Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Dagda

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Dagda

Pages: [1]
1
Place publique / Re : Je ne les imaginais pas ainsi. [Dagda]
« le: mardi 26 septembre 2023, 18:54:51 »
Des vêtements tirés à quatre épingles, peu de couleur, moulant le corps, semblant donner l’impression d’être un pantin étriqué. Voilà toutes les tenues qui se dessinaient sous le regard de la divinité. Ajouté à cela une forme de cohue et de mouvement incessant, de quoi donner un imposant mal de crâne à toutes personnes aimant la liberté et la sérénité. Fort heureusement pour lui, Dagda n’était pas un être sensible à ce genre de mal-être proprement mortel. Il avait beau avoir perdu en force avec la légère chute de son panthéon, il en restait encore un dieu plein de puissance et de force. Ce genre de désagrément ne faisait donc pas parti de son quotidien pour le coup. Mais autant de stimulus pour un être adorant le calme et la verdure était tout de même un peu éreintant.

Comment cela se faisait-il qu’un être divin comme lui soit si loin de son royaume et se mêle ainsi aux Hommes ? La raison était simple, sa curiosité et son envie de profiter de la vie comme un mortel, en essayant d’y éliminer tous les désagrément possible. Il faut dire que Nexus et surtout sa grande place publique avait de quoi captivé l’intérêt des gens et même d’une divinité. Des produits du monde entier, autant en terme de nourriture, de plante, que d’objet magique, incongrus et même de la marchandises bien vivante, en terme simple, des esclaves. Dagda ne jugeait par le comportement de ces êtres vivants et ne venait aucunement le réprimander. Il avait beau être une divinité, il sait pertinemment que ce genre de comportement existait chez les dieux aussi. Au final, les être-vivants ne faisaient que reproduire les actions des divinités trônant un peu plus haut pour le coup.

Il préférait donc s’occuper de ses affaires en tant que divinité et prendre du plaisir, même si dans le fond, il se connaissait et viendrait sans doute aider un ou une de ses pauvres esclaves, car son côté empathique ne pourrait détourner le regard d’une telle situation. Donc autant profiter de la ville, avant qu’il ne vienne encore dépenser de son or, alors qu’il ne promet à chaque fois d’être simplement plus égoïste pour le restant des jours éternels de sa vie de Dieu.

Cette simple pensée lui faisait lâcher un long soupire sur le moment. Il n’était pas dépité de la situation, il repensait simplement que même un Dieu ne pouvait changer en aucune façon sa propre nature, même en y mettant toute la bonne volonté du monde. À croire que finalement, les humanoïdes avaient bel et bien été créés à l’image des Dieux.

L’imposante divinité décidait de se concentrer à nouveau sur son environnement et essayer de se mêler à nouveau à la foule. Il faisait de son mieux, car il faut dire qu’un être de trois mètre n’avait véritablement rien de discret. Sa peau avait perdu de sa couleur verdâtre pour revêtir une teinte plus foncé, une belle couleur d’ébène. Sa chevelure restait identique, mais elle se fondait déjà assez bien dans ce qui était humain. Il avait joué ces dernières et avaient, pour une des rare fois de son existence, porté une tenue complète, mais qui paraissait tendu. Un pantalon de lin couleur bordeaux, d’imposante botte de cuir brut. Pour le haut, une tunique blanc cassé, avec un veston de feutre. Et par dessus cela, une cape à capuche pour couvrir son visage et quelques uns de ses traits. Imposant, mais évitant de se démarquer un peu plus.

Il naviguait alors entre les différentes étables et profitait des divers produits. Il avait de quoi profiter de ce lieu, il faut dire que le monsieur avait un sac magique en bandoulière autour de sa personne et surtout une bourse bien rempli. Une imposante poche de cuir, rempli de monnaie trébuchantes. Il avait de quoi se payer quelques esclaves s’il le désirait. Il préférait toujours prendre plus que pas assez. Ses emplettes se passaient délicieusement bien, trouvant des produits dont il pourrait extraire des graines ou des boutures. Il prenait aussi le temps de s’intéresser à certaines création magique mortelle, aimant l’ingéniosité de celle-ci et se disant qu’il pourrait en donner ou s’en servir pour décorer son intérieure. Oui, cette divinité prenait les créations humaines pour de vulgaire broutilles.

Petit à petit, il se perdait dans cette fougue de la consommation, oubliant presque qui lui arrivait d’attirer les regards sur sa personne. Finalement, il vint à se rapprocher de la grande place, de l’endroit où l’exhibition et achat des esclaves avaient souvent lieu. Il ne s’en rendit même pas compte, c’est simplement quand une voix forte vint à crier la présentation de sa nouvelle trouvaille que la divinité leva les yeux sur la scène. Il passa un rapide coup d’oeil sur les deux personnes. Restant figé un petit moment sur la fameuse esclave rare encapuchonné. Rapidement, il vint à détourner ses prunelles, se disant qu’il ne devait pas craquer à nouveau et avoir envie de ne faire que le bien à chaque fois. Il s’apprêtait donc à repartir, mais de nouveaux éléments vinrent à le forcer à fixer une nouvelle fois l’estrade de cette place du marché.

Des voix de surprises, mais aussi d’une certaine colère résonnait sur la place. L’insatisfaction se faisait clairement entendre. Cela avait de quoi surprendre le Dieu, généralement les  humains criaient plutôt de surprise face à la rareté d’une telle créature. Dagda vint donc à se retourner une nouvelle fois et faire face à la scène, admirer ce qu’il se déroulait dessus. Fort dommage qu’à ce moment précis personne ne vienne à le regarder lui, la scène étant des plus amusante. Il était bouche bée devant ce qui se dessinait sous son regard. On pourrait tout à fait croire que cela provenait de la beauté de la jeune femme mise aux enchères. Il fallait le reconnaître, elle était sublime et viendrait à faire rougir n’importe quelle dragueur devant un tel charme, mais la réaction du Dieu ne provenait aucunement de ce résultat.

La personne présente sur l’estrade ne lui était aucunement inconnu, mais il était tout bonnement impossible qu’elle soit en ces lieux. Une sosie ? Impossible aussi, la ressemblance était bien trop évidente et surtout, l’aura qui se dégageait de cette dernière était en tout point semblable à ce que le Dieu avait connu. Cela le perturbait grandement, comme une femme qu’il avait connu il y a huit siècles de cela pouvait encore être vivante. Lorsqu’il l’avait rencontré, elle avait prétendu être une simple humaine et elle ne devrait plus être de ce monde. Cela était tout bonnement illogique. Le Dieu en était totalement déconcerté, tellement qu’il vint à retirer sa capuche et exhiber son faciès pour être sûr qu’il avait bien vu la silhouette de la jeune femme. Son esprit ne lui jouais aucunement des tours, il avait bien en face de sa personne, une demoiselle qui ne devrait plus être de ce monde. Enfin, son esprit faisait son bout de chemin et comprenait une chose, elle avait du mentir sur sa nature, comme lui l’avait fait à l’époque. Elle n’était aucunement humaine, voilà la seule explication logique face à cette incohérence possible pour l’homme.

Des doutes étaient possible, mais ils s’envolèrent vite en voyant la gestuelle de la rousse et surtout sous le timbre de sa voix. Cette dernière faisant remonter des souvenirs à la divinité. Il retrouvait au hasard une connaissance vieille de huit cents ans. Une jeune femme qu’il avait perdu de vu du jour au lendemain, sans jamais avoir eu d’explication. Et avec laquelle, il n’avait jamais pu conclure ou en savoir plus. Le feeling était bien passé, mais elle était toujours resté assez mystérieuse autour de sa personne. Le destin devait être en jeu, mais ce genre de chance était des plus amusantes. Il était totalement perdu dans ses pensées, ne pensant plus aux personnes autour de lui et au comportement qu’avait l’homme avec son ancienne connaissance, son ancienne amie en quelques sortes.

Un mélange de sentiment de brassait en lui et une seule chose vint à en sortir, un rire puissant. Il serait même bon de dire qu’il était gargantuesque, audible, grave, rauque, qui aurait de quoi faire trembler des murs. Il couvrait facilement le brouahah du peuple ayant prit place devant l’estrade. Ce rire se transforma lentement en fou rire plus que sincère et intense. Quelques larmes venaient même à couler le long des joues de l’imposante divinité. Il prit bien quelques minutes à se calmer, avant de retrouver sa fière stature, affichant un sourire assuré et imposant. Son regard avait cette fermeté et cette ardeur brûlant dans le fond des yeux. Il commençait à laisser sa voix se faire entendre.

« Abruti ! Évite d’abîmer ta marchandise, surtout quand quelqu’un est prêt à l’acheter ! »

Dagda s’avançait alors en direction de l’estrade et sans aucune considération pour les principes ou les bons comportements en société vint à grimper sur cette dernière et faire face à l’homme de toute sa taille. Il vint à défaire sa bourse de sa ceinture et la tendis en direction de l’esclavagiste.

« Je te l’achète pour ce prix-là. Il y a l’équivalent du prix de trois esclaves, je pense que cela est suffisant pour cette femme ? Tu ne penses pas ? Au vu de l’ambiance générale un peu plus bas, je pense que je serais le seul à vouloir offrir un tel prix pour cette femme. Alors je te conseille d’accepter mon offre. »

Le Dieu attendait à présent la réponse de la personne, voir ce qu’elle pourrait dire face à son offre plus que conséquente et alléchante.

 

2
Les contrées du Chaos / Re : Rencontre verdoyante sur terrain divin - Dagda -
« le: dimanche 24 septembre 2023, 11:58:11 »
Être un dieu ne signifie pas être libre, n’avoir aucune entrave ou contrainte. Certes, cela est bien amoindri par rapport aux mortelles, mais les divinités possèdent aussi leur lots d’obligation, celle inhérente à leur fonction dans un panthéon, mais comme les mortels, celles qu’ils viennent s’imposer deux mêmes. Dagda faisait parti de cette deuxième catégorie, il s’était imposé des obligations personnels, qu’il assumait pleinement et faisait toujours avec entrain, même quand cela signifiait devoir se lever aux aurores pour cela. Un peu comme aujourd’hui et tous les jours de la semaine quand il était présent dans son domaine divin.

Pourquoi se lever si tôt ? Simplement pour entretenir son domaine et prendre soin de toute la faune et flore présente sur ses terres. Certes, il usait de la magie pour une bonne partie du travail et gagner du temps, mais un tel royaume demandait de l’entretient et surtout il accordait beaucoup de temps à connaître l’état de chaque sujet végétal ou animal présent sur son domaine.

Alors que le soleil offrait ses premiers rayons, le colosse vert était déjà debout venant de finir un copieux repas et une séance de sport juste avant. C’était à se demander à qu’elle heure il avait quitté son lit pour être aussi productif dès le matin. Maintenant qu’il est était possible de voir clair pour sa personne, il se disait qu’il était enfin temps de mettre la main à la pâte et de partir s’occuper de son somptueux royaume. Sur sa peau verte, il ne vint alors qu’à enfiler un pantalon de travail d’une couleur terre sèche, moulant parfaitement sa carrure, mais lui offrant toute de même une certaine liberté de mouvement. Et pour compléter cette simple tenue, il ne portait qu’un imposant chapeau de paille. Cela lui offrait une carrure de paysans assez sommaire, mais lui convenait parfaitement, il se sentait à l’aise et pleinement dans son élément pour le coup.

Avant de sortir pleinement de sa demeure dans les arbres, il fit tout de même un tour auprès des plantes, des arbustes et simplement des plantations diverses et variées présentent dans son domaine. Il possédait énormément de serre et de pot perdu à droite à gauche de sa demeure. Il prit le temps de discuter avec ces dernières, les arroser, les complimenter. Il prélevait aussi les ressources dont il avait besoin pour ses propres production et sa consommation. Il soignait aussi celle qui était malade et retirait celle ayant atteint la fin de leur cycle. Un moment long, mais qui apportait une certaine sérénité à la personne divine qu’était Dagda.

Enfin, il pouvait se mettre au travail et partit naviguer dans les champs et forêt avoisinante. La vie dans son domaine était particulier. Il possédait bien des potagers, des endroits où il venait à gérer lui-même ses plantations, mais sans transformation, il leur dédiais simplement un endroit dans cet espace pour elles, il gère certaines maladies , mais n’use jamais de produit chimiques, simplement de certaines espèces ou de terrain particulièrement propices, en clair il respecte la nature comme le ferait un druide. Il ne prends jamais plus de ce dont il a besoin et replante toujours en conséquences. Il en va de même pour les animaux et surtout la viande. Cela serait mentir de dire que ce dieux n’est pas, pour le dire vulgairement un viandard. Pourtant, il ne tient aucun élevage. Il prélève simplement ce que la nature ose lui donner autant par le cycle de la vie et de la mort, que la chasse. Et même durant ces chasses, il fait bien attention à ses cibles, jamais de mère, ni durant les périodes de reproduction. Il fait toujours le nécessaire pour que même dans la chaîne alimentaire le respect perdure.

Il repensait à cette équilibre tout en venant s’occuper des divers champs autour de chez lui, regardant l’état des sols, le comportement des diverses fleurs, certaines naturelles, d’autres ayant clairement des origines magiques pour ainsi dire. Il est clair que vu l’endroit la nature allait forcément assimiler certains de ces traits. Il était tout sourire, heureux de voir que tout semblait bien se porter dans le coin de son domaine. Il pouvait alors continuer sa route et se plonger dans l’imposante forêt de chêne centenaire qui résidait ici. De sublime chêne blanc, atteignant dans la moyenne entre trente à quarante mètre de haut. Dagda s’était rendu ici pour une raison toute simple, un des chênes présentait une maladie qui le rongeait de l’intérieure. Le Dieu-druide avait fait son maximum et espérait que ce dernier serait soignée. Il venait simplement vérifié l’avancé de la situation.

En arrivant devant celui-ci, le magicien perdait petit à petit de son sourire, l’état de l’arbre ne s’était aucunement arrangé, au contraire il déclinait de plus en plus. La maladie avait même gagné les racines et inquiétait le mage, la maladie allait possiblement gangrené d’autres arbres prochainement. Il ne pouvait laisser cela arriver, il se devait de déraciner l’arbre et surtout le retirer de la forêt. Il commença alors un travail de longue haleine pour le coup, usant de la magie, mais restant impressionnant.

Par l’usage de la magie, il vint simplement à dégager la terre autour des racines et venir retirer celle proche des autres arbres pour éviter la contamination. Ce fut le travail le plus long pour le coup, les racines étant profondément ancré dans le sol. Quand il eut terminé cela, il mit en oeuvre sa divinité et la force qui allait avec. Ses doigts vinrent saisir l’épaisse écorce de l’arbre. Il commença alors à serrer ce dernier, son corps venant se tendre, se congestionner et surtout s’enfoncer dans l’écorce de l’arbre. Il venait d’affermir sa prise, il pouvait à présent tirer, soulever l’arbre pour finir de le déraciner. À mains nu, Dagda était entrain de soulever un arbre d’une trentaine de mètre et cela sans vraiment donner l’impression de forcer.

Une fois ce travail terminé, il vint à coucher l’arbre et commencer à couper toutes les branches le parsemant. Il jetait les branches dans le trous fait par la souche manquante. Il comptait laisser les fruits de l’arbre, les feuilles et les branches encore saines se décomposer, nourrir le sol et peut-être donner naissance à une nouvelle progéniture. Après cette effort, il vint à retrouver le sourire. Et vu l’heure, il était temps pour lui de rentrer à la demeure, surtout qu’il avait du bois à couper. Il vint donc à saisir l’arbre et le laisser reposer sur son épaule partant ainsi, donnant l’impression que cette scène était tous ce qu’il y a de plus naturel.

Sur le chemin du retour, sifflotant tranquillement, il vint à ressentir comme une perturbation dans son domaine. On venait d’y entrer et aucunement par la grande porte. Par une passerelle dérober, mais un des nombreux vestiges de passage dans son royaume et qui semblait encore fonctionner et réagir de temps en temps. Le dieu devait donc connaître la nature de son visiteur et déterminer ou non le potentiel danger de ce dernier. Toujours son arbre sur l’épaule il se mit en route vers l’épicentre de sa perturbation. À pas lent, il n’était pas pressé, l’intrus ne semblant pas véritablement bouger ou se presser vers sa personne. Petit à petit, il vit se dessiner une ombre et au fur et à mesure qu’il se rapprochait, il devait sans doute se faire voir ou ressentir par la personne au vu de sa carrure impressionnante. À moins que la personne soit vraiment perdues dans ses pensées. Une fois à sa hauteur, il put dessiner rapidement la silhouette de l’intrus ou plutôt de l’intruse et déterminer ainsi qu’il s’agissait d’une femme. Il prendrait le temps de la détailler plus tard, il se permit alors d’ouvrir la conversation.

« Bien le bonjour ! Je vois qu’une invitée surprise s’est perdu dans mon domaine. Réponds à ma simple question. Es-tu ici en amie ou tes intentions sont tout autres ? »

Au vu de sa phase, on pourrait penser qu’il venait à la menacer, mais son timbre de voix était terriblement doux et il affichait un grand sourire sur le moment. Il se montrait agréable et viendrait à changer selon le but de la jeune femme.

3
Le coin du chalant / Chalant du Dieu-druide
« le: lundi 18 septembre 2023, 23:05:26 »
Voici quelques ébauches d’idées de contexte possible avec Dagda, ces dernières ne sont que des bases et peuvent évoluer et être retravaillées avec les personnes intéressés. Il est tout à fait possible aussi de proposer vos propres idées, si vous en avez qui ne se retrouvent pas dans cette liste. Il est possible de parler de tous cela par MP bien évidemment.

1 – Premier pas - Libre: Une idée toute simple. Dagda ayant retrouvé sa forme physique depuis moins d’un siècle a décidé de prendre le temps de découvrir tous les nouveaux plaisirs et nouvelles activités des mortels. Il prend son temps pour découvrir ces dernières et avance donc à son rythme. Alors qu’il test une nouvelle activité, il pourrait tomber sur votre personnage étant en découverte aussi ou expérimenter dans ce domaine. Le Dieu étant un peu sans gêne viendrait à taper la conversation et demander à votre personnage de lui servir de guide ou formateur, purement et égoïstement, sans penser à ce dernier.

2 – Promenons-nous dans les bois, tant que le Dieu n’y est pas ! - Libre : Le Royaume de Dagda se trouve entre les mondes, ayant divers points d’accès et portail à travers le monde, surtout dans la nature et les éléments reflétant la culture celtique. Il arrive donc à de rare moment que des personnes proches de ces portails finissent dans le monde du Dieu. Votre personnage pourrait-être un des heureux ou malheureux se retrouvant dans son royaume. Que ferais donc votre personnage ? Serait-il inquiet ? Profiterait-il des biens faits de ce lieu ? Chercherait il du monde ? Et comment viendrait-il réagir en tombant nez à nez avec le maître des lieux ?

3 – Disciple en devenir - Libre : Dagda étant le Dieu des druides, de la magie et des éléments, il est incontestablement un maître dans ces pratiques. Il lui arrive donc souvent d’en faire usage, avec plus ou moins de discrétion, cachant très peu ses capacités pour le coup. Votre personnage, si ce dernier est intéressé par ce genre de pratique, pourrait avoir vu une démonstration de ce dernier. Pourrais s’en suivre une envie d’apprendre de lui, demander un service ou tout autre idée qui pourrait naître dans l’esprit de votre personnage.

4 – Acceptez-vous de prendre comme contractant un Dieu ? - Libre : Le Dieu n’est pas que le représentant des Druides, mais aussi des contrats. Il vient donc souvent répondre présent quand des personnes désirent obtenir quelque chose en échange de quelque chose. Il est capable de répondre à ce genre de besoin. Une forme de contrat avec le diable d’un autre temps et où vous gardez votre âme. Votre personnage pourrait désirer quelque chose et en faire l’appel, le besoin, entendre parler de Dagda ou supplier de sa vie, selon la situation dans laquelle, il se trouve. Dagda se présenterait alors à lui, les termes du contrats ne dépendrons alors que de vous.

5 – La loi du plus fort ! - Libre : Explorer est agréable, S’amuser aussi, mais rien ne vaut le fait de se dépenser bien énergiquement et dans la méthode la plus barbare qui existe. En clair, une bonne bataille, baston, boucherie ou tout autre chose encore. Dagda aime ce genre de divertissement et ne tourne jamais autour du pot quand il tombe sur une personne venant titiller son intérêt de ce côté-là. Votre personnage rentrerait dans cette catégorie-là et Dagda n’hésiterait pas à chercher la confrontation dans des affrontements pures ou divers jeux physiques. À voir qui serait le,la gagnant.e

6 – Attrapez les tous ! Attrapes les tous ! - Libre : La sauvagerie n’est pas le seul trait de caractère du Dieu-druide. Il fait aussi preuve d’une grande curiosité et d’une forme d’insistance faisant paraître un enfant capricieux bien gentil à côté. Et depuis son profond sommeil, il ne connaît pas tous, surtout en terme de nouvelle espèce ou d’évolution de ces dernières. En voyant une de celle qu’il ne connaît pas, il se montrerait très collant pour en savoir plus. Venant chercher à tout savoir sur l’autre, brisant totalement la notion d’espace vital. Votre personnage pourrait être cette malheureuse victime.

7 – Oubliez toute vie privée - Libre : Cette idée se base un peu sur celui plus haut, mais ici il ne s’agit pas de voir Dagda se montrer intrusif concernant l’origine de la personne, mais une situation qui lui arrive. Il serait intrigué par cela et viendrait à se montrer intrusif autant pour en apprendre plus que proposer son aide en contre partie. Autant voir si cette dernière sera utile ou à venir faire empirer les choses.

8 – Silhouette d’un passé lointain - Libre : Avant de plonger dans sa profonde stase de récupération, Dagda avait vécu un long moment parmi les mortels. Après s’être régénéré et marcher de nouveau sur ces terres, il serait désireux de retrouver possiblement quelques vieilles connaissances et espérer les retrouver vivante. Votre personnage pourrait être une de ces connaissances. Se retrouvant, il pourrait passer un bon moment en se remémorant le passé tout simplement.

9 -  Jamais deux sans Primal ! - Libre : Malgré son envie de profiter de plaisir simple et de s’entraîner depuis son réveil, Dagda reste un être avec des pulsions. Il lui arrive donc simplement de rechercher un compagnon ou une compagne pour la nuit, soulager l’un comme l’autre leur pulsion, pour une nuit ou plus longtemps. Cependant, cela n’a rien de romantique ou sensuel, il s’agit du moment ou Dagda libère ces pulsions. Votre personnage pourrait être ce compagnon d’une nuit. 

10 – En avant compagnon ! Partons à l’aventure ! - Libre : Dagda est un Dieu aventureux ne disant jamais non à une bonne sensation forte et une aventure digne de ce nom, ce qui manquait à sa vie de Dieu. Il rattrape donc le temps perdu à présent  et se lance dans n’importe qu’elle exploration ou quête en solitaire ou en embarquant des personnes croisées avant, sur place, voir même en s’intégrant un peu de force avec un groupe ou une personne. Cela serait donc le sort possible de votre personnage de se retrouver en compagnie de Dagda pour une aventure.


4
Merci beaucoup pour cette validation  :D

5
Bonjour,

Comme demandé, j'ai relus ma fiche et essayé de corriger les problèmes de coquilles et de syntaxes. J'espère avoir réussi à tout régler de ce côté-là.

Pour ce qui concerne les aspects illogiques de l'histoire, j'ai aussi relu cette partie et corrigé ce qui semblait incohérent et apporte une ou deux explications supplémentaire. Comme pour les fautes, j'espère avoir réussi à tout régler. Je modifierais ce qui doit encore être modifié si nécessaire.

6
Identité : Dagda
Âge : Il a arrêté de tenir les comptes après trois millénaires d'existence, mais il s'approche du cinquième millénaire d'existence
Sexe : Masculin
Race : Dieu
Sexualité : Pansexuel


Physique : Quel autre qualificatif existe-t-il pour décrire Dagda autre que Barbare ou encore imposant ? Très peu, voir aucun. Le physique de cet homme ou plutôt de ce Dieu ne laisse aucun doute sur le choix des termes et surtout sur le fait de pouvoir en trouver des meilleurs.

Il faut dire que cette divinité à de quoi marquer les esprits, même parmi les siens. Si de loin, on peut déjà le trouver grand, c'est lorsqu'il vient à vous faire face que vous comprenez toute sa majesté. Dagda touche du bout des doigts les trois mètres de haut, cela se jouant à deux misérables centimètres. De quoi vous abîmer la nuque, simplement pour espérer le regarder dans les yeux ou soutenir son regard. Pour donner une comparaison, un de ses doigts serait comparable à une autre partie de l'anatomie d'un humain classique. Les choses auraient pu s'arrêter là, mais cet être divin ne possède pas une stature très élancée. Il serait plutôt comparable à un roc. Cet imposant titan à de quoi rivaliser avec pas mal de bodybuilders. L'homme est véritablement aussi large qu'un frigo et un frigo américain pour le coup. On dit souvent à tort et à travers qu'une personne possède deux fois vos bras. Cela n'a jamais été aussi vrai dans le cas de Dagda, il serait même plus juste de dire que ses bras peuvent faire deux fois ceux d'un bodybuilder. Cela pourrait même s'appliquer pour chaque partie de son corps. Sa grande taille venant jouer là-dedans. Voir son physique laisse très clairement comprendre ce qui peut arriver, si ce dernier décide de se déchaîner. Et pour ajouter une bonne couche à cela, oublier la possibilité de trouver la moindre trace de graisse sur ce corps. Il suffit de le voir torse-nu pour comprendre que rien n'a été délaissé sur sa carcasse. On aurait même l'impression de découvrir des nouveaux muscles et zones de sa morphologie, tellement ce dernier est entretenu et développé presque à l'extrême.

Si on décide de faire plus attention à certains détails de son corps, on va rapidement se concentrer sur son visage, montrant quelques autres éléments surprenant. On fera d'abord attention à ses oreilles, se dessinant pointues, mais n'étant pas particulièrement grandes. On peut ainsi aisément comprendre sa nature non humaine, mais on peut difficilement l'associer à une autre race existante, même celle d'un Dieu. Ce n'est pas non plus le seul détail marquant de ce corps imposant. Il est possible d'admirer une longue chevelure de feu, donnant l'impression que les flammes crépitent sur son visage et dans son dos. Cette chevelure rousse vient à ressortir sur sa peau légèrement verte ou d'ébène lorsqu'il décide de se fondre dans la masse de la population de la Terre. Cette crinière vient aussi se transformer lentement en une barbe dans les mêmes teintes, accentuant encore plus le visage carré de Dagda. Même les prunelles de la divinité n'ont pas une couleur naturelle, mais viennent se démarquer bien moins. On peut admirer des iris couleur ambre, soulignant sa beauté sauvage et inhumaine, sans pour autant paraître si particulière.

Pour ce qui est de son style vestimentaire, le Dieu n'en possède pas. Si cela ne tenait qu'à lui, il se baladerait toujours entièrement nu, bien plus agréable pour sa personne. Cependant, il fait un effort en société, mais va toujours porter des affaires décontractées et légères pour sa personne. Il se fiche bien que cela ait l'air noble, élégant ou encore riche, il veut simplement du confort quand il vient s'habiller. Toujours vêtu de façon délaissé et un peu sauvage, allant bien avec son corps et sa stature. Et en ce qui concerne ce qui se trouvent sous la ceinture, il faut simplement prendre en compte la différence de taille et que pour un Dieu assez vulgaire, il respecte bien l'adage qui va avec, ce n'est donc pas une expérience à faire vivre à tout le monde, simplement les plus téméraires.


Caractère : Que peut-on attendre de cette divinité quand on vient à la voir ? Est-elle un cliché sur pattes ? Une personne brutale, indifférente, sauvage, bourrue et bien d’autres choses correspondant à son physique à mi-chemin entre le Dieu et la Bête ? Ou à l’inverse serait-il un être venant détruire ce cliché, être totalement l’inverse ce que l’on peut attendre d’une telle montagne de muscle ? Et bien, pour rendre les choses plus compliquées, il serait bon de dire Oui et Non à ces deux possibilités. Une divinité n’est pas forcément un archétype ou un clichés sur pattes. Cela reste un être vivant comme tout les autres, ayant sa propre personnalité le rendant complexe et ironiquement terriblement humain dans ses relations.

Alors que donne la personnalité d’un être ayant vécu presque cinq mille ans, même si une partie de cette dernière a été dans un sommeil profond ? Une des réponses qui reviendrait le plus souvent, serait sans doute le terme Sagesse et heureusement, ce dieu est profondément Sage. Les connaissances qu’il possède et qu’il aime accumuler, ainsi que les expériences qui viennent de sa longue vie nourrissent profondément son âme et continue de le rendre de plus en plus sage. Mais oublié l’image du Vieux Sage croulant, venant réciter des énigmes compliquées ou des phrases bateaux, il ne correspond absolument pas à cette image. Il transmet sa sagesse par ses actions et paroles du quotidien, de la façon la plus banale possible, venant offrir cette dernière de la façon adéquate et sans tourner autour du pot.

On doit cela à sa franchise naturelle, celle de ne rien cacher aux autres, de communiquer clairement sur ce qu’il pense et vient à ressentir. Cependant, il ne faut pas confondre cela avec manque de filtre ou de tact. Il réfléchit toujours à sa façon de dire les choses pour être le plus compréhensible possible et surtout en prenant en compte l’état et la personnalité de chacun, dans la mesure du possible bien évidemment. Il y a une certaine forme de stratégie, de calcul dans sa façon de s’exprimer, comme s’il avait trouvé le parfait équilibre entre raisons et sentiments. Comme si cette divinité montrait l’équilibre à atteindre pour vivre au mieux sa vie, du moins c’est ce qu’il défend dans ses paroles et dans ses propos.

Par contre, attendez-vous seulement à ce genre de comportement sympathique que si vous faîtes parties de ses proches. En-dehors, il faudra subir en fonction de ses humeurs et pulsions du moment, comme s’il ne faisait des efforts que pour les personnes auxquelles il tient. Cela marquant clairement une différence entre les étrangers et ses proches. Rassurez-vous, il se laisse facilement amadouer ou plutôt il vient à ouvrir les bras à beaucoup de monde, agissant presque comme un guide, voir même un Père. Le dieu à une âme des plus paternaliste envers les autres, prenant souvent l’ascendant pour simplement les guider. Mais quand vous n’êtes pas dans ses petits papiers, vous pourrez découvrir un être assez égoïste, n’offrant de son temps et de sa personne qu’a peu de monde. Il faut dire que le Dieu vit dans sa bulle, appréciant le monde à sa façon et se moquant bien souvent des conventions sociales. Pour lui, il n’existe qu’une loi, la sienne, même si dans son côté têtu, il sait faire des petits efforts pour éviter d’attirer trop l’attention et s’intégrer au minimum.

Cependant, dès que vous rentrez dans son cercle privé, vous découvrirez des nouvelles facettes de sa personne, comme si on arrivait à apprivoiser un ours mal léché. Il devient très doux et dévoile une grande sensibilité, une empathie folle, laissant son visage exprimer une palette d’émotions des plus intenses et puissantes. C’est aussi là que l’on découvre son amour de la nature et de l’art, appréciant tout ce qui tourne autour de cela. Bien évidemment, Dagda apprécie bien d’autres choses, en fait tous ce qui implique un plaisir, de la joie, du divertissement ou des sentiments fort. C’est le plus bon vivant des bons vivants. Il est le premier à proposer une activité, un événement ou simplement se poser et profiter du souffle du vent ou du soleil venant dorer la peau.

Bon, ce côté bon vivant amène aussi un autre point, celui de son amour de la chair et son côté à être un coureur de jupon. Et pas forcément des plus fins, il est plutôt direct et rentre dedans. Il sait parfaitement s’arrêter quand un non est un non, mais il se montrera très entreprenant et énergique en toutes circonstances. Il fonctionne au culot, se disant qu’en ne faisant rien, il n’aura rien, alors autant tenter, cela devient du cinquante cinquante, donc toujours gagnant pour sa personne. Attention tout de même si vous finissez dans ses draps, c’est dans ce genre de moment là qu’il montre que malgré sa sagesse, une bête, une brute, un sauvage vit toujours dans sa personne, car il se comporte ainsi dès que sa libido vient à parler en lui. À vos risques et périls. Et dernière précision, le Dieu est assez possessif, surtout avec les personnes de son cercle privé, donc attendez vous à vous faire marquer et surtout qu’il vient à le montrer à autrui.


Histoire : Notre récit commence, il y a fort longtemps. Une époque ancienne où l’écriture venait à peine de naître ou tout n’était que transmission orale et où les croyances étaient diverses et portaient sur divers panthéons. C’est dans cette époque d’évolution, mais aussi de chaos que le Dieu Dagda vint à voir le jour. Il était né de parents divins, mais il ne savait aucunement d’où eux provenaient pour le coup. Ses origines étaient flous, inconnues pour sa personne, mais ce n’est pas cela qui allait l’empêcher d’évoluer et assumer ses fonctions divines. Il sentait en lui une forme d’instinct, comme si son corps, son esprit et son âme arrivait à compenser ce manque de racine pour lui dire quoi faire, comment agir, qu’elle était sa mission.

Ce fut donc des plus naturellement qu’il se plongea dans sa nature divine et le rôle qui se devait d’assumer. Le temps s’écoula en des années et même des siècles, laissant le Dieu comprendre toutes ses fonctions et éveiller tout ses pouvoirs, pouvant ainsi assumer son poste dans le Panthéon. Une de ses premières action fut de prendre part à une bataille importante, autant sur Terre que Terra. Une guerre nommée « Cath Maighe Tuireadh », une bataille venant opposée les dieux de ce panthéon à leur ennemi, les Fomoires, des êtres géants et considérés comme des Demi-dieux. L’histoire entre les Fomoires et les Dieux est longue et cette dernière s’achève sur une bataille à mort entre eux. Ce n’est véritablement qu’après cette guerre et surtout une victoire de la part des Dieux du panthéon Irlandais que les divinités le composant furent pleinement reconnus et surtout vénéré par les Celtiques. C’est à cette époque que commença vraiment le règne de Dagda en tant que Dieu.

Ainsi, l’illustre Dieu devint le guide des Druides, mais aussi du sacerdotale que l’on pourrait comparer au sacré des religions monothéistes . Ici, Dagda représentait surtout le gardien des cultes, rites, rituels, leur respects, mais aussi le gardien des lieux naturels considéré comme divin et sacré.  On associa à sa personne le privilège d’être la représentation du temps, de la vie, de la mort, des contrats et des éléments. On vint à le placer au-dessus de ses frères et soeur, de sa femme même des enfants qu’il eut. Il était en quelque sorte le roi de ce Panthéon, partageant cette place avec Lug, une autre divinité. Au vu de ce trône partagé, tout porterait à croire qu’une guerre presque fratricide allait éclater entre eux deux, mais il n’en fut rien. Les deux divinités s’appréciaient bien trop pour se quereller et appréciait partager cette place dans le cœur des Hommes et des autres espèces. Et le fait d’être autant vénéré l’un comme l’autre ne venait aucunement réduire leur puissance ou existence.

Le début des soucis pour Dagda et le reste du Panthéon connut une origine bien différente et assez classique, on pourrait presque dire humaine pour le coup. La lassitude, les obligations, le statut qui vient à lui incomber en tant que divinité. Il en était las. Il était le Dieu des druides, donc forcément un druide dans le fond. Il voulait être plus en contact avec la nature, profiter de la magie, vivre aux côtés des mortelles pour profiter de leur exubérance, leur façon d’appréhender le monde, leurs erreurs, mais aussi leurs qualités. Mais il ne pouvait quitter son statut ainsi, il vint donc à trouver une solution. Il conçut un petit royaume divin, se situant dans les deux mondes en même temps, une forme de monde entre les mondes. Un royaume de la taille d’un domaine, lui permettant d’assumer son statut divin, tout en entretenant plus de contact avec les humains. Il nomma ce monde Brug na Boinne.

Cette solution lui apporta du répit durant un moment, mais vint à creuser petit à petit la suite de son avenir. Au cours des siècles qui suivirent, il entretenue beaucoup de contact avec les êtres vivants, les invitant dans son domaine et profitant de ces échanges. Il y trouva des amis, des amours, des rivaux étranges, mais aussi de l’amertume, de la tristesse, en clair, il vécut pleinement sa divinité. Et tout cela, malgré la baise des croyants à son égard, la présence du panthéon gréco-romain, puis de la religion chrétienne venant diminuer lentement ses fidèles sur Terre. Pourtant, cela ne fut pas assez pour lui faire perdre son statut divin. Cet avenir, qui se dessinait pour lui, apparaissait même comme radieux. Il allait se retrouver avec bien moins d’obligation envers les humains et autres espèces, lui permettant de bouger à sa guise, de profiter encore plus de cette vie, sans rester enfermer dans son territoire, toucher et ressentir ce que ses yeux lui offraient, ne pas limiter ses interactions à simplement son domaine. Les divinités grandement vénérées n’ont pas toujours toute la liberté qu’ils désirent, assez ironique, quand on connaît leur pleine puissance.

Son périple serait long, il le savait. Son domaine ne pouvait donc être laissé ainsi sans surveillance. Des dieux pourraient tenter de s’en emparer ou même simplement des mortels décider d’en faire une terre pour eux. Son territoire devait lui rester et aussi aux siens. Il en confia donc la garde à son fils Oengus.C’est donc en toute confiance qu’il laissa ainsi son royaume à son enfant et parti lui-même vivre pendant quelque temps une vie plus humaine. Une vie qui dura jusqu’au treizième siècle, se perdant dans les plaisirs humains et se disant quelques rares fois qu’il aurait aimé naître en tant que mortel. Mais il ne se plaignait pas de sa nouvelle condition. Il pouvait à présent profiter de ce genre de plaisir de façon presque éternelle. Durant cette longue période, il put retrouver une bonne partie de ces connaissances, celle ayant une longue durée de vie surtout. Il fit aussi naître de nouvelle relation qui se poursuivèrent ou prirent fin, tout dépendait de la durée de vie des personnes partageant sa vie.

Ce n’est qu’après cette longue période qu’il se décida enfin à retourner dans son royaume divin, désireux de voir son état et surtout prendre des nouvelles du Panthéon, ayant eut très peu de contact avec eux au cours des derniers siècles. Du moins, il aurait pu y retourner et retrouver un temps sa quiétude, mais les choses furent bien différentes. Lui qui avait confié les clés à son enfant pour que le royaume ne tombe pas entre les mains d’autres divinités ou encore créatures, ne lui était plus accessible. Tout cela à cause de son enfant, qui avait caché sa nature fourbe aux yeux de tous et avait fait sien le royaume de son père, le royaume de Dagda. Tout ce qu’il espérait ne pas se voir réaliser venait de se produire et de la main de la pire personne possible, son propre fils, son sang à lui.

Les choses auraient pu en rester là et le dieu s’apitoyant sur son sort et laisser cette victoire à son enfant, mais cela serait mal connaître le Dieu-Druide. Il décida de mener une guerre contre son propre enfant, le forcer à sortir et à l’affronter de face, reprendre par la force et l’esprit ce qui lui appartenait de plein droit. Ainsi, une longue bataille eut lieu, deux dieux venant à s’affronter. Personne ne sait réellement ce qui s’est passé durant cette époque, les mortels n’osant pas s’approcher, ainsi que les Dieux eux-mêmes. Mais le résultat en fut terrible, les deux vinrent à perdre, et même plus précisément à mourir. Du moins pour l’un des deux. Ce fut le fils de Dagda qui vint à périr. Quant à lui, il ne perdit que son enveloppe physique, son âme réussit à survivre.

Il lui fallait à présent s’isoler dans son royaume reconquis pour récupérer, se refaire une santé, laisser sa nature de Dieu de la vie et de la mort parler et renaître presque de ses cendres pour profiter à nouveau de la vie. Et cette période de stase, de remise en forme dura pendant une très longue période, plusieurs siècles pour être précis. Il ne revint véritablement à lui qu’au vingtième siècle. Énormément de temps venaient de passer pour lui et il serait logique de penser qu’il serait en décalage avec le monde moderne sur Terre et l’évolution qu’avait subit Terra. Le dieu des druides et de la magie avait plus d’un tour dans son sac. Son corps se reformait, mais son âme ne dormait pas, il put donc observer silencieusement le monde durant tout ce temps, captant le plus gros des informations et changement. C’est donc en étant au courant du monde qui l’entourait qu’il revint dans sa meilleure forme.

Au vu de ces événements, il était clair et facile de penser qu’il avait tiré certaines leçons de cette aventure, qu’il allait abandonner son rêve pour ne pas laisser son royaume seul et en danger. Il n’en fut rien, il trouva une autre voix, celle de l’effort et non de la facilité. Abandonner et rester cloîtré seraient bien trop facile. Il préférait l’idée de devenir encore plus fort pour être sur de protéger son royaume en tout tant et surtout profiter encore plus du monde moderne qui le fascinait grandement, tout en venant trouver des personnes liées à sa personne par contrat, autant pour protéger son royaume en son absence, que importer dans son royaume divin ce qu’il considère comme important et fantastique dans le monde des mortels. C’est donc une forme olympique et des fortes ambitions que Dagda compte de nouveau marcher sur les royaumes des mortels et bien s’amuser. Profiter pleinement de la vie éternelle qui lui tend les bras, possiblement retrouver de vieilles relations, mais aussi en forger des nouvelles.


Autre :Le Grand Dieu de la Magie et des Druides n'est pas à prendre à la légère, autant en ce qui concerne la magie que le physique. Dagda est un être à la force prodigieuse, démontrant parfaitement son statut Divin, cela s'applique donc aussi à sa force, sa vigueur, son endurance, sa résistance et sa régénération. Il est très difficile de blesser et/ou d'épuiser Dieu. Pas impossible, simplement une mission de longue haleine. Et même si vous veniez à détruire son enveloppe physique, ce Dieu vous réservera bien des surprises.

- Athbheochan : Voilà le nom que les autres Dieux ont donné à cette particularité de Dagda, ce dernier représentant à la fois la Vie et la Mort. Il est difficile de tuer un Dieu, mais bien moins que de détruire son enveloppe physique. Problème, quand un Dieu perd son enveloppe, il ne peut rester que sous une forme éthérée. Voilà quelque chose qui n'arrive aucunement à Dagda. Si son enveloppe vient à se faire détruire et qu'il ne reste que de lui une forme éthérée, il rentre dans une forme d'hibernation. Et ainsi commence un miracle, une nouvelle enveloppe physique de sa personne vient à se créer, reprenant directement une forme adulte, comme si rien n'était jamais arrivé à sa personne. Ce cycle de renaissance peut durer peu de temps ou une éternité, tout dépendra de la volonté du Dieu. Ainsi, il devient impossible de détruire son enveloppe physique.

- Conradh Rith : Une des fonctions divines de Dagda le lie aux Contrats et aux principes même de ces derniers. Un engagement entre les gens et un échange entre deux parties. Il peut donc bénir des contrats pour les rendre inviolables. Bien évidemment, son lien aux Contrats ne s'arrête pas là, il est possible de pactiser avec sa personne, afin d'obtenir un peu de pouvoir, surtout magique. Le Dieu offre de sa puissance en échange de services ou d'une fidélité à sa personne, non pas pour avoir de la foi, simplement pour s'assurer de la volonté des contractants. Généralement, il scelle cet accord en offrant un anneau gravé de runes à la personne mortelle, signe de leur lien et de la fidélité qu'elle lui doit.

- Draíocht : En tant que Dieu des Druides, des Éléments et de la Magie, les plus grands pouvoirs de Dagda tournent autour de cela. Ces derniers sont tellement diversifiés pour sa personne qu'il a décidé de créer une forme de classement et d'ordre dans la Magie. Cela ne le concerne que lui, car en tant que Dieu de la Magie, il peut donc toutes les utiliser.

Il a commencé par regrouper les diverses magies dans sept catégories, lié aux éléments principaux, tout découlant de cette base-là pour la magie et les pouvoirs. On retrouve donc les éléments suivants : Feu | Eau | Terre | Air | Ténèbres | Lumière | Âme. La dernière catégorie est un peu à part au vu de sa nature unique. Elle permet de manipuler la magie sous sa forme la plus pure et puissante, cette dernière n'étant pas transformée en un autre élément. Il s'agit donc d'un condensé de puissance brute et malléable.

Le classement ne s'arrête pas là, dans chaque catégorie se trouve une classification qu'il a nommée Cercles, chaque cercle correspondant à la proximité que possède la magie avec l'élément. Il existe en tout trois cercles par catégorie, représentant toute la même chose. On retrouve donc le Premier Cercle, qui est la maîtrise de l'élément en lui-même, donc Feu, Eau, etc. S'ensuit alors le Deuxième Cercle représentant les dérivés classique et logique des éléments. Par exemple pour la Terre, il s'agit donc des magies tournant autour du Sable, du Métal, du Bois ou encore des Minerais. Pour finir, vient le Troisième Cercle, qui représente des magies précises, mais ayant un lien proche avec l'élément. Pour continuer avec la Terre, dans son Troisième Cercle, on retrouve par exemple la magie de Gravité, qui est lié à la Terre.

Bien évidemment, en tant que Dieu de la Magie, Dagda peut maîtriser toutes celles-ci et user à loisir de toute forme de magie existante selon son Panthéon.

- Inntinn : En tant que Dieu des éléments, Dagda peut revêtir une forme mélangeant une apparence humanoïde et un élément. Cela lui permet d'user de la force brute d'un élément de ce monde. En faisant une incarnation, une force de la nature, un désastre en quelque sorte. On peut voir cela comme sa forme la plus destructrice des éléments, même en prenant en compte sa puissance magique.

Comment avez-vous connu le forum ?Nouveau Compte et donc nouveau départ de Niqa (avec beaucoup de retard, je m'en excuse)  :-[

Pages: [1]