Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« le: mardi 02 décembre 2025, 12:43:54 »Ses reins ondulèrent doucement alors qu'il pétrissait sa croupe, frottant sa perle contre son aine, ses seins contre son torse. Son bassin se releva sans se faire prier quand il en donna l'impulsion et ses genoux supportèrent son poids le temps qu'il se positionne correctement à son entrée.
Quand sa fleur se fit de nouveau ouvrir par la virilité d’Hadrian, la gorgone exhala langoureusement, sentant chaque centimètre repousser ses parois tout juste étrennées, encore sensible. Mais la brune adora chaque instant jusqu’à ce qu'elle se retrouve de nouveau remplie, frémissante contre le vampire, ses lèvres soupirant son extase contre celles d'Hadrian.
« Aaah, moi aussi… Um… Vous aussi… Pareil… Balbutia l’étudiante, incapable de trouver ses mots pour exprimer la plénitude qu'il lui apportait. »
Ses mains, jusque là agrippées aux épaules de l'homme, à sa nuque, caressèrent sa peau pâle tandis que ses cuisses se serraient autour de celles du vampire. Après un nouveau baiser, la gorgone ne semblant pas s'en lasser, elle lui offrit un sourire tendre, affectueux. Peut-être teinté d'une pointe de perversité alors qu'elle commençait à relever son bassin pour mieux le sentir coulisser en elle, pour mieux revenir s'empaler juste avant que le gland ne ressortent de ses chairs moites et brûlantes.
« Mmmh, ce ne serait… pas déplacé du tout… souffla-t-elle contre son oreille en venant lui embrasser le cou. »
Et la jeune femme commença alors à découvrir le plaisir qu'il y avait à chevaucher son amant, sur un rythme d'abord langoureux pour faire monter le plaisir, pour détendre ses chairs encore sensibles. A chaque fois qu'elle venait se rasseoir sur ses cuisses, son bourgeon frottait délicieusement contre le pubis d’Hadrian, lui tirant des petits sifflements de plaisir alors que sa langue fourchue venait caresser le cou du vampire, le lobe de son oreille ou, par instant, directement sa joue.
Cypress se découvrait joueuse, taquine, maintenant qu’elle savait à quoi s'attendre. La pluie de la douche lui paraissait bien plus fraîche que son corps qui surchauffait, qui s'embrasait sous le plaisir qui courait dans ses veines. Ses mains continuaient leur manège tandis que ses reins prenaient de la vitesse, venant tantôt s'agripper à ses épaules, tantôt se glisser dans ses cheveux, griffant parfois légèrement quand elle ressentait l'extrémité du sexe mâle frotter un point sensible, orgasmique, au creux de ses reins.
« Hadrian, ne pouvait-elle s’empêcher de murmurer. De soupirer. De gémir. Oh, Hadrian… Chantait-elle alors que la force avec laquelle elle se laissait retomber sur son sexe s'intensifiait. »
Si la gorgone n'avait jamais su mentir de façon convaincante, c'est parce que son visage -les expressions que l'on pouvait y lire- la trahissait. C'était bien embêtant quand il s’agissait de nier être une humaine parfaitement normale. Mais, dans ce cas précis, à l’instant présent, ce devait être une aubaine pour le vampire car il pouvait y lire l'extase qui se reflétait sur ses traits. Chaque micro-expression trahissant son plaisir, dénotant le moment précis où sin chibre touchait un point sensible, l'aidant à repérer de quelle manière l'amener plus tard à l’orgasme en quelques coups de reins.
« Hadrian, répéta la jeune femme, délogeant l'une des mains de l'homme pour l'amener avec la paume contre sa perle. Frottez ici… S'il vous plaît… »
Et son rythme augmenta encore, devenant plus vif, plus vigoureux, alors qu'elle chassait l'orgasme qui enflait entre ses reins. Le souffle court, la brunette s'empalait avec force contre le membre rigide, ses parois intimes se contractant de plus en plus autour de lui, annonçant sa jouissance proche.
Les yeux fermés derrière ses lunettes aux verres trempés de gouttelettes, Cypress finit par se verrouiller toute entière autour du vampire. Autour de son sexe, de ses cuisses, de ses épaules. Le plaisir déferla en elle alors qu'elle haleta encore le prénom de son amant, les reins arqués, secouée de petits soubresauts alors qu'elle ondulait presque frénétiquement contre lui.








