Ville-Etat de Nexus / Re : Qu'est-ce à dire que cette diablerie ? |pv le domaine des muses ]
« le: dimanche 27 juillet 2025, 13:21:19 »Dit-il dans un rire légerement nerveux alors qu'il avouait ne pas être doué pour s'exprimer. Ça n'avait jamais été son fort et, il n'avait jamais été éduqué, élevé ou entraîner à cela, il n'était pas fait pour être éloquent, pour faire de grand discours ou pour être beau parleur, alors, dans une telle situation, il se sentait quelque peu désarmé. Lorsqu'elle se mit à frotter son visage sur sa main, il eut un léger sourire, trouvant le geste tendre, agréable, se sentant désiré, laissant alors son pouce se mouvoir lentement pour caresser tendrement sa joue en réponse. Mais, sous cette chaleur, sous cette proximité et cette intimité, Einrich ne put se retenir de lui dire une de ses envies, celle de sentir ses lèvres contre les siennes, celle de découvrir son goût, sa texture, voulant l'embrasser, mais, comme elle, ne voulant pas la forcer à quoi que ce soit.
Il put admirer un doux sourire sur son visage lorsqu'elle l'entendit, puis, alors qu'elle se rapprochait, son regard oscillait, indéterminé entre admirer ses prunelles ou ses lèvres pulpeuse, son cœur se mettant à accelerer, montant dans les tours, tandis qu'il déglutis. La, ce contact, la sensation de ses lèvres se déposant sur les siennes tel un pétale de rose sur l'eau d'un lac, sa main sur sa joue venant délicatement englober l’arrière de sa tête, ses doigts glissant sous et dans sa longue chevelure. Mais, il n'était pas au bout de ses surprise et de ses désir, venant à la sentir ouvrir légerement ses lèvres, il fut pris d'un cours intense dans tout son corps quand il senti la pointe de sa langue venir inviter la sienne dans un bal. Cela faisait si longtemps qu'il se demandait si elle n'allait pas le regretter, mais, il tenta, venant à ouvrir doucement ses lèvres, venant les laisser coller contre les siennes, alors que sa langue rejoignit la sienne dans un ballet langoureux.
Sa main sur ses cuisses, emporté par la chaleur de l'instant, continuait ses caresses en de lascif va et viens, remontant doucement, son pouce, s’écartant de ses doigts, caressant furtivement l’intérieur de sa cuisse, alors qu'il arrivait petit à petit au niveau de ses hanches somptueuse. Il sentit sa poitrine généreuse se presser contre son torse, la laissant alors sentir son souffle long, lent, mais intensément lourd avant qu'elle ne rompt leur baiser en s'excusant.
inconsciemment, il se mit à passer sa langue sur ses lèvres, comme pour goûter la douce rosé qu'elle y avait délicieusement laissé, son regard ne quittant pas le sien, brûlant, désireux, venant à sourire délicatement
" C'est plutôt à moi de m'excuser alors "
Dit-il en riant sur un ton léger, comme pour essayer de detendre ll’atmosphère. Et là, son cœur parti au galop lorsqu'il la vue se relever légerement afin de venir à califourchon sur lui, sentant ses jambes caresser les siennes, sentant son bassin se rapprocher du sien. Son membre pulsait d'excitation à cet instant, son cœur pompant encore et encore le plus de sang possible en sa direction, surtout lorsqu'il put sentir la caresser furtive de son intimité contre lui. Sa main gauche remonta sur sa taille, sur sa chair si douce et chaude, alors que sa main droite, caressant sa nuque et la naissant de sa tête, se stoppa un instant sous l'intensité de ce qu'il ressenti.
Il n'eut pas le temps de répondre à son pardon, car, à ce moment là, il put la sentir venir de nouveau quémander ses lèvres qu'il lui offrit sans résistance, bien au contraire, fermant les yeux de plaisir en soupirant, sa langue glissant, dansant et se courbant au contact érotique de la sienne. Sa respiration s’accélérait sous l'envie, se faisait toujours lourde, mais brûlante de passion en cette instant, sentant les vaguelette de l'eau du bain les lécher sous les mouvements de l'elfe. Un lourd frisson se fit sentir tout le long de sa colonne, tout le long de son corps, alors qu'il sentait son intimité frotter sous les ondulation divine de son bassin contre le sien, contre son membre dur comme l'acier entre ses cuisses. Son souffle se faisait bruyant, ses baisers de plus en plus envieux, détendu, réclamant plus de ce nectar qu'elle lui offrait en cet instant, mais, entre deux passage de leur lèvres les unes contre les autres, il lui souffla presque dans un gémissement de plaisir
" Ça .... ça fait très longtemps que .... je ne les pas fait ..."
Dit-il alors, comme pour la prévenir, ainsi que s'excuser à l'avance, ne voulant pas qu'elle se fasse de faux espoir, ne voulant pas qu'elle soit trop déçu, tandis que, lentement, incapable de se contrôler à son tour, son bassin se mit à onduler lui aussi, laissant son membre glisser plus amplement contre sa fleur, écartant ses chaud pétale contre lui, son gland venant doucement frotter par moment sur son bourgeon.








