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Pages: [1] 2
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Les terres sauvages / Re : Petit mais Herculéen (Barbak - Fulgrim)
« le: dimanche 15 juin 2025, 13:46:27 »
Fulgrim, le Loup Tatoué, observe Barbak avec une fascination grandissante, ses yeux jaunes luisant d’un éclat primal alors que le mouflon déploie sa danse endiablée. La sueur perlant sur le pelage de Barbak, la puissance de ses mouvements, et l’intensité brute de son chant guttural font vibrer quelque chose de profond dans l’âme sauvage de Fulgrim. Les haches sifflent dans l’air, leur échange rythmé par le hululement des chouettes et la chaleur oppressante de la nuit d’été. Chaque parole, chaque geste de Barbak est une célébration de la vie, une ode au chaos bienveillant qui résonne avec les instincts de Fulgrim. Lorsque le mouflon termine son chant, balayant la sueur de son front et levant les bras dans un éclat théâtral, Fulgrim sent son sang bouillir – non pas de colère, mais d’un désir ardent de répondre à ce feu par le sien. Il attrape la hache que Barbak lui a confiée, la faisant tournoyer dans sa main avec une aisance féline, un sourire carnassier étirant ses lèvres. Ce mouflon est une tempête, et Fulgrim a bien l’intention de danser dans son sillage.

“Par la lune, Barbak, fils de Barbeuk,” gronde Fulgrim, sa voix grave vibrant comme un écho de tonnerre dans la clairière. “T’as mis le feu à cette nuit, et je sens mon sang chanter en réponse ! Ta danse, ton chant… c’est le pouls de la vie elle-même, et ça, ça me parle.” Il s’avance, sa silhouette massive dominant l’espace, ses tatouages argentés scintillant sous la lumière lunaire comme s’ils s’animaient à l’appel du chaos. Il plante la hache dans le sol d’un geste puissant, faisant trembler la terre, puis s’approche de Barbak, son regard brûlant d’une intensité presque hypnotique.

“Tu veux voir qui je suis ? Alors accroche-toi, cornu, parce que le Loup Tatoué ne fait pas les choses à moitié.” Fulgrim rejette ses cheveux noirs en arrière, ses muscles roulant sous son armure de cuir alors qu’il se place au centre du carré de haches. Il lève les bras, sa présence imposante emplissant l’espace, et d’un claquement de doigts, il fait surgir une flamme dansante au centre du cercle, un feu magique qui pulse au rythme de son propre cœur. Il attrape une nouvelle hache, la faisant tournoyer avec une grâce mortelle, et commence sa propre danse – une performance qui mêle la sauvagerie d’un prédateur et la sensualité d’un amant.

Ses mouvements sont fluides, presque liquides, chaque pas calculé pour captiver, chaque rotation de la hache un défi lancé à la nuit. Il chante à son tour, sa voix grave et envoûtante s’élevant comme un hurlement lupin, portée par le crépitement du feu et le souffle du vent. Ses paroles parlent de liberté, de désir, de la chasse sous la lune, de corps enlacés dans l’ombre des arbres, de combats où le sang et la passion s’entremêlent. Les tatouages sur sa peau semblent s’animer, leurs motifs runiques pulsant au rythme de son chant, comme si la magie lunaire elle-même dansait avec lui.

“Je suis Fulgrim, fils de la lune et du feu primal,” entonne-t-il, sa voix grondante vibrant dans l’air. “Je vis pour la chasse, pour la sueur, pour le frisson d’un regard qui défie, d’un corps qui s’abandonne. Je méprise les chaînes, les faux-semblants, les cages dorées des cités. Mon cœur bat pour la liberté, pour les nuits où l’on hurle à la lune, où l’on aime sans honte, où l’on combat sans peur.” Il lance sa hache en l’air, la rattrape d’une main tout en pivotant pour faire face à Barbak, son regard brûlant planté dans le sien. Il lui tend l’arme, une invitation à rejoindre la danse, à sceller leur lien dans cette tempête de feu et de passion.

La sueur perle sur son front, faisant luire sa peau d’ébène, et il se rapproche de Barbak, son souffle chaud effleurant l’air entre eux. Ses yeux glissent sans vergogne sur le corps du mouflon – ce ventre rond, ces cuisses puissantes, cette présence qui hurle la vie. Il s’arrête à quelques centimètres, son sourire dévoilant une pointe de crocs, son aura magnétique presque palpable. “Tu parles de simplicité, de sincérité, et je vois ce feu en toi, Barbak. Moi ? Je veux un monde où les désirs ne sont jamais réprimés, où chaque nuit est une célébration de ce qui fait pulser le sang. Et ce soir…” Il penche la tête, son sourire devenant un défi sensuel. “Je veux danser avec toi, fils de Barbeuk. Pas seulement avec des haches, mais avec tout ce qu’on est – deux bêtes sauvages, libres, vivantes. Qu’en dis-tu ? On continue ce feu, on le fait rugir jusqu’à l’aube ?”

Fulgrim s’immobilise, son corps vibrant d’énergie, prêt à bondir ou à enlacer, selon la réponse de Barbak. Le feu magique crépite derrière lui, éclairant ses tatouages et son regard, qui ne quittent pas le mouflon. Il a montré son âme, sa sauvagerie, son désir – maintenant, il attend de voir si Barbak embrassera cette danse sous la lune.


Par la lune, quel spectacle, Barbak, fils de Barbeuk.
T’as mis le feu à cette nuit, et je sens mon sang chanter en réponse ! Ta danse, ton chant… c’est le pouls de la vie elle-même, et ça, ça me parle.
Tu veux voir qui je suis ? Alors accroche-toi, cornu, parce que le Loup Tatoué ne fait pas les choses à moitié.
Je suis Fulgrim, fils de la lune et du feu primal.
Je vis pour la chasse, pour la sueur, pour le frisson d’un regard qui défie, d’un corps qui s’abandonne. Je méprise les chaînes, les faux-semblants, les cages dorées des cités. Mon cœur bat pour la liberté, pour les nuits où l’on hurle à la lune, où l’on aime sans honte, où l’on combat sans peur.
Tu parles de simplicité, de sincérité, et je vois ce feu en toi, Barbak. Moi ? Je veux un monde où les désirs ne sont jamais réprimés, où chaque nuit est une célébration de ce qui fait pulser le sang. Et ce soir…
Je veux danser avec toi, fils de Barbeuk. Pas seulement avec des haches, mais avec tout ce qu’on est – deux bêtes sauvages, libres, vivantes. Qu’en dis-tu ? On continue ce feu, on le fait rugir jusqu’à l’aube ?

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Les terres sauvages / Re : Le Chant du Loup (by Fulgrim - Caira)
« le: dimanche 15 juin 2025, 12:58:07 »
Sous la lumière argentée de la lune, Fulgrim, l’Alpha d’Ébène, se tient tapi dans l’ombre d’un rocher, ses muscles sculptés frémissant d’une énergie contenue. Ses tatouages runiques scintillent faiblement sur sa peau d’ébène, pulsant au rythme de son cœur, tandis que la douleur de sa blessure au pectoral le rappelle à l’urgence de la situation. Ses yeux jaunes, luisants comme des flammes dans l’obscurité, suivent chaque mouvement de sa compagne, perchée nue sur le rocher, son halo de lumière défiant les cieux et attirant les inquisiteurs. La louve se bat avec une grâce sauvage, ses cheveux argentés virevoltant sous les étoiles, mais le carreau magique planté dans son épaule et les fils enchantés qui l’entravent font grogner Fulgrim, un son grave et primal. Ces chasseurs sont rusés, leur magie vicieuse, mais l’Alpha refuse de céder à la violence létale. Ce soir, il suivra l’avertissement de la louve : pas de bavures, seulement des coups pour neutraliser.

— Touche encore à ma meute, et tu dormiras longtemps, vermine, gronde-t-il, sa voix résonnant comme un roulement de tonnerre dans la plaine.

D’un bond fluide, Fulgrim surgit de l’ombre, sa dague runique laissée au sol pour respecter le code de la louve. Ses mouvements sont rapides, précis, malgré la douleur qui pulse dans sa poitrine. L’inquisiteur au manteau noir, occupé à recharger son arbalète, ne voit pas venir le colosse d’ébène. Fulgrim feinte à gauche, puis pivote, son poing massif s’abattant sur la tempe de l’homme avec une force calculée. L’inquisiteur s’effondre, sonné, son arme glissant dans l’herbe. Fulgrim ramasse l’arbalète d’un geste vif et la brise d’un coup sec contre le rocher, réduisant la menace sans verser de sang.

Mais un second inquisiteur émerge de l’obscurité, son épée flamboyante bleutée illuminant la nuit. Fulgrim esquive le premier coup, sentant la chaleur de la magie frôler sa peau. La louve, toujours entravée par les fils magiques, lutte pour se libérer, et l’Alpha sent l’urgence monter en lui. Il ne tuera pas, mais il ne laissera pas ces fanatiques blesser davantage sa compagne. Ses tatouages s’illuminent, comme si la lune elle-même guidait ses mouvements.

— Tiens bon, petite louve ! lance-t-il, sa voix rauque mais vibrante d’une détermination farouche. Je vais te sortir de là, et ces chiens vont apprendre à rester à leur place !

Fulgrim charge le second inquisiteur, esquivant un nouveau coup d’épée avec une agilité lupine. Il attrape le poignet de l’homme, le tordant juste assez pour lui faire lâcher son arme, puis lui assène un coup précis à la nuque. L’inquisiteur s’écroule, inconscient, son épée s’éteignant dans l’herbe. Sans perdre un instant, Fulgrim bondit vers la louve, ses griffes lacérant les fils magiques avec précaution, libérant sa compagne sans lui infliger de nouvelles blessures. Il l’attrape par le bras, la relevant avec une force douce mais ferme, son regard plongeant dans le sien, intense et protecteur.

— Reste avec moi, murmure-t-il, un sourire sauvage aux lèvres. On les met hors jeu ensemble, comme une meute. Leur magie ne nous arrêtera pas.

Les inquisiteurs restants se regroupent, leurs cercles magiques commençant à s’illuminer à nouveau, mais Fulgrim est déjà en mouvement, sa compagne à ses côtés. Sous la lune, ils ne sont pas des proies, mais des prédateurs maîtrisant leur force. Fulgrim esquive un nouveau sortilège, attrapant un troisième inquisiteur par le col pour lui asséner un coup mesuré au menton, l’envoyant dans l’inconscience. Avec la louve, ils forment un duo implacable, neutralisant leurs adversaires avec des frappes précises, sans jamais franchir la ligne qu’elle a tracée. La plaine résonne de leurs mouvements synchronisés, une danse de puissance et de retenue sous le regard argenté de la lune.

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Les terres sauvages / Re : Le Chant du Loup (by Fulgrim - Caira)
« le: mercredi 04 juin 2025, 21:29:29 »
Sous le clair de lune argenté, Fulgrim, l’Alpha d’Ébène, se tapit dans l’ombre d’un rocher, ses muscles sculptés tendus comme des cordes prêtes à rompre. La douleur de sa blessure au pectoral pulse à chaque battement de son cœur, mais ses yeux jaunes, luisants comme des braises dans l’obscurité, restent rivés sur la silhouette nue de sa compagne perchée au sommet du rocher. Son halo de lumière éclate dans la nuit, un défi flamboyant qui attire les inquisiteurs comme des papillons vers une flamme. Les tatouages runiques argentés de Fulgrim scintillent faiblement sur sa peau d’ébène, réagissant à l’adrénaline qui coule dans ses veines, mélange enivrant de désir primal et d’instinct de chasse. Il grogne doucement, ses crocs effleurant ses lèvres, tandis que la stratégie audacieuse de la louve s’impose à lui. Faire l’appât ? Elle joue son rôle à la perfection, et il ne peut s’empêcher d’admirer son audace, même si son sermon sur la foi et la vertu lui arrache un sourire narquois.

Concentré, moi ? murmure-t-il d’une voix grave, teintée d’un amusement sauvage, tout en ajustant sa position dans l’ombre. Mes pattes savent exactement où elles doivent être, crois-moi. Mais si tu veux prêcher la vertu tout en dansant nue sous la lune, je ne vais pas t’en empêcher. C’est un sacré spectacle.

Les inquisiteurs approchent, leurs armures scintillant d’une aura sacrée, leurs armes dégainées vibrant de magie. Fulgrim, accroupi près de sa dague runique abandonnée au sol, observe leurs mouvements avec une précision lupine. Leur stratégie de dispersion ne lui échappe pas : ils savent qu’il est là, tapi, blessé mais dangereux. La douleur de sa blessure le ralentit, mais son esprit reste affûté, prêt à bondir. Les paroles de la louve, son avertissement sur les “bavures” et son titre de “héros de la nuit”, lui arrachent un ricanement profond, un son qui résonne dans sa poitrine comme un grondement de tonnerre. Elle est sérieuse, mais il voit dans ses yeux la même flamme qui brûle en lui. Ils sont de la même trempe, deux loups unis par l’instinct et la meute, prêts à affronter l’ennemi.

Les inquisiteurs, désormais à moins de cent mètres, se dispersent sciemment, leurs ordres criés dans la nuit parvenant aux oreilles fines de Fulgrim. L’un d’eux brandit une épée flamboyante d’un bleu éclatant, et Fulgrim sent ses poils se hérisser. Ce ne sont pas des amateurs. La louve, dos voûté en position de combat, descend du rocher, son propre instinct de chasseur éveillé. Fulgrim perçoit ce lien primal qui les unit, cette sauvagerie gravée dans leurs gènes, vibrant dans l’air comme une promesse de violence et de triomphe. Il se redresse légèrement, ses muscles roulant sous sa peau, prêt à bondir au signal.

Joue serré, petite louve, murmure-t-il pour lui-même, un sourire féroce étirant ses lèvres. Ils viennent pour nous, mais c’est nous qui les chasserons ce soir.

Ses yeux jaunes suivent chaque mouvement des inquisiteurs, calculant, attendant le moment parfait pour frapper. La lune, témoin silencieux, éclaire la plaine, et Fulgrim, le Loup Tatoué, se prépare à danser sa danse de mort et de passion, prêt à protéger sa meute et à prouver une fois de plus pourquoi il est l’Alpha.

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Les terres sauvages / Re : Petit mais Herculéen (Barbak - Fulgrim)
« le: mercredi 04 juin 2025, 16:07:43 »
Fulgrim, le Loup Tatoué, suit Barbak jusqu’à la cascade, sa silhouette imposante glissant à travers les ombres de la forêt avec une grâce prédatrice. Ses yeux jaunes, luisants d’un éclat lupin, ne quittent pas le mouflon, captant chaque détail de sa démarche assurée, de ses cornes fières et de l’énergie chaotique qui pulse en lui. Les tatouages argentés sur sa peau d’ébène scintillent doucement sous la lumière de la lune naissante, comme s’ils réagissaient à la présence de ce fils de dieu. L’odeur du sang s’estompe, remplacée par celle de l’eau fraîche et des mets appétissants que Barbak fait apparaître. Fulgrim sent une chaleur familière monter en lui – un mélange de curiosité, d’admiration et d’un désir primal qui s’éveille face à l’audace et à la vitalité de ce guerrier. Lorsque Barbak plonge dans l’eau, Fulgrim s’adosse à un rocher, croisant les bras, un sourire carnassier étirant ses lèvres alors qu’il observe sans vergogne les formes musclées et généreuses du mouflon. Ce corps, compact mais puissant, avec ce ventre rond et ces cuisses sculptées, allume une étincelle dans ses instincts. Il se passe la langue sur les crocs, son regard brûlant d’une intensité presque palpable.

"Barbak, fils de Barbeuk," murmure Fulgrim, sa voix grave roulant comme un grondement de tonnerre, teintée d’une pointe d’amusement. "Un dieu qui se fiche des prières et des courbettes ? Ça, c’est une divinité qui me plaît. Et toi, petit titan, t’as l’air d’avoir hérité de son goût pour la franchise… et les plaisirs simples." Il laisse échapper un rire profond, ses yeux suivant le saut de Barbak hors de l’eau, admirant la puissance brute de ses mouvements et la façon dont l’eau ruisselle sur sa fourrure et ses muscles. Lorsque Barbak sort, propre et luisant, Fulgrim ne cache pas son intérêt, son regard glissant lentement sur le ventre rond, les cuisses épaisses et les attributs généreux du mouflon. Par la lune, ce shortstack est une œuvre d’art, un mélange parfait de force et de douceur qui appelle à être exploré.

Fulgrim s’approche du festin, s’asseyant avec une aisance féline à côté de Barbak, son corps massif contrastant avec la taille plus compacte du mouflon. Il attrape une cuisse de sanglier, mordant dedans avec une voracité sensuelle, ses yeux ne quittant jamais ceux de Barbak. L’odeur du rhum, des pommes de terre frites et des tomates farcies emplit l’air, et Fulgrim savoure chaque bouchée comme un rituel, son regard chargé d’une promesse tacite.

"Mon territoire ? Pas vraiment," répond-il, sa voix basse et envoûtante, un sourire provocateur jouant sur ses lèvres. "Je suis un errant, un mercenaire, un amant des nuits sauvages. La forêt, les cités, les tavernes… tout est mon terrain de jeu. Mais ici, près de cette cascade, disons que c’est un endroit où je viens me ressourcer, laisser la lune murmurer à mes instincts." Il se penche légèrement vers Barbak, son souffle chaud effleurant l’air entre eux, son regard glissant de nouveau sur les courbes du mouflon, sans la moindre subtilité. "Et toi, Barbak, t’es une tempête ambulante. Ce festin, ce corps, cette aura… par la lune, t’es un feu qui demande qu’à consumer. Ton père doit être fier de voir un fils aussi… appétissant."

Il attrape une pinte de bière, la descendant d’un trait avant de s’essuyer les lèvres d’un revers de main, ses tatouages scintillant sous l’effort. Il se rapproche encore, son genou frôlant celui de Barbak, une invitation claire dans sa posture. "Ma vie ? Oh, c’est une danse de sang, de sueur et de plaisirs. J’ai grandi dans une tribu de loups, appris à dompter mes instincts dans des rituels où la passion et la violence s’entrelacent. Aujourd’hui, je chasse, je combats, je séduis… et je cherche ceux qui peuvent suivre mon rythme." Il penche la tête, son sourire dévoilant une pointe de crocs, ses yeux brillants d’un éclat presque hypnotique. "Et toi, cornu, qu’est-ce qui te fait vibrer ? Répandre la foi de ton père, c’est une chose, mais je parie qu’il y a autre chose… un désir plus brut, plus sauvage, qui brûle là-dedans." Il tapote légèrement son propre torse, juste au-dessus de son cœur, mais ses yeux glissent de nouveau sur le corps de Barbak, une lueur de défi et de désir dansant dans son regard.

"Alors, dis-moi, fils de Barbeuk," murmure-t-il, sa voix tombant dans un registre plus bas, presque un ronronnement. "On partage ce festin, on rit, on boit… mais après, ça te dirait une danse sous la lune ? Quelque chose de plus… intime, pour sceller cette rencontre entre deux bêtes sauvages ?" Fulgrim se redresse légèrement, son corps vibrant d’une énergie contenue, prêt à bondir ou à séduire, selon ce que Barbak choisira. Son instinct hurle que ce mouflon pourrait être un partenaire de jeu à sa mesure, et il a bien l’intention de tester ses limites.

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Les terres sauvages / Re : Petit mais Herculéen (Barbak - Fulgrim)
« le: mardi 03 juin 2025, 18:47:02 »
Fulgrim, le Loup Tatoué, domine la clairière, sa silhouette colossale de deux mètres projetant une ombre imposante sous les rayons déclinants du soleil. Ses yeux jaunes, brillants d’un éclat lupin, scrutent l’étranger devant lui – un mouflon à l’allure féroce, sa fourrure maculée de sang, ses cornes luisant d’une aura de chaos brut. Les tatouages argentés sur la peau d’ébène de Fulgrim frémissent, comme s’ils captaient l’énergie sauvage émanant de cette créature. L’odeur métallique du carnage se mêle à celle des pins et de la terre humide, attisant une flamme dans ses instincts. Ce mouflon, avec sa sauvagerie et son assurance, est une énigme qui appelle à être explorée. Il s’avance, son armure de cuir épousant ses muscles saillants, sa démarche arrogante mais fluide, une lueur de provocation dans ses yeux.

"Par la lune, quel spectacle," lance Fulgrim, son regard perçant détaillant le mouflon, notant les éclaboussures de sang sur sa fourrure et l’éclat indomptable dans ses yeux. "T’as transformé cette clairière en charnier, l’ami. Ces vermines n’ont pas vu venir la tempête, pas vrai ?" Son rire profond résonne comme un grondement dans la forêt, à la fois chaleureux et teinté de danger. "Je ne sais pas qui tu es, mais t’as l’âme d’un prédateur, et ça, ça parle à mon sang."

Il s’approche d’un pas mesuré, son corps dégageant une aura magnétique, et incline légèrement la tête pour croiser le regard du mouflon, ses yeux luisants d’une lueur joueuse. "Tu veux te laver, dis-tu ? Je connais un coin parfait – une cascade pas loin, l’eau claire comme un éclat de lune, assez fraîche pour réveiller les instincts. Mais avant…" Il marque une pause, un sourire carnassier dévoilant une pointe de crocs. "Je sens l’odeur d’un festin – sanglier rôti, une pinte de bière, peut-être ? Partage donc avec un voyageur comme moi. La forêt est généreuse, mais un repas entre bêtes sauvages, c’est une autre sorte de rituel."

Fulgrim s’accroupit avec une grâce féline, rapprochant son visage du mouflon, son souffle chaud effleurant l’air entre eux. "Je suis Fulgrim, le Loup Tatoué. Et toi, cornu, t’as un nom ? Ou dois-je le deviner en humant le chaos qui pulse dans tes veines ?" Son ton est taquin, mais ses yeux scrutent intensément, cherchant à percer l’âme de cette créature. "Viens, allume ton feu, partage ta bière. On pourrait causer, rire, et peut-être…" Il penche la tête, son sourire frôlant la provocation, "voir si tu peux danser avec un loup sous les étoiles."

Fulgrim se redresse, désignant la direction de la cascade d’un geste fluide, mais son regard reste rivé sur le mouflon, une invitation ouverte à la camaraderie, au défi, et peut-être à un jeu plus primal. Il ne sait rien de cet être, mais son instinct hurle que cette rencontre pourrait enflammer la nuit.

6
Les terres sauvages / Re : Le Chant du Loup (by Fulgrim - Caira)
« le: lundi 02 juin 2025, 23:52:15 »
La nuit est une étreinte pesante, l’humidité collant à la peau de Fulgrim, le Loup Tatoué, tandis que le murmure de la rivière berce la forêt endormie. Chaque pas est une torture, la douleur aiguë dans ses côtes droites pulsant comme une lame qui s’enfonce plus profondément à chaque inspiration. La plaie suinte, le sang poisseux maculant sa peau d’ébène, glissant sous les tatouages argentés qui ornent son torse et ses bras, luisant faiblement sous la lune pleine. Les runes semblent vibrer, comme si la lune elle-même amplifiait son instinct de survie. Sa dague runique, serrée dans son poing, émet un bourdonnement subtil, un avertissement constant. Il grogne intérieurement, sa fureur contenue par la nécessité de rester alerte. Lui, l’Alpha d’Ébène, réduit à claudiquer comme une proie traquée. Les chasseurs qui l’ont piégé ce soir étaient des professionnels : lames d’argent, runes de confinement, une embuscade vicieuse. Il en a éliminé deux, mais le coût est lourd – du sang, et une faiblesse qu’il refuse d’admettre. La douleur le tenaille, mais son regard reste acéré, ses sens lupins en alerte maximale.

La louve face à lui est une énigme fascinante. Sa voix, franche et mordante, tranche l’air comme une lame, et son attitude – un mélange de méfiance et de défi – attise une étincelle en lui, malgré la douleur. Sa tenue de prêtresse, une robe gris-bleu ornée de runes lunaires cousues en fil d’argent, une ceinture de cuir noir à boucle de croissant et une cape bordée de fourrure grisâtre, semble presque ironique sur une créature aussi indomptée. Elle n’a rien de la piété docile qu’on associe aux ordres religieux ; elle est sauvage, vibrante, et cela le trouble autant que ça l’intrigue. Ses mots, secs et autoritaires, le ramènent à la réalité. Elle propose de l’aider, mais à ses conditions, et son ton ne tolère aucune discussion. Fulgrim l’observe, ses yeux jaunes scrutant chaque détail : sa posture prête à bondir, la lueur farouche dans son regard, et cette énergie brute qui semble défier les conventions de son ordre. Elle le guide vers la clairière, et il la suit, boitant, sa main crispée sur sa dague, méfiant mais curieux.

Le silence s’installe entre eux tandis qu’ils longent la rivière, l’eau scintillant sous la lune comme un miroir brisé. Fulgrim, malgré la douleur, ne peut s’empêcher de noter la grâce féline de ses mouvements, la façon dont sa cape flotte dans la brise nocturne. Elle ne parle pas, et lui non plus, ses oreilles aux aguets captant le moindre bruit suspect. Les chasseurs sont peut-être encore là, tapis dans l’ombre, et cette louve, bien qu’intrigante, reste une inconnue. Lorsqu’elle s’arrête près de trois grands rochers formant un abri naturel, elle lui ordonne de poser sa dague. Son ton, mi-sérieux, mi-taquin, arrache à Fulgrim un sourire en coin, malgré la situation. Puis, ses yeux s’écarquillent lorsqu’elle mentionne des lumières au loin – des lueurs colorées, vacillantes, accompagnées d’une torche magique. Les chasseurs. Son sang se glace, mais il sent aussi une montée d’adrénaline. Elle propose de les neutraliser sans tuer, invoquant les règles de son ordre, et il doit retenir un grognement d’agacement. Puis, à sa stupeur, elle commence à se déshabiller, ses vêtements de prêtresse tombant au sol pour éviter d’être reconnue. Fulgrim hausse un sourcil, un éclat amusé dans le regard, mais il se ressaisit vite, conscient de l’urgence.

« Héhé, ma belle, t’es pleine de surprises, toi. » Sa voix grave, teintée d’une ironie provocante, résonne dans l’air, mais ses yeux jaunes restent sérieux, scrutant les lumières au loin. Il s’appuie contre un rocher, la douleur dans ses côtes le faisant grimacer, mais il garde une posture assurée, son charisme intact malgré sa blessure. « D’accord, je pose la dague. Mais seulement parce que t’as l’air de savoir ce que tu fais… et que je suis pas en état de jouer les héros. » Il pose lentement sa dague runique sur le sol, la lame scintillant sous la lune, mais il garde une main près de sa ceinture, prêt à réagir. Son regard glisse brièvement sur elle, notant sa silhouette maintenant dépouillée de ses vêtements, mais il se concentre rapidement sur la menace qui approche.

« Ces lumières, ouais, c’est eux. Des salauds avec des runes et des lames d’argent. Et t’as raison, y’en a peut-être un de ton ordre là-dedans. Ça complique les choses. » Il tousse, une main pressée contre ses côtes ensanglantées, le sang gouttant sur le sol. Ses tatouages semblent pulser plus fort, comme si la lune amplifiait sa rage. Il jauge la louve, impressionné par son sang-froid, mais toujours méfiant. Elle a beau parler de vœux et de non-violence, il sent en elle une férocité qui pourrait rivaliser avec la sienne. Son déshabillage, bien que pragmatique, ne fait qu’ajouter à l’étrangeté de la situation, et il doit se retenir de faire un commentaire salace pour détendre l’atmosphère.

« Un plan, hein ? » Il penche la tête, ses cheveux noirs tombant sur une épaule, un sourire rusé étirant ses lèvres malgré la douleur. « On peut pas les tuer, d’accord, je respecte tes règles… pour l’instant. Mais ces types, ils sont pas là pour discuter théologie. Ils sont équipés, organisés, et ils me veulent mort. Peut-être toi aussi, s’ils te relient à moi. » Il marque une pause, ses yeux scrutant les lueurs qui se rapprochent, calculant mentalement la distance. Sa main effleure le collier d’os à son cou, un tic nerveux, puis il reprend, son ton plus sérieux. « On va les attirer dans un piège. Ces rochers, c’est parfait pour une embuscade. On se sépare : toi, tu les distrais avec ta… disons, ta présence. Sans tes fringues, ils vont pas tout de suite capter que t’es de leur ordre. Moi, je contourne par la gauche, je me planque dans l’ombre. Je suis blessé, mais je peux encore frapper fort si je prends l’un d’eux par surprise. On les assomme, on les désarme, et on les attache. Pas de sang, comme tu veux. »

Il la fixe, guettant sa réaction, ses yeux jaunes brillant d’une lueur à la fois sauvage et calculatrice. La douleur dans ses côtes est un rappel constant de sa vulnérabilité, mais l’idée de combattre aux côtés de cette louve – si elle accepte – ravive une flamme en lui. Elle est différente, imprévisible, et ça l’attire autant que ça le rend prudent. « Et pour tes vêtements… » Un sourire narquois éclaire son visage, malgré la gravité de la situation. « T’inquiète, je vais pas imaginer des trucs. Enfin, pas trop. Mais je dois dire, t’as du cran de te mettre à poil comme ça en pleine forêt. Respect. Alors, t’es partante pour le plan, ou t’as une meilleure idée, prêtresse ? » Il tousse à nouveau, la douleur le rattrapant, mais il reste focalisé sur elle, prêt à agir, son instinct lupin vibrant sous la lumière de la lune.

7
ça me va, je te laisse commencer le RP !

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Le coin du chalant / Re : Ahouuuuu (Chalant Fulgrim, ou l'appel de la Lune)
« le: dimanche 01 juin 2025, 19:20:06 »
Méga bro avec ou sans copinage sous la couette plutôt ? Je te préviens je suis plutôt l'alpha :p

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Les terres sauvages / Re : Le Chant du Loup (by Fulgrim - Caira)
« le: vendredi 30 mai 2025, 08:42:43 »
La nuit enveloppe la forêt d’un voile épais, l’air saturé d’humidité et du murmure incessant de la rivière. Fulgrim, le Loup Tatoué, avance en serrant les dents, chaque pas ravivant la douleur aiguë qui déchire ses côtes droites, où une plaie profonde suinte, défiant sa régénération lupine. Le sang poisseux trempe sa peau d’ébène, glissant sous les tatouages argentés qui serpentent sur son torse et ses bras, luisant faiblement sous la lumière lunaire, pulsant au rythme de son cœur erratique. Sa dague runique, crispée dans sa main, vibre doucement, comme un écho de son instinct en alerte. Il grogne intérieurement, furieux de sa faiblesse. Lui, l’Alpha d’Ébène, réduit à boiter comme une proie. Les chasseurs qui l’ont piégé ce soir étaient des experts : lames d’argent, runes de confinement, une embuscade méticuleusement orchestrée. Il en a abattu deux, mais le prix est lourd – du sang, et une vigilance constante pour ne pas s’effondrer. La douleur dans ses côtes est comme une lame qui s’enfonce à chaque inspiration, mais il refuse de céder, porté par une rage brute et une volonté de fer.

Un craquement sec déchire le silence de la forêt. Ses oreilles de loup pivotent, ses yeux jaunes, brillants dans l’obscurité, fouillent les ombres. Une silhouette émerge, et son flair capte une odeur envoûtante : forêt, fougue, et une pointe de méfiance acérée. Une Terranide, une louve. Sa voix claque, franche, mordante, avec une assurance qui force l’attention de Fulgrim. Elle n’a pas l’air de quelqu’un qui se laisse marcher sur les pattes, et cela attise une étincelle d’intérêt en lui, malgré la douleur qui le tenaille. Il s’arrête, son regard perçant fixé sur elle, analysant chaque détail : sa posture prudente, son regard défiant, et cette tenue de prêtresse qui contraste avec son attitude farouche. Elle porte une robe longue mais simple, faite d’un tissu gris-bleu orné de broderies subtiles – des motifs lunaires et des runes discrètes cousues en fil d’argent, qui semblent capter la lumière de la lune. Une large ceinture de cuir noir, ornée d’une boucle en forme de croissant, enserre sa taille, et une cape légère, bordée de fourrure grisâtre, flotte derrière elle, évoquant à la fois une aura sacrée et une liberté sauvage. Cette tenue, bien que marquée par l’esthétique d’un ordre, ne parvient pas à masquer l’énergie brute qui émane d’elle.

« Héhé, c’est comme ça qu’on accueille un cousin dans ces bois, ma belle ? T’as du feu, j’aime ça. » Un rictus amusé étire les lèvres de Fulgrim, dévoilant ses canines malgré la douleur qui pulse dans ses côtes. Il se redresse, sa carrure massive vacillant légèrement, et s’appuie contre un tronc pour masquer sa faiblesse. Sa voix, grave et rauque, teintée d’une pointe d’ironie, résonne dans la clairière. Il lève une main, paume ouverte, pour apaiser toute hostilité, sa dague runique toujours serrée dans l’autre, vibrant faiblement comme pour refléter son état d’alerte. « Détends-toi, je suis pas en état de jouer au méchant loup ce soir. Pas avec ce merdier. » Il désigne ses côtes ensanglantées d’un mouvement du menton, le sang luisant sur sa peau d’obsidienne.

Ses yeux jaunes ne la quittent pas, détaillant chaque nuance de sa présence : la façon dont elle se tient, prête à bondir, la lueur de défi dans son regard, et cette tenue de prêtresse qui semble presque ironique sur une louve aussi indomptée. Elle n’a rien de docile, et cela lui plaît, même s’il reste sur ses gardes. La douleur dans ses côtes le transperce à chaque mouvement, mais il force un ton assuré, presque provocant, pour ne pas trahir sa vulnérabilité. « T’as l’œil vif, dis donc. Ouais, je suis dans la merde. Des chasseurs m’ont bien amoché – lames d’argent, runes, tout le grand jeu. » Il grimace, un éclair de douleur traversant son visage, mais il ne détourne pas le regard, ses yeux ancrés dans les siens. « Si t’es du genre à filer un coup de patte à un loup en galère, je cracherais pas dessus. Mais… » Ses yeux se plissent, une lueur sauvage y dansant, mélange de méfiance et de défi. « Si t’as dans l’idée de me la faire à l’envers, je te promets que j’ai encore assez de jus pour te le faire regretter, ma grande. »

Un silence lourd s’installe, chargé de tension. Fulgrim jauge sa réaction, son sourire charmeur masquant à peine la méfiance qui l’habite. Cette louve l’intrigue profondément. Son franc-parler, son énergie brute, et cette aura de défi qui semble défier les conventions de sa tenue de prêtresse résonnent avec ses propres instincts. Mais il n’est pas assez insensé pour baisser sa garde, pas avec une blessure aussi grave, pas dans un monde où la trahison rôde dans chaque ombre. Pourtant, une étincelle s’allume en lui, un mélange de curiosité et de désir de tester ses limites. Il veut savoir qui elle est, ce qu’elle cache sous cette armure de sarcasme et de tissu sacré.

Il penche la tête, ses cheveux noirs cascadant sur une épaule, son ton glissant vers quelque chose de plus bas, presque séducteur malgré la douleur qui le tenaille. « Alors, louve, t’es qui ? Une vagabonde comme moi, ou une de ces âmes pieuses qui se planquent dans des temples pour jouer les saintes ? T’as pas la tête à réciter des prières, si je peux me permettre. » Une toux rauque lui échappe, la douleur dans ses côtes le rattrapant, mais il garde ses yeux rivés sur elle, guettant le moindre signe, prêt à voir si elle sera une alliée… ou une tempête de plus à affronter.

La nuit semble retenir son souffle, le murmure de la rivière devenant un fond sonore à peine perceptible face à la tension entre les deux loups. Fulgrim, malgré la douleur qui le ronge, sent une chaleur familière monter en lui – celle du défi, de la séduction, du jeu. Cette louve, avec son regard acéré et son attitude indomptable, est un mystère qu’il brûle de percer. Mais la plaie à ses côtes, suintante et brûlante, lui rappelle qu’il n’est pas en position de force. Chaque mouvement est un effort, chaque inspiration un combat. Les tatouages argentés sur sa peau semblent pulser plus fort, comme si la lune elle-même l’exhortait à tenir bon. Il sait que les chasseurs pourraient encore être à ses trousses, et cette rencontre inattendue pourrait être une bénédiction… ou une malédiction.

Il observe la louve avec une intensité accrue, notant la façon dont sa cape flotte légèrement au gré du vent nocturne, les runes argentées de sa robe scintillant comme des étoiles miniatures. Elle est une contradiction fascinante : une prêtresse, peut-être, mais avec l’âme d’une guerrière, d’une rebelle. Ses propres instincts lupins s’agitent, partagés entre méfiance et une attirance qu’il ne peut nier. Il se redresse légèrement, malgré la douleur, pour afficher une assurance qu’il ne ressent qu’à moitié. Sa main libre effleure le collier d’os à son cou, un réflexe inconscient, un souvenir de sa mère qui le ramène à sa propre humanité, même dans cet instant de vulnérabilité.

« Alors, ma belle, tu vas me laisser crever ici ou quoi ? » Son ton est taquin, mais ses yeux trahissent une urgence contenue. Il tousse à nouveau, le sang gouttant sur le sol, et il s’appuie plus lourdement contre l’arbre, sa respiration devenant plus laborieuse. « Je te promets, je suis plus drôle en vie qu’en cadavre. Et puis, on dirait que t’as des choses à raconter, toi. Une louve comme toi, avec une tenue pareille… y’a une histoire là-dessous, non ? » Il force un sourire, provocateur, mais ses yeux restent vigilants, scrutant chaque mouvement de la louve, prêt à réagir si elle décide de passer à l’action – pour l’aider, ou pour l’achever.

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Les terres sauvages / Le Chant du Loup (by Fulgrim - Caira)
« le: jeudi 29 mai 2025, 20:11:10 »
La forêt hurlait en silence, ses arbres noueux dressés comme des sentinelles dans l’obscurité. La lune, pleine et arrogante, baignait les lieux d’une lueur argentée, révélant les ombres dansantes des feuilles et le scintillement des tatouages runiques sur la peau d’ébène de Fulgrim. Le Loup Tatoué, l’Alpha d’Ébène, gisait contre un tronc moussu, son souffle rauque et irrégulier. Une plaie béante barrait son flanc, là où une lame d’argent avait mordu profondément, laissant une brûlure qui refusait de se refermer, même avec sa régénération lupine. Le sang, noir sous la lumière lunaire, tachait le cuir lacé de son pantalon et gouttait sur la terre humide.

"Maudits chasseurs," grogna-t-il, ses yeux jaunes lançant des éclairs dans l’obscurité. Sa voix, d’ordinaire profonde et envoûtante, était teintée de douleur, mais aussi d’une rage contenue. Il serra sa dague runique dans sa main droite, ses jointures blanchissant sous l’effort. La lame vibrait faiblement, comme si elle percevait le danger qui rôdait encore. Les chasseurs humains, armés de leur fanatisme et de leurs armes impies, l’avaient traqué pendant des heures, croyant pouvoir abattre l’Alpha. Ils avaient échoué, mais pas sans lui arracher un prix.

Fulgrim rejeta la tête en arrière, ses cheveux noirs et sauvages collés à son front par la sueur. Il pouvait sentir la forêt autour de lui, vivante, pulsante, comme une extension de son propre cœur. Les loups hurlaient au loin, leurs voix un écho de sa propre sauvagerie. Mais ce soir, il était seul. Pas de meute. Pas de Lysa pour panser ses plaies avec ses sortilèges félins. Pas d’amants pour le distraire de la douleur avec leurs caresses. Juste lui, la lune, et cette foutue blessure qui le rongeait.

"Pas encore fini, bande de lâches," murmura-t-il, un sourire féroce étirant ses lèvres malgré la souffrance. Il tâtonna dans la poche de sa ceinture et en tira une petite fiole, un mélange d’herbes et de sang de cerf préparé par un herboriste de la dernière cité qu’il avait visitée. Il arracha le bouchon avec ses dents et versa le contenu sur la plaie, grimaçant lorsque la mixture siffla au contact de la chair empoisonnée par l’argent. La douleur était un feu liquide, mais il l’accueillit comme une vieille amante, familière et cruelle.

Il se redressa lentement, s’appuyant sur le tronc, son corps massif tremblant sous l’effort. Ses tatouages semblaient briller plus fort, comme si la lune elle-même lui prêtait sa force. "Vous voulez le Loup ? Venez le chercher." Sa voix résonna, un défi lancé aux ombres. Il savait que les chasseurs n’étaient pas loin. Leur odeur – sueur, métal et peur – flottait encore dans l’air. Mais Fulgrim n’était pas une proie. Il était le prédateur, même blessé, même seul.

Il fit un pas, puis un autre, sa démarche vacillante mais déterminée. La forêt était son domaine, et il connaissait chaque sentier, chaque ruisseau. Il trouverait un refuge, une caverne ou une clairière où il pourrait reprendre des forces. Et quand il serait prêt, il traquerait ceux qui avaient osé le défier. Ils apprendraient ce qu’il en coûtait de s’en prendre à l’Alpha d’Ébène.

Sous la lumière de la lune, Fulgrim avança, sa silhouette massive se fondant dans les ombres, sa dague scintillant comme une promesse de vengeance. La forêt retint son souffle, et le Loup Tatoué marcha, porté par sa rage, sa passion, et une soif inextinguible de liberté.

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Le coin du chalant / Re : La kistune entre en jeux
« le: mercredi 21 mai 2025, 19:52:23 »
Cela m'intéresse !

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Le coin du chalant / Re : Carnet de traque / Lioren
« le: mercredi 21 mai 2025, 19:51:26 »
Possibilité de RP ou bien toujours full ?

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Prélude / Re : Fulgrim, l'Alpha d'Ébène [Validé]
« le: mercredi 21 mai 2025, 19:47:53 »
Merci a vous tous pour l'accueil !

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Le coin du chalant / Re : Are you my new rabbit ? || Jessica
« le: mercredi 21 mai 2025, 11:46:21 »
Jessica Rabbit ! Mon fantasme d'adolescent ! J'adorerai faire un RP avec toi, peu importe tes conditions !

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Un personnage de sexe masculin qui viole Sarya
Un personnage de sexe masculin dans un rp plus ou moins consentant pour Sarya

Je suis intéressé par ces deux propositions, si ça te dérange pas de jouer avec un nouveau joueur !

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