Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Lynn

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Lynn

Pages: [1] 2 3 ... 5
1
Prélude / Re : Maeilera - Unicorn Queen
« le: mercredi 19 novembre 2025, 15:26:52 »
Bienvenue, jolie licorne !  :-*

2
Prélude / Re : Celindra, tête de Tigre ? [Seremialidée]
« le: mercredi 12 novembre 2025, 23:04:08 »
Rebienvenue Celi-jolie !  :-*

3
Centre-ville de Seikusu / Re : La corruption par le corps [Pv.]
« le: vendredi 24 octobre 2025, 18:02:02 »
Lynn x Kenichi
La corruption par le corps


Ses yeux étaient sur ses lèvres.
Embrassables à souhait, elle les fixait comme la dernière des merveilles.

Sa main à lui était chaude, franche mais pas agressive. Il ne se dérobait pas sous elle tout comme il ne la dominait pas.

Par contre, Lynn n’avait rien écouté, plus occupée sur la sonorité de ses mots qu’à leur contenu.
Mais elle suivit ses pas, ses jambes fuselées dans un costume hors de prix étaient aussi régulières qu’un métronome. Sa jupe crayon, bien que très flatteuse, la restreignait dans ses mouvements en l’obligeant à de petites enjambées élégantes.

Ce petit trajet jusqu’à l’ascenseur eut l’avantage de lui remettre les idées en place : sa mission n’était pas de s’extasier devant sa beauté et le luxe dans lequel il baignait mais de l’analyser, de l’observer et de le séduire subtilement.

Dans la cabine d’où on pouvait admirer toute la ville, elle s’adonnait au jeu le plus vieux de l’humanité du je-te-regarde-quand-tu-as-le-dos-tourné sans grand succès jusqu’à ce que deux personnes s’immiscent entre eux. Lynn les salua par une légère inclinaison du buste et un pincement de lèvre gêné tandis que la femme lui confiait le petit cartable dont on l’avait débarrassée pour la séance photo.

Le bureau du PDG était grand, environ deux fois son appartement, et discrètement décoré. Une baie vitrée derrière le bureau dominait le quartier tandis qu’un petit salon cossu servait à recevoir les invités de marque et sûrement signer des contrats valant des milliards.

Aussi irréaliste que cela puisse paraître, Lynn prenait place en ce lieu, ouvrant sa veste pour libérer sa poitrine comprimée et relevant sa jupe afin que le moelleux du fauteuil n’en craque pas le tissu.

Lorsqu’elle se retourna, elle constata que deux membres de leur quatuor improvisé s’étaient volatilisés.

Ils étaient en tête à tête.

« Alors… Je m’appelle Lynn, comme vous le savez sûrement déjà, et je suis en deuxième année de communication à l’université de Seikusu. »

Les notes ne furent bien sûr pas évoquées.

Son regard réhaussé d’un maquillage léger capta celui de son homologue et elle sourit, plus confiante.

« Je travaille aussi en tant que modèle à l’agence Juri. Tenue par monsieur Youri Kouznetsov, vous connaissez peut-être. »

Elle était quasiment sûre de l’avoir vu crédité sur certaines photos du PDG.
Avec ça, elle était garantie de marquer des points !

« D’ailleurs, je suis déjà familière avec cet hôtel puisque nous avons fait un shooting dans l’une de vos suites il y a quelques mois… »

Lynn se souvint que dans ce travail plus qu’ailleurs, elle devait montrer de l’engagement, de la dis-po-ni-bi-li-té ! Quitte à donner sa vie pour le stage !

« …mais j’ai mis cette activité en suspens le temps du stage, bien sûr, puisque vous allez me prendre tous les soirs. »

Oh.
Que c’était mal dit.

Deux choix s’offraient à elle.
Se rectifier, quitte à passer pour quelqu’un à l’esprit mal placé, ou se murer dans le silence, en espérant très fort pour que monsieur Kawamura soit un citoyen exemplaire.

Elle choisit la première solution, replaça nerveusement une mèche derrière une oreille et prit en main le premier truc à sa portée, à savoir le verre d’eau, qu’elle avala cul-sec.

« Cette eau est délicieuse ! »

De toute façon, quel était le pire scénario envisageable ?
Qu’il la vire et porte plainte contre elle pour harcèlement sexuel, détruisant sa vie et l’honneur de sa famille pour ensuite finir sous un pont avec comme seule perspective de se faire passer dessus par tous les clodos du coin et mourir de froid au prochain hiver ?

4
Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: dimanche 19 octobre 2025, 19:17:21 »
Si mon VDD pouvait en faire un film, ce serait sympa !

5
Lynn a du souci à se faire si monsieur l’Ange sonde les cœurs ! Direction l’Enfer !  ::)

Bienvenue !

6
Rebienvenue Cruelle diablesse !

7
Prélude / Re : Franz Bauer ~ Professor Strangelove, Doctor Love [Vanéalidé !]
« le: mercredi 15 octobre 2025, 12:39:26 »
Frrrransss:-*

8
Centre-ville de Seikusu / Re : La corruption par le corps [Pv.]
« le: mardi 14 octobre 2025, 19:48:19 »
Lynn x Kenichi
La corruption par le corps


La nouvelle avait mis toute l’université en ébullition : les entreprises de la famille Kawamura recrutaient des étudiants du campus de Seikusu pour un stage de moyenne durée.
Une expérience intéressante outrageusement bien payée ; il faudrait être stupide pour ne pas tenter sa chance.
Alors, comme tout le monde et sans trop y croire, Lynn avait envoyé CV et lettre de motivation.

Première surprise, elle avait décroché un entretien.
Un coup de chance ; la déchiqueteuse n'avait pas détruit ses espoirs.

Deuxième surprise, les autres candidats étaient quasi exclusivement des candidates.
Certaines, que Lynn connaissait de vue, avec des résultats scolaires qui côtoyaient la perfection. Autrement dit, elle n’avait aucune chance.

Pour elle, c’était fichu, elle avait repris son quotidien, sa petite vie d’étudiante médiocre et de modèle prometteuse.
Mais une fin d’après-midi, alors qu’elle rentrait chez elle, un numéro inconnu la contacta. La voix féminine avait des mots qu’elle n’attendait pas.

Troisième surprise, elle était l’heureuse élue.
Et il n’y avait pas de temps à perdre : on lui accordait quelques jours pour mettre ses affaires en ordre ; une des dirigeantes viendrait en personne la briefer la veille du stage.

Dimanche. Lynn avait délaissé le short confortable pour la petite robe noire. Le thé fumant était prêt à être servi.
Une berline noire se stationna devant son immeuble. Deux femmes en tailleur en sortirent, accompagnées de deux gardes du corps. C’était elle.

Lynn s’attendait à un échange cordial.
Mais la plus âgée, la mine pincée, s’était assise en lui intimant de la rejoindre, tandis que la plus jeune, les bras chargés de sacs de transport floqués de marques de luxe, disparaissait dans sa chambre.
Interloquée, Lynn voulut protester mais elle fut vite rappelée à l’ordre par un discret raclement de gorge de l’aînée.

« Bien. Je vais aller droit au but, mademoiselle. En épluchant vos activités, nous sommes tombés sur quelques… détails qui pourraient compromettre la réputation de notre groupe. »

Ah non !
Pas encore les photos de la dernière sortie scolaire du lycée qui venaient la rattraper !

Lynn fronça les sourcils. La femme disposa les clichés en éventail sur la petite table.
On la voyait, parfois avec d’autres femmes, prendre des poses lascives en ensemble lingerie, serre-taille, porte-jarretelle.
Celle qui avait retenu son souffle tout du long, soupira de soulagement.
Ces images, elle les connaissait très bien.

« Je peux tout expliquer, madame…
—   Keiko Kawamura, corrigea la secrétaire revenue de son excursion, les bras vides.
—   Madame Kawamura, ces clichés ont été faits à l’occasion de la collection automne-hiver d’une marque de lingerie de luxe. Au King Hotel Seikusu. Et tout a été fait dans les règles, je peux vous fournir le contact de mon agence. »

Les lèvres rouges de la femme entre deux âges se pincèrent alors qu’elle fit un signe à sa secrétaire.

« Nous vérifierons. Mais il y a autre chose, mademoiselle… »

Sa larbine sortit une tablette allumée sur une image de mauvaise qualité et de mauvais goût.

Deux corps dénudés, un féminin, un masculin, en pleine action.
On ne distinguait pas le visage de l’homme qui était hors champ, alors que la femme, allongée, les jambes tendues reposées sur une épaule virile, avait de longs cheveux… blancs ?

La vidéo se lança, le son obscène des ébats emplit la pièce. L’extrait était court.
Ça semblait être elle, sa voix, son corps.
Mais elle ne se souvenait de rien, ni de l’homme, ni de cette pièce, ni d’avoir un jour réussi à être pénétrée.

« Vous avez perdu votre langue ? »

Un frisson aussi chaud qu’un blizzard partit de ses reins jusqu’à sa nuque. Cette vidéo pouvait détruire tout ce qu’elle avait réussi à reconstruire. Lynn fixait un point imaginaire, abasourdie, tandis que Keiko se levait triomphalement.

« Voici ce que vous allez faire : vous allez utiliser vos talents pour séduire mon frère, le rendre fou de vous. Ce que j’attends de vous, c’est la preuve de sa décadence. En échange, mon équipe privera tous les détraqués du monde une occasion de se palucher sur vous. »

Le ton était tranchant et froid comme une lame.
Echec et mat. Le convoi quitta les lieux.

Une fois seule, et pour éviter de pleurer, elle s’effondra sur son lit, son visage plongé dans un coussin coincé sous elle. L’impression de tomber dans un puits sans fond. Le vertige et, à l’arrivée, une issue incertaine.

Son regard finit par se poser sur son téléphone qu’elle saisit pour lancer une recherche rapide.
Celle sur le vieux croûton insupportable qu’elle allait devoir draguer.

KA-WA-MU-RA KE-NI-CHI

La première photo la fit se dresser sur ses coudes.

Il n’était pas vieux.
Et il était beau.
Genre beau à être mis sur un catwalk.

Cela méritait une investigation plus poussée.
Elle alluma son ordinateur, donna une utilisé à son thé et reproduit la requête sur grand écran. Les recherches suggérées :

Kawamura Kenichi célibataire
Kawamura Kenichi copine
Kawamura Kenichi fortune
Kawamura Kenichi milliardaire

Kawamura Kenichi gay
Tiens, tiens…

Kawamura Kenichi fanfiction
Pauvre homme.

Il apparaissait presque toujours dans des contextes professionnels, aucune photo volée, son image était extrêmement propre. Il devait avoir le procès facile. Elle l’enviait un peu.
Lors de sorties mondaines, les gestes qu’il avait envers les femmes relevaient davantage de la courtoisie que de la séduction.
Son célibat était un mystère.

Imbuvable ou gay.
Sans surprise, elle préférait la première option.

Le grand jour.
Lynn observait la ville défiler derrière les vitres teintées de la berline affrétée pour elle.
Les vêtements choisis par Keiko sur elle, étrangement à sa taille. Elle avait dû fouiller son book en ligne et ses réseaux sociaux. Weirdo.

Un tailleur blanc, une blouse sombre transparente juste assez pour laisser deviner la dentelle entourant un sein. Rébellion discrète, elle avait noué un ruban rouge au niveau du col, rappelant la semelle de ses escarpins.

Elle entendit à peine le vrombissement du moteur mourir.
Un pas après l’autre, dans une démarche bien travaillée, elle traversait la haie d’honneur du haut de ses talons la faisant flirter avec le mètre quatre-vingts. Lynn savait être au centre de l’attention.
La mise en scène était si grandiloquente qu’elle avait l’impression d’assister à son propre mariage.

Arrivée à sa hauteur, une hésitation qui ne dura qu’un battement de cils.
Peut-être par culpabilité de piéger cet homme qui ne lui avait rien fait, ou peut-être parce qu’il sentait vraiment très bon.

Après s’être inclinée bien bas et avoir replacé une mèche insolente tombée sur son visage, elle tendit une main fraîchement manucurée pour qu’il la prenne. Cela ferait de belles images.
Celles de son patron étaient tout de même fort jolies.

« Il me tarde de travailler avec vous, monsieur Kawamura. »

Faites qu’il soit pas gay.
Faites qu’il soit pas gay.
Faites qu’il soit pas gay.

9
Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: samedi 11 octobre 2025, 14:47:11 »
Si mon VDD est un patient alors ça me va d'être infirmière dans un asile !

10
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mardi 07 octobre 2025, 14:44:42 »
Ni 9 planètes dans le système solaire (RIP Pluton  :()

11
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: mercredi 24 septembre 2025, 22:22:59 »
Venez par ici, monsieur Sapin !

L’attrape au lasso avec une guirlande et lui fait plein de poutous

Et de deux !

12
Blabla / Re : J'épouse, j'esclavagise, je tue
« le: lundi 22 septembre 2025, 12:58:38 »
Quel choix difficile... Bon.

J'épouse Serenos s'il veut bien et que c'est autorisé au royaume de Meisa !
J'esclavagise Réo pour les cocktails gratuits.
Et... je fais semblant de tuer Ghrull.

Shun, Cain et Diamant

13
Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« le: lundi 22 septembre 2025, 12:47:19 »
La VDD de mon VDD souhaite que son VDD lui suce le sang !

14
Prélude / Re : Écarlate et Silencieuse : Le Chant de la Lame
« le: lundi 22 septembre 2025, 12:41:21 »
Rebienvenue madame Valeris !
Vous êtes trop belle !  :-*

15
Les alentours de la ville / Re : La Course éternelle [Grayle-Lynn]
« le: dimanche 21 septembre 2025, 20:57:05 »
Lynn x Grayle
La Course éternelle


Il faisait frais ce matin-là.
Devant la ligne de départ, la brume avait emmené avec elle ses embruns de café tiède mélangés à la sueur et un soupçon d’excitation.

Lynn, un peu à l’écart, se faisait silencieuse.
La semaine précédant le départ, elle avait étudié les vidéos du parcours, consulté des blogs, suivi des conseils d’experts de la discipline à en perdre le sommeil.
Le moindre virage, le plus petit dénivelé avaient été assimilés, jusqu’à l’écœurement.
Cette capacité de concentration soudaine avait de quoi faire enrager ses professeurs et rougir de honte ses notes dépassant péniblement la moyenne.

Elle se sentait prête.
Du moins, autant qu’on puisse l’être pour une première fois.

Accroupie sur ses lacets qu’elle nouait fermement d’une main tremblante, ses yeux dérivèrent sur sa montre connectée.

BPM à 75. Correct mais un poil élevé.
Un désagrément.

Sa source, elle la ressentait tout autour d’elle, derrière son épaule et dans sa vision périphérique.
Ces regards dont elle ne maîtrisait pas la destination exerçaient comme un poids lancinant sur sa nuque.
Les pas sur le bitume s’arrêtaient derrière elle, certaines conversations animées entre amis cessaient, des murmures et des silences complices émergeaient. Par derrière, ces yeux étrangers glissaient sur ses épaules, s’accrochaient à son tour de taille dénudé et terminaient leur route sur ses fesses mises en valeur par sa tenue. Devant, par pudeur ou par lâcheté, on faisait semblant de ne pas voir le bijou qui plongeait dans le décolleté de sa brassière.

Même ici, dans ces montagnes loin de tout, sans aucun artifice et pour une course qui représentait le summum de la performance physique et mentale, elle n’était rien d’autre que la jolie fille.
L’ignorer était vain. Il fallait l’embrasser, en faire une force.
Alors, en paix avec ce constat, elle se décida à exaucer ces prières scabreuses.
Une fois ses chaussures bien nouées, elle se redressa en accentuant la cambrure de son fessier dans un geste fluide et clairement maîtrisé, une main accompagnant la lente remontée sur ses cuisses finit par se loger, poing fermé, sur une hanche.

La sa-lope ! hurlerait en silence son public médusé.

BPM à 69. Parfait.
Dans d’autres circonstances, ce nombre lui aurait arraché un sourire.

Les hauts parleurs grésillaient, signalant l’imminence du départ.
Lynn trottinait avec confiance à sa place, le plan de course bien en tête.

Avoir la tête haute, porter le regard au loin.
Aller à un rythme soutenu pendant les trois premiers kilomètres et, une fois en forêt, faire attention aux creux et aux glissades.
Et puis, il y avait aussi la pluie à prendre en com—

« …été débutants. »

BPM à 117. Panique.
Le rouge des joues jusqu’aux tempes.

Son regard capta celui d’un visage étranger.
Un peu comme elle, mais européen. Un peu mieux, donc.
Ses cheveux en folie aux reflets blonds lui évoquaient un chérubin.

Oh, mais qu’avait-il dit ?

« So-sorry… I. Do… Not ? Speak Engri— »

La peine à articuler qui faisait peine à voir.
Puis soudain, la réalisation, les yeux grands comme des soucoupes.

« Vous parlez japonais ? Vous. Parlez. Japonais. »

PAN !
Elle aurait aimé le connaître. Savoir pourquoi, comment, son vécu, ses peines et ses joies.
Mais ses réflexes de coureuse l’avaient devancée et elle disparaissait déjà dans le premier virage.

Pages: [1] 2 3 ... 5