Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Okkoji Yamamoto

Pages: [1] 2
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One Shot / Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)
« le: dimanche 15 juin 2025, 13:51:31 »
Okkoji, son corps sculpté luisant sous la lumière tamisée de la chambre, sent chaque frisson d’Aiko contre lui, chaque gémissement, chaque tremblement attisant le feu qui rugit dans ses veines. Allongé au-dessus d’elle, il savoure la vision de sa reine, ses longs cheveux noirs désormais détachés, s’étalant sur les draps de soie comme une cascade d’obsidienne, encadrant son visage rougi par le plaisir. Ses yeux rougeoyants captent chaque éclat d’amour dans son regard de biche, chaque soupir, chaque cambrure de son corps qui s’offre à lui avec une intensité qui le rend fou. Ses tatouages – dragons rouge sang et démons grimaçants – semblent vibrer sous la sueur, animés par la passion qui les consume, tandis que ses muscles se contractent sous les griffures légères d’Aiko, chaque marque sur sa peau attisant son désir brut. Son souffle rauque se mêle au parfum boisé et citronné de son propre corps, entrelacé à l’odeur enivrante de leur union, une alchimie qui le grise.

Le geste d’Aiko, libérant ses cheveux dans un mouvement fluide, fait naître un grognement guttural dans sa gorge, ses yeux s’étrécissant d’un éclat sauvage alors qu’il la regarde, captivé par la beauté de ses longues mèches déployées autour d’elle. Ses mains, calleuses mais tendres, glissent le long de ses flancs, s’attardant sur ses hanches avant de remonter pour caresser la peau douce de son ventre, puis de ses seins, où il effleure ses tétons avec une lenteur délibérée, arrachant un frisson à sa reine. Ses lèvres capturent les siennes dans un baiser brûlant, passionné, sa langue dansant avec la sienne, répondant à ses gémissements plaintifs avec une fougue qui trahit son impatience. Ses hanches s’accordent au rythme d’Aiko, ses ondulations lentes et provocantes le rendant presque fou, mais il savoure cette torture, déterminé à lui donner tout ce qu’elle demande.

« Ma reine… » grogne-t-il, sa voix rauque et profonde, un grondement chargé de désir alors que ses lèvres frôlent les siennes, son souffle chaud caressant sa bouche. « Tes cheveux… comme une cascade de soie… tu sais ce que ça me fait. » Un sourire en coin, arrogant mais empreint d’une tendresse infinie, étire ses lèvres alors qu’il se redresse légèrement, ses mains glissant sous ses reins pour la rapprocher de lui, ses doigts s’enfonçant dans sa peau douce. Il sent son corps se cambrer contre le sien, ses jambes écartées autour de sa taille, ses hanches ondulant avec une envie brûlante, et il répond par un coup de reins profond, précis, arrachant un cri étouffé à Aiko. Ses yeux ne quittent pas les siens, captant chaque larme de plaisir, chaque frisson, chaque soupir qui s’échappe de ses lèvres tremblantes.

Il accélère le rythme, ses hanches s’enfonçant en elle avec une force calculée, chaque mouvement une réponse à sa supplique de le sentir complètement. Ses mains glissent le long de ses cuisses, les maintenant écartées pour s’enfoncer plus profondément, son souffle devenant plus erratique alors qu’il grogne contre son cou, mordillant doucement la peau sensible juste sous son oreille. Ses lèvres reviennent à ses seins, capturant à nouveau ses tétons entre ses lèvres, les embrassant avec une tendresse féroce, sa langue jouant avec eux pour amplifier ses gémissements. Le lit de soie noire grince légèrement sous l’intensité de leurs mouvements, mais il tient bon, accueillant leur danse sauvage sans protester. Chaque coup de reins est une déclaration, chaque caresse une promesse, chaque grognement un aveu de son amour et de son désir pour elle.

« Tu veux me sentir, ma belle ? » murmure-t-il, sa voix rauque vibrant contre sa peau, ses lèvres traçant un chemin brûlant de son cou à sa clavicule. « Je vais te donner tout de moi… jusqu’à ce que tu ne puisses plus penser, plus parler, rien qu’à moi. » Il ponctue ses mots d’un coup de reins plus profond, plus intense, ses mains s’enfonçant dans les draps de part et d’autre d’Aiko, son corps s’arquant contre le sien. Il sent ses jambes trembler autour de lui, ses ongles griffant son dos, et il sait qu’elle est au bord du précipice. Il capture ses lèvres dans un baiser sauvage, sa langue dansant avec la sienne, ses dents effleurant sa lèvre inférieure alors qu’il accélère encore, déterminé à la faire crier comme elle le souhaite, à la mener au-delà du paradis.

La tension monte en lui, une vague puissante qui menace de les emporter tous les deux. Ses muscles se contractent sous l’effort, ses tatouages luisant sous la sueur, son regard rougeoyant brillant d’une intensité presque animale alors qu’il la guide vers un nouveau sommet. Avec un dernier élan, il l’emmène avec lui dans une explosion de plaisir, un grognement rauque s’échappant de ses lèvres alors qu’il se perd en elle, son corps tremblant contre le sien dans un moment d’intimité absolue. Il reste un instant immobile, son front pressé contre le sien, ses mains caressant doucement ses joues, prolongeant ce lien qui les unit, son souffle mêlé au sien dans la chaleur étouffée de la chambre.

« Ma reine, mon tout… » chuchote-t-il, sa voix rauque teintée d’une tendresse possessive, un sourire malicieux étirant ses lèvres alors qu’il se redresse légèrement, ses doigts traçant des lignes paresseuses sur sa peau encore frémissante. « Cette danse… elle n’est pas finie. Prête à remonter au paradis, encore une fois ? » Il se penche pour déposer un baiser doux mais brûlant sur ses lèvres, ses mains glissant sous ses reins pour la rapprocher de lui, son corps déjà prêt à reprendre leur jeu, déterminé à la faire jouir encore et encore, dans ce sanctuaire qu’il a bâti pour leur amour.

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One Shot / Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)
« le: mercredi 04 juin 2025, 15:57:13 »
Okkoji, son corps musclé vibrant sous la lumière tamisée de la chambre, sent chaque mouvement d’Aiko comme une provocation délicieuse, une danse de pouvoir où elle le défie avec une audace qui fait briller ses yeux rougeoyants d’un éclat sauvage. Allongé sous elle, il savoure la pression de son corps contre le sien, ses ondulations lentes et calculées qui le torturent avec une précision exquise. Ses tatouages – dragons rouge sang et démons grimaçants – luisent sous la sueur, semblant pulser au rythme de leur union, tandis que ses muscles se contractent sous les griffures légères d’Aiko, chaque marque sur sa peau attisant le feu qui brûle en lui. Son souffle rauque se mêle à ses gémissements, et le sourire en coin sur ses lèvres trahit un mélange d’amusement et de désir brut, prêt à répondre à son jeu tout en luttant pour ne pas reprendre le contrôle trop vite.

Le coup de langue d’Aiko sur son lobe d’oreille, suivi de cette morsure douce mais audacieuse, arrache un grognement guttural de sa gorge, ses yeux s’étrécissant alors qu’un frisson de surprise et de plaisir le traverse. Ses mains, calleuses mais pleines de tendresse, s’agrippent à ses hanches, ses doigts s’enfonçant dans sa peau douce, mais il se retient, la laissant mener cette danse torturante, son corps vibrant sous l’effort de se contenir. Le rythme lent et délibéré d’Aiko, ses mouvements de bassin qui le taquinent sans relâche, le poussent au bord de l’explosion, mais il savoure cette douce agonie, ses yeux ne quittant jamais les siens, captant chaque lueur de malice et d’amour dans son regard rougeâtre.

« Ma reine… » grogne-t-il, sa voix rauque et profonde, un grondement chargé d’une tension à peine contenue, ses lèvres frôlant son cou alors qu’il se redresse légèrement, son torse pressé contre sa poitrine. « Tu veux jouer à ce jeu ? Tu penses pouvoir me tenir en laisse ? » Un rire bas, presque menaçant, s’échappe de ses lèvres, teinté d’une admiration brûlante pour son audace. Ses mains glissent le long de son dos, ses doigts traçant des lignes brûlantes sur sa colonne vertébrale, s’enfonçant juste assez pour répondre à ses griffures par une pression possessive. Il sent son corps trembler contre le sien, ses gémissements plaintifs attisant son désir, mais il obéit – pour l’instant – à son injonction de patience, laissant ses ondulations lentes le consumer à petit feu.

Mais les mots d’Aiko, cette supplique chaude et sincère, brisent les dernières chaînes de sa retenue. Son regard s’embrase, ses yeux rougeoyants brillant d’une intensité presque animale alors qu’il répond à son invitation. Ses mains glissent sous ses reins, la soulevant légèrement pour reprendre le contrôle, ses hanches s’accordant à son rythme mais avec une force nouvelle, plus profonde, plus puissante. Chaque coup de reins est une réponse à sa demande, une promesse de lui faire perdre la tête comme elle le souhaite. Il capture ses lèvres dans un baiser sauvage, sa langue dansant avec la sienne, ses dents effleurant sa lèvre inférieure alors qu’il grogne contre sa bouche, son souffle erratique mêlé au sien.

« Tu veux crier, ma belle ? » murmure-t-il, sa voix rauque vibrant contre ses lèvres, un éclat de défi dans ses yeux. « Alors je vais te donner tout ce que tu demandes… et plus encore. » Il accélère le rythme, ses hanches s’enfonçant en elle avec une précision qui arrache des cris à Aiko, ses mains soutenant son corps pour intensifier chaque sensation. Ses lèvres quittent les siennes pour descendre le long de son cou, mordillant la peau sensible sous son oreille, puis revenant à ses seins, capturant à nouveau ses tétons entre ses lèvres, les embrassant avec une tendresse féroce, sa langue jouant avec eux pour amplifier ses gémissements. Chaque mouvement est calculé pour la pousser au bord de l’extase, chaque caresse une déclaration de son amour et de son désir.

Le lit de soie noire grince légèrement sous l’intensité de leurs mouvements, mais il tient bon, contrairement au banc du sauna. Okkoji grogne, son souffle chaud contre la peau d’Aiko, ses muscles se contractant sous l’effort alors qu’il la guide vers un nouveau sommet. Ses mains glissent sur ses cuisses, les écartant davantage pour s’enfoncer plus profondément, son regard ne quittant jamais le sien, captant chaque frisson, chaque cri, chaque larme de plaisir qui perle au coin de ses yeux. Il sent la tension monter en lui, une vague puissante qui menace de les emporter tous les deux, mais il tient bon, déterminé à lui offrir tout ce qu’elle demande.

« Aiko… ma reine, mon tout… » grogne-t-il, sa voix tremblante d’une passion brute, ses lèvres frôlant les siennes dans un baiser brûlant. « Je t’aime… et je vais te le prouver jusqu’à ce que tu ne puisses plus parler. » Il accentue ses paroles d’un coup de reins plus profond, plus intense, ses mains s’enfonçant dans les draps de part et d’autre d’Aiko, son corps s’arquant contre le sien. Il sent ses jambes trembler autour de lui, ses ongles griffant son dos, et il sait qu’elle est au bord du précipice. Avec un dernier élan, il l’emmène avec lui dans une explosion de plaisir, un grognement rauque s’échappant de ses lèvres alors qu’il se perd en elle, son corps tremblant contre le sien dans un moment d’intimité absolue.

Il reste un instant immobile, son front pressé contre le sien, ses mains caressant doucement ses joues, prolongeant ce lien qui les unit. Puis, un sourire en coin apparaît sur ses lèvres, un éclat malicieux dans ses yeux rougeoyants alors qu’il se redresse légèrement, ses doigts traçant des lignes paresseuses sur sa peau encore frémissante. « On n’a pas fini, ma reine, » chuchote-t-il, sa voix rauque teintée d’une promesse audacieuse. « Ce paradis… on va le redessiner ensemble, encore et encore. Prête pour la prochaine danse ? » Il se penche pour déposer un baiser doux mais brûlant sur ses lèvres, ses mains glissant sous ses reins pour la rapprocher de lui, son corps déjà prêt à reprendre leur jeu, déterminé à la mener toujours plus loin dans ce sanctuaire qu’il a bâti pour leur amour.

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One Shot / Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)
« le: mardi 03 juin 2025, 11:45:37 »
Okkoji, son corps musclé luisant sous la lumière tamisée de la chambre, sent l’énergie d’Aiko vibrer contre lui, son audace et sa malice attisant le feu qui brûle dans ses veines. Allongé sous elle, il savoure la vision de sa reine perchée à califourchon, ses yeux rougeoyants captant chaque frisson, chaque rougeur sur ses joues, chaque ondulation de son bassin qui le fait grogner de plaisir. Ses tatouages – dragons rouge sang et démons grimaçants – semblent pulser sur sa peau, animés par la passion qui les consume. Ses mains, calleuses mais tendres, reposent sur sur ses hanches, accompagnant ses mouvements avec une retenue calculée, laissant Aiko mener la danse tout en sentant son propre désir monter, prêt à répondre à son défi. La façon dont elle le provoque, son coup de langue taquin sur son torse, son corps frôlant le sien, fait naître un sourire sauvage sur ses lèvres, un mélange d’arrogance et d’admiration pour cette femme qui sait si bien le faire plier.

Mais son envie de reprendre le contrôle, ne serait-ce qu’un instant, le pousse à agir. Ses yeux s’étrécissent, un éclat féroce y dansant, alors qu’il se redresse davantage, ses abdominaux se contractant sous l’effort. Ses mains glissent de ses hanches à son dos, la rapprochant de lui avec une force possessive mais empreinte de tendresse. Il incline la tête, ses lèvres frôlant d’abord son cou, puis descendant lentement, délibérément, jusqu’à sa poitrine. Il sent le frisson qui parcourt Aiko alors que ses lèvres effleurent la peau sensible de ses seins, et avec une lenteur calculée, il capture un de ses tétons entre ses lèvres, l’embrassant doucement d’abord, puis avec une intensité croissante, sa langue traçant des cercles brûlants autour de la pointe durcie. Un grognement rauque s’échappe de sa gorge, vibrant contre sa peau, alors qu’il savoure son goût, son souffle chaud caressant son sein tandis qu’il passe à l’autre, lui offrant la même attention passionnée, ses dents effleurant à peine la peau pour la faire frémir.

« Ma reine… » murmure-t-il contre sa poitrine, sa voix rauque et profonde, un grondement chargé de désir. « Tu veux jouer ? Alors laisse-moi te montrer à quel point je peux t’emmener loin. » Ses lèvres continuent leur exploration, alternant entre baisers tendres et mordillements légers sur ses tétons, ses mains soutenant son dos pour la maintenir près de lui, ses doigts s’enfonçant dans sa peau douce. Chaque gémissement d’Aiko, chaque tremblement de son corps sous ses caresses, attise la flamme en lui, le poussant à intensifier ses attentions. Il sent son bassin onduler contre le sien, et il répond par un léger mouvement de hanches, s’accordant à son rythme, amplifiant la sensation qui les unit.

Il relève les yeux, son regard rougeoyant plongé dans le sien, captant la lueur de plaisir et de malice dans ses prunelles. Ses mains glissent à nouveau sur ses hanches, ses doigts s’enfonçant juste assez pour l’encourager à continuer ses ondulations, tout en maintenant une tension délicieuse entre eux. Il se redresse encore, s’asseyant presque, son torse pressé contre sa poitrine, ses lèvres quittant ses seins pour remonter vers son cou, mordillant doucement la peau sensible sous son oreille avant de capturer ses lèvres dans un baiser profond, passionné, sa langue dansant avec la sienne avec une fougue qui trahit son impatience. Ses hanches s’accordent au rythme d’Aiko, le mouvement s’accélérant légèrement, leurs corps se mouvant en une synchronisation parfaite, comme une tempête prête à les emporter.

« Tu me rends fou, Aiko, » grogne-t-il contre sa bouche, son souffle erratique mêlé au sien, ses yeux brillant d’une intensité sauvage. « Chaque parcelle de toi… je veux tout. Et je ne vais pas m’arrêter avant qu’on ait exploré chaque recoin de ce paradis. » Il ponctue ses mots d’un coup de reins plus marqué, ses mains glissant sous ses reins pour la soulever légèrement, changeant l’angle pour intensifier le plaisir. Ses lèvres reviennent brièvement à ses seins, embrassant à nouveau ses tétons avec une tendresse féroce, sa langue jouant avec eux pour arracher de nouveaux gémissements à Aiko, avant de remonter pour capturer son regard, un sourire en coin trahissant son intention de la pousser encore plus loin.

« Alors, ma belle, » chuchote-t-il, sa voix rauque vibrante de désir, ses doigts traçant des lignes brûlantes le long de sa colonne vertébrale. « On continue ce voyage ? Montre-moi jusqu’où tu veux aller… mais sache que je te suis, et que je ne te lâcherai pas. » Il ralentit un instant, ses yeux plongés dans les siens, attendant sa réponse, son corps vibrant d’une énergie prête à exploser, prêt à la mener au-delà du paradis dans ce sanctuaire qu’il a bâti pour leur amour.

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One Shot / Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)
« le: lundi 02 juin 2025, 19:13:41 »
Okkoji, son corps sculpté luisant sous la lumière tamisée de la chambre, sent chaque frisson d’Aiko vibrer contre lui, chaque gémissement, chaque tremblement attisant le feu qui brûle dans ses veines. Ses yeux rougeoyants, plongés dans les siens, captent la lueur d’amour et de désir dans son regard, cette timidité persistante qui le fait sourire, un mélange d’arrogance et de tendresse. Ses muscles se tendent sous ses tatouages vibrants qui semblent danser sur sa peau alors qu’il la domine, ses mains calleuses parcourant ses courbes avec une précision possessive. Le lit de soie noire, vaste et solide, accueille leurs corps entrelacés, les draps se froissant sous leurs mouvements passionnés. Chaque ondulation d’Aiko, chaque cambrure de son corps contre le sien, chaque griffure légère sur ses épaules, le pousse à se perdre davantage en elle, à répondre à son besoin avec une intensité brute.

Ses lèvres capturent les siennes dans un baiser brûlant, sa langue explorant la sienne avec une fougue insatiable, tandis que ses hanches reprennent leur danse, un rythme à la fois lent et puissant, chaque coup de reins calculé pour la faire chavirer. Il grogne doucement, un son guttural qui vibre contre sa peau, alors que ses mains glissent de ses hanches à ses cuisses, les écartant légèrement pour s’enfoncer plus profondément, arrachant un gémissement plaintif à Aiko. Son corps répond au sien avec une synchronisation parfaite, ses jambes tremblantes s’enroulant autour de sa taille, ses ongles traçant des lignes brûlantes sur sa peau tatouée. La chaleur de leurs corps, la tension électrique qui les unit, fait monter en lui une vague de désir irrépressible, un besoin de la posséder entièrement, de la mener au-delà des limites du plaisir.

« Aiko… ma reine… » murmure-t-il contre ses lèvres, sa voix rauque et profonde, un grognement chargé de passion et de défi. « Tu veux le paradis ? Je vais t’emmener si loin que même les étoiles en seront jalouses. » Ses mots sont ponctués d’un coup de reins plus intense, ses muscles se contractant sous l’effort, ses yeux ne quittant pas les siens, observant chaque frisson, chaque soupir qu’elle lui offre. Il sent son corps trembler sous lui, ses jambes yoyotant autour de sa taille, ses mains explorant frénétiquement son visage, ses cheveux, ses épaules, comme si elle cherchait à s’ancrer à lui dans cette tempête de sensations.

Il ralentit un instant, prolongeant l’attente, ses lèvres frôlant son cou, mordillant doucement la peau sensible juste sous son oreille, là où il sait qu’elle est la plus vulnérable. Ses mains, puissantes mais tendres, remontent le long de ses flancs, caressant ses seins avec une lenteur délibérée, ses pouces effleurant leur pointe sensible, arrachant un nouveau gémissement à Aiko. Puis, avec une précision calculée, il accélère à nouveau, ses hanches s’enfonçant en elle avec une force qui fait vibrer le lit, les draps de soie glissant sous leurs corps. Chaque mouvement est une promesse, chaque caresse un serment, chaque grognement un aveu de son besoin d’elle. Il sent la tension monter à nouveau, une vague puissante qui menace de les emporter tous les deux.

Il capture ses lèvres dans un baiser plus profond, plus sauvage, sa langue dansant avec la sienne alors que ses hanches s’accélèrent, le rythme devenant presque frénétique. Ses mains s’enfoncent dans les draps de part et d’autre d’Aiko, ses muscles saillants se contractant sous l’effort, ses tatouages luisant sous la sueur. Il grogne contre sa bouche, son souffle erratique mêlé au sien, alors qu’il la guide vers l’extase, déterminé à lui offrir ce qu’elle demande – et plus encore. Ses lèvres quittent les siennes pour tracer un chemin brûlant le long de son cou, de son épaule, mordillant et embrassant chaque parcelle de peau, marquant son territoire avec une tendresse féroce.

« Tiens-toi à moi, ma belle, » grogne-t-il, sa voix vibrant d’une intensité presque animale, ses yeux rougeoyants brillant dans la pénombre. « On va au-delà du paradis, toi et moi. Accroche-toi, parce que je ne te lâcherai pas. » Il accentue ses paroles d’un coup de reins plus profond, plus puissant, arrachant un cri à Aiko, ses jambes tremblantes se resserrant autour de lui, ses ongles s’enfonçant dans ses épaules. Il sent son corps se cambrer sous lui, ses gémissements devenant plus forts, plus désespérés, et il sait qu’elle est au bord du précipice, tout comme lui.

Avec une dernière poussée, il l’emmène avec lui dans une explosion de plaisir, son corps tremblant contre le sien, un grognement rauque s’échappant de ses lèvres alors qu’il se perd en elle, son souffle mêlé au sien dans un moment d’intimité absolue. Il reste un instant immobile, son front pressé contre le sien, ses mains caressant doucement ses joues, prolongeant ce lien qui les unit. Puis, un sourire en coin apparaît sur ses lèvres, un éclat malicieux dans ses yeux alors qu’il se redresse légèrement, ses doigts traçant des lignes paresseuses sur sa peau encore frémissante.

« Le paradis, c’était juste le début, ma reine, » chuchote-t-il, sa voix rauque teintée d’une promesse audacieuse. « Cette nuit, cette suite, ce lit… on n’a pas fini d’explorer. Prête pour un autre voyage ? » Il se penche pour déposer un baiser doux mais brûlant sur ses lèvres, ses mains glissant sous ses reins pour la rapprocher de lui, son corps déjà prêt à reprendre leur danse, déterminé à la mener toujours plus loin dans ce sanctuaire qu’il a créé pour eux.

5
One Shot / Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)
« le: dimanche 01 juin 2025, 23:45:59 »
Okkoji, ses muscles luisants sous la vapeur brûlante du sauna, sent chaque mot d’Aiko s’enfoncer en lui comme une braise ravivant son désir. Ses yeux rougeoyants, plongés dans les siens, capturent chaque éclat de passion, chaque frisson qui parcourt son corps cambré sous lui. Les gémissements d’Aiko, mêlés aux grincements stridents du banc, emplissent l’air saturé, amplifiant l’intensité de cet instant où le monde extérieur n’existe plus. Ses mains calleuses, marquées par une vie de combats, s’agrippent à ses hanches, ses doigts s’enfonçant dans sa peau douce alors qu’il accélère ses coups de reins, répondant à l’appel de son corps ondulant contre le sien. Les griffures sur ses épaules, laissées par les ongles d’Aiko, attisent une douleur exquise qui alimente son ardeur. Son souffle rauque se mêle aux soupirs d’Aiko, et ses tatouages – dragons rouge sang et démons grimaçants – semblent vibrer sous la sueur, comme animés par leur passion dévorante.

Les paroles d’Aiko, pleines d’amour et de malice, font naître un sourire sauvage sur ses lèvres. Il sent son corps trembler contre le sien, ses jambes serrées autour de sa taille, ses bras l’enlaçant avec une force qui trahit son besoin insatiable de lui. Chaque mot qu’elle murmure, chaque regard pétillant qu’elle lui lance, le pousse à se perdre davantage en elle. Il grogne doucement, un son guttural vibrant contre son cou alors qu’il ralentit un instant, prolongeant l’attente, ses hanches s’immobilisant juste assez pour la faire frémir d’anticipation. Puis, incapable de résister à l’appel de son corps, il reprend un rythme plus profond, plus puissant, chaque coup de reins envoyant des vagues de plaisir à travers eux deux.

« Aiko… ma reine… » murmure-t-il, sa voix rauque et brûlante, presque un grognement, alors que ses lèvres effleurent les siennes, capturant son souffle. « Tu me rends fou… Tu veux le septième ciel ? Je t’y emmène, maintenant. » Ses mots sont ponctués d’un coup de reins plus intense, arrachant un gémissement plaintif à Aiko. Ses mains glissent sous ses reins, la soulevant légèrement pour s’enfoncer plus profondément, son regard ne quittant pas le sien, observant chaque frisson, chaque tremblement de plaisir qui la traverse. La chaleur du sauna, la vapeur qui les enveloppe, amplifie chaque sensation, chaque contact de leurs corps en fusion.

Il sent une tension irrépressible monter en lui, une vague prête à l’engloutir. Les gémissements d’Aiko, de plus en plus forts, le poussent au bord du précipice. Ses hanches s’accélèrent, ses muscles se contractant sous l’effort, ses tatouages luisant sous la sueur alors qu’il se donne à elle sans retenue. Le banc grince dangereusement sous eux, mais il n’en a cure, son esprit entièrement consumé par elle, par la façon dont elle s’abandonne à lui, par la chaleur de son corps pressé contre le sien. Avec un dernier coup de reins, profond et puissant, il atteint l’extase, un grognement rauque s’échappant de ses lèvres alors qu’il jouit en elle, son corps tremblant sous l’intensité du moment. Il reste un instant immobile, son souffle erratique mêlé au sien, ses mains caressant doucement ses hanches, prolongeant ce lien intime qui les unit.

Mais Okkoji n’en a pas fini. Un éclat sauvage brille dans ses yeux alors qu’il se redresse légèrement, son torse bombé se soulevant à chaque respiration. Sans un mot, il glisse ses bras sous le corps d’Aiko, la soulevant avec une facilité déconcertante, ses muscles saillants se contractant sous l’effort. Il l’enlace étroitement, ses lèvres frôlant les siennes dans un baiser brûlant, possessif, tandis qu’il la porte hors du sauna, la vapeur s’écartant comme un rideau autour d’eux. Ses pas assurés les mènent à travers la suite, ses yeux ne quittant jamais ceux d’Aiko, un sourire en coin trahissant son intention de ne pas s’arrêter là.

Il pousse la porte de la chambre d’un coup d’épaule, révélant une pièce somptueuse baignée d’une lumière tamisée, un lit king-size trônant au centre, drapé de soie noire. Sans relâcher Aiko, il la dépose doucement sur le lit, son corps toujours pressé contre le sien, ses mains explorant à nouveau ses courbes avec une avidité renouvelée. Il s’installe au-dessus d’elle, ses doigts traçant des lignes brûlantes sur sa peau, remontant de ses cuisses à son visage, où il caresse sa joue avec une tendresse possessive.

« Le septième ciel, dis-tu ? » murmure-t-il, sa voix rauque vibrant d’un mélange de désir et de défi. « On n’a pas fini, ma belle. Ce lit, ces murs, cette suite… ils sont à nous. Et je vais te faire crier mon nom jusqu’à ce que tu oublies tout le reste. » Il capture ses lèvres dans un baiser profond, passionné, sa langue explorant la sienne avec une fougue qui trahit son impatience. Ses hanches reprennent leur danse, lentement d’abord, puis avec une intensité croissante, ses mains s’enfonçant dans les draps de part et d’autre d’Aiko, son corps s’arquant contre le sien.

Chaque mouvement est calculé, chaque caresse destinée à la faire chavirer. Il mordille doucement son cou, ses lèvres traçant un chemin brûlant jusqu’à son épaule, tandis que ses hanches s’enfoncent en elle avec une précision qui arrache des gémissements de plus en plus forts. Le lit, plus solide que le banc du sauna, accueille leurs ébats sans protester, les draps se froissant sous leurs corps entrelacés. Okkoji grogne doucement, son souffle chaud contre la peau d’Aiko, ses yeux rougeoyants brillant d’une passion dévorante alors qu’il la guide à nouveau vers l’extase, déterminé à lui offrir tout ce qu’elle désire, et plus encore.

« Dis-moi, ma reine… » chuchote-t-il contre ses lèvres, son ton chargé d’une promesse sauvage. « Prête à grimper encore plus haut ? » Il ralentit un instant, ses yeux plongés dans les siens, attendant sa réponse, son corps vibrant d’une énergie prête à exploser à nouveau, prêt à l’emmener dans une danse sans fin dans ce sanctuaire qu’il a créé pour eux.

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One Shot / Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)
« le: dimanche 01 juin 2025, 21:08:21 »
Okkoji, son torse luisant de sueur sous la vapeur dense du sauna privatif, resserre son étreinte autour d’Aiko, ses mains larges et calleuses glissant avec une lenteur possessive le long de ses hanches, explorant chaque courbe de son corps avec une intensité mêlant désir brut et une tendresse qu’il ne réserve qu’à elle. Ses yeux rouge incandescent, brûlants comme des braises dans la pénombre, capturent les siens, un éclat magnétique dans le regard. Un sourire audacieux, teinté de cette arrogance qui le définit, étire ses lèvres alors qu’il sent les frissons d’Aiko sous ses caresses, son corps vibrant contre le sien. La chaleur du sauna enveloppe leurs silhouettes entrelacées, amplifiant chaque sensation, chaque frôlement de peau contre peau. Ses tatouages – dragons aux écailles rouge sang et démons grimaçants – semblent danser sous la lumière tamisée, comme animés par la passion qui les consume. La cigarette, symbole habituel de son aura de danger, est absente, mais la tension de ses muscles saillants et la profondeur de son regard suffisent à projeter cette menace envoûtante.]

Il ralentit légèrement le rythme de ses coups de reins, ses hanches ondulant avec une précision calculée, prolongeant le plaisir qui fait trembler Aiko sous lui. Ses doigts, marqués par les cicatrices d’une vie de combats, s’enfoncent doucement dans la chair de ses cuisses, les écartant davantage pour se nicher plus profondément en elle. Son souffle rauque, mêlé de gémissements contenus, vibre contre son cou alors qu’il sent son corps répondre – ses jambes serrées autour de sa taille, ses ongles griffant légèrement ses épaules tatouées. Ce contact, cette connexion viscérale, attise la flamme qui brûle en lui, une chaleur qui menace de le consumer. Il se penche, ses lèvres effleurant l’oreille d’Aiko, son souffle chaud caressant sa peau sensible.]

« Aiko, ma douce, ma reine… » commence-t-il, sa voix grave et chaude, presque un murmure, mais chargée d’une autorité qui fait frissonner l’air saturé de vapeur. Chaque mot est pesé, comme s’il scellait un pacte entre eux.] « Cet hôtel, ce sauna, ces murs… tout m’appartient. Chaque pierre, chaque ombre, chaque souffle ici est à moi. À nous. » Il marque une pause, ses lèvres frôlant la peau douce de son cou, y déposant un baiser brûlant qui arrache un frisson à Aiko.] « Ce n’est pas juste un refuge pour ce soir, Aiko. C’est ta nouvelle maison. À toi et à Katsu. J’ai tout orchestré – les titres, les contrats, les faux noms. Intraçable. Même les Kuroda, ces chiens, ne trouveront rien. »

Il redresse légèrement la tête, son regard perçant plongé dans le sien, un éclat de défi dans ses yeux rougeoyants, comme s’il défiait le monde entier de s’opposer à lui. Ses mains glissent sur ses flancs, remontant jusqu’à ses seins, qu’il caresse avec une lenteur délibérée, ses pouces effleurant leur pointe sensible, arrachant un gémissement étouffé à Aiko. Ses hanches reprennent un rythme plus soutenu, plus puissant, chaque coup de reins envoyant des vagues de chaleur à travers le corps de sa femme, qui s’arque contre lui, ses gémissements emplissant l’air. Il grogne doucement, sa main gauche glissant dans ses cheveux bruns, tirant légèrement pour exposer son cou, qu’il mordille avec une tendresse féroce, marquant sa peau comme pour réclamer ce qui lui appartient.]

« J’ai fait de cet endroit une forteresse, » poursuit-il, sa voix plus profonde, vibrante d’une promesse inflexible.] « Les caméras sont désactivées, les gardes sont mes hommes, triés sur le volet. Personne ne saura que nous sommes ici, que tu es mienne. » Un sourire en coin apparaît, teinté d’une pointe d’arrogance, tandis que ses muscles se tendent sous l’effort, ses tatouages luisant sous la sueur. Le banc sous eux grince bruyamment, protestant sous leurs mouvements de plus en plus frénétiques, mais Okkoji n’en a cure, son attention entièrement captivée par Aiko, par la façon dont son corps s’abandonne à lui.] « Et ce banc qui gémit sous nous ? Qu’il se brise, je m’en contrefous. Je ferai construire un lit d’acier pour toi, pour toutes les nuits où je te prendrai, encore et encore, jusqu’à ce que tu cries mon nom au monde entier. »

Il capture ses lèvres dans un baiser profond, presque vorace, sa langue explorant la sienne avec une passion qui contraste avec la précision de ses gestes. Ses hanches s’enfoncent plus fort, plus vite, chaque mouvement arrachant un cri étouffé à Aiko, dont les ongles s’enfoncent plus profondément dans ses épaules, griffant la peau tatouée. Il ralentit un instant, juste assez pour la faire languir, ses yeux ne quittant pas les siens, observant chaque frisson, chaque soupir qu’elle lui offre. Ses doigts caressent son visage, son pouce traçant la courbe de sa lèvre inférieure, alors qu’il sent son propre désir atteindre un point de non-retour.]

« Tu veux aller ailleurs ? » demande-t-il, un éclat taquin dans la voix, mais teinté d’une promesse sombre, presque menaçante dans son intensité.] « Cet endroit est notre sanctuaire. Chaque pièce, chaque recoin, je l’ai pensé pour toi. Pour nous. » Il accentue ses paroles d’un coup de reins plus profond, arrachant un gémissement plaintif à Aiko, ses doigts se crispant sur lui.] « Mais si tu veux tester chaque surface de cette suite… le lit, le sol, contre les murs… je suis prêt à t’emmener partout, ma belle. »

Il glisse une main sous ses reins, la soulevant légèrement pour changer l’angle, intensifiant la sensation alors qu’il accélère à nouveau, son souffle devenant plus erratique, mêlé aux gémissements d’Aiko. Le banc grince de plus belle, mais il s’en moque, son esprit entièrement consumé par elle, par la chaleur de son corps, par la façon dont elle s’abandonne à lui, son prénom s’échappant de ses lèvres dans un murmure tremblant. Il sent ses jambes trembler autour de lui, ses ongles marquant sa peau, et ce mélange de douleur et de plaisir attise encore plus son ardeur. Il se penche, ses lèvres frôlant les siennes, son regard brûlant d’une intensité presque sauvage.]

« Dis-moi ce que tu veux, Aiko, » grogne-t-il, sa voix rauque vibrant contre sa bouche.] « Ici, maintenant, ou partout dans cette foutue suite… je te donnerai tout. Corps et âme. » Il ralentit à nouveau, juste assez pour la faire frémir d’anticipation, ses doigts caressant son visage avec une tendresse possessive. Ses hanches s’immobilisent un instant, prolongeant l’attente, avant de reprendre avec une lenteur délibérée, chaque mouvement calculé pour la faire chavirer.] « C’est notre royaume, ma reine. Dis-moi où tu veux qu’on aille, et je t’y emmène. »

Il attend sa réponse, son corps toujours pressé contre le sien, leurs souffles entremêlés dans la brume chaude, chaque muscle tendu par le désir, prêt à la suivre dans cet instant où le monde extérieur s’efface, où il n’y a qu’eux, leur passion, et ce sanctuaire qu’il a bâti pour elle.]

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: dimanche 01 juin 2025, 14:02:46 »
J'offre mon corps du coup ? Qui 10 mieux ?

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One Shot / Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)
« le: dimanche 01 juin 2025, 10:53:03 »
Okkoji sentit son cœur s’emballer lorsque les lèvres d’Aiko effleurèrent les siennes, son baiser doux mais chargé d’une intensité qui fit naître une chaleur ardente dans tout son être. La vapeur du sauna, flottant en volutes épaisses autour d’eux, rendait l’atmosphère presque irréelle, amplifiant chaque sensation, chaque frôlement, chaque regard échangé. « Je veux juste votre bonheur… Katsu a besoin de son papa… Et moi j’ai besoin de mon Okkoji… » Ces mots, murmurés par Aiko avec une tendresse infinie, résonnaient dans son esprit comme une mélodie, attisant un feu mêlé d’amour profond et de désir brut. Ces paroles, si vulnérables, si sincères, le touchaient au plus profond de son âme, renforçant son besoin de la chérir, de la protéger, de l’aimer de toutes les manières possibles.

Quand Aiko s’allongea doucement sur le banc, l’attirant vers elle avec une grâce timide, Okkoji suivit son mouvement, son corps répondant instinctivement à l’appel de sa femme. Ses mains, larges et chaudes, trouvèrent ses hanches, caressant la peau douce et légèrement luisante sous l’effet de la chaleur moite du sauna. Il plongea son regard dans le sien, captivé par ses yeux brillants d’émotion, où il lisait un amour si pur qu’il en avait le souffle coupé. Elle était son univers, et cet instant, dans l’intimité feutrée de ce sauna privatif, n’appartenait qu’à eux.

« Aiko… » murmura-t-il, sa voix rauque, tremblante d’un mélange de désir et d’adoration. Il se pencha vers elle, son torse frôlant sa peau nue, envoyant une décharge de chaleur à travers tout son corps. Sa main remonta lentement le long de sa joue, son pouce traçant le contour de ses lèvres entrouvertes, légèrement humides, avant de descendre avec une lenteur délibérée sur son cou, puis sur la courbe délicate de son épaule. Chaque caresse était un hommage à sa beauté, à cet amour qu’il ressentait depuis leur premier regard, un amour qui ne faisait que croître avec le temps.

Leurs lèvres se retrouvèrent dans un baiser plus profond, plus avide, leurs langues s’entremêlant dans une danse passionnée mais empreinte de tendresse. Okkoji sentit le cœur d’Aiko battre sous sa poitrine, un rythme rapide et vibrant qui faisait écho au sien. « Tu es ma vie… » souffla-t-il contre sa bouche, ses mots à peine audibles dans l’intensité du moment. Ses mains glissèrent sur ses flancs, effleurant la peau soyeuse, puis remontèrent vers ses seins, les caressant avec une révérence mêlée de désir. Ses doigts, délicats mais fermes, explorèrent leur douceur, effleurant les pointes sensibles, provoquant un léger frisson qui le fit sourire contre ses lèvres. Il voulait prendre son temps, savourer chaque instant, chaque réaction de son corps.

Il se redressa légèrement, juste assez pour admirer la silhouette d’Aiko étendue sous lui, sa peau scintillant sous la lumière tamisée, sublimée par la vapeur qui dansait autour d’eux. « Tu es tellement belle… » murmura-t-il, sa voix empreinte d’une admiration presque sacrée. Il se pencha pour déposer une série de baisers brûlants le long de son cou, sa langue traçant des lignes humides sur sa peau, savourant son goût légèrement salé par la chaleur. Il descendit lentement, prenant son temps, ses lèvres effleurant sa clavicule, puis s’attardant sur la courbe de ses seins. Il embrassa chaque parcelle avec une dévotion absolue, sa langue jouant doucement autour d’une pointe durcie, avant de l’aspirer délicatement, attentif aux moindres réactions de sa femme. Ses mains, pendant ce temps, caressaient ses hanches, ses doigts s’enfonçant légèrement dans sa chair douce, explorant chaque courbe comme s’il la découvrait pour la première fois.

Aiko enroula ses jambes autour de ses hanches, l’attirant plus près, et Okkoji sentit une vague de désir l’envahir, plus puissante encore. Son souffle devint plus lourd, ses muscles se tendant sous l’effort de contenir l’intensité de son envie. « Aiko… » murmura-t-il, son ton presque suppliant, alors qu’il relevait les yeux pour croiser son regard, cherchant cet amour, cette connexion qui les unissait. Il voulait lui offrir tout ce qu’elle méritait, chaque caresse, chaque baiser étant une promesse de son dévouement. Ses lèvres descendirent plus bas, traçant un chemin de baisers humides sur son ventre, s’attardant sur la peau sensible juste au-dessus de sa taille. Il sentit son corps frémir sous ses lèvres, et cela ne fit qu’attiser son désir de l’aimer davantage.

Il remonta lentement, ses mains glissant le long de l’intérieur de ses cuisses, caressant la peau douce avec une tendresse infinie. Il s’arrêta un instant, ses doigts effleurant délicatement l’intimité d’Aiko, prenant soin de ne pas brusquer, de laisser le plaisir monter doucement. Il se pencha pour l’embrasser de nouveau, ses lèvres capturant les siennes dans un baiser profond, passionné, tandis que ses doigts poursuivaient leur exploration, attentifs à chaque frisson, chaque soupir qu’elle pourrait laisser échapper. « Je veux te sentir… » murmura-t-il contre son oreille, sa voix basse et vibrante, avant de mordiller doucement le lobe, sa langue jouant avec la peau sensible.

Okkoji ajusta sa position, ses mains soutenant toujours ses hanches, et il plongea une fois encore son regard dans le sien, cherchant son consentement, son désir. Avec une lenteur presque torturante, il entra en elle, un mouvement fluide et tendre, mais chargé d’une intensité qui le fit frissonner de la tête aux pieds. Il laissa échapper un soupir rauque, ses mains se crispant légèrement sur ses hanches alors qu’il s’abandonnait à la sensation de leurs corps unis. Il commença à bouger, d’abord lentement, presque religieusement, savourant chaque instant, chaque connexion. Ses lèvres trouvèrent de nouveau les siennes, l’embrassant avec une passion dévorante, tandis qu’il murmurait son nom comme une prière. « Aiko… »

Leurs mouvements s’accordèrent dans un rythme fluide, chaque poussée empreinte d’amour et de désir. Okkoji se perdait dans la chaleur d’Aiko, dans la douceur de sa peau contre la sienne, dans la façon dont leurs corps semblaient faits l’un pour l’autre. Il glissa une main sous son dos, la soulevant légèrement pour approfondir leur connexion, tandis que l’autre caressait ses cheveux, son visage, ses joues rosies par la chaleur et l’émotion. Il alternait entre des baisers passionnés sur ses lèvres et des caresses plus légères sur son cou, sa langue traçant des cercles sur sa peau, savourant chaque frisson qu’il provoquait.

« Aiko… je t’aime… » murmura-t-il, sa voix tremblante, ses lèvres effleurant son oreille avant de descendre pour embrasser la base de son cou, là où il sentait son pouls battre sous sa peau. Il accéléra légèrement, guidé par l’intensité du moment, par la façon dont leurs corps se répondaient. Chaque mouvement était un serment, une promesse de lui offrir tout ce qu’elle désirait, de construire cet avenir qu’elle avait évoqué pour eux, pour leur famille. La vapeur du sauna les enveloppait comme un cocon, amplifiant chaque sensation, chaque caresse, chaque souffle partagé, dans une intimité où le reste du monde semblait s’effacer.

Okkoji ralentit un instant, ses lèvres revenant à celles d’Aiko, son baiser plus doux, presque apaisant, comme s’il voulait ancrer cet instant dans l’éternité. Ses mains continuèrent d’explorer son corps, caressant ses cuisses, ses hanches, remontant jusqu’à ses seins, chaque toucher empreint d’une tendresse infinie. Il voulait prolonger ce moment, la chérir encore et encore, attendre ses réactions, ses désirs, pour les emmener tous deux plus loin dans cette danse d’amour et de passion.

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One Shot / Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)
« le: samedi 31 mai 2025, 22:02:48 »
Okkoji Yamamoto se tenait dans le couloir élégant du Seikusu Palace, ses yeux écarlates captant la lumière douce des lanternes qui dansaient sur les murs de bois poli. Le sourire timide d’Aiko, ses joues rosies par ses compliments, et ses yeux pétillants d’une tendresse infinie faisaient vaciller la carapace d’acier qu’il portait en tant qu’oyabun. Sa réponse à sa demande de remariage, vibrante d’émotion, avait fait battre son cœur à un rythme qu’il ne connaissait qu’avec elle. Ce baiser fugace qu’elle lui avait offert, léger comme une pétale de cerisier mais brûlant d’amour, avait rallumé une flamme qu’il contenait avec peine, fidèle à la retenue japonaise qui régissait leur comportement en public. L’image de Katsu, endormi avec son doudou serré contre lui et un livre ouvert à ses côtés, restait gravée dans son esprit, un rappel de ce qu’il chérissait le plus. Maintenant, face à Aiko, qui l’entraînait doucement par la main, il sentait une vague d’amour et d’anticipation l’envahir, tempérée par la discipline qui définissait sa vie.

« Aiko… » murmura-t-il, sa voix rauque et profonde résonnant dans le silence feutré du couloir. Ses yeux écarlates plongèrent dans les siens, captivés par leur éclat malicieux et tendre. « Ce sourire… il pourrait faire plier n’importe quel homme, même moi. » Un sourire discret, presque imperceptible, se dessina sur ses lèvres, un éclat rare qu’elle seule pouvait provoquer. Il serra sa main, ses doigts calleux enlaçant les siens avec une douceur mesurée, comme pour sceller cet instant. « Katsu, avec ses câlins surprises et sa ténacité… il a pris le meilleur de nous deux. Mais cette malice, cette façon de me désarmer d’un regard… ça, c’est tout toi. » Il inclina légèrement la tête, une lueur amusée dans le regard, mais empreinte d’une adoration profonde pour la femme qui était son monde.

Lorsqu’elle referma la porte de la chambre de Katsu, veillant à ne pas troubler son sommeil, Okkoji sentit une bouffée de gratitude pour sa délicatesse. Son murmure, doux et intime, et la manière dont elle entrelassa ses doigts aux siens, le firent frissonner intérieurement. Il la suivit, ses pas s’accordant aux siens alors qu’elle l’entraînait dans les couloirs du palais, son regard ne quittant pas le sien. Sa suggestion – une balade dans le jardin, un moment dans le sauna, puis une discussion dans leur chambre – fit naître une chaleur dans sa poitrine, mêlée d’une anticipation qu’il tempéra par sa discipline habituelle. À ce carrefour de couloirs, où elle s’arrêta, ses yeux pétillants de malice lui offrant le choix, il sentit une impulsion rare : celle de la surprendre, tout en suivant son plan, pour prolonger cet instant de paix.

« Une balade sous les cerisiers, un sauna, une discussion… » répéta-t-il, sa voix basse et teintée d’une pointe de malice, ses yeux écarlates scintillant d’une intensité qui répondait à la sienne. « Tu sais rendre chaque instant précieux, Aiko. » Il fit un pas plus près, réduisant l’espace entre eux, mais veillant à maintenir une distance respectueuse, son costume noir et sa pochette rouge sang captant la lumière tamisée. Il inclina légèrement la tête, son regard s’adoucissant. « Allons dans le jardin d’abord. Je veux te voir sous la lumière de la lune, entourée de pétales. Ensuite… le sauna, et tout ce que tu voudras après. » Il serra sa main, son pouce caressant doucement la bague qu’il venait de lui offrir, un anneau d’or blanc incrusté d’un rubis en forme de pétale, symbole de leur serment renouvelé.

Il la guida vers les portes coulissantes menant au jardin, leurs pas résonnant doucement sur le parquet poli. Les cerisiers du Seikusu Palace, éclairés par la lumière argentée de la lune, formaient un spectacle féerique, leurs pétales flottant dans l’air comme une neige délicate. Okkoji s’arrêta un instant, laissant Aiko admirer la vue, son regard revenant toujours à elle. La brise fraîche portait l’odeur des fleurs, mêlée à son parfum boisé, et il sentit son cœur s’alléger, loin des intrigues et des dangers de son monde. « Regarde cet endroit… » murmura-t-il, sa voix basse et chaude. « Il est magnifique, mais il n’est rien comparé à toi. » Il se tourna vers elle, ses yeux écarlates scintillant sous la lune, une tendresse infinie dans le regard. Il résista à l’envie de l’enlacer, mais sa main serra la sienne un peu plus fort, un geste discret mais chargé d’amour. « Ce soir, je veux que chaque pétale qui tombe nous rappelle notre promesse. »

Ils marchèrent lentement dans le jardin, leurs silhouettes se découpant contre les cerisiers, leurs mains entrelacées comme un lien indéfectible. Okkoji, malgré son aura imposante, semblait plus léger, ses épaules se relâchant légèrement sous l’effet de la présence d’Aiko. Après un moment, il l’entraîna doucement vers une autre aile du palais, où se trouvait le sauna privatif, une pièce intime aux murs de cèdre poli, éclairée par des lanternes diffusant une lumière dorée. La vapeur s’élevait doucement, emplissant l’air d’une chaleur apaisante. Okkoji referma la porte coulissante derrière eux, s’assurant de leur intimité. Avec une aisance naturelle, il retira son costume noir, révélant son torse musclé orné de tatouages irezumi – dragons rouge sang et démons grimaçants dansant sous la lumière tamisée. Nu, il s’installa sur le banc de bois, sa présence imposante adoucie par la vapeur et l’intimité du moment, et invita Aiko à le rejoindre d’un geste discret.

« Ici, c’est juste nous » dit-il, sa voix basse et vibrante, débarrassée de la retenue imposée par les couloirs du palais. « Pas d’oyabun, pas de regards indiscrets. Juste toi et moi. » Il tendit la main, effleurant la sienne avec une tendresse infinie, ses yeux écarlates cherchant les siens à travers la vapeur. « Aiko, ce soir, tu m’as rappelé pourquoi je me bats chaque jour. Cette bague, cette promesse… c’est pour un avenir où nous n’aurons plus à nous cacher, où Katsu grandira sans l’ombre de mon monde. » Il marqua une pause, son regard brûlant d’amour. « Dis-moi… qu’est-ce que tu veux pour nous, pour lui, pour cet avenir ? » Il se pencha légèrement vers elle, la vapeur enveloppant leurs silhouettes, prêt à écouter chaque mot, chaque rêve qu’elle partagerait dans cet espace qui n’appartenait qu’à eux.

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One Shot / Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)
« le: vendredi 30 mai 2025, 18:59:49 »
Okkoji Yamamoto restait immobile, ses yeux écarlates captant chaque nuance du visage d’Aiko, illuminé par la lumière tamisée des lanternes en papier washi du *Hana no Uta*. Le son mélodieux du ruisseau dans le jardin zen semblait apaiser le tumulte constant de son esprit, mais c’était surtout le rire doux d’Aiko, son sourire timide et ses gestes délicats qui le ramenaient à un havre de paix qu’il ne trouvait nulle part ailleurs. Sa main, encore chaude du contact fugace de la sienne, reposait sur la table, ses doigts effleurant nerveusement la montre en acier à son poignet, un tic révélateur de l’émotion qu’il contenait. L’élégance sobre du restaurant, avec ses cloisons shoji ornées de motifs floraux et la vue sur l’érable rougeoyant, contrastait avec l’intensité brute de son aura, mais ici, face à elle, il n’était qu’un homme amoureux, loin du poids de son titre d’oyabun. Son costume noir, impeccablement taillé, et la pochette rouge sang captaient la lumière, mais c’était le scintillement dans les yeux d’Aiko qui retenait toute son attention.

« Ton rire… il pourrait désarmer n’importe qui, même moi », murmura-t-il, sa voix rauque teintée d’une chaleur rare, un sourire discret se dessinant sur ses lèvres. Ses yeux écarlates, si souvent perçus comme intimidants, s’adoucirent en croisant les siens, pétillants d’amour et de malice. Ses paroles sur Katsu, sur ses talents de négociateur miniature, avaient ravivé des images de leur fils, ses petits bras s’accrochant à lui avec une détermination héritée d’eux deux. « Un Okkoji miniature, dis-tu ? » Il laissa échapper un léger rire, un son grave et profond, presque inattendu dans cet espace feutré. « Avec toi comme mère, il ne pouvait qu’être redoutable. Mais ces histoires de légumes et de doudous… il faudra que je lui apprenne à négocier pour des choses plus… ambitieuses. » Ses lèvres s’étirèrent en un sourire taquin, mais ses yeux trahissaient une fierté immense pour leur fils et une adoration sans borne pour elle.

Le défilé des plats continuait, chaque mets – du sashimi de fugu délicatement disposé au bœuf wagyu fondant – une œuvre d’art qui semblait presque secondaire face à la présence d’Aiko. Lorsqu’elle posa sa main sur la sienne, ses doigts graciles contrastant avec ses mains calleuses, il sentit son cœur s’emballer, une sensation qu’il maîtrisait rarement. Ses mots, affirmant sa force, le touchèrent profondément, et il inclina légèrement la tête, un geste discret de gratitude. Lorsqu’elle évoqua les arguments farfelus de Katsu pour obtenir plus d’histoires, il ne put s’empêcher de rire à nouveau, son regard pétillant d’amusement. « Ce garçon… il ira loin », dit-il, secouant légèrement la tête, un éclat de tendresse dans les yeux. « Avec de tels arguments, il pourrait déjà diriger une réunion du clan. Mais il tient ça de toi, cette façon de convaincre avec un sourire. »

Le dessert, des mochis à la pâte de haricot rouge, arriva, et Okkoji sentit une impulsion monter en lui, un élan qu’il ne pouvait réprimer, même dans cet espace semi-public où la retenue japonaise prédominait. Ses yeux s’attardèrent sur Aiko, sur la courbe douce de ses lèvres, sur la lueur émue dans son regard lorsqu’il avait renouvelé sa promesse de toujours revenir. Lorsqu’elle serra sa main, ses doigts délicats entrelacés aux siens, il sentit une vague de chaleur l’envahir, une certitude qu’il ne pouvait ignorer. Puis, quand elle se leva pour s’asseoir sur ses genoux, son front contre le sien, son baiser fugace rallumant cette flamme qu’il contenait depuis le début de la soirée, il dut faire appel à toute sa discipline pour ne pas l’enlacer pleinement. Le contact de ses bras autour de son cou, la proximité de son souffle, fit battre son cœur plus fort, mais il resta maître de lui, conscient des murs du palais et des yeux invisibles.

« Aiko… » murmura-t-il, sa voix basse et vibrante, ses yeux écarlates plongés dans les siens, brillants d’émotion. « Tu parles de graver cette nuit dans mon cœur, mais c’est toi qui es gravée en moi, à chaque instant. » Il marqua une pause, sa main venant effleurer la sienne, un geste discret mais chargé d’intimité. « Tu es ma force, mon refuge… ma raison de tout. Et ce soir, ici, dans ce lieu qui est nôtre, je veux te demander quelque chose. » Il s’interrompit, son regard s’intensifiant, une lueur de détermination mêlée de vulnérabilité traversant ses prunelles. Il prit une inspiration, sa main serrant doucement la sienne, comme pour s’ancrer dans ce moment. « Aiko, veux-tu m’épouser encore ? Pas seulement pour renouveler nos vœux, mais pour promettre, devant le monde, devant Katsu, devant tout ce qui compte, que je suis à toi, aujourd’hui et toujours. » Sa voix, bien que contrôlée, tremblait légèrement, révélant l’ampleur de son amour. Il savait que cette demande, dans leur monde où chaque geste était calculé, était un risque, mais pour elle, il était prêt à tout.

Il attendit sa réponse, son regard ne quittant pas le sien, son cœur battant à un rythme qu’il ne connaissait que dans ces rares moments d’intimité. Lorsqu’elle répondit, il sentit une chaleur l’envahir, et il inclina légèrement la tête, un sourire discret mais sincère se dessinant sur ses lèvres. Le repas touchait à sa fin, et il acquiesça à sa suggestion, ses yeux scintillant d’une tendresse infinie. « Allons voir Katsu », dit-il doucement, sa voix empreinte d’une douceur réservée à sa famille. « Je veux voir s’il dort… ou s’il négocie encore avec ses doudous pour une histoire de plus. » Il se leva avec elle, son bras frôlant le sien dans un geste subtil, respectant la retenue imposée par leur environnement. Ils quittèrent la salle privée, traversant les couloirs du Seikusu Palace jusqu’à la chambre de leur fils. En ouvrant la porte, Okkoji aperçut Katsu, endormi, un doudou serré contre lui, un livre ouvert à ses côtés. Un sourire tendre éclaira son visage, et il se tourna vers Aiko.

« Regarde-le… notre petit stratège », murmura-t-il, sa voix à peine audible pour ne pas le réveiller. « Et pour ta proposition… une promenade, ou autre chose… » Il baissa les yeux vers elle, une lueur espiègle dans son regard. « Je te suis, Aiko. Ce soir, je veux que chaque instant soit nôtre. Dis-moi ce que tu veux, et je ferai en sorte que ça arrive. » Il tendit la main, l’invitant à le guider, son cœur gonflé d’un amour qui, même dans la retenue imposée par leur monde, brillait plus fort que tout.

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One Shot / Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)
« le: vendredi 30 mai 2025, 08:11:04 »
Okkoji Yamamoto s’arrêta un instant sous le ciel crépusculaire de Seikusu, ses yeux écarlates captant les reflets chauds des lanternes du Seikusu Palace, dont les contours majestueux se découpaient dans la lumière douce du soir. Les paroles d’Aiko, empreintes de tendresse et de vulnérabilité, résonnaient encore dans l’air, comme une mélodie fragile perçant le chaos de son monde de pouvoir et de violence. L’odeur subtile des fleurs de cerisier, omniprésentes dans les jardins du palais, se mêlait à son parfum boisé aux notes d’agrumes, l’ancrant dans cet instant précieux où son rôle d’oyabun s’effaçait face à la femme qu’il aimait. Son baiser, fugace mais incandescent, avait allumé une flamme dans sa poitrine, qu’il contint avec effort, conscient des regards indiscrets qui pourraient surgir, même dans l’enceinte protégée du palais. La discipline forgée par des années dans l’univers impitoyable des yakuzas imposait une retenue, fidèle aux codes japonais de discrétion en public. Sa mâchoire se crispa légèrement, un réflexe de son contrôle implacable, mais ses yeux, fixés sur Aiko, débordaient d’une tendresse qu’il ne réservait qu’à elle.

« Aiko », murmura-t-il, sa voix rauque et profonde vibrant d’une chaleur qu’elle seule pouvait susciter. Il serra sa main avec une douceur calculée, ses doigts calleux, marqués par les cicatrices d’une vie de combats, effleurant sa peau délicate. Ce contact, si simple, portait tout le poids de son amour, une réponse silencieuse à ses mots qui l’avaient touché au plus profond. « Tu ne sais pas… ce que tes paroles font à mon cœur », ajouta-t-il, un sourire discret, presque imperceptible, se dessinant sur ses lèvres – un sourire qu’elle seule pouvait lui arracher. Il s’avança légèrement, réduisant l’espace entre eux, mais veilla à maintenir une distance respectueuse, son corps droit et imposant, reflet de l’autorité qu’il incarnait. Même dans cet instant d’intimité, il restait l’oyabun, conscient que chaque geste pouvait être observé, même dans l’enceinte sacrée du Seikusu Palace.

Il jeta un regard furtif autour d’eux, s’assurant que leur moment restait à l’abri des curieux, même ici, dans ce sanctuaire de pouvoir qu’il contrôlait. Les jardins du palais, avec leurs cerisiers en fleur et leurs lanternes de pierre diffusant une lueur chaude, semblaient un havre temporaire face aux tempêtes de sa vie. « Katsu… et toi », continua-t-il, sa voix s’abaissant jusqu’à n’être qu’un murmure, comme s’il confiait un secret aux pétales flottant dans l’air. « Vous êtes mon ancre. Les seules raisons pour lesquelles je continue à me battre dans ce monde. »[/i] Son pouce caressa doucement le dos de sa main, un geste fugace mais chargé d’une tendresse qu’il ne montrait jamais en public. Il mourait d’envie de la serrer contre lui, de faire disparaître le monde, mais les traditions japonaises et la vigilance imposée par son rôle l’en empêchaient. Ce contact discret était un fil ténu mais puissant, reliant leurs cœurs dans le silence.

« Ce soir, j’ai une surprise pour toi », dit-il soudain, son ton mesuré mais teinté d’une pointe d’amusement, une lueur espiègle dans ses yeux écarlates. « Pas seulement le palais. Je t’emmène quelque part… un endroit digne de nous. » Il relâcha sa main avec une réticence presque palpable, son regard s’attardant sur elle un instant avant de l’inviter à le suivre d’un léger signe de tête. « Viens. »

Ils traversèrent les couloirs élégants du Seikusu Palace, leurs pas résonnant doucement sur le parquet poli, jusqu’à atteindre le restaurant kaiseki du palais, un joyau caché connu sous le nom de *Hana no Uta*. Niché dans une aile isolée, ce restaurant incarnait l’essence de l’élégance japonaise, avec ses cloisons shoji ornées de motifs délicats de fleurs de cerisier et ses baies vitrées donnant sur un jardin zen illuminé par des lanternes en pierre. L’ambiance était feutrée, l’éclairage tamisé des lanternes en papier washi diffusant une lumière douce qui semblait caresser les lieux. Une serveuse en kimono traditionnel les accueillit avec une révérence gracieuse, les guidant vers une salle privée, une table basse en bois de cerisier disposée face à un petit jardin intérieur où un ruisseau murmurait sous un érable aux feuilles rougeoyantes.

Okkoji s’installa avec sa prestance habituelle, son costume noir taillé sur mesure contrastant avec la simplicité raffinée du décor. La pochette rouge sang de son costume captait la lumière, ajoutant une touche audacieuse à son allure imposante. Il observa Aiko s’asseoir, ses gestes gracieux captivant son regard comme toujours. « J’ai voulu un endroit où nous pourrions… être nous », dit-il, sa voix basse mais empreinte d’une chaleur sincère. « Un moment où je ne suis pas l’oyabun, mais juste… ton Okkoji. » Il marqua une pause, ses yeux cherchant les siens, une lueur de vulnérabilité perçant son masque d’autorité. « Et où Katsu pourra nous rejoindre plus tard, quand il aura fini de réclamer ses histoires. » Il esquissa un sourire, repensant à leur fils, à ses éclats de rire et à ses étreintes enthousiastes dès qu’il le voyait. « Il te ressemble trop », ajouta-t-il, une note d’amusement dans la voix. « Cette façon de s’accrocher, de ne jamais lâcher… Je ne pourrais pas rêver d’un meilleur héritage. »

Le premier plat arriva, une composition délicate de sashimi de fugu, présenté comme une œuvre d’art sur une céramique artisanale aux motifs de vagues, accompagné d’une soupe claire au parfum subtil de yuzu et de shiso. Chaque détail, de la disposition des plats à la présentation méticuleuse, reflétait l’élégance intemporelle de la cuisine kaiseki. Okkoji observa Aiko, captivé par la manière dont la lumière douce dansait sur ses traits, accentuant la douceur de son visage et la lueur dans ses yeux. « Aiko », murmura-t-il, son ton redevenant sérieux, presque solennel. « Ce que tu as dit tout à l’heure… sur ta peur que je parte sans dire au revoir… » Il s’interrompit, ses doigts jouant nerveusement avec la montre en acier à son poignet, un rituel hérité de son mentor. « Je te le promets, jamais je ne ferai ça. Peu importe les dangers, peu importe les ennemis. Je trouverai toujours un moyen de revenir à toi. À vous. »

Il se pencha légèrement en avant, sa voix s’abaissant encore, comme si les murs du palais, pourtant sous son contrôle, pouvaient trahir ses mots. « Ce monde… il est impitoyable. Il prend tout ce qu’il peut. Mais toi et Katsu, vous êtes à moi. Ma force. Ma raison de tenir, même quand tout semble vouloir m’abattre. » Ses yeux écarlates, si intimidants pour le reste du monde, brillaient d’une intensité douce, presque fragile, réservée à elle seule. « Je ne suis pas aussi fort que tu le dis », ajouta-t-il, un aveu rare, sa voix teintée d’une ombre de doute. « Mais pour vous, je ferai tout pour l’être. »

Il tendit la main, effleurant la sienne sur la table, un geste audacieux dans cet espace semi-public, mais si discret qu’il passa inaperçu. « Ce soir, profitons de cet instant. De nous. Laisse-moi voir ton sourire, entendre ta voix… oublier, juste pour quelques heures, le poids du dehors. » Il retira sa main, reprenant sa posture composée, mais son regard restait ancré dans le sien, un mélange d’amour profond et de désir contenu. « Et dis-moi… », ajouta-t-il, une pointe de malice dans la voix pour détendre l’atmosphère, « est-ce que Katsu a encore essayé de te convaincre de lui lire trois histoires au lieu d’une ? »

Le repas se poursuivit, chaque plat – un tofu soyeux au sésame noir, un tempura de crevettes de rivière, une tranche de bœuf wagyu grillée à la perfection – racontant une histoire de tradition et de raffinement. Okkoji, malgré son apparence imposante et son aura de danger, semblait plus léger, ses épaules se relâchant légèrement à mesure que la soirée avançait. « Je veux que tu saches », dit-il finalement, alors qu’ils partageaient un dessert de mochi à la pâte de haricot rouge, « que chaque sacrifice, chaque combat… c’est pour un jour où nous n’aurons plus à nous cacher, à craindre les ombres. Je te le promets, Aiko. Ce jour viendra. » Ses mots, prononcés avec une conviction farouche, portaient le poids de son ambition, mais aussi de son amour indéfectible.

Il posa sa main sur la table, paume ouverte, une invitation silencieuse. « En attendant, ce soir est à nous. Et je veux le graver dans mon cœur. » Ses yeux écarlates scintillaient, reflétant les lanternes du jardin, et dans cet instant, loin des intrigues et des dangers, Okkoji Yamamoto n’était qu’un homme amoureux, prêt à tout pour protéger ce moment de paix avec la femme qui était son monde.

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One Shot / Re : Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)
« le: jeudi 29 mai 2025, 21:27:26 »
Okkoji Yamamoto se tenait au cœur du jardin du Seikusu Palace, baigné par la lueur tamisée des lanternes qui projetaient des ombres mouvantes sur ses traits acérés. Les cerisiers en fleurs frémissaient sous la brise légère, leurs pétales délicats virevoltant dans l’air comme des murmures éphémères, porteurs d’une beauté fugitive. Ses doigts, marqués par les combats et les années, jouaient distraitement avec le bord de sa cravate ornée de dragons rouges et noirs, un tic nerveux révélant l’ouragan de pensées qui tourbillonnait sous son apparence impeccablement maîtrisée. Ce soir-là, le poids de son empire pesait plus lourd que jamais : les clans rivaux, tels des vautours, guettaient la moindre faille ; les murmures de trahison s’amplifiaient dans l’ombre ; et l’étau des autorités, implacable, se resserrait autour de lui. Pourtant, au milieu de ce chaos, une seule pensée l’ancrait, une lueur dans l’obscurité : Aiko.

« Okkoji… »

Sa voix, douce comme une caresse mais assez puissante pour trancher le tumulte de son esprit, l’atteignit comme une flèche. Il pivota lentement, ses yeux cramoisis, brillants comme des braises, rencontrant les siens dans la pénombre tamisée. La vision d’Aiko lui coupa le souffle, comme à chaque fois. Vêtue d’un kimono de satin noir et rouge, rehaussé de broderies dorées qui scintillaient doucement sous les lanternes, elle semblait une apparition née de la nuit elle-même, une incarnation de grâce et de mystère. Un pétale de cerisier, audacieux, s’était niché dans ses cheveux noirs comme l’ébène, et un sourire rare, presque vulnérable, effleura les lèvres d’Okkoji. Elle était son refuge, son point d’ancrage dans un monde où le sang, la trahison et la violence dictaient les règles. La voir ainsi, gracile et élégante, éveillait en lui un mélange complexe de fierté – qu’elle ait choisi de rester à ses côtés – et de douleur, celle de savoir qu’il l’avait entraînée dans son univers impitoyable.

« Aiko », murmura-t-il, sa voix rauque vibrant d’une chaleur qu’il réservait uniquement à elle. En quelques pas mesurés, il combla la distance qui les séparait, son costume noir taillé sur mesure épousant ses mouvements avec une grâce féline, bien que son regard s’adoucît en se posant sur elle. Le parfum subtil d’Aiko, mêlé à l’odeur sucrée des cerisiers en fleurs, l’enveloppa, le ramenant à l’instant présent, loin des intrigues et des dangers qui le traquaient sans relâche.

Sa question, timide mais chargée d’un désir contenu, flotta entre eux comme un fil fragile. « Tu… Est-ce que tu vas rester dîner ou… Rester un petit peu avant de partir ? » Son léger rougissement, la manière dont ses doigts fins glissèrent une mèche derrière son oreille, firent naître une chaleur dans la poitrine d’Okkoji. Une pointe de culpabilité le transperça – pour la vie qu’il lui imposait, pour les mensonges qu’elle devait tisser, même à leur fils – mais elle était contrebalancée par une gratitude infinie pour son amour indéfectible. Aiko était sa lumière, la seule capable d’apaiser la tempête qui grondait en lui, et ce simple geste, ce regard pétillant, suffisait à le ramener à elle.

Okkoji tendit la main, ses doigts calleux, marqués par une vie de combats, effleurant le pétale dans ses cheveux avec une délicatesse presque incongrue pour un homme de sa stature. Il le laissa retomber doucement au sol, son regard ne quittant pas le sien, comme s’il cherchait à ancrer cet instant dans sa mémoire. « Aiko », répéta-t-il, plus bas, sa voix comme un grondement chargé d’une dévotion absolue. « Tu crois vraiment que je pourrais partir sans te voir d’abord ? »

Il s’approcha encore, assez près pour sentir la chaleur de son corps, ses yeux cramoisis scrutant les siens avec une intensité qui trahissait l’ampleur de son amour. Ces prunelles écarlates, si semblables à celles de leur fils Katsu, portaient une force tranquille qui le désarmait toujours, le ramenant à une humanité qu’il craignait parfois de perdre. « Je peux rester pour le dîner », dit-il, un sourire en coin éclairant son visage, bien que son ton restât empreint de sincérité. « Et peut-être même un peu plus longtemps, si notre petit Katsu ne me kidnappe pas pour regarder un de ses dessins animés préférés. »

Sa main s’attarda près de sa joue, hésitant un instant avant de s’y poser avec une douceur infinie, son pouce traçant un arc tendre sur sa peau de porcelaine. Il baissa les yeux un instant, comme pour rassembler ses mots, avant de relever son regard vers elle. « Je sais que ce n’est pas facile », murmura-t-il, sa voix se faisant plus grave, presque confessional. « Quitter Tokyo, s’installer ici, tout recommencer… Je le vois dans tes yeux, même si tu ne dis rien. Tu es forte, Aiko, plus forte que je ne le serai jamais. » Il marqua une pause, son regard s’adoucissant davantage, comme si les mots eux-mêmes peinaient à porter tout ce qu’il ressentait. « Toi et Katsu, vous êtes ma raison de tout risquer, de tenir cet empire debout. Et je hais chaque seconde qui m’éloigne de vous. »

Il se pencha lentement, déposant un baiser doux sur son front, ses lèvres s’attardant comme pour capturer cet instant fragile dans un monde où tout semblait pouvoir s’effondrer. La chaleur de sa peau sous ses lèvres, son parfum, tout en elle était un rappel de ce qu’il protégeait farouchement. « Cinq minutes, une heure, une nuit… ce n’est jamais assez avec toi », chuchota-t-il, sa voix à peine audible, vibrante d’une émotion qu’il laissait rarement transparaître. Il se redressa juste assez pour plonger à nouveau dans ses yeux, ses prunelles cramoisies brûlant d’une passion contenue. « Mais ce soir, je suis là. Pour toi. Pour nous. »

Okkoji prit sa main, son étreinte ferme mais empreinte d’un soin presque révérencieux, comme s’il craignait de briser quelque chose d’aussi précieux qu’elle. Il inclina la tête vers le palais, un éclat de son audace habituelle perçant dans son sourire, mais ses yeux restaient rivés sur elle, absorbant chaque détail de son visage. « Viens », dit-il, sa voix plus légère, presque taquine. « Dînons ensemble. Raconte-moi comment tu fais pour garder notre petite victoire occupée dans cet endroit. Je veux tout savoir – chaque détail, chaque sourire qu’il t’a offert aujourd’hui. »

Il fit un pas, l’invitant à le suivre, mais s’arrêta un instant pour la contempler à nouveau, comme s’il voulait graver son image dans son esprit avant que le devoir ne l’arrache une fois de plus à elle. La lumière des lanternes dansait sur son kimono, soulignant la courbe délicate de ses épaules, et il sentit son cœur se serrer. « Aiko », ajouta-t-il, sa voix plus basse, plus intime, presque un murmure. « Tu es mon foyer. Peu importe où je vais, peu importe les batailles, c’est toujours vers toi que je reviens. » Ses yeux ne la quittèrent pas, absorbant chaque détail de la femme qui tenait son cœur dans un monde où la pitié n’avait pas sa place. Puis, avec un sourire plus doux, il l’entraîna doucement vers le palais, déterminé à savourer chaque seconde de ce répit à ses côtés avant que la nuit, implacable, ne l’appelle à nouveau dans son tourbillon de violence et de pouvoir.

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One Shot / Rencontre entre un homme et sa femme (Okkoji - Rubis)
« le: jeudi 29 mai 2025, 17:15:50 »
**Okkoji, le Dragon Écarlate**

Dans l’ombre des lanternes de cerisiers en fleurs, Okkoji se tenait droit, imposant, un véritable démon vêtu d’un costume noir impeccablement taillé. Sa cravate rouge ornée de motifs floraux contrastait avec la noirceur de son regard, et une cigarette pendait nonchalamment entre ses lèvres, la fumée dansant autour de lui comme un serpent. Ses cheveux teints en rouge flamboyant, rasés sur les côtés, semblaient refléter le feu de son âme, et les tatouages complexes qui recouvraient son cou et ses mains racontaient une histoire de violence et de pouvoir. Un dragon enroulé autour d’un sabre, symbole de son clan, ornait sa peau, visible même sous le col de sa chemise blanche immaculée. Une montre de luxe brillait à son poignet, un rappel constant que le temps était un luxe qu’il contrôlait.

Okkoji était une légende vivante, le chef incontesté du clan Yakuza le plus puissant du monde, craint des gouvernements et respecté par ses pairs. Surnommé le Dragon Écarlate, il avait bâti un empire criminel s’étendant de Tokyo à New York, ses doigts invisibles manipulant les fils du pouvoir mondial. Mais derrière cette façade impitoyable se cachait un secret que personne, pas même ses lieutenants les plus fidèles, ne connaissait : Okkoji était marié.

Sa femme, Aiko, était une ancienne danseuse traditionnelle, une beauté délicate aux yeux de biche et au sourire timide. Ils s’étaient rencontrés lors d’une soirée dans un ryokan isolé, loin des regards indiscrets. Contre toute attente, Okkoji, l’homme qui n’avait jamais plié devant personne, était tombé amoureux. Mais leur union devait rester secrète – dans son monde, l’amour était une faiblesse que ses ennemis exploiteraient sans hésiter.

Pour la protéger, Okkoji avait décidé de l’éloigner de Tokyo, où les tensions entre clans Yakuza s’intensifiaient. Il avait choisi Seikusu, une petite ville côtière discrète, connue pour ses eaux thermales et son calme. Là-bas, Aiko pourrait vivre en paix, loin des ombres qui hantaient la vie d’Okkoji. Il avait tout arrangé : une suite dans un palace luxueux, le Seikusu Palace, à seulement un kilomètre de la gare. Les chambres, décorées avec un raffinement moderne, offraient une vue apaisante sur la mer, et le restaurant gastronomique proposait une cuisine japonaise traditionnelle qui rappellerait à Aiko les saveurs de son enfance. Le bar feutré, avec son ambiance tamisée, serait parfait pour ses soirées solitaires, et la piscine intérieure chauffée ainsi que le centre de bien-être – avec son sauna et ses massages – lui permettraient de se détendre.

Ce soir-là, Okkoji se tenait dans le jardin du palace, sous les lanternes de pierre, observant les pétales de cerisier tomber doucement. Il venait de finaliser le déménagement d’Aiko. Elle était arrivée dans l’après-midi, et il l’avait accompagnée jusqu’à sa suite, s’assurant qu’elle avait tout ce dont elle avait besoin. « Tu seras en sécurité ici, » lui avait-il murmuré, sa voix rauque mais empreinte d’une tendresse rare. Aiko avait hoché la tête, ses yeux brillants de larmes contenues. Elle savait qu’il ne pouvait pas rester – pas encore. Pas tant que ses ennemis rôdaient.

Okkoji tira une dernière bouffée de sa cigarette, puis l’écrasa sous sa chaussure vernie. Il ajusta sa cravate, son regard se perdant dans la nuit. Seikusu n’était qu’une étape. Bientôt, il mettrait fin à cette guerre de clans, et alors, il pourrait enfin vivre avec Aiko au grand jour.

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Le coin du chalant / Yakuzas et autres personnalités de la nuit ...
« le: jeudi 29 mai 2025, 10:20:25 »
Bonjour bonjour !

Okkoji étant un maître dans l'art de la manipulation et du non respect des conventions de Genève, je suis ouvert a tout type de RP sauf romantique (c'est déjà réservé :p).
Okkoji est un fieffé salopard, il prend ce qu'il a envie de prendre, il tue ceux qui doivent mourir et gare a ses colères qui feraient trembler un chef d'état. En dehors de ça, c'est quelqu'un qui a des passions plutôt simple, comme n'importe quel chef d'entreprise (criminel ou non :p).

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