Les alentours de la ville / Re : Nocturne au Zoo [Yumena A.]
« le: samedi 02 février 2013, 23:23:08 »Je restais appuyée sur la barrière, et m'y appuyais plus fortement dès le premier coup de langue, qui me tira un gémissement, mêlant surprise et plaisir. Je pus sentir sa langue se faufiler en moi, sinuant dans mon intimité. Je me mordais la lèvre inférieure. Cette pénétration en douceur ne me laissais pas indifférente, et je ne saurais dire si ce n'était que de la salive qui s'écoulait de mon entrejambe baignée de désir. J'écartais un peu plus les jambes, par réflexe. Un dernier plaisir octroyé par sa langue, et je le sentis s'écarter de moi. Je ne me retournais même pas pour le voir, mais je l'entendais marcher, s'éloigner de moi.
Quelques instants plus tard, je poussais à nouveau un gémissement, alors que je pus sentir quelque chose s'appuyer sur mon intimité découverte, léchant mon liquide de désir qui s'écoulait. Une langue, à nouveau, mais pas celle du Yokai, non; celle d'un animal à la taille bien plus conséquente. Alors.. ALORS? la gemme marchait réellement ? Je fronçais les sourcils, tandis que je sentit quelque chose s'appuyer sur ma peau, tâtant, cherchant.. je commençais à peine à comprendre la nature de ce toucher chaud, que ça rentrait en moi, d'un coup, d'une seule pression, s'enfonçant avec brutalité dans mon antre humide. Je poussais un râle rauque, sous la vague de sensations qui m'envahissait. Je ne savais pas exactement quoi ressentir. Il y avait une certaine douleur, certes. Je ne m'attendais pas à un sexe de taille aussi conséquente, ce n'était pas pour rien que j'avais choisi un cheval de taille moyenne, juste au cas où.. au cas où la gemme marchait réellement. Et c'était le cas. Si j'avais su, je me serais dirigé immédiatement vers un animal qui n'était pas aussi membré.. mais moi qui voulait de la bestialité, j'étais servie, et malgré le sentiment désagréable que cette verge était trop longue, trop épaisse, il y avait au delà de cette folie des grandeurs un plaisir si extrême, celui d'être prise par un animal de taille conséquente, d'être à sa merci, comme si moi-même j'étais une bête, soumise à un mâle dominant. Oui, je crois que c'est ça qui me plaisait tant chez les bêtes; l'animal rentre en vous, s'excite, se fige, et se déverse en vous sans vous laisser un seul échappatoire, vous gardant sous son joug animal. Aussi, à chaque fois que je sentais le membre tendu de l'étalon heurter le fond de mon vagin, je poussais un gémissement mêlée de tous ces sentiments qui me percutaient de pleins fouet. Mes doigts se crispèrent sur la barrière, alors que mon corps tanguait aux vas et viens de l'animal, ma poitrine frappait de temps en temps le bois de la barrière lorsque mon corps se projetais trop en avant lorsque le cheval donnait son coup de rein.
Bientôt, je ne fus pas la seule à gémir. Les râle de l'étalon se mêlaient au mien, et je sentais ses allers et venues de plus en plus rapides, de plus en plus insistantes. Je soufflais. Il hennissait.
Tout à coup, je crus que j'allais exploser. Le membre de l'animal se tendit en moi, et comme le Yokai l'avait prédit, c'était un déluge. S'enfonçant autant qu'il le pouvait, il se soulagea sans ménagement, et je sentais mon vagin se remplir de la semence équine. J'avais la respiration coupée, les jambes tremblantes, et ma tête tournait. après quelques secousses, le long sexe de l'animal se retira du mien, avec lenteur, emportant avec lui quelques flots de sperme, qui coula de mon intimité, salissant mes cuisses et le sol de ce liquide blanchâtre qui me remplissait tellement qu'il s'en écoulait avec abondance.
Une fois que j'eus quelque peu repris mes esprits, je me laissais retomber au sol, le souffle haletant. Je me mis dos à la barrière, m'y appuyant, et relevais la tête au ciel.
- Mon dieu..
Puis, je me mis à rire. Un rire quelque peu fatigué de cette dernière prouesse sexuelle qui avait été si intense que j'avais l'impression qu'une meute de chien s'était déchaînée sur moi. Mais un rire qui témoignait également de la saveur de cette expérience unique qui m'avait marqué, mentalement et physiquement. J'avais chaud, et d'un geste quelque peu mou, je déboutonnais ma chemise, sans aucun gêne, laissant apparaître le haut de mon bikini un peu trop petit pour ma poitrine généreuse. Deux petites bosses trahissaient mes seins pointant de plaisir intense sous le tissu orange électrique.
Et ce n'était que le début de cette nuit que je n'étais sans doute pas prête d'oublier.