Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Jack Marston

Pages: [1] 2 3 ... 19
1
One Shot / Re : Daemon School -- Amon, Yuki
« le: samedi 21 septembre 2024, 03:19:31 »
Amon avait senti un truc chez cette nouvelle. Il n’aurait pas su dire quoi. Elle était spéciale, voilà tout. En même temps, son arrivée était bizarre. Il n’y avait eu aucune trace d’elle jusque là, elle était apparue de nulle part avec sa petite aura de rang 2, sous l’égide d’un type qui n’avait aucun intérêt à couver une minable pareille, et, malgré tout, il y avait quelque chose en elle qui travaillait tout le monde. Et on ne parlait pas que de ses formes.

Elle avait un truc et il allait trouver quoi. S’il ne trouvait pas, au moins, il s’amuserait en essayant. Parce que, oui, Amon n’avait pas juste l’intention de la persécuter. Quand il voyait une jolie fille disponible, surtout si elle résistait, il ne pouvait pas s’empêcher de la travailler au corps jusqu’à la faire sienne.

Il avait de la chance, parce que le prochain cours était commun et la classe de Yuki était là. Son coup d’éclat avait fait son effet et elle était désormais isolée, reléguée au fond de la classe à une rangée libre, occupée à esquiver les boulettes vaines et narquoises des plus farceurs des démons présents.

Lorsqu’il entra, on l’observa évidemment pour savoir où il allait aller. Les succubes lui faisaient de l’œil, évidemment, leurs bandes se disputant comme toujours ses faveurs, et plus encore dans ce cours. Cheerleaders, geekettes, divas et rockeuses avaient réservé une place au centre de leurs tablées, et il se laissa tenter par chacune des propositions lascives et silencieuses qui lui étaient adressées avant de pointer son regard sur la brune. Ce truc en elle l’appelait plus encore, alors il dépassa toutes les rangées pour aller s’installer avec elle.

Enfin, plutôt que de s’installer avec elle, il décida de l’embêter et de continuer son petit numéro. Il se pointa devant elle et s’appuya sur la table d’une main avant d’écarter son livre de l’autre. Ses yeux rayonnants de magie rose captèrent les siens et il laissa son parfum tentateur se répandre jusqu’à elle. Il ne lui fit pas de cadeau cette fois, toute la puissance de son aura démoniaque l’envahissant pour la soumettre à une nouvelle montée de chaleurs et à un profond désir sexuel.

« Ben alors, Yuki, on se retrouve vite, » ricana-t-il. « C’est pas plus mal, j’en n’avais pas fini avec toi. »

Sans aucune gêne, il posa son sac sur la table près d’eux et grimpa dessus, s’asseyant juste devant elle, jambes écartées et retombant de chaque côté de sa chaise.

« C’est con que tu sois seule, » fit-il semblant de se soucier. « Je t’ai pourtant dit que qui tu es dépend de moi, ici. T’as pas envie d’être autre chose que la nouvelle que tout le monde méprise ? »

2
Centre-ville de Seikusu / Re : Rencontre du troisième type -- Jack, Rubis
« le: samedi 21 septembre 2024, 03:03:09 »
Après une tendre retrouvaille, Jack dut ainsi laisser l’albinos s’occuper du plat fini et se séparer d’elle pour un moment. Il l’aida en s’occupant de disposer les couverts là où elle le lui indiqua, toujours étonné de voir les similitudes flagrantes entre sa normalité et la sienne. Ils avaient beau vivre dans des mondes très éloignés sur le plan technologique, leurs vies, leurs sociétés semblaient bien analogues.

Il réfléchit à ces histoires, ces rumeurs, ces légendes urbaines circulant partout à propos des failles et de la manière dont elles avaient disséminé les peuples et les races à travers les univers, à travers l’espace, le temps et les dimensions. Certains illuminés avançaient des théories panspécistes très farfelues, mais, maintenant qu’il se retrouvait sur cette Terre si étrange et si familière à la fois, il ne savait pas trop quoi penser. D’un coup, toutes ces conneries ne sonnaient plus si connes.

Mais il n’avait pas beaucoup de temps pour y penser. Rubis l’invitait à passer à table, et il sortit de ses songes pour s’installer face à elle. Ils échangèrent un regard et la belle rougit, le laissant dans une réflexion attendrie, lui souriant avec douceur tandis qu’il se laissait remarquer à quel point sa présence lui facilitait la traversée de cette catastrophe qu’il avait vécu. Il ne pensait presque pas à son vaisseau, camouflé, verrouillé, mais à la merci d’un chercheur un peu trop curieux. Demain, il faudrait qu’il lui dise au revoir et qu’il s’en aille. Pour l’instant, il voulait juste profiter de cet abandon égoïste et insouciant encore un peu.

« Bon appétit, Rubis. »

Il prit les baguettes à son tour, soudainement interpellé par les ustensiles. Il ne s’était jamais servi de baguettes pour manger. Mais ça ne devait pas être si sorcier, si elle s’en servait ? En silence, et en en profitant qu’elle ait le regard perdu dans son plat, il regarda sa main et sa position, et il chercha à reproduire rapidement gestes et posture. Après quelques mouvements gauches, il trouva le truc, ou à peu près du moins, et plongea les baguettes à son tour, tirant une tranche de viande et des nouilles juteuses de son plat pour les amener à sa bouche autant qu’il amenait sa bouche à elles.

Il trouva ainsi une méthode confortable et on peut dire qu’il était devenu un usager confirmé des baguettes avant la fin du repas. Sa capacité d’apprentissage avait toujours été un point fort, chez lui, en tout cas dans ses domaines de prédilection. Et il n’éveilla pas de soupçons, ainsi, pendant qu’ils savouraient le plat de ramens en silence, silence seulement troublé par leurs bruits d’aspiration et de mastication et par le son des baguettes raclant jusqu’au bout le fond des délicieux bols.

« C’était vraiment délicieux, » commenta-t-il lorsqu’il eut terminé un deuxième bol. « Je devrais ramener la recette chez moi. »

Repus, il se recula sur la chaise en frottant son ventre et sourit avec franchise à Rubis, qui finissait elle aussi de son côté. Il pencha la tête légèrement en l’observant sans un mot pendant un instant, lui tendant son bol. Elle mit leurs bols dans le saladier et il se releva finalement pour prendre celui-ci, emportant tout à l’évier et faisant la vaisselle avec elle avec un naturel déconcertant. Lorsque tout fut nettoyé et mis à sécher, il s’essuya les mains et se racla doucement la gorge en songeant à la suite du programme.

La décence exigerait qu’ils se couchent, à présent, pour être reposés demain et pour ne pas trop troubler le programme de la belle et gentille Rubis. Mais Jack ne savait pas s’il pourrait dormir, maintenant, et seul. De toute évidence, un même trouble parcourait les pensées de son hôtesse et, en le remarquant en elle, il finit par prendre sa main et par l’attirer à lui. Il se baissa lorsqu’elle fut face à lui, et il l’attrapa par les cuisses pour la soulever avec une aisance déconcertante, saisissant ses lèvres pour l’embrasser langoureusement avant de soupirer contre elles :

« Où est ta chambre ? »

3
Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: vendredi 20 septembre 2024, 00:40:24 »
Noeunoeuf

4
Centre-ville de Seikusu / Re : Rencontre du troisième type -- Jack, Rubis
« le: jeudi 12 septembre 2024, 05:04:22 »
Ce moment de totale perdition avait achevé d’instaurer une complicité flagrante entre eux. Leur toilette mutuelle et leur petit échange annonçaient une suite délicieuse à la soirée en cours. Jack avait même oublié sa culpabilité et son remords alimentés par ses mensonges. Être avec Rubis lui plaisait et lui faisait un peu oublier son angoisse, celle qui le gagnait dès qu’il pensait à ce vaisseau spatial caché dans un immeuble industriel désaffecté ou à ces calculs fatidiques qui l’attendaient toujours. Alors, il préférait se perdre dans ses instincts, et suivre la belle albinos du regard comme elle sortait de la baignoire, s’essuyait et se rhabillait doucement et avec soin. Dire qu’elle se rhabillait était cependant vite dit, puisqu’elle avait fait le choix de ne remettre que le petit kimono de soie bien court sans récupérer ni remettre ses dessous. Lui voyait là-dedans une porte ouverte, un consentement et une invitation à d’autres fuites fantasmatiques plus tard dans la soirée, et il sourit doucement en la détaillant, la faisant rougir et bégayer comme elle filait à ses devoirs d’hôtesse.

Lorsqu’elle fut sortie, Jack prit un instant pour reprendre ses esprits et il se releva finalement pour sortir à son tour, tranquillement, attrapant la serviette qui lui était destinée et se tamponnant la peau avant de se retourner, toujours nu, vers les vêtements laissés là. Il les prit un à un pour les analyser. Il avait eu un aperçu des modes locales et de la ressemblance générale des vêtements avec ce à quoi il était habitué. Il ne fut pas surpris, donc, mais il examinait surtout leur taille. Il constata vite que l’enfilage risquait d’être intéressant, et il s’y mit délicatement, refusant de craquer ce don généreux et se couvrant d’un slip noir qui soutenait et moulait fessier et entrejambe avec un brin d’indécence, avant de glisser le long de ses larges jambes celles du blue jean qu’il remplit largement. Il ignorait si c’était volontaire, mais le t-shirt marron qu’il enfila ensuite lui donnait la même impression de s’étirer à même sa peau pour dessiner grossièrement sa musculature, soulignant la puissance de son abdomen, de son torse et de son dos et accentuant l’épaisseur de ses bras. Il y avait un miroir, et il s’y observa un instant, dubitatif, avant de se déplacer un peu. Il n’irait pas courir un marathon ou faire des acrobaties avec ça, mais ça le couvrait, et c’était propre.

Il avait pris son temps et, en sortant à son tour de la salle de bains, il put sentir le fumet du bouillon épicé dans lequel les ramens finissaient de cuire. Il retrouvait le séjour du petit appartement et l’observa avec un regard nouveau. Ce n’était plus juste le salon de la gentille fille chez qui il se réfugiait pour la nuit, mais celui d’une amante généreuse et gourmande qui lui promettait un séjour terrien bien moins sombre qu’il l’avait initialement songé. Il alla jusqu’à la cuisine, où il la vit veiller sur le plat qui finissait de cuire en lui tournant le dos. Il s’approcha en silence et vint se coller à son dos en glissant ses mains sur son ventre, l’une descendant contre son pubis et l’autre montant à sa poitrine pour la caresser sensuellement tandis qu’il se penchait sur elle et venait inonder le creux de son cou de baisers, avant de se redresser et de trouver ses lèvres pour les savourer tendrement.

« Ça sent rudement bon. »

Elle se retourna et il resta contre elle, accueillant son étreinte et soutenant son regard. Ah ! S’il n’était pas si pressé de filer de cette planète reculée, il se laisserait volontiers tenter par un séjour plus long ici. Mais chacun d’eux avait rendez-vous avec son destin, et Jack savait pertinemment ce qui arrivait lorsqu’il s’attachait trop et se laissait tenter par la monogamie, les pensées intrusives, la peur, l’angoisse, l’hypervigilance, la tension, le rejet. Non, il valait mieux qu’il s’en aille au plus vite. Il pouvait profiter de cette nuit au moins.

Un signal sonore les interrompit.

« On dirait que le repas est prêt. »

Il se pencha encore sur elle pour l’embrasser et se recula, la laissant s’occuper de préparer les couverts et récupérant les siens lorsqu’elle eut fini, prêt à la suivre où elle souhaitait aller pour manger. Son regard alternait entre le plat succulent de toute évidence et elle, et l’appétit de l’un à l’autre ne variait pas.

5
Base Spatiale / Re : Je te trouverai aux confins de l'univers [Jack Marston]
« le: mercredi 11 septembre 2024, 06:37:36 »
Anéa ne se détourna pas à son approche. En fait, victorieuse, c’était elle qui le tenait par le bout du nez plutôt que le contraire, au final. Lorsqu’elle lui lança qu’il avait perdu, Jack se recula, les yeux ronds, et la fixa avec étonnement un instant avant d’afficher une expression de bon perdant. Il capta le regard du barman et tapota le comptoir deux fois. Le type, qui avait compris leur petit jeu, hocha la tête à bon entendeur et continua de servir avant de revenir vers eux.

Puis, le vétéran revint à son interlocutrice et il la scruta en silence en attrapant son verre. Il essaya de détecter un mensonge dans ses beaux diamants mais, n’en trouvant pas, il baissa ses yeux sur elle, passant au-delà du décolleté, bien séduisant malgré sa condition, pour essayer de repérer les signes habituels du combat sous la crasse et les vêtements presque en guenilles. Si elle en cachait là-dessous, il n’en voyait pas. Il n’y avait que les signes de ces étranges reliefs rouges, comme des augmentations greffées pour quelque utilité mystérieuse, mais il ne savait qu’en penser. Du reste, son physique ne devait cependant pas le duper, il se le rappela : elle avait bien nettoyé un nid de fouisseurs géants seule et à l’arme blanche.

Il remonta à ses yeux et elle lui donna un début d’explication : elle n’était pas humaine. Il pouffa en portant le verre à ses lèvres pour en descendre une bonne gorgée.

« Dis-moi quelque chose que je n’ai pas déjà deviné ! »

Il n’avait pas vraiment deviné, mais il s’en doutait maintenant. Elle le lui confirmait.

« Et je te rappelle que nous sommes deux à boire. C’est moi qui paye et ton verre va arriver aussi, tu ferais bien de suivre si tu ne veux pas avoir un mètre à rattraper à la fermeture. »

Il lui fit un clin d’œil avant de hausser les épaules.

« Mais ça ne te fait peut-être pas peur. Ou bien, ton espèce est plus sensible à l’alcool que la mienne. »

En une autre gorgée, il vida son verre et toussota en le reposant. Les nouveaux verres arrivèrent et il la fixa brièvement avec intensité et curiosité avant de finalement l’interroger.

« Alors, c’était quoi ? Vous avez des genres de télétransporteurs, de téléporteurs ? Un genre de flashbang géant pour venir te tirer de là dans la confusion? Allez ! Est-ce que je sais seulement où tu as combattu ? »

6
Centre-ville de Seikusu / Re : Rencontre du troisième type -- Jack, Rubis
« le: mercredi 11 septembre 2024, 06:20:07 »
Même après tout ça, Rubis continuait de rougir et de bégayer, comme si elle n’osait pas assumer et exprimer tout ce que son corps disait à sa place. Elle était mignonne, séduisante à sa façon, de par sa douceur et ses mimiques émues et timides. Quoi qu’il en soit, et aussi difficile que ça lui soit, elle osait lui dire qu’elle était heureuse qu’il ait cédé à sa promesse de retenue. Si elle le connaissait, elle aurait su que ce genre de vœu ne tenait jamais longtemps en ce qui le concernait, et que la première occasion propice justifiait de céder au charme d’une femme nubile et consentante en règle générale.

Il la recueillit lorsqu’elle vint se laisser tomber contre lui et retrouver ses lèvres, glissant une main dans son dos, la caressant doucement en dansant avec sa langue avec langueur. Et s’il avait très clairement épuisé son zeste en elle, elle put sentir que la vigueur de son compagnon imprévu n’était pas épuisée, elle, son corps viril restant ferme et prêt à se redresser aux premiers frottis, tapotant contre son périnée par sursauts excités à son contact.

Mais Jack ne chercha pas à remettre le couvert immédiatement. Il attrapa même le pommeau de douche du bout des doigts, et joua avec le mitigeur du pied pour rallumer l’eau. La pluie tiède s’écoula sur le dos perlé de sueur de l’albinos et ruissela sur elle comme sur lui, délassant leurs muscles éprouvés, réveillant leurs esprits, effaçant lentement les traces de leur abandon lubrique et participant à reprendre la toilette déjà commencée.

Le voyageur venu d’ailleurs et la Terrienne se détachèrent une fois de plus. Jack prit le savon en premier et le glissa dans le dos de Rubis avant de progressivement glisser sur ses jambes, puis son ventre, sa poitrine… Il la savonna avec douceur et sans précipitation avant de le lui passer, la relâchant, passant ses mais derrière sa tête et se laissant aller pour se faire savonner à son tour.

Lorsqu’elle eut fini, il la rattrapa par le menton, se redressa encore à la force de ses abdominaux puissants, l’embrassa tendrement et claqua gentiment une fesse rosie en gloussant joyeusement.

« Va ! Je te retiens alors que tu te préparais à te faire à manger. Je vais essayer ces habits et je te rejoins. »

7
One Shot / Re : Daemon School -- Amon, Yuki
« le: mercredi 11 septembre 2024, 05:44:37 »
Amon était le beau gosse que tout le monde voulait avoir de son côté à l’école. Et ce n’était pas une affaire de beauté ou d’intelligence ; pas que. Ici, on se faisait des relations pour toujours. On trouvait un protecteur et futur patron au niveau supérieur, et tous les démons ambitieux de niveau 8 lui couraient après et le courtisaient. Les succubes, elles, voulaient avant tout pouvoir pomper son héritage, se nourrir de sa puissance et briller à son contact, poussées qu’elles étaient à servir de noirs desseins et à mêler les puissances infernales et terrestres, pour le meilleur et pour le pire.

En tant que seul démon de niveau 9 à cette période, il ne manquait donc clairement pas d’opportunités. Mais la facilité rendait le jeu ennuyeux. La nouvelle, en revanche, ne semblait pas au faite des règles et il avait très envie de comprendre qui elle pouvait bien être. Peut-être qu’elle n’avait juste pas compris qui il était et comment les choses fonctionnaient ?

Mais cette courte interaction fit réaliser une chose à Amon : elle était parfaitement consciente de la situation. Elle ne voulait pas s’en mêler cela dit. On disait qu’elle était la fille du directeur. Ne devrait-elle pas s’en servir pour convoiter la meilleure position possible pour elle-même ? Non. Elle était vulnérable à son pouvoir, à son aura lascive et aphrodisiaque, mais elle ne cherchait pas à se diriger vers lui ou à y céder. Elle voulait juste filer, ne pas faire d’histoires et suivre ses cours.

« Pas d’vagues, hein, » répéta-t-il malicieusement.

Il voyait bien qu’elle cherchait à s’éclipser, mais il la contourna, passant ses bras de part et d’autre d’elle, ses mains contre les casiers, pour lui faire face, la bloquer de son corps et, compte de sa très généreuse plastique, se presser légèrement contre elle, penché sur son visage, pour lui glisser à voix basse.

« Ici, ta tranquillité dépend de qui tu sers, Yuki. Ici, personne n’est en-dehors et… Tout tourne autour de moi, tu as raison sur ce point. »

Il se recula et la laisser circuler, la suivant du regard avec un ricanement amusé et mauvais, fixant la généreuse chute de reins qu’elle balançait en essayant de s’éclipser au plus vite.

« Je t’ai à l’œil, Yuki, » la héla-t-elle !

Et, désormais, les jalouses l’auraient dans le collimateur aussi. Son après-midi serait beaucoup moins tranquille que sa matinée.

8
Blabla / Re : J'épouse, j'esclavagise, je tue
« le: jeudi 05 septembre 2024, 20:10:41 »
Alors...

J'épouse Selene, parce qu'elle va pas me pigeonner si je suis SON pigeon. ;D
J'esclavagise Tenshi parce qu'elle est clairement meilleure amante qu'épouse. :D
Et je tue Cassiphone Tacleris parce que...  :-\

 :-*

Aurelion Carrekhaul, Seth Sternam, et Ghrull.

9
Rubis, Topaze... Je sens une tendance se détacher. ;D

Elle a une classe folle ! Rebienvenue ! :-*

10
One Shot / Daemon School -- Amon, Yuki
« le: jeudi 05 septembre 2024, 05:00:30 »
Acte 1
Une rentrée remarquée

▪ ▪ ▪


Le multivers est riche en diversité, et ça compte aussi pour ses habitants. Ne vous attendez pas à de l’homogénéité, surtout quand les âges vont du petit têtard au Grand Ancien sans âge ! La norme n’existe pas, et il est donc logique d’y trouver un peu tout ce à quoi on pourrait s’attendre autant que le reste.

Quand la jeune Terrienne Yuki s’était vue échanger contre une bénédiction par sa famille indigne, et projetée dans les bras d’un démon aux intentions mystérieuses, elle ne s’attendait sûrement pas à se retrouver sur le monde qu’elle parcourait maintenant. Étrangement similaire au sien et pourtant radicalement différent, son tuteur, qui disait sentir quelque chose de spécial en elle, l’avait conduite ici précisément pour faciliter son insertion.

Quelle insertion ? Son insertion sociale, évidemment ! Elle n’allait pas rester chez son acquéreur et tout ignorer du monde baigné d’influences démoniaques dans lequel elle vivait désormais, non, elle allait entamer des études, se faire une bonne éducation, et, peut-être, dévoiler son potentiel. Le démon y tenait. Après tout, son nouveau père était le directeur d’une école réputée et un être très puissant, classé 9 sur une échelle de pouvoir à 10 rangs, et il ne pourrait pas cacher éternellement une Humaine inculte et inutile sans en payer le prix tôt ou tard.

Et puis, ses plans restaient mystérieux… Qui sait ce qu’il planifiait dans le secret de ses pensées viciées ?

Ainsi, il accorda à la jeune Yuki une aura démoniaque de façade et une batterie de pouvoirs de rang 2. Elle n’étonnerait personne avec cet arsenal léger, mais elle ne ferait justement pas trop de vagues. L’envoyait-elle à la curée, connaissant le naturel très vicieux des démons ? Difficile à dire, encore une fois. Mais il reste vrai qu’ici, les écoles se divisaient en rangs de popularité selon son pouvoir, et elle ne brillerait pas par son cercle d’amis et ses soutiens.

Ainsi, la rentrée angoissante était arrivée, et elle avait été aussi infernale qu’elle avait pu le craindre. Elle avait vite été reniflée par ses camarades, curieux de ranker cette nouvelle arrivante. Sa faiblesse avait sauté aux yeux et remarques déplacées, moqueries, rires et messes basses s’étaient vite mises à la suivre. La matinée s’était sûrement passée dans l’angoisse, même si seule une boulette de papier mâché était venue se coller dans ses cheveux. Apparemment, personne ne s’abaissait à martyriser un rang si faible, et c’était sûrement mieux ainsi.

Mais Yuki ignorait que tout le monde attendait surtout l’opinion d’une personne en général.

La star de l’école.

Rang 7.

Fils de Lilith et d’Asmodée.

Amon.

Alors qu’elle s’apprêtait sans doute à quérir un peu de répit dans un coin tranquille à l’heure du déjeuner, Yuki, occupée à ranger son casier, entendit l’ambiance chaotique et agitée autour d’elle se calmer et s’éteindre, et une présence puissante, légèrement précédée par une odeur étrange lui inspirant une profonde satisfaction et un soudain désir sexuel, se fit remarquer à ses côtés juste avant qu’une main ferme subitement la porte de son casier.

« Et ben et ben et ben, » susurra une voix nonchalante et brûlante.

Un jeune homme très grand s’imposa à son côté. Il était intimidant, svelte mais athlétique, manifestement très solide, abondamment tatoué, y compris au visage, portant piercings et boucles d’oreille, avec une coupe de mauvais garçon, des canines anormalement longues et acérées et des yeux d’un rose profond, brillant, une aura fuschia inondant le champ de vision de ceux qui les croisaient. Il la fixait avec intensité en la dévisageant et en la détaillant de la tête aux pieds.

« C’est toi la nouvelle dont on parle, alors ? Putain la carrosserie… Et c’est quoi ton nom, la Muette ? Ouais, c’est à toi que je cause, poupée. »

11
Base Spatiale / Re : Je te trouverai aux confins de l'univers [Jack Marston]
« le: jeudi 05 septembre 2024, 04:19:44 »
Après avoir voulu la paix et son départ, Anéa s’était bien prise de curiosité et d’intérêt pour le jeune Jack. Elle considéra sérieusement sa question, et le regard qu’elle posa sur lui lui donna un frisson. Il ignorait pourquoi, mais ses yeux semblaient renfermer l’expérience et la perspicacité de mille vies, comme si elle pouvait le voir tel qu’il était par croisement avec les milliers d’autres qu’elle avait pu voir durant sa longue, interminable existence. Peut-être était-ce pour ça qu’elle voulait rester seule ? Parce qu’elle voyait la vérité derrière les apparences ?

Il l’écouta avec attention, alors, baissant légèrement le regard lorsqu’elle évoqua les motivations d’un adolescent comme un autre, motivations dont il avait été coupable, lui aussi. Il n’y avait rien d’exceptionnel à cela, mais s’en voir attribuer par une étrangère le rendait curieusement coupable. Et c’est bien parce qu’il avait baissé les yeux qu’il ne vit pas son geste et se retrouva bête et interdit lorsqu’elle se rapprocha subitement jusqu’à tenir son visage si près du sien que leurs nez s’en percutèrent avec légèreté.

Il se retrouva immobile et alerte comme elle déballait son monologue à son adresse, faisant une évaluation primaire mais pertinente de ce qui modelait les hommes, forces et faiblesses devenant autant d’angles morts et d’abcès que l’âme se devait de soigner pour ne pas dériver dans le cycle infini de misères que les Humains semblaient déterminer à s’infliger partout où ils allaient. Il ne cligna même pas des yeux, jusqu’à ce qu’elle conclue qu’elle ne parlait qu’à l’instinct. L’accès d’humilité permit au chasseur de primes de se débloquer et de reculer très légèrement la tête, redressant son dos, se rendant un peu de contact avec l’extérieur après avoir été prisonnier de ces diamants bruts et scintillants qu’elle fixait sur lui avec ce qu’il aurait presque vu comme de l’avidité.

Pour autant, il ne reculait ni son corps ni son tabouret. Avec le rapprochement de la guerrière en haillons, il pouvait sentir le relent du jus des viscères ayant séché sur elle, mêlé à la poussière encroûtée volant au fond de toute mine. C’était âcre et familier, comme un renvoi aux tranchées. Pendant une fraction de seconde, il vit un visage à la place du sien et il prit conscience de la proximité de la femme et de la disponibilité qu’elle lui semblait afficher presque malgré elle dans son rapprochement joueur. Il revint un peu plus à la réalité et il tapota le comptoir comme si les verres arriveraient plus vite. Heureusement pour lui, ils arrivaient, et il put faire passer la tension dans une gorgée piquante.

Et puis, elle raconta son histoire. Il vit son sourire s’éteindre et une goutte de sueur lui dévala le dos, comme s’il anticipait la gravité du récit à venir, qu’il reçut en silence et avec intérêt, ne lâchant pas son regard et tentant de déterminer à ses expressions la véracité ou non de ses propos. Il ne saisit pas sa référence initiale, mais il lui semblait l’avoir entendue. Où ? Il n’avait pas le temps de chercher. Elle lui comptait une histoire de guerre. Une histoire de femme-soldat. Une histoire étrangement similaire et assimilable à celle de sa défunte Lina, tant, en vérité, qu’il eut un instant l’impression que l’inconnue lui déballait cette histoire plutôt que la sienne en faisant étalage d’un savoir suspect censé précéder une révélation sinistre et théâtrale.

Mais non, il ne s’agissait pas de Lina. Et son histoire prit un tour sordide et, en vérité, proprement absurde. Il fronçait les sourcils d’un air dubitatif en écoutant ce récit d’une bataille inutile, et de la survie de cette unique femme plongée dans une arène de cadavres interminable par la volonté d’un général terriblement absurde dans son raisonnement. Et la chute était simplement improbable. Malgré tout, elle signa d’un air résolu et malicieux et le laissa seul dans ses réflexions. Jack prit quelques instants pour réfléchir, frottant le bord de son verre pensivement avant de prendre la parole.

« J’ai été soldat et j’ai vu des officiers incompétents et imbus de leur propre réputation, mais, là, on nage en plein délire. Je veux dire que, si c’est vrai, tu es vraiment tombée sur les pires tocards de l’univers. Une charge-suicide générale… passe encore… mais cette histoire de duels consécutifs alors que ça ne revenait qu’à perdre du temps pour un spectacle miteux et peu savoureux pour les soldats sacrifiés un à un… C’est là que tu m’as perdu, Anéa. »

Il se baissa légèrement et, cette fois, c’est lui qui pressa le bout de son nez contre le sien avec un sourire résolu.

« Ca aurait pu passer auprès d’un civil complètement perché, soit. Mais ton histoire de divinité et de giga-laser… Tu t’es enterrée avec cette chute. Je n’y crois pas une seconde, et il va me falloir un contexte et des explications si tu m’affirmes le contraire ! »

12
Centre-ville de Seikusu / Re : Rencontre du troisième type -- Jack, Rubis
« le: jeudi 05 septembre 2024, 03:55:23 »
La douce et réservée albinos était devenu une chatte blanche à l’appétit mordant. Elle dévorait le cou de Jack et lui griffait le dos en miaulant d’un plaisir qu’elle ne contenait plus, se frottant à lui et s’élançant à loisir sur le pieu de chair qu’elle adulait de son extase. La transe lubrique des deux amants, qui ne se connaissaient que d’aujourd’hui et laissaient s’exprimer pleinement leur désir physique au mépris de leurs caractères inconnus, bannissait tout raisonnement et toute mesure, et les plongeait dans un même désir, une seule envie, celle de se complaire dans leur intimité temporaire, le temps d’un soir, pour s’oublier et laisser la jouissance et la plénitude marquer leur rencontre impromptue.

Dans un élan d’audace affamé, Jack se mit à diriger leur danse plus qu’ils ne s’accordaient. Lâchant sa tête, la laissant à ses suçons malicieux et à la vénération de son ample physique, il attrapa encore une fois ses fesses à deux mains, les empoignant fermement, les écartant dans le même geste et, prenant appui sur ses pieds, poussant sur ses jambes et ses reins, il entama un nouveau tempo. Le twist puis le rock laissèrent place à une basse électronique entêtante et à un jazz anarchique quand il commença à la lever et la tirer à lui pour percuter leurs aines dans un concert de suppliques et de râles avides. Il l’attirait à lui et se précipitait en elle, la quittait pour mieux revenir à elle dans une répétition effrénée.

Seule la recherche du plaisir absolu les animait encore et ils s’abandonnèrent à cette lutte furieuse et à la fureur des assauts de l’étranger à cette seule fin. Il y eut une tension croissante, un souffle plus lourd à chaque instant, l’impression de danser sur un fil tendu et étroit dont ils pourraient tomber à tout moment s’ils s’arrêtaient, s’ils ralentissaient seulement. Jack ne ralentit pas plus qu’il n’escomptait s’arrêter, et il vint rechercher au fond d’elle, à chaque butée humide, la culmination de ce fourmillement lascif qui animait tout son être depuis le secret de son bas-ventre.

Vint le moment où il la sentit se tendre et défaillir, et il relâcha ses fesses blanches, rougies par ses mains et par les chocs, et la serra contre lui fermement, la gardant contre lui, immobile, tandis qu’il coulissait frénétiquement en son fourreau brûlant. Le fourmillement gagna son ventre, monta de ses reins à sa nuque, éclata dans son crâne. Il l’entendit, la sentit exulter dans le creux de son cou et il s’élança encore dans d’ultimes coups secs qui ralentirent rapidement jusqu’à ce qu’il se libère de sa démence dans une longue série de pulsions viscérales au fond de son être. Un soupir gémissant sorti du fond de sa gorge accompagna les siens et il resta là un instant, en tension contre elle, avant de se relâcher progressivement, laissant sa virilité se décrocher d’elle et ses bras se détendre, lui rendre sa liberté pour mieux amener une main dans ses cheveux et la caresser avec douceur. Il se relâcha entièrement et sa tête bascula au bord de la baignoire, les yeux mi-clos et un sourire sur le visage.

Il resta ainsi un instant à la caresser de ses mains en silence, reprenant ses esprits et son souffle tandis qu’elle, de ce qu’il sentait et entendait d’elle, faisait de même. Il finit par rouvrir un œil et par redresser la tête pour aller rechercher son visage, et il croisa son regard rouge sang avec un sourire amusé et affectueux. Il se pencha encore un peu pour venir chercher ses lèvres.

« Je m’étais juré d’être sage, » murmura-t-il, « mais ton charme m’a subjugué. »

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rencontre du troisième type -- Jack, Rubis
« le: samedi 31 août 2024, 03:58:07 »
La belle Terrienne si blanche, toute petite qu’elle était en comparaison de lui, se montra bien plus ouverte à ses ardeurs que Jack ne l’aurait pensé, contrôlant sa descente dans une caresse douce et brûlante qui descendit sa hampe avec lenteur dans un frisson interminable et une longue sérénade de gémissements et de soupirs auxquels vinrent se mêler les siens. Elle le rendit fou d’extase en se joignant ainsi à lui, et il l’admira, ses yeux dans ses rubis brillants, presque cachés par le poids de la jouissance pesant sur ses paupières. Il haletait quand elle termina d’un coup sec et dans un cri et il éclata d’un rire léger avant de lui rendre son baiser langoureusement.

Elle revint se blottir contre lui dans ce même baiser et leurs silhouettes se joignirent avec un appétit nouveau et extatique, les mesures des premières caresses s’étant évanouies dans la rencontre intense de leurs corps. Le brun gardait une main dans les cheveux blancs de son amante avec une douce autorité et garda l’autre à ses fesses, empoignant leur charme généreux avec une délicate perversité pour accompagner ses mouvements de bassin et les synchroniser davantage aux siens.

« Tu es sacrément gourmande, » gloussa-t-il doucement contre ses lèvres dans un interlude haletant. « Plus que je l’aurais cru. Et tu es… hmmmm… Tu es délicieuse, Rubis. »

Il ondulait son bassin en glissant au fond de la baignoire encore humide, et il relâcha finalement la fasse blanche que son entrain avait rosi de passion pour ramener ses jambes un peu plus, levant les genoux pour emprisonner sa belle dans la douce prison de ses étreintes et rendre leur rapprochement inaltérable. Il la serra contre lui, l’embrassa encore et accentua ses mouvements, les claquements humides de leurs désirs conjoints se faisant plus sonores et plus intenses à chaque instant qui passait. Il l’aidait à s’élever haut pour ressentir la tension de son périnée ferme sur toute la longueur de sa verge et la laissait redescendre à son rythme, et de moins en moins délicatement, les gémissements de l’albinos et les râles du vétéran s’alourdissant et se mélangeant entre leurs souffles fébriles.

Finalement, les baisers s’arrêtèrent. Il tira sa tête à lui, la posa sur son épaule et dans le creux de son cou avec une poigne passionnée tandis que leur danse se faisait plus rock que twist, l’instinct et la recherche du plaisir culminant de l’acte prenant le pas sur leur méconnaissance, la nouveauté de leur relation ou les sensibilités. Il n’y avait plus de lèvres étrangères pour étouffer les ahanements et grognements rauques du brun qui se donna entièrement à l’œuvre, pendant que la jeune affamée qu’il avait fait sienne pour la nuit chevauchait sa virilité dans la même frénésie.

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Bon retour Rub... euh... Love ! :D

Maintenant tout le monde attend de voir ce sosie de Link débarquer pour te la voler, cette ennuyeuse virginité. ;D

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Centre-ville de Seikusu / Re : Rencontre du troisième type -- Jack, Rubis
« le: vendredi 30 août 2024, 03:29:46 »
Les hésitations de Rubis s’éclipsèrent totalement. Elle s’exécutait avec assurance, suivait ses commandes silencieuses avec un allant qu’on aurait pu qualifier d’enthousiasme, et le rouge de la gêne avait définitivement laissé la place à un rosé charmé, son regard cessant de le fuir pour laisser ses yeux exprimer enfin l’entière gravité de ses sensations. La voir ainsi ciller de plaisir, l’entendre gémir contre ses lèvres achevèrent de l’exciter pour de bon, comme un signal instinctif donné de la part féminine, nubile et demandeuse de l’albinos, à cette part masculine, virile et volontaire de son visiteur d’outre-monde.

Ses balancements avaient initié un frottis parfaitement volontaire et intentionnel de sa part entre leurs deux sexes apprêtés et sensibles. Leurs lèvres s’étaient séparées afin qu’elle puisse trouver sa posture et son souffle, lui faire profiter de ses gémissements tendres et séducteurs, tandis qu’elle s’agrippait à lui, le touchait maintenant sans hésiter ni cacher son plaisir et son appréciation. Il l’encourageait, l’aidait à s’élever, à redescendre en douceur, mais il la suivait désormais, la laissant agir comme elle l’entendait, la belle sachant bien mieux que lui comment elle serait capable d’épouser au mieux l’épaisse longueur de sa hampe de ses lèvres humides.

Leurs regards se croisèrent et le brun caressa doucement son menton avant d’en glisser le bout entre ses lèvres entrouvertes. Il la laissa le mordiller et le suçoter, leurs regards fixés l’un dans l’autre, l’intensité de leur plaisir partagé se transmettant et s’amplifiant par écho. Et il passa l’autre bras sur le côté, s’appuyant sur le bord de la baignoire et y prenant appui pour entamer ses propres mouvements, ondulant son bassin au rythme de celui de son hôtesse, dans un geste miroir qui allongeait leurs caresses charnelles et intensifiait leurs frottements soudain encore moins innocents. Lorsqu’il entra dans la danse, toute prétention possible au jeu coquin était abandonnée, et leur danse entrait dans une phase bien plus langoureuse et sensuelle.

Il laissa sa bouche pour redescendre, ne se privant pas de gratifier sa poitrine de palpations gourmandes avant de glisser dans son dos, et de l’attirer à lui le plus possible, leurs frottements devenant plus intenses encore. Un bruit humide qui ne venait pas du fond d’eau prisonnier de la baignoire commença à se faire entendre et les gémissements de Rubis s’accompagnèrent des râles rauques de Jack. Une vague de chaleur s’emparait de lui et engourdissait son esprit, sa tête s’alourdissant dans un doux vertige avant qu’un frisson descende son échine pour exploser dans ses reins, se répandant à son aine et à son sexe, le faisant pulser de désir et d’une envie irrépressible.

Ses deux mains, cette fois, se portèrent aux reins de la belle aux yeux rouges. Il se redressa pour l’embrasser en descendant sur ses fesses rondes et fermes, les épousant de ses paumes en venant les soupeser, puis les redresser, les écarter légèrement et finalement la soulever elle-même, l’invitant à l’aider si elle le voulait, ou à se laisser faire si elle préférait être la demoiselle ingénue à la merci des appétits viscéraux de son mâle impérieux. Il l’éleva au-dessus de son nombril et son manche pressa son bouton d’amour jusqu’à lui échapper, la verge se déployant sous elle d’une tension résolue avant qu’il ne la laisse redescendre doucement, son gland trouvant sans aucun mal le creux de son vagin mouillé et y pressant doucement avant qu’elle ne se glisse autour de lui sous l’effet de la gravité. Jack grogna de plaisir et monta une main à ses cheveux, les saisissant à l’arrière de son crâne avec intensité en la fixant avec un appétit vorace tandis qu’il la laissait tomber et se planter sur lui dans un spectacle d’une volupté tantrique fascinante.

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