Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Maëdria

Pages: [1]
1
Le coin du chalant / Re : Chalant de Maëdria
« le: jeudi 07 août 2025, 10:10:55 »
Je vais l'ouvrir pour détailler les lieux, je te @ ici quand le sujet sera posté.

2
Le coin du chalant / Re : Chalant de Maëdria
« le: mardi 29 juillet 2025, 11:56:18 »
Merci pour ton message @Grayle le pérégrin si ton personnage veux devenir employé pendant un temps ça ira au mien, elle suivra sa formation. Nous pouvons aussi mixer les deux idees : un voyage pour se reposer ; ton personnage remarque qu'il manque du personnel au bout de quelques jours et il se propose d'aider ?

3
Le coin du chalant / Re : Chalant de Maëdria
« le: samedi 19 juillet 2025, 17:57:08 »
Ce n'est pas grave @Shion c'est la même chose pour moi, c'est la période.

Nous pouvons mixer les deux c'est une bonne idée, veux-tu que je commence pour décrire l'endroit ?

Je profite de mon message pour prévenir que je n'ai pas accès à la messagerie privée, si la personne qui m'a envoyé un message passe dans le coin je ne peux pas le lire et encore moins répondre. Si elle veut se manifester ici, merci.

4
Le coin du chalant / Re : Chalant de Maëdria
« le: samedi 28 juin 2025, 18:12:45 »
J'aime bien les deux, choisis celui que tu veux.

5
Le coin du chalant / Re : Chalant de Maëdria
« le: lundi 23 juin 2025, 17:05:38 »
Bonjour Shion, merci pour ton message sur mon chalant.

La première trame pour Shion qui vient trouver refuge chez Maëdria est une bonne idée, elle peut passer autant de temps qu'elle souhaite.

Concernant les trames pour Serenos, celle qui m'inspire le plus est celle de la tempête où Maëdria pourra apporter de l'aide. Comme tu as mis le 8 qui est l'option des autres idées, je suis toute ouïe pour savoir ce que t'as à me proposer.

6
Le coin du chalant / Chalant de Maëdria
« le: lundi 23 juin 2025, 12:00:31 »
Chalant de Maëdria

Méthodes de Communications

Vous pouvez me contacter à la suite de ce topic et sur ma messagerie privée forum.

Niveau d'Activité et Niveau Recherché

J’aime prendre mon temps pour répondre, et je n’apprécie pas qu’on me presse. Les réponses arrivent quand elles doivent arriver. Je ne peux pas toujours garantir une activité régulière ou des réponses rapides, tout dépend de mon IRL, parfois mouvementée.

En ce qui concerne le niveau de jeu, je ne suis pas difficile tant qu’on me donne de la matière pour faire avancer l’histoire. J’apprécie les partenaires qui s’impliquent vraiment, pas ceux qui se contentent de reprendre ce que j’ai écrit sans y ajouter quoi que ce soit.

Cela va peut-être de soi, mais je préfère le préciser : je n’aime pas qu’on fasse agir mon personnage sans mon accord, ni qu’on imagine ses pensées à ma place.

Les sujets tabous ou non-désirés

- Le viol
- Le gore
- L'inceste
- La gestation
- Relation amoureuse exclusive
- Relation maître / esclave : non, elle n'est pas à vendre
- Les furry : certaines races plus que d'autres à voir au cas par cas


J’en oublie sûrement. Si vous avez un doute sur une pratique qui sort de l’ordinaire, n’hésitez pas à me demander. Merci à d'autres fiches où j'ai pioché les idées.

Les paramètres acceptables

Principalement, je veux une histoire construire, pas du cul pour du cul.

Dans ma fiche j'ai oublié de préciser : elle est bisexuelle et elle n'est plus vierge

Les Trames

1.Visite à la taverne comme nouveau client ou habitué (rejouable)

2.Baston à la taverne si vous décidez de semer le chaos. (rejouable)

3.Négociations à mener (avec qui, pourquoi ? À préciser selon le contexte). (rejouable)

4.Maëdria vous aide en dehors de la taverne, mais il faut trouver une raison valable pour qu'elle s'implique. (rejouable)

5.Une tempête menace de faire s’effondrer des fondations : il faut des bras solides pour éviter le pire. (rejouable)

6.Rencontre avec un membre de son ancien village, qui pourrait raviver des souvenirs ou des tensions. (non rejouable)

7.Rencontre avec un sorcier ou un démon, pour faire avancer l’intrigue liée à son histoire personnelle. (non rejouable)

8.Une autre idée ?

7
Prélude / Re : Maëdria "la Rouge" [Vanéalidée !]
« le: lundi 23 juin 2025, 11:23:00 »
Il faudrait que Guillot la mette sacrément en colère pour finir en crèpe, merci

8
Prélude / Re : Maëdria "la Rouge" [Vanéalidée !]
« le: vendredi 20 juin 2025, 19:05:57 »
Merci au plaisir de vous recevoir à la taverne de Maëdria si l'envie est là

9
Prélude / Re : Maëdria "la Rouge" [Anéa]
« le: jeudi 19 juin 2025, 22:10:53 »
Merci pour l'accueil Alronas

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Prélude / Maëdria "la Rouge" [Vanéalidée !]
« le: jeudi 19 juin 2025, 20:55:04 »
Nom : Maëdria
Âge : 35 ans
Sexe : Féminin
Race : Terranide (croisement humain / taureau)

Caractère :
Maëdria est une force de la nature, autant physiquement que mentalement. Elle n’a jamais su plaire à tout le monde, et ça lui va très bien. Elle préfère la sincérité à la flatterie, la confrontation à l’hypocrisie. Franche, directe et souvent brute de décoffrage, elle n’enrobe jamais ses mots. Ceux qui la fréquentent le savent : elle dit ce qu’elle pense, et tant pis si ça pique. Le sang de taureau qui coule dans ses veines alimente une colère parfois explosive – mais brève. Elle s’emporte facilement, mais ne garde jamais rancune. Une fois le ton monté, l’orage passe, et elle est la première à offrir une chopine pour calmer les esprits. Hyperactive, elle ne supporte pas l’inaction. Toujours en mouvement, elle se sent utile en agissant, en fabriquant, en nettoyant, en gérant. Sa taverne est son royaume, et elle y règne en maîtresse dévouée : elle y cuisine avec passion, sert avec énergie, nettoie avec efficacité et accueille avec un sourire franc. C’est aussi une âme chaleureuse, festive, et aimée de tous dans son quartier. Son rire, rauque et puissant, fait vibrer les murs et illumine les soirées. Elle a le don de faire tomber les tensions et de rassembler les gens, même les plus solitaires. On vient à sa taverne autant pour la bouffe que pour elle.

Physique :
Maëdria est une femme impressionnante. Elle dépasse d’une bonne tête la moyenne des gens du peuple, et sa carrure musclée témoigne d’années de travail physique sans relâche. Son corps est sculpté par l’effort : des bras puissants, un dos large, des cuisses solides comme des piliers, mais aussi des courbes généreuses qui attirent les regards et imposent le respect. Sa peau, d’un ton hâlé et doré par le soleil, est souvent marquée de petites coupures ou brûlures de cuisine, signes d’un quotidien actif. Sa chevelure d’un blanc éclatant – rare et frappante – descend jusqu’aux reins, mais elle la garde presque toujours attachée en un chignon haut, pratique et élégant à la fois. De sa tête émergent deux longues cornes recourbées, sombres et polies par le temps, qui renforcent sa présence déjà imposante. Sous ses yeux, des tatouages rouge profond s'étendent sur ses joues. Il représente un ancien symbole tribal terranide, transmis de génération en génération, que seuls les initiés comprennent. Malgré son allure brute, elle porte toujours un tablier propre, une tunique en soie et parfois quelques bijoux simples en cuivre ou en os, faits main par des amis ou des habitués. Elle n’a rien d’une coquette, mais elle soigne sa prestance. Quand elle entre quelque part, on la remarque. Toujours.

Histoire de Maëdria "la Rouge" :
Maëdria est née sur les Hauts-Plateaux d’Ash-Râ, des terres sauvages où le vent souffle librement entre les montagnes et les plaines herbeuses. Elle appartenait à une tribu terranide ancienne, fière et indépendante, où chaque membre, du plus jeune au plus âgé, vivait selon les lois naturelles du clan. Leur mode de vie reposait sur la chasse, la cueillette, le respect des cycles de la terre, et une transmission orale de leurs traditions. Maëdria, fille d’un éclaireur de renom et d’une artisane du cuir, grandit libre, farouche et curieuse.

Mais cette liberté ne devait pas durer.

Un matin d’été, alors que le clan célébrait la naissance d’un nouveau totem, les cris s’élevèrent dans la vallée. Des cavaliers armés fondirent sur le village sans préavis, des esclavagistes venus du Sud, attirés par la rareté des Terranides. Leur peau, leurs cornes, leur force physique étaient des "marchandises" précieuses sur les marchés noirs des grandes cités. La tribu tenta de se défendre, mais leurs armes rudimentaires ne firent pas le poids face aux arbalètes et chaînes d’acier. Maëdria fut capturée, entravée, séparée des siens. Elle fut emmenée loin de chez elle, enchaînée avec d’autres captifs. Sur les marchés, on l’exposa comme un animal de foire : "femelle robuste", "parfaitement capable de servir", "exotique", disait-on. Maëdria fulminait, mais elle gardait la tête haute, refusant de pleurer ou de supplier. Elle jura intérieurement que si elle survivait à cette ignominie, elle ne plierait jamais devant personne.

C’est un vieil homme, Bedan, propriétaire d’une taverne à l’écart de la capitale, qui la remarqua. Lui, il ne regarda ni ses cornes ni ses muscles. Il vit dans ses yeux une flamme, une force que les chaînes n’avaient pas su éteindre. Il posa le prix, assez élevé, et l’emmena avec lui. Maëdria s’attendait au pire, mais ce vieillard amaigri, au dos voûté, ne leva jamais la voix sur elle. Il lui tendit un tablier et lui dit simplement :
 « Si tu veux un toit et de la nourriture, alors tu travailles. Chez moi, tout le monde met la main à la pâte. »

Au début, elle se méfiait. Mais petit à petit, elle comprit que Bedan n’était pas comme les autres humains. Il lui apprit à balayer, à éplucher, à servir avec le sourire – ou du moins avec fermeté. Il corrigeait sa langue quand elle se trompait, lui racontait des histoires entre deux clients, lui montrait comment parler au marchand de vin sans se faire plumer. Elle apprit. Vite. Parce qu’elle en avait besoin, parce qu’elle refusait d’être une victime. Et parce que, malgré elle, elle s’attacha à ce vieil homme.

Les années passèrent. Maëdria gagna sa place dans l’équipe, puis dans le cœur des clients. On se mit à venir autant pour la bière que pour sa répartie. Elle tenait tête aux soulards, riait plus fort que les conteurs, et se battait même parfois avec les bagarreurs – qu’elle jetait dehors sans ciller. Les enfants du quartier venaient l’espionner par la fenêtre, fascinés par sa taille, ses cornes, son rire. On l’appelait « la Rouge », à cause des tatouages qui ornaient son visage. Au fil du temps, personne ne se souvenait qu’elle avait été esclave. Elle était Maëdria, la tavernière. Mais les années n’épargnèrent pas Bedan. Un hiver, trop froid, trop long, l’emporta dans son sommeil. Maëdria veilla son corps, seule dans la salle vide, le cœur en morceaux. Quand elle réalisa qu’il n’avait laissé ni testament ni rachat officiel de sa liberté, la peur revint. La peur d’être chassée, vendue de nouveau, emprisonnée. Elle pensa fuir, repartir dans la nature, retrouver les siens – s’ils étaient encore en vie.

Mais c’est alors que les habitants du quartier, ses clients, ses collègues, ses fournisseurs, se mobilisèrent. Certains vendirent des objets, d’autres donnèrent leurs maigres économies. Une collecte fut faite. En quelques jours, ils réunirent la somme nécessaire pour légaliser son affranchissement. Le papier officiel fut signé, et Maëdria, pour la première fois de sa vie, fut libre.
Elle aurait pu partir. Prendre la route vers l’Est, vers les terres sauvages, chercher les siens, recommencer ailleurs. Mais elle regarda les murs de la taverne, encore imprégnés de la voix de Bedan, de leurs rires, de leurs chamailleries. Ce lieu, c’était plus qu’un simple bâtiment : c’était un symbole. Un second foyer. Et surtout, c’était la preuve que même dans l’adversité, elle avait su se forger une nouvelle vie.

Alors elle resta.

Elle reprit la taverne en main, avec la même énergie, la même rigueur. Elle agrandit les cuisines, embaucha d’anciens orphelins, offrit des repas gratuits les jours de fête. Elle forma elle-même les nouveaux, comme Bedan l’avait fait avec elle. La taverne prospéra plus que jamais. On venait de partout pour goûter à ses plats, entendre son rire tonitruant ou simplement recevoir un conseil bienveillant… ou un regard noir si on dépassait les limites.
Aujourd’hui, Maëdria est une figure incontournable. Elle a gardé son tatouage rouge, ses cornes polies, ses épaules solides. Mais elle porte aussi un médaillon en bois autour du cou, gravé du nom de Bedan, qu’elle touche parfois quand elle est seule. Ce nom, elle ne veut jamais l’oublier. Car s’il est vrai qu’elle a tout appris par elle-même, c’est lui qui lui a tendu la main quand le monde l’avait réduite à une bête. Et dans chaque rire qu’elle partage, chaque chopine qu’elle sert, chaque bagarre qu’elle interrompt d’un simple grognement… Maëdria fait vivre sa mémoire. À sa manière.

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