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Dictature d'Ashnard / Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
« le: mardi 31 janvier 2017, 13:40:31 »
Alors que l'effet de la fatigue du à l'entrainement intensif des jumelles me plongeait dans un micro coma, j'entendais la voix des 3 femmes mais mon esprit était bien trop noyé dans la fatigue et le plaisir pour entendre la conversation. Je m'endormais ainsi au pied du trône de maîtresse Mélinda comme un gentil paillasson d'écaille.

Pendant ce temps les jumelles parlèrent à la vampire de leurs projet :

Hé bien chère maîtresse, cela nous gène de révéler notre idée tout de suite...
...étant donné que cela concerne une surprise qui vous est destinée...
...Une belle surprise...
... Merveilleuse même...
... Mais pour vous remercier de votre bonté nous avons promis de ne rien vous cacher...
... Donc nous aimerions vous proposer un pari a votre unique avantage...
... Si nous gagnions, vous nous laissez organiser notre spectacle avec le petit dragon sans poser de questions afin que nous puissions vous remercier de toutes les bonnes choses que vous nous avez apprise et apportées...
... Et si nous perdons non seulement ce sera nous qui assurerons le spectacle...
... Mais en plus nous le ferons tout les soirs pendant un mois sans possibilité de se rétracter!
... Le pari est très simple, si notre petit dragon arrive à s'occuper à lui tout seul de l'équipe terranide de Roughball qui à réservé la salle de luxe pour ce soir nous gagnions...
... et si un seul de ces messieurs n'est pas entièrement repus et satisfait nous perdons...
... Et pour éviter de tricher, nous avons enfermé notre plan dans ce médaillon que l'on vous remets...
... Tandis que ma soeur et moi garderons la clé...
... Nous savons depuis le temps que vous êtes tout aussi joueuse que nous vu que vous nous avez appris à l'être...
... Nous espérons donc que cela sera pour vous un divertissement de qualité...
... Qu'en pensez vous?


En ce qui me concerne, j'était tellement à l'ouest que je n'avais rien entendu de la conversation mais ce qui est bien, c'est que durant le reste de la journée, les jumelles m'ont laissé tranquille et j'ai eu droit à plein de viande de dessert et de jus de fruits. Cependant tout le monde me souhaitait bon courage pour ce soir ou disait que j'avais de la chance de rencontrer les rough riders. Mais de quoi est ce qu'ils parlent? C'est quoi les rough riders et le rough ball? ..... Bah! sans doute une blague.

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Dictature d'Ashnard / Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
« le: mardi 24 janvier 2017, 10:22:00 »
Ces dernières semaines ont été les plus longues de mon existence, à tel point que ma raison s'est perdue dans la lubricité la plus totale. Durant des semaines entières les jumelles mon dressé jusqu'au point de rupture. A cause de la potion que j'ai régulièrement ingurgité, mon corps est devenu bien plus élastique et souple qu'il ne l'étais grâce aux jouet toujours plus grotesque qu'elles utilisée sur moi. En ce qui concerne mon ouïe et ma vue, elles ont perdues en acuité ce qui fait que le bruit n'est plus un problème pour moi, et suite au nombreux coup de fouets, mes écailles se sont adaptées car n'ayant pas de résistance, elles sécrétaient une sorte de liquide servant à la fois à lubrifier et cicatriser sans laisser de trace.

Au moment ou les jumelles me présentèrent à maîtresse Mélinda, je n'avais pas le droit de parler car les jumelles m'avaient interdit de le faire et elles m'avait insérer un de leurs jouet spécial venu de l'autre monde pour s'assurer de mon obéissance. Une sorte de chapelet qui émet des vibration, très long dont chacune des protubérances avait la taille d'un œuf d'autruche. Elles m'avaient dit que si je parlaient elles le mettraient en marche pendant tout un mois sans aucun espoir de le retirer. Cependant maitresse Mélinda me parlais et je me contenta donc de lui lécher les pieds et les jambes pour lui montrer que j'étais tout à elle. Cependant les jumelles eurent un regard complice. Convenant entre elles un plan des plus amusant à mes dépends.

Elles mirent leurs jouet encastré en moi et me dirent d'une voix narquoise : "Hé bien vilain dragon, il faut répondre quand on te parle!" Je poussa un couinement et continua de lécher maîtresse Mélinda alors que la vibration qui secouais mes entrailles s'amplifiaient. La robe de maid que je portais cachait mon érection et c'est alors que les jumelles dirent d'un ton coquin : "Hé bien quel manque de politesse! Maîtresse Mélinda, nous pensons que lui donner le service du groupe de clients spécial de ce soir lui apprendrais les bonnes manières qu'en pensez vous?" Visiblement elles avaient une idée en tête et utilisaient le fait que je n'avais pas le droit de parler pour y parvenir. Je sentais au regard de maîtresse Mélinda que celle-ci n'était pas dupe mais qu'elle semblais se prendre au jeu.

Les jumelles parlaient d'un groupe de clients spéciaux et leurs air ravi ne me disais rien qui vaille. C'est à ce moment que je fus pris d'un spasme de plaisir incontrollable, me faisant éjaculer sur les pieds de maîtresse Mélinda que je m'empressa de nettoyer aussitôt. Les jumelles avait poussé leurs engins de malheur jusqu'au point ou je ne pouvais plus résister. L'une d'entre elle vint alors me donner une petite fessée et retirer l'interminable chapelet coincé en moi. L'objet était imposant car il s'agissait de 8 oeuf d'autruche relié les uns aux autres par un cable d'une matière inconnue pour moi. Sous l'effet du plaisir, je jouit à nouveau et m'écroula au pieds de maîtresse Mélinda continuant à lécher mon désordre jusqu'a la dernière goutte. J'étais tremblottant comme une proie face à un prédateur et mon air ravi montrais que j'adorais ça, souhaitant inconsciemment me faire d'avantage punir par mes maîtresses bien aimées.

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Dictature d'Ashnard / Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
« le: lundi 09 janvier 2017, 21:07:22 »
Bizarrement, la punition n'était pas désagréable. Si le bruit du fouet me rend complètement hystérique et hors de contrôle, le son de la cravache au contraire est extrêmement plaisant. Ce petit claquement sourd et discret est une véritable musique pour moi. De plus mes écailles même si elles ont été réduite à peau de chagrin sont suffisamment résistante afin de ne pas sentir trop les coups. Le ressentit que j'avais étais un mélange entre une petite et infime douleur qui précède un frisson de plaisir.

Une bonne chose pour moi c'est qu'après cela, il fût décrété de ne pas utiliser le fouet trop près de moi et de privilégier la cravache pour mes punitions car le son du fouet réveillait un instinct meurtrier incontrôlable en moi. Mais comme cela posait problème, les jumelles qui avaient repris leurs courage demandèrent à s'occuper de mon dressage pour éliminer ce trait impropre à la vie au harem qui restait en moi. Ce coup-ci, comme elles avaient appris de leurs erreurs, elles décidèrent de lentement m'acclimater à ce son.

Mon dressage leurs furent donc confié. Tout commença le lendemain de ma punition, je me sentais tout apaisé grâce au doux son de la cravache de maîtresse Mélinda et quand j'ouvris les yeux, je les vis devant moi. Comme je leurs en voulais d'avoir fait claquer un fouet juste à côté de mes oreilles, je leurs en voulais un peu et arborait un air bougon. Contre toute attente, elles s'excusèrent pour l'histoire du fouet car elles pensaient pouvoir m'y habituer pour faire plaisir à maîtresse Mélinda. Je bouda un peu et finit par leurs pardonner quand elles agitèrent un morceau de viande fumée sous mon museau.

Comme elles se montraient gentille et surtout qu'elles me donnaient de la nourriture, je ne pouvais pas continuer à leurs en vouloir. Elles m'expliquèrent que le fouet était monnaie courante au harem et que leurs mission était de m'y habituer pour que j'arrête définitivement d'être une menace. Il est vrai que j'avais envie d'être le chouchou de maîtresse Mélinda et non la catastrophe ambulante et j'accepta à contre cœur de les laisser me dresser à nouveau.

Elles m'installèrent donc un bandeau sur les yeux et m'attachèrent sur une espèce de cheval en bois. Mes mains étaient reliées par une chaine au plafond et mes chevilles maintenues par des entraves au cheval de bois. Je sentis alors une cravache s'abattre sur mes fesses et l'une des jumelles dire :

"On va y aller doucement, d'abord on va faire en sorte que tu aime la cravache à tel point que tu vendrais ton âme pour en recevoir juste un petit coup."

En somme c'était bien partit car rien que le coup que j'ai reçu sur les fesses avait fait sortir mes sexes. Je sentis alors une main visqueuse rentrer dans mes fesses pour palper mon intérieur et entendis une des jumelles demander à l'autre "le plug spécial"... de quoi est ce qu... je fût alors interrompus dans mes pensée en sentant qu'elles tentaient de m'étirer l'anus pour y faire entrer un objet sphérique assez massif. J'asseye de hurler de plaisir mais au moment ou j'ouvrit la bouche, on m'installa une espèce de mors pour cheval qui étouffa mon cris, puis je reçu un nouveau coup de cravache sur les fesses.

Tout ceci était déjà terriblement excitant mais en plus je sentis un liquide chaud entrer en moi par le biais de cette sphère encastrée dans mes fesses. Le traitement dura une éternité et s'entrecroisait de petit coup de cravache sur mes fesses et ensuite encore plus de liquide chaud et épais délivré dans mes entrailles. Je finis par éjaculer quand mon ventre devint tellement gros qu'il pressa mes sexes contre le cheval de bois. C'était une nouvelle forme d'orgasme pour moi et j'avais plus apprécié que je ne l'aurais cru. Le dressage dura un peu plus d'une semaine et chaque jour j'avais droit au même traitement.

Je ne savais pas si ce que j'aimais le plus était les coups de cravache, mon ventre se faire remplir et étiré par un liquide brulant, épais et inconnu ou la sensation lubrique que je ressent quand les jumelles me libèrent pour expulser ce liquide gluant de mes fesses. Peu à peu quand elles sentaient que j'étais à elles, elles commencèrent par me mettre des protection auditive et firent claquer un fouet assez loin de moi au moment ou je jouissais, et augmentais la proximité au fil des jours ainsi que la fréquence, puis encore une semaine plus tard, elles enlevèrent les protections et recommencèrent le même procédé.

Au bout d'un mois, j'étais complètement endoctriné et le bruit ne me dérangeais plus, bien que malgré tout, j'avais conservé une très nette préférence pour la cravache, j'étais enfin prêt pour servir des clients, j'étais maintenant parfaitement formé et avais perdu tout instinct sauvage. Fière de leurs réussite, les jumelles allèrent rapporter leurs succès auprès de Maîtresse Mélinda comme quoi, j'étais à présent parfaitement bien dressé et prêt à servir la clientèle dans les us et coutume du harem.

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Dictature d'Ashnard / Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
« le: mercredi 28 décembre 2016, 12:59:46 »
L'idée de me faire fouetter me fit frissonner et au moment ou j'allais protester, la vampire s'empala sur mes sexes me forçant à pousser un gémissement. Mes deux sexes entrés en elle étaient comme compressé l'un sur l'autre et leurs longueurs et leurs forme exotique faisait en sorte que son sexe ressente une sensation écartèlement à l'entrée, des petit gigotements au niveau du vagin, une sensation d'écartèlement au niveau du col de l'utérus et la pointe de mes deux sexe venaient grattouiller l'intérieur de son utérus. Une sensation divine pour elle, mais pour moi c'était autre chose car j'avais l'impression qu'un étau de chair pompais mon jus d'amour hors de mon corps.

Le bassin de Maîtresse Mélinda gigotais et heurtais le mien et la sensation d'étroitesse de son sexe ainsi que la vitesse à laquelle elle me chevauchais étaient ingérable pour moi ce qui me forçais à jouir de multiples fois à tel point que je sentais mon sperme dégouliner du sexe de ma maîtresse sur mon bassin. Décidément cette potion à considérablement affecté mon endurance. Quand elle en eut finit avec moi, je n'étais plus en état de parler et je sentit que l'on me retirais le bandeau sur mes yeux. Au début je fus éblouis et je reconnus avec horreur les deux jumelles de tout à l'heure. Maîtresse Mélinda m'avait confié à elles pour me fouetter!?! Je ne pense pas y survivre et malgré le fait qu'elles m'avaient mis une laisse et me trainaient comme un chien, j'essayais d'y échapper.

Elles étaient trop forte pour moi et le fait que je faisais tout pour éviter d'avancer commençais à les faire râler. Mais en discutant un peu entre elles, elles comprirent rapidement que j'avais horreur du bruit du fouet d'une part et que cela me faisait peur d'autre part vu que ma protection naturelle avait fondu comme neige au soleil après avoir bu la potion de maîtresse Mélinda. Elles changèrent de méthode en ce montrant plus douce, gentille et câline avec moi en me promettant d'y aller doucement ce qui me décida à avancer timidement à nouveau. Arrivé à destination, elles me couvrirent les yeux et me remirent la muselière avant de solidement m'attacher avec des lanières de cuir en position de prosternation sur une espèce d'établit en bois adapter à cet effet.

La encore, je ne pouvais pas bouger mais le fait que j'allais peut être me faire fouetter m'enlevais toute excitation par rapport à la situation. Je sentis alors l'une des jumelles s'assoir sur mon dos et me caresser en me disant d'une voix douce :

N'ait pas peur! On t'aime bien! On est pas en colère par rapport à ton caprice! Mais on va faire en sorte que tu passe un bon moment, le but est que tu devienne un bon serviteur pour le harem en te soumettant par le plaisir et non la douleur donc comme le fouet est un petit peu trop pour toi on va utiliser des accessoires de notre monde pour t'apprendre à apprécier tout ça!

Sa voix et ses caresses étaient si douces et agréable que je me détendis un peu et elle le sentis, ce qui fait qu'elle me gratifia d'une caresse. Je la remercia en poussant un petit couinement tout mignon. Elle gloussa et je sentis alors un liquide visqueux me couler sur les fesses alors qu'une main féminine vint me masser l'arrière train. Mais, contrairement à mes attentes, rien n'y entra et je les entendais discuter sur un équipement d'un autre monde vu que je ne connaissait pas les mots qu'elles utilisaient. Je donnerais cher pour savoir de quoi elles parlent car cela me concerne et j'aimerais bien savoir ce qu'est une cravache et un gode ceinture. Quoi qu'il en soit, je ne tarda pas à le ressentir car je sentis qu'elle m'enfonçait un objet dans les fesses avant de me donner un petit dessus.

Bizarrement cela n'était pas désagréable car il s'agissait d'un petit claquement sourd. Ce que je n'aimait pas c'était le bruit du fouet car cela résonnait dans ma tête pendant des heures (genre de chose qui me rend complètement hystérique), mais la ça allait et malgré le fait qu'elles aient énormément perdu en matière de résistance, mes écailles faisaient en sorte que cet objet ne me fasse pas trop mal. Je dois avouer que j'appréciais la sensation.

Mais quand j'entendis un fouet claquer, cela me fit faire un mouvement brusque et une petite flammèche sortit de mes naseaux, me faisant tomber par terre avec une des jumelles ce qui les effraya un peu pendant un instant. L'une d'elle avait eu la mauvaise idée d'en faire claquer un à côté de mes oreilles et le bruit horrible à provoquer une réaction brusque chez moi car en tant que reptile je suis encore plus sensible que les êtres à sang chaud au niveau des bruits et surtout des vibrations.

Le bruit persistait dans ma tête ce qui poussa les jumelles à me laisser tranquille car comme le bruit persistait dans ma tête cela me faisait m'agiter. Elles allèrent donc voir Maîtresse Mélinda pour lui dire à quel point le fouet était une mauvaise idée car cela me rendais complètement hystérique. Heureusement pour elles que j'avais bu cette potion qui rend faible car la furie hystérique chez un dragon fait des dégâts mais dans leurs cas grâce à la potion, elles n'avaient qu'un léger bleu à cause de la chute provoquée par mon agitation.

Elles rapportèrent donc l'évènement à maîtresse Mélinda comme quoi le fouet est vraiment à proscrire avec moi et de privilégier la cravache car j'appréciais bien jusqu'a ce que le fouet claque.

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Dictature d'Ashnard / Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
« le: dimanche 18 décembre 2016, 13:42:47 »
Mes sens étaient revenus à la normale. C'est déjà cela. J'entendais à nouveau et les courbatures cessèrent. De plus la petite claque sur mes fesses me permit de mieux évaluer mon état. La potion à eu pour effet de diminuer la densité de mon corps en général. Dans mon état normal le fouet n'as aucun effet sur moi et maintenant je ressent une petite claque sur mes fesses. Je ressentais que mes écailles avaient perdues en densité et en épaisseur ainsi que mes muscles et mes os c'est pourquoi je  ne pouvais me défaire de ses entraves.

Réaliser tout cela et la sensation d'être attaché et muselé me mit alors dans un état d'excitation que je n'avais jamais expérimenté. La claque sur mes fesses avait fait sortir mes sexes de la poche d'écailles dans laquelle ils étaient rangés. j'entendis alors des gloussements et différentes voix me dire a quel point j'étais mignon et désirable. Je sentais des mains me caresser de toutes parts. Une me caressait la tête, une autre le ventre, une paire d'autre massait mes sexes tandis qu'une main massait mes testicules et une dernière me doigtais l'anus.

Il y avais donc d'après ce que je sentais et entendais trois personnes en tout. Il y avais Maîtresse Mélinda c'est sur mais qui était les deux autres? Je n'eus pas le temps de réfléchir à la question car la main qui tantôt me titillait gentiment l'anus rentra brutalement en moi, me faisant me tordre de plaisir et pousser un gémissement étouffé par la muselière que je portais.

"C'est un joli jouet Maîtresse Mélinda! Très flexible! Ma main est rentrée comme dans du beurre! En plus c'est super agréable la dedans! C'est comme plonger sa main dans du caramel fondu tout juste sortit du four."

"Attend laisse moi essayer!" dit une voix quasi similaire....Des jumelles? La main se retire de mon fondement et une autre s'y enfonce jusqu'au coude cette fois me faisant pousser un hurlement de plaisir alors que le précum se met à ruisseler hors de mes sexes.

"Wow! c'est incroyable c'est comme un mélange entre du chewing gum et un bain de source chaude la dedans..."

Chewing gum? c'est quoi ce truc.........

Le bras s'agite alors en moi me forçant a crier de toute mes forces et jouir comme jamais je n'ai jouit avant de se retirer me laissant sur le ventre haletant.

"Wow! C'est incroyable mon bras est jamais allé aussi loin! C'est trop bizarre! Son cul est super élastique on entre dedans sans effort mais la sensation d'étroitesse est similaire à celle d'une vierge effarouchée!"

Personnellement je ne sait pas qui sont ces personnes mais elles font un éloge de mon derrière à Maîtresse Mélinda. De mon côté malgré l'intensité de l'orgasme que j'avais ressentit, mes sexes étaient encore raide mais j'étais littéralement à bout de souffle ce qui m'amène à penser que mon endurance à aussi diminuée.

Les voix similaires demandaient à maîtresse Mélinda si elles pouvaient jouer avec moi car elles avaient bien travailler. J'étais trop occupé à reprendre mon souffle pour écouter la suite mais tout ce que je sais c'est que peu de temps après, je sentis que l'on me montais dessus et qu'un épais cylindre de chair s'invita entre mes fesses... un malle? une futa?... Je reconnus alors la voix de ma maîtresse. Pourtant elle est une femelle...? Quoi qu'il en soit, en l'instant cela n'avais aucune importance.

Je ne pouvais ni bouger ni voir et encore moins parler avec touts ses liens qui me maintenaient. Je ressentis alors un membre puissant coulisser en moi dans un mouvement lents et sensuel comme pour s'habituer à la chaleur et au confort douillet de mon intérieur avant de devenir un puissant et incessant martellement qui m'arracha un nouvel orgasme. Je sentais que l'on avait jouit en moi en des quantités impressionnantes à tel point que le jus d'amour dégoulinais de mes fesses sur le long de mes cuisses.

Malgré ce deuxième round, mon état d'excitation n'avais pas diminué et j'entendis à nouveau les voix jumelles. Elles disaient qu'elles avaient bien suivit les ordres en ramenant "la boite de l'autre monde" de quoi est ce qu'elles peuvent bien parler? Quel autre monde? A peine commençais je à me poser des questions que je fus retourné pour être allongé sur le dos comme une brindille. Alors que je me demandais combien je devais peser à présent pour être aussi facile à manipuler, ma réflexion pris fin rapidement.

Je sentis alors que l'on insérait un objet sphérique de la taille d'un poing dans mes fesses puis un autre puis un autre pour un total de huit. Pendant ce temps je les entendais glousser et l'une des voix dire :

"Je parie qu'il n'as aucune idée de la sensation qui l'attend" ensuite elles se disputaient pour savoir laquelle des deux appuierais sur le bouton "ON"...Qu'est ce que c'est qu.........

La sensation de plaisir que je ressentis alors me fit sursauter et gigoter jusqu'à ce que je soit maitrisée et immobilisé par les femmes présentes. Mes sexes entrèrent en éruption et crachèrent tout le jus qu'ils étaient capable de cracher. Je sentis alors que l'on prenait mes sexes en bouche pour en aspirer le jus ce qui démultipliait mes orgasmes. Je n'arrivais plus a penser, mon esprit se perdais dans la lubricité la plus totale. Comment ses sphères pouvait elles bouger toute seule et si vite en moi?

Je n'arrivais plus à maitriser mes sensations ni la vitesse et l'intensité de mes orgasmes et au moment ou ma raison s'apprêta à voler en éclat, j'eus droit à un peu de répit vu que la vibration dans mes fesses cessa. Mon corps encore sous le choc tremblais et frissonnais de plaisir et même sans que l'on me touche, des orgasmes spontanés me traversaient le corps comme si mon cerveau sous l'intensité du flux de plaisir avait saturé et diffusait petit à petit la surcharge à mon corps.

L'une des voix gloussait en faisant remarqué que j'étais couvert de mon propre sperme. On me retira alors ma muselière ce qui me permit de mieux reprendre mon souffle et de récupérer un peu mieux. J'entendis alors les voix qui prenais congés me faisant comprendre que j'étais seul à présent avec maîtresse Mélinda. Je sentis alors une verge gentiment tapoter le bout de mon museau comme un ordre muet m'incitant à ouvrir la bouche.

Je compris instinctivement et ouvrit grand pour laisser le sexe s'engouffrer dans ma gorge. j'entendis un gémissement de plaisir car ma gorge est très chaude, c'est comme enrouler un steak cuit à point autour de son engin. Je sentais ma tête être bloquée afin de pouvoir violer ma gorge au plus vite et y relâcher un jus d'amour à la saveur presque sucrée directement dans mon estomac. Les caresses incessantes qui suivirent me firent comprendre que c'était loin d'être finit et cette idée me fit vite reprendre de la vigueur. Je me demande bien ce qui m'attend ensuite.

Ce dont je suis sur c'est que mes fesses vont être mise à contribution car je sentis que l'on les retira d'un grand coup sec qui me fit pousser un gémissement tellement intense qu'il remplit toute la pièce. Maintenant que je n'étais plus museler, j'allais pouvoir exprimer tout mon plaisir à plein poumons.

6
Dictature d'Ashnard / Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
« le: lundi 12 décembre 2016, 21:16:21 »
Ce qu'il venait de ce passer était pour le moins déroutant. Jamais je n'avais entendu parler d'une telle potion. Qui plus est, je suis un terranide dragon et non un dragon pure souche. Mon métabolisme et mes pouvoirs sont biens différents des autres dragons. Si je pouvais me changer en humain, je l'aurais fait depuis longtemps. Cela m'aurais évité bien des ennuis. Je regardais ma maîtresse d'un air assez incrédule car j'avais du mal à y croire d'une part et de l'autre même si c'est vrai, je n'en vois pas trop l'utilité. Je resta silencieux, incrédule et immobile un moment le temps de bien réfléchir.

Je dois avouer que j'ai un peu du mal à comprendre ce que vous venez de me dire. Il est vrai que malgré ma bonne volonté, j'ai enchainé les bourdes, cependant les protocoles et les règles sont plus difficile à retenir pour moi qui suis d'une nature assez sauvage. C'est compréhensible. Mais je ne vois pas l'intérêt de cette potion et doute de son efficacité car je n'ai jamais entendu parler d'une telle chose alors que l'une de mes propriétaire était alchimiste. Je ne sais pas ce que je dois en penser. Si je perds ma force, je pense que cela me permettra de me sentir moins effrayé de faire du mal aux personnes qui m'entourent et de produire un travail plus efficace.

Cependant si un malheur venais à ce produire, je ne serais pas en mesure de vous protéger. C'est un dilemme un peu trop complexe pour moi d'autant que n'étant qu'un terranide dragon et non un dragon pur souche, je redoute les effets secondaires s'il y en a. Mais quoi qu'il en soit, je ne suis pas en mesure de prendre cette décision. C'est pourquoi, je m'en remet à votre jugement Maîtresse Mélinda! Ma vie vous appartient comme je vous l'ai dit. Si vous souhaitez que j'abandonne ma force et ma magie, je le ferais sans hésitations ni regrets. Je préfère que la décision vous revienne car si j'abandonnais ma force et qu'a cause de cela je ne soit pas en mesure de vous porter assistance, je m'en voudrais jusqu'à la fin de mon existence.

Et personnellement, je n'ai pas envie de traverser plusieurs millénaire en me reprochant cela. Vous m'avez démontré que votre jugement est plus avisé que n'importe quel autre être vivants en ce monde.


Pour moi, la réponse était évidente, elle n'aurais pas aborder le sujet ou mentionner ce produit si elle ne voulais pas que je prenne une telle chose, elle ne m'en aurais jamais parlé. J'avais compris sans même qu'elle n'eut à me le demander et m'avança vers le flacon. Je l'observa un moment et hésita longuement. Ca n'avais pas l'air très bon. Je redoutais le genre d'effet que cela pouvais avoir sur moi et n'avais aucune idée de la dose que je devais prendre. Je déboucha le bouchon afin de sentir l'odeur du flacon et l'odeur n'avais rien de très attrayant. Je me retourna donc pour regarder l'expression de Maîtresse Mélinda pour voir si c'est bien ce qu'elle voulais.

Je ne perçu rien d'autre que son expression habituelle. Je me retourna donc vers le flacon et grimaça avant de contracter mes narines et d'avaler le liquide d'un trait. Le gout est le plus horrible que je n'ai jamais expérimenté de toute ma vie et je me mis à tousser. Le monda commença à tanguer un peu.....non c'est ma tête qui tourne, je ressens ensuite une immense fatigue si intense que je pose un genoux par terre.  Ma tête tourne de plus en plus et une sensation de nausée m'envahit, je finis par tourner de l'oeil et tomber dans les pommes. Cette potion était trop forte pour moi. Cédant à la fatigue soudaine, mon corps s'écroule sur le sol qui bizarrement ne semble pas ressentir toute ma masse s'écrouler sur lui.

Je savais bien que ce n'était pas pour moi. Je sens mon esprit comme s'enfoncer dans un océan de coton sans fond.

Je ne sais pas combien de temps passa avant que je me réveille. Mais quand je repris mes esprits tout était noir....aurais-je perdu la vue? Paniqué, j'asseye de mettre l'une de mes mains sur mes yeux, sans y parvenir. Je...je n'arrive plus à bouger mes bras......ni mes jambes.... ils sont comme bloqué par quelque chose mais je ne vois pas quoi. J'asseye de forcer mais rien n'y faisait. Pendant un moment, je cru que la potion m'avais rendu aveugle et tétraplégique, mais au fur et à mesure que je retrouvais l'usage de mes sens, je sentis que j'avais quelque chose sur les yeux et que mes bras et mes jambes étaient retenus par quelque chose. Mes oreilles bourdonnaient encore mais il me semble que j'entends des voix.

Le sifflement persistant dans mes oreilles m'empêche de déterminer a qui appartiens ses voix. Je secoua la tête afin de chasser ce bourdonnement de ma tête mais ce faisant je sentis que j'avais comme une muselière sur le museau. Je ne comprenais pas trop ce qui se passait je me sentais comme sortit d'un sommeil millénaire mais d'après mon estomac, ce n'était même pas l'heure du souper. Je sens que le bourdonnement touche à sa fin et il me semble reconnaitre une voix..... Maîtresse Mélinda? mon ouïe est encore floue mais il me semble que c'est elle. Il y a d'autres voix mais je ne les reconnais pas. Inquiet je m'agite mais impossible de bouger. Mais qu'est ce qu'il se passe? C'est alors que j'entend une des voix inconnue dire :

Oh! ça y est! Il est enfin réveillé!

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Dictature d'Ashnard / Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
« le: mercredi 07 décembre 2016, 18:57:48 »
J'avais accumulé trop de gaffes. Aussi maîtresse Mélinda décida de me retirer de l'équipe de sécurité. Je me sentais profondément déçu et triste. Il est vrai que je manque de discipline mais en même temps, je suis un peu un animal sauvage. Il me faut un temps d'adaptation plus long c'est tout. C'est difficile de retenir toutes les règles et les recommandations que l'on me fournit. Mais bon en même temps je reconnais mon inutilité sur ce coup ci car la minotaure était plus forte que moi et c'est ça qui m'as plu et m'as inconsciemment incité à la laisser s'amuser avec moi. C'est alors qu'elle me demanda mon avis sur mes désirs.

Je n'avais pas d'autre choix que de lui répondre avec toute l'honnêteté dont je puisse faire preuve.

Je dois avouer que j'apprécie cela mais ce n'est pas ça précieusement. Ce qui m'excite, c'est de me sentir impuissant! Cette minotaure était bien plus forte que moi, je ne pouvais rien faire contre elle. Le fait de me sentir faible m'as excité au delà de la raison et mentalement je me suis soumis à elle. J'aime me faire tenir en laisse et dominer oui mais j'aime encore plus être soumis jusqu'à l'extrême, comme ses femmes portraits que j'ai vu. J'aimerais être aussi faible qu'elles, n'être qu'un jouet entre les mains d'êtres plus puissants. J'ai envie d'être celui qui supplie et d'être à la merci du désirs d'autrui. Cette minotaure m'as violé et je ne pouvais rien faire pour l'en empêcher et c'est ça qui m'as fait autant plaisir.

Alors oui j'aime être un jouet mais la magie qui alimente mon feu intérieur m'en empêche un peu et malheureusement, plus le temps passe et plus cela va devenir impossible car plus il passe plus je deviens fort d'ici quatre ou cinq siècle plus personne ne pourra me soumettre comme elle l'a fait et c'est désolant car moi c'est ce que j'aime. Je suis vraiment désolé de mes échecs car vous m'avez rendu ma vie et j'en suis conscient mais j'ai besoin de plus de temps pour m'adapter! Comprendre et enregistrer des procédures et des règles c'est plus dur pour moi que pour les humains.

Il me sembla voir un air impatient sur son visage ce qui me poussa à me taire et me rendis ensuite compte que de parler du fait de m'attacher et de me soumettre à l'extrême avais fait sortir mes sexes de leurs coquille d'écailles. Je me sentis un peu confus et les remballa à l'intérieur de ma poche d'écaille en m'excusant de mon emportement. Le fait de m'imaginer en jouet sexuel incapable de bouger jusqu'à la fin des temps m'as exciter au point d'en oublier que j'étais en présence de ma maîtresse et ma bienfaitrice.

Je n'étais pas très fier de moi. non seulement je me suis fait violer en public et ait pris du plaisir à cela malgré les règles et en plus voila qu'a présent je me conduis comme le dernier des dévergondés. J'avais vraiment rien pour être fier mais au fond de moi, j'aimais cette sensation. Quel dommage qu'il n'y ait rien en ce monde qui puisse museler ma force. Car l'idée de me faire déposséder de ma liberté de mouvement et d'être soumis jusqu'à l'extrême me rendais fou de désir mais je me résigna pensant qu'aucun métal ne peux y parvenir. Déjà que le collier que maîtresse Mélinda m'as ôte n'y parvenait pas alors qu'il contenait un puissant enchantement.

Bref il faut rester raisonnable. Je rassembla mes esprits et expliqua à maîtresse Mélinda que j'adorerais faire mon possible pour rembourser ma dette de vie envers elle. Je m'assis donc sur le sol de pierre pour attendre son verdict sur mon sort d'une part et calmer mes désirs en même temps. J'espère juste que mon châtiment ne sera pas trop sèvère. Je ne suis pas doué mais je fais de mon mieux pour rendre service.

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Archives / Re : Quoi de beau sur Youtube?
« le: dimanche 27 novembre 2016, 13:33:46 »
Mon meilleur ami fait des vidéos sur Youtube et j'ai donc décidé de lui donner un coup de pouce

https://www.youtube.com/channel/UCKtRUk9oTlnFIvofktC7-Rw

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Dictature d'Ashnard / Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
« le: mardi 22 novembre 2016, 17:51:36 »
Les choses se passèrent de façon assez inattendue, au lieu d'avoir une punition, j'obtins une promotion. Maîtresse Mélinda me posa quelques questions par rapport au peu de temps que j'ai passé en cuisine et par rapport à ma timidité. Je lui répondis que cette timidité, était due au fait que j'avais la crainte de faire du mal aux autres. Toutes ses femelles qui me font des avances est assez troublant. Je n'accédais à leurs désirs qu'a la condition qu'elles me monte dessus et me domine car je ne voulais pas être au dessus de peur de trop m'emporter. Ma force est une écrasante responsabilité avec laquelle je dois faire avec. J'avais donc eu de très rares relations car je me refusais à dominer. Malgré le fait que je soit un lance flamme sur pattes capable de briser des murs a poing nus, au fond de moi, j'étais une peluche sensible. J'expliqua tout ceci à maîtresse Mélinda lui avouant que les envies des filles du harem me mettait à rude épreuve.

Toutes me demandaient de les prendre sauvagement, même Kazua qui était enceinte. Refuser ses avances était de plus en plus difficile. Il était nécessaire qu'elles comprennent que se faire dominer par un dragon est dangereux pour leurs existence. J'expliqua alors à quel point le fait de dominer les autres me mettait mal à l'aise car si je me retrouve dans cette situation, je perds plus facilement le contrôle et risque de faire du mal à ma partenaire. Kazua qui était à mes côtes, compris alors concernant mon continuel refus à ceder à ses avances, n'était pas fait pour la rejeter, mais pour la protéger de moi même. Elle posa sa main sur mon dos et me présenta ses excuses car elle n'avais pas idée de mes craintes et me promis de demander au personnel de cuisine de ne plus me demander de les dominer. L'incident était don clos.

Cependant, le matin suivant, le comportement des filles de la cuisine changea car à mon réveil, je me retrouva avec une serveuse nue en train de chevaucher mes sexes. En un tour de main, je suis passé à leurs yeux d'un mâle alpha que toutes désiraient à un jouet que toutes convoitaient. A présent, elles ne me demandaient plus mon avis et exigeait que je m'allonge sur le sol pour les laisser me chevaucher ce qui était en soit une nette amélioration de mes conditions de travail étant donné que je n'avais plus cette crainte de leurs faire mal. Comme elles prenaient le contrôle, tout ce qu'il me restait à faire est de les laisser profiter de moi. Ce que je n'avais pas prévu, en revanche, c'est que les choses escaladèrent de façon inattendue.

Tout commença par l'arrivée d'une nouvelle cliente. Une Minotaure gladiatrice qui avait entendu parler de l'endroit pour se relaxer de son dernier combat et dépenser la prime qu'elle avait remporté

Elle était assez populaire car certains clients lui demandèrent un autographe. Elle avais une carrure et une musculature imposante ce qui est assez courant chez les minotaures et demanda à la responsable du restaurant suffisamment de nourriture pour nourrir un régiment, mais également, de la compagnie pour l'aider à se détendre. Cependant, elle précisa qu'elle voulais une pute solide pour ne pas se casser en deux pendant qu'elle assouvissait ses désirs. N'ayant jamais eu aucun rapport avec les clients jusqu'à présent et étant le seul membre avec des os assez dense pour résister à la force d'une minotaure, les filles me poussèrent à franchir le pas et ainsi véritablement devenir un membre à part entière du harem.

Un peu comme une sorte de rituel d'initiation. Comme elle avait l'air robuste, j'accepta car j'avais moins peur de le faire avec elle. Cependant quand j'arriva à sa table, je me suis rendu compte qu'elle était une futa et non une femelle. Qui plus est elle est beaucoup plus forte qu'elle n'y paraissait. Elle me souleva comme une feuille malgré tout mon poids et me plaqua contre la table en marbre. Elle me maintenait fermement et arracha mon tablier d'un coup sec. Elle s'arrêta un moment voyant que j'étais un mâle car sous l'excitation mes membres sortirent et voyant que son membre était aussi raide qu'une barre d'acier elle décida qu'elle n'en avais rien à faire. Alors qu'elle me maintenait contre la table elle se saisit d'un pot de crème fraiche et en prit deux poignée. Elle enduit son sexe avec la première et m'enduit les fesses avec la seconde. Ayant déjà eu une Futa très libidineuse en guise de maîtresse, je compris vite ce qui m'attendais.

Sauf que de ma vie, je n'ai jamais rien eu à faire avec quelque chose de plus puissant que moi. Elle arrivait sans peine à me maintenir contre la table en marbre et une fois qu'elle eut finit de lubrifier mes fesses et son membre avec la crème fraiche, elle me pénétra d'un coup si violent que je poussa un cri de plaisir qui attira l'attention de toute la salle. Son membre était si long et épais qu'il en déformait mon ventre faisant apparaitre une bosse révélant l'emplacement du sommet de son sexe en moi. Elle fit deux ou trois va et viens assez lent histoire de prendre ses marques puis commença à me marteler l'arrière train à toute vitesse avec son puissant membre m'écrasant la prostate au passage me forçant ainsi à hurler de plaisir et à jouir devant tout le monde alors qu'elle venais à peine de commencer.

Ses coups de reins étaient si puissants et féroces que l'on pouvait entendre la chair s'entrechoquer dans tout le restaurant. Les serveuses et les clients impressionner se mirent à tous nous regarder impressionnés par le spectacle. J'essaye un peu de me redresser pour essayer de tenir le coup mais d'un puissant coup de rein elle m'écrabouilla la prostate avec son membre colossal me faisait jouir à nouveau dans un couinement pathétique et lubrique. Elle était bien plus forte que moi et elle le savais. Elle savais aussi que j'étais résistant et me fit une prise de soumission maintenant ma tête contre la table avec sa poitrine opulente. Les sensations qu'elle me procurait étaient si intense que j'en perdis la notion du temps. Tout se que je sait c'est que de plus en plus de personnes venais au restaurant et tous nous regardaient y compris maîtresse Mélinda qui finit par faire son apparition.

Au bout d'une demi heure de ce traitement intensif, j'avais encore éjaculé trois fois enfin six vu que j'ai deux membres mais au moins, elle était proche de l'orgasme. Je sentais son membre palpiter en moi m'indiquant qu'elle n'en avais plus pour longtemps et me sentis soulager, jusqu'à ce qu'un torrent de sperme bouillonnant vienne inonder mes entrailles. Combien de litres elle avait jouit? Je n'en avais aucune idée, mais mon ventre s'était tellement déformé sous la pression de son orgasme qu'il était aussi rond que celui d'une femelle enceinte de plusieurs mois. Elle relâcha alors sa prise et je respira un bon coup. Je sentais son sperme dégouliner sur mes cuisses pour couler au sol et me dis que je serais libre dans quelques secondes. Quel espoir futile et déraisonnable.

Alors que je me pensais tiré d'affaire, elle passa son bras son mon buste et me redressa me faisant s'assoir sur elle. A ce moment précis, je pensais que c'était finit et que je n'avais plus qu'a me relever. Mais elle attrapa mes cuisses, passa ses bras derrière mes genoux et me força à me plier en deux en liant ses mains au niveau de ma nuque avant de se relever me maintenant dans une position de soumission encore plus inconfortable que la précédente puis recommença à me marteler le derrière encore plus violemment que précédemment. Son membre n'as même pas ramolli d'un iota et malgré tout ce qu'elle avait jouit en moi elle continuait à me marteler les fesses comme si de rien n'était. La cerise sur le gâteau, c'est que avant on ne voyais que mes fesses, mais maintenant, tout le monde pouvais me voir de face pendant que son immense membre me déforme le ventre et me fasse couiner comme la dernière des salopes en manque pendant que mes sexes ondulent dans les airs en éjectant leurs petit lait.

J'avais perdu toute crédibilité en tant que dragon mais je m'en fichais car pour la première fois, j'étais faible et j'adorais ça. Elle me démontais devant tout le monde comme si je n'étais qu'un vulgaire jouet et j'adorais ça. Je jouissait encore et encore sous ses implacables coup de boutoir jusqu'à ce que mes sexes soient à sec me forçant à avoir des orgasmes secs. Après de nombreuses minutes, elle finit par éjaculer en moi à nouveau en de telles quantités que je sentais le gout de son sperme remonter dans ma gorge et envahir ma bouche pour ensuite être expulsé par mon nez. Mon ventre était complètement déformé par sa semence et prenait une forme ridicule. Elle me reposa sur la table et se retira enfin! Mais mon répit fût de courte durée car elle plongea son bras tout entier jusqu'à l'épaule dans mes fesses.

Je me cambra et poussa un cris de désespoir lubrique alors que mon sperme se remit à couler à flot. Elle pressait ma prostate de ses doigts puissant et avec sa main libre, elle plaça sa chope de bière vide sous mes membres. Une fois sa chope en place, elle empoigna fermement mes deux membres et se mis à les branler. Je me mis alors à pousser des sortes de jappements alors que mon esprit s'éteignait sous l'effet du plaisir. Elle me ravagea le fondement, jusqu'à ce que sa choppe soit pleine et finit enfin par me laisser tranquille. J'étais trop épuisé pour bouger et mon anus était grand ouvert alors que le sperme accumulé dans mes entrailles s'écoula hors de moi pendant que mon visage montré que mon esprit s'était perdu dans les limbes de la lubricité.

Le jour qui suivit, le comportement des filles du restaurant changea à mon égard. Elles étaient plus dominantes et arborais des ceintures pourvues de phallus humain avec lesquels elles me demandé de jouer. Je fus alors sauvé par Kazua que m'informa que Maîtresse Mélinda voulais me voir. Après avoir assister à toute la scène, ça ne m'étonnerais pas qu'elle ne veuille plus de moi à la sécurité. Enfin. Voyons voir ce qu'il en retourne. Je me rendis donc comme demandé auprès d'elle et lui dis.

Vous....vous vouliez me voir à ce que l'on m'as dis....ce....c'est à propos d'hier soir?

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Vous nous quittez déjà ? / Petite absence
« le: lundi 21 novembre 2016, 11:17:41 »
Je suis absent du 30 novembre au 5 décembre.

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Dictature d'Ashnard / Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
« le: dimanche 13 novembre 2016, 11:31:22 »
Toutes les tâches dont m'avait parlé maîtresse Mélinda me semblais hors de mes compétences mis à part la cuisine. Je ne sait pas cuisiner à proprement parlé mais je suis le meilleur en ce qui concerne la découpe et la cuisson de la viande. La chef de la cuisine était impressionnante pour une humaine, elle avait comme une aura bienfaisante autour d'elle et le fait qu'elle trouvais ma couleur violette mignonne me remplis de fièreté. Je proposa donc aux deux femmes de montrer mes talents avec la viande car j'ai accumulé plus de 50 années d'expérience en la matière avec mon ancienne maîtresse. Je saisit une carcasse de bœuf et découpa la bête soigneusement avec mes griffes qui étaient plus efficace que les couteaux humains après les avoir bien lavées bien sur. Je préleva alors deux filets que je plaça sur une grille et prit une légère inspiration et cracha une petite flamèche en continue pour allumer le grill.

Comme j'avais un contrôle absolu sur mon feu et l'expérience nécessaire, la viande était cuite à la perfection et le fumet qu'elle dégageait après avoir était cuite au feu de dragon était incomparable. Les deux dames semblaient être ravie du gout mais la chef me fit la remarque comme quoi la viande est parfaite mais le plat est triste et déséquilibré car il n'y avait aucun accompagnement. Je lui expliqua alors que je connaissait tout en matière de viande mais ignorait tout en matière de sauce et accompagnement qui vont avec car je ne me suis jamais occupé d'autre chose que la cuisson dans les plats que je préparais pour ma maîtresse. Cependant, je manifesta mon envie d'en apprendre plus afin de m'améliorer. De toute manière je suis là pour apprendre donc qu'il en soit ainsi. Je commença donc mon apprentissage aux cuisine avec Kazua. Maîtresse Mélinda me confia à elle afin que je commence à faire mes preuve et apprenne les coutumes de son harem.

En tant que protecteur de maîtresse mélinda, je dormais devant sa porte car les lits sont biens trop mous pour moi et je n'arrive pas à dormir dessus. Je n'avais pas manifesté l'envie d'avoir une chambre car je m'y sent trop à l'étroit et je préfère naviguer entre les grandes salles à la recherche d'un potentiel danger. Le matin commence par un grand nettoyage ou les esclaves vont dans les bains communs pour se nettoyer entre eux. Je ne connaissais pas grand monde et ne voulant pas faire peur à qui que ce soit, je restais un peu dans mon coin. Je passais le plus clair des jours qui suivirent avec Kazua qui m'apprenait tout ce qu'elle savais sur les sauces et les accompagnements et moi, je lui appris une ou deux nouvelles astuces sur la viande car j'avais un peu plus d'expérience sur le sujet. Il m'arrivait également de faire le service vêtu uniquement de mon tablier mais contrairement aux autres, personnes n'osait me mettre la main aux fesses.

Cependant, j'ai faillit causer un désastre car un client ivre s'est mis à frapper une serveuse. Ce qui m'as vite fait bouillir le sang. J'eus vite fait de le saisir à la gorge et il s'en est fallu de peu que je fasse l'erreur de l'étriper. Au lieu de cela, je me contenta de le mettre dans les poubelles avec les déchets. Là ou était sa place. Mon instinct à faillit me jouer un tour mais cela à causé un certain émoi. J'ai fait l'erreur d'intervenir alors que j'aurais du appeler la sécurité, ce qui à fait peur à certains clients. Le bon point c'est que je ne l'ai pas tué mais il en ressort tout de même que j'ai fauté. Cela fait à peine deux semaines que j'ai commencé mon apprentissage en cuisine et voila que je fait une bêtise qui m'amène devant maîtresse Mélinda qui avait un regard assez sévère. En ce qui me concerne, j'était tout honteux. Kazua plaida pour ma cause en expliquant qu'il n'y avais aucun membre de la sécurité en salle et qu'il y avait urgence.

De plus elle mentionna le fait que la viande grillée par mes soins attirait plus de clients que je n'en avais fait fuir. Mais le fait est que j'allais devoir être punis pour l'exemple. J'indiqua à Kazua que ce n'était pas grave et que j'accepterais ma pénitence car il faut que j'apprenne à maîtriser mes instincts. Je savais que Maîtresse Mélinda n'allait pas me chasser car je n'ai tué personne, j'ai juste fait une peur bleu à un mec qui à frappé une serveuse....... il s'en est quand même fallu de peu pour que je commette l'irréparable, mais j'ai quand même respecté les ordres en ne tuant personne. C'est une erreur de nouveau venu pas un acte de désobéissance.

J'admis donc mon erreur et indiqua à maîtresse Mélinda que j'accepterais son châtiment quel qu'il soit. Dans le but de m'aider à mieux maîtriser mes instincts et d'avoir de meilleurs réflexes d'agissement quand aux coutumes du harem.

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Dictature d'Ashnard / Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
« le: vendredi 11 novembre 2016, 07:44:46 »
Les travaux que maîtresse Mélinda me proposa me semblais hors de portée car tout ce qui est juridique et comptabilité est très surfait pour un dragon. De plus, je ne pense pas être très adapté pour tout ce qui est blanchisserie et entretien de chambre car manipuler des tissus fragile avec des griffes comme les miennes mènerais à coup sur au désastre. Il ne restais plus donc que l'option cuisine car je faisait des miracles avec la viande.

J'ai plus d'affinité avec la cuisine, de plus je grillais et fumais de la viande pour une de mes anciennes propriétaires qui était alchimiste, elle m'avais confié que la viande rôtie et fumée au feu de dragon avait des vertus revigorantes pour les humains et accroissait la longévité, ce qui fait du sens étant donné qu'elle est morte très agée pour un humain.

Quand elle me parla de la guilde, bien que je ne pensais pas avoir besoin d'entrainement, je ne la contre dis pas et me contenta simplement d'acquiescer en prétextant que ma vie lui appartenais après tout. Et en y repensant, ce n'est pas nécessairement une mauvaise chose car s'il est possible de faire de moi un meilleur protecteur pour ma bienfaitrice alors autant en profiter.

Ma maîtresse avait également remarqué la façon dont je regardais certaines de ses esclaves et j'admis à contre coeur :

Ce n'est pas le fouet ou la domination qui m'as attirer car le fouet me tape sur le système et me donne envie de tuer. Les dragons aiment le calme, nous ne craignons pas le fouet car pour nous ce n'est qu'une simple piqure d'insecte, mais le bruit nous rend complètement hystérique surtout quand on dors. J'ai d'ailleurs arraché la tête d'un de mes maître à coup de dents à cause de ça. Quand à ce qui est de la domination, je préfère cela car comme ça je suis certain de ne pas faire de mal. Non, ce n'est rien de tout ça qui à attisé mon excitation. Disons que je jalouse leurs faiblesse. Car ce qui m'a excité est le fait de les voir attaché et impuissante, cela me donne envie d'être à leurs place. mais malheureusement pour moi, c'est impossible. Voyez vous même.

Je m'avança vers une esclave enchainée et montra à ma maîtresse à quel point il m'était facile de briser une chaine de métal puis la remis en place en tordant le métal.

Comme vous pouvez le voir, même l'acier le plus solide est trop fragile pour me retenir, j'avoue que à certains moments, j'aurais aimé être d'une autre espèce pour pouvoir me faire ligoté sans espoir de m'échapper, être incapable de bouger d'un pouce entourée d'humains avide de mon corps, mais c'est infaisable sans être magicien.

J'observa encore un peu les femmes portrait jaloux de leurs condition sachant que dans mon cas, les chaines qui les retiens auraient déjà été brisée. Je fût tout de même intrigué par ce qu'elles avaient entre les jambes, car je n'avais jamais vu d'objet pareil. Je chassa ses pensées de mon esprit car je savais que c'était quelque chose auquel je n'aurais jamais accès. Je m'étais fait une raison. Pour changer de sujet, je proposa à Maîtresse Mélinda de me montrer la cuisine afin que je lui fasse gouter à mes talents de rôtisseur. Mon ancienne maîtresse pour qui je grillais la viande trouvais que mon feu lui donnait une saveur particulière qui donnais un gout bien meilleur qu'avec du feu ordinaire.

Les cuisines renfermaient énormément de viande et je suis sur que de faire cuire toutes ses bonnes choses au feu de dragon va permettre de vendre plus de nourriture étant donné que cela donne de la vigueur et favorise la longévité des humains. Mais en ce qui me concerne, j'ai toujours trouvé cela idiot de la part des humains de payer pour de la nourriture. Bah! Ce n'est pas vraiment mon problème. Il y avais beaucoup de femelle en cuisine dont certaines ne portait qu'un tablier. C'est alors qu'une personne s'avança vers nous pour accueillir maîtresse Mélinda. Sans doute la chef de la cuisine. Je vais attendre que les présentations soit faites, je n'ai pas envie de paraître grossier.

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Dictature d'Ashnard / Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
« le: lundi 07 novembre 2016, 11:19:23 »
Donc si je comprenais bien pour rester auprès de ma maîtresse, je devais rester au harem. Bonne chose à savoir, mais le fait de ne pas pouvoir faire du mal au clients me dérangeais. J'émis toutefois une objection naturelle. J'acceptais de ne tuer personne et de ne faire mal à personne sauf en cas de danger pour ma vie ou la sienne. Bien que ma gratitude envers ma nouvelle maîtresse était illimité, si quelqu'un attente à ma vie ou à la sienne, il est hors de question que je reste à ne rien faire.

Qui plus est, je n'ai pas besoin de sécurité. Si quelqu'un se conduit de façon déplaisante, je peux le mettre dehors moi même. Cependant comme cela impliquait de faire du mal car les humains sont fragile, je consentis à contre cœur au fait d'appeler la sécurité en cas de soucis, mais je resta ferme sur l'urgence vitale en expliquant que dans le cas ou ma vie est menacée, mon instinct me poussera à survivre et à riposter. C'est une chose que je ne peux pas contrôler.

Bref, il sera nécessaire d'établir des limites. Celle-ci sont encore floue pour moi mais il est vrai que je dois m'acclimater à ma nouvelle vie. La question suivante m'interloqua un peu. Mais il est vrai que je ne me suis jamais posé de question sur ma sexualité. Je répondis simplement que le genre n'avais pas d'importance à mes yeux. J'avoua avoir une certaine curiosité envers les mâles et avoir apprécié mes relation avec maîtresse Mélinda et Rose donc cela faisait que je n'étais pas très regardant sur le genre.

Ayant bien dormis et bien mangé, je demanda alors s'il était possible de me faire découvrir le harem, de m'apprendre ce dont j'avais besoin de savoir. Je me mis donc à suivre et écouter Rose et maîtresse Mélinda car tout ceci était nouveau pour moi et il me faut apprendre les bases de ma nouvelle vie. Je suivit donc les deux femmes comme leurs ombre afin de découvrir le fameux harem. Il y avais de tout et toute sortes de clients de toutes sortes de races différentes. Je jalousais les esclaves qui étaient attachées et dominées.

Malheureusement pour moi, aucun lien ne peux me retenir. Certains ont vraiment de la chance d'être faible. Quoi qu'il en soit je détourna le regard pour éviter d'être trop frustré. Mais en général, les esclaves étaient heureux. Je posa quelques questions sur les us et coutumes de l'endroit et sur leurs vies, ce qui m'encouragea à respecter les consignes de maîtresse Mélinda à la virgule près afin de pouvoir rester car la vie semble très agréable ici et offrir son corps est un petit prix à payer pour ce privilège.

Mais pour vraiment s'adapter, c'est comme l'eau froide, il faut la faire chauffer petit à petit avant d'y entrer. Il faut donc que je commence à pratiquer et demanda donc des tâches à faire, des petites tâches simple pour commencer car il ne faut pas bruler les étapes, donc je demanda à ma maîtresse :

Est ce que vous auriez des tâches simple à me faire faire dans le harem afin que je puisse m'y habituer? Comme je l'ai juré, je ne ferais de mal à personne quoi qu'il arrive sauf si ma vie ou la votre est en danger immédiat.

J'avais envie et c'est tout naturel, de bien faire les choses car l'endroit me plaisait même si je sais que pour le moment, je n'y ait pas complétement ma place, mais je pense qu'avec le temps, je pourrais appeler cet endroit mon foyer, mon refuge.

Il me suffit juste de contrôler mon instinct et ma force pour ne pas créer d'incident. Rah! comme j'envie les humains! Ils sont si faibles qu'ils peuvent se faire attacher eux! Et personne n'a peur d'eux et ils ne crée pas d'accident. Rah! il faut que j'arrête d'y penser, je me fait du mal. Prenons les choses comme elles viennent et on verra bien.

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Dictature d'Ashnard / Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
« le: mercredi 02 novembre 2016, 11:17:54 »
Pour le compte, j'avoue avoir faillit être traumatisé par les femelles jusqu'à la fin de mes jours, mais il s'avère que je n'ai fait aucun dégâts à ma nouvelle maîtresse, ce qui est un soulagement. Et puis, d'un autre côté, il me semble que les vampires guérissent de leurs blessures non? Mais en même temps si je lui brise la colonne vertébrale en la serrant trop fort j'ai quand même des doutes sur le fait qu'elle guérisse de ça. Toutes ses pensées me font froid dans le dos ce qui est très désagréable pour moi.

Il va falloir que je soit plus prudent à l'avenir... toutes ses émotions m'ont exténués. Je ferais bien une sieste. Un bâillement s'échappa alors de ma gueule, les dragons dorment beaucoup et certains font des siestes qui durent des siècles. J'avais l'impressions de pouvoir dormir un millénaire si je le pouvais la tout de suite. Mais j'exagère. Je m'installa donc sur le sol à côté du trône de maîtresse Mélinda et me roula en boule pour piquer un petit somme. J'avais tellement sommeil que j'oublia de demander la permission de me mettre la.

Mon métabolisme de reptile me permet difficilement de résister au sommeil. Je dormis comme une masse et à cause de tout à l'heure, je me mis à rêver que je me faisait violer par des terranides lapins. Un des mes rêves récurrents depuis que j'ai atteint la maturité sexuelle pour mon espèce. Cette fantaisie que j'ai d'être faible et sans défenses. Dommage que cela n'arrivera jamais. Les dragons ne sont pas conçu pour être comme cela. Bizarrement, dans mon rêve, les mâles lapins qui me violaient se transformèrent en lapines qui me chevauchait et je me sentit doucement tiré de mes songes.

Quand j'ouvris l'œil, je vis Rose empalée sur mes verges, le ventre distordu par leurs formes obscènes et l'entre jambe ruisselant de ma semence brulante avec maîtresse Mélinda qui regardais avidement la scène depuis son trône. Mon sommeil était tellement lourd, que je ne me suis rendu compte de rien. Rose était toute haletante chevauchant mon bassin et le regard dans le vague. Surpris, je n'osa pas bouger et attendit qu'elle s'enlève d'elle même. Combien de temps j'avais dormis? Au vu de mon estomac qui gargouille, plusieurs heures. Les gargouillis de mon ventre tirèrent heureusement Rose de sa transe lubrique et cette dernière s'enleva de sur moi.

Je me releva affamé. Je savais qu'étant dans un harem je devais gagner ma croute avec mon corps mais en l'occurrence, on m'avais promis un gâteau. Je suivit maîtresse Mélinda et mangea avec elle car il est hors de question que je laisse qui que se soit faire du mal à ma bienfaitrice. Cependant, j'étais curieux et j'avais plusieurs questions que je lui posa.

En entrée, j'eus droit à un cuisseau de biche bien grillé et demanda à maîtresse Mélinda qui la protègera si je sert un ou une de ses clientes du harem? Pendant le plat principal qui était un cochon de lait braisé avec une pomme dans la bouche, je lui demanda comme marche le harem et comment je suis sensé servir les clients? et pendant le dessert qui fût un gros gâteau au chocolat, je ne posa aucune question car j'était trop occupé à savourer ma récompense. Cependant je me demande à quoi va bien pouvoir ressembler le ou la première cliente que je vais servir. Je verrais bien de toute façon, qui vivra verra.

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Dictature d'Ashnard / Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
« le: jeudi 27 octobre 2016, 22:17:02 »
Je me sentis soulagé de ne pas avoir effrayé Rose. Les gens voient tellement un monstre en moi que inconsciemment je pense la même chose. Cela m'apaisa de voir maîtresse Mélinda me monter dessus. Ma première fois avec une femelle. Elle s'empala sur mes membres sans crier mot. Je sentis le sommet de mon sexe cogner contre le fond de son sexe ou le col de son utérus? Difficile à savoir mais en penchant la tête, je vis que la moitié de mon sexe était en elle. A mon avis j'ai buté contre le col. Si la température d'un corps humain est de 37 degres, celui d'un dragon est plus élevé environ 64 degrés. Son sexe était froid au toucher et je sentais ma chaleur se rependre en elle. Je fus saisit de prendre ses hanches entre mes mains mais à la place je poussa un petit cri de plaisir et planta mes griffes dans le sol. J'avais peur de lui faire mal.

J'essaya d'être le plus soumis possible et de la laisser tout faire. Bien qu'elle m'avais promis un gâteau, je ne pouvais pas me résoudre à me montrer actif. Je n'ai jamais insérer mon sexe dans un être vivant et je dois avouer que c'est une sensation saisissante. J'avais l'impression que mes verges étaient enfermées dans des étaux de chair qui les malaxais de haut en bas. Les mouvements de maîtresse Mélinda étaient un supplice et un délice. Le genre de supplice qui fait très lentement monter votre barre d'orgasme pour vous pousser à supplier que l'on vous achève et vous fasse basculer dans le délice absolu. Je me décida donc à faire de petits mouvement, les plus petits et saccaddés possible afin d'accroitre légèrement le plaisir que je ressentais. Je n'aurais pas du faire ça. A cause de ses petits mouvements que j'ai initiés, le sommet de mon sexe s'est parfaitement emboité avec le col de son utérus faisant accidentellement et intégralement entrer mes sexes en elle.

Mes sexes déformèrent légèrement le ventre de maîtresse Mélinda faisant naitre une petite bosse de chair pointu au sommet de son ventre. Surpris je poussa un cri de plaisir et m'excusa une fois de plus. Je me sentais confus et perdu et pensais lui avoir fait mal, ce qui me poussa à me redresser pressant accidentellement mon sexe dans le sien. Je pris peur et essaya de me retirer mais comme mon sexe avait pénétrer son utérus il était coincé en elle. Paniqué je donna de petit accoups pour me dégager mais sans succès. Le sexe des dragons est conçu pour empêcher tout retrait avant l'éjaculation car à cause de sa forme conique et courbé, le sommet de mon sexe accroche l'entrée de l'utérus pour empêcher la femelle de s'enfuir, sauf que dans le cas actuel s'était moi qui voulais m'enfuir.

Je me courba et me roula en boule pour attraper le clitoris de ma maîtresse avec la langue et tira légèrement dessus pour étirer un peu son sexe afin de me permettre de me retirer mais à cause d'un liquide étrange au sol, je glissa et lâcha prise empalant violemment ma maîtresse sur mes membres à nouveau. Je m'excusa encore et encore avec des larmes aux yeux car je pensais vraiment lui faire mal. Toutes mes solutions ayant échouée, il ne me restais plus que la méthode naturelle pour y parvenir à savoir l'éjaculation. Je m'excusa encore et encore et commença à me déhancher frénétiquement. Cependant les dragons sont des reptiles et donc on mets beaucoup plus de temps que les créatures à sang chaud pour jouir. Il me fallu pas loin d'une demi heure pour atteindre le nirvana et relâcher mon plaisir à l'intérieur de ma maîtresse dans un râle jouissif mais je pus enfin me retirer grâçe à la rétractation de mon sexe à l'intérieur de mes écailles.

Ses orifices ruisselaient du liquide épais et presque brulant que j'avais relâché en elle. Comme mon autre sexe était dans ses fesses je pense que ça à limité les dégâts mais ce qui me rassura c'est qu'il n'y avais pas de sang. En même temps comme elle est un vampire je ne sait pas si c'est une bonne chose.

Je demanda alors à ma maîtresse après m'être excusé une nouvelle fois :

Vous ..... vous allez bien? Je suis vraiment désolé! Je...Je... c'était ma première fois avec une femelle et j'ai tout fait de travers! Pardon!

Je me sentais mort de honte. Je ne savais vraiment pas comment faire plaisir à une femelle, c'est sans doute pour cela que j'ai cette curiosité envers les mâles. Mais vu ce qui est arrivé avec le premier, je ne pensa pas qu'il y en ait d'autres derrière. Mais en même temps j'avais à peine 50 ans. J'étais qu'un gamin. Quoi qu'il en soit je me mis à lui lécher la joue pour essayer d'apaiser ce que je pense être de la souffrance.

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