Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Lana Dubravka

Pages: [1] 2 3 ... 31
1
Blabla / Re : Re : Horloge parlante
« le: samedi 22 janvier 2022, 16:14:46 »
*Montre sa lune*

16h14
Ah, je me sens mieux !

2
Blabla / Horloge parlante
« le: samedi 22 janvier 2022, 12:59:33 »
13h -1mn

La pleine lune s'en est allée.
Dommage.
Vivement la prochaine...

3
Blabla / Horloge parlante
« le: dimanche 16 janvier 2022, 00:23:51 »
00h22

Comblée de sang frais sous la lune brillante et montante, quel plaisir.
Mais il sera encore plus intense quand je m'abreuverai à la pleine lune.

4
Blabla / J'offre mon corps à....dix
« le: lundi 10 janvier 2022, 13:50:55 »
6.

Intriguée par l'ordre moral selon un prêtre défroqué.

5
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: lundi 10 janvier 2022, 12:39:15 »
3. Je m'en contenterai, mieux vaut la qualité que la quantité.

6
Blabla / J'offre mon corps à....dix
« le: dimanche 09 janvier 2022, 09:01:20 »
Je prends; je n'ai pas eu mon sang du matin, il me faut m'abreuver.

Et de 1.

7
Hum, que voilà une savoureuse découverte.

8
Blabla / Embrasses-tu / n'embrasse pas
« le: vendredi 07 janvier 2022, 22:35:18 »
Oui, le baiser de la mort, après m'être repue de son sang.

Un bisou au premier inconnu, à la première inconnue, que vous croiserez demain?

9
Blabla / Horloge parlante
« le: vendredi 07 janvier 2022, 08:28:32 »
Et lui apporte un verre de sang !

Je serai magnanime, vu cette offrande, fort agréable d'ailleurs.

08h28

10
Blabla / Horloge parlante
« le: jeudi 06 janvier 2022, 08:10:01 »
08h09

Je boirais bien un peu de sang au petit déjeuner.

11
Zone Sous-Marine / Telle est prise qui... (PV Desmina)
« le: jeudi 26 juillet 2018, 23:32:03 »
Je ne sais pas pourquoi j'ai l'étrange sentiment que ma maîtrise n'est pas si bien assurée que cela.
Desmina m'a dévêtue comme je le lui ai ordonné, ou plutôt au delà de ce que j'attendais.
Desmina est venue près de moi sur ce lit, mais ses initiatives m'ont prise de court.
Comme si, par la surenchère, elle cherchait à me prouver... qu'elle mène la danse, qu'elle maîtrise nos étreintes.
Pauvre naïve ! Ta perfection ne peut que cacher une voire des faiblesses. Je saurais les trouver, j'en aurai la patience, et, quand j'appuierai sur tes points faibles, tu me supplieras d'arrêter.

Tu peux toujours feindre de ne céder à mes ordres que quand bon te semble, je te laisse jouer, je te laisse y croire. Et, quand j'aurais décidé du moment, tu seras à ma merci, sans aucune échappatoire.

« Régale-toi, ma chérie. », elle ne peit ignorer que sa voix me transporte, mais elle a aussi employé le même mot que moi. Pâle copie ou écho des sentiments ? Je suis amoureuse ! Je suis dingue d'elle ! *Ouais, quelques heures avant, tu ne la connaissais pas.* Qu'aille au diable ma conscience ; quand on trouve un tel joyau, on se l'accapare, on l'enferme, on en a seul usage, on en fait seul plaisir égoïste.
Je vois enfin ce trésor s'offrir à mes yeux, la perfection ultime, le parfait dessin des grandes lèvres juste entrouvertes comme avec une étrange réserve, comme si celle qui régnait en bas avec son air hautain garde toujours la maîtrise même sur ses sens.
« Abandonne-toi, ma chérie »
Mes lèvres se tendent vers ce coquillage œuvre d'art, la pointe de ma langue point entre elles. Ce trésor, sont même l'humidité joue de subtilité, est devant moi, est à moi, n'est qu'à moi. À simplement en approcher mon visage, s'ajoutent les senteurs, subtiles fragrances qui m'étaient inconnues. Comment fait-elle pour être aussi parfaite, fut-ce qu plus secret de son intimité ?
Je m'amuse à faire durer ce cheminement ; elle s'ouvre, elle s'offre, j'aimerais qu'elle me supplie.

Sauf qu'à faire durer le plaisir, je me prends à mon propre jeu ! J'ai été trop confiante, j'ai baissé ma garde. Je n'ai rien vu venir ! Avec une force inouïe, elle m'a retournée, comme si je n'étai qu'un fétu de paille. Pourtant, dans mes proies plutôt récentes, j'avais bloqué un habitué des salles de muscu, empêchant tout mouvement malgré sa force, et jouissant, je l'avoue, de le voir se débattre tandis que je prenais la vie qui s'échappait de son corps. Et là, rien, pas la moindre résistance !
Bon, la situation n'est pas pour me déplaire, puisque sa plus secrète intimité est toujours offerte à mon regard. Mais rien que ça !
« Hum Desmina chérie, cette offrande est magnifique ». fanfaronne-je, pour essayer de masquer mon désarroi. Elle a la pose au dessus de moi, et je n'aime pas être prisonnière. Pire même, et je ne sais pas comment elle a fait, mais la position de ses jambes ou de ses hanches bloque mes épaules et empêche le libre mouvement de mes bras, dans un étau que je ne parviens pas à desserrer.

Je dois pourtant vite reprendre un minimum de maîtrise !
« Si tu veux me mettre en laisse, il va falloir plus bien que cela ! », elle joue de la situation, elle a guetté ma première faille. Croit-elle vraiment m'avoir à sa merci ?
« Oh oui, je te garantis que je te mettrai moi-même le collier, et que tu seras en laisse lorsque je l'aurai décidé ».
Après tout, il est une de mes armes qu'elle ignore, et elle m'offre même l'opportunité de l'utiliser. Je vais mettre son sexe en feu, je vais la faire céder par la jouissance, et elle me suppliera d'arrêter tant elle sera épuisée.il ne me restera qu'à mettre en laisse son corps pantelant. *Et aller t'abreuver de sang dans une chambre voisine !* Tiens, ma conscience a de la lucidité. Comment, à cet instant précis, condamnée dans mes gestes, pourrait-il en être autrement ?

Mais je n'ai pas envie qu'il en soit autrement ! Jamais nulles lèvres ne furent à la fois si douces et si gourmandes à mon intimité. Ou plutôt jamais le désir d'une telle caresse ne brûla à ce point mon ventre. Je ne parviens même pas à bouger ma taille, elle a tout bloqué je ne sais comment. Je voudrais pourtant tendre mes hanches pour lui dire « Viens là, je suis en fusion ». Impossible ! Elle ne peut pas l'ignorer, je sens moi-même cette humidité en moi. Si elle attend que je la supplie, elle peut toujours.
Je vais la prendre à son propre piège. Sa féminité la plus secrète est à ma portée, et, même bloquée par ses cuisses, ma tête a un minimum de mouvement, juste ce qu'il fat pour que la pointe de ma langue en dessine les grandes lèvres, juste ce qu'il faut pour que mon regard en admire le trouble, juste ce qu'il faut pour que mon odorat s'enivre. Je tends mon cou à aller plus loin, forçant contre sa prise terriblement assurée. La pointe de ma langue parvient à s'insinuer juste un peu en cet antre que je veux mettre à ma merci. Mais la traîtresse a l'avantage de sa position dominante, et me vole mon idée au point que sa langue, telle un dard me cueille au plus chaud.
« Ouiiiiii ! », l'attaque a été si brutale que j'en ai lâché ma propre caresse pour me tendre, pour lui offrir tout de moi
« Si tu veux me supplier, cela peut éventuellement me décider à te dévorer plus tôt que prévu… »

La décider ? Quelle audace ! Ou plutôt à quoi bon, devrais-je dire. Car le serpent de sa langue reprend de plus belle son cheminement.
Je dois être béante.
Je dois être ruisselante.
Je dois être brûlante.
Je rage de ne pouvoir bouger, de ne pouvoir m'ouvrir davantage. Moi qui suis si expressive, ce dont Stevan s'amusait, cette liberté de mouvement me manque. Il ne m'en reste qu'une, et la pointe de ma langue reprend son activité, même si une terrible déconcentration provient de mon bas-ventre. A-t-elle desserré un peu la pression de ses jambes ? De ma seule langue, je peux néanmoins m'insinuer en elle, tourner de cette fièvre qui m'atteint comme jamais, atteindre enfin ses lèvres intimes gonflées de ce désir qu'elle ne peut cacher.
Pourtant, ses gémissements me sont si légers, presque étouffés. Est-ce d'avoir sa langue en moi, me fouillant comme nulle autre, et encore moins nul autre même pas Stevan, ne le fit. Si je ne me contrôle pas, l'orgasme va me ravager comme jamais. *Tu ne me prendras pas de vitesse, Desmina !*
J'en ai mal au cou de forcer, mais peu importe. Je l'aurais, elle capitulera. Ma langue se délecte de ce nectar dont je n'avais jamais humé une telle senteur sue je ne saurai décrire, ma langue se plaît à l'ouvrir, à tournoyer. Je suis accro d'elle, disais-je, mais, en fait, je suis accro de tout en elle. Même ce parfum au plus intime d'elle ade quoi me faire tourner la tête. Même si mes propres gémissements me perturbent, je ne ralentis pas mon intrusion, je veux la cueillir là où je suis sure de la faire craquer.
« C'est moi qui vais te dévorer plus vite encore », et, forçant mon cou, ma langue frôle enfin ce petit trésor, ce petit trésor gonflé et tendu. Je suis presque à la rupture, comme si Desmina avait resserré l'étau de ses jambes pour m'empêcher de parvenir à mes fins. Rien ne m'arrêtera ; je la veux, pour la faire capituler, pour la faire jouir, pour enfin m'abandonner à mon tour... car je sens, au fond de moi, qu'elle a trouvé le chemin pour me faire perdre toute conscience.
*Jamais, tu m'entends, Desmina, jamais tu n'y parviendras.*, ma langue repart de plus belle, à l'assaut de cette perle, essayant de l'entourer plus encore. Je dois lui faire desserrer son étreinte, et tous les moyens sont bons ; l'accaparer par le plaisir nuira à sa prise, son corps y répondant n'aura plus cette assurance. Je vais tout renverser, et, quand elle sera sur le dos, je lui porterai l'estocade sans la moindre attente cette fois, pour savourer ma victoire.
*Dame Perfection, tu vas subir ta première et cuisante défaite ; tes cheveux épars et ton corps épuisé seront ma victoire.*

12
Zone Sous-Marine / Telle est prise qui... (PV Desmina)
« le: mercredi 25 juillet 2018, 11:23:22 »
Je lui laisse l'initiative, du moins le croit-elle. J'aurais aimé qu'elle vienne à mes pieds, soumettant ainsi à mon bon vouloir sa perfection en une sublime robe dont la perfection elle-même se serait retrouvée froissée. Mais j'aurais aussi aimé qu'elle soit nue, m'offrant un corps lui aussi parfait, par cette seule robe tombant à ses pieds. Rare est mon indécision en de tels instants, mais je lui masque ainsi.
Quelle que soit l'option que tu soies persuadée d'avoir choisie, douce et belle naïve Desmina, tu retomberas dans mes filets. Je vais jouer de toi, la nuit durant, et si, au petit matin, je ne suis pas rassasiée, je m'éclipserai pour me contenter du nectar d'un vieux grigou voisin, et je reviendrai à l'assaut de ton corps. Tant que tu me subjugueras comme tu le fais depuis le premier instant où je t'ai vue, je te garderai ainsi près de moi, et je ne serai que tienne ; mais, si cette flamme venait à faiblir, je ne garderais de toi que ton nectar qui coulerait dans mon corps à tout jamais.
Pourtant, quand je la regarde, si belle silhouette se détachant sous une lune dont la seule attention est d'offrir à mon regard charmé la perfection de celle  dont je suis en train de tomber amoureuse. *Lana, réveille-toi, tu ne peux pas avoir de coup de foudre sans savoir qui elle est !* Si Stevan avait transporté mon cœur en des cimes inaccessibles au commun des mortels, jamais une femme n'avait su me mener vers de tels sommets, rien qu'en la contemplant ou en l'effleurant.

Desmina est un spectacle à elle seule. Pourtant, certaines de mes proies me firent strip-teases et autres déhanchements, pour me troubler avant que je ne les réduise qu'à un corps sans vie. Mais jamais aucune ne me troubla, comme Desmina lorsque, d'une démarche qui semble si naturelle e elle mais qui me fait frissonner de désir oui ce désir furieux et sauvage que parfois je ne contrôle plus, elle entre dans la chambre.
*Hum, viens à moi, ma maîtresse, mon amante, mon aimée.* Mon cerveau bouillonne et mon corps s'embrase. Elle vient à moi, elle m'appartient. Involontairement, quoique j'en doute un peu, mon doigt, demeuré posé sur ma féminité, et pouvant confirmer mon trouble, se laisse distraire en de petits mouvements quasi-imperceptibles.

« Un petit tour de magie avant, dans ce cas. », les mots de Desmina m'auraient amusée, si la suite avait été toute autre. Parce que voir sa robe d'un coup tomber à terre, sans que j'aie vue ses mains tirer quelque lien ou ôter quelque agrafe me laisse pantoise.
Mais quel intérêt de m'étonner de cela, alors que, au même moment, je suis subjuguée ?
« Desmina ! », prononcer son prénom, je ne peux en dire davantage.
Subjuguée par cette nudité, seulement vêtue de ces escarpins à lacets qui lui offrent une subtile et infernale cambrure.
Subjuguée par ces seins aux formes et au maintien parfaits, globes idéalement dessinés, à rendre jalouse toute femme dont moi-même.
Subjuguée par cette intimité qu'un maudit et mauvais jeu des lumières de cette chambre laisse trop dans l'ombre à mon goût.
Subjuguée par cette osmose tout au long de ce corps, dans ses moindres détails, une osmose que je vais chiffonner, meurtrir, posséder, dévorer, exalter.
« Tu es sublime », je voudrais mes mots posés, mais ils trahissent la fièvre qui s'empare de moi.

*Eh Lana, calme-toi, c'est juste une proie !* je m'en moque de ma conscience, je veux Desmina jusqu'au petit matin et bien au delà.
Quand elle avance vers moi, je me sens soudain perdue. Je ne sais plus si c'est moi qui ai ordonné cela, ou si elle prend la main rien que par sa sensualité. Elle me demanderait de ramper à ses pieds que je le ferais ! Le moindre de ses gestes, la moindre de ses attitudes, tout est d'un érotisme torride et incendiaire.
Je voulais lui donner l'illusion de l'initiative, en tirant les ficelles de ses mouvements, mais elle me prend de cours, et je suis comme suspendue à sa prochaine initiative. *Ressaisis-toi, Lana, la situation t'échappe !* Mais c'est que je suis incapable de reprendre le contrôle. La situation m'échappe, et Stevan savait très bien profiter de ces moments où la femelle prenait en moi le pas sur la femme. Soit je perdais tout à fait pied et il jouait de mon corps comme d'un plaisir renouvelable à l'infini, m'arrachant des mélopées à réveiller le voisinage, sans parvenir à endiguer le flot de plaisir que je réclamais sans discontinuer. Soit je prenais redoutablement maîtrise, et Stevan ne devenait alors qu'un jouet entre mes mains, n'était plus que ma volonté de le mener jusqu'à tous les plaisirs fussent-ils tabous ou obscènes pour qu'il me demande grâce d'épuisement.
Et là, Desmina m'entraîne vers la première voie, alors que je veux la seconde.

Elle prend le dessus, et je laisse faire ! Je n'avais pas compris comment elle s'était si vite dévêtue, je ne comprends pas davantage comment elle se retrouve au dessus de moi. L'excitation engendrerait-elle des moments d'absence ?
Ses cheveux si proches.
Ses yeux si proches.
Ses lèvres si proches.
Son corps si proche.
Défiant de tout mon regard brillant d'amour son regard qui me met plus nue que je ne le suis encore, comme s'il cherchait en moi la flamme qui brûle pour elle, je pose enfin une main à sa taille nue, et j'en frissonne. Ce simple contact m'électrise. Nos seins qui ne se sont touchés qu'au travers de nos habits respectifs partageront bientôt nos troubles respectifs. Nos sexes impatients seront bientôt unis dans la même quête de la jouissance

« Tu m’as fait d’aimer, j’espère que tu es prête à en subir les conséquences. »
, elle me défie, elle prétend diriger la suite !
Comme si je ne savais pas où moi, et non elle, j'entraînerai nos corps en fusion.
« Ose, ose ma chérie, et tu verras ».
Ce mot de chérie m'a échappé. Nous ne sommes que deux amantes, fugace rencontre d'un soir dans un hôtel de passes de luxe, mais sommes-nous encore cela ?
Elle n'a pas dû l'entendre, peut-être est-ce mieux ainsi, car ses mots s'ensuivent d'un baiser qui ne laisse aucun doute sur ses sentiments. Je ne suis pas que celle d'un soir, levée pour garnir une chambre de luxe. Alors, mes lèvres s'offrent à elle, ma perfection faite femme, en un baiser passionné, amoureux. Elle a des lèvres si exquises, et ma langue part à l'assaut de la sienne, ou l'inverse peu importe, en une sarabande folle que je veux prolonger encore et encore.

Je voudrais tant prolonger ce baiser à l'infini, mais les lèvres de Desmina m'échappent, comme elle toute entière échappe à mon contrôle d'ailleurs. Ses lèvres qui descendent dans mon cou, m'arrachant déjà des soupirs de béatitude. Ses baisers sont si brûlants, comment est-ce possible ? Comme si je sentais leur cheminement sur mon corps, comme s'ils le parsemaient de petits picotements incendiaires, les mêmes qui à présent s'emparent de mes seins. Ma poitrine est gonflée, mes tétons sont dressés, je le ressens, passive à mon corps défendant, mais si bien ainsi.
« Oh oui, continue, je t'en supplie », ç'auraient dû être des mots fermes et ordonnants, mais leur langueur trahit bien autre chose.

Ses doigts approchent dangereusement du mien, dont les mouvements désordonnés ont accompagné l'ouverture de mon intimité vers des plaisirs sans fond. Sa langue prend le même chemin, toujours aussi incendiaire.
Je m'ouvre, je sens le compas de mes cuisses signifier mon abandon.
« Tu es certaine de maitriser la situation ? », elle sait la réponse, elle sait as maîtrise, elle sait ses effets.
« Oohh ouiii ! », je ne saurais dire si mes mots signifient « je maîtrise » ou plutôt « continue ainsi », et même l'intonation prête à doute.
Pourtant, mon doigt s'est à présent écarté, offrant à la seule bouche de Desmina l'audace de poursuivre le chemin indiqué.
« Que feras-tu si je reste au bord des choses ? », elle n'a pas le droit ! Ce n'est plus de la provocation, c'est un supplice.
« Oh non, continue, c'est un ordre ! », oui je le veux, non ma voix n'est pas celle d'un ordre
« Est-ce que tu as vraiment ce qu’il faut pour me plier à tes ordres ? »
« Ouiiiiiiiiii ! », j'aurais pu répondre cela fermement pour lui rappeler qui dirige, sauf que ses lèvres ont trouvé le point de ma sensibilité, et considérablement modulé le tempo de ma voix.
Je suis ouverte sous le regard de Desmina, indécente, peut-être même obscène, mon intimité suspendue à ses lèvres, et elle s'en amuse, conservant une redoutable maîtrise, jouant de moi.
*Reprends-toi, Lana, où tu vas sombrer tout à fait !*, peu importe que ce soit ma conscience malvenue ou mes sens exacerbés qui me disent cela, mais c'est vrai.

Le feu ne baisse pas en moi, au contraire il me consume. Où qu'elles se posent, les lèvres de Desmina sont un catalyseur émotionnel.
Qu'elle s'interrompe presque soudain ne m'apaise pas. D'ailleurs, comment pourrais-je être apaisée quand le spectacle de son intimité s'offre à moi ? Ou plutôt, malicieuse, elle le suggère en le masquant à peine.
Mes yeux sont grand ouverts, exorbités même. Et, par un léger glissement qui veille à ne pas éloigner son visage de mon entrejambe où je veux qu'elle se perde, qu'elle me perde, je goûte enfin à sa peau, à sa douceur, à son parfum. Ma langue aime en explorer la moindre parcelle de sa pointe, je sais que je suis déjà accro d'elle. Mes mains partent à leur tour, exploratrices, vers ces deus globes parfaits dont les aréoles sont si délicatement dessinées, dont les tétons sont si délicieusement dressés. Serrer enfin des érections entre mes doigts est un bonheur qui me tenaillait, depuis que l'en guettais le trouble au travers de sa robe. Frôler son nombril de ma langue, descendre goûter sa peau au haut de jambes si élancées, m'amuser de ces escarpins qu'elle porte encore comme une preuve d'un ascendant sur moi, cela ne m'amuse pas, cela me dévore.
Et mes mains, laissant à regret ses seins pour que plus tard ma bouche y revienne, glissent au long de ses hanches, caressent la nudité de ses cuisses, remontent pour enfin l'offrir à moi, résistance feinte ou provocation érotique je ne sais.
« Ouvre-toi, Desmina, c'est un ordre ! »
Je tends mes lèvres, prêtes à saisir de diamant, dont j'imagine déjà la perfection, également.
Mais, au delà de cette admiration, c'est aussi voire d'abord l'appel au plaisir qui me guide.
Elle va vite savoir qui mène les ébats, et où je veux en venir.

13
Zone Sous-Marine / Telle est prise qui... (PV Desmina)
« le: mardi 24 juillet 2018, 00:34:08 »
Je maîtrise, elle s'exécute.
Je gagne la partie.
Elle s'agenouille à mes pieds.
« (...) Permettez-moi d’être votre divine servante nocturne (...) »
Je jubile.
Mais...

C'en est presque trop facile. Comment celle qui, en quelques mots, a fait taire une salle emplie de vieux croûtons irrespectueux, se prosterne-t-elle aussi facilement devant moi ? Cette fermeté n'était-elle qu'une façade ? Sait-elle que, quand on me laisse ainsi la main, je ne réponds plus de rien ? Que, quand cette liberté devient euphorie, j'ignore toutes les limites, pour moi comme pour mon ou ma partenaire ?
Stevan a perdu la vie de ma perte de contrôle. J'ai appris à mieux me maîtriser, mais ce n'est pas toujours le cas, et une soudaine et ingérable montée, qu'elle soit adrénaline ou désir, peut me faire perdre mon self control, me faire aller au delà du raisonnable, si tant est qu'il y ait du raisonnable dans les jeux d'adultes.
L'un des derniers individus, proie potentielle, qui m'a ouvert sa chambre, en a fait les frais. L'avoir attaché, avant même de le faire monter au ciel du plaisir, m'a mise comme en transe. Ou plutôt c'est le bâillon que j'ai mis à son insistance, qui m'a fait perdre toute notion. Au lieu de faire dresser un membre encore mollasson, j'ai sectionné sa carotide, savouré son regard, vu ses dents mordre le bâillon, et senti le sang descendre dans mon corps à l'instant précis où montait l'orgasme.
*Oui, Desmina, fais attention où ta soumission m'entraînera, même si je ne veux que ton bonheur.*

Encore faudrait-il que le doute ne m'assaille pas, que sa position à mes pieds ne soit pas sans quelque révolte latente. Car à peine a-t-elle effleuré mes chaussures que le doute s'installe. Quand je joue ainsi avec les vieux grigous, c'est plutôt genre bourrin qui vire la jupe et fourre deux doigts illico dans la chatte, l'anti gentleman par excellence. Avec les quelques femmes dont le nectar m'abreuva, la partie intime commença toujours par le haut, chemisier, bustier, ou autre, mais jamais par les chaussures, quelles qu'aient été nos postures. Etrange qu'une femme aussi altière agisse ainsi. *Attention Lana, pas d'excès de confiance !*

Je saurai être prudente, et mes mains caressent doucement ses cheveux. Après sa peau douce et irréelle, sa crinière es comme un bouquet de fils tissés d'or, l'oeuvre d'un artisan, la consécration d'un pur estèthe. Toucher, douceur, finesse, même ses cheveux sont parfaits.
« Desmina, votre chevelure est sans nul doute la plus douce expression de la flamboyance, un infini de douceur où j'aimerais me perdre », murmure-je, comme pour l'en caresser sans la distraire.
Mais à la douceur succède très vite une douce chaleur. Ses doigts sont incroyablement lestes et précis. J'aime me regarder dans le miroir, lorsque je fixe mes bas à l'attache du porte-jarretelles, songeant par avance au regard de qui découvrira cela. Je ne verrai pas le regard de Desmina en cet instant, mais ses gestes sont juste parfaits, ses frôlements juste troublants, ses baisers juste incendiaires.
« Oh Desmina, j'ignorais qu'ôter des bas put être si sensuel », mes mots glissent, simple murmure. En cet instant, elle pourrait oser toute folie ou exiger tout caprice, que j'y cèderais aussitôt.
Saisies par la brise légère, mes jambes nues frissonnent. Mais mon cerveau gamberge très vite ; deuxième anomalie, jamais ni homme ni femme ne m'a ainsi ôté mes bas, a fortiori dans les premiers instants. Ça excite le mâle, une femme en bas, et ça ne laisse pas indifférente la femme. Qui est-elle pour être si différente ? J'ai beau être conquise, prête à m'abandonner, ma conscience demeure en éveil. *Méfie-toi, Lana, quelque chose cloche !*

Ma conscience a mis trop longtemps à réagir, car ma jupe a déjà chu, sans que je ne perçoive la moindre action des doigts de Desmina. Elle est diabolique ! Mais, à cet instant précis, je m'en moque. Son visage est à hauteur de mon sexe. Remarque-t-elle mon trouble ? Oh, comme j'aimerais qu'elle en oublie les vêtements restants, qu'elle pose délicatement ses lèvres, qu'elle y dépose un tendre baiser d'amour. *Eh Lana, tu es vraiment amoureuse !* C'est inutile de le dire, le doute n'est plus permis. Mais je dois garder ma constance ! Si ce sentiment n'est pas partagé, son nectar sera mien, et, malgré tout mon amour, je jetterai son enveloppe charnelle.

D'ailleurs, ressent-elle quelque émotion à mon sujet ? Si elle avait eu le coup de foudre comme moi, elle aurait spontanément déposé ce baiser, voire osé bien davantage. Rien de tout cela ! Elle continue, méthodique voire distante, et le porte-jarretelles tombe à terre sans chaleur. J'avais écarté mes mains de sa chevelure, pour lui laisser l'initiative, lorsque ma féminité la plus secrète se révéla à son regard ; elle n'en a pas profité, je suis déçue.

Je garde néanmoins les mains dans mes cheveux, les bras relevés, comme ces statues antiques. Je veux laisser à Desmina la chance de se racheter. Je ne sais comment elle fait pour souffler le chaud et le froid, mais à peine m'a-t-elle ainsi peinée qu'elle refait brûler le feu en moi. Mes seins devraient frissonner d'être nus à leur tour sous la brise légère, quand tombe mon bustier, mais mon cœur bat à tout rombre du doux baiser qu'elle dépose entre eux.
« Desmina, vous êtes maîtresse, oui maîtresse », dis-je en insistant sur le mot « dans l'art de dévêtir », lance-je d'une voix presque inaudible, espérant cependant qu'elle ait entendu puisque, fait rare là aussi, elle rassemble mes vêtements pour aller les déposer sur une chaise.

Elle est dangereuse, me disait ma conscience.
« Quelle vue magnifique, je pourrais passer la nuit à vous admirer. Mais je suppose que vous avez prévu autre chose pour votre servante ? Ou dois-je vous tutoyer pour espérer mériter vos baisers ? »
Mais, là, est-ce du miel ou du venin ?

Peu m'importe. Je maîtrise la situation.
« Je trouverais fort regrettable que tu te contentes de m'admirer », dis-je, en déposant un baiser pas très chaste dans son cou, répondant du même cou à son espoir de mes lèvres sur sa peau, et à sa suggestion du tutoiement.
Je suis ainsi passée dans son dos. Sa chevelure tremble juste un peu au vent. Son dos nu est un plaisir à mes yeux, et devient un plaisir à mes doigts qui y courent. Sa peau est une caresse, et je me penche à son oreille : « Je n'ai jamais caressé plus belle et plus douce peau que la tienne ». Et je mordille le lobe de son oreille avant de venir embrasser ses épaules nues. « Oh Desmina, le parfum de ta peau est un dangereux aphrodisiaque ; je pourrais en devenir accro ». Et mon rire prend la suite, sans retenue, comme celui d'une enfant espiègle et joueuse qui s'amuse, qui abuse.

Cette robe, d'ailleurs, me gêne. Trop élégante, presque aux antipodes de la tenue de séductrice que j'avais, plus encore aux antipodes de ma nudité.
La porte de la suite n'est qu'à deux pas, le lit est un joyau subtilement éclairé par des lumières indirectes, offrant ses zones d'ombre et de mystère, mais aussi son cœur de lumière étincelante, autant de contrastes pour masquer ou révéler un corps.
Laissant Desmina sur la terrasse, je rentre dans la suite, pieds nus, savourant la parfaite température distillée par la clim. Le lit s'offre à moi, et je m'y étends, telle les princesses des temps anciens, posée sur le côté, jambes un peu repliées, poitrine arrogante et tétons dressés.
Je passe doucement un doigt sur mes lèvres, sans cesser de fixer Desmina les yeux dans les yeux, puis ce même index descend entre mes seins, là où elle déposa un baiser, jusqu'à atteindre mon sexe pour y oser un très léger mouvement, avant de s'immobiliser.
« Je t'attends, Desmina ».
Elle est suspendue à mes consignes, à mes désirs, à mes ordres.
Au diable ma conscience et ses inquiétudes !

14
Blabla / Horloge parlante
« le: lundi 23 juillet 2018, 08:07:17 »
8h05

Le soleil monte déjà haut dans le ciel, alors que mon RP adoré s'enfonce dans la nuit.

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Zone Sous-Marine / Telle est prise qui... (PV Desmina)
« le: dimanche 22 juillet 2018, 19:05:00 »
Je plane, ou plutôt nous planons au dessus du commun des mortels. Ce serait presque normal pour moi, qui ne suis plus humain, mais pour elle, c'est plus surprenant. Elle, je suis ici, seule avec elle, qui m'a invitée.
« Vous allez me tuer, Lana. », sa phrase me saisit, me surprend. Quelle erreur ai-je commise pour qu'elle ait percé mon secret ? J'ai pourtant fait attention à ne rien trahir, à un tel point que mon cœur balance, que je n'ai au contraire plus vraiment envie de la tuer, que je retrouve avec elle cette fougue qui était enterrée avec Stevan.
Il n'y a aucune trace, aucune victime réchappée, aucun commentaire. Rien de rien ! Alors, comment le sait-elle ? Depuis que son aura m'a enveloppée, une question m'a obsédée, à savoir qui elle était et d'où elle venait.
Cette question n'a pas de réponse, et elle me met sur la défensive, moi la chasseresse qui étais prête à tomber dans ses bras.

Je n'ai qu'à peine quelques pas d'elle, et je suis comme tétanisée.
« Je suis au bord du gouffre avec vous. Vous êtes fascinante comme cette mer dont je parlais, et je risque à tout moment d’y sombrer. Vous avez donc raison. Si je vous regarde dans les yeux, vous allez certainement m’engloutir. »
Je ne sais si elle avait ne serait-ce qu'un regard furtif sur ma poitrine, sinon elle y aurait vu mon cœur faire un bond. Je fonds et je bous en même temps. Je devrais maîtriser toute cette soirée, cette nuit même, et je ne parviens pas à maîtriser mes propres sentiments, mes propres réactions. Quelle que soit l'issue de ces heures, je dois en reprendre le contrôle !

Sauf que là, profitant de mon instant de faiblesse, elle caresse doucement mes paumes. Diabolique qu'elle est ! Elle mène la soirée à sa guise. Elle va jusqu'à avoir percé ma bouderie. *Attention Lana, tu ne sais pas qui tu as face à toi ; elle te prendra dans ses filets, et tu t'y perdras* Hum, me perdre avec elle, ma conscience a de jolis mots.

Mais ces mots ne sont rien, face aux siens : « (...) En réalité, si votre cœur bat pour moi, vous avez déjà pris le mien depuis longtemps. » Elle me bouleverse, elle me retourne, elle me déstabilise. Je voulais l'emporter dans le plaisir avant de boire son nectar, mais il y a une toute autre tempête qui s'annonce.
« Depuis longtemps ? », ce semblent être les derniers mots raisonnés de ma conscience, avant de sombrer. Car que peut la conscience face à un amour déraisonné ? Si le coup de cœur existe, il vient de me frapper. Stevan était mon amour de jeunesse et d'avenir, Desmina est mon amour comment dire, de folie, de déraison. Moi qui me donnais à des hommes dans le tryptique fric-sexe-sang en excluant tout sentiment y compris la pitié, je suis en train de tomber amoureuse, d'une femme qui plus est.

Mais quelle femme ! *Lana, ne te laisse pas aveugler.* Ma conscience a un ultime soubresaut, avant de sombrer tout à fait. Aveugler, ça ne risque pas, mes yeux sont face aux siens ; nulle ne baisse les yeux, chacune veut aller au plus profond de l'autre. Et c'est à nouveau Desmina qui ose, qui se colle à moi, qui dépose un baiser, notre premier baiser, juste dans mon cou.
Je sens ses vibrations, je savoure ses senteurs, je vibre de sa poitrine contre la mienne, je frissonne de ses mains à ma taille.
Je la sens tout contre moi, sa tête posée comme abandonnée. Je regarde vers le ciel, par dessus son épaule. *Oh Stevan, toi qui es loin là-haut, vois comme je suis heureuse, après t'avoir tant pleuré. Je ne t'oublierai jamais, tu le sais, mais je veux vivre cet amour qui m'est tombé dessus alors que je n'y aurais plus jamais cru. Alors, ne sois pas jaloux, sois toujours mon amour, et veille sur moi, sur Desmina aussi.*
Je suis toute en confiance, même apaisée avec Stevan. Je peux me laisser aller. Si je n'avais aucun scrupule à prendre dans mes filets un vieux libidineux qui ne me servirait qu'à m'abreuver en nectar, c'est là tout autrement. Stevan comprendra, je le sais. Alors, oubliant les raisons mercantiles et maladives qui me conduisirent ici, je pose mes mains au bas du dos de Desmina, touchant enfin sa peau nue, elle aussi si parfaite au contact, et je les fais doucement remonter au long de sa colonne.

« Vous pourriez m’embrasser brusquement, me jeter sur le lit et m’arracher ma robe, que je ne ferai rien contre tant je suis conquise. »
*Oh Desmina, comme tu es douée pour ordonner en suggérant !* Mais je ne suis pas dupe ! Si tu crois, par ton abandon, mener la soirée, tu te trompes. Tu ne sais pas à qui tu as à faire.

Mes mains sont lentement remontées de son dos à sa nuque qu'elles caressent doucement sous cette crinière dont quelques mèches, au fil des sautes d'humeur du vent, courent sur ma peau. Je la sens si douce, si abandonnée. Mes mains contournent sa nuque de part et d'autre, se posant sur ses joues, redressant doucement son visage jusqu'à ce qu'il me fasse face.
Oh ces yeux, ces yeux qui me brûlent, ces yeux qui me font craquer. *Tu veux tout bousculer mais je vais te montrer que c'est moi qui insuffle le rythme* « Vous êtes divine, et je veux vous savourer avec gourmandise ». Et mes lèvres s'arrondissent, s'approchent des siennes. Juste un baiser tendre, presque chaste, plutôt long quand même. Je m'écarte, revenant dans ses yeux : « La nuit est à nous, si vous le voulez bien, et je veux prendre tout mon temps ».

Dénouant délicatement ses mains au bas de mon dos, je m'écarte de deux pas.
Nous sommes seules, inatteignables, invisibles, dans cette suite, sur cette terrasse. Nul ne nous voit, nul ne nous entend, nul ne nous dérangera.
J'ai envie de sentir l'air frais et sa douce brise sur ma peau. J'ai envie de sentir son regard brûlent sur mon corps.
J'ai envie de m'affranchir des lois de la bienséance. J'ai envie d'un amour débridé, puissant, qu m'emporte.
J'ai envie d'être unique pour elle, elle qui est déjà unique pour moi.
Je plante mes yeux dans ses yeux, un rien étonnés on dirait, mais toujours aussi perçants.
« Déshabillez-moi, Desmina ! », en prenant le parfait contre-pied de ce qu'elle m'a suggéré.

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