scène, et se sentant tellement honteuse qu'elle continuait de trembler.

Elle ne comprenait même pas ce qu'il lui arrivait. Ses lèvres glissaient rapidement sur la peau de cette verge beaucoup trop imposante qui lui écartelait la bouche et allait s'enfoncer vers sa gorge. La jolie adolescente eut plusieurs fois envie de vomir, sa langue parcourait contre son gré toute la longueur du sexe dur, car elle la faisait bouger pour résister. le pire restait cependant à venir, puisqu'en effet, il vint en elle tout en la prévenant atrocement. elle n'avait d'ailleus pas compris l'avertissement, embourbée dans son horreur sourde.

Devonshire trouva ce liquide répugnant, et l'avaler de force lui demander de grand effort. Elle ne put malheureusement pas y arriver, son corps n'acceptait pas cet élément étranger et elle recrachait presque tout. Ca débordait de sa bouche, coulait à la commissure de ses lèvres, venait s'écraser contre le gland du colosse qu'elle mordit sans réellement faire exprès. Pas d'une morsure violente non, ce fut léger, elle avait à peine appuyer ses dents. Et n'osait d'ailleurs se servir de ses mains qui restaient autour d'elle pour se cacher.


"Humm..." gémit-elle les yeux humides et implorants.

Pourquoi tant de cris et de violence contre elle. Un jour, une soeur lui avait parlé de ces hommes qui abusaient les femmes et lors d'un serment le Prêtre avait condamné l'inceste : phénomène jugé entre deux parents. La pauvre Georgiana connaissait les deux à présent, et restait choquée.

4
L'auberge du Coucher de Lune / Re : Meme extenue ca continue [pv]
« le: mercredi 24 décembre 2008, 17:42:22 »
Georgiana prit une mine horrifiée quand il sortit du lit. Un homme…nu! C’était pour elle, une grande première et de toute manière, même si ça ne l’était pas, cette vision était inadmissible. Qu’est-ce que faisait un exhibitionniste pareil dans SA chambre, car on lui avait donné les clés à elle. Ce mendiant n’avait qu’à sortir !

Elle l’observa verrouiller la porte de la chambre et sursauta, mécontente. Que faisait-il était-il malade de balancer ses clefs par la fenêtre.


-Mais Arrêtez! 

Il la tenait prisonnière contre lui, et tentant de s’extirper de ses griffes, elle soutenait son regard. Jamais elle ne se laisserait faire. Bien évidemment, elle avait peur, mais elle avait surtout une étonnante rage contre cet inconnu. En un rien de temps, elle se retrouva au sol, allongée de tout son long. Georgie, voulu se redresser, un peu sonnée. Tournant son regard vers l’homme, elle vit son appendice se métamorphosé en plusieurs tentacules! Elle cria, et rampa pour lui échappa mais fut bien vite arrêtée par ces mêmes tentacules qui enchaînèrent ses poignets.


-Qu’est-ce…que vous faîtes ? Vous n’avez pas le droit ! A l’aide ! 

[Non, c’est bien ainsi : ) tu peux la considérer comme vierge si tu veux ^^]

5
Eglise et couvent de l'Ordre / Re : Au nom du père [PV Don]
« le: mercredi 24 décembre 2008, 13:45:09 »

C’était l’horreur la plus cruelle qu’il lui soit donnée de voir dans sa misérable petite vie de quinze année. Les paroles de CET homme étaient comme un venin fulgurant et violent qui paralysait son cerveau. Les pensées de l’adolescente était confuse, tout le monde lui avait donc menti même le Prêtre, même sœur Cavendish, sa seconde mère. A cette pensée, elle eut les larmes aux yeux.

Ce fut alors là qu’il profita pour l’attrapa par le col et elle hoqueta de surprise. Elle frappa encore une fois sur la vitre, y appuyant ses mains avec cette force du désespoir qui ne lui servit à rien. Elle commença à suer légèrement quand il posa un pied dans son dos. Non, ses camarades, et elle comprit que oui. Il avait raison, elle avait bien été détestable avec ses cadettes à tout point de vue, rien ne servait de le nier.


« Ah ! Non ! » hurla-t-elle quand il lui arracha sa robe.

Et sa voix aigue avait résonné dans toute la pièce sans que jamais elle ne traverse les murs épais de pierre. Elle se dégagea tant qu’elle put en se contorsionnant, battant des mains et des pieds sans jamais atteindre sa cible. Et l’atmosphère de la pièce changea du tout au tout. Dire qu’avant elle était si tiède, maintenant privée de sa robe couverte d’une simple culotte de lin blanc, elle avait froid.

Elle prit également conscience de cette nouvelle faiblesse. La facilité étonnante avec laquelle il avait arraché une robe, emportant avec lui, les sous robes et le corset dur et très bien lacé. Elle observa le carnage à terre, où tout n’était qu’à présent bout de tissu pourpre et blanc. Cette robe avait une valeur inestimable.

Ce type tait en train de lui bousiller son avenir. Elle refusait de le croire, elle ne le croirait sans doute jamais. Elle ne pouvait se faire à cette idée que tous ici l’ai trahi pour de l’argent. Elle-même était assez prétentieuse mais elle n’avait jamais prétendu être vénale, ou corrompue. Sans doute, était-elle trop jeune.

Tandis qu’elle s’accrochait au mur froid, s’y agrippant avec force, y pressant sa menue poitrine pour échapper au regard de son père, la honte l’envahit. Elle repensa à Pierre, à son petit chiot, à sœur Cavendish et à cette vie menée ici qui partait en poussière à chaque seconde où elle continuait de respirer.


Elle se pressait au mur comme si sa vie en dépendait, et ses larmes continuaient de couler le long de ses joues. Elle avait peur, et ce fait était rare. Georgiana ne voulait pas ce qu’il lui promettait là. Elle rêvait de liberté, c’était même sa seule réelle ambition philosophique. Alors lui annoncer qu’elle était une marchandise, un vulgaire corps qui n’aurait jamais sa vie l’effrayait.


« Allez vous en » articula-t-elle distinctement sur un ton un peu rageur.  Cependant, elle n’y croyait pas vraiment car elle était soumise à la peur.

6
Prélude / Re : Georgie
« le: mercredi 24 décembre 2008, 12:18:41 »
Merci vous deux,

Lenalee, j'aime beaucoup ton chaton *_*, on pourra rp avec plaisir =)

7
L'auberge du Coucher de Lune / Re : Meme extenue ca continue [pv]
« le: mercredi 24 décembre 2008, 12:14:53 »
Georgiana n’était jamais sorti de l’enceinte du couvent, du moins, si. Il lui était arrivée parfois d’aller dans les campagnes alentours avec quelques sœurs pour faire des activités en pleines airs bonnes pour la santé, mais tout ceci jamais à moins de trois ou quatre kilomètres de l’Eglise. Aujourd’hui donc, était un grand jour puisqu’on lui avait annoncé le retour de son père. Sœur Cavendish était sa tutrice, et elle était sûrement l’une des sœurs supérieures les plus jeunes et les plus laxistes du Couvent. Elle allait souvent contre les ordres du Père. Ainsi, malgré l’interdiction de ne pas faire sortie Georgie, Sœur Cavendish lui offrit un petit séjour à Nexus, en se secret, d’un jour et d’une nuit, elle en profiterait pour lui acheter une robe, d’ailleurs.

Cavendish avait un physique austère, une beauté face avec une peau laiteuse et des cheveux d’un noir corbeaux toujours cachés par son voile. Ses sourcils étaient trop fins et ses yeux trop grand, d’un bleu terne. Ternes comme ses lèvres pâles et fines, toujours serrées. Elle était grande, trop, et trop maigre. Aujourd’hui, elles allaient choisir l’auberge et la Sœur en prit une connue et sobre qui était toujours fréquentée donc potentiellement sûre. Georgiana ne devait pas être abîmée, cela allait de soi.

Néanmoins, elles arrivèrent de nuit pour plus de discrétion et une fois dans la salle commune, elles souhaitèrent se diriger vers le comptoir. Seulement, un homme arriva pour prier Sœur Cavendish de venir en aide à sa sœur malade plus loin dans la ville. Etant nonne, elle avait des compétences d’infirmières reconnues. Son serment lui interdisait de refuser et elle demanda à Georgie de chercher les clés, elle la retrouverait plus tard. La jeune princesse, assez fière, fit rapidement ce qui lui était demandé et l’aubergiste lui donna la clé d’une chambre sensée être vide.

Elle portait une simple robe de lin blanc, qui lui arrivait au cheville avec toute la sobriété des jeunes sœurs. Cependant, cette robe ne suffisait pas à cacher les formes de ses hanches, et de ses cuisses et même de sa petite poitrine. Sa chevelure mi-longue était libre sur ses épaules. Bientôt, elle arriva en haut des escaliers et s’engagea dans le couloir pour ouvrir la chambre qui lui était attribuée. Folle de cette nouvelle indépendance, elle referma rapidement la porte derrière et se tourna vers la salle avant de faire tomber ses clés.


« Qui…qui êtes-vous ? »

Elle fronça les sourcils et ajouta, prouvant qu’elle se fichait de la réponse :


« Sortez immédiatement de ma chambre, s’il vous plaît ! »

8
Eglise et couvent de l'Ordre / Re : Au nom du père [PV Don]
« le: mercredi 24 décembre 2008, 02:18:32 »
En prononçant le simple mot "mère", il pouvait être sûr d'avoir l'entière attention de la jolie Georgiana. Cette dernière ouvrit grands ses yeux, mais aussi ses prunelles. Elle fixait "Dorian" avec curiosité comme s'il venait de lui assurer que le ciel était rouge. Elle finit par comprendre quand il entama le début d'un récit qui visait assurément à raconter toute l'histoire, et l'entière vérité. Pour la petite, c'était parfait, elle ne demandait rien d'autre. La brune prit possession de sa propre tasse et trempa ses lèvres dans le liquide tiède tout en observant son père. Son ton était paisible, et pourtant, elle sentait un arrière goût cynique dans ses paroles. Sûrement était-ce l'effet du thé trop amère de la Soeur Cavendish.

Sa mère était danseuse, cette première information illumina le regard magnifique de l'adolescente qui fut soulagée et reçut cela comme un véritable signe du destin. Et puis, elle se nommait baya, quel nom plus exotique et plus merveilleux que celui-ci. georgie n'avait jamais cessé, tout au court de sa vie, d'idéaliser sa mère qu'elle voyait bienveillante douée et belle.  En revanche, Londres, elle ne connaissait pas cette ville ou ce pays. Cela avait vraiment des allures de contes de fée et elle osait à peine y croire.

Elle fronça les sourcils néanmoins, arrivée vers la fin. Danser comme une folle, fête, tomber de fatigue ? C'était des mots ambigus qui sonnaient creux pour Georgiana mais elle avaitun mauvais pressentiment. Elle ne pouvait pas connaître les pouvoirs de rhétorique de son père, et elle se laissait prendre au jeu comme une vulgaire débutante : ce qu'elle était assurément. Alors qu'il prit sa tasse, elle reposa la sienne, avec précaution. Ce service était précieux et elle ne souhaitait plus l'abîmer. Un peu tremblante, et soucieuse de connaître la suite, elle ne dit rien et ne bougea pas...son regard toujours rivé sur son père.

Et ce fut à cet instant qu'il reprit son discours. Georgiana ne comprit pas tout du premier coup, bien évidemment, elle resta quelques secondes perplexes face à des parols qui n'avaient aucun sens pour elle. Nue, sangles. Ces mots résonnaient alors que d'autres, bien plus terrible arrivaient. Elle restait de marbre, et pourtant secouée de l'intérieur par une panique sans nom. Soudain, elle blêmit alors qu'il enchainait sur une alléchante conclusion à tout cela. Une morale horrible. Georgie était choquée et le traumatisme la paralysait. Elle avait peur de comprendre, de comprendre que cet homme là était l'incarnation du mal. Il ne pouvait pas être son père, du moin, elle refusait d'y croire. Ce n'était pour elle qu'un vulgaire menteur.

La jeune adolescente était piégée, et elle en prit pleinement conscience. Et sa pauvre mère, dieu cette pauvre mère. Elle porta une main à sa bouche et s'effondra à terre, renversant sa chaise au passage. Une fois au sol, elle y resta quelques secondes, stupéfaite et consternée.


"Non..." s'acharna-t-elle, "Vous mentez. Quel...quel genre de père êtes-vous pour dire tant d'horreurs!"

Son sang ne fit qu'un tour et elle se sentit mal au point de désirer vomir ses entrailles. Grâce à un ultime effort, indignée, elle se redressa et courut vers la porte, dépassant son père. Elle tenta de l'ouvrir sans véritable succès et, déterminée, frappa dedans en hurlant que de l'autre côté, on vienne lui ouvrir. En fait, elle en s'était jamais réveillée hein ? Ele était toujours plongée dans son horrible cauchemar.  Elle ne croyait pas un mot de ce que cet homme lui disait. Georgiana inspira fortement de l'air, comme n poisson hors de l'eau.

Et brusquement, elle se calma et s'adossa à la porte cherchant une solution, une issue.


"Je ne veux plus vous voir!" lança-t-elle distraitement en se jetant vers la fenêtre.

Ils étaient au premier étage, même avec la fenêtre ouverte elle n'aurait pu mais...c'était cela ou rien.


9
Eglise et couvent de l'Ordre / Re : Au nom du père [PV Don]
« le: mercredi 24 décembre 2008, 01:02:02 »
Elle ne savait absolument pas comment interpréter cette façade qu'il gardait. ce calme dont il faisait preuve apparente angoissait la petite. Elle n'avait pas conscience si elle faisait les choses bien ou mal. En réalité, elle ne supportait pas cette autorité silencieuse qui émanait de lui et qui l'obligeait, elle, Devonshire Georgiana, à faire preuve d'autorité. Elle détestait l'autorité cela allait de soi. Et toute autorité savait se briser, c'était encore l'illusion que ce couvent lui avait donné, malheureusement. Elle l'observa en coin prendre la tasse de thé et s'assit à son tour, face au plateau. Elle ne toucha même pas à sa propre tasse. Elle posa ses mains sur ses genoux, et joua nerveusement avec ses doigts, sous la table pour qu'il ne remarque pas son anxiété.

Le silence était pesant certes, mais elle n'irait absolument pas le briser sous ce prétexte. Elle n'avait aucune idée de pourqoi elle avait atterri ici, et pourquoi à présent son père venait la chercher. Personne ne lui avait rien dit à propos de son futur, elle avait toujours été là, présente et maintenant, l'idée de quitter ce monde rassurant l'appeurait un peu. Là, dans cette Eglise, elle était un peu la princesse, étant l'aînée ds autres orphelines on lui accordait plus d'importance, cela allait de soi.

La belle cessa tout mouvement avec ses mains quand enfin, il annonça son identité. Dorian ? C'était un prénom noble, qui tenait parfaitement la route. Elle baissa la tête, confuse et surtout déçue de voir qu'il n'était ni un imposteur, ni un menteur. Cet homme était définitivement son père et il venait la chercher. Elle secoua doucement la tête, elle ne voulait plus vraiment avoir de père.

"Non," souffla-t-elle pour elle-même.

Georgiana n'était vraiment pas prête à accepter une autorité. Elle voulait devenir une grande danseuse, elle dansait bien. C'était Pierre qui le lui avait dit quand elle lui avait fait une petite et infantile démonstration dans l'écurie. Elle ne pouvait laisser un colosse arriv
é de nulle part lui voler ça. Lui parler d'elle, mais il n'y avait rien à dire. Que comprendrait-il ?

"Si...si je ne veux pas vous suivre. Qu'arrivera-t-il?"

Gâtée mais pas bête la belle Georgiana. Elle était consciente de ses responsabilités de fille et à présent qu'on la réclamait, elle ne pouvait pas se permettre de choisir  comme elle povuait choisir ses parts de gâteaux ici même. Prudente, elle le lorgna discrètement pour guetter la moindre réaction. Jusqu'ici, il était resté calme mais elle craignait de déclencher chez lui une rare colère car elle manquait de tact. Elle posa une main sur sa propre joue pour trouver un peu de réconfort et comme un mauvais signe, son chignon se défit. la barrette défectueuse et usée alla finir son existence au sol alors que la chevelure aubrun de l'adolescente finissait de choir sur ses épaules couvertes de soie. Surprise, elle leva ses yeux en direction d'une mèche qui lui barrait le front et souffla dessus pour la dégager sans grande grâce.

Georgiana savait que suite à son mauvais rêve, quelque chose de désagréable allait se passer cette journée. la rencontre avec son père tournait, selon elle, à un échec cuisant et total. Elle avait honte et en même temps, elle était révoltée contre tout un manque de qualité de la part de son père. Elle l'avait idéalisé, imaginé autrement et tout tombait à l'eau. c'était un peu comme si elle désirait
un service après vente, elle ne souhaitait pas un père comme ca, au suivant.

10
Eglise et couvent de l'Ordre / Re : Au nom du père [PV Don]
« le: mercredi 24 décembre 2008, 00:19:33 »
En réalité, Georgiana s'ennuyait un peu et elle détestait ça, l'ennui. Dans un couvent, généralement, il n'y a pas grand chose à faire mais elle ne s'était jamais sentie aussi ennuyée que maintenant. Elle aurait espéré plus de son père ; qu'il détende l'atmosphère ou rit avec elle. Rire même de tout et n'importe quoi, une remarque attendrissante n'aurait pas été de refus. "Tu as les yeux de ta mère" n'était pas suffisant, c'était triste. Elle se dégagea de la fenêtre, agacée, et se tourna à nouveau vers lui au moment où il déclara autre chose en ouvrant ses bras. Elle fit une mine perplexe en arquant un sourcil. Espérait-il qu'elle se jette ainsi dans ses bras ?

Georgiana rougit un instant, mal à l'aise. Elle ne savait plus vraiment quoi faire. Paraître trop impolie était peutêtre une mauvaise solution. Georgiana était certes un peu capricieuse sur les bords mais  elle savait également jouer la comédie. Cet homme pouvait lui apporter plus que ce couvent, autant lui être sympathique et puis, elle n'avait jamais connu ses parents et la chance lui faisait en retrouver un. Tmimidement, elle fit un pas en sa direction, puis un autre. Elle s'arrêta au bout du troisième, tremblante. Décidément, elle n'y arriverait sûrement. L'idée qu'il la câline lui était étrangement désagréable. Elle avait peur qu'il la brise, il était tellement grand et fort, comment pouvait-elle avoir la garantie de réchapper à une étreinte et puis quoiqu'en dise : elle fut élevée dans un couvent avec certaines règles strictes vis à vis des hommes. Père ou non, elle devait se montrer décente. En fait, cette règle l'arrangeait particulièrment aujourd'hui là où elle l'avait embêté les autres jours. Comme lorsqu'elle voyait Pierre, l'écuyer de l'Eglise dans la cour tôt le matin en promenant son chiot.

Elle le foudroya du regard, puis reprit sa marche décidée. Tant pis, elle grimacerait un peu et ce serait une brève étreinte. Elle y veillerait du haut de son mètre soixante. Alors, elle se lottit avec réticente et précaution dans les bras de son père pendant quelques secondes à peine. Avant même qu'il ne puisse refermer ses bras autour d'elle, elle recula d'un bas. Ce n'était pas bref, mais aussi rapide que l'éclair. Elle avait à peine senti son parfum.

"Non." articula-t-il distinctement en l'admirant.

Elle ne souhaitait pas être méchante, elle disait la vérité. Que pourrait-elle lui dire ? Vous m'avez manqué ? Impossible, elle ne l'avait jamais. Et puis, elle ne savait ni comment il s'appelait ni d'où il venait, ni ce qu'il faisait. C'était plutôt qui avait des choses à lui dire parce que, bon sang, elle n'avait que quinze ans. Elle ne connaissait rien de la vie même si elle le croyait. Georgiana passa une langue sur ses lèvres, elle était vaguement touchée par l'aura qu'il dégageait et son embarras ne l'aidait pas à se ressaisir. L'orpheline de mère décida donc de faire diversion
.

"Un peu de thé je suppose ? Je n'ai pas l'habitude de servir." déclara-t-elle d'une voix prétentieuse et hautaine.

c'était habituellement ainsi qu'elle parlait aux servantes du couvent, et même aux soeurs. Il lui arrivait de piquer de véritables crises de princesse. Sans attendre de réponse, car elle ne voulait pas qu'il dise non, elle se dirigea vers la table et s'y appuyant en observant le plateau avec la théière. Tout cela risquait de fort bien refroidir. Elle remplit donc deux tasses, gardant de nouveau le silence, faisant les choses parfaitement. Une fois ceci fait, elle renversa légèrement la tête en arrière pour lâcher un soupir, excédée.

11
Prélude / Re : Georgie
« le: mardi 23 décembre 2008, 23:11:08 »
Merci  ;)

12
Eglise et couvent de l'Ordre / Re : Au nom du père [PV Don]
« le: mardi 23 décembre 2008, 23:08:57 »
Georgie ne savait vraiment plus où se mettre, elle avait l'impression d'être livrée à soi-même. Ici, elle avait été élevée par la charmant soeur Cavendish, et jamais elle n'avait manqué de rien, même le prêtre en charge de l'Eglise lui avait porté de l'attention particulière. Elle avait toujours eu à peu près ce qu'elle voulait. En revanche, elle venait de s'en rendre compte qu'elle avait oublié son chiot sous son lit. Il allait paniquer en s'apercevant de la disparition de sa maîtresse. Elle espérait que les soeurs en prennent soin jusqu'à son retour. Les yeux toujours baissés au sol, elle fronça les sourcils, soucieuse à présent.  Elle n'entendait que les crépitement du feu. Et en effet, dans la salle se dégageait une tiède atmosphère, c'était presque confortable si on oubliait cette tension palpable de retrouvailles père-fille.

Elle toussota alors que Don se levait pour s'approcher d'elle. Consciente à présent de sa présence, elle ne put que relever ses prunelles claires sur lui pour le détailler. Elle en ouvrit d'ailleurs grands ses yeux. Il était tellement grand, elle qui était si petite. Elle n'avait pas imaginé son père comme ça et bien qu'il se dégageait de lui un magnétisme particuliers qui ne laissait aucun doute sur son identité paternel, elle avait du mal à s'y faire. la gorge nouée, elle restant sans voix  pendant plusieurs secondes alors qu'il demandait la confirmation de son nom. Incapable du moindre mot, elle détourna farouchement le regard. C'était un caprice de ne plus vouloir admirer son père. Pourtant, elle devait être polie et déférente face à lui, chose impossible. Ici, elle en avait toujours fait qu'à sa tête, n'avait croisé aucune barrière. Savoir qu'à présent l'autorité serait ce colosse lui déplaisait.

La belle lui accorda cependant une vive attention quand il parla de sa mère. On ne lui avait jamais parlé de sa mère, et elle aurait aimé en savoir des choses sur elle, malheureusement. Elle s'humecta longuement les lèvres, réfléchissant à une réponse correcte et intelligente :


"Merci."

Elle ne fut pas surprise de répondre simplement ça. Elle supposait que c'était ce qu'il fallait répondre face à ce genre de compliment. Assez déroutée, elle combattait l'intimidaton qui la gagnait. Elle se surprit à danser d'un peid sur l'autre, c'était mauvais signe. Pour se contenir, et ne pas dire quelque chose de désagréable, elle se dirigea vers la feneêtre, près de la cheminée. Elle avait envie de quitter cette pièce, ce n'était pas la rencontre qu'elle avait espéré et de toute manière, que pouvait-elle espéré après quinze années. Il arrivait un peu tard le père. Toujours debout, elle s'assouda à la fenêtre et observa par les vitres fermées, la cour de l'Eglise. Une cour où elle adorait jouer avec son petit chiot en attendant le repas du soir.

Un rapide coup d'oeil vers la table pour y voir dressé un petit service de thé en porcelaine fine. Elle fit une moue sentimentale; C'était le service à thé de Soeur Cavendish. Elle ne l'utilisait que rarement, et Georgiana se rappelait avoir cassé une tasse étant petite. la soeur lui avait rapidement pardonné. Néanmoins, Devonshire n'était pas capable d'autant de bonté et de miséricorde. Son attitude de princesse, et ses caprices lui avait permis de se mettre la moitié du couvent à dos comme les soeurs qui étaient venues la chercher plus tôt. De plus, si sa chambre était si modeste, c'était parce que pas plus tard qu'un mois, sa belle chambre coquette avait mystérieusement prit feu alors qu'elle mangeait en compagnie du prêtre et de sa tutrice. On l'avait logé dans ce petit taudis en attendant que tout soit réparé. Elle espérait revoir un jour cette belle chambre où elle avait grandi.

Georgie était consciente de son silence impoli, et son père devait croire qu'elle le boudait. C'était sûrement vrai, mais elle ne pouvait pas lui parler, l'appeler père, papa ou autrement. Il restait un étranger à ses yeux. Elle soupira, lasse et surtout incommodée par son corset beaucoup trop serré mais elle en avait l'habitude.

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Eglise et couvent de l'Ordre / Au nom du père [PV Don]
« le: mardi 23 décembre 2008, 22:13:49 »
Georgiana ouvrit brutalement les yeux. Une sorte d'anxiété pouvait se lire sur son visage grimaçant alors qu'elle regardait à droite et à gauche. Apparemment, elle était toujours dans son lit, un peu de sueur lui perlait au front. C'était simplement un mauvais rêve comme elle en faisait souvent depuis qu'on lui avait appris qu'elle verrait bientôt son père. Un père, elle avait un père et on le lui avait appris pas plus tard qu'une semaine. Une grande semaine qui ne fut pas suffisante pour s'y accommoder. Georgie était en état de choc. Elle se redressa doucement et le drap glissa sur son corps recouvert d'une chemise de nuit en lin blanc. Sa petite chambre modeste et au mobilier de fortune était déjà éclairée par le soleil.

Sans frapper, on ouvrit la porte et deux soeurs entrèrent, la mine grave. La petite comprit alors que c'était aujourd'hui le grand jour. Elle détourna son regard un peu gênée, alors que la premièr eds deux femmes posait une ravissante toilette sur son lit. Des vêtements si beaux, elle n'en avait jamais vu de semblable. C'était une belle robe de soie pourpre, avec un tablier de dentelle blanche et des broderies dorés au niveau du col.


"Debout, aujourd'hui vous devez être présentable" lâcha sèchement la seconde nonne.

Georgiana ne sut refuser, elle se redressa de son lit et se dirigea vers une petit coiffeuse au miroir à moitié briser. Son visage était tiré par la fatigue et le sommeil, et ses cheveux en pagaille. La soeur la coiffa avec force, lui faisant mal, n'usant d'aucune délicatesse mais l'adolescente ne se plaignit pas, au contraire. C'était la première fois qu'on s'occupait d'elle ainsi alors curieuse, elle se laissait faire. Une fois coiffée et bien toilettée, on lui fit enfiler la robe. Et c'était une rombe compliquée à mettre, elle nécessitait plusieurs couches, et pour le tout un corset que la soeur laça très bien et très fort également, coupant le souffle de la jeune. Cette dernière admira une dernière fois son chignon bien épinglé et on lui ordonna de sortir. Il ne fallait pas faire attendre son père.

Durant tout le chemin qui la menait à l'une des nombreuses salles de l'Eglise, elle se demandait que dire à son père qui l'avait oublié quinze années durant. Sa robe lui arrivait au cheville et faisait un bruit d'étoffe à chaque pas. Enfin, elles arrivèrent devant une grande porte, celle qui menait à la salle de réception des invités. Ce n'était pas une grande salle, il devait y avoir une table, et quelques fauteuil. Un mobilier assez pieux et rien de luxueux. Les soeurs ouvrir la grande porte en bois et poussèrent presque la jeune fille à l'intérieur avant de la refermer.


"Décidément," soupira Georgiana devant leur cruel manque de douceur.

Elle n'osa pas trop observer la salle, sachant très bien qu'elle y trouverait l'homme. Elle restait immobile, yeux baissés, attendant quelque chose.

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Prélude / Re : Georgie
« le: mardi 23 décembre 2008, 21:54:31 »
Ca ne saurait tarder bwahaha !

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Prélude / Georgie
« le: mardi 23 décembre 2008, 21:46:56 »
Nom/Prenom/Surnom :  Devonshire Georgiana  - Georgie

Age : 15 ans

Sexe : Aux dernières nouvelles, c'est une fille.

Race :  Humaine

Orientation sexuelle: On s'en fout =p

Description physique : 
Georgiana est un être magnifique, une poupée de ffaite de chair et de sang. Sa peau de pêche est toujours douce, comme à sa naissance et ses grands yeux sont d'un brun tellement clair qu'on ne sait guère s'ils sont bleus ou verts. Cela dépend de son humeur et surtout des jeux de lumières. Sa chevelure mi-longue flamboie la plupart du temps, rousse elle ne l'est pas tellement et ses cheveux se révèlent plutôt être d'un aubrun éclatant. Georgiana n'est pas vraiment grande de son petit mètre soixante, elle pèse mois d'une cinquantaine de kilos à peine, et ce poids plume assez conséquent est le produit d'une poitrine peu  développée pour son âge. Bien qu'encore une jeune adolescente, elle est déjà un petit bout de femme, et possède des hanches assez larges et belles qui lui permettent de vivre la danse, sa passion.  D'ailleurs  Soeur Cavendish, la tutrice de Georgiana au couvent,  écrivit ce portrait sur la petite :

« Georgiana est grande et bien faite : tous les traits de son visage sont admirables; la délicatesse de son teint ne se peut exprimer : la majesté de toute sa personne est digne d’admiration et il sort je ne sais quel éclat de ses yeux qui imprime le respect dans l’âme de tous ceux qui la regardent…Sa physionomie est la plus belle et la plus noble que je vis jamais, et il paraît une tranquillité sur son visage qui fait voir clairement qu’elle est celle de son âme. On voit même en la voyant seulement que toutes ses passions sont soumises à raisons et ne font point de guerre intestine dans son cœur. »

Caractère
: Georgiana possède une forte personnalité, ce qui lui confère de l'ascendant sur autrui. Adaptable et malléable en apparence, elle saura faire valoir ses droits et ses idées avec douceur, certes, mais aussi avec une pointe de machiavélisme et, le cas échéant, de fermeté : une main de fer dans un gant de velours. Du charme, de la classe, de l'élégance, telle apparaît Georgiana, qui est une femme raffinée, soucieuse de plaire et d'être aimée. Le sentiment, la beauté, l'harmonie sont des valeurs qu'elle recherche confusément tant est important son besoin d'équilibre. Néanmoins, elle est assez secrète et réservée et se montre peu démonstrative dans ses rapports avec les gens. Sa sensibilité est importante bien qu'en partie masquée par une froideur apparente ou par un sourire ironique au coin des lèvres... C'est aussi une fille active et volontaire qui possède une intelligence pratique, des dons d'organisation et un esprit analytique et qui tend à être pointilleux. Souvent perfectionniste, voire maniaque, elle ne supporte ni la médiocrité ni la bassesse. En fait, c'est souvent une inquiète, encline à se poser des questions et qui est souvent attirée par la foi ou le paranormal, tout en étant aussi un sceptique convaincue, les deux tendances pouvant se succéder dans le temps. Elle est intéressée par les domaines de la connaissance et vise à une certaine sagesse, mais elle est tout autant tentée par l'épicurisme et le confort. Aussi oscille-t-elle entre deux tendances, l'hésitation étant de toute façon une de ses caractéristiques. Elle est attirée par le beau, par ce qui brille et elle veut réussir, commander et être celle que l'on admire. Quelque peu narcissique, Georgiana est une séductrice, non dépourvue de tact. En amour, c'est une esthète et elle est souvent d'abord attirée par la beauté de l‘homme, mais elle a également besoin d'échanges profonds. Aussi son choix amoureux est-il des plus complexes, hésitant souvent entre la beauté de l'un, la grandeur d'âme de l'autre ou une présence sécurisante... Elle possède l'esprit de famille et voudra fonder un foyer attrayant et confortable.

Histoire : 


La mère de Georgiana est une femme remarquable, du nom de Baya. Célèbre danseuse du plus grand cabaret de Londres. En réalité, elle est d'origine indienne mais cela importe peu car elle va vite trouver un mécène. Un aristocrate élégant, mais assez vieux qui s'éprend d'elle et de son talent. Baya avait alors à peine dix-sept ans. Baya accepte donc d'épouser le duc de Devonshire pour l'argent, le pouvoir. Bien que la grande famille de Devonshire fut contre cette union, elle eut lieue. Baya Devonshire arrêta donc la danse pour diverses activités aristocratiques qui désormais devenait son monde. Capricieuse, et hautaine, baya devenait une femme détestable et gâtée. Jeune et caractérielle, elle s'offrait peu à son mari qui trop épris d'elle ne pouvait rien lui refuser.

Le vent tourna néanmoins, lorsque la nuit de ses dix huit ans, elle décida de partir en boîte de nuit pour s'éclater un peu. Elle et ses amies de la haute société décidèrent donc d'enfreindre la régler et de se mêler au milieu populaire en allant s'éclater dehors. En boîte, Baya se déchaîna, dansa et but tellement. Elle fit la connaissance de trois hommes, très classe, qui lui proposèrent d'allonger sa soirée dans un autre endroit. Glissant subtilement de la drogue dans son verre, elle fut à leur pied en quelques minutes à peine : totalement défoncée. Ce fut par ce réseaux mafieux qu'elle fut livrée à un dénommé "Don". Lorsqu'elle se réveilla, la belle anglo-indienne était attachée à un lit. Elle ne comprit bien évidemment pas tout de suite, et rit nerveusement en disant que la blague était finie maintenant, et qu'ils s'étaient tous bien éclatés, qu'elle devait rentré chez elle. Cependant, elle ne savait pas qu'il ne s'était justement rien passé et que la fête commençait à peine.

Après un viol en bonne et due forme par le marchand d'esclave, Baya fut marquée et ramenée sur le plan de Terra avec d'autres esclaves. Trop superficielle, et trop gâtée, elle avait facilement accepter ce nouveau sort sans chercher à se débattre ou à s'en dépêtrer. Arrivée à Terra, elle tomba enceinte et eut droit à une relative accalmie. Relative car neuf mois plus tard, elle mourrait en couche.

La belle Baya avait donné naissance à une petite fille, qu'elle avait trouvé merveilleuse avant de rendre son dernier souffle. elle eut d'ailleurs à peine le temps de lui donner un prénom : Georgiana, et un nom : Devonshire. La petite, comme toutes les autres bâtardes fut placée directement en couvent, ou moneyant, le marchand d'esclave réussissait à éduquer et préserver ses filles jusqu'à l'âge requis pour qu'elles puissent devenir comme leur mère et  être vendues.

Georgiana passa exactement quinze années de sa vie dans ce petit couventsans grande prétention. Dirigé par un homme strict et sans volonté, elle effectuait chaque jour les mêmes rituels oppressants. Refusant de se lier d'amitié à qui que ce soit, elle évoluait dans son monde de haine et de colère, jurant un jour de rendre Justice à son enfance détruite. Elle ne sortit jamais du couvent durant ces quinze longues années. Sachant à peine de quoi était fait le monde extérieur, elle peinait à s'exprimer réellement et se refermait un peu plus dans un monde de rêve, qu'elle montait d'elle-même.

Jusqu'à ce fameux jour où enfin, on lui annonça qu'elle allait sortir.


Autres : Elle a adopté un petit chiot du nom d'Alaskan.

Comment avez vous connu le forum:
Autre compte.

Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous?Si oui lesquels:
Juste histoire qu'on ait plus de membres!Plus de membres dit plus de point de vues et donc plus de jeu!

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