Dictature d'Ashnard / Re : Oui Maîtresse ! [Mélinda]
« le: mercredi 17 décembre 2014, 00:57:35 »Après que je l'ai léchée, la main de Claudia est venue caresser mes cheveux, elle est plus tendre qu'Ayumi, plus calme aussi. Encore secouée par les méthodes de la femme aux cheveux roses, je me laisse faire sans vraiment réagir. Je ne peux m'empêcher de penser à toutes les possibilités, à tout le chemin que je pourrais faire avec cette Mélinda que je n'ai même pas encore rencontrée. Je m'imagine déjà avec ma niche, une gamelle à mon nom, un collier, une laisse, un serre-tête avec des oreilles de chienne, un plug anal avec une queue de chienne. Je voulais aussi faire une collection de sous-vêtements avec des odeurs agréables que je garderais comme des trésors. Me faire sauter par de jeunes chiens fougueux, devenir leur sac à foutre. J'imaginais aussi faire des concours de dressage ou de toilettage avec ma maîtresse, qu'elle m’entraîne à marcher correctement à quatre pattes. N'avoir à me soucier que d'elle jusqu'à la fin de mes jours, ne vivre que pour elle et par elle jusqu'à mon dernier souffle. J'imaginais ce que notre relation pourrait devenir, je me voyais déjà à ses côtés, la suivant partout où elle allait.
Elle se penche vers moi, lèche mon nez où se trouve encore un peu de sperme. Comme l'a remarqué Claudia mon attitude a changée sitôt que mon esprit fut brutalement débarrassé de toute préoccupation. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, je goûtais enfin à une réelle liberté en assumant enfin mes envies, en devenant une esclave. Le fait de me sentir libérée de ce fardeau du paraître et de la convenance me procure un plaisir et un apaisement que je n'avais jamais ressenti avant ce jour. Ayumi et Claudia me débarrassent de mes habits de servante et je me retrouve nue devant tous ces gens que je ne connais pas. Mes joues rosissent, mon cœur s’accélère, je résiste à l'envie de cacher mes parties intimes avec mes mains. Je ressens du plaisir à me donner en spectacle, je veux qu'ils puissent tous voir quelle petite salope je suis. Je veux qu'ils n'éprouvent aucun respect pour moi, qu'ils m'insultent, qu'ils me considèrent comme un objet sexuel. Je n'ai plus le droit de parler, j'aime les punitions mais, je veux être une bonne chienne, je ne ferais pas exprès d'enfreindre les règles. Le fait d'être ainsi privée d'une aptitude naturelle qui faisait encore de moi un être humain me met encore plus dans la peau du personnage, non, dans ma propre peau. Oui cette chienne c'est ma vraie moi, celle que je cache depuis toutes ces années de peur qu'elle soit aperçue. On me met ensuite un adorable collier rose qui me serre la gorge, je me peux m'empêcher de bomber le torse, fière de ce beau collier. Puis on me met la ceinture de chasteté, m’interdisant la masturbation ou la pénétration. Mon corps appartient à ma Maîtresse, mes virginités anale et vaginale lui sont réservées, à elle seule. Je fais la belle comme demandé, laissant ma langue sortir de ma bouche tandis que je halète, poussant quelques jappements de bonheur :
"Ouaf ! Ouaf !"
La grille s'ouvre et une dizaine d'hommes arrive. Une chienne est heureuse lorsque sa maîtresse lui présente des amis, il convient donc de faire la fête à mon public qui vient me voir. Je n'ai plus peur, je sais qu'ils viennent pour souiller mon corps et je sais que je vais adorer ça, j'y deviendrais peut-être même accroc. Je me jette littéralement sur le premier sexe à ma portée, l'avalant goulûment en produisant des bruits de succion obscènes. Je penche la tête sur le côté et je laisse le pénis en érection glisser sur ma joue, tandis que je vais embrasser les testicules de cet homme. Brusquement l'homme retire son sexe et me gifle avec. La voix de l'homme tonne, forte et mécontente :
"MIKA ! MECHANTE CHIENNE ! C'est quoi ça ? On se jette sur le maître sans attendre l'autorisation ?"
"Ouuuh ouuuuuh ..."
"Pas la peine de pleurnicher vilaine ! En plus tu t'y prenais mal ! Utilises plus ta langue et sois plus passionnée. Une chienne qui ne sait pas faire plaisir à ses maîtres est inutile !"
L'homme m'a engueulée plusieurs fois après ça, m'apprenant à le sucer correctement. J'adore être rabaissée de la sorte, être traitée comme une pute de bas étage, ça m'excite. Pendant ce temps les autres me demandent la papatte en tendant leurs pénis, ils me montrent comment les masturber. Faire toutes ces tâches à la fois sans se planter demande de la concentration, sous les engueulades et les insultes de ces hommes, j'apprends, j'apprends à être leur chienne. Le manque d'air et les fortes odeurs me font pleurer, tandis que je souris, heureuse de mon sort, passant de queue en queue avec zèle. Finalement j'arrive au bout de ma tâche, mon buste est recouvert de foutre et j'en garde dans ma bouche pour le montrer fièrement à ma Maîtresse, pour qu'elle voit que je lui ai bien obéit. Je sais déjà que je ne pourrais plus jamais redevenir une humaine normale, je suis un échec complet en tant qu'être humain mais, je serais la meilleure chienne et je ferais en sorte que ma Maîtresse m'aime.