Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Matt Horner

Pages: [1] 2 3 4
1
- Capitaine ! Si je puis me permettre, vous devez avant tout couper l’alimentation du GPS implanté dans l’armure de Tychus Findlay ! Si son armure est basée comme les autres « prisons mobiles » il doit très certainement en avoir une lui-aussi ! Et si nous n’avons vraiment pas de bol, il se pourrait bien qu’il ait un enregistreur vocal avec transmission direct aux bureaux des Généraux militaires de Tekhos ! Si elles sont le moindre doute, elles remonteront son signal !

Matt regarda le jeune homme sans changer d'expression.

- Vous n'avez pas fait ça souvent jeune homme... Commenta Matt d'un ton neutre. Notre équipe a déjà eu affaire plusieurs fois à ce genre de dispositifs. Nous avons appris à la dure comment les désamorcer sans avoir à repeindre l'intérieur des armures de combat avec leur propriétaire... Mais votre inquiétude est dûment notée... Commenta Matt en reprenant sa tablette. Sachez également que ce qui donne cette teinte rouge si caractéristique aux sables de cet endroit, c'est la présence en grande quantité d’oxyde de fer dans les parois de ce canyon. À moins de disposer d'une liaison vers un satellite qui stationne pile au-dessus, comme c'est notre cas, cette zone est pour le moment totalement invisible à votre état-major.  Et nous connaissons assez bien les commandantes en charge chez elles pour savoir qu'immobiliser un matériel aussi coûteux qu'un satellite de détection au-dessus d'un tel trou perdu serait une perte de temps et de moyens qu'elle auraient bien plus de peine à justifier auprès de leur comptable que de simplement laisser les choses se faire. Les joies de la politique... Termina Matt en tournant le dos au spectre pour se rapprocher d'un technicien.

- Laisse faire le chef mécano... Ton faire-valoir sera hors de son costume métallique en moins de deux... Ajouta à voix plus basse la Ghost renégate suffisamment bas pour éviter que le capitaine la surprenne. Alors, qui c'est qu'à eue l'idée de t'envoyer pour te faire le commandant ? Tu avais une baisse performance au pieu pour qu'on te file ce genre de mission impossible ? S'enquit-elle du ton de quelqu'un qui était convaincue d'avoir raison.

Hors du vaisseau, Matt suivait à distance le chef mécano du bord, Roty Swann qui opérait avec sa nonchalance habituelle.



- Alors mon gros, Qu'est-ce que t'as bricolé pour te retrouvé le cul sur c'te bombe ? Si c'est pas indiscret bien sûr... Demanda l'homme qui devait avoir du sang de nain quelque-part dans ses ancêtres.

- Si on te d'mande, tu diras qu'tu sais pas... Grogna Tychus, assis sur un rocher, en train de tirer sur son cigare pendant que le technicien lui ouvrait le panneau dorsal de son armure.

- Sûr, joue-la à la dure cow-boy, ça va beaucoup aider. C'est en tout cas toujours mieux que d'penser qu't'as une bombe dans le... Ha voilà, l'panneau qui vient... Voyons ça... ♪♫♪... Hé ben, j'sais pas à qui t'a fait frisotter les poils d'la minette, mais elle t'en voulais pas mal...

- C'est grave Swann ? S'enquit James en tirant sur sa cigarette.

- Nooonnn... Juste une vingtaine de grammes de plutonium avec un ch'tite charge de poudre et une lentille de focalisation...

- Ha, ben alors c'est pas grand-chose ? Demanda Tychus avec espoir.

- Ouaip, rien qu'une 'tite charge atomique de dix kilotonnes. Trois fois rien. En plus, t'as d'la chance l'gros. Y'a pas d'fuite au container. Par contre tu l'as tout contre les fesses. À croire qu'celle qui l'a placée là voulait être certaine d'pas manquer tes roubignoles. Ou alors, qu'la dernière chose qui t'passe par la tête soit ton trou d'balle, au choix... Expliqua Swann en faisant claquer sa pince.

Raynor esquissa un sourire en voyant la tronche que tirait son vieux pote, soudain livide.

- T'inquiète, Swann est un as avec ce genre de cas.

- Y'a intérêt... Commenta Tychus.

Un bruit de scie circulaire se fit alors entendre qui acheva d'ôter toutes couleurs au visage de Tychus.

- Sainte marie mère de Dieu... Si j'm'en tire, je jure d'foutre l'fion en choux-fleur à celle qui m'a convaincu d'endosser c'te foutue armure !

- Serre les dents p'tit, on commence.




Sur l'hypérion, personne sur la passerelle ne perdait une miette de l'opération, sauf la Ghost qui avait un spectre à garder.

2
Le jeune homme adopta une posture de repos et prit la parole.

-  Je suis né le vingt-trois juillet, il y a de cela vingt-et-un printemps... Je suis le fils unique d’une famille monoparentale. Ma mère se prénomme Arthis Terra, Ghost de niveau neuf sur l’échelle de la Ghost Académie … J’ai grandis durant sept ans au cœur de Tekhos avec ma mère. J’ai suivi les cours élémentaires de …

- Vous n'êtes pas en train de répondre à ma question, le coupa le capitaine d'un ton sec.

Matt resta debout devant le jeune spectre, rigide comme la loi, le regarde fermement ancré dans le siens, le jaugeant sur chaque réaction, sur chaque mouvement, sur chaque mot. Il ne laisserait rien passer sur un sujet aussi grave.

-Du peu d’informations que je connais la dessus de ma mère, capitaine. Mes parents sont sortis ensemble quand ils furent assez jeunes. Cela à durer quelques mois, un ou deux ans tout au plus. Ma mère voyait mon père durant ses journées de permissions. Je ne vous cacherais pas qu’en général, quand deux personnes s’aiment, certaines actions sont faites mutuellement. Cependant, mon père un jour n’est jamais revenu vers ma mère. C’est tout ce que je sais, capitaine… Il vous faut savoir autre chose ? 

Matt laissa le silence se poursuivre une bonne minute, continuant à scruter pour voir si le spectre allait trahir autre chose, mais laissa finalement échapper un soupir.

- Je pense que nous pouvons nous en tenir à ça... Commenta Matt en levant la main pour que les marines baissent leurs armes.

Les hommes de Raynor obéirent, certain allant jusqu'à ouvrir leurs casques, laissant voir au spectre un truc qu'il n'avait jamais croisé dans l'armée : des Terranides autorisés à revêtir l'armure des marines de Tehkos. Une vraie hérésie pour l'armée Thekane de laisser ces sous-humains poser leurs pattes sur cette technologie.

Matt se tourna ensuite vers la ghost et lui fit signe de se rapprocher.

- Lina, vous êtes en charge d'escorter M. Terra pendant con séjour à bord... Et de veiller à ce qu'il ne lui arrive rien de... fâcheux. Commenta le capitaine.

La ghost hocha la tête et se tourna vers le jeune homme.

- Bon, on y va m'sieur le toyboy ? Demanda la Ghost.

Elle le fit passer devant elle et l'escorta à la suite du capitaine Horner jusqu'à la passerelle. Elle lui désigna un siège dans un coin.

- Assis, et tiens-toi tranquille en attendant que le commandant arrive, dit-elle sur un ton qui laissait clairement entendre qu'elle ne croyait pas du tout à son histoire de fils caché.

Matt se rendit à sa table holographique de commandement.

- Rapport de situation ?

- M'sieur swann est descendu pour une histoire de déminage m'sieur. Rien à signaler pour l'instant, nos espions dans l'armée nous confirme que les scopes Thekans ne nous ont pas encore repérés. Répondit un enseigne depuis un poste de communication plus en avant de la passerelle.

- Bien, restez en alerte de deux et gardez les artilleurs à leurs canons. Répondit Matt en prenant une tablette pour en étudier le contenu.

Il se tourna ensuite vers le spectre.

- Il semble que votre tuteur se promenait avec suffisamment d'explosifs dans son armure pour rendre fausse toutes les cartes du pays à l'instant où vos patronnes auraient jugé de la fin de son utilité... Commenta-t-il en regardant le jeune homme avant de lui tendre le rapport du scanner qui montrait la bombe dans l'armure de Tychus.

3
Matt se tenait sur le pont d'embarquement. Il avait fait appeler une douzaine de marines afin de préparer une rangée de chaque côté de la navette au moment où la passrelle de débarquement s'ouvrit. Les marines n'étaient pas exactement au garde-à-vous, mais plutôt sur le qui-vive. Le capitaine Horner se tenait debout, raide comme la justice au bout de la double rangée, arborant un air neutre et toisant le jeune homme qui fut révélé par abattement de la passerelle de la navette.

Il vit le jeune homme brun. Il admettait qu'en cherchant un peu, on pouvait envisager la possibilité d'une ressemblance filiale. Mais ça ne prouvait rien du tout à ses yeux. Il n'était pas désagréable à regarder pour une jeune homme. Mais les officières de l'armée Thekane avaient relativement peu de morale pour user de tous les moyens nécessaires pour mettre la main sur son commandant.

Le jeune homme se présenta devant lui et se mit au garde-à-vous.

-Bonjour, capitaine … Je suis Ryan Terra, le Spectre de Tekhos … Et fils du commandant des rebelles de Raynor …

Le capitaine de l'Hypérion leva la main  son tour pour lui rendre son salut.

- Repos spectre. Capitaine Horner, officier-commandant de ce bâtiment. Salua-t-il sèchement le jeune homme avant de se remettre en position. C'est la première fois que j'entends dire que le commandant a un fils, aussi vous me pardonnerez de na pas savoir si je peux vous souhaiter la bienvenue à bord. Pouvez-vous me rappeler vos origines et les circonstances de votre conception je vous prie ? Entama tout net le capitaine.

Dans le fond de la pièce, une porte s'ouvrit, livrant le passage à une jeune femme du nom de Liva, une ghost renégate de Thekos qui vint s'appuyer au cadre de la porte. Son armure carmin la rendait très reconnaissable, elle était activement recherchée par les services secrets de Thekos à cause du grand nombre de secrets qu'elle avait en mémoire et aussi parce que, pour s'en sortir, elle avait préféré tirer sur son otage, la fillette d'une sénatrice, plutôt que de se rendre et forcer les forces de l'ordre à lui obéir pendant que la gamine se vidait de son sang sur son armure autrefois blanche. La sénatrice en question avait la rancune tenace à ce sujet, heureusement la technologie des nano-machines de Novac avait permit d'éviter la tétraplégie à vie à la fillette, mais elle était diminuée physiquement pour le restant de ses jours.

Depuis le fond de la pièce, le jeune femme regarda simplement la scène, mais la menace était bien là. Il y avait une ghost dans les environs, armée en dangereuse si le gamin se révélait moins bien attentionné que prévu. Elle le toisa sans cacher sa méfiance, son fusil bien en évidence en travers des hanches. Les marines eux-même, sans avoir le doigt sur la gâchette, ne parvenaient pas exactement à cacher, malgré leurs visières baissées, leur propre méfiance. Leur langage corporel était plutôt éloquent.

4
Territoire de Tekhos / Re : Neko enflammé, nuit embrasée [Tek_Neko]
« le: mercredi 30 mars 2016, 16:26:47 »
Matt ne resta pas longtemps allongé à reprendre ses esprit. Il redevint vite alerte, mais sa condition d'homme lui donnait un léger avantage dans le sens où ses orgasmes à lui étaient moins longs et moins épuisants que ceux féminins.

Quand il vit les longues taches blanches de sa semence sur le corps de la neko, il ressenti un peu de honte le piquer et il saisit les mouchoirs à proximité pour essuyer son trop plein d'enthousiasme. Il se pencha sur elle et entrepris de recueillir le sperme avec les mouchoirs et d'essuyer ensuite avec une lingette humide dégageant un doux parfum de citron.

- Je suis surpris, pour une première fois, tu t'y es prise comme une championne, la complimenta-t-il avec un sourire chaleureux. Comment tu t'y es prise pour que ce soit si bon ?

« Pour faire court, j'ai utilisé mes nanites pour faire de ma bouche une sorte d'aspirateur, qui a stimulé ton gland de façon constante et sans interruption. Toi aussi tu as été merveilleux. Je ne pensais pas qu'un tel plaisir pouvait exister. » Dit la Neko en se blottissant contre Matt comme une chatte qui cherche des caresses.

Amusé, Matt commença à lui gratter la tête derrière les oreilles. Elle sembla tellement apprécier qu'elle se mit même à ronronner.

« Je t'aime Matt. Rrrrrr... »

Matt continua à la câliner encore quelques courtes minutes. Mais déjà son amante se releva en agitant doucement la queue, des gestes un peu saccadés, des gestes nerveux. Matt s'en rendit compte et la regarda d'un air inquiet. Avant qu'il ne puisse ouvrir la bouche, elle reprit la parole.

« Matt... Je sais que tu crains de me faire mal, mais tu ne dois pas t'en faire. Mon corps est capable de t'accueillir. Ce qui m'inquiète plus, en revanche, c'est que... je ne suis pas sûre d'y arriver. Après tout, je ne suis qu'une débutante. Et si je faisais ça mal ? Je ne veux pas que tu sois déçu. »

La capitaine Horner lui sourit tendrement et l'entoura dans ses bras, nichant sa tête dans le creux du cou de la neko.

- Au risque de paraître idiot, sache que j'ai peur aussi. Peur de te faire mal, de te blesser sans le vouloir. Lui avoua-t-il tout bas. Personne, à part peut-être certaines démones que je ne nommerais pas, n'ont de manuel ou ne proposent de cours pour apprendre à "bien" faire l'amour. Tout le monde découvre en tâtonnant. En essayant et en se trompant. Je ne fais pas exception. J'ai un peu plus d'expérience que toi, mais pas tant que ça. Ma femme prend toujours les choses en main parce, comme toi, elle a peur et donc préfère tout contrôler pour dominer sa peur. Au final, je suis très passif et j'ai peu pris l’initiative jusque-là.

Il déposa ensuite une bise dans le cou de sa chère neko.

- Tu veux que je prenne l'initiative ou bien tu préfères que je te laisse y aller à ton rythme ? Demanda le capitaine tout bas à l'oreille de son amante.

5
Base Spatiale / Re : Dans l'espace, personne ne vous entend crier [PV]
« le: samedi 05 mars 2016, 09:34:36 »
Le sergent se contenta de hocher la tête et d'indiquer à la jeune femme la direction du vestiaire en question du pouce. Il resta hors de celui-ci et s'appuya au mur.

- Normalement, j'devrais rester avec vous d'dans pour vérifier qu'vous préparez pas d'coup fourré, mais l'commandant a l'air d'penser qu'vous êtes une fille bien, alors j'vous laisse vot intimité. Mais faites gaffe à l'avenir. Les vestiaires à bords sont mixes. On est un poil surpeuplé, alors on a accepté c'te solution parce que des vestiaires séparés ça aurait été une trop grosse perte de place. C'est aussi valable pour les douches, les dortoirs et les chiottes, j'espère que vous êtes pas prude.

Il la laissa se changer avant de l’accueillir à la sortie, regardant la manière dont elle avait enfilé son uniforme d'un air critique.

- J'vois ça au niveau code militaire... AU niveau code vestimentaires c'est pas ça non plus... La ch'mise ça va dans l'pantalon et on tire dessus pour qu'elle fasse pas d'plis. L'col doit être bien r'plié. Et vos gants, où qu'ils sont passés ?

Le sergent chercha dans les poches du veston de la louve et en tira non seulement ses gants, mais aussi sa casquette de cadette. Il lui mit sa casquette sur le crâne et lui tendit ses gants.

- On voit qu'vous avez pas d'atomes crochus avec l'armée. Mois les uniformes, j'en ai rien à carrer perso. On est des rebelles. Mais l'capitaine insiste sur l'minimum de discipline. Et puis aussi, porter tous la même tenue, ça vous soude un groupe y parait. Grommela le sergent avant de reculer d'un pas pour regarder le résultat.

- Mouais, ça ira... J'espère qu'vous resterez pas trop longtemps, sinon faudra aussi que j'vous apprenne comment r'passer vot' uniforme pour qu'il y ait les plis aux bons endroits. Et ma mère sait qu'je déteste r'passer...

Sur ce, le grand marine se tourna et fit signe à la louve de la suivre.

- Z'avez quand même d'la chance, on nous a affecté un boulot pour éviter d's'emmerder. C'est toujours mieux que d'se tourner les pouces en cellule non ? Demanda la marine en marchant. En plus c'est pas l'boulot l'plus chiant du vaisseau. On va pas faire de ménage, c'est cool de la part du capitaine j'trouve. L'a fait un effrort avec vous. On va descendre à l'armurerie, j'vous montre comment tirer avec un flingue, ensuite on a tout un stock d'armes qu'il faudra calibrer la visée. Et donc faudra les essayer toutes au stand.

Le marines continua dans les couloirs avant d'entrer dans un ascenceur et d'attendre que la louve l'y rejoigne.

- C'est quand même mieux de passer un après-midi au stand de tir que de récurer les chiottes non ?

6
Base Spatiale / Re : Dans l'espace, personne ne vous entend crier [PV]
« le: lundi 11 janvier 2016, 18:16:29 »
Le capitaine resta silencieux tout le long de la tirade de son interlocutrice. Il écouta très attentivement. Cette jeune femme, Shad s'il devait l'en croire, était une terranide-louve dotée de capacités de type E.S.P.er liées au feu. Ensuite pour son histoire… Elle semblait tellement tirée par les cheveux que c'était soit un gigantesque canular, soit alors la vérité, car aucun agent Tekhan n'aurait parié un kopec sur une histoire pareille pour tenter de s'infiltrer.

- Je prends note pour votre suggestion d'ajouter de la réglisse au thé… Commenta le capitaine avant de prendre congé.

Il laissa la louve sous la garde des deux marines silencieux et se rendit à l'infirmerie pour attendre que le commandant revienne à lui, ce qui ne devait plus tarder d'après l'équipe médicale.

Il fallut quand même attendre encore trois bonne heures pour que finalement le commandant émerge difficilement.

- Hoooo… Putain de crâne… Quelqu'un a relevé le numéro du camion qui m'a renversé ? Demanda l'humain en se redressant péniblement.

Horner relâcha le rapport qu'il tenait en main pour se lever et l'aider à se mettre assis.

- Doucement commandant, vous vous remettez tout juste d'un séjour en soins intensifs. Vous n'êtes pas encore en état de vous lever.

- Ça j'te crois volontiers mon p'tit Matt… Ouch… Bordel… Se plaignit Raynor avant de tâter son crâne. J'ai une sacrée bosse là, il s'est passé quoi ?

- À vous de me le dire commandant, j'ai déjà une version possible des faits, je voudrais la confronter avec la vôtre.

- Une version des faits ? Demanda L'humain avant de se rappeler qu'il n'était pas seul dans ce merdier. Ha ouais, la fille-louve…

- Tout juste. Et je dois confronter sa version des faits à la vôtre.

- Mouais, procédure quoi… Commenta le commandant avant de commencer à raconter.

Quelques heures plus tard, la louve fut sortie de la salle d'interrogatoire et amenée dans un casernement. Le capitaine l'y attendait avec le sergent Johnson, ce dernier mâchonnant un cigare non allumé.

- Il semble que votre histoire soit en partie corrobée par celle du commandant. Mais certains points restent incertains. Vous avez cependant droit au bénéfice du doute… Commenta le capitaine avant de taper sur la plaque de protection pectorale de l'armure de marines du sergent. Voici le sergent Johnson, il sera en charge de vous jusqu'à ce que toute la lumière soit faite sur cette histoire. Pendant votre période de "probation", considérez-vous comme "engagée temporaire". Si le sergent dit "debout", nous attendons de vous que vous vous leviez. S'il dit "assis", nous attendons de même. Et s'il dit "rampez", j'espère ne pas avoir à vous faire une dessin… Bienvenue chez nous le temps que nous tirions cette affaire au clair. Vous n'êtes plus prisonnière, mais en liberté surveillée.

La capitaine lui fourra dans les mains un uniforme standard de l'armée des rebelles plié avec les chaussures de combat dessus. Sur ce, il fit un demi-tour impeccable et se dirigea vers la passerelle en plantant là le sergent et la louve.

- Faut pas l'prendre mal, s'excusa alors le sergent Johnson. L'cap'taine est à cran depuis qu'Jimmy l'a jouée solo. On a rien contre vous… Commenta l'homme à la peau noire.

7
Base Spatiale / Re : Dans l'espace, personne ne vous entend crier [PV]
« le: mardi 06 octobre 2015, 14:15:55 »

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- Vous n'allez quand même pas me dire qu'on l'a perdu ? Questionna Horner d'un ton agressif.

Le commandant en second se trouvait debout sur la passerelle, sanglé dans son uniforme, droit comme un "i" et le regard aussi froid que l'espace braqué sur son interlocuteur.

- Nos scanner l'ont perdu quand il est entré dans ce champ d'astéroïdes, expliqua une nouvelle fois l'enseigne en charge de la détection à ce moment-là.

- Nos scanners sont tout à fait à même de suivre la balise d'un chasseur-bombardier de classe Longsword dans ce genre d'amas stellaire, alors trouvez-vous une autre justification… Répliqua Horner d'un ton mordant.

- Mais capitaine, je vous jure que…

- Cessez de jurer et trouvez-moi le commandant, l'interrompit l'Ashnardien d'un ton sec. Rompez !

L'homme tressaillit en entendant la voix d'Horner lui répondre aussi sèchement, puis se rigidifia dans une posture de salut militaire.

- Bien capitaine… Acquisa l'homme avant de faire un demi-tour impeccable et de retourner à son console pour recommencer à fouiller l'espace, pensant cependant que sa tâche était vaine.

La balise avait cessé d'émettre dans le secteur depuis plusieurs heures, ce qui ne pouvait pas signifier autre chose qu'un gros pépin électrique, le genre qui pouvait bien être mortel dans l'espace. Mais l'enseigne savait aussi que le commandant en second ne serait pas satisfait avant d'avoir fait l'impossible pour tenter de trouver son commandant.

D'ailleurs, l'équipage tout entier à bord de l'Hypérion travaillait dans un lourd silence presque funèbre. Seules quelques voix à bord comme celle du sergent Johnson ou de Swann le maître mécanicien du bord essayaient de donner u cœur au ventre aux hommes, femmes, terranides, humains, et autres créatures du bord. Les rebelles étaient composés de tellement de personne si différentes les unes que les autres, mais pourtant, tous avaient un même but. Tous voulaient la réforme d'un système qui ne fonctionnait plus. Et tous suivaient leur leader, le rebelle James Raynor. Et aujourd'hui, dans la peur que celui-ci n'ait péri, la grande famille des rebelles craignait un peu que le père spirituel de la grande famille qu'ils constituaient ne soit trépassé.

Mais Horner, sur sa passerelle, ne voulait même pas en entendre parler. Il savait que le commandant était en vie. Il le sentait dans ses tripes. Raynor était quelque part dehors, peut-être blessé ou inconscient et il était de son devoir de le retrouver avant que les garces du gouvernement Tekhan ne le fassent à sa place.

Le silence sur la passerelle se prolongea longuement pendant que Matt étudiait ses cartes stellaires en silence, cherchant à prévoir selon les dernières informations à sa disposition où pouvait se trouver leur chef. Puis il y eu soudain un cri de surprise sur la passerelle : celui de l'officier-radio.

- CAPITAINE ! SIGNAL DE DÉTRESSE ! Tonitrua-t-il en se tournant pour parler à son supérieur.

Horner lâcha immédiatement son pupitre et se jeta presque sur la console, se rattrapant au siège de son utilisateur.

- Les codes ? Demanda Horner.

- Positifs ! Ce sont ceux du commandant ! Il émet depuis une planète paumée à quelques parsec d'ici.

- Alors en route ! Navigation, en avant toute ! Cap sur les coordonnées relayées par le poste radio !

- À vos ordres commandant ! s'exclama le navigateur avec soulagement. En avant toute !



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- Ici Alpha, grésilla la voix du sergent Johnson sur le haut-parleur de la passerelle. En approche finale de l'objectif.

- Hypérion, bien reçu, confirma Horner en regardant par son écran la demi-douzaine de capsules de débarquement qui traçaient des sillons de flammes dans l'atmosphère du monde où elles descendaient à toute vitesse.

Elles tombaient tout droit sur un point situé à moins de quatre cent mètres du signal qu'ils avaient capté précédemment. La signature depuis l'orbite correspondait à un chasseur-bombardier de classe longsword, mais toutes leurs tentatives d'appels étaient restées sans réponses, ce qui avait conduit le commandant en second à se méfier de ce silence inquiétant.

L'Hypérion pouvait descendre en atmosphère, mais compte tenu de sa masse et des forces engagées dans ce genre d'entreprise, il aurait mis un temps beaucoup trop long. Tout le monde était inquiet à bord, même si on avait retrouvé la trace du vaisseau du commandant. Qui savait dans quel état il pouvait être. C'était la raison qui avait poussé Matt à accepter la proposition du sergent Johnson : un débarquement orbital via capsules de débarquement.

Dans un fracas de tonnerre, les capsules activèrent leurs réacteurs de poussée inverse quand elles franchirent la barre des deux cent mètres avant l'arrivée et freinèrent brutalement, secouant durement les marines, maraudeurs, flammeurs, faucheurs et autres médics à bord. Il y avait même un couple de fantômes pour les appuyer à plus longue distance avec leurs fusils C-10 ainsi qu'une paire de VCS pour si jamais il fallait procéder à des réparations ou désincarcérer le commandant de l'épave de son appareil.

Sitôt que les capsules touchèrent terre, les boulons explosif fermant les lourdes parois des capsules sautèrent et les plaques d'alliage métallique tombèrent en avant, vomissant leur contenu d'hommes armés jusqu'aux dents et surmotivés par l'idée de sauver leur précieux chef. Les chefs d'escouades durent s'y reprendre à plusieurs fois pour ramener l'ordre dans les rangs car tous avaient commencé à progresser dans un même mouvement vers le vaisseau posé à seulement quelques centaines de mètres de là.

Une fois un peu d'ordre rétablis, les hommes progressèrent en se couvrant les uns les autres pendant que l'Hypérion continuait sa lente descente en atmosphère.

Le sergent Johnson fut le premier à atteindre le sas du vaisseau. Et Horner senti au tonde sa voix que quelque-chose le tracassait.

- Ici Johnson… La sécurité est en place, mais la coque extérieure a l'air d'avoir bien bouffé… Comme si on l'avait aspergée à l'acide… Il y a aussi des traces de peinture et des sillons sur le sol, comme si on avait traîné une grosse masse par-là… Ainsi que des traces de brûlures si je ne m'abuse…

- Des traces de brûlures ? S'étonna Matt depuis sa passerelle.

- Des zones noircies, et des éclats de verre au sol, comme si la chaleur avait fait fondre la silice pour l'agglomérer en verre.

- C'est pas des empreintes de chien ça ? Demanda une autre voix qu'Horner ne connaissait pas.

- Fiuuu ! Sacré clébard dans ce cas… Répondit Johnson après un temps de latence. Et le molosse il a l'air de cramer sacrément fort, il a imprimé sa marque dans le sable en le vitrifiant.

- Moi ce qui m'inquiète plus c'est que les traces ont l'air d'aller vers l'intérieur du vaisseau… Constata un autre Marines.

- Il y a des restes d'armure détruite dans le ravin ! Intervint une troisième voix.

- Charly, Thêta, allez jeter un coup d'œil dans ce ravin. Et faites gaffe, des fois que ce soit le réacteur de l'armure qui ait pété, ordonna Johnson. Bon, il nous faut un VCS pour ouvrir cette coque de noix !

- Youhou ! Des heures sup' ! S'exclama le mécano en amenant sont engin de chantier proche de l'appareil.

Celui-ci ignora purement et simplement les décharges, son appareil disposant d'une mise à terre efficace pour contrer ce genre de défenses. Il découpa ensuite la coquer à l'entrée pour permettre aux marines d'entrer, Johnson en tête.

- La lumière fonctionne… Constata le sergent en avançant. Il y a des traces d'humidité…

Une médic se pencha dans le champ de la caméra embraquée du sergent et pointa son scanner biologique sur la masse dont elle récolta un petit échantillon.

- C'est de la salive. Espèce inconnue, mais présence de gênes canins…

- Bordel, mais il s'est passé quoi ici ? Grogna le sergent en ouvrant une porte pour se lancer dans l'exploration des couloirs du vaisseau. Steve, Aramand, prenez les machines ! Van Pelt, Véronica, allez jeter un coup-d'œil à la passerelle ! Moi et Titus on se charge de l'espace de vie !

Les marines progressèrent, inspectant chaque partie de couloir, commençant à trouver des traces inquiétantes de lutte à bord.

- Nous sommes sous la couche atmosphérique, annonça le navigateur, venant un instant briser la contemplation silencieuse du reste de la passerelle.

- Mettez-nous au-dessus de l'appareil et armez les canons pour pouvoir couvrir l'équipe au sol… Répondit distraitement Horner en continuant à fixer l'écran qui retransmettait en direct-live ce que l'armure du sergent enregistrait.

- Mouvement ! S'exclama soudain un autre marines derrière le sergent.

Johnson releva le canon de son fusil gauss dans le champ de la caméra au moment où une terranide-louve débarquait d'un couloir transversal.

Un instant de stupeur se fit sur la passerelle. D'où sortait cette fille ? Qu'est-ce qu'elle foutait là ? Furent les premières questions qui fusèrent.

- Identifiez-vous ! Ordonna le sergent d'un ton impérieux.

Pour seule réponse, la terranide tapota sur le canon de l'arme avant de prendre la parole.

« Doucement, doucement…Descends ton arme tu veux ? Voilàà…Bon venez James est par là. Et prévoyez de quoi le soigner, il va en avoir besoin. Et vous pourrez me poser toutes vos questions après. »

Elle se retourna ensuite et fit signe aux marines de le suivre.

Dire que la passerelle était sous le choc était un faible mot. Puis après, des cris de joie commencèrent à résonner partout. On avait retrouvé le commandant ! Horner dû même se débarrasser d'une enseigne qui s'était jeté à son cou sans réfléchir à qui elle le faisait.

À l'appel, deux médics se précipitèrent au pointqui leur fut indiqué par le sergent qui, en constatant l'état du commandant se mit à beugler.

- ET GROUILLEZ-VOUS, IL NOUS LES FAUT POUR HIER !

Peu après, les médics entourèrent le commandant pendant que le sergent ordonnait l'évacuation de la témoin. Les marines étant visiblement à prendre avec des pincettes vu l'état de leur chef, ils décidèrent de mettre la terranide-louve aux arrêts en attendant des éclaircissements, la menottant avant de l'emmener sous bonne escorte.

Tout ce beau monde fut évacué par navette médivacs à bord de l'Hypérion qui croisait toujours au-dessus du chasseur-bombardier qui ne pouvait guère être mieux considéré qu'une épave pour le moment.

La terranide fut mise aux arrêts dans l'une des cellule de l'Hypérion doublée d'obsidienne tandis que le commandant était conduit à la baie médicale où il fut pris en charge par les équipes de soins intensifs. Plus tard, quand son état fut stabilisé, la louve fut sortie de cellule après deux bonne heures d'isolement pour être conduite dans une salle d'interrogatoire où l'attendant le capitaine Horner assis dans une chaise, l'air serein et avec une tasse de thé chaud. Une grande glace sur le côté gauche reflétait la pièce, cachant les membres des services de renseignement des rebelles chargés de juger de l'interrogatoire. La terranide fut sanglée à sa chaise avec des menottes anti-magie par les bras puissants des armures des marines qui refusèrent d lui adresser le moindre mot ou de relever leurs visières de tout le trajet. Sans lui faire de mal, ils ne s'y prirent cependant pas avec douceur pour la faire s'assoir et l'attacher solidement. Puis ils firent trois pas en arrière, sortirent leurs fusils et les armèrent dans un grand "clac" de levier de culasse avant de les braquer dans le dos de leur prisonnière.

- Bonjour, commença Matt d'un ton neutre en reposant sa tasse. Je suis le capitaine Matt Horner. Le second du commandant James Raynor que vous avez croisé dans ce vaisseau échoué, se présenta-t-il. Vous êtes ici afin d'éclaircir votre rôle dans l'état actuel où se trouve mon officier supérieur. Celui-ci étant incapable de parler pour le moment, je souhaiterais entendre votre version des faits.

Il laissa passer une petite pause pendant laquelle il scruta des pieds à la tête son interlocutrice, la jaugeant d'un regard si pénétrant que beaucoup de personnes avaient tendances à se sentir nues quand il s'en servait sur elles.

- Il va sans dire qu'en échange de votre coopération, aucun mal ne vous sera fait. Si en revanche vous souhaitez ne pas coopérer…

Matt poussa un soupir.

- Il me deviendra alors difficile de retenir les hommes du service de renseignement stratégique… Et ils sont à deux doigts de penser que c'est de votre faute si le commandant est si mal en point. Je crains qu'ils n'aient très envie d'avoir des renseignements quitte à user de manières… Que je n'approuve pas… Termina le capitaine d'une voix acide.

Il laissa ensuite la parole à sa prisonnière.

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Prélude / Re : Alors ... J'te plais ? [Valilouvée]
« le: vendredi 02 octobre 2015, 17:47:03 »
- Bienvenue à bord Bagnard. Évitez de faire n'importe quoi sur mon vaisseau.

*Offre une bouteille de Whisky toute neuve.*

9
Territoire de Tekhos / Re : Neko enflammé, nuit embrasée [Tek_Neko]
« le: vendredi 11 septembre 2015, 00:20:59 »
Matt ouvrit de grand yeux surpris. Tiffany lui avait parlé du soixante-neuf ? Voilà une surprise à laquelle il ne s'attendait pas. Surtout venant de la doctoresse de terrain qui, si elle adorait le charrier à cause de la taille de son membre, avait elle-même admis avoir des réticences à l'idée de jouer avec un engin aussi gros. Mais quand Raphaëll avait fait son apparition dans la vie de la base, la doctoresse avait immédiatement suggéré que Matt fréquente la nouvelle recrue étant donné sa capacité d'adaptation et ses sentiments pour le moins visibles pour le vice-commandant.

- Elle est raide dingue de vous et en plus son corps est "adaptable" à vos formes plutôt extravagantes, avait argumenté la doctoresse. C'est l'amante idéale pour vous ! En plus, ses pouvoirs ne sont pas sensibles à votre capacité d'ESPer de repousser les pouvoirs Parapsy. Vous vous complétez comme deux morceaux d'une même pièce. Il… Ou "elle", je ne sais pas, vous complète très bien. Surtout que de votre propre aveux, vous admettez laisser la porte ouverte à un potentiel garçon dans votre vie… C'est l'idéal !

- Tiens, je ne suis plus fiancé au commandant maintenant ? Avait ricané Horner en se rhabillant de sa visite médicale.

Il avait eu droit à une prise de sang pour lui apprendre à faire de l'humour douteux quand Tiffany était sérieuse. Et maintenant, il retrouvait la doctoresse dans les conseils qu'elle donnait à son amante.

Cette femme aurait dû être conseillère conjugale ou sexologue, pas médecin de terrain… Songea le vice-commandant.

Malgré tout, cette idée semblait faire envie à la Neko, aussi céda-t-il sans trop réfléchir. Et puis, il était curieux aussi d'expérimenter quel goût elle aurait quand il userait de sa langue sur elle intimement.

Matt s'allongea sur le dos et laissa Raph se débarrasser de sa culotte trempée et se tourner à quatre pattes sur lui pour lui présenter sa petite fleur toute rose. L'humain eut un petit sourire amusé et poussa un soupir en sentant la Neko prendre délicatement sa virilité en main.
Doucement, Matta releva sa tête et déposa de petits baiser sur la vulve de sa belle amante, la sentant trembler et l'entendant miauler de l'autre côté. Il la trouvait tellement craquante avec tous ses miaulement, si loin du capitaine Raphaël si fort et courageux qui sautait dans les pires situations comme un tigre invulnérable et balayait ses adversaires comme des fétus de paille dans des tornades de nanites déchaînés. La différence était à couper le souffle. Pour un peu, Matt aurait eu l'impression qu'il changeait de personnalité avec sa forme. Mais il le connaissait assez pour savoir que c'était la même personne et ça la rendait d'autant plus touchante.

L'humain sorti ensuite sa langue et commença à lécher délicatement l'intimité imberbe de sa petite amante. Faisant d'abords longuement le tour de sa vulve pour l'exciter et la frustrer en même temps, il dégusta ensuite ses grandes lèvres qu'il aspira parfois dans sa bouche pour les suçoter. Elle-même s'activait sur son mât de chair et il poussa de profond soupir en sentant les attentions de la Neko, particulièrement sur le sommet de celui-ci. Cela le poussa à attaquer délicatement les petites lèvres de la Neko toujours avec sa langue. Localisant son clitoris, il le titilla un peu du bout de son organe linguale et eu la surprise de déclencher un court orgasme-surprise chez sa jeune amante qui en miaula de plus belle. Son clitoris était vraiment très sensible se rendit-il compte et ça le fit sourire. Pour éviter qu'elle ne s'excuse ou ne se gêne d'avoir un peu aspergée son visage, le vice-commandant se plongea à nouveau sur la pauvre intimité de la Neko qu'il recommença à lécher de plus belle, arrivant jusqu'à l'entrée de son étroit et vierge vagin. Là, il passa et repasse autour de l'orifice avec amusement, sentant sa petite amante à la limite des convulsions pendant qu'il la torturait de la plus douce des façons.

Lui-même n'était pas en reste et gémissait car la Neko aussi avait passé la vitesse supérieure avec son gland et ses miaulements étaient désormais étouffés, comme si elle était bâillonnée.

Finalement, au bout de longues minutes de ce traitement où Horner se rendit bien compte que sa jeune amante se faisait violence pour ne pas jouir tout de suite une nouvelle fois, l'audacieux capitaine de l'Hypérion glissa finalement sa langue à l'intérieur de la chaude et humide intimité de sa douce, lui faisant arquer son dos et crier la bouche pleine tandis qu'il la voyait serrer et tordre ses petits orteils. Quelle endurance, quelle dur combat elle devait mener pour ne pas céder aux affres de la jouissance tout de suite. Cela amusa Matt qui entrepris de faire de très légers vas-et-viens avec sa langue.

À sa grande surprise, la Neko changea à son tour de rythme et le vice-commandant se senti lui aussi se crisper un peu pour ne pas jouir tout de suite. Elle venait de dramatiquement changer sa technique par Horner ignorait quel moyen, mais ça venait de passer de "bon et très agréable" à "super-bon et presque impossible à tenir". Il se crispa tout en continuant à se concentrer sur donner du plaisir à son amante, mais la tâche devenait compliquée, lui-même tentant de se retenir.

Les deux continuèrent ce manège moins de quelques minutes avant de soudain ne plus pouvoir se retenir et jouir presque simultanément. Mais à la charge de qui avait tenu le moins longtemps, étrangement ce fut Matt qui partit quelques secondes avant que Raph ne s'abandonne à son tour à sa jouissance et ne retombe sur lui, sans force et son intimité dégoulinante de sa jouissance féminine.

Horner reprit doucement son souffle, se demandant ce qu'elle avait bien pu faire, mais souriant béatement de contentement.

Elle était vraiment douée cette petite.

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Base Spatiale / Re : Bienvenue à bord ! Ou plutôt malvenue, non ? [Matt Horner]
« le: vendredi 11 septembre 2015, 00:19:22 »
Horner regarde attentivement le visage de son interlocutrice afin d'épier ses réactions, en bon joueur de poker et d'échec qu'il était. N'ayant pas de superpouvoir autre que celui d'empêcher les autres d'en user sur lui, il se remettait beaucoup à la psychologie pour essayer de cerner les personnes à qui il avait affaire. Il avait une longue pratique de la chose et souvent ses interlocuteurs le trouvaient simplement attentif, ce qui lui permettait de paraître poli tout en ne l'étant qu'à moitié en définitive.

Il en usa à loisir sur la jeune femme tout en écoutant ses explications, ne pouvant s'empêcher malgré tout d'hausser un sourcil. Étant Ashnardien d'origine, il connaissait un peu ce qui concernait les démons, mais de là à avoir deux yeux qui n'étaient pas els siens ? Voilà qui était tout sauf banal. L'un "l'obligeant" à savoir ce que les gens pensaient d'elle et l'autre lui permettant de savoir immédiatement à quoi elle avait affaire ainsi que la présence d'objets magiques ? Encore un pouvoir particulièrement utile. Mais bon, il n'avait jusque-là jamais croisé une personne ayant un pouvoir inutile et s'en ventant.

Et pour couronner le constat, elle admettait en avoir d'autres, mais préférait savoir s'il avait d'autres questions à leur sujet. Horner soupira d'amusement à cette proposition.

- J'imagine que je ne perds rien à demander, et j'espère que vous ne le prendrez pas mal, mais j'imagine que vous ne nous laisseriez pas pratiquer des tests sur vos si utiles yeux pour voir si nous ne pourrions pas en reproduire la fonctionnalité ? Demanda-t-il sur le ton de la plaisanterie. Ho ne vous inquiétez pas, je n'ai pas l'intention de tenter quoi que ce soit, mais notre situation étant ce qu'elle est, ne pas poser cette question relèverait pour ma part de la stupidité pure. Après, si je puis me faire pardonner ainsi, oserais-je vous dire que même s'il sont un peu dépareillé, je trouve qu'ils vous vont merveilleusement bien ? L'on n'aurait pu imaginer plus beau carcan que votre visage pour y enchâsser ces merveilles. J'ose espérer que vous me permettrez ces paroles pompeuses et qu'elle trouveront chez vous une écoute favorable.

Une touche d'humour, deux touches de charme pour saupoudrer une demande au demeurant sérieuse, voici une manière d'assaisonner ses questions à laquelle Matt avait hâte de voir le résultat.

Sa curiosité satisfaite, il hocha la tête sans se départir de son léger sourire et termina sa tasse.

- Puisque vous avez fait le premier pas, puis-vous inviter à commencer la visite du vaisseau pendant que vos quartiers sont apprêtés ? Questionna-t-il en lui tendant sa main paume vers le haut dans une posture raide et un peu vieillotte mais qui fut le must de la bienséance à la cour d'Ashnard fut un temps.

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Territoire de Tekhos / Re : Neko enflammé, nuit embrasée [Tek_Neko]
« le: mercredi 12 août 2015, 12:40:25 »
« Myyyaaa... Matt... petit coquin... nyyyuuu... »

Le principal intéressé sourit d'un air légèrement taquin en entendant Raphaëll se lâcher à l'appeler ainsi. Continuant à flatter les fesses de sa douce tandis qu'il occupait sa bouche et sa langue sur ses seins, il la senti avec plaisir trembler dans ses bras et ronronner comme une machine d'industrie. Le commandant en second aimait déjà cette sensation. Une Neko était tellement plus expressive qu'une humaine sur son état mental que l'humain aurait presque pu fermer les yeux et se laisser guider seulement au son de sa petite amante.

En parlant de sons, il en entendit un particulièrement intéressant être soufflé à ses oreilles :

« Matt... nyyyuuu... si tu veux... me toucher... plus intimement... han... vas y... myyyaaa... »

- Comment refuser une telle offre ? Sourit Matt d'un ton amusé en relâchant finalement la poitrine de Raphaëll pour revenir prendre doucement les lèvres de la tendre Neko avec les siennes.

Il continua encore un peu ses caresse sur ses belles fesses avant de commencer à très lentement approcher sa main de l'intimité de la jeune femme. Il la frôla du bout des doigts, suscitant à sa grande surprise un miaulement presque hystérique ainsi qu'une réaction proche du spasme incontrôlé. Il retira précipitamment sa main.

- Tout va bien ma chérie ? Demanda-t-il un peu inquiet.

Elle le rassura en lui disant que c'était simplement bien meilleur que ce à quoi elle s'attendait et qu'elle semblait vraiment très sensible de cette zone en particulier. Matt plissa les yeux d'inquiétude.

- Tu veux qu'on s'en tienne là ? C'est ta première fois après tout...

À son autre grande surprise, la Neko prit un air très joueur et lui ordonna, en se servant de son prénom, nom et grade, de remettre sa main dans sa culotte et, avec des mots plutôt "fleuris", de recommencer à la toucher intimement.

Matt ouvrit de grands yeux avant de finalement décider de jouer le jeu, lui adressant une parodie de salut militaire.

- À vos ordres m'dame !

Matt glissa à nouveau sa main sous la culotte de Raphaëll et reocmmença à caresser sa vulve très délicatement. Celle-ci agrippait à lui avec enthousiasme pour tenter de calmer ses spasmes de plaisir qui la faisaient miauler et tirer la langue de plaisir, des étoiles plein les yeux.

L'excitation, l'inexpérience, l'ambiance, un peu de tout ? Qui aurait pu le dire, en tout cas Raphaëll poussa peu après un long miaulement de plaisir orgasmique tandis que son corps se tendait et expulsa un petit jet de liquide tout droit au fond de sa petite culotte de soie dans laquelle se trouvaient les doigt d'Horner. Celui-ci sourit en la voyant ensuite se relâcher et devenir toute molle dans ses bras, la bouche entrouverte, l'air éminemment satisfaite, à la limite même de tomber évanouie.

- C'était si bon que ça ? S'amusa-t-il.

La réponse de la Neko le fit pouffer de rire. Mais quand il la regarda à nouveau, elle semblait à nouveau d'attaque et avait une lueur malicieuse dans les yeux qu'il avait appris à reconnaître.

- Toi tu as une idée derrière la tête... Constata-t-il.

Elle hocha sa jolie frimousse toute mignonne et vint lui murmurer à l'oreille une petit idée un peu perverse que Tiffany lui avait suggérée. Matt ne put s'empêcher de sourire tout en s'étonnant que la doctoresse lui ait même parlé de ça.

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Territoire de Tekhos / Re : Neko enflammé, nuit embrasée [Tek_Neko]
« le: vendredi 07 août 2015, 15:28:17 »
Horner sourit tendrement quand son amante accepta de lui laisser le plaisir de la voir en tenue d'Ève. Il déposa un léger baiser sur son nez qu'il caressa ensuite avec le sien pendant que dans son dos, il décrochait doucement l’agrafe de son soutien-gorge.

- Raph... Je n'ai pas besoin d'être indulgent. Tu es déjà parfaite... Mais je comprends ta craintes. Soit tranquille, je sais que tu sera plus belle encore que mon imagination n'a jamais pu le fantasmer. Lui susurra-t-il à l'oreille avec une voix amoureuse.

L'humain fit glisser ensuite les bretelles du sous-vêtement avec tendresse et patience et le retira doucement de la belle poitrine ronde et ferme qu'il cachait. Matt baissa le regard et embrassa de ses yeux ces superbes monts de chair aux petite auréoles mignonnes et en harmonie avec le reste du physique de son amante, constatant avec plaisir que ses petites pointes étaient déjà pointées dans sa direction.

- Raph... Tes seins sont magnifiques. Ce sont les plus beaux que j'aie jamais vu... Ils sont comme tout ce qui te définit et te caractérise à mes yeux : sans défauts.

Horner laissa tomber le soutien-gorge sur le sol à côté du lit avant de réhausser un peu son amante sur lui pour amener sa poitrine à hauteur de son visage. Il commença ensuite à tendrement la couvrir de délicat baisers, évitant soigneusement dans un premier temps les zones les plus sensibles. L'une de ses mains reprit les caresses de la base de la queue de Neko de la jolie Terranide qu'il avait dans ses bras.

Matt se délecta des miaulements de plaisir de son amante, ceux-ci le faisant s'ériger à nouveau sous elle. Il prit ensuite délicatement le bout d'un téton entre ses lèvres pour le suçoter doucement avant de venir en lécher l'auréole, déclenchant des frissons et presque des spasmes de plaisir chez son amante. Il fut fier de la sentir s'échauffer ainsi contre lui et continua à embrasser et à suçoter ses seins avec bonheur, passant de l'un à l'autre fréquemment.

- Hmmm... Tes seins sont si bons ma chérie... Si doux... Si... Hmmmm... Moelleux...

Sentant le souffle de la petite Neko s'accélérer avec son excitation, Mastt prit l'audacieux pari de glisser sa main de la bse de la queue de Raphaëll vers ses jolies fesses bien galbées et entrepris de faire doucement aller sa man le long de la courbe de celles-ci en se rapprochant de plus en plus du petit creux où se nichaient les organes intimes de son amante. Elle se mit à trembler dans ses bras, ses mots mêlés de miaulements devenant plus chauds et un peu moins châtiés. Matt la mettait sur le grill de son désir, mais il ne touchait rien de particulièrement plus érotique que ses fesses. Pourtant, elle tremblait comme s'il torturait de la plus douce des façon le siège de sa féminité même.

Qu'est-ce que ce serait s'il venait à la toucher vraiment aussi intimement ? Matt soupira en souriant, imaginant vaguement la scène d'une petite Neko pantelante dans ses bras. Il se demande juste si elle en voudrais encore ou si au contraire elle estimerait que ce serait déjà trop pour elle.

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One Shot / Re : Kidnapping et torture plus ou moins douce PV
« le: mercredi 05 août 2015, 01:22:51 »
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Horner tressaillit en sentant la lame piquer son cou et foudroya du regard sa geôlière. Elle voulait s'amuser avec lui ? Elle allait être déçue ! Mentalement, Matt commença à se répéter les phrases que ses instructrices lui avaient apprise à l'armée Tekhane. Une sorte de mantra qui, si on se concentrait assez sur, permettait d'ignorer une partie de la douleur de votre corps pour vous focaliser sur vos objectifs.

Mais elle ne continua pas sur sa lancée avec sa gorge, à la place, elle se releva et se rendit vers une table proche sur laquelle elle entreprit de déposer les parties de son armure qu'elle retirait de sur elle. Elle continua jusqu'à se trouver dans une tenue outrageusement provocante. Dans d'autre circonstances, Matt aurait probablement eu quelques soucis érectiles à voir une aussi belle femme dans une tenue aussi sexy, mais la lueur dans ses yeux ainsi que ses sourires aguicheurs ne lui inspirèrent que du mépris qu'il n'essaya pas de cacher.

Armée d'une longue dague aiguisée, elle revint ensuite vers lui et déchira autant qu'elle découpa sans autre forme de procès ses vêtements, lui mettant son décolleté sous le nez. Elle lui retira tout. Sa veste d'uniforme, finit en lambeaux au sol. Son gilet sans manches suivit derrières. Son pantalon termina en trois morceaux. Elle lui retira ses chaussures plutôt que de les découper et de risquer de toucher le pieds à travers les protections en carbone des bottes de combat. Ses chaussettes suivirent et enfin elle arracha son boxer.

Horner se rembrunit tout du long et et tourna la tête quand elle le détailla pour ne pas voir son visage. La petite remarque sur ses parties intimes ne le fit que se renfrogner plus. Il détestait qu'on parle de son sexe, c'était un élément qui le complexait depuis tout gamin déjà.

Elle s'éloigna ensuite avec un petit rire désagréable et revint avec un instrument tout droit sorti de l'imagination folle d'un peuple arriéré et dément. Elle le lui posa de force, Matt essayant en vain de l'empêcher de le faire en bougeant la tête, mais elle l'immobilisa en agrippant ses cheveux avec force. Il se retrouva ainsi avec cette espèce de fourchette sous le menton qui lui donna presque envie de ricaner. Elle voulait le faire parler, mais elle lui posait un système qui gênait le fait d'ouvrir la bouche ? Pour un interrogatoire, c'était plutôt mal parti. Comme ceux qui mettent un bâillon à une personne en lui demandant de répondre. Ou alors c'était psychologique et elle souhaitait qu'il se sente incapable de lui répondre même s'il le souhaitait ?

Dans un cas comme dans l'autre, il trouva cela idiot. Mais à peine eut-il le temps de le penser que son interrogatrice força soudain l'entrés de sa bouche avec sa langue, appuyant douloureusement son pouce et son index contre ses joues pour l'empêcher de fermer ses mâchoires. Il eut envie de la mordre quand-même et s'y serait livré sans la présence de ces doigts dans ses joues qui assuraient qu’avant de la mordre elle, se serait lui qui encaisserais. Mais cette méthode le révolta bien plus que la présence de l'antique outil contre son cou et sous son menton.

Elle cessa le baiser pour venir ensuite appuyer la pointe de sa lame contre la paume de sa main et elle le fit suffisamment fort pour faire couler son sang.

- Votre langue délicieuse se délie t-elle, Capitaine ? Il vaudrait mieux pour votre main que ce soit le cas...

- Avec tout mon respect, allez vous faire voir... Grinça-t-il le regard empli de défit.

Il la vit sourire plus largement puis il senti la lame commencer à se frayer un chemin dans sa paume. Horner serra les dents comme un possédé, inspirant rapidement par le nez pour lutter contre la douleur, ses yeux rivés dans ceux de sa bourreau, luttant autant pour ne pas crier que pour lui montrer tout le mépris et le dédain que lui inspiraient ceux qui ne connaissaient que la douleur pour se faire respecter. Pas un son n'échappa à la bouche du capitaine. Sa main trembla violemment tandis qu'elle perforait chair, veines et tendons et que le sang coulait en un petit filet écarlate. Mais ses lèvres demeurèrent closes.

Il continua à se répéter mentalement son mantra pour échapper à une partie de la douleur et fut heureux de constater que concentrer une partie de son attention sur lui lui permettait effectivement d'ignorer une partie de la douleur.

- C'est tout ? Êtes-vous à ce point incompétente pour ne pas reconnaître une cause perdue ? Gronda-t-il, crachant sa colère et son mépris. Vous avez déjà obtenu de moi tout ce que vous aurez. Le reste n'est qu'une perte de temps qui sert mes intérêts !

14
Horner ne le montra pas, mais il fut satisfait de confirmer l'un de ses soupçons : La jeune demoiselle disposait effectivement de capacités de télépathe. Mais comme elle ne parvenait à lire dans son esprit, il y avait fort à parier également qu'en ce moment, son pouvoir à lui fonctionnait correctement.

Ce qui le dérangea plus fut qu'elle expose au grand jour son propre don. Mais bon, pas besoin d'être grand clerc pour comprendre quand un individu s'approche de vous et que vous pouvoirs se coupent, que c'est probablement dû à sa présence.

- Vous êtes perspicace mademoiselle. C'est vrai que c'est parfois pratique d'éviter que certaines personnes ne fouillent mes pensées ou ma mémoire. Surtout quand on a le poste que j'occupe. Quand au danger, ma foi, pourquoi songer à quelque chose qui ne se produira peut-être jamais ? Être prudent est une vertu, être paranoïaque est plutôt un handicap. Expliqua le commandant en second Horner.

Horner hocha la tête à la réponse suivante. Donnant-donnant donc ? C'était en effet un langage qui lui parlait.

- La télépathie est utile, mais nous sommes d'accords pour dire qu'elle n'est pas suffisante pour créer une brèche de sécurité du genre dont vous nous avez gratifiés, sourit ironiquement Matt. Mais si vous êtes ouverte aux affaires, je pense que nous pouvons trouver un terrain d'entente... Termina-t-il en prenant une longue gorgée de sa tasse de thé.

Il se donna le temps de réflexion sur ce qu'il pouvait offrir/promettre/négocier pendant toute la durée de sa pause-boisson, soupesant les choses. Puis il reposa sa tasse et reprit la parole.

- En temps ordinaire, je vous demanderais probablement ce que vous seriez prête à accepter en échange de me faire part de vos capacités, mais étant un peu à court d'otpions, je vous fais une offre. Je vous fais visiter notre vaisseau et vous promet de vous déposer à la première occasion sur Terra ou la station spatiale, vous serez traitée en temps que passagère et invitée, nourrie à ma table, blanchie et logée dans une cabine personnelle. En échange, vous nous révélez ce que vous pouvez faire et durant toute la durée de notre voyage, vous acceptez d'en user pour notre aide et notre sauvegarde. Est-ce que ces thermes vous satisfont ? Proposa Horner tout en sachant qu'il devrait négocier avec son état-major pour que tout passe.

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One Shot / Re : Kidnapping et torture plus ou moins douce PV
« le: mardi 28 juillet 2015, 11:55:52 »
Horner resta aussi calem que possible en commençant à entendre des pas dans le couloir menant à la salle où il se trouvait. Puis il releva la tête quand la porte s'ouvrit pour regarder entrer son gardien. Rectification, sa gardienne. Il passa rapidement en revue les divers aspect de cette beauté Ashnardienne depuis ses longs cheveux blonds en passant par son physique à faire se damner un saint, sa belle et large poitrine mise en avant par une armure de cuir noir et or, ses yeux bleu profonds, ses longues jambes fuselées et en terminant par son visage beau mais aux sourire plutôt cruel.

- Bonjour Alyn, navré de ne pouvoir adjoindre un grade à votre nom, mais il fait défaut dans votre présentation, Salua Horner d'un ton lugubre. Et pour répondre à votre question, je n'ai pas trop mal dormi, même si mon sommeil m'a semblé bien lourd...

Il écouta venir une autre question à laquelle il ne jugea pas opportun de répondre, se contentant de garder le silence tandis que la jeune femme s'amusait de la situation. Elle s'accroupit devant lui et referma son poing sur ses cheveux pour ensuite le forcer à relever la tête, ce qu'Horner obtempéra à faire avec un léger grognement d'inconfort, son regard lançant des éclairs. Il senti ensuite la pointe d'une lame en acier piquer désagréablement sa gorge tandis que sa tortionnaire se penchait si près de lui que ses lèvres frôlaient les siennes. Elle parla d'une voix suave et lui fit l'une des proposions les plus sensées et les plus impossible qu'il lui eut été donné d'entendre, tandis qu'elle pressait son genoux contre son entrejambe.

Le message était on ne peut plus clair : C'était le coup classique du bâton et de la carotte. La carotte, il l'avait sous le nez, cette femme suggérant largement par sa gestuelle qu'elle pourrait se montrer "aimable" s'il lui avouait ce qu'elle voulait savoir. D'un autre côté, la lame contre sa gorge et le genoux stratégiquement placé étaient le bâton s'il refusait.

Mais comment accepter en sachant ce que cela impliquait ? Ils étaient presque au bout. Tous les rebelles attendaient ce ravitaillement avec impatience. Lâcher maintenant serait rendre leurs efforts caduque et surtout, il n'y avait de loin aucune garantie qu'il s'en sorte au bout. Alors troquer ses camarades contre un plus qu’hypothétique câlin, il fallait soit être particulièrement en manque, soit n'avoir aucun scrupules à livrer des hommes et des femmes de bien avec qui il avait affronté tous les dangers que lui avaient imposé ces cinq dernières années de guerre civile.

- Je ne remet pas en cause votre analyse quand à mon intelligence, mais vous savez aussi bien que moi que ce que vous me demandez est impossible. Vous le savez très bien, mais vous aviez besoin d'une justification pour satisfaire ces pulsions sadiques que je lis dans vos yeux. Alors épargnons notre salive à tous les deux. Capitaine Matthew Horner, matricule 117-2-HR, c'est tout ce que vous aurez de moi. Vous pouvez commencer l'interrogatoire... Grinça-t-il un air de défis sur le visage.

Le commandant en second attendit dès lors les coups et la douleur qui n'allait pas tarder. Il était prêt. Il avait sorti Jim de sa salle de torture dans cette caserne Tekhane. Il connaissait bien les principes pour avoir lui-même mené des interrogatoires. Il avait également été interrogé deux fois aux cours des années écoulées. La douleur était une vieille amie qu'il ne connaissait que trop bien.

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