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Vous nous quittez déjà ? / Re : Imprévus en pagaille
« le: dimanche 06 décembre 2015, 16:03:23 »
Bon courage à toi.
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Vous nous quittez déjà ? / Re : Débordée de taff [Absente jusqu'au 30/11]
« le: dimanche 06 décembre 2015, 16:02:55 »
Me voilà de retour même si ça a mis plus de temps que prévu ^^"
Je suis reeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
Je suis reeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
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Vous nous quittez déjà ? / Débordée de taff [is back]
« le: dimanche 22 novembre 2015, 17:38:51 »
Bonjour les jeunes ^^
Alors tout est dans le titre, hélas, je croule sous le boulot depuis une dizaine de jours et ça va encore durer une bonne semaine. Je préfère poser une absence pour le coup, le temps que je sois à jour dans mon taff !
D'ici début décembre, ça sera plus calme et je pourrais reprendre tranquillement mes RPs ^^
Navrée pour mes partenaires, promis, je retrouverai vite un rythme de post régulier !
Bisous à tous !
Alors tout est dans le titre, hélas, je croule sous le boulot depuis une dizaine de jours et ça va encore durer une bonne semaine. Je préfère poser une absence pour le coup, le temps que je sois à jour dans mon taff !
D'ici début décembre, ça sera plus calme et je pourrais reprendre tranquillement mes RPs ^^
Navrée pour mes partenaires, promis, je retrouverai vite un rythme de post régulier !
Bisous à tous !
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Le parc et son sous-bois / Re : Qui c'est qui est là ? [PV Stephen Connor]
« le: mercredi 11 novembre 2015, 22:52:29 »A peine démone, la rousse se laissait aller aux plaisirs de la chair, provoquant une orgie dans un simple lieu qu'elle était venue visiter. Son mari savait comment attiser son désir avec son membre, ses doigts, ses mains, sa bouche et toute sa personne au final. Il répondait parfaitement à ses désirs ou était-ce elle qui répondait aux siens ? Elle s'en moquait, laissant sa moral au placard, elle se laissait dominer par ses désirs et son plaisir. Ses envies lubriques prenaient le pas sur tout et sur tous. La pauvre succube qui lui avait tapé dans l’œil en avait fait les frais. Marine n'en ressentait nulle culpabilité. Elle avait suivi ses envies et ce n'était pas Helel ou les incubes qui allaient s'en plaindre. Ils s'en étaient donnés à cœur joie avec elle. Marine s'était délectée du spectacle et en avait tiré du plaisir aussi.
Désormais, elle voulait avoir un enfant de son futur époux. Il aurait peut-être fallu attendre mais ce n'était pas son but en cet instant. Elle laissait ses instincts prendre le pas sur tous le reste. Il la possédait pleinement après avoir dépucelé son cul et l'avoir rempli. Elle comptait bien à ce qu'il remplisse encore sa petite chatte étroite et délicieuse. Le démon ne prenait pas de gant et la pilonnait avec force. C'était un vrai délice. La rousse échangeait avec ferveur. Sa bouche aspirait fortement la peau masculine et venait aussi s'écraser contre sa bouche, cherchant sa langue, sa salive. Le fait qu'ils restaient parfois raccordés l'un à l'autre par un filet de bave, rendait le moment indécent et excitant à la fois. Son mâle était en rut et c'était un plaisir.
« Hummm... tu l'aimes ta petite salope... ta belle chienne en chaleur qui adore ta grosse queue... »
Elle s'amusa à émettre un léger aboiement avant de venir lécher son cou, son torse et sa joue avant de mâchonner ses épaules comme si elle était un animal. Elle jappa encore une fois avant de recommencer à le lécher. Elle continuait de danser contre lui, profitant de son membre en elle.
« Ta petite chienne salope est en chaleur... il faut que tu lui fasses du bien avec ta grosse queue... elle a besoin de se faire mettre enceinte avec ton sperme bien épais... Remplis ta sale pute en chaleur... elle en crève d'envie... »
Ce qui était vrai, elle en crevait d'envie. Jetant un œil vers les incubes, avec l'approbation de son beau diable, elle en invita un à venir les rejoindre et à l'enculer pendant que son mari la baisait. L'homme ne se fit pas prier et vint se coller à elle avant de s'enfoncer dans son cul. Il n'était pas de la même taille que son compagnon mais son membre avec quand même une bonne taille. Il y allait doucement, prenant son temps, semblant se montrer plutôt et attentionné. Cela tranchait avec son mari et sa façon de faire. Finalement, il fut en elle et commençait à la sodomiser pour de bon. D'abord tendre, il se fit plus direct, encouragé par Helel qui invitait sa moitié à crier pour eux.
« Hummm... vos deux queues... trop bonnes... elles me font du bien... Défoncez-moi tous les deux... remplissez-moi... encore... plus fort... baisez-moi comme si j'étais la dernière des putes... la pire salope des enfers... aaaaaahhhh... ouiiiiiiiiiiii... »
Elle se mit à crier alors que les coups de reins de ses deux amants la faisant prendre du plaisir à un degré encore inconnu. Elle embrassait son mari avant que sa tête ne bascule en arrière pour embrasser l'autre. L'incube allait de plus en plus vite en elle, la faisant crier de plus belle jusqu'à ce qu'il atteigne ses limites. Il était moins endurant que son compagnon. S'agrippant à sa taille, le beau diable cria alors que sa semence se répandait dans ses fondements. Tous les démons semblaient jouir de façon plus conséquente, les giclées de sperme étaient plus fortes, plus conséquentes surtout. Elle sentait ses intestins se remplir, déjà qu'ils avaient été bien remplis par Helel. La rouquine se décala légèrement de son époux, se penchant en arrière, elle sourit en regardant son ventre. Il s'était arrondis.
« Hummm... vous me remplissez vraiment.... hummm... »
L'incube restait en elle, embrassant sa peau, visiblement il n'était pas pressé de la quitter, ni de se retirer. Son membre restait toujours dur et en érection dans son petit cul. Elle gémissait, se sentant proche de l'orgasme à son tour. Son compagnon n'était pas resté inactif pendant ce laps de temps.
« Faites moi jouir tous les deux. Défonce-moi le cul encore une fois... Et toi... tu sais ce que tu dois faire à ta salope adorée... »
Elle lui sourit avant de revenir posséder sa bouche, s’accrochant à lui, tout en bougeant de façon plus rapide tout en se faisant doublement posséder.
Désormais, elle voulait avoir un enfant de son futur époux. Il aurait peut-être fallu attendre mais ce n'était pas son but en cet instant. Elle laissait ses instincts prendre le pas sur tous le reste. Il la possédait pleinement après avoir dépucelé son cul et l'avoir rempli. Elle comptait bien à ce qu'il remplisse encore sa petite chatte étroite et délicieuse. Le démon ne prenait pas de gant et la pilonnait avec force. C'était un vrai délice. La rousse échangeait avec ferveur. Sa bouche aspirait fortement la peau masculine et venait aussi s'écraser contre sa bouche, cherchant sa langue, sa salive. Le fait qu'ils restaient parfois raccordés l'un à l'autre par un filet de bave, rendait le moment indécent et excitant à la fois. Son mâle était en rut et c'était un plaisir.
« Hummm... tu l'aimes ta petite salope... ta belle chienne en chaleur qui adore ta grosse queue... »
Elle s'amusa à émettre un léger aboiement avant de venir lécher son cou, son torse et sa joue avant de mâchonner ses épaules comme si elle était un animal. Elle jappa encore une fois avant de recommencer à le lécher. Elle continuait de danser contre lui, profitant de son membre en elle.
« Ta petite chienne salope est en chaleur... il faut que tu lui fasses du bien avec ta grosse queue... elle a besoin de se faire mettre enceinte avec ton sperme bien épais... Remplis ta sale pute en chaleur... elle en crève d'envie... »
Ce qui était vrai, elle en crevait d'envie. Jetant un œil vers les incubes, avec l'approbation de son beau diable, elle en invita un à venir les rejoindre et à l'enculer pendant que son mari la baisait. L'homme ne se fit pas prier et vint se coller à elle avant de s'enfoncer dans son cul. Il n'était pas de la même taille que son compagnon mais son membre avec quand même une bonne taille. Il y allait doucement, prenant son temps, semblant se montrer plutôt et attentionné. Cela tranchait avec son mari et sa façon de faire. Finalement, il fut en elle et commençait à la sodomiser pour de bon. D'abord tendre, il se fit plus direct, encouragé par Helel qui invitait sa moitié à crier pour eux.
« Hummm... vos deux queues... trop bonnes... elles me font du bien... Défoncez-moi tous les deux... remplissez-moi... encore... plus fort... baisez-moi comme si j'étais la dernière des putes... la pire salope des enfers... aaaaaahhhh... ouiiiiiiiiiiii... »
Elle se mit à crier alors que les coups de reins de ses deux amants la faisant prendre du plaisir à un degré encore inconnu. Elle embrassait son mari avant que sa tête ne bascule en arrière pour embrasser l'autre. L'incube allait de plus en plus vite en elle, la faisant crier de plus belle jusqu'à ce qu'il atteigne ses limites. Il était moins endurant que son compagnon. S'agrippant à sa taille, le beau diable cria alors que sa semence se répandait dans ses fondements. Tous les démons semblaient jouir de façon plus conséquente, les giclées de sperme étaient plus fortes, plus conséquentes surtout. Elle sentait ses intestins se remplir, déjà qu'ils avaient été bien remplis par Helel. La rouquine se décala légèrement de son époux, se penchant en arrière, elle sourit en regardant son ventre. Il s'était arrondis.
« Hummm... vous me remplissez vraiment.... hummm... »
L'incube restait en elle, embrassant sa peau, visiblement il n'était pas pressé de la quitter, ni de se retirer. Son membre restait toujours dur et en érection dans son petit cul. Elle gémissait, se sentant proche de l'orgasme à son tour. Son compagnon n'était pas resté inactif pendant ce laps de temps.
« Faites moi jouir tous les deux. Défonce-moi le cul encore une fois... Et toi... tu sais ce que tu dois faire à ta salope adorée... »
Elle lui sourit avant de revenir posséder sa bouche, s’accrochant à lui, tout en bougeant de façon plus rapide tout en se faisant doublement posséder.
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One Shot / Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]
« le: mercredi 11 novembre 2015, 21:53:18 »Saori avait cherché à combattre ses envies et désirs avec son nouveau mari, faisant fi des désirs de son propre corps par respect pour celui qu'elle aimait vraiment, Seiya. Elle avait du rompre son mariage mais ses sentiments étaient restés intacts. Intacts jusqu'à ce soir en tout cas. La soirée avait été rude pour la belle déesse qui avait vu son ex-mari lui reprocher la situation alors qu'elle avait tout fait pour lui rester fidèle à sa façon. Mais il n'avait pas compris. Il lui avait reproché la situation sans chercher à comprendre son point de vue. Comment pouvait-il lui reprocher son désir de sauver le monde ? Elle ne méritait pas un pareil traitement ! Et lui ne se gênait pas pour prendre du bon temps, sans culpabilité avec la femme chevalier. Quelle idiote elle avait été de croire qu'il continuerait de l'aimer même à distance. S'il prenait du bon temps, elle pouvait bien en faire autant.
Rentrant trempée et très tard dans la nuit, la jeune femme s'était résolue à rejoindre son époux qui l'attendait. Elle lui avait clairement signifié qu'il ne devait pas poser de question ou chercher à la rabaisser comme il avait pu le faire certaines fois. Elle voulait prendre du plaisir, celui qu'elle s'était à chaque fois refusé par respect pour Seiya. Là, il n'était plus question de jouer les prudes et de se retenir. Rejoignant son compagnon sur le canapé, elle s'était laissé aller à une fellation. Bien que Seiya l'ait toujours traité en poupée de porcelaine, fragile et délicate, la demoiselle appréciait le sexe. Souvent, elle avait été frustré avec son ex-mari car il se refusait à la voir comme une simple femme et préférait des rapports simples et classiques. Elle avait eu du plaisir et elle l'aimait, donc elle avait accepté. Mais là, elle avait une chance de pouvoir se laisser aller à ses envies. Argos lui avait bien montré qu'il n'était pas comme Seiya. Il n'avait pas tant de barrière.
S'emparant du membre, elle le léchait sans aucune retenue et avec un désir évident. La main sur sa tête la guidait sans qu'elle n'en prenne ombrage, au contraire. La verge était plus imposante que celle de Seiya et elle avait du mal à la prendre entièrement en bouche. Cela ne l'empêchait pas d'essayer. Elle le léchait sur toute la longueur, revenant suçoter le gland, appréciant le goût. Elle ne boudait plus son plaisir. L'image de Seiya ne s'imposait même plus à elle en cet instant.
La belle finit par descendre du canapé, elle écarta les cuisses masculines pour venir se loger entre elles. Elle reprit le membre en bouche et continua ses sucions. Ses mains caressaient les bourses, mais elles finirent par venir s'occuper de sa propre robe. Tout en continuant sa fellation, ses doigts défirent les boutons du devant de sa robe. Elle ne la défit pas entièrement, allant simplement jusqu'à sa taille. Elle écarta le tissu pour dégager sa poitrine gonflée d'envie. Elle fit passer le tissu du soutien-gorge en dessous, rendant ses seins encore plus offerts et généreux, pointes dressés.
Elle poursuivit ses caresses buccales un certain temps encore avant de se détacher de lui. Elle se redressa pour venir embrasser son compagnon avec un sourire gourmand et provocateur, chose qu'elle ne lui avait encore jamais faite. Elle se recula alors avant de lui tourner le dos, avançant à quatre pattes, offrant son fessier à la vue de son mari, bien qu'il soit encore voilé par la robe humide et collante. Arrivée à quelques mètres de lui, elle s'arrêta sur le tapis épais et fit en sorte de faire remonter sa robe jusqu'à sa taille, dévoilant son fessier et son sous-vêtement plus que sage. Une simple culotte blanche avec un simple liseré de dentelle. Rien de bien sexy en soit s'il n'était une tache bien visible au milieu. La culotte était mouillée et ce n'était pas avec la pluie. Saori le laissa la regarder ainsi quelques instants avant de faire glisser sa culotte le long de ses cuisses jusqu'à ses genoux sans pour autant l'enlever complètement. Son intimité était à nue. Les cuisses écartées, elle la dévoilait sans pudeur, montrant son sexe humide, plein de désir. Elle se cambra et laissa ses doigts venir caresser ses lèvres intimes, la faisant gémir. Les doigts remontèrent le long de sa raie pour venir taquiner son petit trou, endroit encore inviolé. Argos avait essayé de le taquiner parfois, sachant qu'elle en tirait un plaisir coupable, mais il y avait toujours quelque chose qui venait briser le moment. Là, rien ne le casserait et elle comptait bien sur le fait qu'il la prenne par là, chose que personne n'avait jamais fait. Seiya n'avait jamais voulu. L'idiot ! Il ne s'était même pas rendu compte à quel point elle aimait cela, à quel point elle en avait envie. Son index vint frotter cet endroit encore vierge ce qui la fit gémir de nouveau. Son anus se contractait sous ses caresses en voulant plus. Son vagin se contractait aussi sous le désir et le plaisir, laissant couler son jus des plaisirs au sol. Elle s'arrêta avant de regarder son époux, les yeux brillants d'envie.
« Si tu as toujours envie de me baiser, c'est maintenant. Oublie pas mon cul au passage. Je crois qu'il a très envie de se faire prendre ce soir. Ce sera une grande première mon chéri. »
Oui la vengeance était terrible mais plaisante aussi. En plus du plaisir de se venger de Seiya, Saori éprouvait le plaisir du sexe tout court. Les mots crus avaient leur charme et Argos ne s'en formaliserait pas, lui. Restait à savoir s'il voudrait jouer avec elle ce soir.
Rentrant trempée et très tard dans la nuit, la jeune femme s'était résolue à rejoindre son époux qui l'attendait. Elle lui avait clairement signifié qu'il ne devait pas poser de question ou chercher à la rabaisser comme il avait pu le faire certaines fois. Elle voulait prendre du plaisir, celui qu'elle s'était à chaque fois refusé par respect pour Seiya. Là, il n'était plus question de jouer les prudes et de se retenir. Rejoignant son compagnon sur le canapé, elle s'était laissé aller à une fellation. Bien que Seiya l'ait toujours traité en poupée de porcelaine, fragile et délicate, la demoiselle appréciait le sexe. Souvent, elle avait été frustré avec son ex-mari car il se refusait à la voir comme une simple femme et préférait des rapports simples et classiques. Elle avait eu du plaisir et elle l'aimait, donc elle avait accepté. Mais là, elle avait une chance de pouvoir se laisser aller à ses envies. Argos lui avait bien montré qu'il n'était pas comme Seiya. Il n'avait pas tant de barrière.
S'emparant du membre, elle le léchait sans aucune retenue et avec un désir évident. La main sur sa tête la guidait sans qu'elle n'en prenne ombrage, au contraire. La verge était plus imposante que celle de Seiya et elle avait du mal à la prendre entièrement en bouche. Cela ne l'empêchait pas d'essayer. Elle le léchait sur toute la longueur, revenant suçoter le gland, appréciant le goût. Elle ne boudait plus son plaisir. L'image de Seiya ne s'imposait même plus à elle en cet instant.
La belle finit par descendre du canapé, elle écarta les cuisses masculines pour venir se loger entre elles. Elle reprit le membre en bouche et continua ses sucions. Ses mains caressaient les bourses, mais elles finirent par venir s'occuper de sa propre robe. Tout en continuant sa fellation, ses doigts défirent les boutons du devant de sa robe. Elle ne la défit pas entièrement, allant simplement jusqu'à sa taille. Elle écarta le tissu pour dégager sa poitrine gonflée d'envie. Elle fit passer le tissu du soutien-gorge en dessous, rendant ses seins encore plus offerts et généreux, pointes dressés.
Elle poursuivit ses caresses buccales un certain temps encore avant de se détacher de lui. Elle se redressa pour venir embrasser son compagnon avec un sourire gourmand et provocateur, chose qu'elle ne lui avait encore jamais faite. Elle se recula alors avant de lui tourner le dos, avançant à quatre pattes, offrant son fessier à la vue de son mari, bien qu'il soit encore voilé par la robe humide et collante. Arrivée à quelques mètres de lui, elle s'arrêta sur le tapis épais et fit en sorte de faire remonter sa robe jusqu'à sa taille, dévoilant son fessier et son sous-vêtement plus que sage. Une simple culotte blanche avec un simple liseré de dentelle. Rien de bien sexy en soit s'il n'était une tache bien visible au milieu. La culotte était mouillée et ce n'était pas avec la pluie. Saori le laissa la regarder ainsi quelques instants avant de faire glisser sa culotte le long de ses cuisses jusqu'à ses genoux sans pour autant l'enlever complètement. Son intimité était à nue. Les cuisses écartées, elle la dévoilait sans pudeur, montrant son sexe humide, plein de désir. Elle se cambra et laissa ses doigts venir caresser ses lèvres intimes, la faisant gémir. Les doigts remontèrent le long de sa raie pour venir taquiner son petit trou, endroit encore inviolé. Argos avait essayé de le taquiner parfois, sachant qu'elle en tirait un plaisir coupable, mais il y avait toujours quelque chose qui venait briser le moment. Là, rien ne le casserait et elle comptait bien sur le fait qu'il la prenne par là, chose que personne n'avait jamais fait. Seiya n'avait jamais voulu. L'idiot ! Il ne s'était même pas rendu compte à quel point elle aimait cela, à quel point elle en avait envie. Son index vint frotter cet endroit encore vierge ce qui la fit gémir de nouveau. Son anus se contractait sous ses caresses en voulant plus. Son vagin se contractait aussi sous le désir et le plaisir, laissant couler son jus des plaisirs au sol. Elle s'arrêta avant de regarder son époux, les yeux brillants d'envie.
« Si tu as toujours envie de me baiser, c'est maintenant. Oublie pas mon cul au passage. Je crois qu'il a très envie de se faire prendre ce soir. Ce sera une grande première mon chéri. »
Oui la vengeance était terrible mais plaisante aussi. En plus du plaisir de se venger de Seiya, Saori éprouvait le plaisir du sexe tout court. Les mots crus avaient leur charme et Argos ne s'en formaliserait pas, lui. Restait à savoir s'il voudrait jouer avec elle ce soir.
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Prélude / Re : Exxia, avatar du Dieu Machine [Wolvidée]
« le: dimanche 08 novembre 2015, 17:26:07 »
Bienvenue parmi nous ^^
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One Shot / Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]
« le: dimanche 08 novembre 2015, 16:59:54 »La discussion avec son ex-mari prenait un tour plus que déplaisant pour la demoiselle. Saori ne voyait plus quoi dire. Seiya avait son idée sur ce qui c'était passé et tel qu'elle le connaissait, il ne changerait pas d'idée comme ça. Elle le savait bien depuis le temps. Il prendrait peut-être conscience de sa vision des choses plus tard, à tête reposée. Par contre, elle ne supportait pas qu'il puisse prendre du bon temps avec Shaina. Elle devait lui être reconnaissante d'être présente pour s'occuper des enfants et de Seiya mais elle ne pouvait. Pour elle, la femme chevalier n'était qu'une opportuniste qui avait trouvé là, la meilleure occasion d'avoir ce qu'elle avait toujours voulu, Seiya. Elle ne pouvait empêcher les images de venir la hanter, de les voir ensemble, en train de faire l'amour. Il ne semblait même pas le nier et il devait y prendre plaisir. Si elle avait su ! Il ne manqua pas de lui demander si elle-même n'avait jamais pris de plaisir. Elle ne pouvait pas dire non et rougie devant la traîtrise de son propre corps. Il ne manqua pas de s'en servir contre elle ce qui la mit encore plus en colère. Elle serra les poings. Il reprit alors, ne manquant pas d'en rajouter une couche comme si ça ne suffisait pas. Saori en avait les larmes aux yeux. Elle esquissa un sourire triste.
« Je ne pensais pas que tu vivrais comme un moine mais je pensais que tu me soutiendrais un minimum et que tu pouvais comprendre, mais je me suis trompée cette fois. Visiblement, tu arrives à très bien surmonter tout ça avec elle. Félicitations à tous les deux. Tu diras au revoir aux enfants pour moi. Je les appellerai demain et je les verrais dans la semaine, on décidera de quand. »
Cela ne servait plus à rien de discuter. La déesse s'essuya les yeux avant de prendre la porte de la cuisine et de se diriger vers le hall d'entrée. Elle jeta un coup d’œil vers l’escalier et entendait le rire de ses enfants et de Shaina. Ils semblaient avoir réussi à surmonter son départ. C'était bien dans un sens. Elle ne put monter les voir, c'en était trop pour elle. Elle sortit. La voiture l'attendait mais elle fit un signe négatif au chauffeur.
« Je rentre à pied. »
« Mais madame, vous n'y songez pas ! Monsieur ne voudrait pas et il sera en colère si je ne vous ramène pas, voyons ! »
« Et alors, qu'est-ce que ça peut bien me faire. »
Sans attendre, elle commença à marcher sans plus faire cas de la voiture et du malheureux chauffeur. Ce que pouvait dire ou faire Argos ne l’intéressait pas à cet instant. Elle avait d'autres choses en tête. La voiture finit par démarrer et la dépasser. Le chauffeur avait dû se dire que ce n'était pas la peine d'insister. Saori prenait le chemin de sa nouvelle demeure alors que la nuit était déjà tombée depuis un moment.
Alors qu'elle progressait, la pluie se mit de la partie, se mettant à tomber abondamment. Décidément, ce n'était pas son jour. Les bras croisés sur sa poitrine, elle continuait d'avancer, sans se préoccuper du temps. Voir Shaina avec Seiya, savoir qu'ils étaient ensemble dans son dos, qu'ils le lui avaient caché, était insupportable. Ses propres enfants semblaient bien vivre son départ. Seiya semblait s'être créé une nouvelle famille dont elle ne faisait plus partie. Oui, elle était partie mais pour sauver des vies. Cela lui avait coûté sa famille. Le sacrifice était monstrueux et elle en voulait à Seiya de ne pas tenter de le comprendre. Pire, il ne se gênait pas pour coucher avec l'autre et prendre son pied. Elle, elle avait toujours tenté de lutter ou, au moins, de penser à lui quand elle était avec l'autre. Si elle avait su ! Elle aurait fait en sorte de prendre elle aussi son pied. Elle en aurait peut-être souffert psychologiquement mais physiquement, ça lui aurait au moins fait du bien. Argos était meilleur amant que Seiya après tout. Au moins lui ne la considérait pas comme une fragile poupée de porcelaine qui avait besoin d'être protégée à tout bout de champ.
Il lui fallut plus d'une bonne heure pour rejoindre sa nouvelle demeure. La voiture était garée dans l'allée. Ce que le chauffeur avait pu dire à Argos n'était pas son soucis. Elle s'en moquait en fait à cet instant. Elle avait froid et était trempée mais elle en voulait encore plus à Seiya. Tout le long de sa marche, sa colère n'avait cessé d'augmenter contre Seiya. Quelque part, elle voulait le faire payer. Elle rentra dans la maison, appréciant presque de ne plus être sous la pluie. Elle dégoulinait littéralement. Sa robe blanche, toute simple, à manches courtes bouffantes, lui collait à la peau, dévoilant presque parfaitement son corps. Avec l'eau, elle était presque transparente. Elle ne portait que son alliance et ses boucles d'oreille. Ses cheveux longs étaient aussi trempés et tombaient dans son dos. Sa peau mouillée était constellé de chair de poule. Elle entendait la télé. Argos devait la regarder en l'attendant. Hormis cela, il n'y avait pas d'autres bruits dans la maisonnée. Les domestiques étaient rentrés chez eux à cette heure très avancée de la nuit.
Saori s'apprêtait à monter vers leur chambre mais elle s'arrêta. Son désir de vengeance était trop grand et elle avait besoin de réconfort en cet instant. Peu importait qui allait lui en donner. Là, il n'y avait qu'une personne pour ça même s'il était en colère contre elle vu la façon dont elle était rentrée. La jeune femme se dirigea alors vers le salon. Argos était assis dans le canapé et semblait regarder le grand écran en face de lui. Le regardait-il vraiment ? Elle s'en moquait en fait. Elle passa devant lui pour aller s'asseoir à côté de lui dans le canapé se fichant de savoir si elle trempait le canapé. Elle se rapprocha de son mari et alla soudain l'embrasser avec une certaine fougue. À là, il n'y avait pas de timidité. Elle l'embrassait vraiment, allant jouer avec sa langue, la cherchant, l'agaçant. Ses mains descendaient pour aller caresser l'entrejambe, stimulant le membre masculin avant de défaire la braguette et de l'extraire du pantalon, continuant de la caresser avec ferveur. Elle finit par se détacher de lui et plongea son regard dans le sien, presque dur.
« Pas de question, pas de jugement, pas de railleries ou de commentaires déplacés. »
Elle n'était pas d'humeur à ça ce soir. Elle alla de nouveau l'embrasser plusieurs secondes avant de descendre vers le membre qu'elle se mit à sucer avec envie et plaisir.
« Je ne pensais pas que tu vivrais comme un moine mais je pensais que tu me soutiendrais un minimum et que tu pouvais comprendre, mais je me suis trompée cette fois. Visiblement, tu arrives à très bien surmonter tout ça avec elle. Félicitations à tous les deux. Tu diras au revoir aux enfants pour moi. Je les appellerai demain et je les verrais dans la semaine, on décidera de quand. »
Cela ne servait plus à rien de discuter. La déesse s'essuya les yeux avant de prendre la porte de la cuisine et de se diriger vers le hall d'entrée. Elle jeta un coup d’œil vers l’escalier et entendait le rire de ses enfants et de Shaina. Ils semblaient avoir réussi à surmonter son départ. C'était bien dans un sens. Elle ne put monter les voir, c'en était trop pour elle. Elle sortit. La voiture l'attendait mais elle fit un signe négatif au chauffeur.
« Je rentre à pied. »
« Mais madame, vous n'y songez pas ! Monsieur ne voudrait pas et il sera en colère si je ne vous ramène pas, voyons ! »
« Et alors, qu'est-ce que ça peut bien me faire. »
Sans attendre, elle commença à marcher sans plus faire cas de la voiture et du malheureux chauffeur. Ce que pouvait dire ou faire Argos ne l’intéressait pas à cet instant. Elle avait d'autres choses en tête. La voiture finit par démarrer et la dépasser. Le chauffeur avait dû se dire que ce n'était pas la peine d'insister. Saori prenait le chemin de sa nouvelle demeure alors que la nuit était déjà tombée depuis un moment.
Alors qu'elle progressait, la pluie se mit de la partie, se mettant à tomber abondamment. Décidément, ce n'était pas son jour. Les bras croisés sur sa poitrine, elle continuait d'avancer, sans se préoccuper du temps. Voir Shaina avec Seiya, savoir qu'ils étaient ensemble dans son dos, qu'ils le lui avaient caché, était insupportable. Ses propres enfants semblaient bien vivre son départ. Seiya semblait s'être créé une nouvelle famille dont elle ne faisait plus partie. Oui, elle était partie mais pour sauver des vies. Cela lui avait coûté sa famille. Le sacrifice était monstrueux et elle en voulait à Seiya de ne pas tenter de le comprendre. Pire, il ne se gênait pas pour coucher avec l'autre et prendre son pied. Elle, elle avait toujours tenté de lutter ou, au moins, de penser à lui quand elle était avec l'autre. Si elle avait su ! Elle aurait fait en sorte de prendre elle aussi son pied. Elle en aurait peut-être souffert psychologiquement mais physiquement, ça lui aurait au moins fait du bien. Argos était meilleur amant que Seiya après tout. Au moins lui ne la considérait pas comme une fragile poupée de porcelaine qui avait besoin d'être protégée à tout bout de champ.
Il lui fallut plus d'une bonne heure pour rejoindre sa nouvelle demeure. La voiture était garée dans l'allée. Ce que le chauffeur avait pu dire à Argos n'était pas son soucis. Elle s'en moquait en fait à cet instant. Elle avait froid et était trempée mais elle en voulait encore plus à Seiya. Tout le long de sa marche, sa colère n'avait cessé d'augmenter contre Seiya. Quelque part, elle voulait le faire payer. Elle rentra dans la maison, appréciant presque de ne plus être sous la pluie. Elle dégoulinait littéralement. Sa robe blanche, toute simple, à manches courtes bouffantes, lui collait à la peau, dévoilant presque parfaitement son corps. Avec l'eau, elle était presque transparente. Elle ne portait que son alliance et ses boucles d'oreille. Ses cheveux longs étaient aussi trempés et tombaient dans son dos. Sa peau mouillée était constellé de chair de poule. Elle entendait la télé. Argos devait la regarder en l'attendant. Hormis cela, il n'y avait pas d'autres bruits dans la maisonnée. Les domestiques étaient rentrés chez eux à cette heure très avancée de la nuit.
Saori s'apprêtait à monter vers leur chambre mais elle s'arrêta. Son désir de vengeance était trop grand et elle avait besoin de réconfort en cet instant. Peu importait qui allait lui en donner. Là, il n'y avait qu'une personne pour ça même s'il était en colère contre elle vu la façon dont elle était rentrée. La jeune femme se dirigea alors vers le salon. Argos était assis dans le canapé et semblait regarder le grand écran en face de lui. Le regardait-il vraiment ? Elle s'en moquait en fait. Elle passa devant lui pour aller s'asseoir à côté de lui dans le canapé se fichant de savoir si elle trempait le canapé. Elle se rapprocha de son mari et alla soudain l'embrasser avec une certaine fougue. À là, il n'y avait pas de timidité. Elle l'embrassait vraiment, allant jouer avec sa langue, la cherchant, l'agaçant. Ses mains descendaient pour aller caresser l'entrejambe, stimulant le membre masculin avant de défaire la braguette et de l'extraire du pantalon, continuant de la caresser avec ferveur. Elle finit par se détacher de lui et plongea son regard dans le sien, presque dur.
« Pas de question, pas de jugement, pas de railleries ou de commentaires déplacés. »
Elle n'était pas d'humeur à ça ce soir. Elle alla de nouveau l'embrasser plusieurs secondes avant de descendre vers le membre qu'elle se mit à sucer avec envie et plaisir.
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Le quartier de la Toussaint / Re : A minuit, tous les chats sont gris ! [PV Darthestar]
« le: dimanche 08 novembre 2015, 16:04:23 »Marine avait l'impression de passer par les montagnes russes des émotions ce soir. Elle avait été ravi de trouver quelqu'un avec qui parler, vraiment parler. Même du temps du Sanctuaire, elle n'avait jamais eu tant que ça l'occasion de discuter avec quelqu'un. Parfois, elle avait pu échanger avec Ailoia, mais il avait bien été le seul. Et depuis son départ, elle avait l'impression de ne plus parler à qui que ce soit. Mais en même temps, elle n'essayait pas vraiment. Elle se sentait étrangère aux personnes qu'elle pouvait croiser et à qui elle pouvait parler. C'était frustrant et en même temps, elle ne voyait pas comment faire autrement. Les discussions des gens normaux ne lui plaisaient pas. Cela semblait trop normal, trop différent de ses propres préoccupations. Qu'es-ce qu'elle en avait à faire de savoir le temps qu'il allait faire demain ou de la dernière paire de chaussures à la mode ? Ce n'était vraiment pas son univers. Cependant, ce soir, elle avait réussi à parler avec quelqu'un. Même s'il s'agissait d'un vampire, cela ne la gênait pas. Elle pouvait parler avec lui, ça lui suffisait. De cela, elle en était ravie.
Mais voilà qu'une voiture allait tout changer. Darthestar avait imprudemment reculer sur la route sans tenir compte d'une voiture qui arrivait à vive allure. Sans réfléchir, la rouquine s'était jetée sur son compagnon de soirée, usant de ses capacités de chevalier. Sauf qu'elle n'avait pas réfléchie aux conséquences. Les êtres humains normaux auraient pu souffrir de graves lésions, voir mourir, sous l'impact à très vive allure de la demoiselle. Par chance, l'homme était un vampire qui pouvait se régénérer et survivre. La prise de conscience était rude pour la demoiselle. D'où une certaine déprime de sa part. Les gamines qui rigolaient de leur position, ne l'aidait pas. Elle le fit fuir avec quelques mots assez rudes bien qu'elle aurait pu être bien plus méchante encore. Elle finit par se redresser, en s'excusant, avant d'aider son compagnon à se relever à son tour.
Il ne semblait pas mal prendre son intervention et tentait même de la rassurer quand à ses capacités. Elle haussa les épaules, enfonçant ses mains dans ses poches et en rentrant un peu sa tête dans ses épaules, se voûtant légèrement, comme si elle cherchait à disparaître. Quelque part, c'était certainement le cas. Elle sentait bien que le vampire essayait de la dérider et de la rassurer mais elle manquait cruellement de confiance en elle. Elle avait été un bon chevalier et elle avait acquis bon nombre de capacités. Dans un combat, elle savait à quoi s'en tenir, mais dans la vie de tous les jours, c'était autre chose. Elle ne se sentait pas à sa place et pas à la hauteur non plus. C'était comme de s'habiller avec des vêtements presque informes. Elle n'assumait pas son physique.
Alors qu'ils reprenaient leur route sans vraiment de but, Marine chercha à s'assurer que son compagnon allait vraiment bien. Même s'il était un vampire, elle ne savait pas si c'était compatible avec ses propres capacités. Encore une fois, Darthestar tentait de la rassurer, lui disant avoir connu bien pire. Certes, mais ce n'était quand même pas une raison. Cette fois, elle avait évité le pire mais s'il avait été un simple humain, qui savait comment il aurait fini. La jeune femme aurait voulu ne pas y penser mais son esprit y revenait sans cesse comme une incessante mise en garde et, pire, un moyen de lui dire qu'elle serait toujours incapable de s'insérer dans cette société qu'elle avait toujours envié mais qui ne semblait pas faite pour elle. Elle lui demanda alors s'il avait des trucs et astuces pour tenter de remédier à ses capacités et à sa façon de faire. Il tenta de lui répondre en lui disant de se concentrer vers le danger lui-même et non sur la personne en danger. Ce n'était pas idiot du tout. Évidemment, dans la voiture il y avait quelqu'un mais elle aurait peut-être du se focaliser sur la voiture et pas le vampire.
« Oui, évidemment, c'est plus logique de réagir face au danger que vis-à-vis de celui qui est en danger. J'aurai dû y penser bon sang !!! »
C'était tellement simple et logique, et pourtant, elle était passée complètement à coter de ça. Elle s'en voulait encore plus à cet instant. Elle secoua la tête négativement. Elle avait cette impression détestable de ne rien valoir et d'être une sombre idiote. C'était plus fort qu'elle. Elle envoya valser au loin un caillou d'un coup de pied rageur. C'était nul ! Pourtant, alors qu'elle avançait, elle fut brusquement arrêtée par son compagnon de route et de discussion. Sans comprendre, elle se retrouva dans ses bras, serrée contre lui. Elle se contracta sur le moment. Ce n'était vraiment pas dans ses habitudes. Elle ne se rappelait même pas si ça lui était déjà arrivé. La rouquine ne savait pas trop comment réagir. Darthestar tentait encore de la réconforter avec des mots rassurants. Il avait bien plus confiance en elle qu'elle-même. Il semblait si sûre d'elle alors qu'elle doutait tant. La pression était forte en cet instant et bien qu'elle se doit défendue d'y arriver, les larmes lui montèrent aux yeux avant de déborder sur ses joues. Son corps finit par se décontracter et ses mains vinrent se poser sur le torse masculin comme pour chercher un soutien ce qui était bien le cas. Elle se serra contre lui, cherchant sa chaleur, sa force et certainement sa protection. Elle éclata pour de bon en sanglots. C'était plus fort qu'elle et en même temps, cela lui faisait du bien, beaucoup de bien.
Mais voilà qu'une voiture allait tout changer. Darthestar avait imprudemment reculer sur la route sans tenir compte d'une voiture qui arrivait à vive allure. Sans réfléchir, la rouquine s'était jetée sur son compagnon de soirée, usant de ses capacités de chevalier. Sauf qu'elle n'avait pas réfléchie aux conséquences. Les êtres humains normaux auraient pu souffrir de graves lésions, voir mourir, sous l'impact à très vive allure de la demoiselle. Par chance, l'homme était un vampire qui pouvait se régénérer et survivre. La prise de conscience était rude pour la demoiselle. D'où une certaine déprime de sa part. Les gamines qui rigolaient de leur position, ne l'aidait pas. Elle le fit fuir avec quelques mots assez rudes bien qu'elle aurait pu être bien plus méchante encore. Elle finit par se redresser, en s'excusant, avant d'aider son compagnon à se relever à son tour.
Il ne semblait pas mal prendre son intervention et tentait même de la rassurer quand à ses capacités. Elle haussa les épaules, enfonçant ses mains dans ses poches et en rentrant un peu sa tête dans ses épaules, se voûtant légèrement, comme si elle cherchait à disparaître. Quelque part, c'était certainement le cas. Elle sentait bien que le vampire essayait de la dérider et de la rassurer mais elle manquait cruellement de confiance en elle. Elle avait été un bon chevalier et elle avait acquis bon nombre de capacités. Dans un combat, elle savait à quoi s'en tenir, mais dans la vie de tous les jours, c'était autre chose. Elle ne se sentait pas à sa place et pas à la hauteur non plus. C'était comme de s'habiller avec des vêtements presque informes. Elle n'assumait pas son physique.
Alors qu'ils reprenaient leur route sans vraiment de but, Marine chercha à s'assurer que son compagnon allait vraiment bien. Même s'il était un vampire, elle ne savait pas si c'était compatible avec ses propres capacités. Encore une fois, Darthestar tentait de la rassurer, lui disant avoir connu bien pire. Certes, mais ce n'était quand même pas une raison. Cette fois, elle avait évité le pire mais s'il avait été un simple humain, qui savait comment il aurait fini. La jeune femme aurait voulu ne pas y penser mais son esprit y revenait sans cesse comme une incessante mise en garde et, pire, un moyen de lui dire qu'elle serait toujours incapable de s'insérer dans cette société qu'elle avait toujours envié mais qui ne semblait pas faite pour elle. Elle lui demanda alors s'il avait des trucs et astuces pour tenter de remédier à ses capacités et à sa façon de faire. Il tenta de lui répondre en lui disant de se concentrer vers le danger lui-même et non sur la personne en danger. Ce n'était pas idiot du tout. Évidemment, dans la voiture il y avait quelqu'un mais elle aurait peut-être du se focaliser sur la voiture et pas le vampire.
« Oui, évidemment, c'est plus logique de réagir face au danger que vis-à-vis de celui qui est en danger. J'aurai dû y penser bon sang !!! »
C'était tellement simple et logique, et pourtant, elle était passée complètement à coter de ça. Elle s'en voulait encore plus à cet instant. Elle secoua la tête négativement. Elle avait cette impression détestable de ne rien valoir et d'être une sombre idiote. C'était plus fort qu'elle. Elle envoya valser au loin un caillou d'un coup de pied rageur. C'était nul ! Pourtant, alors qu'elle avançait, elle fut brusquement arrêtée par son compagnon de route et de discussion. Sans comprendre, elle se retrouva dans ses bras, serrée contre lui. Elle se contracta sur le moment. Ce n'était vraiment pas dans ses habitudes. Elle ne se rappelait même pas si ça lui était déjà arrivé. La rouquine ne savait pas trop comment réagir. Darthestar tentait encore de la réconforter avec des mots rassurants. Il avait bien plus confiance en elle qu'elle-même. Il semblait si sûre d'elle alors qu'elle doutait tant. La pression était forte en cet instant et bien qu'elle se doit défendue d'y arriver, les larmes lui montèrent aux yeux avant de déborder sur ses joues. Son corps finit par se décontracter et ses mains vinrent se poser sur le torse masculin comme pour chercher un soutien ce qui était bien le cas. Elle se serra contre lui, cherchant sa chaleur, sa force et certainement sa protection. Elle éclata pour de bon en sanglots. C'était plus fort qu'elle et en même temps, cela lui faisait du bien, beaucoup de bien.
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Blabla / Re : Horloge parlante
« le: dimanche 08 novembre 2015, 15:24:14 »
Bonjour les loulous
15h23
Je sais pas si je vais te rassurer Tinuviel, mais quand tu bosses, t'as pas forcément plus de sous à la fin du mois ^^"
15h23
Je sais pas si je vais te rassurer Tinuviel, mais quand tu bosses, t'as pas forcément plus de sous à la fin du mois ^^"
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Archives publiques / Re : Lex moneat priusquam feriat.
« le: dimanche 08 novembre 2015, 14:05:59 »
Merci à vous, heureuse de vous retrouver les jeunes ^^
Prends son déambulateur
Le 1er qui me casse les pieds, il le prend dans la figure !
Prends son déambulateur
Le 1er qui me casse les pieds, il le prend dans la figure !
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Vous nous quittez déjà ? / Re : Enfoiré d'administrateur.
« le: samedi 31 octobre 2015, 21:20:10 »
Pareil que les deux monsieur du dessus (les mecs toujours au-dessus hein !)
L'IRL est ce qu'il est et je compatis même si je me dis que tout ça, ça à l'air trop cool ! Ouais je suis une maso du travail et une nostalgique de la fac ^^"
Donc plein de courage et de bravoure, mange du poisson gras pour favoriser tes neurones grises et oublie pas le chocolat pour une bonne dose d'endorphines !
Fais comme tu peux, on saura t'attendre mister Law !
L'IRL est ce qu'il est et je compatis même si je me dis que tout ça, ça à l'air trop cool ! Ouais je suis une maso du travail et une nostalgique de la fac ^^"
Donc plein de courage et de bravoure, mange du poisson gras pour favoriser tes neurones grises et oublie pas le chocolat pour une bonne dose d'endorphines !
Fais comme tu peux, on saura t'attendre mister Law !
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One Shot / Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]
« le: vendredi 30 octobre 2015, 17:02:57 »La conversation s'annonçait extrêmement tendue entre Saori et son ex-mari. Elle qui avait tellement besoin de son soutien, voilà qu'il lui reprochait son choix. La jeune femme ne comprenait vraiment pas. Elle essayait de lui faire comprendre son point de vue, de lui dire qu'elle avait voulu éviter une nouvelle guerre meurtrière. La comparer aux autres dieux était certainement la pire des insultes. Il n'aurait pas fait pire en la giflant. Comment pouvait-il la rabaisser au niveau des autres dieux ? Elle avait toujours tout fait pour sauver les humains et les protéger. Là, elle avait agit de la même façon en faisant en sorte d'épargner ses propres chevaliers.
« Tu crois vraiment que j'ai voulu vous faire du mal à toi et aux enfants ? Si j'avais pu faire autrement, je l'aurai fait. Si je t'en avais parlé, je sais comment tu aurais réagi. Tu serais parti en guerre et tu aurais risqué ta vie et celles des autres chevaliers. Je ne pouvais pas. Je ne voulais pas. J'avais une chance de vous épargner. Oui, cela a détruit notre mariage mais je ne suis pas la coupable. Tu te trompes de cible ! »
Il ne pouvait pas la voir comme la méchante. Elle était bien consciente de la douleur qu'elle leur infligeait vu qu'elle-même souffrait horriblement. Elle n'avait pas en plus besoin d'être désignée comme la coupable de cette histoire.
Seiya capitula, considérant que cette discussion était stérile. Cela semblait bien le cas, malheureusement. Il la jugeait à la fois responsable et coupable de ce désastre alors qu'elle ne voulait que faire le bien et épargner ceux qu'elle aimait. Certes, elle faisait souffrir l'homme qu'elle aimait et ses enfants mais elle voulait épargner d'autres familles, d'autres personnes. Sacrifier une personne pour en sauver des milliers, c'est monstrueux mais c'était ainsi. En tant que déesse, elle avait des choix difficiles à faire. Visiblement, Seiya ne comptait pas lui pardonner. Discuter ne servait à rien.
Les allusions à Shaina avait été plus forte qu'elle. Elle avait bien du mal à voir sa place prise par la femme chevalier surtout quand on connaissait ses sentiments à l'égard de Seiya. Ce dernier ne chercha même pas à démentir les doutes de la jeune femme. Cela lui fit un mal de chien de l'entendre parler ainsi de l'autre femme.
« Comment tu peux dire ça ? J'ai pas de sentiments pour lui et si je pouvais échapper au partage de son lit, crois-moi je le ferais ! Moi je couche pas avec lui par plaisir. Je doute que tu puisses dire la même chose. Avec elle, au moins, t'as pas besoin de prendre des gants. Elle, c'est juste une femme comme les autres, pas une déesse que tu as peur de froisser. Avec elle, tu fais peut-être ce que tu fais jamais avec moi ? Au final, tu apprécies peut-être ça ! »
C'était méchant mais elle avait besoin de l'être pour extérioriser sa peine. Elle avait parlé d'une voix basse, histoire de ne ameuter toute la maison mais surtout ses enfants. Ils n'avaient pas besoin d'entendre ce genre de choses.
« Tu crois vraiment que j'ai voulu vous faire du mal à toi et aux enfants ? Si j'avais pu faire autrement, je l'aurai fait. Si je t'en avais parlé, je sais comment tu aurais réagi. Tu serais parti en guerre et tu aurais risqué ta vie et celles des autres chevaliers. Je ne pouvais pas. Je ne voulais pas. J'avais une chance de vous épargner. Oui, cela a détruit notre mariage mais je ne suis pas la coupable. Tu te trompes de cible ! »
Il ne pouvait pas la voir comme la méchante. Elle était bien consciente de la douleur qu'elle leur infligeait vu qu'elle-même souffrait horriblement. Elle n'avait pas en plus besoin d'être désignée comme la coupable de cette histoire.
Seiya capitula, considérant que cette discussion était stérile. Cela semblait bien le cas, malheureusement. Il la jugeait à la fois responsable et coupable de ce désastre alors qu'elle ne voulait que faire le bien et épargner ceux qu'elle aimait. Certes, elle faisait souffrir l'homme qu'elle aimait et ses enfants mais elle voulait épargner d'autres familles, d'autres personnes. Sacrifier une personne pour en sauver des milliers, c'est monstrueux mais c'était ainsi. En tant que déesse, elle avait des choix difficiles à faire. Visiblement, Seiya ne comptait pas lui pardonner. Discuter ne servait à rien.
Les allusions à Shaina avait été plus forte qu'elle. Elle avait bien du mal à voir sa place prise par la femme chevalier surtout quand on connaissait ses sentiments à l'égard de Seiya. Ce dernier ne chercha même pas à démentir les doutes de la jeune femme. Cela lui fit un mal de chien de l'entendre parler ainsi de l'autre femme.
« Comment tu peux dire ça ? J'ai pas de sentiments pour lui et si je pouvais échapper au partage de son lit, crois-moi je le ferais ! Moi je couche pas avec lui par plaisir. Je doute que tu puisses dire la même chose. Avec elle, au moins, t'as pas besoin de prendre des gants. Elle, c'est juste une femme comme les autres, pas une déesse que tu as peur de froisser. Avec elle, tu fais peut-être ce que tu fais jamais avec moi ? Au final, tu apprécies peut-être ça ! »
C'était méchant mais elle avait besoin de l'être pour extérioriser sa peine. Elle avait parlé d'une voix basse, histoire de ne ameuter toute la maison mais surtout ses enfants. Ils n'avaient pas besoin d'entendre ce genre de choses.
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Le parc et son sous-bois / Re : Qui c'est qui est là ? [PV Stephen Connor]
« le: mardi 27 octobre 2015, 22:04:22 »Les insultes d'Helel étaient de douces mélodies aux oreilles de la toute jeune démone. A la différence de la succube qui se faisait copieusement insultée par les démons qui la besognaient, mais pour qui les insultes étaient à prendre au pied de la lettre. Dans le cas du démon supérieur, c'était des insultes amoureuses. Marine ne les prenait pas pour argent comptant. Elle savait que ça n'avait rien à voir. Bien que nouvellement démone, la jeune femme ne se mettait aucune barrière, elle profitait de cette nouvelle vie qu'on venait de lui offrir et se livrait à tous les excès à l'opposé de son vécu humain où elle avait toujours été si sage, trop sage. Elle aurait pu officier dans un couvent vu la monotonie de son existence. La seule différence étant que les sœurs se battaient rarement pour sauver le monde si ce n'était à travers leurs prières. Mais ce n'était certainement pas une nonne qui se ferait défoncer le cul par un démon ou alors elle avait un sérieux problème et elle s'était trompée de voie.
Marine gémissait de plaisir sous les coups de bélier qui lui dilataient le cul. Douleur et plaisir se mêlaient intimement et lui donnaient bien plus de plaisir que de douleur. Les glapissements de la femelle maltraitée étaient une douce musique érotique à ses oreilles et concouraient à lui donner encore plus de plaisirs. A ce rythme, elle commençait à atteindre certaines limites. Son envie de plaisir et de sexe étaient plus forts que tout. La jouissance était proche et elle espérait bien que son compagnon se laisserait aller dans ses fondements. Elle l'accompagnait dans ses mouvements, lui offrant ses fesses, ses hanches, ses reins, tout son corps. Elle aimait entendre les cris et les grognements de son démoniaque compagnon. Lui aussi semblait atteindre ses limites ou alors il voulait simplement accompagner sa chère et tendre au septième ciel.
Encore quelques mouvements, intenses, puissants et violents et elle se laissa aller en compagnie de son futur époux. Son corps tremblait alors qu'elle sentait le chibre se libérer de sa semence et emplir ses intestins d'un liquide chaud. Le plaisir était monstrueux et merveilleux. Elle s'écroula sur le lit, le temps de souffler et de récupérer un petit moment. La violence de l'ultime coup de rein l'avait un peu sonné sans compter le violent orgasme qui avait suivi. Elle lui rendit avec délice son baiser avant de reporter son attention sur la malheureuse femelle.
« Ton foutre est si chaud. Tu me rends accroc au sexe, à la baise et à ta queue mon beau diable. »
Alanguie, elle le regarda aller faire nettoyer son membre par la pauvre succube qui n'en pouvait plus. Marine les contemplait tout en jetant quelques coups d’œil aux autres démons. Ils bavaient devant elle, leurs queues tendues, prête à prendre n'importe qui mais surtout elle. La pauvre esclave du nettoyer le membre de Helel avant qu'il ne revienne vers, la mettant contre lui, prêt à la posséder de nouveau.
« Quel endurance mon démon ! »
Il comptait bien répondre à sa demande et la mettre enceinte. Ils auraient peut-être du attendre mais elle n'allait pas se plaindre. A califourchon sur lui, le sexe commençait déjà à la pénétrer. Marine gémissait déjà tout en sentant le foutre couler de son petit trou. C'était délicieux. Elle alla embrasser intensément son bel époux avant de s’intéresser aux incubes qui se branlaient en les regardant. Elle commença à bouger sur lui alors que son chibre la possédait. Elle fit signe alors à l'un des démons, le faisant venir près d'eux.
« Il y a un trou d'inoccupé, prends-le ! »
Elle écarta ses fesses pour lui faire comprendre de quoi elle parlait. L'incube ne se fit pas prier et s'enfonça brutalement en elle, la faisant crier. Sa queue était pourtant bien moins grosse que celle de Helel, mais cette dernière était occupée avec sa petite chatte et la labourait. Les deux queues en elle, la possédaient entièrement lui donnant encore plus de plaisir, la faisant crier et gémir à s'en brûler la gorge. Elle livrait sa bouche aux assauts de son époux. Les mains démoniaques, la caressaient, la possédaient, lui massaient les seins, le ventre, les fesses. Elle avait l'impression de se trouver dans un tourbillon sans fin des plaisirs de la chaire. Les grognements et les gémissements de son époux et de l'incube lui donnaient tellement de plaisir.
Marine gémissait de plaisir sous les coups de bélier qui lui dilataient le cul. Douleur et plaisir se mêlaient intimement et lui donnaient bien plus de plaisir que de douleur. Les glapissements de la femelle maltraitée étaient une douce musique érotique à ses oreilles et concouraient à lui donner encore plus de plaisirs. A ce rythme, elle commençait à atteindre certaines limites. Son envie de plaisir et de sexe étaient plus forts que tout. La jouissance était proche et elle espérait bien que son compagnon se laisserait aller dans ses fondements. Elle l'accompagnait dans ses mouvements, lui offrant ses fesses, ses hanches, ses reins, tout son corps. Elle aimait entendre les cris et les grognements de son démoniaque compagnon. Lui aussi semblait atteindre ses limites ou alors il voulait simplement accompagner sa chère et tendre au septième ciel.
Encore quelques mouvements, intenses, puissants et violents et elle se laissa aller en compagnie de son futur époux. Son corps tremblait alors qu'elle sentait le chibre se libérer de sa semence et emplir ses intestins d'un liquide chaud. Le plaisir était monstrueux et merveilleux. Elle s'écroula sur le lit, le temps de souffler et de récupérer un petit moment. La violence de l'ultime coup de rein l'avait un peu sonné sans compter le violent orgasme qui avait suivi. Elle lui rendit avec délice son baiser avant de reporter son attention sur la malheureuse femelle.
« Ton foutre est si chaud. Tu me rends accroc au sexe, à la baise et à ta queue mon beau diable. »
Alanguie, elle le regarda aller faire nettoyer son membre par la pauvre succube qui n'en pouvait plus. Marine les contemplait tout en jetant quelques coups d’œil aux autres démons. Ils bavaient devant elle, leurs queues tendues, prête à prendre n'importe qui mais surtout elle. La pauvre esclave du nettoyer le membre de Helel avant qu'il ne revienne vers, la mettant contre lui, prêt à la posséder de nouveau.
« Quel endurance mon démon ! »
Il comptait bien répondre à sa demande et la mettre enceinte. Ils auraient peut-être du attendre mais elle n'allait pas se plaindre. A califourchon sur lui, le sexe commençait déjà à la pénétrer. Marine gémissait déjà tout en sentant le foutre couler de son petit trou. C'était délicieux. Elle alla embrasser intensément son bel époux avant de s’intéresser aux incubes qui se branlaient en les regardant. Elle commença à bouger sur lui alors que son chibre la possédait. Elle fit signe alors à l'un des démons, le faisant venir près d'eux.
« Il y a un trou d'inoccupé, prends-le ! »
Elle écarta ses fesses pour lui faire comprendre de quoi elle parlait. L'incube ne se fit pas prier et s'enfonça brutalement en elle, la faisant crier. Sa queue était pourtant bien moins grosse que celle de Helel, mais cette dernière était occupée avec sa petite chatte et la labourait. Les deux queues en elle, la possédaient entièrement lui donnant encore plus de plaisir, la faisant crier et gémir à s'en brûler la gorge. Elle livrait sa bouche aux assauts de son époux. Les mains démoniaques, la caressaient, la possédaient, lui massaient les seins, le ventre, les fesses. Elle avait l'impression de se trouver dans un tourbillon sans fin des plaisirs de la chaire. Les grognements et les gémissements de son époux et de l'incube lui donnaient tellement de plaisir.
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Le quartier de la Toussaint / Re : A minuit, tous les chats sont gris ! [PV Darthestar]
« le: lundi 19 octobre 2015, 17:50:24 »La rouquine avait réagi de façon instinctive, sans réfléchir. En même temps, vu le laps de temps très court entre l'arrivée de la voiture et l'impact, le temps de réflexion était très court. Dès lors, le calcul avait été simple pour elle. Une voiture qui arrivait vite, un homme devant, elle qui avait la possibilité d'intervenir. Le choix fut fait, l'acte était déjà en cours de réalisation. Elle avait oublié cependant deux éléments majeurs, il était un vampire et ses propres capacités hors normes. Elle se retrouva de l'autre côté de la rue en une fraction de secondes avec son compagnon de soirée sous elle, après un dérapage plus ou moins long et surtout très brutal.
Elle mit un petit temps, quelques secondes, avant de revenir à la réalité. Elle ne put s'empêcher de lui demander s'il allait bien. Elle se rendit soudain compte que son compagnon n'était pas comme elle et qu'il pouvait avoir très mal vécu cette intervention. D'ailleurs, il sembla avoir du mal à revenir à la réalité. Par chance, sa constitution semblait avoir réussie à encaisser les chocs. Il était sonné mais pas abîmé. Une vraie chance. Marine se rendit alors compte à quel point elle était en décalage avec ce monde. Elle voulait avoir une vie normale, c'était son plus cher désir et là, elle se rendait compte qu'il y avait peu de chance pour que cela arrive parce qu'elle même n'était pas dans la norme. Elle avait voulu agir pour le meilleur mais, au final, elle avait bien plus mis en danger son compagnon que s'il s'était fait shooter par la voiture. Par chance, c'était un vampire. Mais si elle avait voulu agir ainsi avec un simple humain, pire avec un enfant. Elle aurait pu le tuer ! Les chemins de l'Enfer sont pavés de bonnes intentions disait-on. Là, elle se rendait compte à quel point ce précepte pouvait se vérifier.
La voix douce du vampire vint la sortir de ses sombres réflexions. Elle reposa son regard océan sur lui. Il disait aller bien, qu'il n'avait rien de cassé. Une chance ! Mais ce n'était pas cela qui allait réconforter la rouquine. Oh bien sûr, elle était ravie qu'il aille bien et c'était une vraie chance ! Cependant, cela lui faisait bien prendre conscience de sa force hors norme et le fait qu'elle ne soit pas taillée pour vivre avec les gens normaux. Au Sanctuaire, cela n'aurait posé de soucis à personne ou presque. On ne se posait pas de question sur cette force hors norme, on vivait avec. C'était la norme alors qu'ici c'était du domaine de l'extraordinaire. De l'extraordinaire et aussi du terrible au vu des conséquences possibles.
Soudain des gloussements lui parvinrent aux oreilles. Il se passait quoi encore ? La rouquine était à la limite de la dépression après un pareil constat alors elle n'était pas d'humeur à supporter des moqueries. Elle glissa son regard vers l'origine des railleries. Deux adolescentes semblaient observer le couple, en émettant des hypothèses sur le pourquoi du comment. Marine fronça les sourcils en les entendant avant de revenir observer le vampire sous elle. Visiblement, la position semblait poser problème. Elle jeta un regard interrogateur à Darthestar. Ce n'était pas comme si elle était coutumière de ce genre de chose. Le sexe et les positions n'avaient jamais fait parti de son quotidien. Elle mit quelques minutes à comprendre et finit par rougir violemment. Décidément, ce n'était pas sa soirée.
« Oh ça va ! Vous feriez mieux de rentrer chez vous les filles ! »
Elle ne continua pas sa phrase sachant que ça ne servait à rien. Elle leur jeta un coup d’œil assassin qui les fit déguerpir rapidement. Le regard sombre avait certainement eu plus de portée que ses paroles. La voix du vampire parvint de nouveau à ses oreilles. Elle se recula alors vivement avant de se redresser et de lui tendre la main afin de l'aider à se redresser.
« Je suis désolée. Heureusement que vous êtes un vampire sinon je vous aurai tué. »
Constat simple et efficace. Son regard se perdait sur le trottoir sombre. Elle avait envie de pleurer mais elle ravala ses larmes. Ce n'était ni le lieu, ni le moment. Ce n'était pas dans ses habitudes. Elle ne savait pas faire ça. Elle pleurait quand elle était seule. Elle enfonça ses mains dans ses poches, s'isolant un peu d'une certaine façon. Elle finit par relever la tête vers son compagnon de la nuit.
« Vous êtes certain que vous allez bien ? - elle craignait qu'il lui dise ça pour la rassurer – Comment vous faites pour ne pas faire de mal aux gens ? »
Évidemment cela n'avait rien à voir avec sa nature vampirique de prédateur mais bien avec ses pouvoirs qui semblaient proches des siens. Comment faisait-il pour ne pas commettre d'impairs ? Ne pas faire de mal aux gens en voulant les aider ? Elle n'avait jamais cherché à se contrôler. Elle ne voyait même pas par quel bout commencer, comment procéder... Elle reprit la marche sans prendre une direction en particulier.
« Si vous aviez été un simple humain, je vous aurai tué en voulant vous sauver. Mais quelle idiote ! »
Elle s'en voulait tellement de sa réaction précipitée. Si elle pouvait se gifler, elle l'aurait fait sans aucun doute mais c'était quand même compliqué de se frapper soi-même.
Elle mit un petit temps, quelques secondes, avant de revenir à la réalité. Elle ne put s'empêcher de lui demander s'il allait bien. Elle se rendit soudain compte que son compagnon n'était pas comme elle et qu'il pouvait avoir très mal vécu cette intervention. D'ailleurs, il sembla avoir du mal à revenir à la réalité. Par chance, sa constitution semblait avoir réussie à encaisser les chocs. Il était sonné mais pas abîmé. Une vraie chance. Marine se rendit alors compte à quel point elle était en décalage avec ce monde. Elle voulait avoir une vie normale, c'était son plus cher désir et là, elle se rendait compte qu'il y avait peu de chance pour que cela arrive parce qu'elle même n'était pas dans la norme. Elle avait voulu agir pour le meilleur mais, au final, elle avait bien plus mis en danger son compagnon que s'il s'était fait shooter par la voiture. Par chance, c'était un vampire. Mais si elle avait voulu agir ainsi avec un simple humain, pire avec un enfant. Elle aurait pu le tuer ! Les chemins de l'Enfer sont pavés de bonnes intentions disait-on. Là, elle se rendait compte à quel point ce précepte pouvait se vérifier.
La voix douce du vampire vint la sortir de ses sombres réflexions. Elle reposa son regard océan sur lui. Il disait aller bien, qu'il n'avait rien de cassé. Une chance ! Mais ce n'était pas cela qui allait réconforter la rouquine. Oh bien sûr, elle était ravie qu'il aille bien et c'était une vraie chance ! Cependant, cela lui faisait bien prendre conscience de sa force hors norme et le fait qu'elle ne soit pas taillée pour vivre avec les gens normaux. Au Sanctuaire, cela n'aurait posé de soucis à personne ou presque. On ne se posait pas de question sur cette force hors norme, on vivait avec. C'était la norme alors qu'ici c'était du domaine de l'extraordinaire. De l'extraordinaire et aussi du terrible au vu des conséquences possibles.
Soudain des gloussements lui parvinrent aux oreilles. Il se passait quoi encore ? La rouquine était à la limite de la dépression après un pareil constat alors elle n'était pas d'humeur à supporter des moqueries. Elle glissa son regard vers l'origine des railleries. Deux adolescentes semblaient observer le couple, en émettant des hypothèses sur le pourquoi du comment. Marine fronça les sourcils en les entendant avant de revenir observer le vampire sous elle. Visiblement, la position semblait poser problème. Elle jeta un regard interrogateur à Darthestar. Ce n'était pas comme si elle était coutumière de ce genre de chose. Le sexe et les positions n'avaient jamais fait parti de son quotidien. Elle mit quelques minutes à comprendre et finit par rougir violemment. Décidément, ce n'était pas sa soirée.
« Oh ça va ! Vous feriez mieux de rentrer chez vous les filles ! »
Elle ne continua pas sa phrase sachant que ça ne servait à rien. Elle leur jeta un coup d’œil assassin qui les fit déguerpir rapidement. Le regard sombre avait certainement eu plus de portée que ses paroles. La voix du vampire parvint de nouveau à ses oreilles. Elle se recula alors vivement avant de se redresser et de lui tendre la main afin de l'aider à se redresser.
« Je suis désolée. Heureusement que vous êtes un vampire sinon je vous aurai tué. »
Constat simple et efficace. Son regard se perdait sur le trottoir sombre. Elle avait envie de pleurer mais elle ravala ses larmes. Ce n'était ni le lieu, ni le moment. Ce n'était pas dans ses habitudes. Elle ne savait pas faire ça. Elle pleurait quand elle était seule. Elle enfonça ses mains dans ses poches, s'isolant un peu d'une certaine façon. Elle finit par relever la tête vers son compagnon de la nuit.
« Vous êtes certain que vous allez bien ? - elle craignait qu'il lui dise ça pour la rassurer – Comment vous faites pour ne pas faire de mal aux gens ? »
Évidemment cela n'avait rien à voir avec sa nature vampirique de prédateur mais bien avec ses pouvoirs qui semblaient proches des siens. Comment faisait-il pour ne pas commettre d'impairs ? Ne pas faire de mal aux gens en voulant les aider ? Elle n'avait jamais cherché à se contrôler. Elle ne voyait même pas par quel bout commencer, comment procéder... Elle reprit la marche sans prendre une direction en particulier.
« Si vous aviez été un simple humain, je vous aurai tué en voulant vous sauver. Mais quelle idiote ! »
Elle s'en voulait tellement de sa réaction précipitée. Si elle pouvait se gifler, elle l'aurait fait sans aucun doute mais c'était quand même compliqué de se frapper soi-même.
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One Shot / Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]
« le: lundi 19 octobre 2015, 15:05:56 »Saori sentait bien que son compagnon lui en voulait et pas qu'un peu en plus. C'était normal d'une certaine façon néanmoins, elle aurait apprécié qu'il essaie de comprendre aussi les choses de son point de vue. Sa vie n'était pas simple, loin de là. L'entendre parler de Shaina comme s'il s'agissait du messie ne plaisait pas du tout à la déesse qui avait l’impression que la jeune femme cherchait à lui voler sa famille. C'était certainement idiot et elle chercha à se raisonner. Elle ne devait pas penser ainsi, surtout pas. Elle tenta d'esquisser un sourire.
« Si elle t'aide et que les enfants l'apprécient, c'est une bonne chose. C'est bien que vous ne soyez pas seuls. »
Pas seuls dans le sens avec une femme pour s'occuper d'eux. Mais jusqu'où s'occupait-elle de Seiya ? Elle ne pouvait s'empêcher d'y penser. Après tout, L'attirance de Shaina pour le chevalier Pégase était un secret de polichinelle dont tout le Sanctuaire était au courant depuis des années. Maintenant que la déesse avait dû quitter son époux, la femme chevalier pouvait retenter sa chance.
Mais les reproches tombèrent de nouveau, stoppant sa réflexion. Seiya ne mâchait pas ses mots. Il lui imputait le divorce et la séparation. Il aurait préféré la bataille. Elle ne pouvait que le comprendre mais elle, elle ne risquerait pas des vies pour rien. Elle fronça les sourcils, commençant à en avoir un peu marre d'essuyer les reproches à tout va. Il ne voyait que ses fautes et encore était-ce des fautes ? Il s'en prenait à elle alors qu'elle n'était responsable de rien si ce n'est d'avoir voulu épargner le sang de ses chevaliers et leurs vies.
« Tu n'as pas l'impression d'exagérer un peu là ? Tu me vois comme la seule responsable alors que ce n'est pas ma faute ! Mon père a suivi les désir d'autres dieux et menace de détruire ce monde. Argos a sauté sur l'occasion pour me mettre en main ce marché détestable. Oui, j'aurais pu ordonner un combat mais cela aurait coûté combien de vies dis-moi ? Combien de chevaliers seraient morts ? On a affronté nos ennemis car on n'avait pas d'autres options. Si on ne l'avait pas fait, le monde aurait été détruit. S'il y avait d'autres solutions, je les aurai prise. Comment peux-tu me reprocher de vouloir épargner des vies ? Tu crois que cela ne me coûte à rien à moi ? Tu crois que je ne souffre pas ? Que je suis heureuse ? Non ! Et j'en suis très loin crois-moi. Si je pouvais agir autrement, je le ferais mais je n'ai pas d'autres solutions hormis la guerre et toutes les vies que cela coûterait ! Si la situation était inversée que ferais-tu ? Si on te proposait d'épouser une autre femme pour épargner à tes amis un combat et peut-être la mort, est-ce que tu refuserais ? Est-ce que tu préférerais le combat ? »
Elle voulait qu'il se mette à sa place, qu'il voit les choses de son point de vue. Ne pouvait-il comprendre sa décision ? Était-il obtus à ce point ? Oui, il souffrait mais elle aussi, leurs enfants aussi. Et puis Shaina revint sur le tapis. Il avait vraiment besoin de la remettre sur le devant de la scène ? Ça commençait à bien faire. La déesse croisa les bras sur sa poitrine, n'appréciant pas vraiment l'intrusion de la femme chevalier dans sa famille.
« Si elle a évité que tu pètes les plombs, j'en suis ravie. Mais même si elle a toujours été fidèle envers moi, je n'oublie pas qu'elle l'a toujours été bien plus envers toi. Entre toi et moi, on sait tous les deux vers qui va sa préférence. Et là, elle trouve la place libre. Tu me reproches d'avoir quitté la maison pour sauver le monde mais elle, jusqu'où est-elle allée pour éviter que tu pètes les plombs ? Jusqu'où m'a-t-elle remplacé avec toi ? Moi au moins j'ai une raison valable de coucher avec un autre. Je n'ai pas le choix ou c'est la fin du monde. Mais c'est quoi votre excuse à vous deux si vous êtes désormais plus que de simples amis bien sûr ? »
La déesse ne pouvait contenir son angoisse et son inquiétude plus longtemps. Les images inondaient son esprit et elle détestait ça. Elle espérait que Seiya allait enfin se rendre compte de certaines choses et qu'elle n'avait jamais voulu le quitter. Elle l'aimait, elle l'aimait toujours. C'était ce qui rendait les choses si douloureuses.
« Si elle t'aide et que les enfants l'apprécient, c'est une bonne chose. C'est bien que vous ne soyez pas seuls. »
Pas seuls dans le sens avec une femme pour s'occuper d'eux. Mais jusqu'où s'occupait-elle de Seiya ? Elle ne pouvait s'empêcher d'y penser. Après tout, L'attirance de Shaina pour le chevalier Pégase était un secret de polichinelle dont tout le Sanctuaire était au courant depuis des années. Maintenant que la déesse avait dû quitter son époux, la femme chevalier pouvait retenter sa chance.
Mais les reproches tombèrent de nouveau, stoppant sa réflexion. Seiya ne mâchait pas ses mots. Il lui imputait le divorce et la séparation. Il aurait préféré la bataille. Elle ne pouvait que le comprendre mais elle, elle ne risquerait pas des vies pour rien. Elle fronça les sourcils, commençant à en avoir un peu marre d'essuyer les reproches à tout va. Il ne voyait que ses fautes et encore était-ce des fautes ? Il s'en prenait à elle alors qu'elle n'était responsable de rien si ce n'est d'avoir voulu épargner le sang de ses chevaliers et leurs vies.
« Tu n'as pas l'impression d'exagérer un peu là ? Tu me vois comme la seule responsable alors que ce n'est pas ma faute ! Mon père a suivi les désir d'autres dieux et menace de détruire ce monde. Argos a sauté sur l'occasion pour me mettre en main ce marché détestable. Oui, j'aurais pu ordonner un combat mais cela aurait coûté combien de vies dis-moi ? Combien de chevaliers seraient morts ? On a affronté nos ennemis car on n'avait pas d'autres options. Si on ne l'avait pas fait, le monde aurait été détruit. S'il y avait d'autres solutions, je les aurai prise. Comment peux-tu me reprocher de vouloir épargner des vies ? Tu crois que cela ne me coûte à rien à moi ? Tu crois que je ne souffre pas ? Que je suis heureuse ? Non ! Et j'en suis très loin crois-moi. Si je pouvais agir autrement, je le ferais mais je n'ai pas d'autres solutions hormis la guerre et toutes les vies que cela coûterait ! Si la situation était inversée que ferais-tu ? Si on te proposait d'épouser une autre femme pour épargner à tes amis un combat et peut-être la mort, est-ce que tu refuserais ? Est-ce que tu préférerais le combat ? »
Elle voulait qu'il se mette à sa place, qu'il voit les choses de son point de vue. Ne pouvait-il comprendre sa décision ? Était-il obtus à ce point ? Oui, il souffrait mais elle aussi, leurs enfants aussi. Et puis Shaina revint sur le tapis. Il avait vraiment besoin de la remettre sur le devant de la scène ? Ça commençait à bien faire. La déesse croisa les bras sur sa poitrine, n'appréciant pas vraiment l'intrusion de la femme chevalier dans sa famille.
« Si elle a évité que tu pètes les plombs, j'en suis ravie. Mais même si elle a toujours été fidèle envers moi, je n'oublie pas qu'elle l'a toujours été bien plus envers toi. Entre toi et moi, on sait tous les deux vers qui va sa préférence. Et là, elle trouve la place libre. Tu me reproches d'avoir quitté la maison pour sauver le monde mais elle, jusqu'où est-elle allée pour éviter que tu pètes les plombs ? Jusqu'où m'a-t-elle remplacé avec toi ? Moi au moins j'ai une raison valable de coucher avec un autre. Je n'ai pas le choix ou c'est la fin du monde. Mais c'est quoi votre excuse à vous deux si vous êtes désormais plus que de simples amis bien sûr ? »
La déesse ne pouvait contenir son angoisse et son inquiétude plus longtemps. Les images inondaient son esprit et elle détestait ça. Elle espérait que Seiya allait enfin se rendre compte de certaines choses et qu'elle n'avait jamais voulu le quitter. Elle l'aimait, elle l'aimait toujours. C'était ce qui rendait les choses si douloureuses.