Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Maëlys

Pages: [1] 2 3 ... 7
1
Prélude / Re : A la gloire de la prêtresse d'écailles !
« le: mardi 29 novembre 2016, 16:19:45 »
tl;dr

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

2
Dictature d'Ashnard / Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
« le: samedi 26 novembre 2016, 09:10:58 »
* Han... han...

Un silence pesant envahissait la pièce, que seul mes halètements rompaient. A force de crier et de me tortiller, j'avais fini par être à bout de souffle. Et l'orgasme que je venais d'avoir n'avait vraiment pas arrangé les choses. Je restais muette, donc, et attendais, l'estomac noué, la réaction de Maitresse...

C'est alors que je l'entendis s'avancer, ses talons claquant derrière moi. Allait-elle poursuivre ma punition ? J’espérais que non, mais je sentais que ces espoirs étaient vains. Mélinda était dure, et intransigeante, et si elle estimait que je méritais dix coups de fouets pour mon insolence, ce n'était pas des supplications qui allaient la faire changer d'avis. Quelle cruche j'étais, pourquoi est-ce que je l'avais supplié !

Maitresse posa alors délicatement ses mains sur mes fesses meurtries, provocant chez moi un vif sursaut, un peu de surprise mais surtout car la douleur était encore cuisante. Cependant, son baiser, le doux contact de ses gants, et la gentillesse de ses mots m'apaisèrent. Je ne m'étais pas encore remise de mes émotions, et ne répondis pas tout de suite, mais j'étais aux anges. Alors c'était fini ? Maitresse n'allait plus me fouetter !? J'acquiesçais silencieusement, heureuse. Ho oui, mes fesses avaient grand besoin d'un peu de soin. Surtout si je voulais continuer à servir Maitresse, car comme elle-même l'avait précisé, et comme son sexe en érection témoignait, la nuit était loin d'être terminée. Je comptais bien lui offrir encore mon cul, autant de fois qu'elle pourra y jouir, dedans ou dessus.

* Et la prochaine fois, tu jouiras en cinq coups, ma puce...

Sa remarque me fit rire, un rire nerveux qui dura le temps d'un soupir. Reprenant ma respiration, je parvins à me redresser lentement, les joues rouges et des mèches de cheveux collées ici et là par la sueur. Il faut bien avouer que jusque là, la nuit avait été plutôt intense ! Je lui adressais un regard plein de gratitude, et la suivit des yeux, pendant qu'elle se dirigeait vers la salle de bain.

Azura en profita pour me prendre à parti, elle qui n'avait pas manqué une miette du spectacle. J'écoutais ses propos, tout en appréciant ses caresses. Je doutais que la peau de mes fesses soit si douce maintenant, mais il était vrai que ma poitrine était généreuse, d'ailleurs mon sein ne tenait même pas dans sa main. Cela dit les siens étaient pas mal non plus, une poitrine volumineuse et harmonieuse. Arriverais-je à les prendre toute entière dans mes mains ? Cette pensée me fit sourire. Je jetais un bref coup d'oeil vers la porte, impatiente de retrouver ma Maitresse, avant de reporter mon attention sur ma consoeur. Et ce qu'elle confessa me laissa sans voix.

Mon sourire s'effaça un peu, pour prendre une expression penaude. Je n'y avais jamais songé sous cet angle, en fait...

Je savais qu'elle passait toujours ses nuits avec quelques femmes du harem, pour une tendre séance de caresses avant de s'endormir. Cependant, j'ai toujours cru que, si Maitresse ne m'y avait jamais convoquée, c'était parce qu'elle ne me jugeait pas digne, qu'elle préférait la compagnie d'autres esclaves. Je n'aurais jamais imaginé non plus que Maitresse puisse parler de moi aux autre femmes. Autant dire que cette révélation était bouleversante ! Et elle remettait en perspective beaucoup de choses... Il me fallu un certain moment pour appréhender la nouvelle, et réaliser que c'était ma jalousie qui en quelque sorte sabotait notre relation, entre Maitresse et moi.

Alors que j'étais plongée dans mes pensées, un tendre baiser d'Azura me ramena à la réalité, un baiser auquel je répondis affectueusement. Elle était adorable ! Je savourais ces instants de douceurs, en remuant doucement au bout de mes chaines.

* Je... je ne sais pas quoi dire... je ne savais pas. Hum, merci d'avoir partagé ça avec moi...

Une petite pause, pour réfléchir, et un nouveau coup d'oeil vers la salle de bain, avant de reprendre.

* Et bien, pour être franche, oui, ça m’intéresserait beaucoup ! Comme tu le sais, je n'ai encore jamais dormi avec Maitresse, du coup je ne sais pas exactement comment ça passe. Quand on y pense ce serait un peu comme ma première fois, hihi. Si tu as des conseils à me donner, pour que ça se passe bien, et que Maitresse soit contente, ce serait vraiment super ! Tu pourras même me montrer cette fameuse technique aussi ! Je t'en serais vraiment reconnaissante.

3
Dictature d'Ashnard / Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
« le: mercredi 23 novembre 2016, 14:24:00 »
Je ne me rendis pas tout de suite compte de la boulette que je venais de dire, mais Mélinda ne tarda pas à me le faire remarquer.

* Ai-je bien entendu ce que tu as dit, Maëlys ? Laisse-moi te citer... ‘‘Je ne veux pas partager Maîtresse avec Azura’’... ‘‘Pas. Partager’’. Depuis quand suis-je quelque chose que TU partages avec d’autres, hm ?

* Euh, bah, je...

Eh bah je bafouillais, c'est tout. Je me sentais un peu honteuse, et assez gênée. Elle avait raison, c'est vrai que ça n'était pas très correct de dire ça à propos de Maitresse. Il était bien présomptueux de penser que je n'avais ne serait-ce qu'un moindre mot à dire sur ce que Maitresse aimait faire. En y réfléchissant, c'était une attitude qui était davantage digne de la petite amie jalouse que de l'esclave obéissante. Ne sachant trop quoi lui répondre, je me contentais de baisser les yeux, comme une fautive s'étant faite prendre la main dans le sac et n'ayant pas d'excuses, et d'avouer simplement.

* Oui, vous avez raison Maitresse...

Mélinda me sauta dessus, assez forte pour me maitriser sans difficulté -non pas que j'oserais lui résister-, et s'assit sur moi. J'eu alors droit à un long sermon, sur mon attitude, et mon insubordination, pendant qu'elle me pinçait fortement les tétons, pour s'assurer que je comprenne bien qu'elle ne plaisantait pas. Impuissante, les coudes près du corps et les mains au niveau de mes épaules, je poussais un long cri et me tortillais de douleur, soulevant le corps de la vampire avec mon bassin. Le supplice était terrible, je gémissais à chacune de mes expirations, tout en regardant ma Maitresse, une lueur de soumission et de regret dans les yeux. J'écoutais ses paroles, et la perspective de recevoir une punition me glaça le sang, bien plus que d'avoir les tétons pincés. Je me souviens encore de ma première fois avec Mélinda, avant que je ne devienne son esclave, et de son sarcophage aux pointes acérées qu'elle appelait la Vierge de Fer. Bon, je n'y ai jamais eu droit, et je ne pense pas qu'aujourd'hui cela changera, mais rien que d'y penser était une menace suffisante en soi. Mélinda ne plaisantait pas avec ce genre de chose...

J'acquiesçais, et souffla de soulagement lorsqu'elle relâcha enfin la pression de mes tétons, que je massais pour atténuer la douleur. Je déglutissais faiblement, n'ayant aucune idée du châtiment qui m'était réservée, et m'attendant au pire. Je suivis tout de même Azura, à quelques pas de là, et la laissa m'attacher comme Maitresse l'avait demandé. Je n'essayais même pas de l'amadouer, ayant trop peur qu'elle ne s'énerve et rende la punition pire encore. C'est alors qu'elle me l'annonça.

* Je vais te fouetter dix fois, Maëlys. Et, à chaque coup, tu me diras que tu es une traînée, et que tu es désolée d’être jalouse, et que tu me supplies de bien vouloir te pardonner. Tâche d’être convaincante, ou je te punirai vraiment, en sodomisant Azura sous ton nez !

Dix coups de fouets... Bon je ne me faisais pas d'illusions, j'allais passer l'un des pire quart d'heure de ma vie, mais en soi ça allait, non ? Enfin, c'est ce que je pensais, naïvement.

* Ou-oui, maitresse...

Je serrais les dents, prête à recevoir la punition de ma Maitresse. Mais même en étant prête, je n'étais pas très douée pour supporter la douleur. Et lorsque le coup de fouet cingla sur mes fesses...

* AAAAAHHH !!

... il m'arracha un hurlement de douleur ! Mon corps entier se crispa, cambré, pour m'éloigner le plus possible du fouet. C'était une réaction somme toute assez inutile, étant attachée et à la merci dudit fouet, mais cela tenait davantage du réflexe qu'autre chose. Je criais, me tortillais. Et, aussi, bizarrement, je mouillais.

Je ne savais pas si j'avais toujours eu ça en moi, ou si ça venait de l'éducation que j'ai reçu de Mélinda... mais les coups de fouets avait cet étrange effet sur moi. C'était un peu comme une sensation en trois phases. Au début, il provoquait une douleur insupportable, et très vive. Puis, cela s'estompait un peu, pour laisser place à une sensation plus agréable. La douleur était toujours là, irradiante, mais atténuée, plus supportable, et étrangement excitante. Enfin, celle-ci s'estompait aussi, pour ne plus laisser qu'une cicatrice cuisante, que l'on a envie de masser avec de la pommade, comme un dur retour à la réalité.

Ainsi, aussi douloureux soit-il, le fouet de Mélinda parvenait à éveiller mon excitation. Même si j'étais trop occupée à gémir et à la supplier pour en profiter.

* Han, han, je suis désolée maitresse, je suis vraiment désolée, je ne suis qu'une PUTE et je n'aurais jamais dû vous parler comme ça ! HHAAAAA !!

Un deuxième coup claqua, me faisant bondir et m'arrachant un nouveau hurlement. Le pire n'était pas la douleur du claquement de fouet en lui-même, le pire était que cette douleur venait s'ajouter à celle encore toute fraiche de la précédente. C'était terrible ! Cependant je ne pouvais pas m'empêcher d'en éprouver une petite dose de plaisir... petite, mais suffisante pour me faire mouiller de plus belle.

* Gnnnh ! Pardon maitresse, pardon pardon pardon ! La SALOPE que je suis n'est là que pour recevoir les coups de bite de sa Maitresse, pas remettre en question son autorité, j'ai bien compris la leçoooOOONN !

Les coups de fouets s'enchainaient, encore et encore, suivit de mes hurlements, tandis que je sautillais et me tordais de douleurs. Mes excuses étaient sincères, mais la punition suivait son cours. Six longues marques rouges vifs zébraient maintenant la peau blanche de mes fesses rondes, et des filets de cyprines gouttaient le long de mes cuisses. Allez, Maëlys, courage, plus que quatre à supporter...

* GYYYAAAAAAHH !!

Le septième coup claqua, et me fît craquer. Malgré la douleur intense qui me brulait presque littéralement le cul, mon corps avait atteint un tel niveau d'excitation que je venais de jouir sous les coups de fouets de ma Maitresse. J'avais encore du mal à saisir un tel paradoxe, entre mon esprit qui criait intérieurement sous la douleur, et mon corps qui parvenait à en tirer du plaisir. En tout cas, le fait est qu'une flaque de cyprine s'étendait entre mes jambes flageolante.

* Pitié, maitresse, je ne recommencerais plus... j'ai été trop possessive envers vous, et je le regrette... Je serais une bonne esclave, plus jamais je ne ferais de remarques déplacées...

C'était quand même une sacrée promesse que je faisais là. J'avais bien conscience que je ne pouvais pas changer mes sentiments pour ma maitresse du jour au lendemain, et que ça allait demander beaucoup de temps et de travail. Mais éviter les remarques et tenir ma langue, ça, c'était déjà un peu plus envisageable. Et puis c'était un bon début, non ?

* S'il vous plait, Maitresse... plus de coup de fouet... je ne recommencerais plus...

Après cet orgasme, mes jambes ne parvenait plus à me supporter, et je pendais aux chaines, me balançant doucement. Une pensée me traversa alors brièvement l'esprit. Ce devait être un sacré spectacle que je donnais à Azura. Mais j'étais trop occupée à gérer mes propres émotions et sensations pour m'intéresser à ce qu'elle pouvait penser de moi en ce moment. Tout ce que j'espérais, c'était que Mélinda écoute mes supplications, et pose ce fouet. J'avais déjà enduré beaucoup, et c'est vrai qu'il ne me restait plus que trois coup de fouets au compteur. Mais je n'en pouvais plus, et à ce stade, même pour seulement trois, ça demandait de gros effort...

4
Dictature d'Ashnard / Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
« le: mardi 22 novembre 2016, 17:33:36 »
* Non, entre !

Quoi ? Mais, mais non ! Pourquoi Melinda l'invitait à rentrer, nous étions si bien rien que toutes les deux ! Je la suivais des yeux, les sourcils froncés. En soi je n'avais rien contre Azura, c'était une femme adorable. Seulement, là, j'étais en pleine nuit d'amour avec ma Maîtresse, et elle débarquait comme un cheveu sur la soupe. Alors, forcément, ça me mettait de mauvais poil.

Je me tenais à genoux, près d'Azura et face à Mélinda. Pendant qu'elle m'expliquait les raisons de sa présence ici, je sentais mon anus béant frétiller, et du sperme encore chaud couler sur mes chevilles, puis sur les draps. Je souriais, et mon regard s'illuminait, non pas à cause de l'état dans lequel elle avait ravagé mon cul, mais avec tout les jolis compliments qu'elle m'adressait. J'étais très heureuse de savoir qu'elle m'aimait tant... enfin, je le savais un peu, mais de l'entendre comme ça de la bouche de ma Maîtresse, ça me touchait beaucoup !

Malgré tout, je comprenais bien qu'au fond, elle me grondait. Et elle avait ses raisons. Mais moi aussi ! Alors que je m'apprêtais à lui expliquer que j'avais conscience de ces défauts, et que si je n'étais pas aussi parfaite, c'est justement parce que je l'aimais tellement... elle me fit taire, et poursuivit. Je ne bronchais pas, et l'écoutais religieusement, tout en lui léchant tendrement le pouce qu'elle avait glissé dans ma bouche.

Elle mentionna alors un test, pour jauger mes réactions. La première pensée qui me traversa l'esprit, c'était ô combien la belle verge de Maîtresse était appétissante ! Belle, grosse, et bien tendue droit devant, encore chaude de notre sodomie, et couverte d'une luisante couche de sperme. J'aurais adoré la lécher, et la sucer ! Mais bon, c'était Azura qui s'en chargeait...

* Ça... ça ne me pose aucun problème, Maitresse...

Ce qui était vrai. Un peu. Au fond, cette envie de fellation, c'était surtout un caprice de gourmande. Et, en l'occurrence, quelqu'un d'autre profitait de la friandise. Un peu frustrant, certes, mais rien d'insurmontable. En tout cas, j'y croyais...

Au début, ça ne me dérangeait pas trop de la regarder faire.  Mais, au fur et à mesure que le temps passait, Azura la suçait avec une ferveur croissante, et Mélinda semblait y prendre de plus en plus de plaisir. Et ça commençait à me mettre de plus en plus mal à l'aise. Je dirais même à carrément m'irriter ! Mais je restais calme, enfin plus ou moins. Pour ça je dû détourner le regard de cette scène, me mettant à fixer le mur avec un soudain intérêt, tout en croisant les bras, soulevant mon opulente poitrine. Ce faisant, mes sourcils se froncèrent et mes joues gonflèrent légèrement, réflexe involontaire typique lorsque je boudais.

* Je...

Je savais que Maîtresse attendait une réponse, et évidemment honnête, mais il me fallu un petit moment avant d'y parvenir. L'entendre prendre du plaisir, juste à côté de moi, mais sans moi, c'était...

* C'est pas juste ! Nous étions supposées passer une folle nuit d'amour, rien que Maitresse et moi, et je ne veux pas partager Maitresse avec Azura ! Et puis, et puis je suis tout à fait capable de prendre soin de Maitresse, et de lui procurer tout le plaisir qu'elle réclame, toute seule, Maitresse n'a pas besoin d'elle ! Je vous aime, Maitresse, et je veux pouvoir satisfaire à tous vos désirs ! Et je ne comprends pas pourquoi vous voulez qu'elle vous suce la queue alors que je pourrais certainement la sucer bien mieux !

Voilà. J'avais débité ça très rapidement, comme si je tenais une patate brûlante dont je voulais me débarrasser au plus vite. Mais au moins, c'était dit. Je voulais Maitresse rien qu'à moi. Je me rendis alors compte que je n'étais pas toute seule. Même si Azura avait la bouche pleine, elle pouvait quand même m'entendre... Je m'empressais alors d'ajouter.

* Mais, hum, ne le prends pas mal Azura, hein.

5
Dictature d'Ashnard / Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
« le: samedi 19 novembre 2016, 06:05:02 »
[HRP] Trois ans plus tard... :-[



C'était tout naturellement que j'offrais ma croupe à ma Maîtresse adorée, et très franchement je ne le regrettais absolument pas ! Il est vrai que son membre massif de futanari, enfoncée entre mes fesses, était assez douloureux, me poussant à souffler ou à serrer les dents par moment... mais mon cul avait été bien préparé, grâce aux longues minutes passées à le doigter et le lécher. Et puis ma Maîtresse prenait également soin de moi pendant l'acte, s'enfonçant lentement en moi pour que mon corps puisse s'habituer à la largeur de son sexe. Une délicate attention, qui rendait cette sodomie beaucoup plus agréable.

En un sens, c'est comme si Melinda me faisait tendrement l'amour. J'étais aux anges !

* Mmmmhh... han, j'adore sentir la belle queue de Maîtresse en moi... c'est si bon d'être votre petite chienne, WOOF ! ~♥

Malgré ses lentes pénétrations, mon orifice restait étroitement serré autour de son membre. Oh, il s'adaptait, bien sûr, mais légèrement, juste assez pour ne pas avoir à trop forcer le passage. Je crois que c'est ce qui lui plaît chez moi, hihi, peu importe le nombre de fois où elle m'a sodomisée, ou les journées entières passées avec un godemiché entre les fesses, mon anus restait toujours aussi étroit que celui d'une pucelle. Et, au fond, ce n'était pas si mal... Ça me pousse certes à faire plus d'effort pour l'accueillir en moi, mais sentir mes chairs s'écarter à chacune de ses pénétrations, et se resserrer autour du chibre tendue de ma Maitresse... hum, c'était si bon que j'en étais accro ! 

Pendant que Mélinda prenait son temps, moi je prenais mon pied, mais je savais que ça n'allait pas durer. Non, ce n'était qu'un avant-goût de ce qui allait arriver. Elle avait d'ailleurs déjà commencé a accélérer la cadence de ses coups de reins. Et mon corps était prêt à les recevoir. Je tournais la tête et regardais ma Maîtresse par dessus mon épaule, pendant que ses hanches claquaient contre mes fesses. Je la regardais droit dans les yeux, me mordillant la lèvre, gémissant à chaque pénétrations. Un regard plein de sous-entendu, qui pouvait tout aussi bien révéler ma gratitude -"Merci Maîtresse"-, mon plaisir -"C'est si bon, Maîtresse"-, ou ma supplication -"Encore, s'il vous plaît Maîtresse, encore plus fort"-.

* Ah ah ah ! Woof ! Woof !

Ses insultes résonnaient comme des mots doux, et ses fessées comme des caresses, auxquelles je répondais joyeusement par des aboiements, comme la bonne chienne que j'étais. Ses coups de reins devenaient de plus en plus fort, à mesure que mon orifice s'ouvrait à elle. Ils étaient si violents que je ne parvenais plus à maintenir ce contact visuel avec ma Maîtresse. Ses pénétrations étaient vives, profondes, et faisait trembler mon corps à une cadence effrénée. J'essayais tant bien que mal de maintenir mes appuis sur le tapis de fourrure, mais rester concentrée était difficile tant cette sodomie me rendait folle de plaisir. Si bien qu'à un moment, ma main glissa, et le coup de bassin suivant me propulsa par terre, la joue contre le sol. Mélinda ne ralentissait pas, et continuait à me pilonner le cul avec ardeurs. Ho et puis au diable la concentration ! Je me laissais aller, m'offrant complètement à la sodomie. Mes aboiements étaient devenues des cris de plaisirs, purs et involontaires, rythmés par ses délicieux va-et-vient entre mes fesses.

* Maitreeeeeesse !!

Et c'est ainsi que ma Maîtresse venait de me donner mon premier orgasme. Intense ! Cependant, elle ne s'arrêtait pas. Elle n'avait pas encore eu le sien après tout. Des giclées de cyprine avaient éclaboussé ses cuisses et les miennes, coulant chaudement le long de nos jambes, ajoutant des sons humides aux claquements de nos corps. Mes jambes flageolaient, j'étais haletante, et avais du mal à résister aux assauts de Mélinda, mais j'essayais tant bien que mal de tenir bon. Heureusement, il n'y avait que mon cul qui prenait cher. La situation aurait été différente s'il s'agissait de mon vagin, qui serait devenu trop sensible après l'orgasme pour pouvoir continuer... L'un des avantages de la sodomie.

Mélinda continuait donc sa sodomie, pour son plus grand plaisir, et le mien. J'avais l'esprit encore embrumé par cet orgasme, et de sentir les pénétrations vigoureuses de ma Maîtresse me défoncer les fesses... mmmhh ! A peine eus-je le temps de redescendre sur Terre qu'un deuxième orgasme, fulgurant, vint m'emporter au septième ciel.

* AAAAAHHH !

Cette fois je ne parvenais plus à me tenir sur les genoux. Toute frémissante, encore plus haletante, je me laissais tomber par terre, allongée sur le ventre, le chibre de ma Maîtresse toujours chaudement enfoncée entre mes fesses. Ces deux orgasmes si rapprochés m'avaient rincées ! Et elle n'allait pas tarder à jouir elle aussi. Elle continua à me sodomiser encore un moment, jusqu'à ce que de puissantes giclées ne viennent inonder mon cul de sa semence chaude. Han, c'était tellement bon ! Tellement, que je fût happée par un troisième orgasme, qui finit par m'achever. J'étais à bout de souffle, le corps crispé, du sperme qui parvenait presque miraculeusement à couler de mon orifice, malgré le large membre autour duquel il était encore étroitement serré.

La soirée venait à peine de commencer, et cette première sodomie m'avait déjà complètement épuisée... mais passer une folle nuit d'amour avec ma Maîtresse était trop beau pour que je laisse filer une telle occasion ! Je n'avais pas dit mon dernier mot, et comptait bien en profiter du début à la fin, jusqu'à la dernière minute. Reprenant mes forces, je parvins à me relever lentement, et à me tourner vers elle, chuchotant doucement.

* Oh, maitresse...

Alors que je me relevais davantage, rapprochant mon visage du sien... la porte de la chambre s'ouvrit, et l'une des femmes du harem entra timidement.

* Euh... m-maitresse Mélinda ?

Non mais vraiment ? Ça ne lui est pas venu à l'esprit qu'elle dérangeait un moment important là !? Très contrariée, je répondis brusquement, avant que Melinda ne puisse le faire.

* Au cas où ça ne se voit pas, Maîtresse est occupée là, alors tu serais gentille de repasser demain.

J'ajoutais, en balayant l'air avec ma main.

* Allez !

6
Dictature d'Ashnard / Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
« le: mercredi 18 décembre 2013, 14:30:09 »
Inlassablement, le fouet cinglait, et cinglait, et cinglait, sans faiblir un seul instant. J'avais beau me tortiller, essayer d'échapper à cette lancinante sensation par un inconscient réflexe de survie, il parvenait toujours à claquer douloureusement sur ma peau. Bon sang, c'était terrible ! Je n'en pouvais plus, je criais sans cesse, impuissante face à ses coups de fouets qui me rendait folle ! Et lorsque enfin ses morsures cessèrent, je me retrouvais haletante, le souffle aussi court que si j'avais couru un sprint, les empreintes rouges et douloureuses du fouet en supplément.

* Haaa...haaa...han maitresse...

Je me détendis, m'affalant sur les coudes, restant toujours à quatre pattes sur le sol. Ce fut tellement... intense ! Bien que cela avait cessé, mon corps en frémissait encore ! Je reprenais peu à peu mes esprits, et sursautai lorsque ses mains se posèrent sur mes fesses. Elle les caressa tendrement, soulageant par la douceur la douleur que j'y ressentais, j'en gémissais carrément de satisfaction tant cela me faisait du bien.

J'acquiesçais silencieusement de la tête, frissonnant du désir que son doigts contre mon anus éveilla en moi. Je me mordillais la lèvre inférieur, savourant les caresses de ma maitresse. L'effervescence de mes blessures s'estompait doucement, ma respiration reprenait peu à peu un rythme normal, mais était ponctuée des profonds soupirs qu'elle parvenait à me soutirer. Ses doigts me dilataient le fondement avec douceur, et sa langue...han, elle était si douce, si sensuelle, à me lécher ainsi, c'était trop bon ! J'étais follement détendue, mon orifice s'ouvrait de lui-même sous ses caresses buccales, que j'accompagnais de longs soupirs et d'intense frissons. J'aurais pu rester comme ça pendant des heures, si l'envie brulante d'en avoir encore plus ne m'étreignait pas autant ! Et ce n'est pas sa promesse de me culbuter avec ardeur qui me calma, loin de la.

* Han oui Maitresse ! S'il vous plait, mon cul ne demande que ça ! Défoncez-moi, Maitresse !

Mélinda frottait langoureusement son sexe contre mon orifice, me faisait cruellement languir. C'était terrible, je n'en pouvais plus d'attendre cette alléchante sodomie ! J'agitais lentement mes hanches, de sorte à ce que son pénis se frotte contre mes fesses. J'étais terriblement tentée de m'empaler dessus, j'en mourrais d'envie, mais je me contentais de retenir mes pulsions et de me déhancher sagement, ce n'était en effet pas à moi d'en décider. Heureusement, ma Maitresse ne tarda pas à s'exécuter...

* AAAAHH !!

Je me mis à hurler en sentant son énorme bite tenter de s'enfoncer entre mes fesses. Si grosse, elle était si grosse ! Le passage en était délicat, malgré l'agréable préparation que j'avais reçu. Oh mon dieu ! Je me cambrais sous l'effort, serrant les dents, haletante, tandis que j'essayais tant bien que mal d'accueillir l'épais braquemart de ma Maitresse en moi.

* Gnnnn-mmmmmh !

Tout mon corps se raidissait, mon orifice dilaté à l'extrême pendant que ma Maitresse forçait peu à peu le passage, s'enfonçant graduellement, centimètre par centimètre, de plus en plus profondément dans mon cul. Je n'en étais pas à ma première sodomie, loin de là même, Mélinda en raffolait tellement que j'y avait déjà eu droit d'innombrables fois, à tel point que j'y avais pris gout aussi. C'était divin, surtout avec elle ! Mais malgré tout mon corps ne semblait pas s'y être adapté... à moins que je ne sois condamnée à garder un cul étroit et serré ? Elle gifla subitement mes fesses, m'arrachant un cri animal, suivant les ordres qu'elle m'avait donné.

* WAF, WA-AAAAH-WAF !

Je la sentais entrer, écarter mes chairs pour se frayer une place en moi, mon orifice douloureusement tendue. C'était certes douloureux, mais y aller progressivement rendait la tension plus supportable. Je me sentais si étroite, si remplie, percevant la queue de ma Maitresse chaude et dure palpiter dans mon fondement, c'était fabuleux, j'adorais !

* Han oui, enculez moi fort, WOOF ! C'est si bon de sentir votre grosse queue ! Baisez-moi comme une chienne, Maitresse ! WOOF, WOOF, WOOF !

7
Dictature d'Ashnard / Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
« le: mercredi 11 septembre 2013, 23:13:04 »
* Hoo ouiiiiii !! * Ma maitresse s'était levée, me laissant en proie à une folle excitation. J'étais si impatiente de sentir son chibre épais et si dure labourer mes belles fesses de salope ! Pour peu je m'en serais doigtée sous ses yeux, affalée sur le lit en une pose des plus indécentes, la croupe à l'air, mais je préférai ne rien faire et éviter de gêner ma maitresse, laissant le champs libre à ses envies. Doux jésus, l'attente de sentir sa grosse queue me combler à la force de ses déhanchés était une torture délicieuse...

Toutefois, il en fût autrement. M'attendant à recevoir un coup de rein, je fus diablement surprise de recevoir un violent coup de pied dans le derrière, m'envoyant voltiger en contrebas, chutant de son lit avec fracas.

* AAAAHH ! hurlais-je, tant de surprise que de douleur.

Mais... qu'est ce... qu'est-ce qu'il lui prenait... ? Jetée à terre sans vergogne comme une vulgaire poupée, je levais les yeux vers elle, le regard mitigé entre doute, peine, désillusion et lamentation. L'expression "tomber des nues" prenait tout son sens dans ce contexte, et je m'en retrouvais boulversée.

* Mais... mais, Maitresse... ? bredouillais-je, plaintive.

Mais ses injonctions me refroidir aussitôt, me poussant à acquiescer silencieusement, à quatre pattes et penaude, comme une chienne se faisant gronder par sa maitresse. Je ne bougeais même plus, terrorisée. Ce soudain changement d'attitude... et dire qu'il y a deux minutes, je l'étreignais tendrement dans mes bras, la voilà fâcheusement irritée ! Je prenais conscience d'avoir un peu dépassé les bornes... peut-être même beaucoup. Ce privilège accordé m'était monté à la tête, j'en ai même bafoué, du moins à moitié, la relation de Maitresse à esclave établie entre nous deux ! Je baissais les yeux, un peu gênée, à quatre pattes et assise sur mes talons, la laissant me tourner autour en évitant de croiser son regard. Je sentais ses griffes contre ma peau, m'arrachant des frissons, ces même griffes qui pouvaient si facilement s'enfoncer dans ma chair...

* Je... je suis vraiment désolée Maitresse ! Je n'avais nullement l'intention de manquer au respect dû à ma sublime Maitresse !!

Une laisse se retrouva nouée autour de mon cou, laisse inhérente à ma condition d'esclave, d'objet sur lequel la propriétaire avait tous les droits, et dont j'avais pleinement accepté les conséquences. Et cela me faisait réellement mal au coeur de savoir qu'elle était mécontente de moi !

* Je suis une sale chienne, Maitresse, votre chienne obéissante et dévouée !

De toute façon, qu'importait mes paroles, j'allais recevoir une bonne leçon. Comme le prouva le cinglant coup de fouet qui s'abattit sur mon dos, cambré à mon insu, tout en accompagnant le claquement de son instrument d'un bref mais puissant cri de douleur.

* AAH !

Punaise ! La morsure du fouet irradiait ma peau d'une intense et douloureuse chaleur, je voulais caresser la blessure, en atténuer les sensations, mais je n'étais pas en position de tenter quoi que ce soit. Pire, un nouveau coup de fouet claqua, suivie d'un cri plus intense, tandis qu'une longue marque rouge vif se se dessinait sur mes fesses.

* AAAHH !! Je suis désolée Maitresse ! La seule poupée ici c'est moi, la poupée de la plus extraordinaire des vampires !

Pourquoi... Pourquoi n'y arrivais-je pas ? Je voulais lui dire d'arrêter, l'en supplier même, qu'elle cesse de me fouetter, mais je n'y parvenais pas... Pourtant, ses coups de fouets étaient terribles ! Je sentais bien qu'elle n'y mettait pas toute son ardeur, et heureusement pour moi ! Mais elle étaient tout de même d'une force surhumaine, et subir la morsure de son fouet était un supplice ! Pourtant c'était comme si une partie de moi-même acceptait son traitement... en redemandait, même. Étrangement, outre la douleur, je me sentais toute drôle à me faire fouetter ainsi, le corps tendu par la laisse tirée et qui m'étouffait à moitié...

Chaque coup de fouet me raidissait, m'obligeant à crier pour extérioriser la douleur, tandis que mon corps tentait inconsciemment d'esquiver ses assauts, se tortillant comme il pouvait, s'éloignant d'elle avant l'impact du fouet. Mais chaque coup de fouet faisait aussi croitre en moi ce désir contradictoire de me laisser aller, je dirais même de m'ouvrir à la douleur, de la savourer. Un paradoxe auquel mon cerveau ne pût trouver de solution, tiraillé entre mon excitation qui atteignait des sommets et transformait mon vagin en fontaine de mouille, mes remords d'avoir outragé ma Maitresse, les zébrures rouges sur ma peau qui me faisait l'effet de blessures incandescentes, trop, trop, trop, c'en était trop pour ma pauvre tête !

* Oui Maitresse ! Punissez la sale chienne qui vous a manqué de respect ! AAAHH !! Cette grosse pute bonne qu'à se faire baiser ! AAAHH !! Cette chienne en chaleur prête à tout pour avoir une bite dans le cul ! AAAHH !! Cette trainée qui ne mérite même pas d'être le sac à foutre de sa Maitresse ! AAAHH !! Je vous demande pardon Maitreeeeesse !

Mon corps tentait toujours désespérément de se soustraire à ses coups de fouets, comme un réflexe de survie destiné à le préserver, mais à chaque fois je tendais aussitôt mon corps vers elle, malgré la douleur, prête à recevoir le châtiment que je méritais...

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Dictature d'Ashnard / Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
« le: dimanche 08 septembre 2013, 20:03:31 »
C'était si bon, tellement bon ! Je m'empalais soigneusement sur le chibre de la vampire, accueillant son épée de chair dans mon humide fourreau, m'électrisant de plaisir à chacun de ses frottements. Emportée par la passion, je ne cessais qu'après avoir senti l'orgasme de ma maitresse poindre en moi, ces puissantes giclées de liquide chaud me remplir en abondance, pendant de longues secondes. Étreignant le corps frissonnant de Mélinda, me frottant lentement à elle, tandis qu'elle soulageait son excitation en moi, je m'imaginais recouverte de sa semence, douce et chaude sur ma peau, c'était... mmmmh, follement excitant. ~

Haletante, je m'allongeais tendrement sur elle, remuant ma jambe contre elle, ma cuisse caressant la sienne, tandis que ma poitrine se trouvait à portée de ses lèvres, m'arrachant un soupir à chacune de ses caresses. Je maintenant toujours précieusement son membre dans mon intimité, toujours aussi dur après avoir autant joui, ce qui m'excitait beaucoup. La nuit ne faisait que commencer. ~

Hmmm... dans l'état actuel des choses, la perspective de devenir enceinte et de tripler de volume, avec toute les conséquences que cela impliquait, ne me plaisait que moyennement en fait, et j'en venais à remercier le ciel que cela ne soit pas possible. Même si, au fond, je concevais que ce serait un considérable honneur que de porter l'enfant de ma maitresse ! C'est alors qu'une idée insolite me vint à l'esprit. Et si... et si je devenais moi aussi une vampire ? Je cesserais d'être considerée comme une simple humaine, et je pourrais rester avec ma maitresse sans plus craindre les ravages de l'âge... Oui ! Il fallait que je lui en parle ! Je gardais donc cette idée dans un coin de ma tête.

* Epuisée ? En si bonne compagnie ? Mes lèvres s'étirèrent en un sourire. Oui, comme toujours, ô Maitresse, mais c'est si bon que j'en redemande...

Accompagnant mes mots, je me blottis plus fort contre elle, l'enlaçant entre mes jambes, la caressant de tout mon corps. Je respirais fort, et elle devait bien le sentir vu comme ma poitrine se soulevait à chacune de mes inspirations, mais j'avais encore de la ressource ! Hors de question que je laisse filer cette douce nuit avec ma maitresse, quitte à ce que je tombe raide d'épuisement dans ses bras !

J'écoutais attentivement, posant mon regard sur elle, ses mots... ses mots me donnaient d'agréables frissons. Et me faisait follement envie. Avançant doucement mon bassin, je me cambrai sous ses yeux, et libérai son sexe de mon emprise, tout en persistant à jouer avec et à y frotter les lèvres de mon intimité.

* Hoooo... Maitresse est-elle sûre de pouvoir assumer une telle promesse ? lâchais-je, avec une légère pointe d'insolence et de défi.

Ce faisant, je m'éloignais d'elle, reculant doucement tout en lui souriant, avant de faire demi-tour et de lui présenter deux belles fesses rondes, encore rouges des fessées qu'elle m'avait administré. A genoux, cambrée, les épaules contre le lit, je tendis mes mains en arrière et me mit à tripoter mon propre fessier sous ses yeux, tentatrice, les massant et les écartant, libérant le passage vers un étroit orifice qui n'allait pas tarder à être en feu... mais j'adorais ça, et ma Maitresse aussi !

* Mmmh ? lançais-je alors avec défi, l'observant par dessus mon épaule d'un regard gorgé de désir.

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Dictature d'Ashnard / Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
« le: vendredi 06 septembre 2013, 13:17:23 »
Dieu que je mourrais d'envie de faire l'amour à ma Maitresse ! De me laisser baiser par sa belle queue ! Je la sentais, épaisse et tendue, se frotter contre mes cuisses au travers du tissus, attiser mon désir, me laisser languir, haletante, à me trémousser doucement sous le corps de la séduisante vampire. Sa peau était si douce, si fraiche, c'était plaisant, mais cela ne parvenait pas à calmer mes ardeurs. Les lèvres entre-ouverte à chacun de mes soupirs, je frissonnais agréablement au contact de ses ongles sur ma peau, me griffant légèrement, me chatouillant.

* Hum, oh ma Maitresse...

J'accompagnais doucement ses mouvements, mes doigts glissaient sur sa peau, caressaient son corps à mesure qu'elle se soulevait, qu'elle ôtait la robe que j'avais pris soin de dénouer. Le libérant ensuite du tissu qui le maintenait à l'étroit, son sexe se dressa vigoureusement devant moi, impérieux. Mon dieu... Je me mordillais la lèvre inférieure, me contenant difficilement devant une vision aussi excitante.

* Aaah...HAAAAN !!

Moult envies perverses me trottaient dans la tête, mais elles disparurent bien vite lorsque ma Maitresse enfonça sa queue entre mes cuisses, laissant une vague de plaisir s'accaparer mon esprit. Les parois chaudes et humides de mon sexe se pressaient contre le sien, se frottaient délicieusement l'un l'autre, et c'était la seule chose à laquelle je parvenais à penser pour le moment, cette savoureuse sensation qui accompagnait chacune de ses pénétrations. C'était... mmmmh ! C'était tellement bon ! Je glissai mes mains derrières ses épaules, m'aidant à me maintenir contre elle, à mieux supporter ses profonds coups de reins qui me faisaient vibrer. Nos corps claquaient l'un contre l'autre, se balançaient en rythme. J'accompagnais ses mouvements de gourmands déhanchés, intensifiant encore nos ébats. Je posais sur elle de langoureux regards emplis d'envie et de plaisir. J'haletais, la respiration saccadée, je soupirais, je gémissais, à l'unisson avec les râles de satisfaction de ma maitresse. C'était si bon de faire l'amour à ma divine Maitresse !

* Han oui ! Mmmmh ! Déf...anh ! Défoncez-moi Maitresse, j'adore !

Profitant d'un instant de lucidité au milieu de cet océan de plaisir, j'entrepris de m'occuper quelque peu de ma Maitresse elle aussi. Relâchant les épaules de la vampire, je me retrouvais à me balancer plus férocement contre le lit, propulsée à chacune de ses vives pénétrations. Elle ne me ménageait pas, mais dieu que c'était bon ! Je tendis alors mes mains en direction de son fessier, l'une glissant sur son dos, l'autre se faufilant entre nos deux corps nus. La première caressa ses fesses avec fermeté, je me permis même de lui administrer quelques belles fessées, avant de glisser encore plus loin, cherchant du bout de l'index son étroit orifice, caressant son contour. J'y fis lentement pénétrer la première phalange, et entama une série de cercles plus en plus large, accompagnée de léger va-et-vient. La seconde main, quant a elle, vint à l'assaut de la paire de bourse qui claquait contre moi à chaque mouvement, l'agrippant et la massant doucement entre mes doigts.

Je pu rapidement sentir que mes caresses avaient certains effets secondaires pas déplaisant du tout. Notamment le sexe de ma Maitresse qui avaient notablement pris du volume pendant qu'elle me baisait, et c'était... WAW ! La sentir gonfler en moi, écarter mes chairs, tout en me pénétrant fougueusement, m'avait littéralement rendue folle d'excitation. Mon bassin s'agitait vivement, s'empalant sur sa queue quand elle s'enfonçait, se retirant en même temps qu'elle. J'avais du mal à me contrôler... en fait non, je ne me contrôlais même plus du tout, mon excitation avait finalement eu raison de moi.

Étreinte par une gourmandise perverse et insatiable, j'accélérais le rythme de nos ébats. Mes halètements se muaient en couinements excités, tandis que les siens se faisaient plus rauques, plus épuisés. Qu'à cela ne tienne, d'un bond nos corps roulèrent dans les draps, changeant de place, et je profitais de cet instant pour embrasser ma maitresse, un baiser intense et sensuel, ma langue s'enroulant avec passion autour de la sienne.

* Mmmh..Rhaaah ! Aaaaah...

Ayant retrouvé son membre, mon bassin s'empala rapidement dessus, en un râle de plaisir qui descella nos lèvres, sa queue trempée de ma cyprine coulissant avec aisance dans mon intimité toute aussi humide. Posant mes mains sur les épaules de Mélinda, j'agitais mes hanches avec fureur, guidée par le plaisir qui hantait mon esprit. Mes mouvements étaient aussi vifs et puissants que mes forces me le permettaient, la queue de ma maitresse me pénétraient intensément, si dure et si épaisse, elle me comblait, c'était tellement bon !

* Haaaan, maitresse ! Aaaaah ! Je n'en peux plus, c'est trop booooon !

Malgré le plaisir, mon désir faiblissait à peine. Encouragée par celui-ci, je poursuivais avec ardeur, variant les déhanchés, sentant son sexe frotter contre les moindres recoins de mon intimités. Mais la fatigue m'avait peu à peu rattrapée, bien avant la satisfaction. Haletant fortement, je ralentis le mouvement, qui restait toutefois soutenu. Un sourire sur les lèvres, tout en me penchant légèrement vers elle, je murmurais à mi-voix, coquine.

* Ma Maitresse... trouve-t-elle la chatte de sa petite pute... à son gout ? ... chaude, humide, et confortable ... huhuhu...

10
Vous nous quittez déjà ? / Re : Disponibilité d'une succube
« le: vendredi 21 juin 2013, 20:47:47 »
J'vais m'éloigner du fofo (et de mes rp) une petite semaine, voire deux.
Je passerais de temps en temps sur Lydia checker mes mp relatifs au concours et m'en occuper, cela dit ^^

11
Dictature d'Ashnard / Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
« le: mardi 18 juin 2013, 17:03:45 »
Je gémissais à ses caresses, mon corps frémissant doucement contre le sien, la chaleur de ma peau douce contrastant avec l'éternel fraicheur de la sienne. Je restais immobile, le cou tendu, offerte avec plaisir à ma ravissante maitresse. Et je frémissais, encore, dans l'attente de cet instant où ses crocs s'y planteront. Mais la vampire était joueuse, et elle resta un long moment à taquiner ma peau, à l'embrasser doucement, y laisser glisser ses canines pour me faire languir. Je grattais avec tendresse le dos de ma maitresse, tout en sentant son souffle chaud effleurer mon cou. Je me languissais, j'étais impatiente, et mon coeur battait plus rapidement que d'habitude, mais je ne la brusquais pas, et attendais sagement qu'elle vienne d'elle-même se servir de moi lorsqu'elle le désirerait.

* Tu as vraiment envie que je te tringle comme une grosse pute, hein ? Gourmande...

Je me reconnu dans ces mots crus, ce qui me fit sourire, un peu honteuse, mes joues prenant subitement une belle teinte rouge à croquer. Mais je n'avais aucun complexe avec ma Maitresse, les limites morales telles que je les connaissais avaient disparu, c'était un mode de vie complètement diffèrent de ce que j'ai pu connaitre durant ma précédente vie. Je m'y étais rapidement habituée, et je m'en portais pas plus mal de ce changement radical, même si j'avais encore quelques difficultés à m'adapter à certaines choses... comme par exemple le fait que ma Maitresse me délaissait parfois pour aller s'amuser avec d'autre femmes. Cela ravivait toujours une vive jalousie en moi, qui se transformait en un bref mais lourd chagrin, et que j'avais du mal à refréner. Mais, c'est comme tout, je m'y ferais. Et puis elle était notre maitresse, nous n'étions clairement pas sur le même pieds d'égalité, je n'avais pas de conditions à formuler. Depuis que j'avais rejoins son harem, j'étais également devenue beaucoup plus épanouie, surtout sexuellement, mais pas seulement. Je lui répondis, taquine, frottant son dos avec douceur.

* Je suis toujours TRÈS gourmande, quand il s'agit de ma Maitresse, hihi !

C'est alors que je sentis soudain les crocs de la vampire percer ma peau, s'abreuver de mon sang.

* AAAHH ! criais-je subitement, involontairement.

Mmmh, c'était... mon dieu ! Ses crocs se plantèrent profondément dans ma chair, avant de se retirer, tandis que Mélinda suçait avec gourmandise la blessure, de laquelle mon sang perlait abondamment, un sang chaud, délicieux, vivifiant. J'adorais les morsures de ma maitresse, que je trouvais étrangement excitantes. Sentir ses crocs, ses suçons, la douleur, le plaisir, l'excitation... ce ballet de sensations, c'était intense ! Mon bras remonta et ma main vint se caler tendrement derrière sa tête pendant qu'elle se nourrissait, pendant que mon autre bras enlaçait ses hanches, et la serrait contre moi. Il fallait bien le reconnaitre, la morsure était douloureuse, mais c'était une douleur supportable, je dirais même assez plaisante... Ce qui n'était pas un concept si anodin, en réalité, bien que cela me semblait un peu étrange. La sodomie aussi était douloureuse, par exemple, et pourtant les sensations qu'elle offrait pouvaient être si délicieuses !

Je la laissais boire mon sang, et en éprouvait une certaine satisfaction. J'étais heureuse d'avoir l'occasion de la satisfaire, même si cela revenait à lui servir de repas. Heureuse, oui, c'était le mot... J'étais également un peu excitée, trouvant les suçons de ma Maitresse sur mon cou assez érotique. Mais, surtout, je commençais à être effrayée. Bloquée sous son corps, elle se crispa, et s'agita au dessus de moi, balançant des coups de griffes acérées à droite à gauche. Elle déchirait littéralement les draps, avec une facilité effrayante, et je sentais ses ongles m'effleurer de juste quelques millimètres.

Je déglutis faiblement, tétanisée.

Nul doute qu'elle m'aurait dangereusement écharpée si elle l'avait voulu. Ce qui risquait d'ailleurs d'arriver si elle perdait le contrôle... Mais, je restais soigneusement immobile, me contentant de la serrer un peu plus fort dans mes bras, de caresser ses doux cheveux. Elle pourrait me balafrer, oui, mais j'avais confiance en ma Maitresse, je savais qu'elle ne me ferait pas de mal... Je la câlinais doucement, la laissant s'abreuver de mon sang, et attendant patiemment que la vampire se calme, jusqu'à ce qu'elle soit repue.

* Héhé, Maitresse aussi est gourmande. lâchais-je alors, pour la taquiner.

J'en profitais ensuite pour enrouler mes jambes autour de ses hanches, m'enfoncer dans le lit moelleux et la serrer contre moi, mes mains posées sur ses épaules. J'étais quasiment nue maintenant, les larges bandes de soies ayant pour la plupart quitté ma peau, tandis que celles restantes ne cachaient maintenant plus grand chose de ma nudité.

* Et il est vrai que j'adooore quand Maitresse me défonce avec amour et passion...

Si la perspective de faire l'amour toute la nuit avec ma maitresse était des plus réjouissantes, celle de me faire baiser furieusement par sa grosse queue était quant à elle follement excitante. Et je sentais bien que derrière sa robe commençait à poindre son membre hermaphrodite, ce qui ne pouvait que m'exciter davantage. Elle exagérait à peine lorsqu'elle me traitait de salope, j'étais devenue très perverse à ses cotés, mais le pire était surement que j'adorais ça. Je croisais mes chevilles derrière ses fesses, et appuyait dessus, le bas de mon bassin se mit à se frotter au sien, cherchant le contact avec son sexe, et même
ses sexes, tandis que mes mains descendirent lentement sur sa poitrine, que je pressais entre mes doigts, jouant avec au travers du tissus. Je soutenais son regard, et arborais un sourire ostensiblement coquin, pendant que je défis lentement les cordelettes qui maintenait le haut de sa robe, avant de fondre à nouveau sur ses beaux seins dénudés, les massant avec passion, tout en continuant à me déhancher lentement, à me frotter sensuellement à elle, à presser doucement contre son membre.

* Maitresse... soupirais-je. Je meurs d'envie de sentir votre grosse queue plus... profondément...

J'étais toujours très excitée, comme en témoignait mon sexe soigneusement épilé qui luisait de ma cyprine, même si j'avais tout de même toujours la tête sur les épaules, du moins pour le moment. Ma maitresse avait le don de m'exciter comme rarement je pouvais l'être, et je mouillais comme une folle à chaque fois...

12
Je lui souriais tendrement, chevauchant son corps musclé pendant qu'il suivait mes mouvements, et s'emparai de ma douce poitrine qui réclamait ses caresses. Je soupirais d'aise, entrouvrant mes lèvres, pendant que ses mains agiles jouaient librement avec mes rondeurs moelleuses et alléchantes. Je me laissais aller sous ses caresses, fermant les yeux, c'était agréable de se faire tripoter comme ça...

Sa remarque me fit rire également. Il était assez commun de voir un homme se braquer complètement dès qu'il s'agissait de ses propres fesses, et c'était toujours des personnes qui n'avait jamais essayé quoi que ce soit de ce genre, toutes les personnes y ayant gouté avait apprécié. Il m'était arrivée d'en initier, de leur faire découvrir que c'était une zone particulièrement érogène, et généralement les caresses appuyées de mon index pendant une fellation passionnée suffisait à les convaincre qu'il n'y avait pas de raisons de se priver de ce plaisir. Bien sûr, parfois, je ne m'arrêtais pas là, et j'aimais aller plus loin, mais toujours avec des personnes averties. ~

Aussi je ne fus pas surprise de découvrir son appréhension, que je mis sur le dos de son inexpérience, et gratifia sa remarque d'un doux sourire, répondant au sien. Consentante... oh oui, je l'étais, j'avais même très envie de m'envoyer en l'air, cette nuit. Mais chaque chose en son temps, héhé.

* Oh !

Un cri de surprise, en me sentant renversée en arrière par mon amant. Il reprenait les rennes, et ce n'était pas déplaisant. Il ne m'écrasait pas, mais ma poitrine généreuse se pressait malgré tout contre son torse, mes tétons durcis par ses caresses frottant contre sa peau. Ses mains se firent entreprenantes, se dirigeant lentement en direction de mon intimité, m'arrachant des doux gémissements. J'ondulais doucement sous lui, sensible à ses caresses, soupirant sans cesse, effleurant tendrement son dos du bout de mes ongles. J'écartais mes jambes et laissa ses doigts s'y glisser, stimuler mon bouton de plaisir, me faisant cette gémir de manière beaucoup plus soutenue. Je savourais ses caresses, ses baisers, et embrassa ses lèvres qu'il me tendait, les embrassant longuement.

* Mmmmh, j'adore... lui soupirais-je ensuite à l'oreille, avant d'ajouter, amusée. Tu te débrouilles bien, héhé.

13
Je savourais avec envie ses baisers effleurant ma peau, mon corps ondulant avec douceur, frottant contre le sien. Dos à lui, et bloquée contre le mur, il ne me laissait guère d'autre choix. J'avais l'impression d'être prise au piège, et soumise à ses envies, un jeu ma foi excitant...

* Mets-toi donc à l'aise, "bel étalon"... murmurais-je, tandis qu'il s'écartait.

Je ne me retournais pas tout de suite, et restais encore quelques instants prostrée contre le mur, joueuse, l'observant du coin de l'oeil pendant qu'il se dénudait totalement. De nombreuses cicatrices zébraient sa peau, probablement les souvenirs de son passé guerrier. Il semblait pourtant très jeune pour en avoir récolté autant, enfin il était vrai que chacun avait son histoire, et que la sienne n'était probablement pas rose, mais outre ma curiosité ces détails ne me concernait pas. J'avais d'ailleurs appris à mes dépends qu'il n'était pas toujours bon de fouiner dans le passée... En tout cas, cela lui conférait un air plus brut, plus viril, que je trouvais fort plaisant.

J'attendis donc qu'il ai fini, avant de m'y mettre à mon tour. Je fis volte-face, et m'avança lentement vers lui, jusqu'à le pousser contre le lit. Un sourire au lèvre, je grimpais alors sur le jeune homme, m'asseyant à califourchon sur son torse, et dénoua la ceinture de mon kimono avant de l'ouvrir sous ses yeux, le laissant glisser sur ma peau douce, exhibant mon corps nu au fur et à mesure, des épaules jusqu'au hanches, en passant par ma poitrine généreuse. Je posai mes mains sur ses épaules, le regardai droit dans les yeux, et lui demandai, taquine.

* C'est vrai, je peux 'vraiment' faire ce que je veux de toi ? ~

Mes mains glissèrent sur son torse, effleurant les reliefs de ses cicatrices, avant de s'emparer doucement des siennes, que je dirigeai en souriant vers ma lourde poitrine, avide de caresse.

* Comment les trouves-tu ? Ce doit être la première fois que tu as l'occasion d'en toucher, non ?

14
Je fus satisfaite d'entendre les bruits de bottes claquant contre les pavés, signe que l'homme m'avait emboité le pas et me suivait. Voilà une bonne chose de faite, j'étais parvenue à capter son attention et à l'intéresser. Néanmoins, restait à savoir s'il tiendra la route... ce que je finirais par découvrir bien assez tôt.

Nous arrivions finalement à l'auberge, et promptement, le jeune homme prit les devant et paya la chambre à l'aubergiste. Une marque de galanterie touchante, caractéristique rare de nos jours. Ce qui était dommage, c'était que je connaissais très bien l'aubergiste, et que j'aurais aisément pu négocier la chambre, hihi. Mais vu comme il se baladait avec sa bourse de pièce d'or, l'argent ne devait probablement pas être un problème pour lui. Peut-être pourrais-je même en profiter, tiens...

Enthousiaste, il se précipita en direction de la chambre, me tenant par la main, et fit une nouvelle fois preuve de galanterie, me laissant passer la première. Un stratagème vieux comme le monde, où l'homme laisser la priorité à la femme pour pouvoir reluquer sans ménagement son joli postérieur. Son regard coquin ne m'échappa pas, et je pris soin de me déhancher ostensiblement sous ses yeux, le narguant avec mes belles fesses rondes. La porte claqua alors, et je fus subitement plaquée contre le mur, dans une position qui n'avait cette fois rien de galante, mais qui n'en était pas moins... très excitante. Je restais silencieuse, laissant faire mon amant, dont chacune des petites attentions me firent frissonner d'envie, et soupirer de satisfaction.

* Maëlys... soupirais-je, finalement.

Je me laissais faire, bloquée entre le mur et son corps puissant, dont la virilité se gorgeait de désir, et formait maintenant une belle bosse que je pouvais clairement sentir se blottir entre mes fesses. Mon dieu que c'était excitant...

* Inexpérimentée et déjà aussi fougueux ? Hihi... le taquinais-je.

Tournant le visage en sa direction, je le gratifiais d'un doux sourire angélique, tout en me déhanchant lentement, frottant mon postérieur contre son membre tendu, attisant davantage son désir. C'était un juste retour des choses après avoir attisé le mien, non ? ~

* Et toi, quel est ton nom, mon bel étalon ? lui demandais-je, avant d'ajouter, entre deux soupirs. Que puis-je faire pour toi ?

15
Comme souvent lorsque je n'avais rien à faire, je déambulais aux hasards des rues et ruelles, sans buts, parfois sur Terre, mais généralement les évènements les plus intéressants se déroulaient ici, sur Terra, ce monde alternatif aux moeurs parfois étranges. J'étais née sur Terre, mais j'avais fini par m'habituer à cette ambiance, à cet univers. Je n'avais jamais eu à regretter ces longues balades, je parvenais toujours à trouver le moyen de briser mon ennui, d'une manière ou d'une autre. Parfois, il suffisait simplement de forcer un petit peu le destin. ♫

Drapée d'un long kimono de soie blanche aux motifs roses et bleus pâles, originaire de mon pays natale, mes pas me portèrent à proximité d'une ruelle, de laquelle s'éleva une voix masculine.

* Celle qui veut faire découvrir de nouvelles choses à un homme inexpérimenté et très motivé pour apprendre, je l'attends ici ! Et j'ai de quoi payer ! Une dame d’intéressé ?

Héhéhé, un homme en quête de nouvelles sensations ? Comme c'est intéressant... songeais-je.

Un sourire naquit sur mes lèvres, comme de ceux qui naissent à la suite de la découverte d'une idée génialement machiavélique, tandis que je m'engouffrais lentement dans la ruelle, à la recherche de l'homme en question. Que je ne tardai pas à trouver, un peu plus loin, au milieu des prostituées dont il semblait attendre la réponse. Je me faufilais, à pas de loup, me glissant derrière lui, agrippant et massant sa lourde bourse au travers du tissus. Non, pas celle qui était accrochée à sa ceinture. ~

* A la recherche de nouvelles sensations, mon chou ? ♥ lui chuchotais-je à l'oreille avec douceur, d'une voix coquine.

Toujours dans son dos, je lui mordillais le lobe de l'oreille, avant de m'écarter, marchant à reculons, riant légèrement.

* Suis-moi. ~

Je fis ensuite volte face et m'éloigna, marchant lentement dans la rue, en direction d'une auberge où nous aurions tout le confort et l'intimité nécessaire pour poursuivre nos affaires... hihi ! ~

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