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Messages - Alexandre Dowell

Pages: [1] 2 3 ... 14
1
Centre-ville de Seikusu / Re : Femme de main [Natacha Landefeld]
« le: lundi 04 mars 2019, 00:56:38 »
La Lycane était… Fidèle à l’image qu’on pouvait se faire des Lycans. Elle grognait sur place, prête à vouloir dévorer qui que ce soit. Avec son sang qui tambourinait dans sa poitrine, n’importe quel convive avait pu sentir sa présence, et deviner qu’elle n’était pas comme les autres. Lisbeth s’amusait doucement, en voyant que Natacha était partagée… Partagée entre l’envie d’envoyer tout simplement chier cette vampire qui venait lui casser les pieds, et celle de lui parler… Surtout quand Lisbeth parla de latex. La vampire se déplaça ensuite doucement, et remplit son verre d’un vin plus violent que celui que Natacha prenait : de la liqueur de cerise.

« Tiens, si tu veux quelque chose qui soit adapté à une Lycane… »

Lisbeth avala quelques gorgées de cet alcool fort, tout en laissant Natacha lui expliquer ce qu’elle pensait de son frère, souriant doucement. Elle gloussa même quand elle indiqua que sa robe « lui grattait le cul ».

« Ce type de robe est pensée pour être portée nue, ma belle… Mais, puisque ça te gratte, peut-être devrais-je t’aider, non ? »

Souriant malicieusement, Lisbeth reposa le verre sur le buffet, puis se glissa dans le dos de la femme. Elle caressa ses hanches doucement, se glissant dans son dos, et descendit encore, frottant l’ourlet de ses fesses. Lisbeth souriait malicieusement, tout en poursuivant, comme si elle arrivait à lire en Natacha comme dans un livre ouvert :

« Alexandre était sacrément con il y a des années, tu sais… Le sexe l’effrayait, et il était… Frustré. C’est moi qui l’ai aidé à aller mieux, à accepter cette dimension de lui-même. Tu ne me croiras sans doute pas, mais il apprécie beaucoup les femmes comme toi. Celles qui ne mâchent pas leurs mots. Il aime s’entourer de femmes puissantes et fortes… »

Lisbeth caressait les fesses de Natacha, et gratta sa peau à travers la robe.

« C’est là que ça gratte ? Ou là ? »

Elle déplaça sa main à nouveau, la rapprochant de sa croupe, et la gratta encore. Pas de gêne, aucune hésitation dans le comportement de la femme. Lisbeth profitait de l’agréable corps de Natacha. Même si elle n’aimait pas cette robe, il fallait bien admettre que celle-ci la moulait très bien.

Tout en faisant cela, Lisbeth approcha ses lèvres du creux du cou de Natacha, et mordilla doucement sa peau, venant la lécher. Un agréable suçon vampirique, témoignant de sa maîtrise, mais aussi de sa sensualité.

« Tu voudrais voir, Natacha ? » demanda-t-elle alors brusquement.

Voir quoi ? Lisbeth libéra les fesses de Natacha, et s’écarta alors d’elle, récupérant son verre.

« J’organise une réception spéciale ce soir, avec certaines amies… Une séance de sadomasochisme. Tu pourrais venir voir si cela te plaît, non ? Ou alors, tu peux rester ici, et trouver quelqu’un pour te gratter ton magnifique petit cul à ma place. Qu’en penses-tu ? »

Dit comme ça, le choix semblait être assez évident…

2
Dictature d'Ashnard / Re : La Tueuse [Nephtys Mora]
« le: lundi 04 mars 2019, 00:56:26 »
Au sein de l’Empire, le clan Dowell n’était effectivement pas un petit clan. Assez ancien, le clan disposait de ce qui était le plus important aux yeux de l’Empire : des capacités militaires. Le clan avait fait partie de ces clans historiques qui employaient jadis des armées de Lycans. Ces clans avaient historiquement fait face à une rébellion massive de Lycans, une rébellion qui avait entraîné l’effondrement de plusieurs clans. Les Dowell avaient su s’adapter, et continuaient encore à entretenir des régiments de Lycans, mais de manière moins prononcée qu’auparavant. Ils disposaient aussi de nombreux vampires se battant pour le clan, de bataillons humains, de magiciens... De fait, si les Dowell n’avaient jamais eu d’Empereurs, ils avaient souvent siégé au Conseil Impérial, et des rumeurs ourdissaient dans la capitale. Tout le monde connaissait l’ambition légendaire d’Alexandre, et son désir de rejoindre le Conseil Impérial. Un désir qui était soutenu discrètement par plusieurs Conseillers voulant se débarrasser de certains de leurs confrères siégeant au Conseil, des individus devant davantage leur place à leurs relations qu’à leurs talents.

Nephtys finit enfin par arriver, et des gardes la conduisirent au bureau d’Alexandre. Assis sur son fauteuil, celui-ci la vit entrer, percevant rapidement son puissant sang démoniaque. Nathaniel salua Nephtys également, et le vampire perçut une légère ondulation sanguine dans son battement cardiaque quand Nephtys le salua, se rappelant visiblement du vampire.

« Le plaisir est partagé, Dame Mora... Bien que je doive admettre m’attendre à vous voir plus tôt. J’imagine que la route a dû être longue ? Vous voulez boire quelque chose ? »

Alexandre s’était relevé, et récupéra une bouteille d’alcool, remplissant plusieurs verres.

« Vos oreilles ont bien entendu, et je sollicite effectivement vos services, Dame Mora. »

Pouvait-il lui faire confiance ? Nathaniel lui avait assuré qu’elle était une indépendante, et, si Alexandre avait mené sa petite enquête, celle-ci n’avait pas abouti. Il n’avait obtenu aucun élément confirmant que la Sanglante pouvait être de connivence avec l’un de ses rivaux politiques. Alexandre regarda donc par la fenêtre pendant quelques secondes, avant de reprendre :

« L’Empire est vaste, Dame Mora, vous le savez autant que moi... Et, avant que vous n’en doutiez, sachez que je suis un fervent patriote. Les Dowell ont toujours très largement contribué à l’essor de l’Empire, que ce soit par notre contribution militaire, ou par le paiement de nos taxes. Un attachement historique, car l’Empire est pour les êtres comme nous un lieu de refuge. Ici, l’Ordre Immaculé ne peut pas nous persécuter comme le font les Inquisiteurs à Nexus. »

Un fait authentique. Les vampires n’étaient pas très bien vus à Nexus, et l’Ordre Immaculé les assimilait à des engeances démoniaques, eux-mêmes mal vues par l’Ordre.

« Des éléments d’information que mon clan a réuni démontrent que plusieurs nobles impériaux, dont certains de haut rang, sont liés à l’Ordre Immaculé. Vous avez certainement dû entendre parler de ces sectes religieuses revendiquant agir au nom du Dieu unique ? »

L’Ordre Immaculé avait toujours eu une place très résiduelle au sein de l’Empire, pour ne pas dire inexistante. Quoi de plus normal, après tout ? Les Ashnardiens étaient peuplés d’humains et de démons méprisant les vertus religieuses de l’Ordre Immaculé. Mais, récemment, le Conseil Impérial avait eu état de plusieurs rapports soulignant l’existence de sectes religieuses fanatiques se revendiquant de la doctrine de l’Ordre.

« Notre clan a enquêté sur les circuits de financement et de recrutement de ces sectes. Nous avons ainsi pu découvrir que certaines maisons impériales influentes sont derrière ces sectes... Soit par conviction religieuse, soit, et ce serait là plus ashnardien, par envie de déstabiliser d’autres familles rivales. Toujours est-il que l’instrument judiciaire classique est contrarié.
 -  Il nous sera difficile de les traîner en justice, Nephtys, même si ce sont des traîtres.(/b]
 -  Et c’est là que vous intervenez. Nathaniel m’a vanté vos vertus et vos capacités de combat... Même s’il avait sous-estimé votre beauté.
 -  Il me semblait pourtant avoir dit qu’elle était magnifique.
 -  Pas à ce point. »

Charmeurs, comme des vampires se devaient de l’être !

3
Dictature d'Ashnard / La Tueuse [Nephtys Mora]
« le: lundi 25 février 2019, 00:53:06 »
« Elle est en retard...
 -  Un aléa sur la route, peut-être ? » suggéra Nathaniel.

Nathaniel Dowell était l’un des frères d’Alexandre, un homme du clan et un haut-gradé impérial. Son visage angélique aux yeux bleus profonds était tempéré par une balafre qu’il avait hérité sur un champ-de-bataille. Une vilaine lézarde que sa constitution vampirique n’avait pas encore totalement soigné. Plutôt beau, Nathaniel était aussi talentueux, expérimenté, et formait un soutien idéal pour cette mission.

« Tu sais l’importance que j’attache à la ponctualité, Nathaniel.
 -  Les belles femmes doivent savoir se faire désirer, mon frère, tu n’es pas d’accord ? »

Sans lui répondre, Alexandre se rapprocha de la fenêtre sur son bureau. Elle donnait vue sur une partie du jardin. Le manoir Dowell était une belle bâtisse située au cœur du domaine Dowell, une région agricole et verdoyante comprenant plusieurs villes, et même d’autres forteresses. Alexandre Dowell était le Maître d’un clan vampirique qui dirigeait une province impériale, et chaque membre de sa famille dirigeait différentes parties de la seigneurie, élisant leur siège dans les forteresses du domaine. C’était une organisation féodale adaptée au clan vampirique, qui se réunissait mensuellement pour évoquer la bonne santé du domaine.

Le manoir était assez élégant, avec un grand jardin interne aménagé, abritant une volière, un labyrinthe... Le manoir en lui-même comprenait plusieurs terrasses ainsi que des dépendances. Alexandre y songeait fugacement tout en attendant la venue de La Sanglante. Nephtys Mora était une tueuse ashnardienne redoutable, une mercenaire démoniaque qui aimait le danger, mais pouvait aussi faire preuve d’une certaine arrogance... Car, contrairement à Nathaniel, Alexandre pensait que le retard de la démone rouge n’était nullement involontaire.

Il grommela doucement, avant de l’observer :

« C’est toi qui m’as parlé d’elle, Nathaniel... Tu la défends avec une telle spontanéité. Je crois qu’elle t’a plutôt plu. »

Nathaniel ne pouvait contester. Lors d’une récente bataille, il avait eu l’occasion de la voir lors d’une réunion d’urgence avec le Maréchal en charge de la bataille. Celui-ci avait demandé à Nephtys de s’infiltrer dans le château-fort ennemi, un puissant bastion solidement défendu afin de tuer le stratège ennemi, un général talentueux qui avait réussi à tenir tête à la Légion Impériale.

« Elle est douée, Alexandre...
 -  Mais en retard. »

Le vampire haussa les épaules.

« Crois-moi, tu ne la regretteras pas.
 -  Pour que tu la défendes autant, j’espère bien... »

Il fallait maintenant attendre.

4
Dictature d'Ashnard / Re : Servir & Obéir [Narmacille]
« le: dimanche 17 février 2019, 14:54:29 »
Cette femme avait le potentiel d’être belle, le potentiel d’être une excellente courtisane. Alexandre l’avait senti dès qu’il l’avait acheté... Mais il fallait encore la dresser pour cela. Elle était encore fière, impertinente, pensant sans doute que, en raison de son joli minois, Alexandre n’oserait pas la dresser comme il le fallait. C’était se méprendre gravement sur la nature du vampire, qui n’était pas connu pour être quelqu’un de très patient... Et qui pouvait parfois se montrer extrêmement cruel. Il ne dressait pas ses esclaves avec la douceur d’une Mélinda Warren, ce n’était pas son style. Il éprouva pendant quelques secondes le fouet, souriant en constatant que Narmacille se montrait encore impertinente, toujours aussi rebelle.

*Qui sème le vent...*

Le fouet vint mordre le cul de Narmacille, comme un serpent affamé. Il se planta dans sa chair, arrachant à la femme un hurlement, qui était autant un cri de surprise que de douleur. Sans doute n’avait-elle pas cru qu’Alexandre irait jusqu’au bout... Ce qui était une grave erreur ! Narmacille hurla encore quand le fouet s’abattit encore sur elle, et continua à se tortiller sur place. Alexandre la fouetta encore, sentant le sang affluer dans tous les sens dans le corps de cette traînée. Il s’arrêta après la première salve de cinq coups de fouet.

Le cul de Narmacille avait pris une teinte rougeâtre, ainsi que le bas de son dos, chaque coup ayant labouré sa chair, faisant perler le sang, qui pointait à vif. Alexandre s’arrêta pendant quelques instants, entendant la jeune femme hurler en le suppliant.

« Normalement, ce n’est pas à moi de faire ça, précisa-t-il. J’ai des bourreaux pour faire ça... »

Il releva alors le fouet, et l’abattit violemment à nouveau sur son corps, arrachant à la femme un autre hurlement. Alexandre fit signe aux gardes, qui sortirent alors, sans demander leur reste. La porte fut ensuite verrouillée, et Alexandre laissa encore passer quelques secondes. Dans son dos, Narmacille, si elle en avait encore la force, put entendre divers bruits, le son de vêtements qui glissaient, puis le cliquètement d’une ceinture tombant au sol. Alexandre se déshabilla intégralement, et se rapprocha du corps de la femme. Elle avait du mal à conserver ses appuis avec ses jambes, le sang commençant à ruisseler sur son corps.

C’était une scène de torture, tout simplement... Mais, si elle espérait susciter la pitié de son bourreau, elle se trompait lourdement. Elle sentit Alexandre se lover contre elle. Sa main vint caresser sa gorge, et ses lèvres s’approchèrent de son oreille... Mais, surtout, elle pourrait sentir, contre le renflement de ses fesses, la bosse tendue et assoiffée du sexe de l’homme. Un membre érectile qui se dressait fièrement et qui la caressa intimement, tandis qu’il se mettait à sourire malicieusement.

« ...J’adore battre les putes comme toi. Supplie-moi, ça m’excite ! »

Il se redressa alors, non sans avoir mordillé au passage le cou de la femme, puis récupéra le fouet. Nu, il abattit le fouet une septième fois, en ponctuant désormais les coups de jurons bien sentis, comme pour rythmer chaque séance :

« SALOPE ! SALE PUTE ! CHIENNE ! SALOPE !! »

Et, à chaque juron, un coup de fouet venait, continuant à ouvrir le corps de la femme, à la saigner... Peut-être espérait-elle tomber dans les pommes, mais la douleur n’avait pas d’effet anesthésiant. Au contraire, la souffrance vous maintenait en vie, et l’homme poursuivit donc, jusqu’à atteindre la vingtaine de coups de fouet.

Narmacille était méconnaissable. Son dos était ravagé, tout comme ses fesses. Du sang dégoulinait sur le sol, glissant le long de ses jambes. Alexandre soupirait lourdement, son érection toujours aussi présente, et attrapa une fiole bleuâtre qui traînait sur la table, et se rapprocha de la jeune femme. Il alla se poster devant elle. Les yeux de la femme flottaient dans le vide, comme si elle peinait à les garder ouverts. Sa main se posa sur le menton de Narmacille, la forçant à relever le regard.

« Ne t’inquiète pas, je vais te soigner, ma belle... Tu dois être présentable pour ce qui va venir ensuite. »

Il relâcha ensuite sa tête, puis décapsula la fiole. C’était un élixir d’Hirondelle, un élixir cicatrisant. On pouvait l’ingurgiter par la bouche, ou directement le répandre sur les plaies, ce qu’Alexandre fit. Le liquide bleuâtre émit quelques sifflements au contact de la peau de la femme. La cicatrisation ne serait pas instantanée, mais, d’ici demain matin, Narmacille serait prête.

En attendant, Alexandre se rapprocha du treuil commandant les chaînes, et les releva, ce qui redressa le corps de la femme. Alexandre put ainsi la forcer à se mettre en position de levrette, et, tout en souriant, la pénétra brutalement.

Pour dresser cette femme, rien n’allait lui être épargné !

5
La zone industrielle / Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
« le: mardi 12 février 2019, 07:19:59 »
L’amour de Rachele, la haine de Max... Alexandre devait battre le chaud et le froid en jouant avec des sentiments proches, et en même temps radicalement opposés. Car il voulait le beurre et l’argent du beurre. Il voulait à la fois la dévotion de Rachele et la rage noire de Max. Mais, en sondant l’esprit de sa concubine, Alexandre avait compris que Max était née de la peur que Rachele avait ressenti, de ses frustrations et de ses faiblesses, comme une sorte de ligne de défense par rapport à tout ce qu’elle avait subi. En modifiant le passé de Rachele, il avait fait croire à celle-ci que ce passé funeste avait été en partie évité grâce à lui. De cette manière, il s’était effectivement attiré la dévotion de Rachele, mais il avait aussi mis fin au traumatisme initial ayant provoqué la naissance de Max. C’était simple sur le papier... Mais, en réalité, l’esprit humain ne fonctionnait pas de manière aussi binaire, de manière aussi simple. Max était toujours , elle avait juste besoin... D’un stimulant.

Et Alexandre savait quoi faire.

Il n’avait pas encore abattu toutes ses cartes, mais, pour l’heure, il s’unissait de nouveau avec sa partenaire. Allongé sur elle, il pénétrait donc Rachele, tout en stimulant ses instincts de guerrière, en offrant à la femme une offrande sanglante et cruelle. Elle n’était pas encore une vampire, de sorte que ce cœur palpitant ne devrait pas l’exciter autant que lui... Mais Alexandre avait marqué la femme, et la magie rouge pulsait instinctivement en lui, excitant également la femme, lançant une sorte de magnétisme ambiant qui emballa Rachele. Elle lécha à son tour l’organe, qu’Alexandre tenait entre eux, et donna un brusque coup de reins.

Sous eux, le sang du cadavre s’étalait sur le sol, glissant le long de leurs jambes, formant une flaque rouge, tandis que le sang fusait également du cœur bouillonnant. Alexandre planta ses crocs dedans, à l’emplacement des artères gauches, qui ressemblaient à des tuyaux venant nourrir l’organe principal. C’était l’organe préféré des vampires, et, même si la viande en elle-même n’était pas très bonne, il était surtout gorgé de sang. Et, là, ce sang était encore tout frais, vu qu’Alexandre venait de l’extraire d’un corps vivant. Rachele ne le savait pas, mais les vampires détestaient le sang coagulé. C’était un sang épais, caoutchouteux, comparable à du vin frelaté. Là, c’était un délicieux festin. Toutefois, quand il déchira avec ses dents les artères de la carotide et de la sous-clavière, le sang explosa encore, tombant sur le corps de Rachele, venant recouvrir la moitié de son visage et le haut de sa poitrine, tout en renforçant l’érection d’Alexandre. Ses yeux avaient viré à un rouge carmin, tandis que sa queue durcit encore, jusqu’à prendre la forme d’une verge canine, se contractant à l’entrée du vagin de sa femme, formant comme une sorte de nœud qui empêchait Alexandre de la retirer.

« Hmmm... »

Il lécha ensuite, avalant ce sang, le suçant, puis sa langue croisa celle de Rachel, et il l’embrassa alors, son visage ensanglanté se heurtant au sien. Ils baignaient dans le stupre et le sang, et le vampire accéléra le rythme, l’intensité de ses coups de reins. Il la baisait sauvagement, bestialement, brutalement contre le sol. Pas de romantisme abstrait, mais de l’érotisme sauvage, purement vampirique. Du sexe entre prédateurs se gargarisant de la proie qu’ils profanaient sans vergogne.

« Là... Oui... »

Elle était belle, si belle, majestueuse et somptueuse.. Vampirique.

Quand il rompit son baiser et grogna, elle put voir ses canines, de belles dents pointues. Il grogna encore, et planta ses crocs dans son cou, venant boire son sang, la marquant encore, faisant d’elle définitivement la sienne. Le sang de Rachele explosa dans sa gorge, mais il n’en prit que quelques lampées... Ce qui allait déclencher chez elle un orgasme incontrôlé. De base, l’Étreinte était quelque chose qui exerçait sur les humains un effet hypnotique, sans doute du fait de cette sensation névralgique et euphorisante de perdre un peu de sang... Mais, avec le lavage mental qu’avait subi Rachele, l’effet serait décuplé.

Il voulait la faire jouir, qu’elle jouisse en ayant léché un cœur humain, qu’elle ressente du plaisir au milieu de la cruauté et de la violence.

C’était le premier pas de sa reconstruction.

6
Centre-ville de Seikusu / Re : Femme de main [Natacha Landefeld]
« le: lundi 04 février 2019, 01:15:55 »
De toutes les personnes gravitant autour d’Alexandre, Lisbeth avait un statut des plus particuliers. Elle était sa plus proche sœur, l’une des rares personnes qui n’avaient pas peur du vampire, et à qui Alexandre était redevable. Une femme libertine et provocatrice, qui n’était pas connue pour avoir sa langue dans sa poche, surtout à l’égard de son frère, et qui l’avait aidé, jadis, à accepter ses pulsions sexuelles. De là à dire que les deux entretenaient une relation incestueuse, il n’y avait qu’un pas qu’on pouvait franchir sans ombrages. L’inceste n’était pas un tabou pour les vampires, et Lisbeth pouvait ainsi faire figure d’éminence grise d’Alexandre. La vampire sourit donc devant les répliques mâchées de Natacha, et haussa les épaules.

« Je constate que j’ai gagné mon pari, en tout cas, répliqua-t-elle en attrapant une tranche de pain carrée sur laquelle des traiteurs avaient posé plusieurs nutriments dont elle n’avait aucune idée du nom, mais qui était très bonne à manger. J’avais dit à Alexandre que ta place n’était pas ici, et sûrement pas dans une robe. Mais mon frère peut se montrer têtu... »

Elle avala sa tranche de pain, puis but une gorgée de vin.

« Et tu mens très mal, Natacha, au fait. Moi, je disais que tu aurais été mieux à l’une de mes soirées, plutôt qu’à ces réceptions mondaines qui m’ont toujours fait chier. Mais que veux-tu... J’apprécie des humains leurs jeux vidéos sur ordinateur et les MMO, Alexandre apprécie les soirées interminables. »

Lisbeth haussa les épaules, comme pour dire qu’elle la comprenait. Sa présence était-elle calculée ? Sans doute pas, mais Lisbeth avait toujours eu un talent naturel pour rejoindre Alexandre dans les moments les plus difficiles. Elle n’avait pas son flair, ni son sens des affaires, mais son oisiveté n’était nullement un signe de paresse ou de faiblesse chez elle. Lisbeth restait après tout une Dowell, bien instruite, et consciente de la nécessité de faire grandir son clan. Elle savait donc que Natacha était précieuse pour Alexandre, mais lui avait bien dit que la place d’une Lycane comme elle n’était pas ici, et sûrement pas dans une robe.

Que proposait-elle donc en retour ? Elle regarda autour d’elle en plissant les yeux.

« Tous les gens ici ne sont pas des ennemis, certains participent même à mes soirées. Bon, j’admets qu’il peut m’arriver d’organiser des soirées où on porte des robes, mais... La plupart du temps, on en porte pas. Et toi... Enfin, je ne devrais pas le dire comme ça, mais j’ai l’impression, en te voyant, que cette robe t’irrite le cul. »

Lisbeth lui sourit à nouveau, et l’observa alors.

« Avec ton air renfrogné, tes formes et ton attitude de garçon manqué... Ouais, tu serais parfaite avec un fouet et une combi’ moulante en latex. Et puis, tu n’aurais pas à parler, ni à tenir une conversation, tu répondrais par des grognements et par des coups de fouet. »

Les soirées de Lisbeth n’étaient nullement des soirées en réseau sur ordinateur. Enfin, elle en faisait aussi, mais ce n’était pas ce type de soirées qu’elle avait précisément à l’esprit, plutôt une soirée qui avait lieu dans des emplacements moins éclairés, et où on ne portait pas du tissu soyeux ou brodé, mais du cuir ou du latex.

« Qu’est-ce que tu en dis ? Tu as déjà essayé de porter du latex ? »

7
La zone industrielle / Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
« le: lundi 04 février 2019, 01:15:04 »
Alexandre constata que... Ça ne marchait pas. Il n’y avait pas chez Rachele ce plaisir psychotique et cruel qu’elle ressentait en torturant à mort ses victimes. Cette joie sadique qu’il avait discerné dans son regard quand elle l’avait capturée dans son casino. Avait-il limé les ongles de la Bête ? N’y avait-il aucun moyen de préserver Max en la soumettant à lui ? Dans le fond, Alexandre jouait avec le feu. La personnalité de Max était une femme cruelle, perverse, dominatrice, une femme qui refusait de se soumettre. Mais Alexandre restait convaincu qu’elle était là, et qu’il allait devoir la réveiller. C’était capital pour son plan. Il l’observa donc trembler sur place, tandis que le prisonnier, tout en tremblant de peur, commençait à bander furieusement, sous l’effet des drogues qu’il avait reçu. Un petit plus pour encourager Rachele, mais sans succès. Agacé, Alexandre finit par attraper le couteau d’une main ferme.

« Tu n’y es pas, Rachele... Regarde, ce n’est pourtant pas compliqué ! »

Et, brusquement, Alexandre jeta le poignard au sol, et ses yeux se mirent à rougir, puis un grondement terrifiant, inhumain, sortit de sa gorge. Sa main se serra alors sur le torse de l’homme, et il le griffa violemment, enfonçant ses ongles pointues dans sa chair. L’homme hurla alors, un terrible hurlement, tandis que le sang se mit à ruisseler. Alexandre continua à griffer, jusqu’à arracher la chair, tirant d’un coup sec, ouvrant sa peau dans des projections de sang, des veines et des morceaux d’organes s’enroulant autour de ses ongles. Et, pendant ce temps, une lueur malsaine animait son regard, un sourire cruel sur les lèvres. Le prisonnier hurla encore, tout en commençant à cracher du sang, tandis que son torse se recouvrait d’hémoglobine.

Loin de s’arrêter, Alexandre avait, d’une main, soulevé la tête de l’homme, l’appuyant sur ses genoux, et, de l’autre, continuait à le torturer, s’enfonçant dans sa chair.

« Regarde-le HURLER, Rachele... ! Pathétique créature mortelle qui n’existe que pour nos propres plaisirs ! Ne me dis pas que cette chose t’inspire de la pitié ? Es-tu une louve, ou un agneau ?! »

Et il s’enfonça encore dans sa poitrine, faisant encore hurler l’homme. Des hurlements un peu plus faibles, toutefois, et, pendant ce temps, si Rachele regardait mieux le vampire, elle pourrait voir, contre le visage de sa victime, son sexe en érection. Une superbe érection, tandis qu’il continuait à s’enfoncer dans la poitrine de l’homme... Et, après quelques minutes, il tira d’un coup violent, et sortit alors un organe vital, ce qui déclencha un véritable geyser de sang depuis le trou dans la poitrine de l’homme.

Celui-ci ne hurlait alors plus, et, tandis que le sang éclaboussa le vampire et sa promise, elle pouvait voir, contre sa main ensanglantée, au milieu de petits morceaux osseux blanchâtres flottant sur sa paume écarlate comme des grumeaux dans un bol de soupe... Le cœur encore palpitant du prisonnier. Un organe rouge vif qui palpitait, tandis qu’Alexandre l’observait, ses canines pointant dangereusement hors de sa bouche.

Le corps de sa victime n’était plus qu’un torrent de sang. Il était mort avec le sexe légèrement tendu, comme une sorte d’ultime spasme nerveux, les yeux dans le vague, le sang affluant sur son corps, et tout autour. Le souffle battant, la respiration lourde, Alexandre laissait la femme observer l’organe encore palpitant de l’homme... Puis Alexandre le lécha, et l’approcha des lèvres de Rachele, tout en se dressant au-dessus du corps de l’homme, l’enjambant.

« Tiens... Lèche-le, Rachele. »

La moitié du visage de la femme était rouge, pleine de sang, tout comme le reste de son corps. Difficile pour elle de ne pas ressentir l’excitation du vampire, car sa magie influait instinctivement sur elle. Et, juste après cela, Alexandre bondit en avant, et la renversa sur le sol. Il la coucha, la tête de la femme atterrissant sur le ventre du cadavre, et il la pénétra durement, sa queue en rut se plantant en elle, tandis qu’il tenait toujours le cœur dans sa main, invitant Rachele à le lécher avec lui.

« Vas-y, lèche-le, réclame ton dû de prédatrice, Rachele... Et mangeons-le ensemble. »

8
La zone industrielle / Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
« le: lundi 21 janvier 2019, 01:13:50 »
Alexandre savait qu’il jouait avec le feu. Il n’avait encore jamais tenté de faire quelque chose comme ça avec une femme pareille. Rachele Florenza n’avait rien à voir avec ses courtisanes, qu’il prenait temps d’éduquer, et dont il ne cherchait pas à en faire des tueuses assoiffées de sang. Il prenait beaucoup de risques avec elle, sans doute plus que ce que les nejeux nécessitaient... Mais le vampire était ainsi. Il était le Maître d’un puissant clan vampirique ashnardien, et un homme qui aimait les défis. C’était ça qui l’avait amené à se rendre à Seikusu, à y fonder un cabinet d’avocats en s’associant avec des avocats locaux, et c’était bien sa hargne, sa ténacité, qui avaient permis de faire de lui un richissime avocat terrien, très en vue à Seikusu, et connu pour être l’avocat des puissants de la ville, notamment des Yakuzas. Il avait brillamment réussi, et il continuerait encore, intimement convaincu que son plan avec Rachele allait aboutir.

Il la pénétrait donc, et sentit le corps de Rachele s’effondrer contre lui, preuve de la soumission profonde qu’il avait instauré en elle. En s’immisçant dans son esprit, Alexandre avait découvert que Rachele avait des tendances schizophréniques, et que « Max », ce pseudonyme qu’elle utilisait sur Terre, était une véritable personnalité secondaire. Un véritable phénomène de « Dr Jekyll & Mister Hyde », même si ce n’était pas, de ce qu’il avait pu en voir, une véritable schizophrénie. Il y avait indéniablement un changement de comportement, mais pas de personnalité. Elle avait un irrépressible besoin de confort, de sécurité, et sa cruauté était la résultante de ses traumatismes passés. Des traumatismes qu’Alexandre avait nécessairement dû atténuer dans son esprit pour réussir à s’imposer en elle.

*J’aurais pu lui offrir une nouvelle vie, heureuse et insouciante, en balayant ses traumatismes...*

Oui, il aurait pu, et le subterfuge aurait sans aucun doute pu tenir pendant des années avant que la réalité ne rejaillisse. Il aurait pu la changer, mais il ne le voulait pas. Il voulait la conserver telle quelle... Mais à ses ordres. L’esprit n’était pas une chose qu’on pouvait moduler et remanier à volonté, et il s’imprégnait en elle, venant encore la marquer, la pénétrant durement, lourdement, violemment. Ses coups de reins étaient puissants, marqués, prononcés. Alexandre la besognait sans ménagement, sans chercher à être tendre ou romantique. Là, dans ce cachot puant, avec le sang décorant leurs corps, et les soupirs étouffés des prisonniers, il avait une belle érection, une trique d’enfer, et la prenait donc, encore et encore.

Il la baisa contre le mur, la sentant jouir contre lui, s’effondrant sur place, se crispant à son corps... Il la sent évoluer, il la sent changer, il voit en elle la petite fille s’effacer au profit de « Max », cette femme furieuse et sauvage, indisciplinée, une tueuse assoiffée de sang, cruelle et perverse. Comprenant qu’il est en train de la marquer, Alexandre sourit malicieusement, et lui mord le cou, plantant ses crocs dans sa chair, et la sent hurler, avant de jouir en elle. Sa queue se relâche, elle tressaute nerveusement, et des chapelets de foutre se répandent dans son corps. Il s’abandonne copieusement, crachant son venin, sa douce et chaude semence, puis se redressa lentement.

Rachele reprend lentement ses esprits, ses jambes serrées autour de son bassin. Alexandre va l’embrasser, tendrement, sa queue toujours nichée en elle.

« On recommence ? » demanda-t-il alors.

Son regard croisa celui de la femme, et il la libéra. Elle retomba doucement au sol, et il se rapprocha d’un des prisonniers, puis tira sur sa cagoule, le renversant en arrière. L’homme se coucha au sol. Il était plutôt gros, ou tout du moins ventripotent, avec une queue poilue qui émergeait sous son bide, assez molle. Alexandre tenait un couteau dans sa main, et le fit doucement tournoyer entre ses doigts.

« J’aime ma douce Rachele, c’est un fait, mais ma douce Rachele n’a pas été de taille à lutter contre Jucio et contre ceux qui lui ont fait du mal... Et elle ne sera pas non plus de taille à reprendre les activités de son casino. Je veux que tu le tortures, Rachele... Que tu laisses Max s’exprimer en toi, et que tu tortures ce type, comme tu sais si bien le faire. Je veux être sûr que je pourrai te confier des gens à torturer, et que tu pourras le faire sans sourciller, afin de leur montrer à tous qui est vraiment Dona Florenza. »

Il n’était pas convaincu que cela suffirait...

Mais il avait d’autres cordes de secours le cas échéant.

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Dictature d'Ashnard / Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]
« le: lundi 21 janvier 2019, 01:12:10 »
Après cette démonstration magique, ils reprirent chacun leur place respective. La magie rose restait néanmoins une discipline magique redoutable, qui fonctionnait dans les deux sens, et avait parfois des effets sur le lanceur de sorts. Ou peut-être était-ce juste lié aux lèvres de Terria ? À son corps se blottissant contre lui, à la sensation de sa généreuse poitrine s’écrasant contre son torse ? En tout cas, Alexandre mangea son dessert, tout en écoutant les multiples interrogations de la femme.

« Tu es pressée de voir ma demeure, n’est-ce pas ? sourit-il. Mais oui, j’avais fini ce que j’étais venu faire ici. Notre rencontre relève du pur hasard, Terria, mais sache que j’en suis heureux, tu es une personne de bonne compagnie, et je suis convaincu que, avec ta motivation et ton ambition, tu pourras te hisser au sein du clan. »

Ayant terminé, il se rapprocha encore de la femme, contournant la table, et retourna l’embrasser. Une attitude spontanée, habituelle, mais, cette fois, Terria put sentir quelque chose de supplémentaire se frotter contre elle, à hauteur de ses cuisses. Alexandre prolongea le baiser en s’appuyant sur elle, fourrant sa langue dans sa bouche, convainquant ainsi la jeune femme qu’il avait envie d’autre chose qu’un simple baiser.

« Je crois qu’il est de mon devoir de te faire oublier cet orgasme forcé que tu as eu tout à l’heure... »

Et, pour ça, le meilleur moyen restait encore de passer à la pratique, de la prendre concrètement, d’autant qu’il en avait envie... Et qu’il ne s’imaginait pas que Terria puisse le refuser. Le vampire se pressait donc contre elle, et glissa ses mains sur les hanches de Terria, puis sur ses cuisses, et la souleva. Ses fesses s’appuyèrent sur le rebord de la table, faisant doucement remuer celle-ci, tandis qu’Alexandre déboutonnait d’une main nerveuse son pantalon.

Ceci étant dit, c’était Terria elle-même qui avait dit qu’elle voulait entamer le plus rapidement possible sa formation, alors Alexandre, dans le fond, ne faisait qu’appliquer ce qu’elle lui avait demandé :

« Pour résister à la magie, et notamment à la magie rose, Terria, il est essentiel d’avoir une bonne endurance sexuelle, et de contrôler les émotions de son corps. Hmmm... »

Une tâche difficile, car lui-même s’y entraînait depuis des années, et devait bien admettre qu’il était très simple de perdre son contrôle en la matière. C’est ce qui rendait la magie rose si puissante, et même si dangereuse. Mais c’était aussi pour ça qu’il fallait s’y frotter. Si Terria voulait évoluer, elle n’aurait pas le choix. À Terra, il fallait faire avec la magie, il n’y avait pas d’autres options. Grognant sur place, Alexandre, lui, continuait à la prendre, s’unissant à elle sur la table, soupirant doucement, se délectant des gémissements de la femme, de son corps se collant au sien...

Il joignait l’utile à l’agréable.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Femme de main [Natacha Landefeld]
« le: lundi 14 janvier 2019, 00:44:59 »
Les hommes viennent de Mars et les femmes viennent de Vénus, dit-on… Une image pour dire qu’un homme ne pourrait jamais totalement comprendre une femme, et vice-versa. Natacha s’offusqua en effet de la présence d’Amalia, ce qui surprit un peu Alexandre. Quand il lui avait présenté la Comtesse Delboor, ou Dame Armstrong, elle avait été intimidée par leur présence, ce qui l’avait donc amené à rapprocher la délicieuse Amalia, qui se heurtait au même mur d’agressivité. Alexandre n’était pas amusé, mais agacé, d’autant que Natacha le provoquait délibérément face à l’une de ses courtisanes, face à une femme qui l’idéalisait, et qui était prête à devenir une vampire. Amalia ne savait plus trop quoi faire, et Alexandre fronça légèrement les sourcils, signe évident de sa contrariété.

*Si je m’écoutais, j’irai t’enfermer à nouveau dans une cave pour te lacérer jusqu’au sang, Natacha…*

Calme et cultivé, le vampire pouvait aussi se montrer violent, et même d’une cruauté sanglante quand on le narguait ainsi. Il soupira finalement brièvement, et remercia Amalia, qui s’écarta donc. Alexandre resta seul avec Natacha, et laissa passer quelques secondes, avant de lui répondre :

« Je te signale que c’est toi qui voulais d’une compagnie féminine, finit-il par remarquer, mettant de l’eau dans son vin. Et je ne supporte guère l’impertinence en public. Recommence encore ça, et je serai contraint de te rappeler qui commande ici. »

Le ton était glacial et froid. Alexandre lui tourna ensuite le dos, et se rapprocha d’autres vampires. Le plus important, pour lui, était de se contrôler, car, si les autres convives sentaient son ire, à travers ses perturbations sanguines, ils se jetteraient sur l’occasion. Les réceptions vampiriques n’avaient rien d’agréable ou de chaleureux. Les vampires étaient des prédateurs, et ceux qui pensaient le contraire étaient dévorés par les autres clans. Il fallait donc ne rien dévoiler de ses faiblesses. Le plus gênant, c’est qu’Alexandre avait amené Natacha pour qu’elle soit une qualité, une Lycane en sa compagnie. Au lieu de ça, Natacha la provoquait délibérément.

Alexandre s’écarta donc, et Natacha resta seule quelques minutes… Avant qu’une femme ne la rejoigne :

« Vous ne devriez pas provoquer mon frère comme ça, il s’agace assez facilement. »

La voix émanait d’une femme tenant un verre à la main, et portant sur elle une longue robe rouge très sensuelle avec des collants, et qui se présenta dans la foulée : Lisbeth, une vampire… Et sœur d’Alexandre.

« C’est donc vous, sa fameuse Lycane ? Vous avez autant l’air à votre aise ici qu’un poisson qui se serait perdu au milieu du désert… »

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La zone industrielle / Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
« le: lundi 14 janvier 2019, 00:42:28 »
Alexandre ne tarda pas à avoir la confirmation de ce qu’il craignait. Il avait remodelé Rachele, et jouer avec l’esprit comme de la pâte à modeler avait toujours des conséquences. S’il avait soumis Rachele à son autorité, il avait dû pour cela se faire une place de choix dans ses souvenirs, ce qui l’avait adouci, émoussé. Et ça, il le vit clairement dans l’hésitation de la jeune femme à tuer l’un de ces trois misérables, allant jusqu’à s’excuser. Il sentait ses hésitations. L’ancienne Rachele n’aurait pas hésité, et en aurait profité pour s’amuser avec sa proie, telle la prédatrice cruelle et sensuelle qu’elle était. Et c’était pour Alexandre une qualité3. Elle se devait d’être cruelle, elle se devait d’être comme elle était, car c’était comme ça que Rachele avait su s’élever, qu’elle avait su s’imposer dans le milieu du crime organisé.

*C’est le but de ce test...*

Elle poignarda l’homme du milieu, le tuant proprement, même si le sang fusa de la blessure de l’homme, éclaboussant le corps nu de Rachele, formant une ligne ensanglantée qui partait de ses seins et descendait sur son ventre, recouvrant sa vulve. Alexandre l’observa silencieusement, la vue de ce corps sensuel et ensanglanté ne manquant pas de l’exciter.

*Il y a aussi ces étranges palpitations sanguines que j’ai ressenti en présence des concubines quand elles ont nettoyé ma queue...*

Des palpitations qui avaient évoqué chez lui une forme de jalousie. Il se rapprocha de la femme en constatant qu’une larme avait perlé le long de sa joue, et glissa son pouce dessus, nettoyant son visage.

« Une larme... »

Il observa cela silencieusement, comme pour laisser à Rachele le temps de comprendre le sens de cette remarque.

« Tu m’as habitué à mieux que cela, Rachele... Mais c’est normal, tu es confuse. Nous nous retrouvons enfin ensemble, mon amour, mais... Ce n’est pas ce que je veux. Je ne veux pas que tu ressentes de la pitié pour les autres. Tu es une prédatrice, Rachele, tu es ma lionne, tu es Lady Florenza, pas une pimbêche d’adolescente ! »

Son ton se fit plus virulent, ses yeux se froncèrent... Et il la gifla alors. Une claque puissante qu’il accompagna en plaquant Rachele contre le mur du cachot, écrasant son corps contre le sien. Ses lèvres l’embrassèrent, et son sexe fila s’enfoncer dans le sien, remuant dans sa chatte.

« Tu as un tel potentiel, Rachele, celui d’être une tueuse impitoyable, c’est ça que je veux en toi ! Je veux ma lionne ! »

Son sexe remuait encore en elle, et il accéléra progressivement, la besognant sèchement, le sang sur le corps de Rachele allant sur le sien.

« Une femme sans pitié, une tueuse sensuelle qui prend du plaisir à torturer ses proies, à jouer avec ! Une femme qui est autant crainte par ses alliés que par ses ennemis ! Il n’y a que comme ça que tu te démarqueras du lot, Rachele ! Sinon... Tu seras de même hauteur que mes autres concubines ! »

L’homme continuait à la prendre, savourant comme toujours son délicieux corps. Il l’avait détruite, il l’avait brisé, et il était maintenant en train de la reconstruire, de réveiller en elle la tueuse, la violence, toute cette cruauté qu’il avait dû atténuer pour pouvoir s’imposer en elle, mais qui était encore là, quelque part, pulsant en elle.

« Toi et moi, Rachele, nous sommes pareils... Qui verrait en moi un vampire cruel et sanglant, moi qui suis officiellement un respectable avocat d’affaires ? Tout est question d’apparences, Rachele, hmm... J’ai tellement de projets pour toi et moi, amour, hmmm... Mais... Hmmm... Tout ça ne fonctionnera pas tant que je n’aurai pas Max à mes côtés ! »

Et il allait tout faire pour résoudre ce problème...

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La zone industrielle / Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
« le: lundi 07 janvier 2019, 00:51:49 »
Pendant toute la durée de leur rituel psychique, Alexandre s’était entouré de deux de ses concubines, portant sur le visage des masques : Gloria, et Isabelle. Deux sensuelles beautés qui, comme pour chacune des concubines d’Alexandre, étaient des femmes bien élevées, bien éduquées, et qu’il avait progressivement asservi. Le vampire aimait souvent à dire qu’on reconnaissait la puissance d’un homme au talent des personnes qui l’accompagnaient. Vampire dans l’âme, il n’aurait jamais pu accepter le mariage, et préférait multiplier les conquêtes, dans une sorte de libertinage qui, malgré ses premières réticences, n’était finalement pas si déplaisant que ça. Gloria et Isabelle l’avaient donc accompagné, immobilisant Rachele de temps en temps. Voir leur maître faire ainsi l’amour n’avait pas manqué de les exciter, et, maintenant qu’ils étaient à la fin, et que Rachele avait enfin été dressée, elles semblaient impatientes de recevoir leur dû. Comme Rachele, elles regardaient avec envie le sexe dressé de l’homme, qui se fascinait à chaque fois de la simplicité avec laquelle un esprit pouvait être brisé.

Les humains et les philosophes ne cessaient de dire combien leur esprit pouvait être résistant, combien leur résilience face à toute tentative de soumission et de conditionnement était forte, car ils s’inspiraient du postulat fallacieux que l’être humain cherchait avant tout à être libre. Une erreur pour le vampire, qui estimait depuis toujours que les êtres humains étaient faibles, couards, vénaux, et qu’ils préféraient naturellement courber l’échine et réclamer de l’aide que prendre leurs propres décisions. Des individus terrifiés, terrorisés, effrayés par tout et par n’importe quoi. Même la puissante Rachele Florenza avait sombré ! Certes, Alexandre avait dû aller jusqu’à remodeler son esprit et modifier ses souvenirs pour cela… Mais l’esprit n’était pas indestructible.

Et là, en voyant son sexe, Rachele ouvrit naturellement la bouche. Le vampire sourit brièvement, et frémit en sentant les doigts de la femme caresser ses bourses. Il guida son membre dans sa bouche, et attrapa les cheveux…

« Bienvenue parmi nous ! » glissa alors rapidement Isabelle dans le creux de l’oreille de Rachele, avant de l’embrasser furtivement sur la joue.

Puis Alexandre se mit à uriner. Le jet doré fusa de son sexe, et alla inonder la bouche de Rachele, se déversant ensuite dans sa gorge. Et son sourire ne manqua pas de s’accentuer quand il constata que, loin de sentir la répugnance usuelle, la femme ne pouvait ici que ressentir un profond plaisir, comme si elle avait le sentiment, probablement, d’être baptisée. Beaucoup de ces gros lards rampants de Seikusu auraient sans aucun doute payé cher pour avoir la puissante Rachele Florenza à leurs pieds. Mais elle était là, agenouillée devant lui, et le vampire ne manquait pas d’en jubiler de joie, d’un plaisir malsain et puissant ! Sa queue se mit à bander tandis qu’il se relâchait en elle, et, après une bonne quinzaine de secondes, le flux doré sembla enfin se calmer.

Alexandre lâcha alors un soupir, puis récupéra sa queue. Gloria et Isabelle se précipitèrent dessus pour la nettoyer, leurs langues filant amoureusement et voracement sur sa verge et sur ses testicules. Le vampire les laissa faire, caressant distraitement leurs cheveux, puis se racla la gorge.

« Je m’occuperai de vous après, les filles… J’ai un dernier test à faire passer à Rachele. Commencez par lui remettre ses gants et ses collants, et préparez sa robe. »

Gloria et Isabelle acquiescèrent, et soulevèrent Rachele, puis l’assirent sur le lit. Sa longue paire de gants noirs lui fut restituée, ainsi que ses collants, tandis qu’Alexandre avait récupéré une dague. Toujours nu, le vampire attrapa la main de Rachel, et lui sourit brièvement, avant de l’embrasser sur les lèvres.

« Viens, Rachele, je veux m’assurer que ma Princesse ait encore des griffes… »

Ils sortirent ensuite de la chambre. Se déplacer nu ne dérangeait pas le moins du monde Alexandre, et, s’il avait demandé aux filles de ne pas remettre la belle robe blanche de Rachele, ce n’était pas sans raison. Le duo descendit une volée de marches, et se retrouva rapidement dans les profondeurs du manoir, dans des cachots sinistres. Alexandre ouvrit une lourde porte en bois, et le duo pénétra dans une petite pièce sombre, sans fenêtre.

Le vampire alluma plusieurs bougies, ce qui permit à Rachele de voir trois individus attachés sur le sol. Ils étaient agenouillés, leur tournant le dos, et chacun portait une cagoule sur la tête.

« Je veux que tu tues l’un de ces types, Rachele, de la façon qui te plaira le plus. »

Qui étaient-ils ? Alexandre n’avait donné aucune indication. En l’entendant parler, les trois hommes se mirent à gémir et à gesticuler, tirant vainement sur leurs chaînes, cherchant inutilement à s’arracher à leur funeste destinée. Rachele, de son côté, devrait également constater, frottant contre sa cuisse, l’érection lancinante de son Maître, qui lui tendit la dague pour qu’elle l’attrape.

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Dictature d'Ashnard / Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]
« le: vendredi 04 janvier 2019, 00:43:10 »
Son tour de magie semblait avoir marqué Terria, qui ne manifesta pas cette curiosité teintée d’amusement qu’elle lui témoignait jusqu’à présent. Au lieu de ça, Alexandre eut droit à une remarque timide, puis à un silence éloquent. En voulait-elle à Alexandre de l’avoir contrôlé ? Ou était-elle une femme réfractaire à la magie ? Cette dernière hypothèse était également probable, car il existait beaucoup d’humains qui, faute de pouvoir pratiquer la magie, y étaient hostiles. Mais, en ce qui concerne Terria, c’était clairement un problème, surtout si elle voulait faire de l’espionnage, et se servir de son corps. Il sourit brièvement en la voyant progressivement se déhancher, retirant sa culotte trempée, et mettant discrètement ses formes en valeur. Alexandre s’appuya contre le dossier de son fauteuil, conservant sur le coin de ses lèvres un léger sourire.

« De l’espionnage, je veux bien, mais vos seuls charmes seront insuffisants pour que je daigne vous envoyer en sécurité… Espionner. »

Alexandre se redressa lentement, et fit le tour de la table, jusqu’à rejoindre Terria, et l’invita également à se relever. Une fois la jeune femme debout, il en profita pour se glisser dans son dos. Le vampire se frotta contre elle, s’appuya sur son corps, et glissa sa main entre les cuisses de Terria, sentant rapidement, le long de ses doigts, une forte humidité. Il sourit brièvement, tandis que son autre main s’attaquait au devant de la robe, massant et s’appuyant sur l’un des seins de la jeune femme. Sa main la masturba doucement, l’autre palpant son sein à travers les tissus.

Le vampire maîtrisait la situation, et lui parlait d’une voix douce dans le creux de l’oreille, un ronflement se faisant peu à peu sentir contre les fesses de Terria :

« Je ne peux pas t’envoyer en mission sans un minimum d’entraînement magique, et de résistance vampirique. Je ne peux faire de toi une magnifique amante, car c’est déjà ce que tu es, mais je peux faire de toi une redoutable espionne. Personne ne te soupçonnera en raison de ton côté humain, mes congénères penseront lire en toi à travers ton rythme sanguin… Mais mon clan connaît des techniques et des méthodes de relaxation qui te permettront de jouer aussi avec cela, et ainsi de les duper. »

Il remonta sa main de ses seins pour caresser le cou de la femme, glissant lentement ses doigts sur sa peau. Une merveilleuse peau satinée, très agréable, qu’il reniflait doucement, tout en retournant régulièrement l’embrasser, la mordillant légèrement, mais sans boire son sang.

« Oui, Terria, je te permettrai de conserver le contrôle. Je te permettrai de lutter contre le sort que je viens de te faire, et qui t’a fortement déplu… Ce que je comprends. Perdre le contrôle, c’est horrible, c’est un rabaissement, une humiliation forte… Alors, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que tu n’aies jamais à revivre ça, Terria… »

Il la retourna à nouveau, et leurs regards se croisèrent. Sa main se perdit cette fois dans les longs cheveux flamboyants de la femme, sa poitrine se frottant à son torse. L’homme alla alors tout naturellement l’embrasser, et conclut ensuite son discours :

« …Car c’est ce que mérite les femmes qui me sont proches, Terria. »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Femme de main [Natacha Landefeld]
« le: vendredi 04 janvier 2019, 00:39:34 »
Alexandre esquissa un léger sourire devant l’émoi de Natacha, et commenta rapidement son propre aveu sur le « bout de viande » :

« Tu es dans une réception vampirique, ma chère, il n’y a que des bouts de viande ici. »

Habitué à manœuvrer dans cet environnement, Alexandre s’y plaisait habilement. Les vampires étaient par nature des êtres profondément hypocrites, luttant contre leur nature bestiale, contre cette sauvagerie qui se révélait pleinement quand ils traquaient, ou quand ils forniquaient ensemble. Cette réception avait tout, en apparence, d’une soirée humaine traditionnelle… Mais penser ça était une grossière erreur, comme Natacha allait le voir sous peu. Alexandre lui présenta quelques femmes et amantes potentielles, et sentit le sang de Natacha onduler en voyant la Comtesse. Il apprenait à Natacha à réguler son sang, en lui expliquant que les vampires étaient des individus redoutables, car ils pouvaient sentir la présence sanguine, ce qui leur permettait de lutter contre bien des pièges. Il fallait pour ça s’entraîner, apprendre à moduler son rythme cardiaque, notamment pour contrôler ses ardeurs, et pour éviter qu’on ne puisse lire en vous à partir de l’intensité des pulsations sanguines.

Pour l’entraîner, Alexandre s’amusait à utiliser un sortilège mélangeant magie rouge et magie rose, qui consistait à jouer avec le flux sanguin des proches personnes, afin de les faire jouir à distance. Un sort que les vampires aimaient utiliser sur les humains, notamment pour les séduire. Tous ces contes idiots où de jeunes femmes écervelées tombaient amoureuses de vampires beaux et ténébreux… Il s’agissait souvent d’un vampire manipulant insidieusement sa proie pour mieux l’envoûter, en jouant avec ses rythmes sanguins. En tant que Lycane et garde du corps, Natacha devait apprendre à lutter contre ça, car les Lycans en étaient capables. La tâche était toutefois difficile, car Natacha était une véritable boule de nerfs.

Natacha restait nerveuse à côté des vampires, n’arrivant pas à choisir, et préféra se réfugier sur le buffet, s’attaquant à des morceaux de viande. Le vampire avait toutefois plus d’un tour dans son sac, et ne tarda pas à retourner vers Natacha, avec une autre femme qu’il lui présenta rapidement. Il s’agissait d’une simple humaine, une servante en tenue sensuelle de maid, s’appelant Amalia. Elle exhibait une belle poitrine, et avait un regard fiévreux, sûr d’elle, témoignant d’une forte assurance.

« Voulez-vous un verre, Madame ? Nous avons un excellent bourgogne-aligoté, parfait pour un apéritif… »

La main d’Alexandre caressa doucement l’épaule d’Amalia, la faisant frissonner.

« Les vampires te répugnent encore inconsciemment, Natacha… Mais Amalia n’en est pas une. Elle est une simple humaine… Une ancienne stagiaire de mon cabinet, que j’ai pris sous mon aile, et qui travaille désormais comme collaboratrice. Son plus grand rêve est de devenir l’une de mes favorites, et de goûter aux promesses de la vie éternelle à mes côtés. »

Alexandre l’embrassa doucement dans le creux du cou, faisant frissonner la servante.

« C’est une jeune femme de bonne éducation, Natacha… Une femme cultivée et intelligente, qui a fait de brillantes études, avant d’emménager au Japon. Mon cabinet est international, et c’est mon cabinet new-yorkais qui a financé ses études, avec un engagement qu’elle viendrait ensuite travailler chez nous. Quand j’ai vu ses compétences, je l’ai invité à me rejoindre à Seikusu.
 -  Ah… »

Femmes violentes, riches, cultivées, ou sauvages comme Natacha, Alexandre semblait à chaque fois faire mouche. Amalia frémissait sur place, tout en se mordillant les lèvres.

« Elle était pudique comme toi quand je l’ai connu, mais avec cette velléité dans le regard, cette ambition, qui m’a plu… Elle a préservé sa virginité pour moi durant toutes ses études, pour devenir l’une de mes amantes. Je gage qu’elle puisse aussi être la tienne, Natacha… »

Voluptueuse et sensuelle, Amalia avait des formes très alléchantes, notamment ses seins, qui semblaient être sur le point de déborder de son corset. Amalia frémit alors, et Alexandre attrapa sa tête, la tournant sur le côté, et alla tout naturellement l’embrasser, sentant la femme frémir contre lui…

…Une sensation qui était toujours pour lui un pur régal.

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La zone industrielle / Re : Qwey Djin [PV Alexandre Dowell]
« le: vendredi 04 janvier 2019, 00:38:59 »
Alexandre ne comptait pas la tuer, il n’avait jamais envisagé de le faire. Cette femme lui était précieuse, bien plus précieuse qu’elle ne pouvait se l’imaginer. Le vampire avait utilisé un puissant rituel, utilisant la magie rouge et la magie rose. Un rituel mélangé de sexe et de puissance, il avait fouillé dans les profondeurs de l’esprit de Rachele. Alexandre avait utilisé une arcane magique très rare, qu’on appelait la métempsycose, soit la capacité de transférer une âme d’un corps à l’autre. Il avait lié son âme à la sienne pour remodeler Rachele, pour alterner ses souvenirs, afin qu’elle conserve en elle la souffrance (car sa souffrance était la source de sa puissance et de son masochisme latent), mais aussi une forte obstination envers Alexandre, qu’elle devait voir comme son maître, son mentor et son sauveur. Les souvenirs n’étaient toutefois pas quelque chose avec quoi on pouvait jouer aisément, mais il avait pris le risque. Et il avait réussi. Du moins, l’espérait-il, car il ne serait pas aisé de revenir en arrière.

Ils revinrent ainsi dans le monde réel, où Rachele avait fini par prendre la position de son avatar. Ils avaient longuement baisé, ensemble, pendant toute la durée de ce rituel psychique, et Rachele était là, nue, agenouillée devant le corps nu et en sueur d’Alexandre, son sexe trempé de sperme et de mouille. Il l’observait lentement, étudiant ses mouvements sanguins, ne sentant aucune répulsion. Même pour lui, la métempsycose était épuisante, et il était encore imbibé des souvenirs de Rachele, dissociant les vrais des faux, et se rappelant les siens. Sa main caressa machinalement le visage de Rachele, glissant sur ses cheveux.

*Vérifions la soumission avant de lui faire sortir les griffes…*

C’était ça qui compliquait les choses, car il voulait à la fois d’une femme extrêmement docile, mais aussi violente, sauvage, et dominatrice. Un paradoxe difficile à obtenir, mais il y avait chez Rachel un terreau favorable. Dans sa psyché de base, elle était déjà partagée entre un masochisme inconscient qui pouvait avoir bien des origines, et une froide domination, faisant d’elle une dominatrice cruelle et violente, comme Alexandre avait pu le constater en étant attaché dans les souterrains de son casino.

Alexandre s’éclaircit alors la gorge, et baissa la tête vers la jeune femme.

« Nettoie ma queue, Rachele… »

La jeune femme obtempéra, et Alexandre frémit doucement, l’observant. Sa langue filait sur son membre dressé, toujours érectile. Le vampire avait déjà démontré à Rachele qu’il avait une force surnaturelle, et une endurance sexuelle effrayante. Il ne se fatiguait pas aisément, ce que sa constitution ne cessait de démontrer à chaque instant. Toutefois, il y avait encore un dernier test qu’il voulait faire avec elle, comme pour voir si elle lui était vraiment soumise…

« Ouvre bien la bouche maintenant, Rachele… Tu vas avoir la chance de boire mon liquide doré. »

Alexandre avait encore en mémoire la scène où Rachele avait vu ses concubines se presser devant lui pour récupérer son urine, une scène humiliante et dégradante qui avait horrifié la femme. Mais, pour le vampire, c’était bien là le meilleur moyen de voir, si au-delà du sexe, Rachele lui était vraiment soumise ! Il approcha ainsi son membre tendu de sa bouche, bien décidé à uriner directement entre ses lèvres…

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