Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Sylvanas Coursevent

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One Shot / Re : Et pour quelques pièces d'or de plus [PV Zorro]
« le: vendredi 29 juillet 2022, 20:07:18 »
Quand elle entre dans sa chambre, la belle ferme le loquet de la porte donnant vers le couloir avant de se précipiter vers celle donnant sur la chambre de Zorro. Elle écoute à la porte, sa longue oreille plaquée contre le bois comme une adolescente adeptes de potins croustillants, profitant de la joie et de l'insouciance que lui procure ce jeu pour oublier les tracas qui la rongent et la terrifient. Comme elle s'y attendait, le sang-mêlé n'est pas resté en bas et lui a presque emboité le pas, elle entend sa porte claquer et ses pas puissants parcourir la chambre seulement quelques minutes plus tard.

Elle continue alors son jeu de séduction avec son grand protecteur, se demandant s'il sera homme à se prêter au jeu ou si, contre toute attente, il fera le benêt qui n'a rien compris...
 
Elle déverrouille ostensiblement le loquet qui condamne leur porte commune, en prenant soin de faire le plus de bruit possible avec la serrure pour que Zorro ne puisse pas douter de ce qu'elle vient de faire. Elle se dirige vers son lit en se déshabillant, laissant choir chacun de ses vêtements pas après pas pour semer une "piste de miette de pain" érotique de la porte jusqu'à sa couche, déposant finalement sa délicate petite culotte de soie elfique noire sur le coin du matelas alors qu'elle se trouve nue. Elle attend quelques instants, face au lit, dos à la porte, les mains dans ses cheveux pour les défaire, mais il ne vient pas. Sylvanas pousse un soupir et se dirige vers la douche.

Cette fois-ci, elle profite pleinement de l'eau tiède pour se délier les membres et se laver avec un savon neutre pour que sa peau dégage son odeur naturelle, douce et féminine mais chargée de sa fragrance sexuelle, de sa sueur propre et envoutante. Elle reste longtemps sous le jet, se demandant si les sens surdéveloppés du lycan peuvent la sentir en cet instant, s'il peut sentir l'odeur de son intimité et de son corps, s'il va la rejoindre.

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Toujours dos à la porte de la salle de bain, elle attend, mais il ne vient pas. Elle s'enveloppe alors d'une serviette avant de rejoindre son lit pour s'y installer avec langueur, imaginant de nouveau le corps musclé et animal de Zorro se plaquant contre le sien, frêle et délicat. Elle sourit et décide de profiter de la douceur tempérée de la nuit pour abandonner sa serviette et se laisser sécher à l'air libre et entièrement nue, imaginant l'effet qu'aura la vue impériale de sa beauté parfaite sur son ami si celui-ci décide finalement de franchir le cap.

Elle attend de nouveau, mais il ne vient pas. Progressivement, la fatigue de cette interminable journée l'écrase et doucement elle s'assoupie, toujours nue, sur le lit de la chambre...

Au milieux de la nuit, quand, ne parvenant pas à trouver le sommeil et poussé par son instinct de protection, Zorro décide de rejoindre la belle pour la surveiller dans son sommeil, le lycanthrope découvre le spectacle silencieux que lui à laissé la jeune femme. Une piste de vêtements de plus en plus intimes commence à ses pieds et se dirige vers le lit où la belle dors, lui offre un spectacle d'une splendeur douloureuse.

Son corps parfait et sculptural magnifié par la nudité et la moiteur luisante de la douche, aux lignes fines et galbées, aux seins parfaitement proportionnés et gros comme ceux d'une humaine mais sans être énormes. Enfin la fine musculature souple de guerrière soulignant des hanches aux proportions érotiques font de Sylvanas une femme exceptionnellement belle et bien faite, probablement même une des plus belles de tout Azeroth comme le prétendent les rumeurs.

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A pas de loups il se rapproche, de plus près, il peut même voir la beauté de ses lèvres intimes dont la forme régulière et délicate laisse peut de doute sur la rareté des moment de plaisir qu'elle s'accorde.

Zorro - Ne t'inquiète pas ma belle Générale, ce n'est que ton garde du corps préféré.

Sylvanas - Mmmmm...


Murmure la belle dans son sommeil, comme si la voix du protecteur de ses nuits avait provoqué une réaction automatique de son corps et de sa bouche voluptueuse. Le plancher craque de nouveau sous ses pieds, Sylvanas gémit de nouveau dans son sommeil et laisse échapper un:

Sylvanas – Imbécile...

Alors qu'elle se tourne et que ses mains glissent le long de son corps, sur ses seins et son entre-jambe pour en chasser la moiteur.

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One Shot / Re : Et pour quelques pièces d'or de plus [PV Zorro]
« le: jeudi 30 juin 2022, 21:25:32 »
Pendant le reste de la fouille et leur voyage jusqu'à l'auberge, Sylvanas semble soucieuse. Elle ne parle que rarement et toujours en cas de nécessité, visiblement en proie à de sombres ruminations. Arrivée à l'auberge, elle continue de cacher son identité sous son épaisse cape et choisit une table isolée avant de graisser convenablement la patte de l'aubergiste pour s'assurer une tranquillité totale. Elle s'installe, attend que le serveur arrive avec leur commande en fixant intensément son garde du corps , puis boit d'un seul trait la chope d'hydromel. En vérité, elle va chercher au fond de ce verre, le courage qu'il lui faut pour affronter la vérité si ce que lui a dit le lycan est vrai.

Sylvanas - -Tu es bien certain que c'était Taelia ? Tu es certain d'avoir bien entendu ? C'est très important …

Zorro - -Affirmatif. Taélia, c'était ce nom. Une elfe, cheveux violets, fort maquillage rouge, comme sa robe. J'en déduit que c'est quelqu'un de connu ?


Le regard de la Générale s'assombri d'avantage et elle fronce les sourcils l'espace d'un instant, incapable de cacher la gravité de cette information et l'effet de crainte qu'elle provoque.

Sylvanas – Par le Puit de Soleil... c'est bien au-delà de tout ce que je croyais... si c'est vrai... Lune D'Argent toute entière, que dis-je, le Royaume, pourrait en souffrir...

Sylvanas se penche en avant pour parler si bas que sa voix est presque un murmure. Mais son comparse entend parfaitement grâce à ses sens surdéveloppés de métamorphe.

Sylvanas – Taelia Soltice est la dernière descendante d'une noble lignée Haute Elfe de Lune D'Argent, leur prestige est supérieur à celui de ma Maison, les Coursevent. Elle tient la maison close la plus chic et la mieux fréquenté de tout le royaume: "La Loge Ecarlate". Toute la haute noblesse de la capitale y va pour se divertir. Et quand je dis toute, ce n'est pas un détail, notre Roi, Anasterian le Magnifique ainsi que son fils Kael'thas Haut-Soleils sont des habitués.

La forestière réfléchi longuement à l'épineux problème qui se présente à eux. Puis elle reprend.

Sylvanas – Si la corruption s'étend jusqu'à elle, ou pire, qu'elle en est l'instigatrice, elle pourrait profiter d'avoir l'oreille du Roi et du Prince pour faire de terribles choses. Peut être même a t'elle déjà usée de son influence pour capturer les autres filles. Nous devons agir au plus vite... mais nous ne pouvons pas foncer tête baisser et lui trancher la tête devant tout le monde sans preuves.

Elle plonge son regard dans celui de son ami pour y puiser de la force et de la contenance.

Sylvanas – Quand je t'ai recruté, je te l'avoue, j'avais peur, peur de ce que j'allais trouver, peur d'être moi-même la cible de ce complot démoniaque. Mais depuis que tu es avec moi, mes craintes se sont apaisées et je sais qu'avec toi je peux réussir. Alors je te le demande solennellement et tu prêt à me suivre ? Car notre prochaine mission pourrait nous couter la vie et sera bien plus compliquée que tu l'imagine.

Quand Zorro acquiesse et promet de la suivre, Sylvanas lui sourit de nouveau, comme quand elle l'avait embrassé plus tôt, dans cette petite bijouterie sans dessus-dessous. Elle reprend alors et lui explose son plan:

Sylvanas – On peut faire tomber Taelia, c'est possible, mais pour obtenir l'écoute du Roi et la mise en cause de cette traitresse, nous avons besoin de témoignages. Nous devons aller à la Loge Ecarlate et retrouver Julia Soleïade et Salie Anarion, la femme de mon ranger assassiné. Leurs paroles devraient nous permettre de faire douter le Roi et nous autoriser à fouiller les propriétés de Taelia à travers le royaume, nous y trouverons surement les preuves qu'il nous faut.

Son inquiétude laisse place à un bref sourire amusé avant de s'effacer de nouveau, comme si elle venait de penser à quelque chose de très amusant, mais que la gravité de la situation avait gâché.

Sylvanas – Et pour cela je sais comment on va entrer. On va s'y inviter et jouer le jeu de la noblesse pour pouvoir fouiller discrètement et trouver les filles. J'espère que tu as un costume de soirée...

La noble Haute elfe s'amuse de nouveau de la réponse de son garde du corps et se mordille soudain la lèvre en l'imaginant vêtu d'un pourpoint sexy et élégant.

Sylavans – C'est décidé. Demain, nous nous rendons au quartier des teinturiers pour acheter de quoi te vêtir à la dernière mode. Puis nous enfilons nos plus beaux atours et nous faisons mine de nous dévergonder pour enquêter à la Loge Ecarlate.

Sylvanas vide une nouvelle chope d'hydromel et se lève en baillant.

Sylvanas – Mais pour ce soir, le travail est terminé. Repos Mercenaire, tu as amplement gagné le droit de te détendre et je te veux en... "forme" pour demain...

Sylvanas se mordille à nouveau la lèvre, vraiment, l'idée de voir Zorro dans un costume trois pièces taillé sur mesure l'excite beaucoup.

Sylvanas – J'ai réservé deux chambre côte à côte à l'étage. Je vais prendre une douche et me reposer. Toutes les consommations sont payées d'avance, alors fait toi plaisir encore ce soir, nous ne savons pas de quoi demain sera fait. Si  cette nuit tu as peur pour ma sécurité, je laisserais la porte qui sépare nos deux chambres ouvertes...

Et sur ces paroles légères, elle se lève, commence à partir vers les escalier, se retourne pour lui accorder un dernier sourire avant de les monter vers sa chambre.


3
One Shot / Re : La chute de Quel'Thalas [Izar Myrrhe]
« le: vendredi 10 juin 2022, 21:35:46 »
Izar - Et je remarque que tu n’as même pas cherché à te cacher, ni même à agir pour me distraire pendant que tu commets tes petites saloperies. Bref, il va falloir payer.

Alors qu'il la bat comme un maquero corrigerait sa pute, Slan le lacère de ses griffes aiguisées en poussant de petits feulement de panthère furieuse. Chaque coup qu'elle reçoit lui arrache pourtant des gémissements de plaisir. Vaincue par ses pulsions masochistes, elle ne parvient plus à retenir les tremblements de son corps et l'excitation insupportable que lui procure la douleur, elle glisse à genou  pour recevoir la correction de son amant. Ses mains ne cherchent plus à le blesser mais à la serrer, à le toucher, à le caresser. Ses doigts se crisper sur le renflement que fait son membre viril sous l'étoffe de son pantalon.

Izar - Encore heureux que tu n’aies pas pris sa virginité !

La souffrance que lui inflige Izar la rend malléable et sulfureuse tant et si bien que quand il cesse enfin de la brutaliser elle se tient à ses pieds. Blessée et soumise, ses petites ailes membraneuses pendent mollement derrière son dos, sa queue de démone glisse instinctivement entre ses cuisses pour soulager son désir à la place de ses doigts qu'elle garde crispée sur son amant.

Izar - Je la veux, cette petite délurée, pour servir mes caprices, pour voiler, pour jouir d’une infinité de petites débauches que le manteau de l'hymen enveloppe à merveille

Vaincue et à sa mercie, elle lui lance un regard langoureux de ses yeux émeraudes, sa chevelure serpentine et tentaculaire reprend la forme inofensive et flamboyante de sa forme humaine. Promesse d'un puit sans fond de plaisir et de jouissance, son visage exprime toute la détresse qu'elle ressent à l'idée d'être abandonnée ou pire, délaissée pour une autre femme. Le vampire supérieur comprend alors que ce que Slan craint en vérité, c'est qu'il l'abandonne pour une autre.

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Incapable de le retenir ou de lutter d'avantage, elle pousse un simple gémissement de désir et de refus quand il se libère de ses mains fébriles pour pouvoir se déshabiller. Pendant qu'il retire ses pièces d'armure et ses vêtements uns à uns, il profite pleinement du spectacle de la succube meurtrie à ses pieds qui continue de le bruler de son regard suppliant. Et quelques pas derrière elle, du cul bombé et offert de Katina qui se balance dans le vide, l'anus palpitant autour d'un god perlé, la vulve dégoulinante de désir et ses seins obusiers aux tétons gonflés qui pendant dans le vide. La petite guerrière elfe aux yeux bandés ne peut pas voir ce qui se passe, elle semble épuisée et vibrante d'excitation tant Slan a jouée avec son corps pour réveiller en elle un désir insupportable. Elle continue de gémir, de pleurer et d'implorer ses geôliers:

Katina – Pitié... arrêtez... je... j'ai suivi les ordres... je me suis rendu sans faire d'histoire... pitié...

Mais le rappel de sa coopération et de son statut de prisonnière de guerre reste lettre morte aux oreilles du Seigneur du Fléau qui s'approche d'elle. Le fait qu'elle se soit rendue sans se battre ne rend la chose que plus humiliante et injuste et donc... plus excitante. Voir une guerrière aussi puissante qu'elle se tortiller entre ses liens dans le vint espoir de pouvoir se défendre, prise au piège de sa propre loyauté et de la traitrise est profondément savoureux. Malgré toutes ses aptitudes martiales, ses pouvoirs magiques et son intelligence stratégique, elle n'est qu'un ravissant corps de femme, enchainé pour servir à la satisfaction de la perversité et la jouissance du traitre...

Quand elle sent les doigts d'Izar se poser sur le god perlé pour l'enfoncer plus encore en elle, la belle enchainée se remet à gigotter dans le vide en se tortillant de droite à gauche dans l'espoir d'échapper à son geôlier. Sa tête s'agite de droite à gauche dans un mouvement de négation désespéré.

Katina – N ! Nan ! Pas ça ! Pas encore ! NAN !

Izar ne l'écoute pas et le lui enfonce avant de le retirer d'un coup sec. Katina se contracte toute entière et relève la tête en serrant les dents pour laisser échapper un grognement profond et hystérique, les yeux révulsés sous le bandeau et la bave aux lèvres, son visage est déformé par la folie que provoque l'excitation.

Katina – Gnnnnniiiiiii !!!

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Izar - Sylvanas te considérait comme le fleuron de sa garde personnelle. Et Sylvanas a assumé une décision : celle de nous rejoindre. Pour cela, elle vous a délibérément rendu solidaires de sa manœuvre afin de rejoindre son amant et intégrer nos forces : notre confrontation aux abords de Quel’Thalas n’était que pure mascarade, un guet-apens dont le scénario était écrit d’avance. 

Katina – Gnaaan ! Gnooon !

Le cerveau surchauffé de désir de la garde du corps peine désormais à formuler des mots et des phrases mais elle est encore capable de hurler son refus et son horreur au visage de ses geôliers quand elle entend des mensonges aussi improbables. Le peu d'elle-même qui résiste encore refuse d'y croire et à raison. Mais la cruauté de ces mensonges ne font que la briser plus encore et la plonge toujours plus loin dans un abysse de désespoir, où l'unique lumière et chaleur viennent du plaisir physique qu'on lui impose.

Izar - Les informations qu’elle nous a données nous ont déjà permis de conquérir plusieurs localités, figure-toi. 

Quand il lui enlève le bandeau, Izar remarque les cernes rouges sous les yeux de sa proie, ses petites pupilles toutes contractés par l'excitation et leurs mouvements erratiques. Pas de doute, Slan ne l'a pas simplement chauffée avant son  arrivée, elle l'a carrément porté à incandescence. Même si son esprit trouve encore la force de combattre ses mensonges, son corps  lui est déjà en fusion et réclame ce que la succube lui promet depuis des heures.

Quand il la prend sous les bras, Izar peut sentir à quel point la peau de sa victime est chaude et moite, sa sueur dégage une odeur merveilleuse et son sang bat fort sous sa peau. En la soulevant pour la détacher et l'installer sur son lit, il peut sentir son poul battre contre ses doigts, chaque battement de son cœur, puissant et pure, irrigue tout son corps attachés et fait saillir ses veines là où les liens lui compriment les membres.

Katina – GNAA ! Gnan ! Lache ! Gnan... pris... prisonnière... de guerre... pitié...

Totalement perdue, Katina gesticule entre les doigts d'Izar comme un petit oiseau pris au collet que l'on tient dans les mains. Elle s'accroche encore aux espoirs et aux illusions du respect qu'on devrait lui porter, mais auquel elle n'aura pas droit, la puissante guerrière de Quel Thalas est désormais une esclave sexuelle... tous ses combats et toute sa force ne lui serviront plus à rien...

Katina – Na... touche pas... hooo... je... hummmm...

Gémit la belle enchainée alors qu'Izar commence son petit jeu pervers de séduction, cherchant à obtenir l'accord de son corps contre l'avis de sa tête. Chaque centimètre carré de peau et de cheveux qu'il touche semble prendre feu. Le sang monte à la tête de Katina et lui donne le tournis tant les attouchements de Slan puis d'Izar l'on rendu folle de désir. Progressivement, alors que ses caresses et ses massages d'Izar progressent et investissent son corps, corrompent chaque centimètre carré de sa chaire, ses soubresauts de défense se transforment en mouvement lents et lessifs de désir, comme si elle était ivre de sensations.

Le vampire en profite alors pour descendre lentement vers ses deux énormes seins dressés pour les gagner à sa cause...

Katina – Pas... hummm... pas... trainée... moi... pas... pas... n.. non pas la ! Hooooo c'est... trop sensible... je brule... pitié je brule...

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Katina - Ecarte les cuisses, Katina. Je te sens prête pour que tu me sentes en toi et que tu deviennes une véritable femme accomplie. Ne crains rien, tout se passera bien. Slan sera là pour… me surveiller.

Katina est paralysée par le contact d'Izar sur ses seins, ses doigts se mettent à serpenter sur ses auréoles et à masser ses tétons avec une dextérité folle si bien qu'ils se gorgent de sang et deviennent gros et dressé. Ils sont si beaux et développés qu'Izar peut littéralement les masturber pour créer une excitation dévastatrice.

Katina -Gna... na... ja...mais je... je.. par les dieux nan pourquoi... pourquoi ?

Katina gémit et regarde les yeux exorbité de surprise et d'horreur ses cuisses s'ouvre lentement pour accorder à Izar ce qu'il exige. Chaque vague de plaisir provoqué par les doigts du vampire poussent le corps de l'elfe à trahir un peu plus son esprit. Centimètre après centimètre, ses jambes s'écartent pour offrir sa petite vulve humide et dégoulinante au vainqueur, au traitre qu'elle hais tant...

Katina – Gnaaaa pitié pas ça...

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One Shot / Re : Et pour quelques pièces d'or de plus [PV Zorro]
« le: mercredi 08 juin 2022, 01:14:03 »
Zorro - -A moins qu'on ne se cache de nous par magie, nous sommes seuls ici.

Cette remarque n'aide pas la ranger à se sentir plus à l'aise. La belle ressemble de plus en plus à un animal traqué, elle regarde la moindre ombre avec une intensité qui laisse peut de doute sur sa paranoïa naissante. Mais le contact chaud et réconfortant de la main immense du lycanthrope sur son épaule, son sourire chaleureux  parviennent quand même à la rassurer. Elle lui rend alors son sourire, tant pour conserver les apparences que par véritable gratitude.


Zorro - Une idée de ce que c'est ? Pas l'objet, il me semble que son usage est assez clair, malheureusement, mais cet éclat miroitant au milieu de cette … flaque ?

Zorro se rapproche sans attendre l'avis de la beauté elfique.

Sylvanas – Un quoi ? Un éclat miroitant vous dites ?

Intriguée, Sylvanas se rapproche en contournant le matériel de torture, se libérant ainsi de l'angle mort que lui fait le corps charpenté par les dieux de son garde du corps. Il se penche, la Générale aperçois soudain l'objet qu'il s'apprête à toucher.

Sylvanas – Par le Puit de Soleil... c'est... un fragment d'âme... Zorro ! Non ! Attend !

Mais il est trop tard. Au moment où les doigts du guerrier effleurent l'étrange objet, celui-ci éclate en produisant un petit tintement étrange et harmonieux. Ses morceaux se dissolvent en une fumée rose qui pénètre la peau de Zorro qui se sent soudain envahi par d'innombrables sensations et émotions qui ne sont pas les siennes. Sa vision se trouble, il sent qu'il tombe à la renverse, il sent les bras de Sylvanas le saisir et le serrer contre sa poitrine pour ne pas qu'il chute.

Et pourtant, son esprit, lui, continue de tomber, jusqu'au fragment... jusqu'à cet immense éclat de miroir qui flotte dans le néant tel un Léviathan titanesque. Jusqu'à ce qu'il le franchit comme s'il s'agissait d'un gouffre aquatique.

Brusquement, Zorro voit de nouveau, mais il n'a plus de corps, il est désincarné, uniquement composé de ses pensées et de ses sens magnifiés. Il peut sentir, voir entendre et même ressentir les émotions de quelqu'un, quelqu'un dont l'esprit est au bord de l'explosion, perdu entre plaisir et douleur, entre folie et terreur.

Il est toujours dans la même pièce mais Sylvanas a disparu, remplacée par deux femmes. La première aux cheveux violets et cachant à peine ses formes suggestives sous une somptueuse robe de soie rouge sang. Maquillée de rouge comme une trainée de luxe, elle joue avec le téton dressé et gonflé de l'autre femme qui est harnachée dans le carcan au milieu de la pièce, là ou se trouvait le "fragment d'âme".

C'est une ravissante elfe blonde aux yeux bleus qui ressemble un peu à Sylvanas, à ceci près qu'elle est moins belle, qu'elle à les cheveux courts et que c'est seins sont absolument énormes, anormalement gros pour la physionomie elfique et d'ailleurs même pour la physionomie humaine.

Attachée et impuissante, son regard est partagé entre peur et folie alors qu'elle tremble d'excitation. Sa peau est couverte de sueur et sa vulve dégouline d'une mouille liquide et abondante, comme si malgré sa détresse et son refus, son corps lui demandait du plaisir et du sexe.

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Julia Soleïade – HAAAA ! Pitié Taélia ! J'ai fais tout ce que tu m'as demandé je le jure ! Je... j'ai vendu l'anneau envouté à la promise du forestier, elle n'y a vue que du feu c'est promis.

Taélia – Ho mais je sais ma chérie... je sais... je suis très satisfaite par ton travail... tu as fait merveille et ça a parfaitement fonctionné. J'ai désormais un ennemi de moins et une pute de plus dans mon bordel... elle résiste encore un peu... elle continue de pleurer son mari... mais je suis certaine qu'avec encore un peu de dressage... elle sera parfaitement heureuse.

La belle blonde attachée et suspendue frissonne à ces mots, comme si le mot de "dressage" dans la bouche de Taélia la répugnait au plus haut point.

Julia Soleïade – A... alors c'est bon ? Tu es contente ? Tu... tu vas me libérer ? Tu m'avais promis que tu ne me tuerais pas et que je serais riche et heureuse.

La femme aux cheveux violets lui sourit d'un air malicieux, lui fait un signe de tête approbateur et s'approche de son oreille pour lui chuchoter:

Taélia - Je t'ai promise de ne pas te tuer... que tu serais riche et heureuse... oui... mais je n'ai pas promis de te libérer...

La porte d'entrée de la salle s'ouvre et six orcs à moitié nu et puissamment bâti entrent dans la pièce pour entourer les deux femmes. Tous sont aussi grands et larges que Zorro à ceci près que leur bedaine retombe mollement sur d'énormes pénis en érection. On devine à la couleur de leur peau et  de leurs yeux qu'ils ont été corrompu par du sang de démon.

Julia – Nan... nan ! Tu avais promis que... nan pitié Taélia... ne fait pas ça...

Taélia – Hooo... ma pauvre petite chérie tu es tellement perdue dans ta petite tête, dans ta petite vie...

Les orcs se rapprochent, Julia se débat entre ses liens, mais elle est totalement à leur mercie. Taélia lui caresse les cheveux puis vient jouer de nouveau avec ses tétons en continuant de lui susurrer à l'oreille:

Taélia – Chuuuu... chuuuu... ne te débat pas ma chérie... détend toi... tu vas voir, tu vas être heureuse... tu vas être riche d'un millier de clients qui vont te donner tellement de plaisir, jours et nuits, tout le temps... tellement que tu n'arriveras même plus à réfléchir...

Un premier orc empoigne alors la prisonnière par les hanches et la pénètre d'un seul coup sec jusqu'à ce que ses hanches claques contre les fesses de la pauvre blondinette qui pousse un hurlement de surprise, d'horreur mais aussi, de jouissance. Sa vulve crache un long filament de ciprine qui vient souiller le sol et commence à former la flaque dans laquelle Zorro à trouvé le fragment.

Taélia – Voila... c'est beaucoup mieux... tu vas tellement aimer être une de mes putes ma chérie... j'ai déjà un agenda plein à craquer de clients pour toi à la Loge Ecarlate...

Mais la pauvre jeune femme ne l'entend déjà plus, ses yeux à demi révulsés reflètent un mélange déchirant de désespoir, de folie et d'orgasme alors que son premier amant la pilonne sauvagement. Taélia s'en amuse et laisse échapper un petit rire pervers en laissant sa place à un autre orc qui fourre la bouche de Julia avec la même nonchalance et la même bestialité que l'autre avec sa chatte.

Des vas et viens infernaux commencent alors pour le corps de la pauvre esclave qui est propulsée d'avant en arrière à chaque fois que sa vulve ou sa bouche sont frappés par la queue d'un de ces violeurs sous le regard pervers de Taélia.

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Après de nombreuses minutes de gémissements étouffés par la bite du second orc et de hurlements provoqué par celle du premier, les deux abominations jouissent ensemble dans la belle blonde qui dégluti tant bien que mal pour avaler les rasades répugnantes de sperme. Mais le calvaire ne fait que commencer car deux autres prennent immédiatement le relai et recommencent à baiser sans vergogne la jeune femme dont les yeux exprime toujours plus de folie, donc le corps convulse toujours plus brutalement orgasme après orgasme.

Le point culminant de cette orgie commence à venir alors que Julia subit les assauts de ses cinquième et sixième violeurs. La jeune femme a commencé à grogner de plus en plus longuement et tout son corps est pris de soubresauts et de tremblement violent alors qu'elle s'est mise à jouir de manière ininterrompue. C'est à cet instant que Taélia  fend la foule pour se repositionner juste à coté du visage de sa nouvelle prostituée.

Taélia – Voila... c'est bien... c'est bien... ton âme est prête ma chérie tu vas faire ton premier pas vers le bonheur infini...

Le bout des doigts et les ongles de Taélia deviennent rose et translucides, comme s'ils se transformaient en quelque chose de spectral et d'intangible, un peu comme la fumée qui à pénétré la peau et Zorro.

Elle approche ses doigts du front de Julia et fait un signe de tête aux deux orcs qui sont en train de la baiser. Ils se mettent soudain à la pilonner encore plus fort en hurlant comme des bêtes pour arracher des orgasmes de la même violence à la prisonnière qui est sur le point de défaillir.

Taélia – Main... te... nant...

Les doigts de Taélia traverse le frond de Julia sans laisser la moindre trace de blessure et s'enfoncent dans son crâne.

Julia – G... ? Goooooo...

Julia pousse un long gargouillement pendant que ses iris se dilatent à l'extrême et que ses yeux se mettent à loucher vers le haut comme une idiote décérébrée, en direction des doigts de la femme qui est en train de lui arracher une partie de son être.

Taélia – Je le tiens... un dernier petit orgasme pour m'aider ma chérie ? Parfait... ta nouvelle vie peut commencer...

Et les doigts de la démoniste commencent à ressortir lentement du crâne de Julia qui à un petit saignement de nez et la regarde maintenant faire sans se débattre. Du bout de ses ongles longs et manucurés, Taélia extirpe un petit fragment miroitant que Zorro reconnait alors.

Sylvanas – Maitre Wolfen ! Par le Puit de Soleil... Zorro ! Reveillez vous mon ami... reveillez vous ! Zorro !

Le garde du corps lycan rouvre enfin les yeux sur le monde réel, il est allongé sur le dos, mais sa tête ne touche pas le sol, elle est délicatement posée sur les jambes de Sylvanas qui la lui tiens entre les mains pour lui caresser les cheveux en le regardant d'un air triste.


Sylvanas – Zorro je vous en supplie revenez...

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One Shot / Re : Et pour quelques pièces d'or de plus [PV Zorro]
« le: dimanche 17 avril 2022, 16:40:38 »
Encore absorbée par la violence du carnage, la prégnance du rouge carmin du sang qui tapisse les murs, le souvenir des derniers échanges amicaux et enjoués alors que son forestier parlait chaleureusement de son épouse, Sylvanas à du mal à se détacher du spectacle de la scène de crime pour se concentrer sur le rapport de son mercenaire.

Son esprit acéré de Haute Elfe lui permet de ne rien perdre de ce qu'il dit et au prix d'un effort de volonté, elle refoule sa peur et sa colère pour se concentrer sur leur mission. Mais la jeune femme n'en garde pas moins un regard hanté et emprunt de tristesse. Ce mélange de force de caractère et de vulnérabilité féminine soulignent la beauté et la pureté de ses traits délicats. La radiance de sa chevelure blonde et de ses grands yeux bleus empli de crainte et de chagrin lui donnent un coté innocent et irrésistible.

Elle essaie de visualiser le scénario que lui dépeint Wolfen sans imaginer l'horreur des derniers instants de son soldat, mais c'est impossible. Elle frisonne d'horreur quand elle imagine la scène du jeune homme, pris au dépourvu et ignoblement démembré en tentant de protéger sa femme. Mais ce  scénario se heurte à un problème majeur, la porte de leur maison n'a pas été défoncé de l'extérieur... mais de l'intérieur, comme si le démon était entré sans éveiller les soupçons, avant de l'éventrer pour ressortir. Et comment cette essence démoniaque faisait elle pour se montrer si forte par endroit avant de s'évaporer à d'autres sans laisser la moindre trace, c'était incompréhensible, ce n'était pas la façon de faire des démons.

Mais Sylvanas garde ces observations pour elle-même, préférant cacher ses craintes et son émoi d'un ennemi invisible et déguisé plutôt que de faire montre d'une quelconque faiblesse devant son mercenaire hybride. Après tout, comment savoir si elle peut vraiment lui faire confiance...

La beauté elfique s'en veux de se comporter de manière aussi injuste avec le beau guerrier qui l'accompagne. Elle ne lui avouera jamais directement, mais sa présence la rassure et cela se voit malgré la distance qu'elle essaie de prendre. Mais sa paranoïa est trop grande, le meurtre de son soldat n'est pas une coïncidence, celui ou ceux qui ont fait ça veulent quelque chose d'elle, mais elle ne comprend pas quoi.

Avant d'avoir eu le temps de le remercier pour son travail sur la scène du crime, Zorro repart déjà en chasse, presque animal, il hume l'air comme un loup, balaie les lieux d'un œil acérée et perçant. Sylvanas le regard faire, fascinée, admirant la stature athlétique et musculeuse du traqueur se mouvoir avec une agilité bestiale et une élégance humaine, tout cela à la fois.

Sans un mot, elle le suit, détaillant son corps, son dos charpenté par l'effort, ses bras puissants, ses fesses parfaites. Involontairement, elle sourit et se mordille la lèvre inférieur en imaginant ce que ce doit être de sentir ses mains immenses sur son corps.

Sylvanas se laisse si facilement absorber par sa contemplation et son imagination sulfureuse qu'elle n'a pas le temps de réagir et d'ajuster son comportement quand Zorro ramasse une bague tombée dans l'herbe et se retourne pour la lui montrer. Il se heurt presque à la poitrine de la superbe elfe qui le suivait de bien plus près que la convenance l'exige et à le temps de voir l'expression brulante dans ses yeux et le sourire ourlé d'un petit mordillement de lèvre sur son visage.


Mais la Générale se ravise l'instant d'après, rougissant d'avoir été prise sur le fait. Et plutôt que d'aborder le sujet et de le reconnaitre, elle préfère conserver les apparences et prend la bague pour l'examiner comme si de rien n'était.

Sylvanas – Je vois... vous... avez fait merveille Traqueur, ce n'est pas un maigre détail que vous avez trouvé là. Pas besoin de continuer la piste des bois, vous avez raison, elle ne nous mènera pas loin. En revanche ça...

Sylvanas vous montre à nouveau la bague en insistant sur le diamant enchâssé.

Sylvanas – C'est encore mieux, c'est une adresse. La forme du diamant est caractéristique de Julia Soleïade, une joaillière du quartier rouge. Et c'est un indice très intriguant. Julia fourni les prostitués et les clients du quartier chaud de Lune D'Argent, pourquoi un de mes forestier serait il allé la voir pour une bague de mariage ? Ça n'a pas de sens...


--- Quartier Rouge de Lune d'Argent ---
--- 2 heures du matin ---

De la musique émane des divers bars et bordels du quartier, les épaisses draperies couleur vermeille qui décorent les murs les fenêtres et les portes des rues étouffent un peu les vapeurs d'alcool et d'opium. Dans cette ambiance, humide et moite, mêlée de fragrance de peau elfique, de sueur et de sexe, deux silhouettes se fondent d'ombre en ombre pour ne pas attirer l'attention des fêtards jusqu'à ce qu'ils atteignent la fragile sécurité d'une impasse abandonnée. Dans celle-ci, une seule enseigne trône au dessus d'un porche de maison, celle de Julia Soleïade, la joaillière du quartier.

Sylvanas, soigneusement dissimulée sous sa cape pour ne pas que la Générale soit vue dans un lieu aussi infament, toque à la porte de l'échoppe. Mais celle-ci s'ouvre tout simplement sous les coups de l'elfe, comme si elle n'avait pas été fermée...

L'elfe lance un regard teinté de peur et de détermination à Zorro et lui fait signe de la précéder dans l'échoppe pour la protéger. A l'intérieur, des cristaux phosphoressant dégagent une lueur douce et rose. Déjà, une odeur étrange et discrète se dégage, uniquement perceptible pour les sens développés de Zorro. Encore cette fragrance démoniaque discrète, comme dissimulée sous quelque chose de plus capiteux, quelque chose de féminin. Le couloir s'enfonce et descend de quelques marches, à mesure qu'ils progressent, les deux enquêteurs sentent une odeur de sueur, de sexe et de brûlé augmenter jusqu'à ce qu'elle devienne pesante.

Ils débouchent finalement dans une salle où plusieurs vitrines de bijou plus ou moins grossiers sont disposés. D'épaisses draperies rouges et roses couvrent les murs et le sol, donnant à l'ensemble l'aspect d'un "rayon bijouterie" dans un bordel de luxe. Rien ne semble avoir été brisé ou détruit comme chez le Forestier assassiné pourtant l'endroit dégage malgré tout une aura répugnante.

Trônant au centre de la pièce, une étrange structure en acier équipée de sangles semble avoir été utilisée pour immobiliser quelqu'un dans divers positions. A ses pieds, plusieurs gouttelettes de sang, de salive et aussi d'un épais liquide blanchâtre et poisseux.

Au milieux de cette flaque répugnante, une sorte d'éclat de verre miroitant et vaporeux a été abandonné.

6
Le coin du chalant / Re : Sylvanas Coursevent
« le: dimanche 17 avril 2022, 01:23:37 »
Sujet crée avec Izar Myrrhe: La chute de Quel'Thalas
https://lgj.forum-rpg.net/index.php?topic=23670#top_subject

Edit: une place pour un scénario supplémentaire.



7
One Shot / Re : La chute de Quel'Thalas [Izar Myrrhe]
« le: dimanche 03 avril 2022, 16:05:00 »
--- Quelques heures avant le retour d'Izar, à l'arrivée des prisonnière à Mortholm.---

Les grandes herses de la citadelle du fléau s'ouvrent devant la procession victorieuse du jeune Roi et de ses prisonnières de guerre. A l'intérieur, tout n'est qu'effroi et répugnance. Une forteresse terrifiante tutoie des nuages de gargouilles virevoltantes dans le ciel nocturne, leur peau de pierre d'un gris maladif luisant à la lueur blafarde de la lune.

Sur son flanc Est, une sorte de monstrueux abattoir à ciel ouvert sert de charnier aux innombrables victimes de la marée morte vivante. Avec horreur, Sylvanas et ses amies voient les abominations de corps cousu ensemble sortir les dépouilles de leurs soldats des grands chariots à viande. Ils les suspendent à des crocs de bouchers, comme s'ils n'étaient que des morceaux de viande, prêt à être dévorés ou "recyclés" par la machine impitoyable du Fléau.

Sur le flanc Ouest de la forteresse, un autre bâtiment non moins répugnant est lugubre s'élance vers le firmament telle une tour de magicien dément. Ses balcons sont encombrés d'énormes globes en verre contenant des goudrons d'un noir iridescent comme une nappe d'huile, des fluides visqueux d'un blanc cassé et gluant qui semblent être les semences mélangées d'innombrables êtres. Enfin, son toit est percé de deux énormes poutres en acier coiffées de boules qui crépitent d'électricité et projettent des arcs menaçants autour d'eux, une technologie totalement étrangère et terrifiantes pour les Hautes elfes.

Arrivée aux portes de la bâtisse, Arthas descend de son cheval et donne ses ordres sans jamais se retourner vers ses prises de guerre, leur imposant un dédain à la hauteur de la colère que lui suscita les victoires isolantes de Sylvanas.

Arthas – Enchainez la garce devant mon trône, je veux jouir de sa déchéance avec mes invités. Conseillez, partagez vous les esclaves comme convenue.

Sylvanas – Quoi !? Ce... Ce n'est pas ce qui était convenu !

Katina – Les fils de chiennes ! Ce sale humain et l'autre traitre de sang-mêlé nous ont dupés !


S'exclament les deux jeunes femmes. Katina dans sa colère essai de se débattre, l'acier de ses menottes crisse mais ne rompt pas. Malgré sa force de guerrière et son expérience au combat, elle s'est laissée enchainer et ne peut plus se défendre comme aurait due. Cette délicieuse ironie n'échappe pas à Slan qui la première vient se servir. Elle coupe la partie de la corde qui reliait le cou de Katina à celui de Sylvanas et s'en sert comme d'une laisse pour la tirer vers elle d'un coup sec.

Restreinte par la courte chaine qui relie ses chevilles, la plantureuse gardienne ne peut s'empêcher de pousser un petit cris de surprise et de malaise en faisant de petit pas vers la succube pour ne pas tomber dans la boue. Slan la saisit alors et la retourne vers ses amies enchainées, positionné dans son dos elle referme sa main gauche sur son sein pour la tenir contre elle et saisit son mentons de l'autre.

Slan – Hoooo... n'est ce pas délicieusement ironique petite pute ? Vous les belles et grandes guerrières, si puissantes, si fortes, réduite à ne même pas pouvoir vous servir de tout ce que vous savez faire pour vous défendre... condamnées... impuissantes... à nous laisser jouer avec vous.

Sylvanas – Kat... les filles... je... je suis désolée... c'est ma faute... je.. j'aurais du...

Katina – ça ira Générale... Je.. je suis pas une pute, salope de succube, tu perd ton temps...


La démone glousse et lèche l'arrête de son oreilles avant de lui susurrer.

Slan – A vraiment ? Nous allons voir ça...

Et sur ces quelques mots elle entraine la gardienne vers la forteresse.

Sylvanas – Katina ! Je vais venir te libérer je te le jure !

Les acolytes du Fléau saisissent la corde autour du cou de la générale et l'entraine à son tour vers la salle du trône pendant qu'elle continue de hurler à Milie, Alicia et Angelle qu'elle est désolée. Pétrifiées par la peur, celles-ci ne savent que répondre et la regardent disparaitre sous le porche ténébreux du repaire d' Arthas. Elles n'ont pas le temps de reprendre leurs esprits que déjà l'ombre terrifiante du Maitre Apothicaire éclipse les leurs alors qu'il les encadre de ses bras immenses et squelettiques. Ils sont si grands qu'en posant ses doigts sur les épaules de celles qui sont sur les cotés, il les tiens toutes les trois dans le cadre de sa cape.

Hazmodius – Vue que notre Seigneur et Maitre ainsi que notre concubine adoré ont saisit leurs jouets, je m'en vais en faire de même avec celles-là.

Milie et Alicia en tressaillent d'horreur. Angelle quand à elle dégage son épaule des doigts répugnant du mort vivant et le défie du regard.

Hazmodius – Ho, voyons mesdames, ne me confondez pas avec ces bouchers et ces brutes. Je suis un scientifique et j'ai pour vous un respect tout particulier. Je veux en apprendre plus sur votre race, vos vies, vos coutumes...

Aidé de ses acolytes, il traine les trois jeunes femmes vers l'étrange tour de mage. Comme Sylvanas et Katina, leur force ne leur est d'aucune utilité ainsi attachées. Elles maudissent ces chaines qui les empêchent de briser le crâne du frêle apothicaire et de ses esclaves, si seulement elles pouvaient se défendre. Mais impossible d'empêcher le cortège de s'arrêter avant que Milie et Alicia ne soient enchainées au mur d'une cellule poisseuse et tiède. Saisissant Angelle par les épaules, Hazmodius fait une subtile révérence à ses prisonnière et s'éloigne avec l'archère.

Alicia – Angelle ! Lâche la espèce de pourriture de monstre !

Mais l'alchimiste feint de l'ignorer et remonte les escalier avec son invitée, gardant sa salive pour lui parler.

Hazmodius – Il me semble que vous êtes la moins gradée du groupe.

Angelle ne répond pas. Elle se contente de le tuer du regard.

Hazmoduis – c'est ce qu'il me semblait. Vous n'avez pas fait de longues études comme votre magicienne, Milie c'est cela ? Et n'avez pas les talents de stratège de votre Capitaine. En revanche vous semblez faire preuve d'un sang froid et d'une volonté très intéressante. J'aimerais beaucoup explorer tout cela avec vous.

Sur ces mots, ils atteignent une épaisse porte en fer rouillé qui s'ouvre sur leur passage. En voyant ce qui s'y trouve, le sang d'Angelle se fige dans ses veines et pour la première fois, elle ne parvient pas à cacher toute l'horreur qui l'étreint.

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Car devant elle se dresse une table de travail équipée de sangles de contention et de maintien, assortie d'accessoires odieux tels que des jouets sexuels et divers instruments de torture...

Hazmodius – Comme je le disais, vous êtes la moins érudite de vos amies, vos facultés ont donc moins de valeur que les leurs... je vais donc pouvoir étudier en profondeur les mécanismes de votre volonté...

La porte se referme derrière eux pendant qu'elle commence à se débattre en hurlant pour se libérer.

--- Dans les appartements privés de Slan ---

Izar - Gorgone infâme, où l’as-tu cachée ? Dis-moi tout.

Mais la succube n'est pas dans sa chambre, ni devant son miroir de plein pied devant lequelle elle adore jouer avec ses amants tout en se regardant. Ni sur son lit, théâtre de plus de vices et de perversité que tous les bordels des royaumes humains. Mais Izar n'a aucune difficulté à deviner aux gémissements et aux cris désespérés qu'il entend la position de la succube et de sa prise de guerre: la salle de "dressage" de la démone...

En y entrant, il peut assister au spectacle sulfureux de la jalousie et de la vengeance de son amante qui l'accueil avec un: "Enfin te voila ! Je t'attendais avec impatience..." soufflé entre ses lèvres pulpeuses, ourlées d'un sourire pervers et lubrique alors qu'elle doigte délicatement l'anus de Kitana pour y faire pénétrer un long gode incrusté de grosses perles luisantes de mouille. Suspendue dans le vide par des cordages, les yeux bandés, les bras et les jambes ceinturés pour que sa force ne lui soit d'aucun secoure pendant que la démone viole son fondement, la noble haute elfe, jusqu'ici si bravache et courageuse est partagée entre pleurs de hontes, cris d'horreur et gémissement d'un plaisir inavouable.

Contenu explicite (Slan se trouve à la place du personnage derrière Katina):
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Slan – Comme je t'aime, j'ai décidé de te laisser sa chatte et la rendre bien chaude pour toi quand tu rentrerais. Au début je voulais la baiser moi-même, mais je me suis dit que tu me pardonnerais d'avoir commencé sans toi en apprenant que je n'ai pas pris sa virginité... Ne suis je pas d'une grande clémence ?

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One Shot / Re : La chute de Quel'Thalas [Izar Myrrhe]
« le: samedi 02 avril 2022, 16:13:12 »
En attendant que les troupes Hautes-Elfes se regroupent et quittent les lieux, les discussions vont bon train au sein du Conseil du Roi Nécroman. Arthas, comme à son habitude, ne dit mot et se contente d'écouter les points de vue de chacun de ses serviteurs, braquant son regard glacial sur ceux qui piquent son intérêt et sa curiosité, se réservant la décision finale si le Conseil ne parvient pas à prendre une décision qui lui convienne.

HOROG, LE SEIGNEUR DE GUERRE


Horog, le Conseiller militaire, laisse encore une fois parler la fureur de son sang demi-ogre et vocifère à l'encontre d'Izar, lui reprochant de faire "le jeu des Hauts-Elfes", de faire "des choix de faible" en refusant la violence des combats pour d'inutiles négociations. Il veux du sang et du carnage, des victoires éclatantes dans lesquelles il pourrait faire le spectacle de ses prouesses martiales. Visiblement, le fait que le Maitre ai donné raison au vampire sur la proposition de repli et de prisonnières de guerre l'on blessé dans son orgueil démesuré. Il ne comprend pas que le but véritable de cette bataille n'était pas de massacrer quelques elfes de plus mais de s'emparer du cœur stratégique de leur armée.

HAZMODIUS, MAITRE APOTHICAIRE


Hazmodius quand à lui reste aussi calme et circonspect que d'habitude, mesurant chacune de ses paroles avec soin dans le but de toujours tirer profit de la situation. Pour le maitre des Alchimistes et Conseiller apothicaire, avoir des "sujets" vivants pour ses expériences est encore plus intéressant scientifiquement que de jouer avec des cadavres. Et bien qu'il ait toujours tenté de saper les efforts d'ascension d'Izar au sein du Fléau par le passé, il s'avère cette fois-ci un allié de choix dans les discussions houleuses avec la grande brute avide de combat. Aussi, quand il apprend qu'il va pouvoir jouer librement avec deux des trois prisonnières et sachant qu'Arthas lui confiera la belle Sylvanas pour ses expérimentations, il ne s'oppose pas à ce que le bel arriviste s'attribue une pare du gâteau. Plutôt que de l'affronter, il lui propose en toute courtoisie de lui apporter son aide et ses connaissances alchimiques si d'aventure il désir utiliser ses baumes, décoctions et drogues.

SLAN, CONCUBINE DU FLEAU

Comme le vampire s'y attendait sans doute, c'est Slan, la belle, l'exubérante, la pernicieuse succube qui à la position la plus ambivalente vis à vis de lui et de ses décisions. Traitrise et perversité incarnée, la démone le soutiens maintenant comme  par le passé mais; et il y a toujours un "mais" avec elle; la décision d'Izar de se garder une prisonnière ne lui convient pas du tout. Izar remarque même qu'elle en semble vexée, voir... jalouse ? En tout cas, le regard langoureux et pervers qu'il à posé sur la Gardienne Kitana ne lui a pas échappée et visiblement elle aurait aimé que ce soit elle qui en soit à l'origine. Et elle le lui fait savoir.

Slan - Ainsi le jeune loup ne se contente plus de dévorer la main tendu, il englouti aussi le bras... Et si moi je décide de jouer avec ta petite préféré qu'es que tu va f...

Arthas – Il suffit. Je suis satisfait par la tournure des évènements et par la capture de cette chienne de Sylvanas et de ses salopes de gardiennes. Izar en est l'instigateur donc Izar aura la faveur qu'il demande.

Slan ne dit mot et se contente de braquer ses pupilles incandescentes sur celles du Roi. Ils se regardent quelques instants, puis Arthas sourit et reprend la parole.

Arthas – Slan, Hazmoduis, nous allons ramener nos invitées à  Mortholm. Izar, tu restera pour préparer la refonte de la place forte aux couleurs du Fléau. Quand les travaux débuterons, tu nous rejoindra. Horog, je te charge de tenir les territoires pris aujourd'huis.

Ne s'attendant pas a être discuté une seule seconde, Arthas quitte la tente de commandement. Slan lance à Izar un regard brulant de convoitise et de jalousie, puis elle glousse comme une adolescente qui vient d'avoir une idée indécente et lui souffle un baiser avant de suivre le Roi. Hazmodius semble déjà perdu dans ses pensées, échafaudant probablement son plan de travail pour ses spécimens

Dehors, entre les barricades, il ne reste plus que 5 elfes en armes et armures: Sylvanas et ses courageuses gardiennes. Elles ont respecté leur pare du marché, elles sont resté là. Arthas ne leur offre même pas un regard ou un mot. Il se contente de monter sur son cheval et de leur tourner dédaigneusement le dos pendant que des serviteurs du culte noir s'approchent d'elles avec des menottes de poignet et de chevilles.

Sylvanas et ses gardes du corps gardent un visage fermé et résolu, même lors ce qu'elle laissent les larbins du fléau prendre leurs armes. Elles serrent les poings, s'échangent des regard courroucés mais plein de compassion les unes pour les autres. Même quand on leur arrache leur plaques d'armures et que la beauté de leur corps en est révélé, elles restent digne et serrent les dents en fusillant les membres du Conseil du regard, surtout Izar. Les seins de la belle Katina sont aussi obusiers que son armure légère le laissait penser et elle à le plus grand mal à retenir ses coups. Pour elle, une si puissante guerrière, encore invaincue, devoir accepter des fer à ses poignets et ses chevilles sans se battre lui semble odieux et injuste, mais elle fait confiance à sa Générale. Sylvanas quand a elle est absolument sculpturale, une perfection équilibrée entre athlétisme et féminité.

Sylvanas – Courage mes sœurs. Ce n'est que le temps des pour-parler. Nous serons bientôt libre et à nouveau prête à nous battre ensembles...

Une fois toutes attachées, les serviteurs leur passent une longue corde autour du cou et les attachent ensemble, l'une derrière l'autre comme pour un convoit d'esclaves allant au marché. Un acolyte attache le bout de la corde à la selle d' Arthas. Il s'incline en signe de respect et le cortège s'ébranle, obligeant les belles à passer entre les rangs de mort vivants.

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Après seulement quelques pas, Sylvanas réalise qu'elle ne marchent pas dans la bonne direction.

Sylvanas – Attendez ! Où allons nous ?! Ce n'est pas la direction de Lune d'Argent !

Arthas, sans jamais se retourner, se contente de rire de sa question et de lui répondre d'un ton méprisant:

Arthas – Nous nous replions sur Mortholm elfe...

Sylvanas – Vous... vous aviez dit vouloir aller négocier avec Lune d'Argent...

Arthas – Rien ne presse Générale... nous avons tout notre temps désormais.


Sylvanas et ses consœurs échangent des regard effrayés mais n'ont pas le temps de répondre. Le cheval les entrainent et les cordes à leurs chevilles les obligent à faire de petits pas, elles doivent se concentrer sur leur marche pour ne pas tomber dans la boue et être trainées.

Quelques laborieuses minutes plus tard, il ne reste plus que les troupes de Horog et la force d'élite d'Izar dans l'avant-poste abandonné...

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One Shot / Re : La chute de Quel'Thalas [Izar Myrrhe]
« le: vendredi 01 avril 2022, 20:13:19 »
Sylvanas ravale quelques remarques venimeuses sur la faible valeur que peut avoir la parole d'un traitre. Elle n'est plus en position de jouer avec les mots ou d'échanger des joutes verbales avec ce serpent. Les vies de son peuple et de ses soldats sont en jeu.

Elle se tourne vers les sœurs de sa garde personnelle et cherche l'approbation dans leur regard. Elle ne peux pax leur demander de baisser les armes et de se constituer prisonnières sans combattre, elles qui sont la fine fleur de l'armée Haute-Elfe, toutes de hautes naissance et d'incroyables guerrières. Si une seule d'entre elle refuse, alors, ce sera non, et ils se battrons tous, jusqu'à la mort.

Mais son coeur se serre dans sa poitrine quand elle voit que toutes la regardent avec la même détermination, la même foi. Comme Sylvanas, elles ont vouées leurs vie à Quel'Thalas et leur confiance en la Générale est indefectible. Katina, sa garde du corps, se tient devant elle, un sourire malicieux de défiance toujours peint sur les lèvres, même alors qu'elle doit choisir entre perdre la vie au combat ou être faite prisonnière de guerre pour sauver les autres.

Katina – Quelques jours de geoles ne me changera pas à d'habitude Générale.


S'amuse t'elle pour lui donner son accord. Derrière elle, les autres ne disent mots mais lui répondent chacune à leur manière. Angelle, l'archère impitoyable au regard de glace, reste imperturbable et se contente de la fixer de ses iris d'un bleu profond comme le kobalt. La Sorcelame Milie, jamais totalement sure d'elle-même, semble hésiter un instant, mais se range aux autres car ses doutes n'érodent  jamais son jugement sur Sylvanas. Et enfin Alicia, sa Capitaine de la garde rapprochée, sa porte-bouclier, toujours prête au sacrifices pour le bien commun, ne discute même pas l'avis de sa supérieur hiérarchique, elle se contente d'approcher avec les autres pour appuyer la décision de la Générale.

Sylvanas – Mes sœur Je... je suis si fière de vous. Je vous promet que nous ne resterons pas entre leurs mains plus que le temps nécessaire. Nous allons sauver nos innocents et nos soldats. Dès que Lune d'Argent aura écrasé leur armée, nous seront libérées...

Elle les rejoint et leur chuchote: "A moins que nous ne prenions la fuite avant par nos propres moyens... au pire, quelques jours de cachot ne devraient pas nous tuer."

Sur ces derniers mots elle leur fait un clin d'œil et s'adresse à l'armée rassemblé derrière les barricades. Elle leur explique qu'ils vont se replier vers la Capitale et que conformément aux promesses d'Izar, un négociateur sera envoyé pour discuter d'une solution pacifique. Tous rechignent et voudraient rester se battre au coté de leur idole, leur chef, mais la peur des morts vivants affamés amassé devant eux est finalement plus forte, le besoin de sauver les civils plus impérieux. Une fois les civils et les troupes réunis en un cortège bien ordonné et prêt à se défendre efficacement, Sylvanas reparait devant les barricades et s'adresse à nouveau au Traitre.

Sylvanas – Traitre à ta patrie, nous accédons à la requête de ton Maître ! Nos troupes et nos civils vont fuir par le défilé derrière nos barricades. Si tu décide de trahir ta parole, nous reformerons les rangs. Moi et ma Garde Personnelle allons rester ici-même, devant toi, pendant qu'ils quittent les lieux. Ainsi et uniquement quand ils seront parti, nous baisserons nos armes et nos sorts et nous constituerons prisonnières en attendant que la solution pacifique que tu propose soit trouvée.

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One Shot / Re : La chute de Quel'Thalas [Izar Myrrhe]
« le: jeudi 31 mars 2022, 12:46:03 »
Izar - « Tes yeux ne te trompent pas, ma belle. Ta perspicacité encore moins ! Tu sais très bien ce pourquoi nous sommes ici et ce que nous pouvons t’infliger... »

Il n'y a aucun doute, c'est bien lui dans cet impressionnant costume portant la livrée du Fléau. Elle le reconnait à la manière dont il le porte pour mettre en  valeur son corps athlétique. A sa stature, gonflée d'orgueil malgré sa basse naissance et son sang-mêlé. A sa beauté, seule chose qui aurait pu la faire flancher à l'époque. Quand elle aurait pu lui accorder un sourire, une entrevue, quelques mots aimables sans l'influence pernicieuse d'une quelconque caste ou rang social. Les choses auraient elles été différentes si elle avait réagi autrement ce soir de Shal'sindo ? (fête du soleil de Lune d'Argent)

Maintenant qu'elle lui fait face, Sylvanas réalise qu'elle regarde le fruit de sa propre cruauté, de son propre orgueil et cette soirée fatidique lui revient en mémoire dans les moindres détails.

Elle se souvient des bouquets de rose grimpantes le longs des murs du bosquet de la ville, de la musique, de sa robe d'un blanc cru et parfait, cousu de fils d'or et de rubis. De toute la noblesse de Lune D'Argent qui la convoitait avec ardeur et concupiscence, la couvrant d'attention, de cadeaux et de compliments. Elle se souvient de ce fringuant jeune homme à la chevelure cendreuse, au regard plus étincelant encore que tout autre Enfant du Soleil, mais aux oreilles et aux sourcils plus courts, preuve d'une ascendance humaine. Elle en avait entendu parler, un parvenu fils d'une prostituée du quartier rouge de la ville, un roturier qui voulait compter parmi les Hauts et les biens-nés de la société.

Il avait sans doute du travailler d'arrache pied pour payer le superbe costume de soirée qu'il portait alors. Il semblait si sur de lui et évoluait si facilement autour de ces gens qui le méprisaient malgré son évidente réussite. Mais même les plus grands efforts et la plus vaste érudition ne permettait pas de combler l'abysse qui existait entre sa condition et celle de Sylvanas de la maison noble Coursevent. Son costume, malgré sa valeur, restait celui d'une roturier, sans blason ni armoiries. Sa démarche, bien que droite et fière, manquait de cette minuscule touche d'étiquette propre à la noblesse et qui leur permettait de distinguer le bien-né d'un "nouveau riche".

Il s'était présenté à elle, le regard empli d'une passion et d'une dévotion sincère, l'avait complimenté sur sa beauté et la façon dont sa robe le mettait en valeur. Et elle, n'avait même pas daignée le regarder une seule fois dans les yeux. Elle avait entendu le majordome annoncer un nom et dans l'instant, Izar n'existait plus, toute son attention se portait sur un seul homme, un simple homme, un  humain...

Majordome – Le forestier Nathanos Marris.

Elle avait alors tendu son verre vide à Izar, comme s'il n'avait été qu'un simple serviteur officiant à la fête et s'en était alé sans même dire un mot pour accueillir son guerrier. Elle qui méprisait un demi-elfe, se jetait maintenant dans les bras d'un simple humain, Sylvanas réalise maintenant à quel point son comportement avait du bruler le coeur du jeune homme.

Izar - « … Sauf si tu déposes les armes, ici-même, et que tu te constitues prisonnière, toi, tes hommes et tes officiers. À cette condition seulement, ce carnage cessera, tes citoyens pourront quitter en bon ordre cette place-forte. Il n’appartient qu’à toi de les sauver. »

Sylvanas revient à la réalité en entendant l'ultimatum prononcé de sa bouche. Elle ne peut plus refaire le passer ou éprouver compassion et pitié pour lui désormais, il a trahi, il est son ennemi.
Hélas, le constat qu'il fait est réaliste, la situation est mal engagée. Cela dit, ils savent tout deux qu'un affrontement ici fera perdre un temps considérable au Fléau et qu'à tout moment, l'Alliance peut dépécher des renforts. Elle a donc une petite marge de manoeuvre pour négocier, même si elle sait parfaitement qu'elle n'obtiendra pas grand chose. Sylvanas prend une grande inspiration et fait un pas en avant entre les barricades. Elle sait qu'Izar lui en veux, elle sait qu'Arthas éprouve une grande colère envers elle depuis qu'elle lui vole victoire après victoire. Elle sait donc que son propre sacrifice devrait suffir à sauver les civils mais aussi ses hommes pour qu'ils puissent défendre la capitale.

Sylvanas – Misérable traitre, si je n'avais qu'une seule et dernière flèche à décocher elle serait pour ton petit cœur noir... Mais tu as raison... du moins en partie. Aussi je te fait une contre-offre. Laisse partir les civils et mes soldats et je me rendrais sans résistance. Si tu ne prend pas, alors j'armerais jusqu'au dernier enfant pour vous résister et nous tiendrons, crois moi, tu as vu de quoi je suis capable. Et ton maitre aussi...

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One Shot / La chute de Quel'Thalas [Izar Myrrhe]
« le: mardi 29 mars 2022, 01:25:16 »
Royaume de Quel'Thalas
Royaumes de l'Est


Forestière – Ils arrivent sur le flanc gauche Générale !

Hurle la jeune recrue avant qu'une flèche poisseuse n'atteigne son l'épaule.  La Haute Elfe vacille contre sa barricade improvisée et manque de basculer par dessus. Sa commandante l'empoigne par les bras pour l'aider à s'adosser au chariot renversé.

Sylvanas – Irelle ! Par la lumière mais comment ont ils franchi les défenses !? Un médecin ici !

Personne ne lui répond, personne ne l'entend, devant elle tout n'est que chaos. Elle entend les cors de chasse de l'ennemi pousser leur notes sinistres, elle sent la terre trembler sous ses pieds. Le Fléau mort vivant se déverse sur la forêt de Lune d'Argent comme l'ichor d'une plaie purulente. Vomissant goules affamées, squelettes décérébrés et monstruosité immenses faites de corps cousus entre eux. Le spectacle terrifiant de cette marée de croc, de chaire morte et d'os à saisit le cœur des elfes d'un effroi fatal... et le carnage à alors commencé...

Sylvanas – Comment ? Comment ont ils fait ?

La Générale des forestiers ne comprend pas. Elle a détruit le pont, activé les protections arcaniques et s'apprêtait à tenir un long siège jusqu'à ce que les renforts arrivent. Mais à leur place c'est toute l'armée du Chevalier de la Mort qui avait déferlé sur leur point faible, au nez et aux oreilles des sentinelles magiques et des cristaux boucliers, comme si Arthas, ce misérable humain, connaissait le terrain aussi bien qu'elle.

Mais elle n'a plus le temps de réfléchir, plus le temps de comprendre. La commandante de ce qu'il reste des forces elfiques doit encore tenir pour que les civils puissent se replier vers la capitale. Elle hurle à sa forestière blessée de rejoindre les blessés, décoche une nouvelle flèche et se lance à l'assaut de ces créatures répugnantes aux cotés de ses soldats. Dans un concert de sifflement, les flèches s'envolent vers le firmament et retombent sur la marrée compacte de créature, les faisant tomber par dizaines. Mais pour chaque monstre du Fléau tombé, dix prennent sa place...


Petit à petit, la résistance elfique faiblit. Acculée avec ses plus fidèles champions pour un dernier carré héroïque,  Sylvanas passe son arc dans son dos et saisit ses lames jumelles, bien décidée à mourir dans l'honneur pour le bien de ses semblables.

C'est alors que sur la colline voisine, surplombant la mêlée, Arthas, le Chevalier de la Mort, apparait pour revendiquer sa victoire et mener la charge finale. Et le tyran n'est pas venu seul. A ses cotés, ses fidèles conseillez vampires accueillent un nouveau membre... un nouveau champion...

En le voyant, Sylvanas écarquille les yeux de surprise et d'horreur.

Sylvanas – Non... c'est impossible... pas toi... pas toi !

Hurle t'elle au nouvel arrivant en comprenant soudainement l'ignoble traitrise dont elle et son peuple viennent d'être victime.

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Le coin du chalant / Re : Sylvanas Coursevent
« le: lundi 28 mars 2022, 17:50:08 »
Citer
Bonjour, bonsoir à tous et toutes, j'aimerais reprendre un ou deux RP avec Sylvanas. J'ai ajouté des trames, modifiée certaines. N'hésitez pas à les consulter. Outre toutes idées spontanées et originales que je vous invite à me proposer par MP, voici les grandes trames de l'Histoire du personnage. Elle peuvent être adaptés à vos idées, vos personnages, ou utilisé tel-quel. Contactez moi si vous en voyez une qui vous plais pour la personnaliser.

Des personnages temporaires et/ou One shoot peuvent être crée et joué pour suivre ces scénario à votre convenance.

Proposition d'intrigue et de trame:


TRAMES CHAPITRE -I- LA VIE DE SYLVANAS


TRAME 1 / Vous êtes un/e aventurier/e, un/e mercenaire ou un membre des Forestiers au service du Général Windrunner pendant la guerre contre le Fléau Mort-Vivant. Participez avec elles aux batailles terribles qui y ont été menées.

TRAME 2 / Vous êtes un membre du Fléau, un/e aventurier/e, un/e mercenaire au service d'Arthas (ou vous êtes Arthas lui-même) et la dernière bataille contre la générale est arrivée. Vous allez pouvoir participer à sa capture.

TRAME 3 /  Vous êtes un membre du Fléau, un/e aventurier/e, un/e mercenaire au service d'Arthas (ou vous êtes Arthas lui-même). La Générale des forestiers vient d’être capturé et emprisonnée à  Mortholm. Le Roi vous invite à profiter de sa prisonnière pour lui faire payer son orgueil. Pour la briser, il vous propose de participer aux tortures, sévices, humiliations et expériences qu'elle subira.

TRAMES CHAPITRE -II- LA SERVITUDE DE SYLVANAS


TRAME 4 / Vous êtes un membre du Fléau, un/e aventurier/e, un/e mercenaire au service d'Arthas (ou vous êtes Arthas lui-même). Vous participez avec elle aux batailles emblématiques menées par le Fléau et profitez de sa volonté enchaînée.

TRAME 5 / Vous êtes un membre du Fléau, un/e aventurier/e, un/e mercenaire au service d'Arthas (ou vous êtes Arthas lui-même). Le jeune Roi de Lorderon vous récompense de vos bon et loyaux services en vous prêtant la Forestière Sombre.

TRAME 6 / Vous êtes un ennemi du Fléau et vous découvrez que sa nouvelle générale est Sylvanas Windrunner, vous tentez de l'affronter ou participez à une bataille emblématique contre le Fléau.

TRAMES CHAPITRE -III- LA REINE BANSHEE

TRAME PILOTE POUR LE BG DU FORUM: Vous êtes le Seigneur ou la Dame qui règne sur le royaume ou Sylvanas vient d'arriver avec son armée. Elle marche sur vos terres, massacrant tout ce qui vit pour le relever en serviteur loyal des Réprouvés. Parviendrez vous à la repousser ? Ou votre capitale deviendra t'elle la nouvelle Undercity ?

TRAME 7 / Vous êtes un/e allié/e ou un membre de la faction d'Arthas ou de Sylvanas et vous participez à l'embuscade qui à pour bute de tuer le jeune roi.

TRAME 8 / supprimée

TRAME 9 / Le poutch d'Undercity vient de réussir et la Reine est capturée. Vous êtes un/e démon/ne, un/e sorcier/e, un/e mage, un/e hypnotiseur, ou quelqu'un avec des pouvoirs particuliers qui a été embauché par Varimathras pour l'aider à briser sa prisonnière.

TRAME 10 / Vous êtes un aventurier/e ou un/e mercenaire qui va libérer la Reine Banshee des griffes de Varimathras.

TRAME 11 / supprimée

TRAMES 12 (trame canon) / Prenez pare aux évènements survenu au cours des extensions suivantes et ou Sylvanas à eu un rôle majeur.

- Cataclysme (Bataille et destruction de Gilneas)
- Legion (La débâcle de la zone d'accostage / Négociations avec Helya / DESTRUCTION DE DARNASSUS)
- BFA (A n'importe quel moment de la guerre contre l'Alliance / Après sa trahison)
- Shadowlands (Quand elle sert le Geolier / Quand elle trahis le Geolier / Après son jugement par l'Arbitre et Tyrande)

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One Shot / Re : Et pour quelques pièces d'or de plus [PV Zorro]
« le: mardi 12 mars 2019, 19:12:11 »
Quand le mercenaire accepte l'offre de la Générale, celle-ci pousse un discret soupir de soulagement. Un soupir qu'elle pense imperceptible pour un elfe, mais c'est sans compter sur les sens presque félins du lycan.

Ce pourrait il que la guerrière ait craint un refus de Zoro ? Et si oui pourquoi ? Craignait elle ce qu'elle s'apprêtait à combattre à ses côtés ?

La vérité n'était pas si éloignée de cet inquiétant constat. Bien que parfaitement confiante en ses extraordinaires facultés de guerrière, la peur qu'elle avait lu dans les rapports de ses espionnes s'était frayé un chemin jusqu'à son cœur.

Ne s'était-elle pas sentie observé ces derniers temps ? Et si l'ennemi était plus puissant qu'elle ne le pense ? Et si malgré tout elle était capturé que lui ferait elle ? Finirait-elle sur un marché aux esclaves ou offerte à un démon pour satisfaire ses pulsions bestiales ?

À cette idée, Sylvanas réprime un frisson de dégoût qui, lui aussi, n'échappe pas à la vigilance du lycan.

- Je suis ravie de votre accord. Je dispose de plusieurs pistes ici à Lune D'argent et ailleur, c'est pourquoi nous allons commencer par le plus proche pour nous éloigner ensuite si nous faisons chou blanc.

La Générale se lève et tend une main au Lycan pour sceller leur pacte. Puis elle se dirige vers l'arrière de ses quartiers, là où se trouve une grande armoire à vêtements.

- Disposez-vous d'une cape à profonde capuche ? Ça ne vous cachera pas, mais ça dissimulera les traits de votre visage et nous passerons inaperçu en ville. Ici, tout le monde porte cape et nous comptons nombre de Rodeurs de Lorderon et de Ranger Elfes. Si vous n'en avez pas ma lieutenante vous en donnera une.

Dit elle à son nouveau garde du corps en commençant à degraffer ses épaulettes d'apparat, bien trop voyante et l'identifiant au premier coup d'oeil.

- Je vous rejoins dans quelques instants, attendez moi dans le boudoir, je vous prie.

Ajoute t'elle en commençant à défaire les sangles de son

Si Zoro reste quelques instants il à le temps d'admirer la beauté de ses épaules nues, de son dos, jusqu'à la chute de ses hanches parfaites. À cet instant, elle se retourne de moitié, cachant entre ses bras une poitrine étonnamment généreuse pour une elfe. Il ce pourrait bien que la générale compte une ancêtre humaine pour disposer d'atouts sexuels aussi développés. Elle lui lance alors.

- Vous êtes encore là ?

Avant de le congédier de nouveau en réprimant un sourire.

Dehors, la lieutenante attend le sang mêlé avec une boîte en bois blanc dans laquelle patiente une épaisse cape de rodeur. Sa facture est exceptionnelle, probablement tissée par un maître artisans elfe.

Au bout de quelques minutes, Sylvanas rejoint Zoro dans le petit boudoir. Elle congédie ça ranger d'un simple signe de la tête et fait quelques gestes de la main, une sorte de langage des signes probablement, mais plus discret et gracieux.

La Générale à troqué son imposante armure d'apparat, encombrante et pompeuse, pour une combinaison de forestière, faite d'un cuir vert sombre moulant. Faite sur-mesure, elle épouse ses formes à la perfection et met en valeur les rondeurs généreuses et harmonieuses de ses hanches, de ses fesses et de ses seins.

Comparée à ses congénères Hautes Elfes, la féminité de la championne de Lune D'Argent surprend par son développement et laisse peu de doutes sur une lointaine ascendance humaine.

Elle enfile une longue cape noire de facture elfique. Sa capuche, ample et profonde, lui permet de dissimuler l'essentiel de son visage. Seul en dépasse l'arrête délicate et le bout de son nez, ainsi que ses lèvres et son menton altier.

Elle passe la corde d'un arc court à double ramure autour de son épaule. Curieusement, son carquois ne pend pas à son dos, mais bat son flanc gauche comme une longue besace éfilée.

Enfin prête, elle toise Zoro avec profondeur, comme pour chercher en lui l'assurance qui lui manque pour commencer cette terrifiante enquête. Puis elle se détourne, rougit légèrement en réalisant qu'elle l'a regardé bien plus longtemps que les convenances le voudrait et se dirige vers la porte. Elle pose sa main sur la poignée et se tourne vers le mercenaire :

- Si vous êtes prêt, suivez moi. Nous allons travailler sur notre première piste. J'espère que votre estomac est bien accroché...

Dit elle en baissant la tête quelques instants, visiblement troublée.



--- Forêt D'Argent, sur les berges du Lac Miroir, une maison isolée ---



Après s'être éclipsé discrètement de la capitale en empruntant divers dédales, Sylvanas chevauche avec son partenaire au travers des contré paradisiaques de son peuple. Ses forêts d'arbres blancs au feuillage d'or, ses rivières étincelants au soleil, ses brises chaudes et humides. Tout ici n'est que luxe, calme et volupté. Pourtant, plus leur chemin les rapproche de cette ravissante petite maison en bord de Lac que Zoro aperçoit au loin, plus la mine de Sylvanas s'assombrit...

Quand ils arrivent à quelques mètres du bâtiment, le lycan comprend pourquoi...

Ses sens aiguisés perçoivent immédiatement la fragrance métallique du sang, avec un soupçon de saveur arcanique propre à celui des Hauts Elfes. Mais il y a une autre odeur derrière celle-ci, plus discrète, plus inquiétante, trop subtile pour que Sylvanas la perçoive, mais que Zoro reconnaît aisément. C'est l'odeur d'une chaire mêlée à celle d'un démon, probablement un Incube ou une succube...

Sylvanas précède son compagnon sur le perron. La porte d'entrée est fermée et ne porte aucune trace de lutte, mais les grandes traces d'un rouge vif qui macule les fenêtres intérieures ne laissent aucun doute sur la scène de carnage qui se cache derrière.

La Générale attend que Zoro la rejoigne et pose la paume de sa main sur le bois de la porte. Un sceau d'un bleu pâle apparaît quelques instants, il a la forme d'une montre aux aiguilles figées dans le temps, puis il se dissipe. L'odeur cuivrée se fait soudain plus présente, presque insupportable, une véritable pestilence d'abattoir.

- Nous avons figé la scène quelques minutes après la découverte du... corps... il y a deux jours. Je sais que la piste n'est pas chaude, mais peut être parviendrez à vous grâce à vos talents de traqueur à desceller quelque chose.

Sylvanas ouvre finalement la porte sur une scène de dévastation et de massacre surprenante. De l'extérieur, rien ne laisse présager d'un tel carnage. Le mobilier à été intégralement détruit, il a visiblement servi à battre comme plâtre le corps désarticulé et broyé d'un jeune elfe qui gît dans un coin de la pièce.

- Il venait de fêter son 113 ème anniversaire et venait de se marier. C'était un de mes meilleurs éclaireurs. Il avait devant lui des siècles pour s'épanouir et progresser... devenir un jour un grand héros de notre race...

Dit la Générale d'une voix profonde et triste en marchant d'un pas lent, les épaules voûtées, vers le corps méconnaissable de son soldat.

- Sa femme à disparue, probablement enlevée comme les autres...

Curieusement, le lycan sent l'odeur du jeune homme dans la maison, imprègnant les meubles et les tissus par sa présence, mais rien d'autre.

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One Shot / Re : Et pour quelques pièces d'or de plus [PV Zorro]
« le: mercredi 20 février 2019, 08:57:58 »
Surprise par la résignation et la lassitude avec laquelle le lycan prend son propre sort, Sylvanas réprime sans succès un sourire triste et compatissant. Libérée de son air soucieux et autoritaire, la Générale des forestiers est sans nul doute une des plus belles femmes que le sang-mêlé ait jamais rencontré, toutes races confondues.

En vérité, Sylvanas a toujours aimé la compagnie des sangs mêlé. Pour eux tout est sincère, franc, droit, comme les paroles de Zorro. Contrairement à ses congénères hauts elfes toujours si guindés, si hypocrites, si nobles et coincés...

Quand il aborde le sujet de sa possible exécution, Sylvanas prend cette fois un air triste et résigné qui ne laisse aucun doute sur ce fait... et sur son rôle dans ce tragique événement. Cette expression Zorro la reconnaît sans doute pour l'avoir vu au cours de sa vie sur le visage d'autres soldats...

Ceux qui recevaient un ordre cruel, mais qu'ils exécutaient tout de même, par devoir et loyauté envers leur pays et leur chef...

- Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour ne pas en arriver à de telles extrémités, mais aussi haut placé que je sois dans la hiérarchie Lunargienne je ne pourrais pas aller à l'encontre d'un décret princier ou d'une injonction de notre cours de justice. Le fait est que les massacres ont débuté juste après que nos sorts d'Oracle aient détecté l'arrivée d'un Lycan en nos murs...

Elle se lève, se dirige vers une carafe de vin elfique et en verse deux coupes.

- Raison pour laquelle les soupçons se sont immédiatement portés sur vous.

Elle passe derrière le lycan pour déposer une coupe devant lui. La Haute Elfe dégage un parfum floral et musqué, avec une très légère fragrance de transpiration, mais celle-ci est plus enivrante que désagréable, presque érotique en vérité. Quand il accepte finalement de l'aider, Zorro peut entendre Sylvanas pousser un soupir de soulagement, presque imperceptible, mais que ses sens sur-développé ont capté. La générale, malgré son rang, ses soldats et sa puissance personnelle aurait elle peur de quelque chose ?

- Je vous suis gré de votre approbation. Mais avant d'aller plus loin vous devez en savoir plus sur l'ennemi pour lequel je demande votre aide. Suite à quoi, si vous êtes toujours d'accord, je vous rendrez vos armes.

Elle s'installe de nouveau à son siège.

- Il s'agit ici d'une organisation secrète, plus une secte en vérité qui d'après mes espions, serait en lien avec les strates Infernales. Ils enlèvent ou massacrent les citoyens de Lune D'Argent dans un but que je ne comprend pas encore. Trafic d'esclaves, invocations démoniaques, rituels, bref, j'ai besoin d'un garde du corps qui n'a pas froid aux yeux pour m'aider à les éliminer rapidement et discrètement. Car oui, je ne peut plus me permettre de déléguer cette tâche à mes espions et soldats, leur sang à déjà trop coulé.

Chacune de ces hypothèses était probable. Le prix d'une seule esclave sexuelle Haute Elfe pouvait s'élever à plusieurs centaines de milliers de pièces d'or sur le marché noir. Et a en juger par la beauté de la générale, nul doute que de nombreux seigneurs seraient prêt à dépenser leur fortune pour l'avoir enchaînée à leur lit. Peut-être même était-ce cette perspective qui faisait peur à la ravissante générale.

En ce qui concerne les rituels et invocations, il était de notoriété publique que le sang de cette race privilégié regorgeait de magie arcanique. Un composant alchimique puissant et générique, capable de servir pour de nombreux travaux occultes.

- Pour la durée de votre service à mes côtés, vous toucherez la solde d'un forestier de rang. Cela couvrira toutes vos dépenses personnelles au sein de la capitale. En tout cas jusqu'à ce que nous levions les soupçons qui vous accablent. Quand nous y seront parvenu vous toucherez l'équivalent d'un contrat de mercenariat. À condition bien sûre que vous décidiez de continuer à m'aider.

Lui annonce t'elle finalement, un teinte d'espoir dans la voix en sortant de son bureau un parchemin pour le contrat et une bourse de pièces d'or.

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Toute à la rédaction du contrat  Sylvanas ne relève pas les remarques sarcastiques de sa soeur elfe, elle se contente de se redresser quand celle-ci parle de "proie" pour lui lancer un regard accusateur.

- Une fois amnistié il vous faudra éviter de considérer les citoyens et citoyennes de Lune D'argent comme des proies. Sans quoi vous pourriez être bannie de nouveau.

Sylvanas fini d'écrire sur son parchemin, le paraphe de sa signature et le tend à Anemone. Quand celle-ci le li, elle constate qu'il n'y a pas de pièges, pas de petites lignes stipulants des closes abusives ou quoi que ce soit du genre. C'est un contrat de mercenaria tout ce qu'il y a de plus banal à ceci près que la close finale stipule qu'à la fin du contrat, toutes les charges retenues contre elles sont abandonnées.

La criminelle découvre de part le fait que la Générale n'est pas une intriguante ou une compoteuse comme la grande majorité de ses congénères Hauts Elfes. Sa démarche vis à vis d'elle est franche et sans détour, ce qui laisse Anemone d'intéressantes perspectives... Après tout... quoi de plus facile que de trahir quelqu'un de loyal...

Sylvanas attend que son invité signe le contrat avant de lui laisser ouvrir la bourse. Comme convenu, elle est pleine de cent pièces d'or Lunargiennes, une des monnaies les plus fortes du Multiver. Rien qu'avec cette somme, Anemone pourrait se retirer des affaires pendant plusieurs années ou commencer à monter un gang d'envergure.

- Bien... maintenant que l'aspect légal est réglé nous allons pouvoir nous mettre au travail. Il y a une scène de crime que je voudrais vous faire inspecter, le poison qu'on a retrouvé sur place laisse les autorité dans l'ignorance, nous avons besoin de vos lumières.

Sylvanas se lève et se dirige vers l'arrière de son boudoir, la ou une commode est à demie dissimulée par un rideau de soie rouge si finement ouvragé qu'il en est presque transparent. Au travers on distingue toujours la silhouette de la Générale, projeté telle une ombre par le soleil sur la surface de l'étoffe. Le cliqueti d'une boucle résonne et Anémone peut voir la masse sombre de ses épaulettes d'apparat glisser le long de ses épaules pour choir sur le sol, révélant une silhouette gracile, féminine et sensuelle.

- J'ai l'habitude d'équiper mes mercenaires mais je sais que vous aimez plutôt utiliser votre propre matériel, sachez tout de même qu'en attendant d'être amnistié, vous allez devoir dissimuler vos traits derrière une capuche. En avez vous une ?

Sylvanas continue de se changer, visiblement indifférente au regard de son invité. Plusieurs bruits de sangles et de boucle de ceinture plus tard et c'est son plastron qui glisse sur le sol. Anemone peut alors remarquer que Sylvanas fait partie de ces très rares Hautes Elfes pourvues d'attributs féminin généreusement développés. En effet, l'archétype de sa race est généralement plus proche de la planche à pain que de l'humaine plantureuse. Pourtant la Générale cache sous son armure un corps de rêve, des seins parfaitement galbés et généreux, dressés bien droit sur sa poitrine et des hanches parfaitement galbés.

Elle ouvre la commode et en sort une armure de cuir moulante d'un vert sombre, presque noir. Une armure qui rappel à Anemone un mauvais souvenir, celui des guerrières qui l'avaient arrêté des années plus tôt, arrestation qui avait mené à son bannissement...

Quelques minutes plus tard, elle sort de derrière le voile de soie rouge affublée de cette armure de cuir qui moule délicieusement ses formes, un grand arc passé autour des épaules et une cape à capuche sur le visage.

- Je suis prête. Alors voulez vous du matériel ou on peut y aller ?

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