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Messages - Rhian Thoris

Pages: [1] 2 3 ... 15
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Dictature d'Ashnard / Re : L'Éveil Du Warlock [Arkadia]
« le: lundi 04 février 2019, 01:27:37 »
« Ils sont venus, si fait, ma Dame. Mais ils ne venaient pas pour piller, non, mais pour tuer. Comment expliquer autrement qu’ils aient brûlé les maisons sans les vider auparavant ?
 -  Ils pillaient les greniers uniquement pour se nourrir eux-mêmes, et brûlaient le surplus. Il n’y avait même pas d’esclaves, ils se contentaient juste de tous nous tuer. »

Plus Rhian avançait dans les bas-fonds d’Al-Melkihim, et plus elle était glacée par ce qu’elle entendait. La situation était en réalité encore pire que ce qu’elle avait craint. Les ennemis n’avaient rien à voir avec de simples pillards, ou même avec des esclavagistes. Ils menaient une politique de terreur reposant sur la table rase, brûlant et ravageant tout sur leur passage par le biais de raids minutieux. Au palais, Rhian avait appris la stratégie militaire, et, en se promenant au milieu des réfugiés pour recueillir leur témoignage, elle constatait que tout cela s’apparentait à une campagne de harcèlement et de déstabilisation. Lors de son voyage jusqu’à cette province, elle avait eu le temps d’étudier soigneusement la région sur une carte, et notait dans un coin de sa tête la position des fermes et hameaux ayant été attaqués, notant ensuite leur emplacement sur sa carte. En faisant ensuite du recoupage, elle espérait pouvoir ainsi retrouver l’origine des assauts.

Quant à Arkadia... La vérité est que sa persuasion avait fonctionné parce que Rhian l’avait bien voulu. Elle n’avait pas confiance en Arkadia, mais elle savait qu’elle avait besoin d’elle. Pour le surplus, il ne fallait pas oublier que Rhian était de sang royal, et avait donc reçu, pendant sa jeunesse, des enseignements pour lutter contre les envoûtements magiques et les séances hypnotiques. De la même manière, son sang légèrement démoniaque renforçait ses défenses naturelles contre les envoûtements. Mais, pour autant, il aurait été exagéré de dire qu’elle n’avait pas été, dans une certaine mesure, envoûtée. Mais cela n’avait aucune réelle importance en la matière, car elle se renseignait surtout ici.

Rhian avançait le long des ruelles et des rues entourant le temple local, là où les réfugiés venaient faire l’aumône, ou quémander un peu de travail pour trouver de quoi nourrir leur famille. Al-Melkihim était une province pauvre, et qui était encore plus appauvrie par la guerre. Elle n’avait clairement pas les moyens d’offrir aux réfugiés des bourses décentes pour vivre, et leur offrait donc des repas populaires dans des tentes ou dans des abris rustiques. La situation était clairement sous tension.

Marchant lentement, Rhian écoutait les témoignages des uns et des autres, venant les soulager, leur sourire. Ici, si loin de la capitale, son visage ne leur disait pas grand-chose, pas plus que sa voix, ce qui fit qu’elle découvrit sa capuche.

« Gardez foi, l’armée est ici pour vous aider. »

Les réfugiés qui avaient rencontré des patrouilles intéressaient au plus haut point Rhian, et, après avoir amassé des informations, elle se rendit sur l’un des bancs entourant le temple, et fit son recoupage, puis constata, à partir de la trajectoire des patrouilles, que la base militaire centrale devait se trouver à une forteresse, Les-Jumeaux, deux impressionnantes tours dans les montagnes.

Rhian ne voyait aucune autre piste, car Les-Jumeaux se trouvait également à une position bien avancée. C’était une parfaite position pour venir ici et là dans la province. Connaissant Herebos, il avait toutefois également dû prévoir une garnison à Thyn, un petit fortin en amont.

« Vous en pensez quoi ? » demanda-t-elle à Lys.



Pendant ce temps, à l’intérieur du harem, Nölly embrassa brusquement Arkadia. Le jeune elfe androgyne s’expliqua rapidement en lui souriant ensuite :


« Les murs ont des oreilles ici, nous devons donner le change... »

Difficile de dire si cela déplairait aux deux. Les elfes étaient très rares à Papua, ce qui rendait Nölly encore plus précieux au sein de ce harem. D’aucuns auraient toutefois pu s’étonner qu’un tel phénomène, si rare, se retrouve justement dans une province reculée, mais Nölly avait toujours eu le don de se rendre insoupçonnable. Attrapant doucement sa cliente par les mains, il se déplaça sensuellement, rejoignant son lit, et l’incita à se coucher, puis l’embrassa à nouveau.

« Sire Langley m’avait annoncé votre visite... Vous devez être vigilante, hmmm... Les soupçons de Messire Langley sont parfaitement fondés, surtout depuis l’enlèvement de la Princesse héritière... »

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Dictature d'Ashnard / Re : Un Rêve de sable chaud.
« le: mardi 29 janvier 2019, 23:04:38 »
Comment éduquer Kanede ? Que faire d’elle ensuite ? La question méritait d’être posée, car la réponse n’allait pas forcément de soi. Rhian ignorait tout d’elle, mais elle en ferait assurément une servante et une courtisane. Plus le temps passait, et plus cette hypothèse la séduisait. Après tout, avec son teint pâle, elle jurait avec la plupart des Papuannes, qui avaient un teint de peau plus bronzé. Et Rhian aimait bien la différence, tout comme elle aimait l’idée d’avoir une courtisane personnelle. Quant à Kanede, elel aurait clairement pu tomber sur une situation plus horrible que ça. Elle vivrait dans le harem royal, un véritable endroit de luxe, et qui, contrairement à ce qu’on disait, n’était pas une prison. Les courtisanes du harem pouvaient sortir, même si elles étaient tout le temps surveillées, pour leur propre protection... Mais sans doute aussi pour s’assurer qu’elles n’étaient pas des espionnes. Le harem abritant des femmes de bonne famille, il aurait été dangereux de les maintenir enfermées. Après tout, à l’origine, le harem royal était surtout un instrument de cohésion sociale et d’union nationale. Quand Papua s’était dotée de son premier Shah, le harem avait été conçu pour retenir à l’intérieur une fille appartenant à chacune des grandes familles. Dans l’esprit, il s’agissait alors d’en faire davantage des otages que des amantes.

Avec le temps, cette stratégie avait évolué, mais le harem royal restait toujours imprégné de cette logique. Le sexe y était omniprésent, mais les courtisanes qui venaient étaient des femmes cultivées et intelligentes, qui pouvaient ainsi renseigner la famille royale sur la situation dans les provinces. Mais, avec Kanede, il fallait bien admettre que ce serait surtout sur le côté sexuel... Ou peut-être pour en savoir plus sur sa Déesse, même si Rhian avait tendance à croire la jeune femme quand elle lui avouait n’avoir aucune information à lui donner à ce sujet.

« Là, viens par là, ma belle... »

Et Kanede obtempéra donc, venant sucer le gode. Rhian se pinça les lèvres, sentant les godes vibrer en elle. Elle mouillait doucement sur place, et, jambes écartées, caressa avec sa main les cheveux de son esclave. Elle venait de la sodomiser, et il estimait qu’il était temps de redescendre le ton. À terme, Rhian comptait bien la former pleinement dans ce domaine, afin qu’elle devienne une très bonne courtisane...

« Hmmm, c’est bien, Kanede, c’est un bon rythme... Est-ce que tu apprécies, hmmm... ? »

Visiblement, oui... Mais c’était toujours mieux en le disant !

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Dictature d'Ashnard / Re : L'Éveil Du Warlock [Arkadia]
« le: lundi 07 janvier 2019, 00:48:43 »
Rhian était déjà venue à Al-Melkihim, une fois… Il y a fort longtemps. Elle était alors bien plus jeune, et savait marcher. Elle tenait la main de sa mère en marchant dans la grande rue. De cette ville, elle ne se rappelait de rien. Elle ne connaissait de la ville que ce qu’elle avait pu lire dans les rapports des espions et les comptes-rendus du Conseil. C’était la dernière ville fortifiée, qu’on appelait parfois « La Frontière ». Au-delà, il subsistait encore quelques rares hameaux et fortins, puis c’était la Mer Dorée, le Désert Éternel et les montagnes acérées. Il n’y avait aucun monument notable à Al-Melkihim. On trouvait des statues, des minarets, des fontaines, et le donjon central était très impressionnant, dominant la ville… Mais elle n’avait rien d’exceptionnel. Avec l’arrivée de la caravane marchande, une petite foule s’amoncela autour des caravanes.

« Al-Melkihim recueille beaucoup de réfugiés à cause des attaques de brigands… »

Une autre preuve qu’il ne s’agissait pas que de simples bandes. Tout autour de la cité, il y avait des camps de fortune, avec une succession de tentes, de constructions rustiques en bois, de petites fortifications en bois, des palissades montées rapidement pour protéger les réfugiés des tempêtes de sable. La ville semblait être réellement en état de siège. Le long des balcons, des toits, il y avait des archers méfiants, et toutes les tours de surveillance disséminées dans la ville étaient également sur le qui-vive. Rhian observait tout cela en fronçant les sourcils. Chaque seconde qu’elle passait ici confirmait ses soupçons, et renforçait ses craintes pour Herebos. Elle avait quitté le Palais royal d’une idée démentielle, elle le savait très bien. Elle-même se demandait d’ailleurs parfois si elle n’avait pas pété les plombs en agissant comme elle l’avait fait.

Rhian suivit donc les deux femmes sur la place locale de marché. Le vent du désert soulevait le sable, des chameaux se déplaçaient, et il y avait de multiples vendeurs. Potiers, brocantiers, bouchers…

« Allumettes ! Allumettes contre les Djinn Noirs et les démons !  Prenez des ânkhs pour protéger vos enfants !
 -  Du cochon, de la bonne viande de cochon bien grassouillet, si fait, Madame !
 -  Teintureries, teintureries ! Des draps propres, des couvertures chaudes pour des nuits glaciales ! »

Papua dans toute sa splendeur… Arkadia apprit cependant que son contact, le fameux Khaled, était mort. Elle avait néanmoins une piste complémentaire, au bordel de Jasmine, et Rhian fronça doucement les sourcils quand Lys s’émut du fait de conduire une Princesse au bordel. Arkadia suggéra alors de conduire Rhian aux gardes, ce à quoi cette dernière répliqua rapidement :

« Fort bien, et je pourrais également leur ordonner de vous mettre aussi aux arrêts, Mesdames. J’avais déjà des doutes sur le fait que vous soyez envoyées par le Conseil Impérial, comme vous le prétendez… Mais votre émoi, Lys, confirme que vous n’êtes pas originaire de l’Empire. Tous les membres du Conseil Impérial savent que je suis une tigresse, que mon père n’arrive pas à me marier, et que Papua dispose d’un harem royal à usage de la famille royale, ce dont je fais partie. »

Il avait suffi d’une seule bourde, d’une seule réflexion isolée de Lys, pour que Rhian démonte toute leur théorie.

« Mais je vous crois sincère en disant que nous avons le même ennemi, ceci me suffit. En revanche, là où vous avez raison, c’est qu’il me sera difficile de rentrer dans un bordel sans découvrir mon visage… Et, même ici, à Al-Melkihim, mon visage est connu. »

Elle portait en effet une bure de prêtre avec une capuche sur la tête. Une tenue blanche, qui faisait d’elle une religieuse… Et une religieuse dans un bordel, c’était surprenant !

« Quoi qu’il en soit, le meilleur moyen d’obtenir des informations est de rencontrer des réfugiés. Les auberges sont un bon moyen pour ça… Mais aussi les bordels. Vous n’aurez qu’à vous renseigner à l’intérieur, pendant que j’interrogerai les gens aux alentours. Personne ne craint une prêtresse, après tout. »

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Dictature d'Ashnard / Re : Un Rêve de sable chaud.
« le: dimanche 23 décembre 2018, 14:04:14 »
Rhian continuait à la prendre, à la sodomiser sans relâche. Elle était maintenant arrivée à un stade où elle allait très vite, où elle accélérait sans cesse, continuant à la prendre longuement. La jeune esclave hurlait de plaisir, se dandinant sur place, bien incapable de retenir son plaisir. Kanede approchait du point de rupture, Rhian le sentait, et elle n’hésita pas à la motiver davantage, en la giflant, fessant son adorable petit cul… Jusqu’à ce que l’orgasme ne traverse le corps de son esclave. Celle-ci s’effondra sur le lit, épuisée, le corps traversé par une vague de plaisir. Couchée sur le lit, Kanede soupirait longuement, tandis que Rhian, en souriant, l’observait doucement. Les soupirs de Kanede étaient entrecoupés par l’agréable ronronnement des vibromasseurs. Rhian mouillait également, et sa cyprine sortait de la culotte, dégoulinant du fait des godes qui remuaient tendrement et énergiquement dans son corps.

Épuisée, Kanede était en état de choc, et invita Rhian à continuer si elle le voulait. Celle-ci sourit doucement, et avança sa main entre les cuisses de Kanede, sentant quelque chose de très liquide. Elle caressa encore cette zone, imprégnant ses doigts de sa cyprine, et les observa ensuite, avant de sourire à nouveau.

« Toi, ma belle… Tu as joui ! » claironna Rhian, avec un sourire joyeux sur les lèvres.

Elle s’assit ensuite à côté d’elle, et écarta les jambes.

« Viens lécher mon gode, ma chérie… Viens le nettoyer, imprègne-toi de la sensation d’un phallus dans ta bouche, car… Hmmm… Tu devras t’y habituer ! »

La destinée de Kanede étant de finir dans son harem, elle avait en effet intérêt à s’y habituer !

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Dictature d'Ashnard / Re : L'Éveil Du Warlock [Arkadia]
« le: lundi 17 décembre 2018, 00:43:36 »
Des envoyées d’Ashnard en mission secrète... Rhian ignorait si c’était vrai. On lui présenta bien un sceau impérial, mais il aurait pu être récupéré n’importe où. Que le Conseil Impérial délègue des magiciennes en mission secrète signifiait que le Conseil n’avait pas confiance dans les autorités locales et soupçonnait donc une trahison impliquant le Warlock. Ce n’était pas impossible, vu le degré de paranoïa du Conseil, mais Rhian estimait plutôt que ces femmes venaient d’une loge indépendante. Elle savait que les magiciens formaient un ordre très particulier, comprenant des loges, des chapitres, des académies... Les magiciens étaient souvent les conseillers et les éducateurs des nobles, mais, au-delà de ça, ils formaient ensemble une vaste et puissante congrégation, qui était officiellement indépendante et autonome. Rhian savait en tout cas qu’il existait plusieurs Loges de magiciens ne dépendant pas de l’autorité d’Ashnard, et qui devaient peut-être voir le Warlock comme une profonde menace. Loin de soupçonner l’origine nexusienne des deux femmes, elle opta donc, pour l’heure, à défaut de croire à leur version, pour des magiciennes indépendantes.

*Et puis, si elles étaient vraiment missionnées par le Conseil, elles m’auraient dénoncé...*

Rhian Thoris était après tout la Princesse héritière de Papua, et, avec Herebos sur le front, la famille royale n’avait pour l’heure plus aucun héritier, ce qui était dangereux. Même dans les villes reculées, Rhian avait vu des affiches et des annonces portant sur elle. La théorie en vogue était qu’elle avait été kidnappée. Elle s’en voulait, d’ailleurs, et avait même écrit anonymement à ses parents pour leur assurer qu’elle allait bien, utilisant des coursiers de fret, qui faisaient de longues distances, sans préciser l’origine des messages. Toutefois, sans mentionner son identité sur les enveloppes, il n’y avait aucune certitude que ses parents les aient bien reçus. Cette situation ne manquait pas d’angoisser Rhian, qui culpabilisait à l’idée d’inquiéter ses parents. Mais, d’un autre côté, son père avait toujours refusé de l’écouter, il ne lui avait tout simplement pas laissé le choix !

Elle revint au moment présent, et remercia Arkadia et Lys de lui indiquer qu’elles ne la dénonceraient pas, Lys allant jusqu’à laisser entendre que leur rencontre avait quelque chose de prémédité, comme si c’était la destinée. Rhian sourit d’ailleurs doucement à cette idée, et acquiesça lentement.

« Peut-être... Les Dieux sont imprévisibles. »

La présence de deux magiciennes chevronnés au sein de la caravane avait ragaillardi l’humeur morose des gardes, et la caravane s’ébranla donc, rejoignant lentement Al-Melkihim. Pour cela, il fallait encore sortir du dédale étroit dans lequel le convoi se trouvait, ce qui se fit sans encombre. Au-delà, une plaine s’offrait aux voyageurs, avant qu’on n’aperçoive les arbres et les traces de l’oasis à proximité d’Al-Melkihim.

« Nous voilà au bout de Papua, à la dernière ville fortifiée... Al-Melkihim. Au-delà, c’est le désert, les ruines, et la guerre. Des provinces que mon peuple n’a jamais véritablement réussi à reconstruire, et dans lesquelles nous évitons de nous aventurer. »

Et, là-bas, quelque part, il y avait son frère.

« Vos supérieurs vous ont-ils donné l’identité d’un contact sur place ? » s’enquit alors Rhian.

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Dictature d'Ashnard / Re : L'Éveil Du Warlock [Arkadia]
« le: lundi 03 décembre 2018, 01:11:16 »
Rhian était inquiète, le cœur battant nerveusement dans sa poitrine. Elle ignorait totalement qui était ces deux femmes, et elle craignait qu’elles ne dévoilent son identité au capitaine. Celui-ci n’aurait pas d’autre choix que de la ramener au Palais royal, et Rhian aurait fait tout ce chemin pour rien ! Elle avait réussi à traverser Papua d’un bout à l’autre, et elle était maintenant proche de son frère, Herebos, si proche... Elle ne pouvait donc échouer maintenant ! La mystérieuse elfe répondit alors au capitaine en lui expliquant qu’elles étaient deux érudites venues étudier les légendes de Papua. Elle parlait rapidement, sur un ton fluide, bien moins agressive que son étrange amie au visage masqué par un foulard. Rhian, de son côté, avait remis sa capuche sur son visage, pour le cas où Léodas la reconnaîtrait. En soi, elle ne se souvenait pas avoir vu un seul jour cet homme au Château, mais elle n’allait pas prendre le risque de se faire repérer sur une étourderie.

Le Capitaine Léodas hocha lentement la tête après les explications de la jeune elfe.

« D’accord, je vois... Pardonnez-moi pour mon ton rugueux, magiciennes, cette attaque était imprévue. Je vous remercie pour votre aide, et il va de soi que vous êtes les bienvenues dans la caravane. »

En tant qu’officier militaire, Léodas connaissait les lois et les normes de sécurité. Les magiciens disposaient d’un statut assez particulier, et leur aide était toujours la bienvenue.

« Comme vous l’avez vu, nous faisons face à une recrudescence inquiétante de bandits depuis quelques semaines. Leurs attaques ne cessent de s’intensifier, ce qui explique pourquoi les caravanes bénéficient d’une protection militaire accrue. »

Les hommes de Léodas entreprirent de regrouper les cadavres afin de les charger dans un chariot. Autant que possible, il fallait éviter de laisser les corps pourrir sur place, non seulement par respect pour eux, mais aussi parce que la putréfaction des corps attirait la nuit les monstres nécrophages, comme les putréfacteurs, ou, plus fréquemment, les goules. Rhian s’écarta alors, hochant la tête quand Léodas lui demanda si elle allait bien. Elle se faisait passer pour la sœur d’une congrégation religieuse, ce qui était un bon subterfuge pour éviter qu’on ne la repère.

Il fallut en tout cas un bon quart d’heure pour remettre la caravane en état. Léodas avait subi quelques pertes, et se révéla être un capitaine compétent, remettant son convoi sur pied.

« Allez, les gars, on repart, ce n’est pas Al-Melkihim qui va se déplacer jusqu’à nous ! »

En évoquant de simples attaques de brigands, Léodas sous-estimait la menace. Du point de vue de Rhian, c’était une véritable horde qui avait envahi Papua, et, pour s’en prendre à des convois militaires, il fallait bien y voir plus que des bandes de bandits épars. Mais l’identité de cette horde était toujours inconnue pour elle. Tout ce qu’elle savait, c’est que, au Château, elle faisait régulièrement des cauchemars sur le sort d’Herebos sans que ses parents ne se décident à l’écouter, et à ne tenir compte de son avis. Or, Herebos était le seul homme qu’elle connaissait qui avait vu en elle autre chose qu’une future dot pour un mariage afin de renforcer l’influence de la famille royale. C’était lui qui avait entrepris d’aider Rhian à savoir se battre, même si elle n’excellait pas forcément dans ce domaine. Et ce mauvais pressentiment ne cessait de la quitter.

Rhian se retrouva dans un chariot en compagnie de Lys et de la mystérieuse femme, et la caravane s’ébranla à nouveau. Les cavaliers papuans entouraient les chariots, puis le trajet reprit. Rhian rabaissa à nouveau sa capuche, et observa à nouveau les deux femmes.

« Bon... Je vous remercie de n’avoir rien dit à mon sujet. Mais, si le capitaine a été facile à duper, je sais que vous n’êtes pas là pour étudier simplement des ruines et des légendes locales. »

Elle se tut pendant quelques secondes, avant de reprendre :

« Les attaques à laquelle nous faisons face ne sont pas le fait de quelques brigands locaux. Rhian est en situation de guerre face à une horde bien trop organisée et bien trop nombreuse pour être de vulgaires bandits. J’ai quitté le Château royal pour retrouver mon frère, Herebos, qui commande à nos troupes... Car je suis convaincue que ces bandits cherchent à réveiller le Warlock, et qu’un drame va arriver à mon frère. »

Après tout, puisqu’elles avaient annoncé venir enquête sur les légendes locales, elles avaient forcément dû entendre parler du Warlock, non ?

7
Dictature d'Ashnard / Re : Un Rêve de sable chaud.
« le: dimanche 02 décembre 2018, 19:55:44 »
Le rôle de Rhian était bel et bien d’encourage ses esclaves, de les former et de les éduquer. C’est ce qu’elle s’évertuait à faire avec la douce Kanede. Prise en levrette, elle ne tarda pas à accueillir les coups de reins de la Papuanne dans son fessier par une série de hurlements et de profonds soupirs. Oui, c’était douloureux, intense... Rhian imposait à la femme un rythme soutenu et éprouvant, mais la Papuanne l’assumait pleinement, car c’était dans leur intérêt mutuel. En tant qu’esclave, le rôle de Kanede risquait surtout d’être une amante, de dormir au harem, et il fallait donc veiller à la former sexuellement. Au-delà de ça, il était toujours très excitant pour Rhian de s’unir ainsi avec une vierge, de lui faire découvrir les joies du sexe. Ses mains se crispaient sur ses hanches tandis qu’elle la pénétrait, enfonçant sa verge artificielle en elle.

« Oh... Ka-Kanede, hmmm... !! »

L’intéressée gémissait fortement, tout en se faisant progressivement à ce membre, à cette sensation douloureuse qui remuait férocement en elle.

« Là, ma belle, tu es si étroite, hmmm... »

C’était le cas de le dire ! Difficile de s’enfoncer en elle, et Rhian gémit encore, se pinçant les lèvres. En sueur, elle accélérait, amplifiant ses mouvements, prenant peu à peu ses aises, ses repères. Au fur et à mesure que le temps passait, le fondement de Kanede se dilatait, permettant à Rhian de la pénétrer plus facilement, de s’enfoncer plus profondément et plus rapidement en elle, durcissant ses coups de reins.

Si Kanede aimait entendre du plaisir, elle allait être ravie, car Rhian soupirait et gémissait fortement, tout en continuant à remuer en elle, allant jusqu’à donner quelques fessées sur la croupe de Kanede, au fur et à mesure que la douleur croissait en elle.

« Lààààà, ouiii, haaaaa... Kanede, haaaaa... !! »

Son objectif était maintenant de faire découvrir à Kanede les joies de l’orgasme anal !

8
Dictature d'Ashnard / Re : L'Éveil Du Warlock [Arkadia]
« le: lundi 19 novembre 2018, 00:45:24 »
Dans la caravane, Rhian entendit des bruits à l’extérieur, puis les premiers hurlements, ainsi que les hennissements des chevaux. Elle était en compagnie d’autres passagers, qui étaient très inquiets. Des marchands, mais aussi des familles revenant à Al-Melkihim. Une mère serra ainsi son enfant contre elle, lui intimant de ne pas pleurer. Las, les bandits savaient que, à cause des mouvements de troupes, il y avait moins de soldats affectés à la défense des caravanes. Ils tentaient donc leur chance. Les régions occidentales du royaume avaient toujours été très instables, avec des attaques de monstres, des régions économiquement faibles, et de multiples bandits établissant leurs campements ici.

« Ne t’inquiète pas, Nyhan, les gardes vont nous protéger ! »

Dehors, il était difficile de comprendre ce qui se passait. Rhian était dissimulée sous sa bure, ressemblant ainsi à une pèlerine en voyage. Elle entendit des coups supplémentaires, et la fenêtre du chariot explosa brusquement. Des bris de glace tombèrent sur le sol de la calèche, et Rhian perçut alors des ricanements mauvais. Un corps sourd heurta la porte, et elle comprit qu’une bataille avait lieu juste devant la porte.

« Reculez, misérables ! Reculez !
 -  Bordel, ils sont... »

La porte de la calèche tapa à nouveau, et Rhian entendit des bruits sourds, des lames qui s’entrechoquent. Elle avait avec elle un poignard, une dague confiée par Herebos, incrustée de pierres précieuses. Une arme décorative, bien que la lame soit très tranchante, et qui permettait à n’importe quel soldat de connaître l’identité de la femme. Rhian n’avait toutefois pas envie de se faire repérer, car un avis de recherche avait été émis, et elle devrait retourner à la capitale. D’un autre côté, elle n’allait pas se laisser capturer sans se battre. La bataille continuait à résonner autour de la calèche, et la porte s’ouvrit brusquement.

Les passagers hurlèrent en voyant un homme hirsute entrer. Il portait une longue barbe noire, et ricana grassement, le visage à moitié recouvert de sang, un cadavre égorgé derrière lui. Une côte de mailles rafistolée le protégeait. Rhian, qui se tenait juste à côté de la porte, écarquilla les yeux, serrant sa main sous sa robe, tenant la manche de la dague... Mais l’homme ricana, et l’attrapa alors.

« Une religieuse, hihi ! »

Surprise, Rhian sentit l’homme la pousser, et elle tomba sur le sol, glissant à terre, près du cadavre. Elle se retourna brusquement en voyant l’homme la regarder, les yeux trahissant d’un désir dément. Il arrivait souvent que des congrégations religieuses envoient des pèlerins à Papua, et les religieuses se revendaient cher. L’homme se rapprocha d’elle, haussant els sourcils en voyant le visage découvert de Rhian, sa bure étant tombée.

« Mazette, ce que t’es bonne, toi ma salope, je... »

Une hache se planta brusquement dans le dos de l’homme, qui écarquilla les yeux, et cracha du sang.

« Misérables ! » hurla un homme.

C’était le capitaine de l’escouade protégeant la caravane, le Capitaine Léodas. Il venait de lancer sa hache, et se battait avec son épée. Sa lame heurta celle d’un bandit, et Léodas, rapide et agile,t ournoya sur place, et trancha le dos de l’homme. Rhian, paniquée, se recula précipitamment, avant de voir deux personnes supplémentaires venir, deux mages.

Des jets de feu jaillirent ensuite, tandis que l’épée de Léodas s’enflammait brusquement. Rhian vit d’ailleurs sa hache s’enflammer également, et heurta les jambes d’une femme dans son dos. Un foulard vert dissimulait son visage, et la femme croisa son regard, avant d’écarquiller les yeux sous la surprise. Lys avait eu le temps de se renseigner, et la conseillère d’Arkadia ne put que reconnaître Rhian Thoris, la Princesse de Papua.

Ensuite, un rayon enflammé frappa les bandits, les tuant dans d’atroces souffrances. Rhian se releva précipitamment.

« Princesse Thoris ? s’exclama l’elfe.

Rhian posa son doigt sur ses lèvres. Elle ignorait qui étaient ces femmes, et elle leur demanda de se taire, tout en remettant sa capuche, pendant que Léodas approchait.

« Par l’Enfer, qui êtes-vous ?! Vous ne faites pas partie de ma caravane ! »

Rhian sentait son cœur battre follement la chamade dans sa poitrine. Elle ignorait qui était ces deux femmes, mais elle ne pouvait qu’espérer qu’elles ne dévoileraient pas à Léodas son identité...

9
Dictature d'Ashnard / Re : Un Rêve de sable chaud.
« le: mercredi 14 novembre 2018, 07:39:14 »
Maintenant que Rhian avait une esclave, il fallait la dresser, la former, l’éduquer, en faire une esclave talentueuse et expérimentée. C’était ce que à quoi Rhian comptait s’appliquer en ce moment. Elle sourit donc doucement quand Kanede, juste avant de se faire pénétrer, expliqua qu’elle allait devoir s’habituer à la sodomie. Rhian ne pouvait qu’être d’accord, et lui répondit d’ailleurs du tac-o-tac :

« Tout à fait, Kanede... Mais ne t’inquiète pas, je t’y habituerai ! »

Elle aussi était passée par là, et elle aussi avait dû s’habituer à ça. Son sexe artificiel s’enfonça donc dans le fondement de Kanede, se glissant doucement un passage. Même si la Princesse de Papua avait veillé à bien lécher ce trou pour le dilater au maximum, la porte arrière de Kanede restait quand même très étroite. Rhian se pinçait doucement les lèvres, et continua ses coups de reins. Elle sentit son gode s’enfoncer de plus en plus, et les hurlements de Kanede, qui n’étaient pas feints, ne manquaient pas de la motiver en ce sens. Rhian frémit doucement, et posa ses mains sur les fesses de Kanede, crispant ses doigts dessus.

Elle s’y appuyait, tout en continuant à s’enfoncer en elle, sentant avec délectation les parois anales de Kanede s’écarter progressivement, au fur et à mesure que Rhian la pénétrait. Se pinçant fortement les lèvres, la jeune femme était en sueur, soupirant longuement, et continuait à la prendre. Plus le temps passait, et plus le fondement de Kanede se dilatait, permettant à Rhian de s’enfoncer plus longuement en elle.

« Oh, Kanede, hmmm... Kanede !! »

Rhian continuait à la prendre, accélérant de plus en plus fort, haletant et gémissant au fur et à mesure que le fondement de sa partenaire se dilatait, et que son vibromasseur s’enfonçait plus profondément en elle.

10
Dictature d'Ashnard / L'Éveil Du Warlock [Arkadia]
« le: mardi 13 novembre 2018, 01:23:14 »
La caravane marchande approchait d’Al-Melkihim. Plusieurs chariots convoyaient des armes venant des forges d’Al-Ketim, mais l’essentiel de la caravane comprenait des victuailles arrivant des oasis d’Al-Ehim. Le Grenier de Papua continuait à nourrir le reste du royaume, et de multiples poules caquetaient dans les cages. Dans d’autres cages pressurisées, dissimulées sous des couvertures, on abritait quantité de fruits secs, de bananes, de pommes, et de viandes fraîchement emballées dans du papier protecteur. Al-Melkihim disposait de quelques terres agraires, mais bien insuffisantes pour nourrir l’essentiel de sa population, sans compter qu’Al-Melkihim ne comptait pas beaucoup de ressources. La caravane comprenait donc aussi des armes, des armures, afin d’équiper les soldats.

Il fallait bien avouer qu’Al-Melkihim faisait office de centre de commandant central pour l’armée papuanne, dispersée dans les provinces occidentales les plus éloignées : El-Nolom, Al-Melkihim, et Al-Nor’To’Him. Une vaste campagne avait lieu contre des invasions barbares, des attaques de brigands dont on minimisait l’impact à la capitale, à l’est de Papua. Mais, plus on se dirigeait vers l’ouest, et plus on voyait les terres ravagées, les villages en feu, les greniers pillés, les caravanes attaquées en route... C’était une véritable situation de guerre civile latente, avec des camps de réfugiés multiples qui se développaient notamment dans la province d’Al-Ketim, proche d’Al-Melkihim.

Lors de son périple de la capitale à ici*, Rhian avait appris que ces bandits appartenaient à une redoutable milice qui sévissait dans les Contrées du Chaos, l’Affiliation. Une puissante milice, très bien organisée, qui était un conglomérat de clans barbares, de bandes de mercenaires, de pillards, de desperados et de criminels en fuite, sous la houlette de John Farson. Rhian avait appris que l’Affiliation cherchait à envahir Papua, et, plus précisément, à libérer un ancien mage noir, un individu extrêmement dangereux qui était légendaire à Papua, figure locale du croque-mitaine : le Warlock.

Bien que n’ayant reçu aucune formation militaire, Rhian n’avait pas hésité à traverser le pays, malgré l’avis contraire de son père (ce qui faisait qu’elle était une fugitive) pour rejoindre le front. Elle avait en réalité un terrible mauvais pressentiment concernant Herebos, un pressentiment si fort qu’elle avait traversé le pays pour le rejoindre. Et elle approchait maintenant de l’un des points centraux de son voyage.

*Enfin, le pire reste encore à faire...*

Une fois Al-Melkihim rejointe, il faudrait ensuite faire route vers le campement d’Herebos. Dissimulée derrière une bure modeste, Rhian évitait de se faire remarquer. La caravane était accompagnée de gardes, ce qui était une mesure de protection indispensable compte tenu du contexte militaire de la zone.

Et ils étaient bien avisés de le faire, car une embuscade se préparait justement. La caravane avançait le long d’un chemin forestier, tandis que, dans les arbres, des bandits se positionnaient, tendant des arcs, prêts à fondre sur la caravane...



* : Cf. RP « L’Odyssée Du Désert »

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Dictature d'Ashnard / Re : Un Rêve de sable chaud.
« le: lundi 22 octobre 2018, 07:32:46 »
Rhian esquissa un léger sourire quand Kanede se mit calmement en position. À quatre pattes devant elle, la belle esclave à la peau pâle se retourna vers Rhian, présentant son postérieur à cette dernière. Après tout, on avait offert à Rhian une esclave sur un plateau. Elle comptait donc tout naturellement en profiter ! Devant elle, Kanede attendait impatiemment et Rhian se rapprocha donc. La Princesse se pencha sur elle, posa ses deux mains sur les fesses de Kanede, une sur chacune, et les malaxa tendrement. Elle les pinça, et écarta ensuite ces deux bosses l’une de l’autre, glissant ses pouces contre sa croupe, le long de cette fine et délicate ouverte, ses doigts se crispant sur la chair dodue de l’esclave.

« Là, ma chérie, ma petite poupée, laisse-toi faire... »

En même temps, Kanede n’avait pas vraiment d’autres options. Elle avait eu la chance de tomber sur une Maîtresse douce, attentive, et très perverse ! Rhian rapprocha encore son visage, et sa langue partit lécher la croupe de Kanede. Elle glissa dessus pendant quelques instants, se contentant juste, initialement, de sentir le corps de Kanede, de s’y glisser au plus près, et de lui faire plaisir. Rhian la léchait donc, jusqu’à sentir son petit trou s’élargir doucement, les parois anales se dilatant... Ce qui lui permit d’y glisser sa langue. La Papuanne soupira doucement, et continua calmement son office, encore et encore.

Autant dire que la jeune femme comptait prendre tout son temps, puisqu’elle savait que Kanede était vierge. Elle la lécha donc, jusqu’à bien dilater les parois anales de la femme, s’amusant à titiller son fondement avec son doigt, et termina même en glissant un doigt en elle, sentant la jeune femme frémir. Estimant alors Kanede prête, Rhian se redressa.

« Reste ainsi, Kanede. Je vais aller m’équiper un peu... »

La Princesse de Papua dissimulait bien des choses, et récupéra notamment dans une partie de sa penderie un strap-on. Elle attrapa la culotte noire surmontée d’un gode tendu vers l’avant, et doté également d’un gode interne, orienté vers son vagin, et d’un plug anal. Un superbe sex toy qu’elle avait reçue de la part de l’une des courtisanes du harem. Libre à Kanede de tourner la tête pour voir ce qui se passait. Elle verrait alors Rhian passer une jambe après l’autre, puis remonter la culotte jusqu’à son bassin. Rhian commença par mettre le plug anal, frémissant doucement, puis glissa ensuite en elle  le gode. Ses joues en rougirent légèrement.

Par ailleurs, fait notable et amusant, la culotte comprenait deux gemmes rose, incrustées dessus, à droite et à gauche du vibromasseur.

« Là... Voilà, Kanede, hmmm... J’arrive, ma belle ! »

Rhian se déplaça lentement vers elle, et posa ses mains de nouveau sur ses fesses, les caressant... Puis les gemmes incrustées dans la culotte se mirent alors doucement à luire, faisant vibrer les trois vibromasseurs. Rhian soupira encore, et se pinça les lèvres. Elle resta inerte pendant quelques secondes, le temps d’accuser une vague de désir qui afflua en elle... Puis posa sa main sur le vibromasseur, et l’approcha du fessier de Kanede.

« Je vais te sodomiser, Kanede... Tu risques d’avoir mal, ma chérie, alors... Pense bien à hurler pour évacuer ta douleur, car je compte bien... Hmmm... Te sodomiser très quotidiennement ! »

Son membre tapa ensuite contre le fondement de Kanede, et Rhian, en grognant, força le passage, écartant les parois de Kanede, puis se glissa lentement en elle, tremblant et soupirant fortement dans cette séance...

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One Shot / Entraînement papuan [PV]
« le: mardi 25 septembre 2018, 23:31:15 »
Rhian tournoya sur place, et sa lame heurta celle de sa redoutable garde du corps et instructrice martiale clandestine. Jamila était une femme aussi belle que redoutable, une magnifique guerrière papuanne portant une tenue bleue fine et élégante, dénudant de bonnes parties de son corps. Elle appartenait à une famille papuanne très particulière, une famille qui avait toujours été très proche de la famille royale papuanne, et formait à leur usage des domestiques et des guerriers. Jamila, en tant que jeune fille, aurait dû être destinée à être une servante, ou au mieux une concubine, mais la jeune femme s’était toujours battue contre cette destinée, jusqu’à devenir une guerrière redoutable. Une véritable tête brûlée qui se battait avec les garçons dans les rues de la ville, s’opposant catégoriquement à l’idée d’être une simple potiche. Rhian connaissait évidemment le passé de Jamila, qu’elle voyait comme une sorte de modèle pour elle-même, car la garde-du-corps s’était battue contre les préjugés, jusqu’à parvenir l’impossible. Elle était devenue la garde-du-corps de Rhian Thoris, ce qui était un immense honneur pour sa famille.

« Hnnn... !! »

Rhian était légèrement en sueur, tout en se battant avec la femme dans une cour privée, un jardin privatif réservé au seul usage de la famille royale. Ses parents n’étaient pas là, et personne ne viendrait donc les déranger. Rhian et Jamila étaient donc seules pour parfaire l’entraînement de la jeune Princesse. Plus Rhian et Jamila se rapprochaient, et plus Rhian avait confié à Jamila qu’elle avait toujours eu envie de se battre, et qu’elle refusait la destinée que son père lui offrait, à savoir être un bon parti pour renforcer le pouvoir de la famille royale. Les deux femmes se comprenaient donc, et avaient le soutien du frère de Rhian, Herebos, qui formait également sa sœur au maniement des armes.

Mais le fait est que, malgré sa motivation, Rhian manquait encore beaucoup de talent dans la matière. Jamila s’amusait à la provoquer en lui soumettant une série de défis. Là, par exemple, elle se devait de tenir cinq minutes contre elle. Et, si Rhian arrivait à donner le change, Jamila était une guerrière entraînée, qui avait été formée à son arrivée au Palais par Herebos en personne. Ses mouvements étaient rapides, fluides, mais aussi puissants et appuyés. Après quelques passes, Jamila contre-attaqua, enchaînant une série de coups rapides à différents angles. Rhian grogna sur place, avant que Jamila ne frappa son épée de bas vers le haut, libérant un passage où elle se faufila pour frapper Rhian d’un coup d’épaule, renversant la jeune Princesse au sol, lui faisant lâcher son épée qui rebondit à terre.

« Hey ! protesta-t-elle. C’est pas juste, ça ! »

Elle avait perdu... Mais pas de la plus belle des manières !

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Dictature d'Ashnard / Re : Un Rêve de sable chaud.
« le: dimanche 23 septembre 2018, 19:36:21 »
Rhian léchait avidement le sexe de sa jeune esclave. Celle-ci pouvait ainsi réaliser que Rhian n’était pas une Maîtresse cruelle, ou déraisonnablement autoritaire. La jeune Princesse comprenait et acceptait le concept de servitude, mais elle n’aurait jamais été jusqu’à imposer sa loi aux autres. Au contraire, elle y allait doucement, avec tendresse, récompensant l’obéissance et la fidélité par la caresse et les douceurs. Si Kanede avait voulu une Maîtresse ayant plus de poigne, une femme qui s’amuserait à faire d’elle une masochiste accroc à la douleur, elle s’était trompée. Rhian n’était pas contre les plaisirs extrêmes, mais, de manière générale, elle se contentait juste de faire l’amour. Et elle était douée dans sa matière ! Ses coups de langue se mélangeaient à ses doigts intrusifs, et la jeune Kanede était bien incapable d’y résister. Sa délicieuse esclave, dans  une série de soupirs, et même de hurlements, se mit alors à jouir frénétiquement, ses doigts se crispant sur la couverture. Elle se relâcha contre le visage de Rhian, qui était aux premières loges pour y assister.

Un sourire victorieux sur les lèvres, Rhian se redressa doucement. Elle s’allongea à nouveau contre le corps de Kanede, mais son visage était désormais collé contre celui de Kanede. De cette manière, Rhian put l’embrasser longuement, plaquant sa bouche contre la sienne, sa langue allant se faufiler en elle. Ses lèvres étaient recouvertes de la mouille de Kanede, donnant à ce baiser une saveur encore plus exquise.

« Hmmm... !! »

La belle Papuanne l’embrassa encore, faisant volontiers durer le plaisir, sentant le corps de Kanede se blottir contre le sien, les mains de la jeune femme caressant ses hanches, glissant sur sa peau. Elle l’embrassa encore, pendant de nombreuses secondes, rompant le baiser pour mieux le reprendre ensuite. C’était un domaine dans lequel Rhian avait une certaine expertise, comme Kanede pouvait le voir. Rhian rompit ainsi son baiser au bout d’une bonne minute, souriant ensuite doucement à la jeune femme allongée devant elle.

« Là, Kanede, c’est très bien... C’était bon, hein ? Et ce n’est que le début... »

Que faire, maintenant ? En réalité, les idées ne manquaient pas à Rhian, qui se redressa donc, et s’installa à côté de Kanede, s’allongeant de nouveau sur le lit. Elle était couchée sur le flanc, observant sa belle proie, la caressant encore, ses doigts glissant sur son corps, allant jusqu’à tripoter ses lèvres.

« Je me suis attaquée à la devanture, alors... Il est temps que je passe à la suite, non ? »

Un nouveau sourire pervers éclaira ses lèvres. Elle la caressa encore, puis donna ses instructions :

« Allez, mets-toi à quatre pattes... Présente-moi ton joli cul, Kanede ! »

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Dictature d'Ashnard / Re : Un Rêve de sable chaud.
« le: jeudi 30 août 2018, 07:30:45 »
Ce qu’il y avait de bien avec les jeunes femmes comme Kanede, celles à la peau pâle, c’est qu’on les voyait très facilement rougir. Et Rhian se délectait de voir le plaisir s’afficher en temps réel sur le corps de sa nouvelle servante, se manifestant à travers des rougissements sur ses joues. Elle s’attaquait directement à son sexe. Rhian n’avait aucun intérêt de se montrer cruelle envers la femme, de vouloir la faire souffrir, ou de l’humilier. Elle se montrait donc comme elle était : avenante et sympathique, prenant son temps avec elle. Rien ne pressait, et elle comptait bien convertir doucement Kanede au sexe. Que faire d’elle ? En réalité, Rhian n’avait pas un besoin impératif d’une nouvelle esclave, en ayant déjà suffisamment assez pour s’occuper d’elle. Elle était tout de même la Princesse de Papua ! Pour autant, elle ne comptait pas rejeter Kanede.

*En faire une poupée sexuelle, c’est bien aussi, et je ne pouvais tout de même pas décliner un cadeau divin, aussi improbable soit-il...*

Rhian s’attaquait donc au sexe de Kanede. Sa langue glissait dessus à plusieurs reprises, s’enfonçant à l’intérieur, et elle soupirait doucement, poursuivant son cunnilingus, se régalant de la mouille de la jeune femme, de ce fluide intime qui filait d’entre ses lèvres. Sa langue glissait en elle, s’attaquant à ses parois intimes, les léchant tendrement, venant ensuite se concentrer sur son clitoris. Elle pinçait son bouton de plaisir avec sa langue, le titillait régulièrement, tout en ayant elle-même très chaud. Rhian continuait donc, encore et encore, léchant son sexe, remuant doucement sur place, tout en caressant avec ses doigts l’aine de Kanede.

Ses doigts finirent d’ailleurs par se déplacer, et, retirant sa langue, elle en profita pour y glisser son doigt, le remuant en elle, allant chercher le clitoris, souriant ensuite en entendant Kanede hurler à son contact. Ses onctueux gémissements, ses soupirs, ne faisaient que la motiver. Rhian, elle, en profitait surtout pour confirmer son talent dans l’exploration du corps féminin, poursuivant sans relâche ses assauts sur son corps. Pour Kanede, impossible de lutter, et Rhian ne manqua pas de l’encourager :

« Allez, ma belle, vas-y, oui... Jouis donc, mon amour... Relâche-toi, ma belle, allez, là... Offre un bel orgasme à ta Maîtresse, d’accord ? »

Est-ce que ce serait son premier orgasme ? Rhian se posa brusquement cette question, et choisit alors de retourner la lécher, plus intensivement encore, se concentrant sur son bouton de plaisir, jusqu’à ce que Kanede ne jouisse en elle...

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Dictature d'Ashnard / Re : L'Odyssée de Papua [Eris Langnar]
« le: mercredi 08 août 2018, 18:01:19 »
Rhian était sévèrement tringlée par Eris. La Vipère du Sable lui avait déjà montré à quel point elle était insatiable, énergique. Elle avait l’ardeur d’une pure Thoris, d’une Papuanne de choc. Très clairement, Khaora, la mère de Rhian, aurait été ravie de l’avoir comme amante. Qui sait ? En d’autres circonstances, Rhian la lui présenterait peut-être. Elle chérissait ces moments, ces périodes où elle oubliait absolument tout. Là, alors que sa chatte et son cul se faisaient prendre par Eris et son clone, Rhian oubliait tout le reste. Sa fuite du Palais, ses aventures, l’inquiétude concernant son frère... Il n’y avait que le sexe qui dominait en elle, il n’y avait que ça qui la motivait. Une formidable aliénation qui l’amenait à occulter tout le reste pour son plus grand bonheur.

« Haaaa... !! »

Elle aurait voulu que cette séance soit éternelle, que les coups de reins d’Eris ne se terminent pas. Les minutes défilaient à toute allure pendant qu’elle se faisait prendre d’avant en arrière. Les deux queues remuaient en harmonie, et les mains des Eris la caressaient, la griffaient, pinçaient ses seins, ses fesses. Les hurlements de Rhian s’entrecoupaient de baisers fiévreux, ses jambes s’enroulant autour de la Eris originelle. Elle roula sa langue dans sa bouche, l’unissant à la sienne, son corps en sueur se frottant en sien, se collant à ce dernier. Des soupirs supplémentaires la traversèrent, tant tout son corps semblait être en feu.

Rhian hurla encore, et eut au moins un orgasme avant que la Vipère ne jouisse de tout son long. Le sperme remplit le corps de Rhian, dont la tête fila vers l’arrière, ses yeux se révulsant pendant quelques instants dans ses orbites. Sous le choc, elle ne pensait même plus à ravaler sa salive, et sentit le clone jouir copieusement, balançant de multiples chapelets de foutre. Le point d’orgue de la répétition était atteinte, et, tandis que le clone disparaissait, Rhian se retrouva dans le lit avec Eris, au-dessus d’elle, la tête logée entre ses seins.

« Haaaa... Hmmmm... »

Clignant des yeux à plusieurs reprises, Rhian frotta son visage contre la poitrine d’Eris, puis sourit, avant de se redresser, et l’embrassa sur les lèvres.

« Putain ouais, tu m’as défoncé de partout, Eris... »

Un premier baiser avant cette phrase, puis un second ensuite, tandis que le sperme coulait lentement des orifices de la Papuanne. La jeune femme était en sueur. Après Erykal, le choc des deux Eris avait brûlé ses batteries. En sueur, elle l’embrassa donc, tout en étant incapable de se décoller d’elle, de ce corps chaud et agréable. Après le sexe, Rhian aimait se coller, elle aimait sentir le corps en sueur de son partenaire, s’y blottir amoureusement, et reprendre petit à petit sa respiration, son souffle.

« Damn, c’était bon... Je n’arrive plus à me lever... »

Elle était crevée, oui... Mais terriblement heureuse !

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