Dictature d'Ashnard / Re : Invasionnons gaiement [PV Erika]
« le: vendredi 12 avril 2019, 16:12:45 »- Moi si, nous appelions ces créatures les Affligés. Il y eu un dictateur à Roma Nova, nommé par le Sénat pour une durée indéterminée et qui avait entreprit de grande réforme. Cet homme avait pour particularité d'avoir été béni par les dieux, littéralement. Il était protégé par leur puissante magie. Mais un Dieu jaloux béni son propre champion pour qu'il assassine le Dictateur. Le conflit magique fut tel lorsque que le Champion du Démon fut décapité par les héros et amis du Dictateur assassiné que la mer fut transformée en jade et les forêts en pierre. Et ainsi, le grand temple de Neptune sur l'île d'Atlantos fut envahis de créature composés du métal et de la chaire des personnes présentes. Il fut reprit et condamné, devenant un lieu de pèlerinage sur la mer de jade mais le Champion du Démon, Varrus Brutus, lui, n'était pas réellement mort. 100 ans plus tard, il revint, prit d'une colère sourde, et commença à répandre une peste terrible dans une île isolée du reste de la République. C'était un essaie, rapidement, quand la peste fut propagée, les malades commencèrent à se déformer et à devenir les horribles créatures que nous avons combattu. Nous n'avons dû notre survie que grâce au concours de douze champions, chacun choisi par un Olympien, doté de leurs pouvoirs, les douze avatars. Ils tuèrent définitivement Brutus lors de la bataille des larmes et des cendres.
Je vois arrivé un jeune garçon à qui Erika commence à parler.
- Je n’ai pas pensé à te le demander… Quel est ton nom ?
- Elliot, ma dame.
- Et bien, je vous présente Elliot. Un jeune homme intelligent et plein de bonne volonté, à qui vous devez cette jolie fin de bataille.
- Mais ma dame, je n’ai pas… C’est vous qui…
- Je n’ai fait que suggérer une idée. Le reste était de ton fait, pas du miens.
Elle était belle quand elle souriait, terriblement belle.
-Alors c'est à toi que l'on doit que la cité est encore debout ?
Je sortais une médaille de ma poche, c'était à un de mes centurions qui était tombé aujourd'hui qu'il avait eu à peu près au même âge que ce gamin, courage civil.
-Approches toi mon garçon. Au nom de Rome et du Sénat, je te remets la médaille du courage civil, preuve que tu as su te distinguer sans que cela te soit demandé et sans que cela soit ton devoir directe, preuve du courage qu'un civil, presque encore un enfant avec ça, dont tu as su faire preuve aujourd'hui. Félicitation.
Je me relevais pour lui épinglais la petite médaille en forme d’œil avant de le saluer et de lui mit une petite tape derrière la tête pour lui signifier de prendre congé. Je regardais Erika se prélasser, rallumant ma cigarette qui avait fini par s'éteindre.
-Vous aussi vous avez été d'un grand courage. Dans notre histoire nous avons beaucoup de femmes se battant sans pour qu'elle ne soit jamais intégré à l'armée. Du moins pas comme officier ou même soldat. Sur nos trois principales divinités de la guerre, Bellone, Mars et Minerve, deux sont des femmes. Après ce ne sont pas nos divinités les plus heureuses, j'aime bien mieux Bacchus et Vénus. Le premier est celui de la nature mais aussi de l'ivresse et des débordements, nous le fêtons par des orgies rituels au début de l'année, la seconde est la déesse de l'amour, de la beauté et de la civilisation, elle aussi est célébrée par des orgies mais exclusivement réservée aux femmes Patriciennes. Ces deux divinités sont étroitement liés à l'hédonisme qui caractérise la plus part des Patriciens, nos aristocrates. Je fus pris d'un léger rire Il suffit de voir le roi de nos Dieu, Jupiter, maître des nuées et dieu des tempêtes et de la fertilité, ses bâtards se comptaient par centaines dans l'ancien monde.. Enfin, bref, vous prendrez bien un verre avec moi très chère ?
J'avais envie de passer la soirée avec elle. Outre le fait qu'elle était une belle femme, elle semblait d'une grande humilité ainsi que d'une certaine humanité, j'aimais ces deux qualités chez les gens que je rencontrais et tout particulièrement chez les femmes. Cela et celle faussement prude qui faisait mine de ne pas y toucher en étant de réelle tigresse une fois libéré de leurs inhibitions.