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Place publique / Re : Sanctus à vendre ... Euh non, c'est une erreur. (Pv Marian Cross)
« le: mercredi 23 septembre 2009, 13:34:11 »
Alors que Sanctus était évanouie et sans connaissance, elle perçu la caresse du vent, quand Marian la porta vers sa demeure. Enfin demeure, c'est un peu exagéré, mais c'est mieux qu'un toit en tôle.
De son sommeil, elle n'en tira aucun rêve, ni cauchemar, juste une impression d'être appelé autre part, vers un lieu qu'elle ne connaissait pas et qui était difficile d'accès pour un simple humain et donc dure aussi pour elle.
Quand son sommeil se termina, elle put voir le plafond, ouvrant délicatement ces paupière, pour laisser à ces yeux, le temps de s'adapter et de capter toutes les couleurs de la salle, ainsi que les odeurs.
Ce qu'elle perçue en premier ce fut l'odeur de la cigarette la blancheur du plafond, puis elle entendit le bruit du verre se posant sur la table de chevet, elle était encore assez faible, aussi prit-elle la psychologie d'une jeune fille, ce qui était plus aisé et moins éreintant pour la créature. Elle pencha la tête sur le côté, elle put voir de ces yeux l'ameublement de la salle, il y avait une chaise, sur lequel Marian était assit, la table de chevet où le canon de l'arme de l'homme pointait dans la direction de la demoiselle, mais n'ayant pas de conscience de soi, elle n'avait pas non plus un instinct de survie, même si elle réagissait à la peur. Elle vit un porte-manteau, une armoire décorée de façon simple et harmonieuse avec la salle. Sanctus prit la parole.
- Sanctus est désolée de devoir abuser de votre hospitalité.
Elle avait prit une voix assez jeune, comme un gamine qui aurait grandit physiquement, sans que sa psychologie ne suive. La demoiselle se redressa, en faisant bien attention à e pas le faire trop vite, évitant ainsi un malaise ou une sensation de tournis.
Sanctus était les jambes toujours en position de repos étendue sous la couverture, son haut était sur le côté, relevé par le coude droit, cela devait donner l'impression d'une femme qui se lève le matin et qui regardait son mari déjà levée, bien sur Sanctus n'avait pas encore prit conscient, de la possible ambiguïté, de sa posture.
De son sommeil, elle n'en tira aucun rêve, ni cauchemar, juste une impression d'être appelé autre part, vers un lieu qu'elle ne connaissait pas et qui était difficile d'accès pour un simple humain et donc dure aussi pour elle.
Quand son sommeil se termina, elle put voir le plafond, ouvrant délicatement ces paupière, pour laisser à ces yeux, le temps de s'adapter et de capter toutes les couleurs de la salle, ainsi que les odeurs.
Ce qu'elle perçue en premier ce fut l'odeur de la cigarette la blancheur du plafond, puis elle entendit le bruit du verre se posant sur la table de chevet, elle était encore assez faible, aussi prit-elle la psychologie d'une jeune fille, ce qui était plus aisé et moins éreintant pour la créature. Elle pencha la tête sur le côté, elle put voir de ces yeux l'ameublement de la salle, il y avait une chaise, sur lequel Marian était assit, la table de chevet où le canon de l'arme de l'homme pointait dans la direction de la demoiselle, mais n'ayant pas de conscience de soi, elle n'avait pas non plus un instinct de survie, même si elle réagissait à la peur. Elle vit un porte-manteau, une armoire décorée de façon simple et harmonieuse avec la salle. Sanctus prit la parole.
- Sanctus est désolée de devoir abuser de votre hospitalité.
Elle avait prit une voix assez jeune, comme un gamine qui aurait grandit physiquement, sans que sa psychologie ne suive. La demoiselle se redressa, en faisant bien attention à e pas le faire trop vite, évitant ainsi un malaise ou une sensation de tournis.
Sanctus était les jambes toujours en position de repos étendue sous la couverture, son haut était sur le côté, relevé par le coude droit, cela devait donner l'impression d'une femme qui se lève le matin et qui regardait son mari déjà levée, bien sur Sanctus n'avait pas encore prit conscient, de la possible ambiguïté, de sa posture.