Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Senji Kiyomasa

Pages: [1] 2 3 ... 7
1
La voiture, pleins phare allumés, me fonçaient dessus. J'avais perdu de vue ma cible, et je risquais d'en prendre pour mon grade si je persistais à me montrer sympa avec ses types. Une boule de sang se forma dans ma main et vint exploser le pare-brise du bolide pour ensuite éclater la tête du chauffeur. Un bond sur le côté me suffit à esquiver la charge furieuse du tas de métal, qui s'écrasa avec force contre un mur derrière moi. Le boucan ainsi généré fit fuir le reste du groupe, effrayés à l'idée d'être pincés par d'éventuels flics attirés par le bruit.

Satisfait par la tournure que prenait les évènements, je cherchai du regard ma proie. Ne connaissant pas les coins, je commençai à chercher au hasard des ruelles un endroit susceptible d'abriter une frêle jeune femme terrorisée. Mes pas me conduisirent vers un parc que je connaissais assez bien, pour y avoir déjà exprimé mes talents de mâle.
Mais elle n'était pas là. Apeurée comme elle l'était, elle devait avoir fui dans un endroit sombre, probablement désert. Les gens pensent toujours qu'il est facile de se cacher loin de tout, en restant prostré dans l'ombre... C'était au contraire une idée sans trop de réflexion, puisqu'il suffisait au poursuivant d'adopter cette idée pour qu'il recherche les endroits correspondants. Et ce fut ce que je fis.

Un bâtiment qui dépassait le reste des bâtisses proches, délabré et laissé à l'abandon, me parut être la cachette la plus logique. Elle n'avait de toute façon pas eu le temps - et probablement pas l'envie - d'avertir les policiers. Les jeunes... Ils pensent toujours que les flics sont des empêcheurs de tourner en rond, qui vous privent des joies de la vie comme la fumette et l'alcool.
Bref, le vieux carré de béton était beaucoup trop bien bloqué pour laisser une gamine s'y réfugier. Il aurait fallu passer par les toits, et c'était pas vraiment envisageable, au vu des circonstances. En revanche, cette épicerie se prêtait bien au jeu. Je pouvais sentir une chaleur particulière émaner de l'endroit. Une chaleur... de peur ? Ça ressemblait en tout cas à une émotion très forte. Probablement la terreur, ouais. Pas de quoi être joyeuse, dans son cas.

En pénétrant dans l'édifice, je m'époumonai :

- EH MACHINE ! T'ES LÀ ? JE TE VEUX AUCUN MAL !

Et je m'aventurai plus avant dans la poussière et la pénombre.

2
Le parc et son sous-bois / Re : Crime scene. Do not cross. (Senji)
« le: mardi 12 juin 2012, 19:09:13 »
L'invitation semblait tellement sincère que mes sens, tous en même temps, s'accordèrent pour donner le meilleur de moi-même dans les minutes qui allaient suivre. J'intensifiai les mouvements de langue, multipliant les à-coups sur le clitoris de la légiste, cherchant à l'exciter avec le contact de mes mains. Ces dernières glissaient partout sur son corps, l'une s'affairant au niveau de la poitrine, l'autre empoignant les jambes et les fesses.
Elle était mouillée, à mon plus grand plaisir. J'avais envie de la voir prendre son pied, et c'était l'une des rares fois dans ma vie où je m'étais préoccupé du bien-être de ma partenaire. Lorsque j'estimai que ma langue en avait assez fait, je me redressai, et baissai mon caleçon, laissant mon sexe se dresser à l'air libre. Vingt-deux centimètres de dureté, tendus dans l'espoir de passer un bon moment.

Je me plaçai sur elle, jouant d'abord précautionneusement avec ses parties sensibles, m'amusant à caresser sa vulve avec mon gland et mes doigts. Puis, quand je sentis au fond de son regard de braise qu'elle n'en pouvait plus, j'enfonçai mon membre. Des va-et-vient doux et focalisés sur le plaisir qu'elle en éprouvait, une pénétration contrôlée, à la fois forte et profonde mais également tendre et paisible.
Elle semblait avoir été faite pour moi. L'impression qui se dégageait de son vagin était telle que j'en fus presque secoué. Mon imagination me forçait-elle à penser que, parce que c'était une gorgone, elle était différente des humaines ? Quoiqu'il en fut, tout était si agréable que je ne pus m'empêcher de me laisser emporter. Les coups de boutoirs se faisaient plus profonds. Je m'efforçais de ne pas me montrer trop brusque, mais la chaleur et la douceur de ses parties intérieures m'aspiraient, me forçaient à revenir avec plus d'insistance.

En même temps que je la pénétrais, je m'approchai de nouveau de sa bouche pour l'embrasser. Mes mains étaient appuyées sur le canapé, me permettant de dominer son corps avec le mien. J'étais au-dessus d'elle, et mes yeux dévoraient entièrement son corps, entre deux baisers fougueux. Je mordillai à mon tour ses lèvres, me délectant de l'arôme de vin qui les recouvrait encore.
Puis, après un coup plus violent que le reste, je lui demandai de changer de position.

- C'est mieux quand c'est la condamnée qui se charge de sa sentence... Nouvelle directive : à vous de prendre en charge la suite des opérations, mam'zelle.

Et pour accompagner mes paroles, je la levai pour m'allonger sur le canapé, le sexe toujours levé au-dessus de moi. C'était à elle de prendre son pied avec moi, maintenant.

3
- Une punition ? Tu peux tout de suite oublier, mon mignon. Sauf si ça t'plairait de voir autorité bafouée, mais ça j'en doute, mmh ?
me lança la jeune femme.

Je haussai simplement les épaules. Conventionnellement, mon rôle était de faire respecter cette autorité, justement. Mais en tant que vigile en boîte de nuit, si on vous demande de taper un enfant un peu trop insistant, vous aurez pas forcément envie de le faire. Sa blague, certes dangereuse, aurait pu s'avérer pire. Lancer des bouteilles de verre, par exemple. Ou d'autres trucs plus conséquents : caillasses, livres et plein d'autres choses encore. Elle reprit la parole.

- T'es pas vraiment le genre de mec qui aime faire respecter la loi, j'me trompe ? Qu'est ce que tu fais là ? Ça a pas l'air d'être un job pour toi...
- C'est si flagrant que ça ? grommelai-je en jetant un regard interrogateur à la lycéenne. Non, effectivement, c'est pas un job pour moi mais faut bien vivre, hein...

Probablement pas vivre dans le même sens qu'elle pensait, en fait. Les humains avaient besoin de jobs, parfois ingrats, pour survivre en achetant des vêtements, à manger, de l'électricité... Enfin bref, la vie humaine, quoi. Moi, c'était pas pour gagner de l'argent qui me pliais aux règles de l'établissement scolaire. Non, c'était plutôt pour me fondre dans la masse, détailler et comprendre les mœurs des humains. Ma mission de retrouver et tuer les anges serait encore plus facile, comme ça.
Décidé à ne cependant rien dire à une inconnu, je finis par prétexter :

- J'aime bien mater les lycéennes.

Maladroit, sans doute pervers, mais c'était la première raison potable qui m'était passée par la tête. Logique, puisque c'était un puissant facteur motivant à mes yeux. Presque autant que l'insertion dans le monde humain. Soupirant, je commençai à faire demi-tour.

- Les salles de sport ont besoin d'être rangées. Ce soir, 18h pétante. Si tu veux bien pas, c'est pas grave, je dirai que tu m'auras pas écouté. J'ai pas tellement envie de te courir après pour une broutille comme ça.

Toujours en m'éloignant, j'ajoutai rapidement :

- La prochaine fois, essaie les ballons remplis d'encre, c'est moins douloureux quand les élèves s'en prennent un sur la tête. Et c'est plus marrant.[/red]

4
Le combat s'était révélé étonnamment facile. Des humains, dans toute leur grandeur, qui se croyaient supérieurs parce qu'ils étaient plus nombreux. Je n'eus aucun mal à me débarrasser de mes assaillants. De simples coups de poing et de pied. Même pas besoin d'utiliser mon sang contre ces types. Décidé à faire passer le message, je levai mon poing haut au-dessus de ma tête et m'apprêtai à le faire s'abattre rageusement sur l'un de ces enquiquineurs.
Au moment où ma main redescendait en fusant vers le visage tétanisé de ma victime, une masse me plaqua au sol, surgissant de nulle part. Un autre bandit ? Non, c'était quelqu'un d'autre. Avant que je puisse détailler le sauveur du blondinet rebelle, un phénomène semblable à ce qu'il m'était arrivé une fois se produisit. Je me retrouvai dans un endroit inconnu. Moins austère que les landes cauchemardesques de la première fois, cependant. On entendait une rivière couler non loin de l'endroit où je me trouvais. Où NOUS nous trouvions.

*Une femme... rousse et rondelette. C'est elle qui m'a interrompu ? Psss... Espèce de demeurée, depuis quand on empêche un démon de rendre sa sentence ?*

Je soulevai sans peine l'inconnue. Elle était inconsciente, mais elle pouvait très bien se réveiller d'une minute à l'autre. Avant de décider quelle sanction prendre à son égard, mieux valait vérifier que les environs n'étaient pas hostiles. Peut-être qu'une diversion en cas de rencontres avec des monstres, ou alors comme monnaie d'échange pour des tribus locales, elle pourrait m'être utile. Elle était loin d'être moche. Ses formes, quelque peu prononcées, renforçaient même son charme. Elle avait l'air appétissante. Mais l'heure n'était pas aux sévices sexuels, la téléportation sur le monde de Terra, j'avais déjà connu et j'avais failli mourir.
Mon instinct me guida vers la rivière. Si traces de vie et de civilisation il y avait, c'est là que je les trouverais. Je pourrais demander des comptes à cette folle intrépide une fois réveillée. Pas besoin de précipiter les choses.

La rivière était en vue. L'eau semblait tellement claire, tellement propre, qu'une envie irrépressible de me baigner m'assaillit. Mon corps d'humain transpirait, même si les efforts fournis n'étaient que maigres aux yeux d'un démon. Et la transpiration, ça pue. Enlevant rapidement mes vêtements, je fouillai brièvement les poches de l'humaine. Rien de particulièrement intéressant. Son sac, en revanche... Je le pris et le dissimulait dans un arbre. Si elle voulait le récupérer, pas question de prendre la poudre d'escampette. Il faudrait qu'elle vienne me voir et me pose la question.

Ce fut donc sans inquiétudes que je sautai dans l'eau.

5
Le parc et son sous-bois / Re : Crime scene. Do not cross. (Senji)
« le: mardi 12 juin 2012, 03:09:14 »
Pas besoin de me le répéter deux fois. Après qu'elle ait dit, je me jetai de nouveau sur ses lèvres tout en précisant mes caresses. Mes mains passèrent dans son dos, chauffant sa peau, parcourant l'étendue de son corps avec une certaine passion. Puis, de fil en aiguille, j'enlevai ses vêtements. D'abord en déboutonnant son haut, le jetant sans état d'âme au sol, laissant apparaître son soutien-gorge bien rempli. Mes mains passèrent de son dos nu à ses hanches, pour obliquer en direction de ses seins. Les soupesant d'abord à travers le tissu, je finis par ôter le vêtement, pour ensuite allonger la belle sur le canapé. Tout en commençant à jouer avec ses deux collines de chair, onctueuses et douces, mes mains s'approchèrent des zones inférieures de la femme.
Jaugeant d'abord le tout par-dessus les vêtements, ces derniers ne tardèrent pas à être défaits eux aussi. Quand ils furent au sol, je me redressai en déboutonnant à mon tour mon pantalon. Je plongeai un regard chaud dans celui de la gorgone puis me remis au boulot. Ses seins étaient parcourus de baisers, de coups de langue et de petites morsures tendres et enivrantes. Pour moi, en tout cas. Je m'attardai particulièrement sur ses tétons, les embrassant avec une adoration non dissimulée.
Une main vint presser avec fermeté l'un de ses seins, tandis que mon autre main cherchait l'approbation d'Ursula au niveau de son entre-jambes, encore protégé par sa culotte. Lentement, l'un de mes doigts écarta le tissu et s'aventura à la surface de l'endroit, avant d'y rentrer, simplement avec le bout. Je continuais d'embrasser et de jouer avec sa poitrine, me perdant avec ravissement dans la vallée qui se trouvait en son centre. Puis, m'autorisant une morsure un peu plus forte, j'enfonçai totalement mon doigt.

J'enlevai finalement son sous-vêtement, puis la fit s'asseoir jambes écartées. En abaissant mon visage au niveau de son intimité, je lui jetai un dernier regard sulfureux tout en lui disant :

- Ursu... Mam'zelle, votre sentence a été décidée : la décapitation. L'heure est venue de vous faire perdre la tête.

Puis je me fis à l'ouvrage, dévorant son sexe. Le mien était déjà dur.

6
Le parc et son sous-bois / Re : Crime scene. Do not cross. (Senji)
« le: lundi 11 juin 2012, 21:39:53 »
J'étais son type d'homme. La phrase la plus douce à mes oreilles. Ainsi, cette chère Ursula était riche de naissance. Cela expliquait de nombreuses choses, concernant ses vêtements, son moyen de locomotion...
Je répondis à sa question.

- Pour l'instant, rien de particulier. J'essaie de trouver un job, travailler au lycée en tant que concierge, ça me botte bien. C'est calme et tranquille, et on peut rencontrer des gens intéressants.

Je me rapprochai lentement d'elle, puis posai ma main sur la sienne, la fixant d'un air entendu.

- Est-ce que si je t'embrasse, c'est déplacé ? Ou est-ce que ça risque d'énerver l'Autre ?

Puis sans attendre, je l'embrassai, passant l'une de mes mains au niveau de ses hanches, l'autre posée sur sa jambe.

Après seulement quelques minutes, je reculai pour appréhender sa réaction.

7
Son frère ? Fallait qu'il soit un peu plus qu'un humain, pour me péter la gueule. Désormais également attiré par cette idée de combat, je décidai de poursuivre mon manège. Je filai le train de la jeune femme en gardant les mains dans mes poches et en détaillant les environs. Le quartier était encore éclairé, et il y avait peut-être trop de monde pour emballer une frêle fille sans défense comme ça. Pas effrayé par les humains pour un sou, mieux valait quand même prendre soin d'éviter de faire des vagues. Et puis, je pouvais me rincer l'œil, en attendant. Ce petit côté voyeur n'avait rien à voir avec le plaisir de l'acte, mais c'était un petit bonheur qui se devait d'être vécu au moins une fois. L'imagination se mettait en branle et autorisait plein de scénarios et d'aspects physiques différents. Elle pouvait porter des sous-vêtements aguicheurs, comme elle pouvait ne rien porter du tout. Elle pouvait céder sans difficulté après un peu d'insistance, soit par peur soit par envie ou elle pouvait se battre, essayer de s'échapper.

Quoiqu'il en soit, je la laisserais vivre. Je lui donnerais même mon adresse. Pour qu'elle puisse m'envoyer son grand frère.

Les gens se raréfiaient déjà. On avançait dans des quartiers moins fréquentables. Hasard ou inconscience ? Cette fille devait ignorer où elle se trouvait, elle aurait évité de se promener dans des tenues pareilles, sinon. Et comme ce qui devait arriver arriva, un groupe d'une dizaine de jeunes se mit en travers de la route de la jeune femme.
D'autres individus louches nous barrèrent le chemin de retrait. Un sourire amusé traversa mon visage. Pas question de laisser des racailles abîmer ma future proie. Ma future partie de plaisir.

- Reste derrière moi, si tu veux pas te retrouver blessée par ces types, lui lançai-je en me tranchant le poignet avec un petit couteau à cran d'arrêt.

Je m'élançai sur quelques types qui nous empêchaient de rebrousser chemin et, tout en essayant de profiter de la pénombre naissante, je tranchai la gorge de deux loubards d'un coup après avoir transformé mon sang en lame. Un troisième se rua sur moi, et mon arme "faite sang" se planta dans ce qui lui servait de ventre. Interloqué, il s'effondra sans bruit. Deux autres types hurlèrent que j'étais armé - ils n'avaient rien vu, visiblement - et sortirent des vrais couteaux. Ceux restés près de la jeune femme firent de même et s'approchèrent d'elle, couteaux également tirés. Je me laissai poignarder par le premier de mes deux opposants et utilisai le sang pour agrandir ma lame, qui ressemblait plus à une faux qu'à autre chose. On allait se rendre compte de quelque chose, il ne faisait pas encore assez noir pour cacher mon sang...
Les têtes des deux racailles finirent au sol. J'entendis, derrière moi, un déclic de mauvais augure. Des pistolets.

*Merde... Des flingues... Tant pis pour la discrétion.*

Je transformai ma lame en une sorte de serpent qui glissa jusqu'aux chevilles d'un des tireurs. Me saisissant de son pied, je le fis tomber à la renverse. Les six ou sept autres voyous encore debout sortirent à leur tour des armes à feu, laissant tomber leurs lames. Un tic de frustration passa sur mon visage. Je pouvais pas les laisser buter la fille. Je courus vers eux, faisant prendre à mon sang la forme d'un bouclier.
Les balles qui fusèrent rebondirent mollement sur la paroi carmin. Sans regarder la fille, je lançai, avec force pour couvrir les détonations des armes :

- Comme tu peux le constater, ton frère me fait pas très peur, à l'heure actuelle.

8
Le parc et son sous-bois / Re : Crime scene. Do not cross. (Senji)
« le: lundi 11 juin 2012, 19:46:33 »
- J'espère que vous appréciez le vin rouge.
- Ouais, ça se laisse boire.

Tout en prenant le verre, je remarquai que son expression avait changé l'espace de quelques secondes.

- J'ai vu que vous observiez mes reptiles.. Trouvez-vous qu'une quinzaine, dans une grande salle à vivarium, c'est trop ?
- On dit que quand on aime, on ne compte pas. Je suppose que, de toute façon, ils sont sages, vu leur maîtresse.

Je lui souris d'un air jovial, pour souligner la plaisanterie. Puis je portai le verre à mes lèvres. Le vin était vraiment très bon. En tant que piètre connaisseur, je n'aurais pu que dire qu'il est super, alors je me contentai de reprendre une gorgée. Puis, en observant le reste de la pièce, je déclarai :

- C'est une grande maison pour vivre toute seule. Mais j'imagine que tu dois recevoir beaucoup de monde. T'as un métier fascinant et t'es très belle. En plus, tu dois bien être payée au vu de tout ce que tu possèdes. Tu dois ramener pas mal de minets par ici.

Je bus une nouvelle fois.

- J'aimerais bien être un de ces minets,[/i] avouai-je en observant sa réaction, le verre toujours levé.

J'avais réussi à garder un ton calme, et j'avais dit ça comme si je m'en moquais. Enfin, je crois.

9
La suite fut comme je l'avais imaginée. La fille encore en train de me chevaucher en demandait à chaque fois plus. Elle avait une expression perverse sur le visage, c'était le genre de nénette à aimer se faire prendre par une ribambelle de mecs dans le métro et qui en redemandait après avoir vidé tout le monde. Heureusement, mon côté démon m'offrait une résistance plus poussée que celle des humains, mais en plus, j'avais des pouvoirs.

Quand elle poussa un énième cri alors que j'essayai de la faire jouir à grands coups de reins, particulièrement violents, je l'agrippai par le cou et, tout en l'étranglant légèrement, je la fis basculer de sorte que son visage se retrouve écrasé contre le matelas, et que son arrière-train pointe vers le ciel. Elle gloussa et ne vit pas que je m'arrachai un bout de peau sur le dessus de la main. Une nouvelle capote de sang recouvrit mon membre que j'enfonçai toujours plus avidement que jamais dans sa chatte. Elle hurla de bonheur et se m'implora même de lui enfoncer mon poing dans l'anus. Le sang se mit alors à bouger, tournant sur lui même, des petites extrémités en forme d'éventails apparues le long de mon sexe.
Puis tout en continuant à la pénétrer, je fis tourner ma peau sanguine sur elle-même, fouettant chaque parcelle de son intérieur. La toupie de plaisir ne s'arrêta que lorsqu'une véritable explosion de cyprine, accompagnée par un hurlement encore plus fort que les autres, ne m'aspergea entièrement le bassin.
Elle s'affala sur le lit et m'adressa un sourire de satisfaction. Facile de deviner que j'étais le premier "homme" à la faire jouir de la sorte depuis longtemps. Des cris étouffés et des gémissements retentissaient depuis le salon. Recouvrir mon pénis de sang m'empêchait de ressentir l'environnement accueillant d'un vagin, et l'excitation était légèrement redescendue.

Mais en débarquant dans la pièce, lorsque je vis ma princesse dégoulinante au sol, les deux adolescentes encore en jeu au-dessus d'elle, je ne pus m'empêcher de ressentir un regain de plaisir. Je poussai l'une des filles pour me diriger vers la jeune femme encore épuisée et haletante. Je lui adressai un sourire qui en disait suffisamment long sur mes intentions à venir. La fille que je venais d'éloigner s'approcha avec mécontentement de moi. M'emparant du vibro qu'elle tenait encore en main, je la fis reculer de nouveau. Un sourire coquin éclaira son visage, comme si elle était persuadée que j'en avais après elle.
Je me tournai vers ma prisonnière, puis lui sourit.

- Après elle, c'est ton tour... Alors repose-toi et prépare-toi à reprendre où on en était tout à l'heure.

La deuxième fille s'approcha d'elle et la caressa tandis que j'empalais la dernière ado contre le mur. L'ensemble de la pièce tremblait à chaque coup donné, et il ne fallut que quelques minutes pour la faire venir.
Mon sexe encore couvert de nectar de femme, je me tournai vers ma petite princesse, pour voir où elle en était.

10
Après avoir rattrapé ma chemise, elle la jeta par-dessus le toit, la faisant atterrir dans une poubelle située plus bas.

- Et hop, plus d'chemise ! T'auras plus à pleurnicher pour tes frais d'pressing, t'es content ?


Visage renfrogné, dents serrées et passablement énervé par l'incident, je dus faire un gros effort de self-control pour ne pas envoyer la lycéenne suivre ma chemise. Pas qu'elle me plaisait particulièrement, mais j'étais torse nu, du coup.

- T'es encore là, toi ? Va jouer les playboys ailleurs.

Elle était belle, mais peut-être un peu trop arrogante. Jouer les playboys ? Ps. Comme si j'étais intéressé. Quoique...

Prenant sur moi-même, je décidai de laisser passer. Puis je m'approchai du rebord en fixant les élèves qui continuaient de jeter des regards interrogateurs et furieux dans notre direction. L'un d'entre eux avait ramassé ma chemise et la regardait avec un air intrigué. Il jeta un rapide coup d'œil autour de lui et récupéra le vêtement, qu'il mit en douce dans son sac.

*P'tit con, j'vais t'apprendre à récupérer ma chemise. Enfin, pas tout de suite. D'abord, trouver une punition pour celle-là.*

Puis je me retournai vers la fautive en me redressant.

- J'aime pas vraiment jouer les redresseurs de tort, c'est pas tellement dans ma nature, mais je suppose que j'fais partie des gens qui doivent prendre des décisions quand un élève du lycée fait des conneries. Et balancer des bouteilles depuis le toit, ça fait partie des conneries dangereuses. Sans compter le fait que t'as manqué de respect à un membre du personnel...

Puis je réfléchis.

Peut-être que je pouvais la force à copier des lignes ? Non, c'était trop gamin, et trop facile de contourner la punition.
Lui faire faire des pompes ? On me virerait pour un truc comme ça.
Lui faire nettoyer la cour ? C'était de l'eau, pas besoin de nettoyer.
La faire s'excuser auprès des victimes ? Trop chiant de retrouver tout le monde, pas que ça à faire.
Lui demander de me racheter une chemise ? Pour ça aussi, on me virerait.
Pas la peine de songer aux punitions du genre "claques dans la gueule" ou "taper les doigts avec une règle", c'était la porte assurée.

Dépité, je me tournai vers elle, mon visage exprimant la fatigue de réfléchir, la lassitude de punir et surtout le manque de motivation flagrant.

- T'as pas une idée de punition ?

11
L'air du soirée rafraichissait agréablement mon visage. La chemise ouverte à la moitié, j'avais décidé de me promener un peu dans les rues de Seikusu. Ça faisait longtemps que j'étais pas sorti profiter de la nature, du grand air et des chants des oiseaux. Ça, c'était ce que tout un chacun aurait dit. Moi, en fait, je voulais simplement connaître de nouveau des sensations similaires à celles déjà rencontrées dans le quartier. Le quartier de la Toussaint, plus précisément. Un coin tranquille où personne ne vous dit rien quand vous violentez des gens. Que ce soit en leur tapant dessus ou en les... Enfin, on vous emmerde jamais.

C'était ça qui me plaisait, dans ce coin sans foi ni loi. Tu fais ce que tu veux, comme tu veux. Tant que c'est crade et immoral. Et j'avais bien l'intention de remettre le couvert. Mes yeux parcouraient les rues à la recherche d'une petite minette, pas trop jeune, pas trop vieille, pas trop habillée, pas trop délurée, pas trop grosse, pas trop fine... Bref, le genre de filles qu'on croise souvent, quoi.
Et je l'ai trouvée. Une petite brune à la robe provocante au possible. Une magnifique vision panoramique sur son décolleté assez bien pourvu, des fesses rondement moulées... Elle avançait d'une démarche chaloupée. Habitude d'aguicheuse, inconscient révélateur ou simplement mon esprit qui me montrait ce que je voulais voir ?

Quoiqu'il en fut, je la regardai s'écarter de la route pour disparaître dans une ruelle. Une impasse, comme celles dans les films. Le genre miteuses bondées de poubelles dégueulant leurs détritus. Une si jolie fille qui fouille les poubelles ? Passage de drogue ? Inattention ?
Je la vis ressortir et scruter les deux bouts de la rue, presque déçue. Elle attendait quelqu'un ? Je pouvais tout aussi bien aller lui tenir compagnie...

Je m'approchai d'elle en souriant.

- Excusez-moi, vous auriez pas l'heure ? demandai-je d'une voix presque innocente.

Puis, après une courte réflexion, j'ajoutai :

- C'est nul, comme accroche, en fait. J'me demandais pourquoi vous portiez une tenue aussi... provocatrice dans un quartier aussi craignos ? Sans parler du p'tit tour dans la ruelle juste là.

12
Mon job de concierge au lycée m'avait permis de me faire une place dans la société. Ça me permettait d'occuper mes journées et de mater impunément les lycéennes aux tenues assez courtes. Bon, si on omettait certaines personnalités qui s'émancipaient d'elles-mêmes de l'uniforme réglementaire, voir des mini-jupes tout le temps, c'était plus que sympa. En plus, on me payait pour ça. J'avais trouvé l'Enfer sur Terre. Et grâce à une charmante lycéenne, du nom de Neena, en plus. Bref, j'étais heureux.

J'avais eu très peu de soucis, pour l'instant. Quelques jeunes qui fumaient des pétards dans les toilettes, un couple un peu trop exhibitionniste (je m'étais d'ailleurs tapé la demoiselle juste après les avoir séparés) et un pseudo-attentat avec des pétards constituaient la totalité de mes hauts-faits de guerre. Mais visiblement, une nouvelle menace se présentait à l'horizon. Des cris d'indignation et des protestations retentissaient dans la cour de l'école.
Un rapide coup d'œil avait suffi à m'apprendre que quelqu'un s'amusait à leur lancer de l'eau. Presque naturellement, mon regard s'était tourné vers les fenêtres des étages. La plupart étaient fermées et celles qui étaient ouvertes semblaient calmes. Ce ne fut qu'après avoir reçu l'équivalent d'un bol d'eau sur le coin du visage que je compris. Le toit. On pouvait distinguer une silhouette qui se dessinait au sommet de l'édifice. Le visage trempé, la chemise imbibée de flotte, une furieuse envie de massacrer du lycéen au cœur, je rentrai dans le bâtiment et commençai à monter les escaliers quatre à quatre.

Les couloirs étaient déserts, comme si les rats avaient fui le navire avant qu'il ne coule.
Quelqu'un était allé sur le toit ? Eh, on m'avait demandé de verrouiller les accès, depuis une tentative de suicide assez minable - le type en question avait eu la trouille de sauter et s'était pissé dessus. Si quelqu'un avait volé mes clés...
En arrivant devant le seul accès au toit, je constatai avec une certaine pointe d'incompréhension que le cadenas était encore bien présent.

*C'est quoi ce merdier ?* songeai-je en arrachant littéralement le verrou, sans prendre le soin d'utiliser mes clés.

Il y avait bien quelqu'un, sur le toit. Une lycéenne, à la tenue plutôt légère. Minimaliste, en fait. Mais très colorée. Mon regard ne s'attarda cependant pas tellement sur ses vêtements, mais plutôt sur le reste de son corps. Elle riait à gorge déployée. Visiblement, c'était elle la fautive.
Je me raclai la gorge et adoptai un air sévère, avant de lui lancer ma chemise sur le visage.

- Tu comptes me payer le pressing, p'tite rigolote ?

13
Blabla / Re : Le Questionnaire
« le: dimanche 10 juin 2012, 03:36:54 »
Le faire pour de bon dans un jardin d'enfants !

La proposition la plus atypique proférée à ton égard, ou que tu as toi-même suggéré ?

14
Archives / Re : Kama sutra
« le: dimanche 10 juin 2012, 02:36:58 »
C'est gentil, Yukio ! J'ai pas précisé que je t'avais mis +1 parce que je l'ai fait pendant le RP, mais du coup, je dois attendre 24h pour te remettre un point. Mais tu l'auras, ton deuxième point de ma part, promis !

15
Archives / Re : Kama sutra
« le: dimanche 10 juin 2012, 02:23:09 »
T'as dû voir le RP avec Yukio, non ? xD Merci pour les points, en tout cas :D

Vael : je suis sûr de savoir d'où ça vient, mais j'arrive pas à me souvenir précisément. Je dirais How I Met ? (En tout cas, je comprends ce que tu ressens :D ).

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