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« le: vendredi 19 juillet 2024, 16:58:41 »
Thanasia est contente de recevoir ces attentions, de constater que la déesse est capable de grande précision. La bouche entrouverte, elle tire presque la langue et se cambre encore davantage quand les mains d'Akita pétrissent ses seins, elle tourne la tête pour l'observer penchée sur elle, pour approuver pleinement le ravissement dont elle faisait progressivement l'objet. Les bouches qui s'ouvrent dans ses paumes la surprennent lorsqu'elles avalent ses tétons. Thanasia en rit presque tant la sensation est bienvenue et que son plaisir est grand.
Akita avance et, penchée au dessus d'elle, pénètre la petite vampire.
Celle ci pousse une longue complainte alors que les deux phallus écartent ses parois intimes au delà de toute raison. C'est une musique où douleur, effort et orgasme jouent à l'unisson.
Elle sent ses organes se pousser et se réarranger au passage des deux membres, elle sent les os de son bassin presque trop étroits pour y contenir ce double cadeau.
Si Akita s'était levée, elle aurait emporté Thanasia sans effort, tant elle était profonde et serrée en elle.
La vampire lutte pour accueillir de son mieux la déesse. Elle tire la langue, halète, comme si cette force qui l'empalait ne lui laisserait bientôt plus de place dans sa bouche.
Autour de son double appendice, Akita sent les plaies de la vampire guérir à mesure que les provoquent sa divine pénétration.
Son bas-ventre fertile embrasse enfin le dos de la vampire. Elle ne peut aller plus loin et la petite créature, respirant fort vite, se retourne comme elle peut, espérant contempler l'état de son entrejambe et de son bas-ventre enflé derrière les bras tendus de la déesse vers sa poitrine.
Le front baissé, elle semble vaincue par l'effort intense que lui inflige la déesse mais rien dans son regard ne l'implore d'arrêter.
Akita, en être supérieur, se passe bien de son accord et gifle brutalement sa fesse droite pour annoncer une montée en rythme, qu'elle le veuille ou non. Tant et si bien qu'une seconde paire de mains saisit la croupe blanche pour une nouvelle pénétration plus implacable.
« Haaaaaan, oui ! »
Un nouveau gémissement l'accompagne et s'interrompt à l'impact sourd des deux corps l'un contre l'autre, fesses contre cuisses, un bruit intérieur qui traverse les deux femmes et vient résonner entre les oreilles de la petite vampire. Puis un autre, et encore un, venant chaque fois plus tôt que le précedent et avec une puissance renouvellée. Et cet impact encore.
« Ahhhn, déesse... Vous... Aah ! Vous me prenez jusqu'au cerveau... Han ! Aah, traversez-moi !» Implore-t-elle en couvant son bas-ventre de sa main , ses doigts soulevés par la verge démesurée qui s'y frayait en dessous.
L'entrejambe de la vampire voyage le long des deux verges, et entre chaque clapot de ses fesses contre sa maîtresse, on entend le glissement, le crépitement humide de ce déplacement contre son sexe, guidé par les mains sur ses hanches.
Thanasia était enceinte de la déesse de fertilité. Jusqu'au sens propre du mot.
Car entre ses grandes mains, Akita ceignait le ventre de sa partenaire et le remplissait d'une partie d'elle même tout à la fois. Et bientôt, cette métaphore viendrait prendre son sens le plus littéral.
L'intense saillie se prolonge sans perdre haleine. Thanasia jouit et crie de concert avec la déesse. Elles gémissent dans une harmonie que seules les unions les plus intenses savent composer. Akita viole le corps de la vampire avec son assentiment.
Les deux verges, à chaque coup donné à l'intérieur de l'utérus, (qui n'est plus qu'une extension du sexe de Thanasia désormais), sentent, lorsqu'elles se retirent le corps de la vampire tenter de se contracter, de guérir, de retrouver des dimensions habituelles.
Mais à chaque coup, ces timides tentatives sont rappelées à la fougueuse pénétration qui impose sa loi et ses dimensions monstrueuses à l'intérieur de sa nouvelle possession.
Et ces contractions, indépendantes du contrôle de Thanasia, transforment chaque coup de rein en un écartelement nouveau et délicieux pour sa victime, à en juger par ses cris.
Enfin, Akita se penche en avant et gratifie le dos de son offrande de ses mamelles opulentes.
Dans un orgasme fou, la déesse se vide dans Thanasia.
Son petit ventre blanc enfle sous la quantité de fluide déversé dans son vagin. Il se déforme, incapable de s'évacuer assez vite le long du membre, scellant hermétiquement son sexe sur plus de vingt centimètres et le liquide qui parvient a évacuer vient gicler sur les cuisses de sa propriétaire.
L'anus blanc de la jeune femme, au contraire, avale goulûment les litres de semence que pompe la déesse en elle, ses intestins restant habituellement vides.
Sentir la sève remplir son estomac semble etre un délice pour la vampire, mais entièrement supplanté par la surprise de son ventre gonflant brusquement.
Thanasia pousse un « Ooohh... » empêché, une longue plainte de natalité. Malgré les changements brutaux imposés à son corps, Thanasia caresse doucement les bras qui l'enlacent et profite de l'instant de tendresse
Akita se retire, s'extrait longuement de la vampire à quatre pattes et laisse couler à flot la sève des orifices qu'elle vient de quitter.
Thanasia se relève péniblement à genoux, espérant se vider plus facilement dans cette position.
Elle se retourne face à elle et admire son ventre gonflé. Cette grossesse factice fait grande impression à la vampire car elle caresse un long moment sa peau étirée où les vergetures s'effacent déjà.
« Merci. » adresse-t-elle d'un souffle à la déesse, alors que deux épaisses cascades de liquide coulent entre ses jambes sur les feuilles vertes, son ventre réduisant à vue d'oeil.
Quand la déesse le lui présente, Thanasia accueille le double sexe devant son visage avec sa langue sans perdre un instant.
Dans un mouvement expert, elle nettoie dévotement le premier phallus de la hampe jusqu'à l'extrémité. D'autant plus rapidement que la semence divine est délicieuse à récolter.
La vampire tente, dans une charmante et vaine tentative, d'avaler le second, mais comme elle le pensait, l'organe est bien trop épais pour sa petite bouche. Et bien que ses longues canines ne puissent pas la blesser grâce à la marque de l'ange, elle ne voudrait pas être désagréable à son amante trop bien dotée.
Elle s'applique à laper le second membre alors qu'elle sent son entrejambe s'apprête à être de nouveau ravie par une forêt de tentacules.
Le couple de lianes qui stimule son bouton rose clair pendant que l'autre viole l'intimité de son urêtre lui arrachent une plainte d'adolescente capricieuse mais Thanasia tient bon, décidée à nettoyer le second pénis jusqu'à le faire briller de sa salive.
La stimulation insurmontable de la petite tentacule la ralentit dans sa tâche, la forçant à haleter, la bouche contre sa hampe. Au plus petit mouvement, les orteils de la vampire s'étirent et se contractent, gigotent au rythme de ses gémissements.
La nouvelle percée de lianes dans ses orifices inférieures, baillant toujours à l'air libre, lui provoquent une contraction réflexe. Et faute de pouvoir fermer ses jambes bien écartées, Thanasia s'agrippe aux hanches fertiles de la déesse, un de ses sexes encore posé sur sa joue.
Elle pousse de longs cris de désir alors que les tentacules de diamètres différents frottent leurs textures contre l'entrée de son anus, certaines entrant, d'autre sortant dans son sexe, grouillant, frottant à l'intérieur contre ses parois intimes.
« Haaan ! Haaaa... Tout ça... Ahh... Rien que pour moi ? » s'étonne la vampire avec complicité.
Alors que les lianes la pénètrent avec bruit, elle s'applique comme elle peut sur le sexe haut de la déesse, sa langue précédant son pouce, appuyant sur le canal qui transportait le sperme afin d'en récolter les dernières gouttes dans sa bouche.
Elle ne pense pas pouvoir faire jouir ainsi la grande figure fertile. Plutôt lui faire du bien et lui montrer sa dévotion.
Elle passe au sexe bas, le faisant reposer à l'horizontale sur ses lèvres. Il était si long et large qu'une fée des bois aurait pu se tenir dessus entre son bas ventre et la bouche de Thanasia. Elle récupère goutte à goutte le nectar dont elle n'était plus privée.