Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Melendil Korvander

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Melendil Korvander

Pages: [1] 2 3 4
1
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: lundi 28 janvier 2019, 13:15:50 »
Et bien, ça doit au moins faire cinq fois qu'Alice s'acharne à capturer Shad.
Melendil va finir par être un peu jaloux à force. x3

2
Dictature d'Ashnard / Re : Le Mariage [Melendil]
« le: lundi 28 janvier 2019, 13:11:13 »
Alice était désormais plutôt bien placée pour savoir comment Melendil agissait avec elle lorsqu'ils faisaient l'amour, et si il y avait bien une chose qu'il avait appris à adorer, c'était de frustrer légèrement sa belle avant de lui faire véritablement l'amour. Chose qu'il avait très vite constaté, sa belle princesse, désormais épouse, tendait à laisser le feu du dragon s'exprimer en elle lorsqu'elle était poussée dans ses retranchements. Melendil était toujours un grand amateur du sexe lent et amoureux, mais avait très vite appris à apprécier avec Alice le sexe plus intense...plus passionné, et il n'y avait pas de meilleure façon pour aller dans cette direction que de se frustrer un peu. La façon même dont Melendil abordait leurs étreintes amoureuses faisait qu'il était désormais plus avenant, plus "brut", car il tâchait de contrôler ses orgasmes en les retenant le plus longtemps possible, par diverses techniques qu'il tenait autant d'elfes affectés à Sylvandell qui le lui avaient enseignées, que d'autres provenant de prêtresses de Lust. C'était bien entendu, au bout d'un moment, une source de douleur, mais le "bellâtre" s'en servait d'avantage pour parvenir à satisfaire sa majesté, sa tendre et généreuse femme...et ses appétits sexuels absolument hors norme pour une humaine, ce qui avait souvent fait croire à Melendil que le sang de dragon dans les veines des Korvander n'était peut-être pas qu'une métaphore imagée.
Là, sur cet autel, et devant le Patriarche, un dragon millénaire, Melendil allait apporter sa pierre à l'édifice de l'arbre généalogique des Korvander, dont il portait désormais le nom. Lui, un simple vagabond des rues, sans avenir, le prince consort d'un royaume important pour l'Empire d'Ashnard. Bien évidemment cette perspective n'avait pas que du positif, Melendil sentait volontiers le poids des responsabilités peser sur ses épaules, même si il avait beaucoup travaillé ces derniers mois pour rattraper son retard en terme d'éducation. Heureusement encore que Sylvandell n'était pas une société purement patriarcale, auquel cas il se serait retrouvé avec beaucoup trop de responsabilités et un trône trop grand pour lui, non, ce seraient bien Alice et ses enfants qui auraient cette charge, à lui seulement de l'épauler, et il comptait bien faire de son mieux pour accomplir ce devoir.
Devoir...qui pour le moment, passait surtout par le fait d'assurer leur descendance, et le devoir conjugal, ce qui était indéniablement la partie la plus agréable de toute cette cérémonie.

Je n'y peut rien...tes gémissements sont tellement agréables à entendre ma chérie...

Melendil n'avait pris qu'une brève pause pour répondre à sa belle, avant de retourner fourrer son visage entre ses fesses, qu'il écartait à l'aide de sa main libre. Il devait faire preuve d'un véritable effort de volonté pour ne pas aller se fourrer dans ce corps qu'il aimait tant, mais Melendil se frustrait lui aussi de façon à se montrer plus énergique, plus endurant, c'était là tout le principe de ses exercices, transformer la frustration en énergie, et l'utiliser plutôt que de la laisser contrôler ses actes, le plus longtemps possible. Melendil retourna alors s'occuper du délicieux cul de sa belle Alice, s'attaquant à sa rondelle à l'aide de sa langue, qui décrivait des cercles sur cet anneau étroit, l'humidifiant avec sa salive tout en le travaillant pour l'amener à se dilater petit à petit. Parallèlement à ça, Melendil continuait d'utiliser son autre main pour doigter l'intimité de sa belle, enfonçant son majeur et son annulaire dans son vagin déjà bien trempé pour la stimuler d'avantage. Puis il redressa son visage au bout d'un moment, et glissa alors les doigts de sa main libre de long de la croupe d'Alice, suivant entre autres avec son majeur la ligne de démarcation de ses fesses jusqu'à atteindre son anus, et s'y enfoncer.

Mais ce que j'aime encore plus, c'est te faire jouir...

L'elfe connaissait maintenant le corps d'Alice sur le bout des doigts...littéralement parlant, et pouvait se targuer de parvenir à la faire jouir en utilisant uniquement ses mains, ce qu'il comptait bien faire maintenant. L'intimité d'Alice était bien humide, et les doigts de Melendil étaient d'ailleurs bien trempés par sa cyprine, ce qui fut pour lui le signal nécessaire pour lancer une soudaine intensification des va et viens de ses doigts dans la chatte de son épouse, le tout en lui doigtant un peu plus délicatement son anus. Lui même bandait très fort, stimulé qu'il était par la vue de ce corps nu aux courbes de rêve, par les gémissements qu'Alice poussaient, et par les bruits humides qui s'échappaient de son vagin alors qu'il la masturbait énergiquement, en stimulant pile là où il le fallait pour l'amener irrémédiablement à l'orgasme. Alice ne pourrait pas lutter, pas se retenir, Melendil connaissait juste trop bien son corps pour qu'elle puisse le contrer, mais c'était également vrai dans l'autre sens. Combien de fois avaient-ils fait l'amour ? Combien de fois avaient-ils joui dans les bras l'un de l'autre ? A se caresser, à s'embrasser, et bien plus encore. Ils étaient des amants tellement réguliers que le corps de l'un n'avait plus de secrets pour l'autre, et c'était ce qui en faisait des amants redoutables et insatiables. Melendil savait donc très bien que même si il allait faire jouir sa belle, n'utiliser "que" ses doigts pour le faire ne manquerait pas d'également la frustrer, ce qui ne manquerait pas non plus, de fait, de réveiller le dragon qui était en elle.

3
Dictature d'Ashnard / Re : Le Mariage [Melendil]
« le: vendredi 28 décembre 2018, 13:01:48 »
Le fait que Melendil se trouve là, à cet endroit, à cet instant, montrait bien à quel point la relation entre lui et Alice avait énormément évoluée depuis qu'il était devenu un membre permanent de la cour de Sylvandel, au service de sa majesté. Melendil était fou amoureux de cette femme, et surtout lui faisait confiance, suffisamment pour avoir accepté de se présenter face au jugement d'un dragon millénaire, et même, suffisamment pour s'être marié avec elle. L'elfe n'avait jamais été du genre à s'attacher par le passé, il était un vagabond allant de contrée en contrée, de ville en ville, ses amitiés et ses amours étaient donc aussi éphémères que le temps qu'il passait à un endroit. Même en étant entré au service d'Alice, au tout début de leur rencontre, lui même ne savait pas combien de temps tout ça allait durer, mais petit à petit, Sylvandel avait fini par être quelque chose d'assez proche d'une maison pour lui. En grande partie car, et à sa propre surprise, il avait fini par s'attacher à cette princesse, au delà du simple fait qu'ils couchaient ensemble presque tous les soirs. Ils venaient de franchir un pas de géant en s'unissant l'un à l'autre, une union qui venait d'être bénie par le Patriarche des dragons dorés de Sylvandel lui même...mais pour Melendil, le vrai sceau de leur union était sur le point de venir...en donnant un enfant, son enfant, à Alice.
Melendil ne prêtait qu'une attention toute relative aux flammes qui dansaient autour d'eux et sur eux, sans leur faire le moindre mal. Un fait qui aurait du l'intriguer, au moins, mais l'elfe était surtout obnubilé par sa tendre et douce...son épouse, et future mère de son enfant. Qui l'aurait crû, mais la perspective d'être père le rendait heureux, et l'idée que cette fois, le fait de jouir dans le vagin d'Alice la rendrait enceinte...l'excitait comme jamais auparavant.

Hmmmm...

Melendil léchait donc allègrement sa délicieuse moule, comme il savait bien le faire, c'était un préliminaire essentiel pour l'elfe qui adorait aller fourrer son visage entre les cuisses de sa belle, pour généralement la faire jouir uniquement avec sa langue. Mains posées sur les hanches de la belle, il l'aidait ainsi à se maintenir en équilibre sur le rebord de l'autel, car Alice, sous le plaisir qu'elle ressentait, tendait à remuer son bassin. Quoi qu'il en soit, l'elfe adorait se trouver dans pareille position, sentir les mains de sa femme se glisser dans ses cheveux, tout en gémissant son nom, et en soupirant de plaisir. Il aimait aussi goûter à sa cyprine, qui avait un goût très agréable, et très excitant. Au bout d'un moment, toutefois, Alice lui fit la remarque qu'elle souhaitait aussi sentir sa langue s'occuper de son autre trou, ce qui lui arracha un sourire. Il continua encore quelques secondes à titiller le clitoris de la princesse à l'aide de sa langue, puis se retira, non sans déposer un dernier baiser sur le ventre de la femme tout en se relevant.

Nous sommes donc partis pour une longue nuit...mais tu sais que nos invités vont finir par nous attendre ma belle...

Oui, il devraient à un moment donné rentrer au palais pour assister au banquet en leur honneur, mais ce dernier n'avait pas lieu avant encore un bon moment. Toutefois, il ne fallait pas sous estimer à quel point Alice et Melendil pouvaient se "perdre" l'un dans l'autre quand ils se faisaient l'amour. Melendil, de par les multiples techniques qu'il avait appris, était devenu un amant très endurant, et il ne fallait pas nécessairement compter sur Alice pour être fatiguée lors de leurs ébats. Melendil lui vola alors un baiser, se rapprochant de son corps, son sexe tendu se posant contre le ventre de sa belle...il avait une terrible envie de la pénétrer, mais se retenait encore un peu...il voulait que cette fois là soit mémorable. Il l'embrassa durant un long moment, puis se retira, tout en posant ses mains sur les joues de sa belle, qu'il regarda intensément. Les flammes qui dansaient la rendaient...angélique d'apparence, encore plus qu'à l'ordinaire.

Tu es magnifique.

Il retourna rapidement déposer un rapide baiser sur ses lèvres, qui l'hypnotisaient, amis se retira tout aussi rapidement, avec un petit sourire en coin.

Si tu veux bien avoir l'obligeance de te retourner, ma chère épouse...j'ai cru comprendre que tu avais un grand besoin de mon expertise sur ton royal fessier.

Melendil se recula alors un peu afin de la laisser se mettre en position, et adopta l'option de se mettre à quatre pattes au centre de l'autel, sur lequel Melendil grimpa donc, agenouillé dans le dos de sa belle femme qui lui présentait, à nouveau, sa croupe...un spectacle dont il ne semblait jamais devoir se lasser. La façon dont Alice se cambrait, et qui mettait encore d'avantage son fessier, avait le don de l'exciter, et c'était le genre d'invitation qu'il ne pouvait absolument pas refuser. L'elfe se pencha alors, et déposa un long baiser dans le bas du dos d'Alice. Dans le même temps, il avait posé ses mains sur ses cuisses, et les remonta délicatement, suivant le tracé de ses formes délicieuses, jusqu'à ses fesses. Il descendit alors lentement ses lèvres et ses baisers, léchant d'ailleurs volontiers sa peau pour parvenir là aussi jusqu'à ce cul divin. Plus de mots, mais il soupirait nerveusement en déposant de multiples baisers sur cette chair ferme, sur ces formes arrondies qui le rendaient fou. Il conserva une main sur l'une de ses fesses, et tout en continuant à embrasser l'autre, Melendil glissa sa deuxième main jusqu'à l'intimité de sa chère et tendre, qu'il entreprit de flatter à l'aide de ses doigts, le temps que ces derniers se couvrent un peu de cyprine...avant d'en glisser doucement deux dans son vagin. Au même moment, tel un affamé, il se dirigea vers l'entrée de son anus pour la lécher, tout en écartant le passage en malaxant la fesse de la belle princesse, qui voyait donc ses entrées les plus intimes prises d'assaut en même temps.

4
Dictature d'Ashnard / Re : Le Mariage [Melendil]
« le: dimanche 11 novembre 2018, 21:13:27 »
Aussi excité soit-il après toute cette attente et cette cérémonie, Melendil n'en était pas moins, à ce stade, avide de quelques réponses. Un mariage, c'était une inconnue pour lui, mais cela faisait tellement partie du quotidien qu'il avait su plus ou moins faire bonne figure devant leurs invités. Mais maintenant, l'elfe ne pouvait s'empêcher de se questionner quand à la raison de leur présence en ce lieu isolé et ancien...mais le tout, bien évidemment, en allant titiller un peu sa belle, qui ne manqua pas de lui rendre la pareille. Volontiers blottis l'un contre l'autre, les jeunes mariés s'échangèrent un bref moment intime, où entre autres Alice caressa le sexe de l'elfe, qui en profita alors pour lui masser délicatement ses belles fesses rondes. Encore un peu plus, et Melendil aurait eu du mal à résister à l'envie d'allonger Alice à même le sol pour lui faire l'amour, mais il se ravisa lorsqu'elle lui révéla enfin la raison de leur présence ici.

Oh...en effet, bon, je serais un gentil garçon pour encore quelques temps alors.

La Patriarche...Melendil ne l'avait jamais vu, mais ô combien avait-il pu entendre parler de cette créature de légende, qui était soit disant le tout premier des dragons dorés avec lui les Korvander avaient lié leur destin et leur lignée. Une ancienne créature, très ancienne, et si Melendil n'était pas un expert en dragon, il en avait assez vu pour comprendre que l'âge ne finissait pas par être fatal à un dragon, et que plus la bête était ancienne, plus elle était massive, puissante, et intelligente. La perspective d'être donc sur le territoire d'une créature encore plus massive que Léviathan aurait incité même le plus vaurien des voleurs à faire preuve d'une once de respect, par simple peur de finir carbonisé.
Ils reprirent alors leur route pour arriver au sanctuaire même, et quand bien même Melendil n'aurait pas pris au sérieux l'importance de ce qui allait se produire, il aurait alors changé d'avis en constatant que de nombreux dragons se rassemblaient sur les collines avoisinantes, afin d'observer et de surveiller le couple, mais également monter la garde. Les dragons n'étaient toutefois pas des observateurs silencieux, et il y en avait...Melendil n'aurait pas su le dire avec exactitude, mais très aisément plusieurs dizaines. Hurlements draconiques et jets de flammes dans les airs devenaient légion, et de plus en plus nombreux à mesure que d'autres de ces créatures arrivaient, et honnêtement, Melendil fut reconnaissant à sa femme de chercher à la rassurer.

Je suis heureux de te l'entendre dire Alice, n'importe lequel d'entre eux ne ferait littéralement qu'une bouchée du "maigrelet" que je suis.

Bien sûr, il ne montrait pas directement qu'il était anxieux, l'évitant ainsi en faisant preuve de son éternel second degré, mais la façon dont sa main ne quittait pas celle d'Alice le trahissait cette fois, il sourit alors, un peu gêné.

Ne t'en fait pas pour moi, je serais à la hauteur, je te le promet.

Il fallait en effet bien que son amour pour Alice soit sincère pour aller ainsi au devant d'une telle créature, d'autant qu'en approchant du sanctuaire, de son autel, et en levant les yeux vers le ciel...Melendil le vit. Le Patriarche, qui devait à vue d'oeil faire bien la taille de plusieurs grosses maisons. Ses ailes soufflaient la tempête, et le sol trembla quand il se posa, tandis que tous les dragons se turent en même temps. Majestueux et terrifiant à la fois, la créature était la chose la plus impressionnante que l'elfe aie vu de sa vie, Melendil se sentait judicieusement comme une fourmi face à un humain et, ne sachant pas tellement que faire, choisi alors d'imiter Alice s'agenouillant respectueusement face à la créature.
Pas un mot de la part de l'elfe, et ce dernier tâchait même d'essayer de garder ses pensées sous contrôle, ce qui était nécessaire pour regarder le dragon dans les yeux. Oui, hors de question de détourner le regard, il s'en doutait, c'était pourtant tentant vu à quel point le regard du Patriarche semblait le sonder au plus profond de son âme. Melendil n'aurait pas su décrire ce qu'il ressentait, mais clairement, il avait comme l'impression que le dragon "lisait" en lui. Ce qu'il avait pu voir en lui...resterait sans nul doute un mystère, mais le Patriarche consentit alors à donner sa bénédiction...et s'apprêta alors à souffler. Seule la main d'Alice qui se saisit alors de la sienne l'empêcha d'avoir peur, car le dragon ouvrit sa gueule face à eux, et cracha sur eux de gigantesques gerbes de flammes. Melendil toutefois ne ressentit aucune brûlure, il n'aurait même rien du sentir tout court et mourir à l'instant, consumé et réduit à l'état de cendres, mais il n'en fut rien. Le feu ne fit pas fondre sa chair, il ne le brûla pas, même quand il sentir des flammes s'infiltrer en lui par sa bouche et son nez, bien qu'il sentit, clairement, une sorte de feu venir en lui.

*C'est...incroyable !*

Melendil se releva lorsque Alice le fit, et il se tourna vers elle en se sentant...différent, comme si il prenait conscience qu'il avait été durant toute sa vie seul, jusqu'à cet instant précis. Lorsque le Patriarche s'envola alors, Melendil répondit de concert au baiser de sa belle, en la serrant fort contre lui. Il se sentait...bien, et même rempli d'une énergie, d'un feu, qu'il n'aurait jamais cru possible, comme si des ailes venaient de lui pousser dans le dos, et il savait intérieurement que ce n'était pas "juste" le fait d'avoir survécu à une pareille rencontre. Le feu du Patriarche lui avait fait quelque chose, il était revigoré...et amoureux comme jamais.

Oui...je le sens. Je ne saurais pas l'expliquer mais...je le sens...

Jamais Melendil n'avait eu autant la sensation "d'appartenir" à quelqu'un, et que ce fait était mutuel...jamais non plus il ne s'était senti empli d'un désir aussi fort, aussi brûlant envers une femme, et quand Alice lui intima de venir lui faire l'amour, Melendil s'exécuta. L'elfe posa l'une de ses mains contre la nuque de son épouse, amenant fermement son visage contre le sien pour l'embrasser avec fougue, tout en posant l'autre sur sa chute de rein, afin de la coller contre lui. La queue de Melendil s'était redressée en un temps record, comme si l'endurance et la fougue d'un Dieu de l'Olympe s'emparait de lui, mais c'était surtout à l'idée que cette fois, où ils allaient faire l'amour, allait être différente.
Melendil savait qu'Alice, en prévision du mariage, avait arrêtée depuis quelques temps de prendre ses potions de contraception, et là, après tout ce qui venait de se passer, l'idée d'enfin lui faire un enfant le transportait. Il l'embrassa ainsi pendant un bon moment, avant de finalement saisir Alice par les hanches pour la hisser sur l'autel. Il la regardait avec amour, désir, et adoration, avec sa merveille chevelure blonde qui reflétait le feu ardent qui les enveloppait. Elle se trouva alors assise sur le rebord de l'autel ancien, juste légèrement en surélévation...juste assez pour qu'en baissant le regard, Melendil ne le pose sur le ventre de sa femme. Il savait qu'en lui faisant l'amour là, ce soir, en lui "plantant sa graine", cette dernière allait germer, et donner la vie. Une perspective qui, quelques mois auparavant, l'aurait effrayé sous le poids de ces responsabilités, mais l'aval d'une créature aussi ancienne que ce dragon avait achevé de lui faire comprendre qu'il aimait Alice à ce point...et qu'il voulait lui faire des enfants. Dans un geste alors affectueux, le "bellâtre" fléchit les genoux pour amener son visage au niveau du ventre de sa belle, et y déposa un long et tendre baiser, au niveau du nombril.

Oh Alice...

Cette dernière savait pertinement que lorsque son bel elfe avait envie d'elle, et que ses lèvres se trouvaient aussi bas sur son corps, qu'il était alors attiré irrésistiblement plus bas. Et aujourd'hui ne serait pas une exception à cette règle, même si il avait furieusement envie de se planter là, tout de suite en elle, Melendil voulait faire durer le plaisir...mais aussi que sa belle gémisse son nom, se torde de plaisir sous ses lèvres et sa langue. C'est alors qu'il approcha ses lèvres de l'intimité de sa belle et, comme il savait si bien le faire, la lécha tout en écartant une cuisse d'une de ses mains, et en remontant l'autre jusqu'à l'un de ses seins.
Si lui allait se retenir aussi longtemps que possible, il comptait bien en revanche faire hurler son épouse de plaisir...

5
Dictature d'Ashnard / Re : Le Mariage [Melendil]
« le: dimanche 11 novembre 2018, 15:54:06 »
Alice avait toujours eu beau assurer Melendil qu'il n'avait rien à craindre des dragons de Sylvandell, l'elfe conservait une attitude...prudente vis à vis de ces créatures. Il n'avait pas grandi comme Alice au contact d'eux, et par le sang il n'était pas un Korvander, tout juste le devenait-il maintenant par les liens sacrés du mariage. Il parvenait toutefois à rassembler suffisamment son courage pour oser avancer en ligne droite vers le dragon du père d'Alice, qui était...monstrueusement grand, et sur lequel il allait devoir monter pour s'envoler ensuite. Quand ils arrivèrent à sa hauteur finalement, qu'il laissa sa belle épouse se reposer sur le sol, et qu'elle lui dévoila le secret pour lui monter dessus, Melendil ne pu s'empêcher de pousser un léger soupir.

Oh je n'en doute pas, simple comme bonjour.

Léviathan était suffisamment imposant pour qu'il soit possible de monter sur son dos une selle avec deux places, et monter sur une pareille créature pouvait sembler tout naturel pour Alice, mais Melendil avait une grande appréhension à l'idée de s'envoler à dos de dragon. Cependant...et bien tous les yeux étaient rivés sur lui, et le baiser de sa femme lui donna un peu le courage d'y aller, enfin, surtout de la suivre geste pour geste tandis qu'elle se hissait sur l'aile draconique, jusqu'à atteindre finalement la selle. Il pouvait sentir à l'aide de ses mains les écailles solides de la bête, aux bords tranchants, ainsi que la lourde respiration qui rappelait sans cesse qu'il s'agissait d'un gigantesque être vivant sur lequel il était en train de monter. Il prit finalement place sur l'une des selles, celle située juste derrière Alice, en prenant bien soin de vérifier qu'il était bien positionné. L'avantage, ce fut le fait qu'il pouvait ainsi poser ses mains sur les hanches de son épouse, ce qu'il ne manqua pas de faire.

Oh je n'ai aucune raison de m'inquiéter avec toi aux commandes, ma belle.

A moitié sincère et à moitié moqueur, Melendil comptait toutefois bien sur la princesse pour que le vol se fasse sans...acrobaties.
Puis finalement, le dragon prit son envol.
Une expérience pour ainsi dire unique pour l'elfe, qui sentait la bête sous lui remuer, et qui craignait à chaque seconde de perdre l'équilibre. Oui, autant dire que durant le vol, si Alice semblait parfaitement confiante et heureuse, Melendil lui n'en menait pas large...il était au moins content de lui même sur un point, il n'avait pas hurlé au moment du décollage, gardant ainsi un minimum de constance. Il pouvait dans l'absolu comprendre pourquoi Alice semblait aussi à l'aise à chevaucher ainsi un dragon, mais ce n'était pas encore son cas, tout au plus espérait-il qu'il finirait par avoir autant d'assurance que sa belle jeune femme avec ces créatures au bout d'un moment. Melendil resta silencieux tout le long du voyage, essayant de se concentrer sur la beauté des paysages vu d'aussi haut, ou encore sur sa belle Alice qu'il serrait fermement contre lui. Avec les préparatifs, et la tradition voulant que les mariés ne se voient pas avant la cérémonie, et bien cela faisait une petite poignée de jours qu'il n'avait pas eu le droit de voir ou d'approcher sa belle et...et bien il se demandait encore combien de cérémonies et autres ils auraient à assister avant de pouvoir vraiment se retrouver seuls tous les deux, et en toute intimité.
Puis, il arrivèrent à leur destination. Alice avait été très vague quand à la localisation de ce sanctuaire, où ce qu'ils allaient y faire, tout juste Melendil savait que ce rituel là était d'une importance au moins aussi capitale que la cérémonie de mariage. Melendil poussa un soupir de soulagement en descendant du dragon, et en sentant enfin ses pieds toucher la terre ferme.

Le contraste est saisissant avec la foule et...

Il se tu toutefois, surpris, quand Alice lui indiqua qu'ils devaient se déshabiller. Quel genre de rituel pouvait demander qu'ils soient nus tous les deux ? L'elfe pensa naturellement à une plaisanterie, mais ça ne dura que quelques secondes, car la jeune femme entreprit effectivement de retirer sa longue robe blanche, et quand à lui, il finit par hausser les épaules.

Ma foi...

Melendil se débarrassa volontiers de son élégant costume dans lequel, il avait certes une belle prestance, mais qui était bien trop formel à son goût. C'est donc tous les deux nus qu'ils entrèrent dans l'intérieur de ce sanctuaire qui devait avoir défiler, au bas mot, de nombreux siècles. Nus, et se tenant la main, ils étaient silencieux, jusqu'à ce que Melendil n'approche ses lèvres de l'oreille de son épouse.

Loin de moi l'idée de faire mon vaurien mais...quel rituel peut bien nécessiter que nous soyons nus ? Rien de trop cérémonieux j'espère, parce qu'à te voir nue comme ça...

Il lui en mordilla le lobe de l'oreille, tout en continuant de la suivre. A ce stade, Melendil commençait sérieusement à avoir un début d'érection.
Sa belle lui avait manqué, après tout...

6
Dictature d'Ashnard / Re : Le Mariage [Melendil]
« le: vendredi 05 octobre 2018, 12:33:06 »
Prince Melendil Korvander...honnêtement, celà avait de quoi donner le tourni à n'importe qui, et Melendil était certain que dans le lot des invités, particulièrement parmi les nobles, il y en avait quine devaient pas voir d'un très bon oeil cette "ascension", même si l'elfe s'en serait bien passé dans un sens. Le pouvoir ne l'intéressait pas, et il était même heureux de n'être qu'un prince consort, ce qui signifiait qu'Alice possédait et conserverait la quasi totalité des pouvoirs décisionnels...mais tout de même, il était désormais rentré dans les rangs de la noblesse Ashnardienne par le biais de ce mariage. C'était une source de préoccupations bien sûr, mais tout dans ce mariage en avait été, ou presque, c'était donc dire à quel point Melendil plaçait son envie d'être le mari d'Alice par dessus toutes ces considérations. Heureusement, pour lui qui était peu habitué à être "visible", Alice était tellement belle dans sa robe de mariée qu'il en était obnubilé, et il arrivait donc maintenant à passer outre la pression et le stress que pouvaient lui imposer d'avoir des milliers d'yeux braqués sur lui. Il se sentit même léger comme l'air lorsque sa chérie jura à son tour de le prendre pour époux, ce qui se traduisit chez lui par son traditionnel regard de canaille, mais aussi rempli d'affection et d'amour. Oui, il était heureux, et rien d'autre ne pouvait lui enlever ça en cet instant.

De gigantesques clameurs s'élevèrent alors dans la foule, et dans le ciel également, la multitude de dragons s'étant joints à l'évennement rugirent au dessus d'eux, et crachèrent d'imposantes flammes à l'unisson, se mêlant aux cris et aux applaudissement de la foule. Mais tout ça passa bien à côté de Melendil, qui tout en tenant la main d'Alice, avait posé l'autre le long de son dos pour la coller délicatement contre lui. Le baiser qui scella leur mariage fut...particulier, en ce sens où Melendil allait clairement s'en rappeller toute sa vie. Ce n'était pas le plus passionné qu'ils aient partagés tous les deux, mais c'était celui qui avait le plus de symbolisme, celui qui les liait en tant qu'époux. Un baiser long, mais chaste, car ils n'allèrent pas jusqu'à entremêler leurs langues...non, ça ce serait pour un peu plus tard, quand ils n'auraient pas de public. Mais malgré tout, Alice profita du bruit, et du fait qu'il étaient proches l'un de l'autre, pour lui glisser qu'ils allaient longuement baiser à partir de maintenant.

Je te prends au mot ma belle...

Puis, ils se retournèrent pour saluer tous les invités, ainsi qu'il semblait bien, tous les sujets du royaume qui avaient fait le déplacement. Melendil continua à tenir la main d'Alice, qui ne lâcha d'ailleurs pas la sienne. Oui, tout ça était très, très impressionnant, et il y avait de quoi se sentir intimidé par la scène. Surtout que pour la suite...le dragon personnel du roi les attendait. La cérémonie de mariage étant faite, il y avait d'autres rituels à faire désormais, et dont Melendil ne savait pour ainsi dire pas grand chose, si ce n'est que ce dragon allait les amener à un temple accessible uniquement à l'aide d'une de ces créatures volantes, qui ne le rassuraient absolument pas. Melendil toutefois eut la présence d'esprit de noter que son épouse était très émue, et sans doute au point où marcher le long de leur haie d'honneur allait être difficile...l'elfe prit donc une initiative à cet instant.

Pose ta main sur mon épaule...

De cette façon, Melendil pu se baisser pour passer un de ses bras le long des genoux de sa femme, et l'autre le long de ses hanches, et il la souleva...sous les acclamations de la foule. Melendil porta donc à bout de bras sa femme, et commença à marcher doucement face à lui.

Ne me remercie pas trop vite par contre, je te rappelle qu'il va falloir que tu m'aides à monter sur le dragon de ton père.

7
Dictature d'Ashnard / Re : Le Mariage [Melendil]
« le: mercredi 01 août 2018, 12:17:26 »
Si on lui avait raconté qu'un jour il se serait trouvé dans pareille situation, Melendil aurait certainement ri au nez de la personne lui délivrant cette histoire digne d'un contre de fées, et donc impossible à trouver dans la réalité...et pourtant, l'y voilà bel et bien ! Depuis qu'il avait demandé Alice en mariage, tout semblait s'être accéléré à une vitesse folle, même si les préparatifs avaient bien demandé plusieurs semaines, mais durant tout ce temps, Melendil tout comme Alice n'avaient eu que leur mariage en tête. Pour l'elfe, qui avait des origines pourtant très modestes, tout ça lui avait semblé comme irréel, et même encore maintenant alors qu'il se trouvait face à l'autel...face à des milliers de personnes attroupées pour assister à son mariage avec Alice, il avait encore un peu de mal à se faire à cette idée. Pour un ancien voleur qui était habitué à ne pas se faire remarquer pour survivre, le moins qu'on puisse dire, c'était que désormais bien des personnes connaissaient son visage, dont certaines très influentes. Au delà de son futur beau-père, il y avait plusieurs conseillers impériaux qui avaient fait le déplacement, et surtout l'empereur en personne. De quoi rajouter encore au prestige de ce mariage, mais aussi encore de quoi rajouter un peu plus de poids sur les épaules de Melendil, qui faisait de son mieux pour ne pas faire transpirer le fait qu'il avait un stress de tous les diables.
Vêtu d'un costume sombre mais élégant, Melendil faisait toutefois un bon boulot pour conserver les apparences. Il savait qu'il avait encore beaucoup à prouver, surtout après le divorce d'Alice avec son ancienne épouse. Tywill Korvander, même si il avait fini par...quelque peu l'apprécier, avait été très clair vis à vis de l'elfe quand à ce qui lui arriverait si il devait briser le coeur de sa fille. Une manière crue de s'assurer que le futur époux d'Alice réfléchisse bien à ses actes, et Melendil ne pouvait pas lui en vouloir, même si ce soir là, le sommeil avait eu du mal à lui venir. Son futur beau-père n'était pas un monarque respecté pour rien, et il avait pu voir en première ligne d'où venait la fougue d'Alice, le fameux sang du dragon.

Il ne s'était toutefois pas dérobé. Même si tout ce faste, cette cérémonie publique, l'effrayait sincèrement, l'amour qu'il éprouvait pour sa belle princesse était plus que suffisant pour traverser cette "épreuve". Melendil voulait sincèrement se marier avec elle, et lui faire des enfants. Un point sur lequel les législations de Sylvandell, concernant l'héritage royal, seraient un obstacle à terme mais...mais pour l'instant Melendil n'avait pas la tête à ça. Son coeur lui donna l'impression de s'envoler quand le carrosse d'Alice arriva enfin, et que sa dulcinée en descendit. Cela faisait depuis presque deux jours qu'il n'avait pas pu la voir pour les préparatifs de la cérémonie, tradition oblige, mais en la voyant dans sa splendide robe de mariée blanche...son stress s'envola d'une traite, et il se surpris même à sourire.
Tendant la main en direction de sa belle, il prit la sienne pour l'inviter à le rejoindre sur l'autel. C'était un moment tellement solennel qu'il n'osa pas l'interrompre pour lui dire qu'elle était magnifique, mais ses yeux et son sourire valaient toutes les paroles, Melendil était sous le charme.

*Nous y voilà ma belle...*

Les ovations se turent lorsque l'Omniprêtre commença son discours, débutant ainsi officiellement la cérémonie. Ce genre d'évennements n'avait jamais été la tasse de thé de l'elfe pourtant, qui fustigeait volontiers le caractère trop pompeux des mariages, et même maintenant il n'aurait pas été contre quelque chose de moins fastueux et grandiose...mais ça ne l'empêchait pas de profiter pleinement de l'instant. Sa main tenait celle, gantée, d'Alice, qui semblaient ainsi devoir se réconforter mutuellement. Puis, vint finalement le moment pour lui de prononcer ses voeux, qui avaient un impact encore plus fort que dans le cas d'un mariage normal. Devenir le mari d'Alice impliquait aussi de devenir un Prince de Sylvandell, ce qui allait avec un certain nombre de responsabilités, même si il n'avait "que" le titre de Prince Consort, Alice étant celle qui possèderait de toutes façons la plus grosse partie des pouvoirs lorsqu'elle deviendrait reine.
Il inspira alors un grand coup, tout en serrant légèrement plus la main d'Alice sur le moment...

Oui, je le jure devant les Dieux.

Ce n'étaient là que quelques mots, mais Melendil venait de les prononcer avec une sincérité qu'il était impossible de confondre avec de la comédie. Il venait de s'engager à vie avec Alice, il ne restait donc plus qu'à sa belle d'en faire de même, et il seraient alors officiellement mariés.
Autant dire qu'à ce moment précis, Melendil était l'homme le plus heureux du monde.

8
Dictature d'Ashnard / Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]
« le: mercredi 11 avril 2018, 12:26:09 »
Ces échanges verbaux, bien que brefs, permettaient à Melendil de reprendre un peu ses esprits avant de se plonger pleinement dans ce qu'il avait appelé "le second round". Melendil sentait qu'il n'allait plus tenir encore des heures ainsi, à se frustrer, à se nier le plaisir de jouir, car tout son corps le réclamait. Alice avait pu le sentir au fait qu'il respire fort, mais il avait aussi très chaud, et même si il ne le montrait pas trop, son sexe lui faisait terriblement mal. Mais, encore une fois, voir Alice prendre autant son pied en valait complètement le coup, car Melendil avait toujours été ce genre d'amant à faire passer en priorité le plaisir de sa partenaire, avant même le sien propre. Mais il ne pu, malgré tout, s'empêcher de légèrement rire lorsque Alice lui "reprocha" de la baiser aussi fort.

Hum...et moi qui croyait que le sang des dragons te permettait de tout encaisser...ne me dis pas qu'un voyou dans mon genre repousse tes limites ?

Rapidement toutefois, Melendil l'invita à poursuivre leurs ébats. Depuis tout ce temps, sa queue n'avait pas quitté le fourreau étroit du cul de sa princesse, de sa future femme, et il commençait, vraiment, à en avoir mal. Il allait encore tâcher de tenir un peu, mais clairement, Melendil arrivait sur la fin de ce qu'il pouvait supporter, son sexe lui semblait aussi lourd qu'une enclume tant il le faisait souffrir...c'est dire à quel point il mettait un point d'honneur à satisfaire sa majesté !
Il commença doucement, remuant à nouveau dans les fesses de son aimée, et profitait de ce début doux pour laisser ses mains se balader sur le corps d'Alice, allant notamment la doigter. Alice caressa d'ailleurs cette même main avec l'une des siennes, l'invitant à continuer alors qu'il glissait ses doigts sans aucune difficulté en elle, tant elle mouillait, tandis qu'elle recommença, avec un peu plus de mal, à lui parler.

Défi relevé, mon amour...

Melendil pinça alors son sein, avant de remonter sa main. Délicatement, il la glissa dans la longue chevelure de la princesse qui était à quatre pattes, la rassemblant contre son dos, avant de délicatement l'empoigner en tirant vers l'arrière. Il n'y allait pas très fort, pas assez pour faire vraiment mal à Alice, c'était plus pour donner un peu de...piquant, et de profondeur à leur roleplay. Alice voulait, après tout, qu'il la baise comme sa petite pute, et ce selon ses propres mots. Il recommença alors à la besogner bien comme il le fallait, même si il avait un peu moins d'amplitude du fait qu'il lui doigtait la chatte en même temps, il n'en demeurait pas moins que ses coups de reins étaient assez forts pour provoquer des claquements, au contact de sa chair sur la sienne.
Un rythme qui dura un certain temps...mais comme il l'avait dit, il n'allait probablement plus durer très longtemps, et Melendil arrivait vraiment au bout de ses limites.

Hnnnf...Alice...

N'y tenant plus, l'elfe la poussa tout en venant s'allonger sur elle. Il la "força" ainsi à être aplatie sous lui, complètement allongée sur le ventre. Une main à la gauche du visage de la princesse, l'autre sur la droite, il prit appui avec ses bras tendus afin d'arriver à la dernière ligne droite. Grognant, soufflant presque comme un buffle, Melendil pu alors dans cette position donner de vrais coups de butoir dans le fessier de la princesse. Un peu comme si il faisait des séries de pompes frénétiquement, il levait et abaissait son bassin fort, vite, au point que le lit était en train de craquer. Le sexe de l'elfe ressortait presque intégralement de ce cul pour ensuite s'y enfoncer à nouveau, encore, et encore, de plus en plus vite à mesure que Melendil la bourrait sèchement...jusqu'à ce que, finalement, il ne se relâche en elle.
L'instant juste avant qu'il ne jouisse, Melendil se laissa tomber un peu sèchement sur le corps de la princesse, de façon à complètement se plaquer contre elle, à délicieusement l'écraser sous son poids, sous son corps musclé et en sueur, et enfin il se permit de jouir. Le visage fourré contre le creux du cou de sa femme, Melendil grognait comme un animal alors qu'il se déchargeait profondément dans son cul, son sexe cracha d'épais filaments de foutre, et ce pendant un temps pour le moins...impressionnant. L'équivalent de plusieurs orgasmes déferlait dans les fesses d'Alice, car Melendil jouissait, encore et encore, incapable de parler, il maintenait fermement la jeune femme en place, car nul doute qu'il s'en serait trouvé très frustré autrement. Durant cette longue minute où il jouit sans interruption, Melendil n'était guidé plus que par ses plus bas instincts, et par sa frustration qu'il libérait enfin, comme une digue qui cédait sous des torrents.
Et enfin, après ce long moment, Melendil reprit un tant soit peu ses esprits, une fois qu'il arrivait à la fin de son orgasme...indéniablement le plus puissant qu'il avait eu de toute sa vie. Il s'en trouva incapable de parler, juste sa respiration lourde heurtait le visage d'Alice, qui pourrait le sentir alors délicatement se retirer d'elle, et se laisser rouler à ses côtés sur le lit.

Je...wow...j'aurais...bien besoin de quelques instants...votre majesté...

Il souriait faiblement, signe qu'il avait bien l'intention de tenir, comme elle l'avait voulu, toute la nuit...mais il était aussi essouflé que si il avait couru un marathon à pleine vitesse. Une petite pause, avant de reprendre.

9
Dictature d'Ashnard / Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]
« le: lundi 09 avril 2018, 12:44:58 »
Il avait fallu du temps, et une bonne dose de pédagogie de la part d'Alice, pour que Melendil finisse enfin par se lâcher durant leurs ébats, ce qui avait été surtout vrai lorsqu'ils avaient commencé à pratiquer la sodomie. Outre le fait qu'il avait fallu à Melendil un peu de temps pour complètement se défaire de l'image de princesse de contes de fées qu'il se faisait de sa chère et tendre, il y avait aussi les viols qu'il avait lui même subis durant son adolescence qui le rendaient craintifs. La peur d'aller trop fort, la peur de faire mal, la peur de risquer, dans un sens, de faire subir même involontairement ce que lui même avait subi. Il y a encore quelques mois de ça, les cris qu'étaient en train de pousser la princesse, alors qu'il commençait à la prendre parle cul, lui auraient fait stopper net toute action, et ça avait d'ailleurs été le cas. Intriguée, Alice lui avait alors demandé pourquoi il se montrait toujours aussi craintif, par rapport à tout ce qui avait attrait à l'anal...et il lui avait dit, les années de violences et de viols. Cela avait été une première, la première fois qu'il se confiait "vraiment" à quelqu'un, et à une personne de sang noble qui plus est. Mais elle ne s'était pas moquée, ou quoi que ce soit d'autre, elle avait compris, et peu à peu elle l'avait rassurée, jusqu'à en arriver à ce stade, là, présentement.

Hmmmm...Haaaaa...

Les légers soupirs de l'elfe se perdaient complètement dans les cris d'Alice, qui transmettaient autant la douleur qu'elle pouvait ressentir, que le plaisir paradoxal qu'elle éprouvait à ce que Melendil butine son merveilleux cul. L'elfe n'avait pas à proprement parler de préférences, pas de parties du corps de son aimée qu'il adorait plus que d'autres, car tout son corps était une ode à la beauté et une invitation à la débauche...mais ses fesses, il aurait volontiers pu passer des heures entières à les caresser, les empoigner, et les embrasser. La princesse savait pertinemment qu'il lui suffisait de se mettre à quatre pattes devant son bel elfe pour lui donner instantanément de la vigueur, et une large bouffée de désir. Lorsqu'elle se dandinait devant lui, bombant son cul en le remuant légèrement, Melendil ne pouvait tout simplement jamais refuser l'invitation, quel que puisse être son état de fatigue.
Mais là, ce soir, Melendil n'avait pas mis en garde à la légère son aimée, en lui disant qu'elle aurait du mal à s'asseoir le lendemain. Certes, ce n'était pas la première fois qu'Alice se faisait sodomiser par son bel éphèbe...mais c'était en revanche la première fois que ce dernier mettait en pratique les techniques ancestrales de son peuple pour faire l'amour. Cela faisait déjà quelques temps maintenant que leurs ébats avaient commencé, et si Alice avait déjà eu droit à quelques orgasmes, Melendil lui se retenait...et surtout, il se frustrait. C'était pour lui autant une façon d'être plus endurant au lit, qu'un moyen de parvenir à se laisser aller. Alice aimait de temps à autres des étreintes douces, mais rien ne la faisait plus grimper aux rideaux que d'authentiques sessions de baise, où Melendil la bourrait. Et là, la frustration qu'il ressentait l'aidait en quelque sorte, à lui donner précisément ce qu'elle voulait.
Après avoir passé la résistance naturelle des parois étroites de son anus, une fois qu'il s'était enfoncé jusqu'à la garde dans le cul de la jeune femme, Melendil s'était alors mis à la bourrer. Tout en la saisissant par les hanches d'une solide poigne, afin d'éviter qu'elle ne parte trop sous l'effet des coups de butoir qu'il donnait, Melendil entama alors directement par des mouvements secs et saccadés, en alternant régulièrement la profondeur à laquelle il s'enfonçait dans l'anus de la princesse. Toujours toutefois il s'enfonçait pleinement en elle, leurs chairs claquant l'une contre l'autre, alors que les fesses d'Alice venaient se heurter au bas-ventre musclé de l'elfe, et que ses testicules durcies tapaient régulièrement contre l'intimité de la princesse. Si Alice était pleinement en train de profiter, Melendil lui devait toutefois conserver sa concentration pour se retenir de jouir, chose qui devenait de plus en plus compliqué. Son sexe lui faisait mal désormais, et ses couilles lui semblaient aussi lourdes qu'une paire d'enclumes tant il avait désespérément envie de se relâcher, surtout que les parois étroites de la princesse enserraient pleinement son sexe à chaque fois. C'était toutefois une souffrance qu'il s'infligeait fort volontiers, car sa partenaire prenait vraiment son pied maintenant que, selon ses propres souhaits, il était en train de l'enculer bien fort.

En pleine action, Melendil n'eut guère l'occasion de se laisser aller à quelques commentaires salaces, il était bien trop concentré sur ce qu'il faisait...et de toutes façons, Alice était clairement elle aussi dans un état second, tant l'elfe était en train de lui offrir une sodomie sans précédent depuis qu'ils avaient commencé à se fréquenter. Heureusement que la chambre de la princesse était insonorisée...
Melendil butina sans relâche le cul de sa bien aimée jusqu'à ce qu'il la sente contracter un nouvel orgasme, suite à quoi il sembla ralentir le rythme, avant de subitement s'arrêter. Sans laisser l'occasion à Alice de protester, l'elfe glissa ses mains vers les épaules de cette dernière, et la redressa pour l'amener à lui. De ce fait, les deux se trouvèrent à genoux, Melendil plaqué contre le dos de la princesse, avec sa virilité toujours profondément enfoncée dans son cul. Usant d'une de ses mains, Melendil invita Alice à tourner son visage vers lui, afin qu'il puisse l'embrasser. L'elfe était couvert de sueur, et avait la respiration lourde, Alice pouvait même sentir en elle sa queue pulser, impatiente...
Il sourit alors en voyant de plus près le visage de la jeune femme, aux joues rougies, avec cette expression de béatitude qu'il adorait tant.

Diable Alice...tu pourrais presque postuler pour être chanteuse lyrique dans un opéra tu sais...

Une petite plaisanterie, on n'effaçait pas aussi aisément un passé de voleur habitué à se montrer peu déférent envers les nobles, surtout qu'Alice aimait ça. L'elfe entreprit de remuer à nouveau son bassin, doucement toutefois, tandis qu'il continuait de couvrir les lèvres, le cou, et le visage d'Alice en général de baisers. Plaqués ainsi l'un contre l'autre, Alice aurait de ce fait l'occasion de pleinement sentir le corps musclé de son furur mari se frotter contre son dos, à la peau tellement douce et chaude. Melendil descendit alors sa main jusqu'à l'un des seins de la princesse, qu'il pétrit avec son savoir-faire habituel, quand à l'autre...et bien elle glissa le long de son ventre, jusqu'à filer entre les cuisses de la femme, avant de glisser deux doigts dans son intimité trempé. Il synchronisa le début de ses va et viens avec les mouvements de sa queue dans le derrière de la princesse.

Je ne vais plus pouvoir tenir très longtemps alors...je crois que ce deuxième round va être encore plus intense...prête mon amour ?

10
Dictature d'Ashnard / Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]
« le: jeudi 05 octobre 2017, 13:03:45 »
Effectivement, jamais Melendil ne manquait une occasion de s'occuper du divin fessier d'Alice, et cette nuit, alors qu'ils venaient de se promettre l'un à l'autre, n'allait pas faire exception. L'elfe prenait toujours un sincère plaisir aux préliminaires avant une sodomie, il adorait fourrer son visage contre ces fesses fermes, et tandis qu'il les massait allègrement avec ses mains, sa langue allait s'occuper de son petit trou étroit, afin de le préparer à la venue de son sexe. Préliminaires qui allaient sans nul doute être utiles, encore plus qu'à l'ordinaire, car Melendil était frustré...une frustration qu'il cultivait volontairement en se retenant de jouir, car il tendait ainsi à se montrer plus ardent dans sa façon de prendre Alice, et de lui faire l'amour.

Hm...Oh Alice...

L'elfe aurait volontiers pu passer des heures, de vraies heures, à vénérer ce cul tel un dévot. Toutes les parties du corps d'Alice étaient une ode à la beauté...mais ses fesses avaient un petit "plus" au yeux de Melendil, et il était heureux qu'Alice soit autant friande de la sodomie, car son amant lui adorait se fourrer entre ses fesses. Il se délectait des délicats soupirs et gémissements que sa fiancée poussait, alors qu'il la préparait minutieusement à une longue sodomie. Melendil avait beau avoir mal à son sexe à force de se retenir, au point qu'il avait l'impression qu'il était aussi lourd qu'un marteau, il comptait bien continuer jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus. Il testait concrètement ses limites en situation réelle, et se doutait que sa résistance allait être mise à rude épreuve, tant il adorait prendre sa belle princesse par le cul. Il passa donc de longues minutes à faire tourner sa langue le long de la rondelle intime d'Alice, la pénétrant aussi avec afin de bien dilater ses parois, mais aussi afin dela "frustrer" également un peu. C'était un constat qu'il avait rapidement fait, la princesse tendait  être encore plus chaude lorsqu'on la titillait un peu au lieu de la pénétrer directement.
Melendil finit alors par se redresser, et vint s'allonger à nouveau contre le dos d'Alice. Son sexe se fourra entre les fesses de la princesse, le bout touchant son entrée intime, si étroite. Il pencha alors son visage, et alla lui murmurer à l'oreille...

Je dois te présenter mes excuses en avance ma belle...il est fort probable que tu aie des difficultés à t'asseoir demain matin...

Melendil lui adressa un sourire mutin, tout en la voyant de mordre la lèvre inférieure, lui même alla lui mordre le lobe de son oreille. Les intentions de l'amant d'Alice étaient donc claires pour cette dernière, il allait férocement lui butiner son cul. Continuant à la titiller, il remua son bassin, frottant son sexe contre l'anus de la belle, sans pour autant encore la pénétrer.

Si sa majesté veut bien se mettre à quatre pattes...pour que son petit vaurien d'elfe vienne la prendre bien fort.

Arrachant à Alice un mordillement dans le cou, Melendil se redressa ensuite pour laisser à la princesse l'occasion de se mettre en position. Il...il adorait vraiment la voir ainsi, lui présentant sa croupe, qu'elle ne manquait généralement pas de bomber, en une invitation qu'il ne pouvait pas refuser. L'elfe posa alors ses deux mains sur les fesses d'Alice, un peu sèchement, et sourit quand celà fut acceuilli par un délicieux gémissement de sa part. Il lui avait fallu du temps avant d'intégrer le fait qu'Alice aimait "vraiment" qu'il se lâche sur elle, mais les pulsions de son corps à qui il refusait l'orgasme depuis tout à l'heure tendaient aussi à le rendre bien plus entreprenant. Il s'approcha alors d'elle, et le bout de son sexe pointa sur l'entrée de son anus.
Il aurait pu à ce moment encore retarder l'inévitable, la frustrer encore un peu mais...mais lui même n'avait désormais plus qu'une envie, que son sexe dur et tendu se fourre en elle, et c'est ce qu'il fit. Melendil entra progressivement en elle, forçant le passage de ces parois malgré tout encore très étroites.

Hmmmm...Oh ma belle...

Les mains de Melendil se posèrent sur les hanches de la princesse, et ses doigts se crispèrent fermement sur sa chair, et il commença alors à remuer une fois son sexe pleinement enfoncé dans ce cul étroit et délicieux. Si il prenait d'ordinaire d'avantage son temps pour accélérer le rythme de ses va-et-viens, Melendil cette fois entama commença directement par de puissants coups de bassin. La chair de Melendil claquait très audiblement contre celle d'Alice, alors qu'il la maintenait en position grâce à ses mains sur ses hanches. L'elfe y allait rudement, au point que sans ça, Alice aurait probablement déjà perdue son équilibre. Elle n'avait qu'un mot à dire pour qu'il aille moins vite...mais c'était fort improbable. Leur déclaration d'amour mutuelle avait allumé un feu ardent dans leurs coeurs, après tout.

Mgnn...HAAAAA !!!! Oh m-ma chérie !!! HAAAA !!!

Commeil s'y attendait, les parois étroites, et la vision de ce cul qu'il pénétrait rendait le fait de se retenir encore plus difficile, plus douloureux...et paradoxalement encore plus délicieux !

11
Dictature d'Ashnard / Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]
« le: mercredi 04 octobre 2017, 23:31:16 »
Melendil ne put qu'être ravi de la réaction d'Alice à son aveu, un baiser, qui signifiait que cette envie était réciproque. Après tout, le mariage d'une princesse telle qu'Alice, qui était l'héritière unique d'un trône, avait aussi et surtout pour but d'assurer sa progéniture, et Melendil allait en être le père...une perspective qu'il n'aurait même pas imaginé il y a encore quelques mois de ça. Tout en embrassant sa chère et tendre, l'elfe se sentait pousser des ailes à l'idée que, après leur mariage, Alice arrêterait de prendre ses potions contraceptives pour qu'ensemble ils aient un enfant. L'idée d'être père le terrifiait et le motivait en même temps plus que jamais, un signe s'il en était un qu'il prenait ça comme un engagement auquel il avait l'intention de se consacrer sérieusement.
Brisant leur long baiser, Alice lui parla finalement de la fameuse règle en vigueur à Sylvandell, qui voulait qu'il n'y aie qu'un seul et unique héritier à la fois pour les Korvander. Tout comme Alice, Melendil s'était toujours dit que celà devait être pour ne pas risquer d'éventuelles crises de succession...mais la princesse lui rapporta alors la vérité, qui était bien toute autre, ce qui ne manqua pas d'arracher un sourire amusé à l'elfe.

Et bien, ton ancêtre a pour le moins été...prolifique.

Mais elle reprit ensuite, lui annonçant qu'elle avait l'intention de revenir sur cette loi...et qu'elle souhaitait de lui non pas un, mais selon ses propres mots, une multitude d'enfants. Naturellement, Melendil fut pris par surprise, et Alice en profita alors pour à nouveau férocement l'embrasser.

Hmmm...

Melendil se perdit dans ce baiser, tout en songeant à ce qu'une horde de leurs enfants pouvait donner comme activité dans ce château...terrifiant, et à la fois...il imagina la scène, et sentit son coeur battre fortement à l'idée d'avoir une plétore d'enfants avec sa belle princesse, sa future épouse. Néanmoins, elle changea bien vite de sujet, parlant alors de son endurance, dont elle souhaitait connaître la source, en tablant sur des visites au Temple de Lust qui avait récemment ouvert ses portes dans le royaume.

Hum...bien tenté, mais non. Je ne dévoillerais pas la totalité de mon secret, belle princesse, mais disons juste que j'ai sympathisé avec certains de tes Commandeurs...et que ces derniers m'ont pris en pitié en comprenant que tu m'utilisais presque tous les soirs. Satisfaire sa majesté est un exercice périlleux, après tout.

Taquin, il déposa néanmoins un baiser sur son front.

J'ai appris une vieille technique de contrôle de la respiration, héritée d'anciennes cultures elfes qui ont maintenant presque disparu. Normalement utilisée pour stabiliser la respiration lors d'un tir de précision, mais...on peut utiliser la même technique pour retarder ses orgasmes. L'exercice est douloureux à force toutefois, mais...te voir prendre plaisir ainsi, ça vaut bien ça.

Melendil retourna alors l'embrasser sur les lèvres. D'abord doucement, ce baiser gagna assez rapidement en intensité, car se retenir ainsi le frustrait...et le rendait donc bien plus passionné. Se retirant alors soudainement, Melendil posa ses mains sur les flancs de la princesse pour la retourner, l'allonger sur le ventre, avant que lui même ne revienne se poser sur elle, et donc dans son dos. Son sexe tendu se fourra contre la délicieuse croupe d'Alice, tandis qu'il l'écrasait généreusement sous son corps athlétique.

Toutefois...je n'ai pas encore posé le pied dans ce temple dont tu vantes les mérites. Et si je dois te faire une plétore d'enfants, alors je me dois d'obtenir tous les moyens possibles pour te satisfaire ma belle princesse. A l'occasion...une visite en amoureux...je ne serais pas contre.

Tout en disant cela, Melendil avait commencé à embrasser Alice dans la nuque, avant de descendre progressivement ses baisers le long de son dos, suivant le tracé de sa colonne vertébrale, avant d'arriver jusqu'à son cul...divin. L'elfe posa naturellement ses mains sur ces fesses fermes, et tout en les malaxant, les écarta pour avoir un accès à sa croupe, et y fourra son visage afin d'aller titiller avec sa langue l'entrée de son anus. Melendil allait la prendre par là, mais c'était aussi son petit plaisir que de la préparer avant...au delà du simple préliminaire, l'elfe adorait tout simplement s'occuper ainsi des fesses de la princesse. Malaxer et lécher ce cul béni des dieux, avant de s'y enfoncer...que demander de plus ?

12
Dictature d'Ashnard / Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]
« le: jeudi 07 septembre 2017, 12:58:17 »
En terme d'efforts à produire, coucher avec Alice était presque semblable à un marathon, tant celà pouvait être long et intense. Melendil avait été rapidement surpris par l'endurance de la jeune princesse, qui l'avait déjà poussé à ses limites avant qu'il ne suive des entraînements régulier. Depuis, l'elfe avait bien progressé, mais suivre le rythme qu'imposait de coucher avec Alice était toujours aussi épuisant, et lorsqu'ils terminaient, il ne tardaient guère à s'endormir dans les bras l'un de l'autre. Ce soir en revanche, dormir n'allait guère être une option, car si Alice était transportée de désir par la demande en mariage de Melendil, ce dernier l'était tout autant que la princesse l'aie acceptée. Melendil allait concrètement lui faire l'amour jusqu'à l'aube, le défi d'Alice n'avait fait que confirmer cette envie, même si pour celà le bel éphèbe allait concrètement bien en souffrir. Les techniques qu'il utilisait pour retenir ses orgasmes ne permettaient pas de totalement se défaire de l'envie de jouir, et cette envie ne faisait que grandir au fur et à mesure jusqu'à nécessairement atteindre un point critique, qui mettait plus ou moins de temps à venir en fonction de l'individu.
Melendil lui, comme il avait l'intention de tenir toute la nuit, avait donc pour objectif de se relâcher le moins souvent possible. Il en avait terriblement envie pourtant. La position dans laquelle il était en train de faire l'amour à Alice avait pour effet de resserrer ses parois vaginales, vu qu'elle avait les cuisses d'avantage serrées qu'écartées. Plus Melendil remuait en elle, en se retenant, et plus il était conscient de chaque centimètre de sa queue se plongeant dans cette intimité étroite, chaude, humide...absolument exquise, et dans laquelle il avait terriblement envie de se relâcher. L'idée était d'autant plus tentante qu'elle faisait echo à un fantasme de Melendil, qui allait se réaliser dans les mois prochains si ils se mariaient...lui faire un enfant...
Il n'était en effet pas rare qu'au cours de leurs ébats, juste avant de jouir en elle, que Melendil s'imagine fictivement qu'Alice n'aie pas pris ses potions contraceptives, et que le fait de venir en elle la rendrait enceinte...ce qui ne manquait pas, à chaque fois, de renforcer ses ardeurs. Melendil toutefois devait chasser ces idées de la tête, du moins pour le moment. L'image du marathon prenait au final tout son sens ici, car il allait devoir être aussi puissant qu'endurant sur le long terme. L'effort était réel, et l'elfe suait à grosses gouttes tandis qu'il était en train de baiser proprement sa majesté, qui avait encore fait le voeu qu'il la prenne très fort. Dans cette position, avec les jambes d'Alice légèrement courbées, et les chevilles posées de la femme posées sur ses épaules, Melendil était tout à fait bien placé pour donner des coups de bassin correspondant à cette envie. Melendil respirait fort, presque comme un buffle, alors qu'il ne manquait pas de s'enfoncer profondément en elle, ses testicules chargées de foutre tapant fermement contre les fesses de la princesse à chaque fois qu'il allait et venait en elle.

Melendil prenait surtout un plaisir tout particulier à voir sa belle princesse se tortiller ainsi tandis qu'il la baisait, son visage surtout, cette expression de plaisir sincère, violent, ardent, alors que la jeune femme approchait de l'orgasme. A force de coucher régulièrement avec elle, Melendil avait appris à reconnaître quand elle était proche de jouir, comme c'était le cas maintenant. Il agrippa alors Alice par les hanches pour raffermir son emprise, et accéléra alors subitement le rythme et l'amplitude de ses coups de rein. Alice ne tarda pas à jouir contre lui, et ce fut pour Melendil un moment où contrôler son propre orgasme fut très difficile. La sensation des parois vaginales se crispant sur son sexe très tendu, l'aspirant presque dans l'optique de le faire jouir, était...et bien difficile à ignorer, mais en fermant les yeux et en se concentrant il parvint à continuer. Alice finit alors doucement par se calmer, et ce fut l'occasion pour Melendil de ralentir progressivement son rythme, alors que son regard se posa sur le visage d'Alice...il lui sourit alors malicieusement.

Tu devrais voir ta tête après avoir eu un orgasme. Tes joues rouges, tes cheveux légèrement en bataille...c'est un régal.

Melendil écarta alors les jambes d'Alice, afin de pouvoir s'approcher d'elle. L'elfe plaqua son torse musclé contre les seins ronds et fermes de sa belle, et il alla brièvement l'embrasser, avant de glisser une main sur sa joue, et d'amener son pouce près de ses délicieuses lèvres, l'invitant à le sucer.

Tu es si belle...tu sais, j'ai bien failli ne pas arriver à me retenir, vu l'image qui m'a traversée l'esprit. Je te voyais...le ventre joliment arrondi...portant notre enfant.

13
Dictature d'Ashnard / Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]
« le: mardi 05 septembre 2017, 13:17:25 »
Ce soir, Melendil avait bien l'intention de se surpasser avec Alice, et de lui offrir une nuit qu'elle ne serait pas prête d'oublier. Même sans ce défi que la princesse venait de lui lancer, l'elfe était de toutes façons tellement excité qu'ils auraient quand même fait l'amour toute la nuit, mais celà rajoutait un petit peu de piment au tout. Melendil levait et abaissait son bassin pour continuer à pénétrer sa fiancée, si sa position allongée de lui permettait pas de faire des va et viens rapides, il donnait en revanche de puissants coups, brusques, pour s'enfoncer au plus profond du vagin de sa future épouse. Chaude et humide, sa chatte l'acceuillait encore une fois avec plaisir, même si il avait l'impression que quelque chose était différent cette fois. Rien qui ne soit physique toutefois, c'était juste qu'après s'être enfin avoués qu'ils s'aimaient, et que leur désir mutuel de se marier était enfin sorti...Melendil était libéré d'un poids qui lui pesait sur la conscience depuis maintenant des semaines, si ce n'est des mois.

Hmmm...Alice...

Les mains du bel elfe serraient fougueusement les hanches de sa belle princesse, ses doigts s'enfonçaient volontiers dans sa chair pour maintenir une prise forte sur elle, ce qui était nécessaire pour qu'elle reste à peu près en position, vu les puissants coups de reins qu'il lui donnait. A ce stade, Alice laissait son côté dominatrice de côté pour s'offrir pleinement à elle. Ce moment finissait toujours par arriver, lorsque la princesse se laissait submerger par son désir, et par son envie de se faire baiser sauvagement par son bel éphèbe. La princesse était prête pour le "plat principal".
Melendil se redressa alors, son visage venant  à la rencontre de celui d'Alice pour aller l'embrasser, tout en déplaçant ses mains sur ses fesses. Il les empoigna fermement tout en poussant un long soupir, alors qu'il entreprit de se relever, tout en gardant Alice contre lui, son sexe toujours bien enfoncé en elle. Au prix d'un bel effort, l'elfe se redressa pour se trouver debout, et Alice se trouva à nouveau perchée contre lui, les jambes enroulées autour de sa taille. Leur lit était proche, mais le temps de marcher, ça n'empêcha pas Melendil d'user de ses mains pour faire remuer le corps de la princesse contre lui, pour continuer à se perdre en elle, le temps qu'ils atteignent leur lit.
Large, et avec un matelas, des couettes et des oreillers très confortables, il était un endroit classique mais très agréable pour faire l'amour, et de fait, les servants du château savaient bien que la princesse avait besoin à l'issue de chaque soir de draps frais, tant il était utilisé pour ses galipettes nocturnes. Nul doute qu'à l'issue de cette soirée, les draps auraient encore plus besoin d'être  changés.
Melendil posa lourdement Alice sur le rebord du lit. D'abord assise, l'elfe la fit rapidement s'allonger, mais tout en lui maintenant son bassin juste au niveau du rebord du lit. Melendil prit alors les jambes d'Alice, et tandis que, debout, il s'approchait d'elle en pliant un pue els geoux, pour approcher à nouveau son sexe de son intimité, il leva alors les jambes de la princesse, pour les poser sur chacune de ses épaules, où elles pouvaient se reposer.

Mon amour...

Il n'eut que la force de prononcer ces deux mots, d'une voix lourde, avant qu'il ne s'enfonce à nouveau en elle. Melendil bien entendu se retenait de jouir, grâce aux techniques de contrôle de la respiration que le Commandeur Dontos lui avait enseigné, mais un tel exercice était...douloureux. Rien toutefois d'insurmontable, du moins pour le moment, celà ne faisait d'ailleurs que motiver Melendil à prendre sauvagement son amante et future femme, car la frustration l'incitait à le faire.

Oh A-Alice...

Moins prompt que la princesse à gémir ou à parler pendant l'acte, Melendil était aussi pleinement concentré sur le fait de lui faire l'amour tout en se retenant lui même de jouir, ce qui requiérait une certaine concentration. Il était concrètement bien plus focalisé sur le plaisir d'Alice que sur le sien, qu'il avait toujours un peu considéré comme secondaire.
Et puis...la récompense était de la sentir et de la voir jouir...une des plus belles récompenses qu'on pouvait avoir.

14
Dictature d'Ashnard / Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]
« le: lundi 21 août 2017, 17:59:36 »
Alice avait également réveillée quelque chose chez Melendil en acceptant sa demande en mariage, qu'il n'aurait pas cru possible jusqu'à la toute dernière seconde. L'elfe était persuadé qu'il aurait du passer les prochaines années en proie à une frustration dont il ne pourrait jamais vraiment se défaire, et il en était donc d'autant plus heureux que son rêve de ces derniers mois se réalise. Il n'y avait rien de plus revigorant qu'une déclaration d'amour, et une demande en mariage, qui étaient réciproquement acceptés. La suite logique était donc qu'ils fassent l'amour, même si le terme de "baiser" allait sembler bien plus approprié. Au cours des mois qui avaient suivi l'entrée de Melendil au service d'Alice, il s'était peu à peu rendu compte que la princesse, si elle n'était pas contre le fait de faire l'amour de façon "romantique", était en réalité bien plus friande des fois où Melendil se lâchait sur elle. Là, à la façon dont il était en train de bourrer sa chatte étroite, on ne pouvait nier qu'il avait bien fini par le comprendre, et qu'il appliquait à la lettre les désirs de sa majesté...de sa désormais fiancée. Cette perspective de devenir son mari enchantait tellement Melendil qu'il était en train de la baiser avec une énergie renouvelée. Leur premier ébat de la nuit avait été certes contentant, mais Melendil avait couché avec elle tout en ayant un poids sur la conscience, alors que désormais il était le plus heureux des hommes, ce qui se ressentait clairement dans les coups de reins rapide, vigoureux, qu'il lui donnait pour s'enfoncer en elle.

Hmmmm...A-Alice...

Lui aussi ne pouvait guère aligner plus de deux mots cohérents, car outre le plaisir virulent qu'il ressentait à s'enfoncer frénétiquement dans ce corps, Melendil devait également s'assurer de sa prise pour qu'il ne la lâche pas. L'elfe passa quelques minutes à allègrement butiner l'intimité d'Alice avant que celle-ci ne finisse par jouir contre lui, suite à quoi, elle les fit se basculer en usant de son poids. Melendil, par réflexe, parvint à se réceptionner au sol, et son trouva allongé sur un tapis, avec Alice à califourchon sur lui. Ces derniers mois avaient vu également un enhardissement de la princesse quand à sa volonté, par moments, de prendre le contrôle, et dans ce genre de cas il n'y avait rien que Melendil ne puisse faire pour contrer une princesse ayant du sang de dragon dans les veines. Il savait qu'en faisant ça, Alice voulait soit prendre la main, soit lui dire quelque chose qui ne pouvait attendre, et ce fût effectivement le cas, tandis qu'elle caressait son torse musclé avec ses délicates mains.
Et elle lui parla d'une tradition Ashnardienne concernant les couples mariés qui était pour le moins...intéressante, qui ne manqua pas de le faire sourire.

Oh...je vois, il est en effet heureux que ces mois passés avec toi aie bien améliorés mon endurance alors.

Mais au delà du fait de coucher très régulièrement avec Alice, Melendil était surtout parvenu à sympathiser avec quelques commandeurs de Sylvandell, dont un plus particulièrement qui l'avait, plus ou moins, pris sous son aile pour lui enseigner certaines techniques de méditation et de contrôle de soi. Si cela l'aidait entre autres lors de ses entraînements, l'autre effet était que Melendil parvenait à bien mieux contrôler les pulsions de son corps, entre autres, voire même surtout, lorsqu'il faisait l'amour, parvenant à repousser le moment de l'orgasme jusqu'aux limites acceptables par son corps. Un savoir qui, à n'en point douter, allait trouver toute son importance ici, surtout quand Alice lui énonça son défi. Le ton qu'elle avait employé surtout, ne laissait aucun doute, Melendil ne pensait pas l'avoir déjà vue avec une telle lueur de désir dans le regard.

Défi accepté, votre altesse.

L'elfe posa alors ses mains sur les hanches de la princesse, et poussa de façon à l'amener à légèrement se redresser sur ses genoux, ce qui fut suivit immédiatement après par un puissant coup de rein. La queue de Melendil était de fait en partie sortie de l'intimité chaude d'Alice, et il venait de brusquement redresser son bassin pour s'enfoncer à nouveau en elle, jusqu'à la garde.

Et j'ai...bien l'intention de gagner ce droit...

Melendil commença alors à redonner de puissants coups de bassin, en l'abaissant et en le relevant avec des coups secs, qui ne manquaient pas de faire pleuvoir la mouille de la princesse.
La baiser toute la nuit, à ce rythme, allait être épuisant mais...
Mais que ne ferait-on pas pour une personne qu'on aime ?

15
Dictature d'Ashnard / Re : La Princesse et le Vagabond [Melendil]
« le: dimanche 20 août 2017, 20:20:46 »
Melendil avait eu à vivre bien des situations stressantes dans sa vie, dont de nombreuses où il avait bien failli la perdre, mais étrangement, peu semblaient arriver à la cheville de cette situation là, où lui un roturier elfe était en train de demander en mariage une princesse humaine. Sans les conseils de Ciri', plus tôt dans la journée, Melendil ne se serait d'ailleurs jamais risqué à faire une telle demande, tant il s'estimait un piètre concurrent face à des princes ou des ducs, mais dans le même temps, la première femme d'Alice avait été une ancienne esclave. Cela ne l'empêchait toutefois d'être en proie au doute, surtout dans les quelques secondes de silence qui suivirent sa déclaration, où il resta à genoux devant Alice en lui tendant sa bague de fiancailles.
L'elfe sembla, durant tout ce temps, sur le point d'avoir une crise cardiaque...jusqu'à ce qu'Alice, tendrement, ne lui sourie en lui demandant de lui mettre la bague au doigt. Melendil eu besoin d'une ou deux secondes, le temps que l'information ne remonte à son cerveau, avant qu'il ne se mette à son tour à sourire. Il prit délicatement la main d'Alice dans l'une des siennes, tout en utilisant l'autre pour glisser la belle bague à son doigt. Il avait claqué la quasi totalité de sa solde de ces derniers temps dans cette bague, et encore, le joaillier lui avait fait un prix lorsque Melendil lui avait avoué à qui il comptait tenter de l'offrir.

Tu sais ce qu'on dit Alice...quand on aime, on en compte pas.

La princesse descendit alors du rebord du lit, où elle était précédemment assise, pour venir se placer à genoux juste en face de lui, tout en plaisantant sur le fait qu'une telle bague n'aurait pas été nécessaire. Melendil lui sourit, mais tout en sachant pertinemment que quand bien même, il lui aurait néanmoins offert cette bague, ne serais-ce que pour la symbolique, et l'immense plaisir qu'il venait de ressentir à la lui passer au doigt, et par essence...d'en faire son épouse en devenir. Elle posa néanmoins une condition, qui lui fit lancer un regard amusé.

Alice, pour tous les défauts que tu peux probablement lui trouver, sache que Cirillia n'est pas étrangère au fait que j'ai osé te demander en mariage. Elle m'a...ouvert les yeux, sur certains sujets, des sujets sur lesquels j'étais peut-être un peu vieux jeu, je le conçois. Je sais que le sang Korvander en est un qui déchaîne les passions, j'ai pu le constater à plus d'une reprises après tout...et je ne serais pas là pour essayer de te brider, je te le promets.

Cela n'avait pas été immédiatement aisé pour Melendil de l'intégrer, du fait des multiples partenaires qu'Alice avait en plus de lui, mais il ne pouvait désormais nier que la princesse faisait clairement la distinction entre le sexe et l'amour, qui pouvaient se mêler, mais n'étaient pas exclusifs. La façon dont elle l'embrassa, par la suite, lui confirma qu'il y avait quelque chose en plus, entre eux deux. Et à l'issue de ça, elle lui arracha un einième sourire quand elle lui demanda si il se sentait d'attaque pour assurer au lit en tant que son époux.

Tout à fait capable...mon aimée.

Melendil se redressa alors, tout en saisissant Alice dans le creux de ses aisselles pour l'emporter avec lui. Nu, les muscles bandés, légèrement couverts de sueur, Melendil était loin d'en avoir fini avec la princesse, et encore moins maintenant qu'elle venait d'accepter sa demande en mariage. De fait, depuis qu'il couchait très régulièrement avec elle, Melendil avait été bien "obligé" de gagner encore en endurance pour pouvoir la satisfaire. Melendil bougea, emportant Alice dans son élan, et alla la plaquer dos contre l'un des murs de la chambre, et plus spécifiquement une partie qui était couverte d'une large tapisserie, afin de ne pas la plaquer directement contre un mur froid et dur.

J'espère que tu n'a pas prévu de dormir ce soir Alice...

Melendil comptait en effet bien lui prouver encore d'avantage sa qualité d'amant exceptionnel, et commença en glissant ses mains sur ses fesses pour la soulever, l'amener à passer ses jambes autour de sa taille. Son sexe, bien droit, bien dur, fila directement dans l'intimité encore bien trempée de son altesse, et il commença alors la la prendre vigoureusement.

Pages: [1] 2 3 4